on the rock.

identité complète - Ça se passe de génération en avorton. Un nom qui saigne, qui prend au cœur, qui n’équivaut à aucune pièce monétaire légale. Qui gratte la terre, s’érafle les doigts, s’arrache les ongles pour une once d’honneur. Un shooter de fierté qui traverse mal la gorge. Qui soulève les pieds de sur terre, qui bousille les entrailles sous chaque échec cuisant, lacérant. Acide sur la langue, suie dans les veines. Les Wolfswood ça beugle dans la nuit, c’est en recherche de survie constante. Ça se sert les coudes avant de se planter une lame effilée entre deux côtes. Cash, il le porte bien ce nom.  lieu de naissance et origines - C’est peut-être plus vert ailleurs. Les murs, ils ont peut-être une teinte moins massacrée que ce jaune nicotine qui te coule jusque dans les poumons, qui s’imprègne dans ton corps. Le Queens, c’est presque beau d’apparence, quand tu ne grandis pas parmi les racailles des quartiers malfamés. Quand t’entends pas cette voix rauque qui ricoche contre deux murs suintants d’une ruelle perdue. Où le bruit de la ceinture de cuir fend l’air. Ta mère, elle a beau avoir le plus beau déhanchement de toutes les italiennes que tu connais, ça ne fait pas de toi le plus bel enfant de cœur. Même qu’on a tendance à dire que ton père t’as sûrement cogné une ou deux fois de trop. études ou métier - Peut-être que les mathématiques ne sont pas ton point fort, que t’as été renvoyé une fois de trop du système scolaire et que t’as aucun papier futile qui donne foi en ton intelligence. Mais t’es loin d’être con. Tes neurones, même après avoir frôlé l’état végétatif, elles t’amènent loin dans ta minutie, dans ta rage et ta maîtrise. Tu t’es peut-être tâché les mains dans des concepts illégaux un peu trop souvent. Ça s’est ancré dans le fond de ton palais comme un poison malfaisant. T’as beau vouloir bien faire comme barbier, tu resteras toujours le premier à mettre un talon dans des coups foireux. Dans des braquages plus grands que nature. orientation sexuelle - La paume de la main écrasée sur un rond chaud. Les doigts brouillés sous une botte d’acier. Des coups dans le dos, un retour malsain à la case vermine. Une honte que criera le père la journée qu’il aura mot de ton attirance pour la gente masculine. Même si tu expliques ton désir viscéral pour les femmes. Pour ces courbes qui ne cessent d’onduler sous tes doigts. Ces regards humides qui quémandent, ces lèvres qui dévorent. Tu n’as pas à te justifier. Tu n’as jamais eu à le faire. C’était tout naturel pour toi de t’intéresser à la gente humaine avant l’intérêt sexuel, bestial. Car l’Homme te répugne au même point que tu l’envies. Que tu le veux nu sous tes draps ou à la lumière des néons vibrants. statut civil - écrire ici. pi, scénario ou prélien - écrire ici.

ville - écrire ici. études ou métier - écrire ici. avis général sur le forum - écrire ici. le détail qui t'a fait craquer - écrire ici. fréquence de connexion - écrire ici. crédits des icons - écrire ici. le mot de la fin - écrire ici.