fallen soul. (dako)

(brazil) Tu as vu le jour au brésil, exactement à Fernando de Norhondo. Une île de l'archipel Brésilien du même nom. Ta mère n'a jamais eu une grande vie là-bas. Pas de père, juste une mère, complétement folle. Elle n’avait jamais eu toute sa tête. Ta mère, Arielly était une bonne élève, mais elle a commencé à aller pêcher avec ton grand père pour aider, puis elle a tenté d’avoir une place à l’hôtel de l’île. Un luxueux endroit, connu de beaucoup de monde. Des vacanciers riches y venaient, puis repartaient. Elle avait seize ans quand elle a commencé à bosser là-bas. Jeune femme consciencieuse, qui a toujours donné le meilleur de soi-même. Elle savait que ça aidé sa famille.(rape) Arielly s’est faite violée à ce même hôtel, luxueux. Elle n’a jamais dit c’était qui ou autre. Mais, elle de ce viol, une grossesse arriva. Elle ne savait pas quoi faire, mais elle était très porté sur la religion avec ses grands-parents, alors ta mère a décidé de continuer la grossesse, d’élever l’enfant, mais finalement à la naissance, ta sœur n’était pas seule, car tu étais là aussi. Elle eut bien du mal au début à savoir comment elle allait gérer cela. Mais, il était sûr qu’elle vous aimait déjà beaucoup. Le père un homme de l’hôtel, avait fini par vouloir la faire taire, si jamais l’envie même de parler lui venait, alors elle avait reçu un chèque, qu’elle refusa, puis elle ne demanda qu’une chose, un billet pour un autre hôtel en Amérique. Elle savait qu’elle allait tout quitter, mais il lui fallut attendre trois ans pour cela. (queens) Quand tu avais trois ans tu as atterri en Amérique avec ta sœur Nova et ta mère Arielly. Une nouvelle vie s’offrait à vous, ta mère était heureuse de pouvoir repartir à zéro, elle n’avait pas accepté l’argent, elle voulait tout bonnement une vie qu’elle se construirait elle-même. Ta mère, de tes opales tu l’as toujours vu forte, autant dire que tu savais parfaitement de quel sorte d’amour tu étais né, tu l’avais appris quand tu avais seize ans, t’as mère, avait pardonné, le dieu voulait qu’on oublie et pardonne. Toi tu l’as trouvé courageuse, une mère courage toujours prête à tout pour Nova ou toi. (twin) Ton soleil. Ton âme sœur. La femme que tu veux protéger coûte que coûte. Depuis que vous êtes gosses vous êtes tout le temps fourré ensemble. Il est impossible de vous dissociez l’un de l’autre. Toujours l’un avec l’autre, toujours présent pour l’autre. Même ces années loin de l’autre, vous avez continué d’écrire, au plus grand damne de Nova qui elle aime beaucoup son téléphone et les possibilités que lui offre ce dernier. Un amour inconditionnel, peu importe les agissements de l’un ou de l’autre, tout est toujours pardonné. Tu t’es battu pour elle tout au long de ta vie. (technology) Elle et toi ça pourrait sans doute faire un très bon duo, mais non. Que ce soit les pcs et compagnie, tu es plutôt une vieille âme face à eux, tu n’aimes pas passer ton temps dessus comme les personnes de ton âge ou plus jeune encore. Comme unique téléphone tu as un vieux téléphone à clapet, pas de photo super classe, tu as pour ça les appareils photos au vieux style, des polaroids. La vieille de la vieille. C’est ainsi pour toi. Tu as pour une télévision, mais tes rapports avec les technologies ne sont pas très étroites, tout le contraire.(musketeer) Hakan et Arès. Tes frères, les potes de paliers. Trois appartements sur un palier, avec trois gosses du même âge avec une princesse. Princesse devenue la sœur de tous, une famille, mais l’amitié de tes gars et toi est celle dont on rêve. Capable de tous les un pour les autres. Un pour tous, tous pour un. Arès plus jeune de deux ans, Hakan et toi au même âge. Les deux grands-frères d’un petit gars à la vie misérable, comme vous. Tu es le mieux lotie au niveau des parents. Ton appartement est celui de tes frères, délaissant les leur, fourni sans parent digne d’un tel nom. Tu le sais la mère junkie ne se préoccupant jamais de son gosse ou encore le père qui décide que son fils et ses potes sont des punchings balls. Ta mère vous a élevé à trois, à quatre avec Nova. Une famille prête à tout pour les autres. (firefighter.) Un rêve depuis gosse, celui de devenir pompier. Tu pouvais jouer au foot ou autre, si tu entendais la sirène des pompiers, tu te faufilais vite fait pour voir l’imposant camion de pompier qui passait devant toi. Tu étais aux anges. Une passion pour le métier, né avec cet homme, celui qui aidait ta maman parfois, qui te parlait de son métier, un métier qui te faisait rêver. Affronter les flammes, aider les autres. Tu te sentais l’âme d’un pompier, du moins tu avais toujours pensé que ta vie serait celle-ci. Mais ce ne fût pas le cas. Tes choix t’ont obligé à fuir. (sex before) Une première fois avec une fille que tu connais, une fille que tu connaissais depuis bien des années. Elle fût une première copine, une première pour beaucoup de chose, la première à pouvoir passer un pied dans la bande, une bande bien trop fermé. Le sexe était plaisant, tu as aimé, pensant à ça parfois, puis parfois plus. Mais tu devais être dans la norme, comme tous les mecs à y penser, mais pas que. Tu sortais avec des filles, sans trop voir de grosse possibilité de couple. Car tu n’as pas le temps pour les filles, juste du temps à accorder à tes potes. (broken heart) Le cœur cassé de ta sœur. Un cœur que personne ne soupçonnait d’être si mal au point. Elle est tombée au détour d’une course folle avec hakan et arès. Trois mecs paniqués d’â peine dix-neuf ans et dix-sept ans pour le plus jeune. Les pompiers appeler, un massage cardiaque fait à trois, se reliant, sans même savoir si c’était les bonnes choses, mais une voix les a guidé, une voix a fait en sorte d’aider,  chanter une chanson au rythme particulièrement agité aida. La chanson, votre chanson à ta sœur et toi. Ton cœur faiblissait aussi en la voyant inerte sur le sol si froid, tu avais la sensation de la sentir te caresser comme pour amortir son départ. Mais elle arriva en vie à l’hôpital, mais mal au point. Son nom aligné sur une liste de greffe de cœur. Une liste longue comme un pays, mais elle était bien positionné, elle avait toute ces chances qu’avait dit le mec. Mais il avait oublié que quand le bipper sonnera, il était possible qu’un connard de riche, vienne lui prendre sa place. Alors plus rien pour Nova, juste la morte, peut-être. (solution) Tu as songé à des milliers de possibilité, même celle de te tirer une balle dans le crâne. Pour donner une chance à ta sœur, ta vie pour la sienne, c’était parfait à ton sens. Mais tes potes n’étaient pas d’accord. Tu n’avais juste aucune solution, puis tu y as songé la nuit, encore et encore. Les réflexions étaient toutes vites abandonnés jusqu’à celle de braquer une banque, peu importe que tu passes ta vie en prison, que tu ne reviennes pas, car tu serais qu’elle était vivante, qu’elle était encore sur cette terre, la seule qui méritait bien des choses. Le cœur engourdie tu avais prévenu tes frères de tes plans. Tu y allais seul. Mais c’était sans compter sur cette façon d’agir les uns avec les autres. Tout le monde le ferait, car Nova était la sœur de tous. Alors, l’un ramené la banque où son père bossait en tant que gardien, l’autre ramené les flingues et toi tu t’occupais de ta sœur, laissant une rage te monter. Celle de savoir que le père de ton pote avait essayé quelque chose avec ta sœur. L’envie massacrante de l’écraser, mais tu y repenses à Arès qui se débat pour le protéger son paternel, même quand il le cogne ou vous cogne, il l’aime ce connard. (beaten) C’est cette fois-là, avant le braquage prévu quelques heures plus tard, que Hakan et toi vous avez retrouvé votre pote Arès, à moitié mort sous les coups de son père. Une tête complétement détruite, complétement désarticuler le petit pote, le petit frère est à mal. Le cœur retourné, tu appels les pompiers, tu laisses hakan soulager et parler à votre pote. Une envie, une rage te naît encore plus en toi à cet instant, l’envie de démolir cet homme si écœurant. Les hommes sont tous des cons, toi aussi, pas vrai ? Tous. Alors, que vous aviez prévu quelque chose, que vous aviez tout pour commettre un braquage, pour trouve de l’argent, faire comme tous les riches et sauver ta sœur, tu pensais que c’était une erreur, un moment d’égarement. Car tu fonças par la suite. (robbery) Un braquage qui devait juste bien se passer. Prendre l’argent et se casser. Tu ne voulais que de l’argent pour sauver ta sœur, pas pour mieux vivre, tu t’en fichais clairement. Tu ne voulais juste pas perdre ta sœur, pas briser par cette perte ton cœur, celui de ta mère et de tes potes. Elle faisait partie de cette histoire ta sœur, nova est douce et belle. Personne ne pourra vous la prendre. Elle est l’unique femme que tu voudrais garder à vie dans tes bras sans pour autant te plaindre de crampe, car c’est elle. Le braquage se passait bien, puis tu l’as vu. Lui. Le connard. Ce père indigne, autant que le tien. La rage est montée en toi, l’arme s’est élevée… (murder) L’arme élevée, la balle est partie vite, tu n’as pas vu la balle se loger, trop occupé à fixer les opales de cette merde, puis tu as entendu un second tire. Une seconde balle se loger sur le corps de l’homme. Pas toi, pas cette fois. Hakan à suivit le mouvement. On est ensemble jusqu’à la fin qu’il  t’avait dit. Il doit comprendre cette haine que tu as pour lui, comment oublier les coups que lui comme toi vous avez pris de cet homme ? Impossible. Puis vous êtes partis, essayant d’oublier, de ne pas songer à comment le dire à Arès. Lui qui avait été mis de côté pour le braquage à cause du même mec sur qui vous veniez de tirer. (surgery) Vous êtes revenu trois jours plus tard à l’hôpital pour dire adieu. Vous aviez pris la décision final de base avec les trois autres de prendre votre envol en direction de l’armée, loin de tout espérant échapper à la prison, mais vous étiez prêt à accepter le jugement, qu’importe ce dernier. Mais juste aucune trace de Nova. Elle était en train d’être opérée, alors que vous aviez l’argent pour payer, payer au marché noir une place sûr à ta sœur, l’argent ne servait donc à rien. Quand vous étiez allé  voir Arès, il dormait le mioche au visage bleuté, alors vous lui avez laissé une trace de votre passage. Un contrat d’engagement pout l’armée, le sien, pré-rempli, mais déchiré, car sa place n’était pas là-bas. Un moyen de protéger le petit frère, tout en lui disant que vous l’aimiez. Des choses que vous n’avez jamais eu à dire, car vous vous aimez sans le dire.  Tu avais attendu de partir, caché, terré dans l’ombre, attendant de savoir que l’opération de Nova était bel et bien finie, et qu’elle avait été un succès. Une fois cela su, tu es parti, sachant qu’Arès, malgré une rancœur pour le fait que vous l’ayez laissé derrière, prendrait soin de la poupée. (enrollment) L’armée fût une seconde famille, dans laquelle Hakan faisait encore parti. Des lettres que tu écrivais à Nova, elle répondait,  ta mère aussi, mais silence radio au niveau de Arès. Il vous en voulait, mais il t’envoyait juste une réponse : Nova est ok. Elle va bien, il te parlait d’elle. Car il savait que  ton cœur saignerait si elle n’allait pas bien. Tu avais dit la cachette de l’argent à Arès, car avant de partir, vous avez dû la cacher, un endroit où personne n’ira farfouiller, un endroit à vous. Planqué, tu  avais laissé un peu d’argent, mais très peu pour eux, car le but de tout ça était de sauver une vie, pas de rendre la vie meilleure, car ensemble elle était déjà parfaite à tes yeux. Deux ans dans l’armée de terre pour finir par passer les  épreuves pour rentrer dans la navy seal. Toujours avec Hakan. Jamais séparé, les deux qui réussissent. Tu te sentais bien dans l’armée, même si tu y voyais des choses renversante, faisant partie de ceux ayant tué le plus gros criminel de New-York. Vous avez fait des missions de fou, prenant quelques balles. Mais les risques du métier. (letter) Tu vidais le carton que l’armée venait de recevoir, un cadeau pour noël, c’était toujours plaisant. Toujours loin de chez vous. Puis c’est là que tu as trouvé ce carnet. Un carnet rempli d’une écriture magnifique, des mots déversés à l’encre noir sur des pages d’un blanc immaculé. Tu avais parcouru ces pages en quelques heures oubliant les heures de sommeil. Puis, tu as décidé d’écrire à cette onyx à qui appartenait ce carnet, une adresse dessus, alors tu envoya une lettre, sans savoir si une réponse arrivera. Puis ce fût le cas, des lettres, des tonnes de lettres, jour après jour. Des choses à dire, tu avais dit énormément de chose à cette fille. Le cœur ouvert, les pages de ta vie se révélant à cette inconnue. Tu n’aurais pas pensé faire ça, mais façon dans le fond, tu ne l’as verra jamais. Tu n’avais pas songé à rentrer au pays, pensant finir ta vie comme les vieux chefs dans l’armée. Mourant au combat, mais en sachant les tiens vivant et bien. (disease) La maladie de ta mère : l’Alzheimer.  Arielly oubliait qui elle était c’est Arès qui t’a prévenu. Alors, tu as tout arrêté, tes missions, ton boulot, dire au revoir à ta seconde famille. Mais pas à Hakan, car ce dernier arriva avec toi dans votre ville, il avait refusé de te laisser partir seul. Alors, vous avez tout quitté, à deux, comme toujours. Plus vieux de dix années après votre départ, après votre braquage. L’idée en tête d’aider la femme qui vous a tous éduqué, celle qui vous a donné l’amour sans compter, se tuant à la tâche en ayant deux voire trois boulot pour nourrir tout le monde. Sans jamais refusé une quelconque bouche en plus à nourrir. Une mère aimante, une vraie. (sex after) Depuis ton retour, y a de ça un an, autant dire que tu es complétement perdu au niveau du sexe. C’est un besoin, un appel à  te faire plaisir, tu ne parviens pas à ne pas avoir envie de faire mieux connaissance avec une femme. Parfois si, parfois non. Tu es comme obsédé. Tu ne penses pas être accroc, mais tu l’es. Complétement. Le besoin d’être touché, de sentir l’adrénaline monter en toi quand le plaisir vient, c’est comme si l’armée te manquait et se remplaçait ainsi. Un manque horrible d’adrénaline, de ce boulot qui rendait ta vie si pleine.

Un an que tu es de retour, que tu vois ta mère s’éloigner de ce monde, laissant un autre monde l’apprivoiser et la détenir, te laissant doit petit gars loin de celle qui t’a porté toute ta vie. La reine de ton cœur, ayant donné naissance la princesse de ton cœur. Personne, aucune femme n’avait été capable de  te piquer l’organe central qui te faisait vivre. Impossible. Les opales fixant le plafond, tu pinces les lèvres, tu le sais, tu n’apprécies pas forcément ton retour aux sources. L’armée te manque dans le fond, ce besoin de donner de ta personne, d’aider les autres qui a toujours été en toi, et terni par le boulot que tu fais actuellement, mais ce dernier fait partie de toi à présent. Ta sœur n’est pas dans le coin, elle est encore en mission humanitaire, tu ne lui dis pas tout, tu ne veux pas la forcer à sacrifier de son temps. Et pourtant, tu as peur qu’elle t’en veuille de la priver des derniers instants de  votre mère, mais Nova devrait bientôt rentrer. Elle t’a toujours suivi, râlant après toi et cette manie de fuir les technologies, préférant les écrits plutôt que les sms, les appels vidéo. Alors, tu lui écris, jour après jour, elle n’est pas la seule à qui tu écris. Tu es usé de la soirée, tu as accompagné une dame âgée d’une quarantaine d’années à l’opéra, mais cette dernière a tout fait pour te garder avec elle, tu essayes fortement de ne pas céder à la facilité de coucher avec une cliente, mais parfois, cette envie en toi est bien trop forte. Tu le sais, tu ne penses souvent qu’à ça, oubliant le monde autour, oubliant les choses parfois importante. Souvent coincé dans ta salle de bain, gant en main, tu laisses tes doigts te parcourir, c’est devenu maladive depuis ces douze derniers mois. Tu y songes beaucoup trop, quémandant de l’attention, le besoin de ressentir la chaleur d’autrui contre ton être, ce besoin d’être vivant, de sentir l’amour, cet échange charnel se faisant. Tu as besoin de cela pour survivre, tu en as besoin. Tu le sais pourtant, tu n’es qu’un accroc, accroc au sexe, un besoin naturel, devenu beaucoup trop présent dans ta vie. Pendant dix ans, tu as vu les horreurs des guerres, les horreurs de l’armée américaine, les horreurs du monde. C’est ainsi. Tu as signé, signé pour t’éloigner d’un crime, l’argent et le meurtre. Ce meurtre que tu avais clairement pas prévu, mais autant dire que tu ne pouvais pas ne pas penser à Arès complétement défigurée de la sorte par un soi-disant père, tu as du mal à voir les hommes bien, toi aussi tu aimerais t’éloigner des femmes, ces reines qui méritent tous sauf ces hommes incapables d’être bon pour elles. Tu ne te perçois que comme un prédateur envers elle, et pourtant ça reste impossible pour toi de rester loin d’elles. Loin de leur corps voluptueux ou non. Amoureux, mais du sexe. Jamais ton cœur n’a réellement battu pour une femme, un amour pur, un amour que tu ne voudrais pas perdre, c’est ainsi. Tu décides de te bouger de ton lit, malgré la fatigue, le besoin de te poser est moins important que l’arrivée de l’aide à domicile de ta mère. Tu ouvres la porte pile au moment où elle entre, tu lui offres un sourire, elle te le rend et tu décides de rebrousser le chemin, pour éviter de ne lui lancer des regards, une fois, une fois de trop. Tu ne peux pas continuer ainsi, il te faut demander une autre, mais tu ne voudrais pas finir par lui faire penser que depuis que tu avais couché avec elle, tu te débarrassais d’elle, même si dans le fond c’est exactement ça. Posé dans ton lit, tu tentes de penser à autre chose, la fenêtre grande ouverte, l’air frais venant caresser ton visage, tes mains, qui commencent à te démanger. Tu n’arriveras pas à ne pas craquer, à te retenir. Encore une fois, l’envie fût trop forte, et ta main glissait de haut en bas, provoquant chez toi un malaise se mélangeant au plaisir provoqué par ton geste. .