Le soleil qui se pose délicatement sur les corps dénudés des jeunes qui paradent autour de la piscine de la demeure de luxe des beaux quartiers. Pool party improvisé à la dernière minute pour combler une belle après-midi d’été à coup de jeux stupide et d’alcool qui coulait à flot. Détentes entre amis et inconnu qui se mêlait au même rythme de la musique qui se déversaient dans l’atmosphère festives qui entourer tous les convives. Corps qui se déhanchaient et s’entremêlaient. Corps qui jouer dans l’eau et qui buvait à en oublier les tracas du quotidien. La jeunesse qui se foutais de la vie et qui profitait de l’instant oubliant toutes les responsabilités présente et futur. Toi, au beau milieu de ce jolie bordel qui comblé pleinement la passionné que tu étais. Ne plus pensé qu’à l’instant présent et à la beauté de la désorganisation qui n’animait devant tes prunelles telles un film. Sourire et cœur léger qui se laisser bercé par ces contacts et ces interactions qui n’avaient rien de calculer. Une de ces après-midi d’été où l’on ne s’ennuie pas et ou la surprise est toujours au rendez-vous comme celle qui s’affiche sur ton visage quand un ballon mal contrôlé s’échoue sur la table ou tu es. Verre d’alcool qui se renverses et éclabousse le délicat de ta peau dénudée. Rire jaune avant de passer à autre chose n’étant pas l’une de ces filles trop préoccupé par leurs apparences et leurs tenues. Pourtant tu ne pouvais pas t’empêcher de penser que le jeune apollon l’avait fait exprès. C’était comme ça toujours à emmerder l’autre et de manière les plus tordue possible alors que tu n’y perds pas à ta déduction de base quand tu le voie s’approcher de toi d’un air triomphant très mal dissimulé. Des mots prévisible qui sort de sa bouche et voilà que l’après-midi viens de prendre un tournant bien moins attrayant que celui de se détendre sans prise de tête. Au lieu de ça, tu allais le passer à te prendre la tête avec lui. Tu le savais, c’était toujours comme ça entre vous. Inévitable. « Ça allez bien mieux avant que je te croises Gabriel ! » Lances-tu faussement ravi de le voir débarquer à tes côté qui plus es pour te narguer de sa précédant conneries. Avec ça tu étais couverte d’alcool et de ce sentiment d’être toute collante. Tu te retenais de lui lancer un petit connard à sa question stupide et te contentas d’un sourire crisper et d’un « parait que c’est bon pour la peau et le bronzage » sarcastique très loin de toi l’envie de lui donner ce qu’il voulait en t’énervant. T’étais plus intelligente que ça et que lui au passage. C’était qu’un idiot et tu ne comprenais pas pourquoi il te mettait autant en rogne. Toujours dans la provocation. Toujours à te chercher pour voir jusqu’où tu pouvais aller et pour voir qui craquerait le premier. Hors de question qu’il te gâche ton après-midi cette fois tu gagnerais. « Attends tu parles de toi là ?! Non… parce que de nous deux c’est toi qui pousse les cries les plus aiguë quand il se prend un ballon en pleine figure… tu feras attention d’ailleurs tu as un peu de mascara qui à couler !! » Ironique et cinglante ton regard profondément ancré dans le siens. S’il avait décidé de te chercher il allait te trouver. La fierté Hamilton qui entrer dans le paysage alors que tu n’avais aucune envie de le laisser gagner dans cette joute verbal « Tu ne peux pas te passer de ma présence Stinson que tu viens te poser à côté de moi ?! » Lances-tu un poil désobligeante en le regardant du coin de l’œil « En même temps je te comprends la vue est belle ! » T’en rajoutes toute en délicatesse ou cette envie continuelle et inexplicable de le provoquer. Puis à dire vraie tu préférais qu’il t’énerve que t’avouer qu’il te faisait craquer lui est son humour pourrie et son sourire contagieux. Clairement, tu t’énervais encore plus à trouver chez lui des détails positif alors que dès qu’il ouvrait la bouche c’était pour t’irriter comme personne.
Comme si tu n’avais pas assez de problème à trainer. Comme si ton cœur ne méritait pas un instant de répit. Pas de second souffle pour toi pas même durant une après-midi à fêter les joies de l’été mêlé entre amis, connaissances et inconnu… et lui. Bien sûr qu’il fallait qu’il soit là, tu aurais surement dû t’en doutais alors que vos cercles d’amis se raccrocher indéniablement à un bout. Tu aurais très certainement y réfléchir à deux fois et ne pas pointer le bout de ton nez mais, le besoin de décompresser avait été plus fort que ta pseudo aversion pour le jeune homme. T’étais toujours là, à te convaincre qu’il t’exaspérait sans pour autant pouvoir détacher tes prunelles de son corps. Putain que tu aurais préférais qu’il soit laid lui et son sourire idiot qui te faisait presque secrètement craquer. Presque car, au grand jamais tu ne comptais baisser ta garde. Tu te contentais de la haine que tu disais ressentir en te raccrochant désespérément au sentiment d’exaspération plutôt qu’à ton corps qui s’attirer comme un aimant au sien. Même dans son idiotie et sa connerie tu arrivais à le trouver mignon et tu t’en serais donner des gifles pour ça. T’étais là, l’idiote à retenir de rigoler et à renchérir à ces provocations pour ne pas être celle qui perdrait. On, tu ne lui donnerais jamais l’avantage. « Que veux-tu, tu as un don pour faire évaporer instantanément les sourires de mes lèvres !!! » lances-tu aussi sarcastiquement que sa réplique. Il te cherche, tu le cherches et voilà un jeu sans fin. Un jeu auquel vous sembliez tout le deux prendre un peu trop goût. « Toi ! En paix… laisse-moi rire, tu viens toujours avec une idée derrière la tête !! Puis si tu te sens l’âme d’un masseur vas voir Gisel le chien de garde je suis sûr elle appréciera !! » Tu veux surtout garder bonne figure alors que la stupide voix du désir en toi crie le contraire. Ces mains ferme à parcourir ton dos avec force et délicatesse… horreur… secouage de tête pour revenir à toi mais, qu’es qu’il te prend. L’alcool et le soleil surement. Pas un bon ménage. Sa voix te ramène de tes songes. De tes petits plaisir coupable avec lui. Tu devenais folle à cause de lui. Il te rendait folle le con et pas dans le bon sens du terme. « Mais rien Gabriel… tu ne ferais rien sans moi !! » Ajoutes-tu le visage qui se tourne vers lui un beau sourire hypocrite fendant ta bouche en deux. « Tu veux une casquette ?! T’es tout rouge surement pour ça le mal de crâne !! » Que tu rajoutes dans la ligné de la sienne. Toujours à qui auras le dernier mot. Jetteras la dernière pierre. Se serait toi-même si tu devais y passer toute la journée, toute la nuit... Dans le fond t’es secrètement ravie de ce compliment dissimulé. Ravie de partager réciproquement cette attirance absurde qui oscillait entre vous. Lunette de soleil que tu glisses du haut de ta tête à ton nez pour l’éviter de lire dans tes iris plus que pour te protéger du soleil. Jamais tu ne lui avouerais mais dieu qu’il te déstabilisé. Lui est son stupide regard. « … moi aussi je me passerais bien de ta présence t’en fait pas Gaby ! » réponses à sa tentative veine de se radoucir. Çà ne lui allait pas, pas avec toi. Vous c’était explosif loin des bonbon et chocolats. Qu’ils t’en donnent tu n’en voudrais pas, non, toi tu préférais de loin son sarcasme et ces répliques assassines. Tu t’y plaisais bien à ce jeu du chat et de la sourie, bien sûr tu étais le chat. « Plutôt à toi que je devrais poser la question ?!... Moi je connais le gars qui organise ! » Sourire en coin alors que tu demandes combien de temps tout cela aller encore duré, alors que tu te laisses prendre par surprise par une proposition positive de sa part. Tu ne peux pas t’empêcher de te dire que ça caches quelque chose mais tu es bien trop curieuse pour refuser. « Un verre c’est la moindre des choses pour rattraper ton incapacité à visé juste !! Après je te donnerais une leçon particulière pour t’apprendre à visé ! » Toi ne pouvant pas t’empêcher de jouer encore et toujours la carte de la provocation. Entre vous, c’était comme ça.