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| long time no see (terrence) | |
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Shaye Fernsley;
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charleen weiss. @amor fati n e s t a 1188 969 27 Célibataire, tu as le coeur meurtri d'avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d'inconnus lorsque la solitude se fait trop dure à porter. T'es pas prête à ouvrir ton coeur, parce que tu ne supporterais pas un échec, pas un nouvel abandon. Les notes de musique qui se faisaient entendre dès que tu déposais tes doigts sur les touches d'un piano étaient une douce mélodie à l'oreille. Mais c'est terminé. La vue d'un piano te panique, et t'es incapable de trouver du réconfort dans une passion qui t'a apporté tant de réconfort. Tu devais en faire ta vie, tu te savais assez talentueuse. Tu as tout abandonné, tes rêves de carrière et tes études, te perdant dans des petits boulots sans intérêt. queens tradi, with herself, for now. en cours de réécriture
| Sujet: long time no see (terrence) Mer 25 Nov - 18:03 |
| - - - - - - - ❖ - - - - - - -“I am glad it cannot happen twice, the fever of first love. For it is a fever, and a burden, too, whatever the poets may say.” @terrence figueroa tu t'réveilles le coeur battant, capable de l'entendre battre dans tes oreilles, tu as l'souffle court alors que comme si tu y cherchais un intrus, tu balaies ta chambre du regard. tu finis par laisser ta tête retomber sur l'oreiller, l'un d'tes avants-bras venant essuyer la sueur invisible de ton front alors qu'la paume du côté opposé, vient s'poser délicatement sur ta poitrine, comme si ce geste était capable de calmer la tempête qui fait rage à l'intérieur de toi. si seulement. tu sais pas comment c'est arrivé, la journée est pourtant bien avancée, t'aurais pas du t'assoupir, pourtant t'as pas pu faire autrement. parfois, y'a ton corps qui t'montres qu'il est épuisé, que si ton mental est fatigué, lui aussi. et il sombre, t'emmenant avec lui, t'faisant retrouver des images terrifiantes, emplies d'sang, de cris, d'métal qui s'froisse. satanée mémoire, t'aimerais tant ne pas t'souvenir de tout ça. et pourtant, c'est comme si c'était arrivé la veille. t'inspires profondément, une nouvelle fois avant d'expirer, lentement, les larmes t'montant aux yeux. tu les chasses rageusement, alors que tu t'lèves en secouant la tête. tu as besoin de t'occuper la tête pour n'plus penser à ça. t'étais pas censée sortir ce soir, t'avais prévu d"rester tranquillement chez toi pour une fois, à regarder un programme débile à la télé sans aucun doute. mais mahe, il est pas rentré. et t'avais pas envie de rester toute seule. aller chez une de tes soeurs ? une possibilité que t'as même pas envisagé. pourquoi? parce que tu n'veux pas voir leur regard de pitié, parce que tu veux pas en parler. alors tu fais c'que tu fais l'mieux et tu fuis la situation pour n'plus y penser, pour que ce soit plus un problème. t'as pris l'habitude depuis, c'est une danse que tu n'connais que trop bien. t'as eu qu'à envoyer quelques messages pour trouver une nouvelle adresse, une nouvelle fête. d'nouvelles possibilités pour toi, de t'amuser et surtout, d'oublier. mais jusqu'à quand? une réponse après laquelle t'attends plus. tu fais et c'est tout. t'as déjà trouvé l'chemin du bar, retrouvant la brulure bien commune de l'alcool qui coule dans ta gorge. t'es tellement habituée, qu'tu finis par même plus grimacer. peut-être que tu bois un peu trop, mais tu veux pas penser à ça. si t'es là, c'est pour n'plus penser du tout. d'profiter de l'instant présent et rien d'autre. t'bois un verre, puis deux, pis bientôt, tu sens une présence dans ton dos. tu attends qu'il parte, mais il n'semble pas bouger et c'est ses doigts qu'tu sens bientôt sur ton épaule qui t'force à te retourner pour lui faire face. tu grimaces parce qu'il t'semble familier et l'bougre il perd pas d'temps à ouvrir sa bouche. « si j'avais su qu'tu venais c'soir, j'aurais fais un effort » qu'il dit naturellement en relevant un col de chemise imaginaire. tu lèves un sourcil, essayant d'savoir s'il rigole ou pas. mais les secondes s'écoulent et y'a toujours rien qui vient. "pas sûre que ça aurait changé quoi que ce soit" qu'tu marmonnes plus pour toi-même qu'pour lui. et tu t'rends compte que sa main, elle est toujours là, sur toi et ça t'déplaît fortement. "par contre si tu n'retires pas tes doigts d'là, tu risques d'en perdre quelques-uns.." tu lèves un sourcil, avant qu'ton regard ne passe de sa main à lui. t'es pas très forte comme ça, mais tu saurais gérer c'genre de mec. t'en es persuadée. « c'est pourtant pas c'que tu disais la dernière fois » qu'il dit dans un sourire que t'aurais envie de lui arracher. tu arrives presque à l'replacer. il fait partie d'ces hommes dont tu as visité le lit sans pour autant t'y attarder. lui? un parmi d'autres. impossible pour toi de le distinguer des autres. "et parce que j'ai fais l'erreur de coucher avec toi une fois, tu crois que j'ai envie de recommencer?" un autre soir? peut-être que t'aurais réagis autrement. peut-être que t'aurais pu le laisser t'payer quelques verres. l'laisser t'emmener sur la piste de danse. pas ce soir. pas maintenant. là tu n'veux que boire. et il te dérange. ça t'dérange qu'il soit là, qu'il s'permette de te toucher, alors que tu ne l'as pas invité. intérieurement tu soupires, finalement, t'aurais peut-être dû rester à la maison. |
| | | Terrence Figueroa;
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nick hargrove. all souls. 4339 1299 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Sam 28 Nov - 18:43 |
| long time no see tu le portes sur toi terrence. sur chaque expression de ton visage, on devine les traces de celui que tu es. de toutes les soirées, prévues et imprévues, t'es le bon public par excellence. tu profites de ce qui t'es dû, l'avantage d'avoir le compte en banque d'un héritier premier né. quitte à en avoir le titre, autant se damner de tous les vices. et quand tu ne traînes pas les fêtes hors de prix, tu rejoins les petits bars de quartier. tu fais tâche dans le décor, mais t'aimes passer pour celui qui est le plus primé. tu te sens coq dans son palais sali par les pieds encrassés des petites gens. tu t'adapteras au standing tant que tu peux boire ton soûl et faire succomber les jeunes demoiselles en quête d'un prince charmant. ce qu'elles ne sauront pas, c'est que tu ne seras que celui d'une nuit. t'as le vent en poupe, et encore plus de midinettes à tes pieds depuis ton passage à la télé. t'es comblé, bien plus que tu ne l'as jamais été. tu pourrais les enchaîner, t'en as déjà approché plusieurs depuis ton arrivée dans ce bar bondé. et te faire reconnaître grâce à ta nouvelle popularité te gonfle de satisfaction. les regards sur toi sont loin de te faire rougir, bien au contraire. tu te sens paon, au centre de toutes les attentions. c'est l'esquisse de ton sourire qui s'en fait plus lumineux encore. tu irradies par tous tes pores, alors que tu recherches d'un oeil vif ta prochaine proie. et tu manques de t'étouffer avec le liquide alcoolisé qui traverse ta trachée quand tu la remarques. c'est elle sans être elle. ta brune poupée te semble si semblable et si différente à la fois. avec toi, elle n'avait jamais traîné ce genre d'endroits. plus occupée à te fuir au profit de sa musique, qu'à s'illustrer en ta compagnie. c'est sûrement ce qui vous a détruit, ce qui a fait ressortir tes pires travers et ce qui l'a convaincue de lâcher l'affaire. t'as longtemps regretté ta faiblesse, jusqu'à ce que ça finisse par passer. pourtant, la voir au milieu de nulle part, encerclée d'une dizaine de roublards, ça suffit à révéler le démon en toi. elle n'est plus tienne shaye et ton dilemme n'en est que plus virulent. t'es trop habitué à tout posséder, à tout t'approprier, pour accepter qu'on t'échappe. même sous le coup de ta culpabilité. tu grognes en dedans quand t'observes ses sales pattes tenter de conquérir un territoire qui t'appartenait autrefois. vivement débarrassé du verre qui t'enquiquinait au passage d'une serveuse, tu t'avances dans la fosse au lion. prêt à en découvre avec monsieur détermination. maugréer est ce que tu fais de mieux face à une telle situation. et à sa hauteur, tu ne perds pas de temps en conjectures. si tu veux pas que ce soit mon poing qui t'encastre, je te conseille de te faire tout petit et de te tirer. l'ombre d'un conseil en forme d'avertissement que tu souffles. s'il faut te donner en spectacle à nouveau, tu recommenceras. télé ou réalité, pour toi, il n'y a qu'un pas que tu as bien trop souvent franchi. il rit jaune le type, tente de garder la tête haute mais il ne fait pas de vieux os auprès de vous. ta main vient se caler dans le cou de shaye marquant ton appartenance, alors que tu échappes : tu donnes dans les clébards maintenant. mi-interrogation, mi-affirmation, t'aimerais qu'elle te contredise sauf qu'elle n'en prend pas le chemin. c'est con, j'étais moins lourd que lui. tu sous-entend qu'elle rétrograde shaye. et peu importe si elle est encore plus attirante que quand tu l'as quitté, elle n'a pas l'air de choisir des hommes qui lui font honneur.
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| | | Shaye Fernsley;
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charleen weiss. @amor fati n e s t a 1188 969 27 Célibataire, tu as le coeur meurtri d'avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d'inconnus lorsque la solitude se fait trop dure à porter. T'es pas prête à ouvrir ton coeur, parce que tu ne supporterais pas un échec, pas un nouvel abandon. Les notes de musique qui se faisaient entendre dès que tu déposais tes doigts sur les touches d'un piano étaient une douce mélodie à l'oreille. Mais c'est terminé. La vue d'un piano te panique, et t'es incapable de trouver du réconfort dans une passion qui t'a apporté tant de réconfort. Tu devais en faire ta vie, tu te savais assez talentueuse. Tu as tout abandonné, tes rêves de carrière et tes études, te perdant dans des petits boulots sans intérêt. queens tradi, with herself, for now. en cours de réécriture
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Dim 3 Jan - 21:43 |
| - - - - - - - ❖ - - - - - - -“I am glad it cannot happen twice, the fever of first love. For it is a fever, and a burden, too, whatever the poets may say.” @terrence figueroa les yeux qui s'lèvent au ciel pendant que t'écoutes l'barratin de l'homme qui t'fait face. tu finis par l'détailler du regard, pour t'assurer qu'il n'y ait rien d'intéressant. et non, définitivement pas pour toi. pas ce soir en tout cas. t'es obligée d'écouter ce qu'il te raconte, parce qu'il ne semble pas comprendre le message. restant sur place, attendant probablement qu'tu lui ouvres une porte. mais t'es pas d'humeur ce soir. pas pour lui en tout cas. et y'a ses doigts sur ton épaule, partie d'son corps que tu t'imagines déjà casser un par un, s'il ne les retire pas bientôt. t'as pas la patience pour ces conneries ce soir, alors t'essaies une nouvelle fois d'te faire comprendre, avant de devenir plus virulente. mais la bestiole, elle semble longue à la détente. t'es pas sur tes gardes, si bien que quand une nouvelle silhouette arrive, tu comprends pas tout d'suite. ton cerveau n'semblant pas vouloir faire le lien. t'faire te souvenir. dans ta tête, y'a comme un blanc. pis après t'entends une voix, la sienne. et ça t'crispe que davantage. parce que tu avais pas besoin d'ça en plus. pas ce soir. si tu veux pas que ce soit mon poing qui t'encastre, je te conseille de te faire tout petit et de te tirer. l'héros des temps modernes. tu l'sais, t'as pas besoin d'lui pour te défendre. t'es une grande fille merde. alors pourquoi ta bouche, elle refuse de s'ouvrir. pourquoi tu restes immobile? peut-être parce que t'es sous l'choc. peut-être parce que terrence, t'pensais pas le croiser. ça fait longtemps. pourtant ça pourrait être hier. la gamine que t'étais qui découvre l'amour pour la première fois. des sentiments qu'tu contrôles pas. qui parfois t'font peur. pis la musique qui t'occupe trop. t'es bientôt perdue entre vouloir être avec lui, et rester concentrée. tu choisis la seconde option et bientôt, il glisse entre tes doigts, jusqu'à commettre un impair. mais il finit par te l'avouer, après une énième dispute. viens donc l'moment où tu découvres aussi pour la première fois c'que c'est, que d'avoir le coeur brisé. stupide garçon. ton amour d'la musique. son erreur. ça vous aura été fatal. t'aimes lui faire porter l'chapeau d'votre échec parce que c'est plus facile que d'accepter qu'en un sens, t'as participé. tu lui as pas pardonné son incartade. comment l'pourrais-tu? et même là, alors qu'ton regard coule vers lui, y'a l'envie d'le gifler qui t'chatouille la paume. quand les paumes du badaud t'quittent, c'est comme si tu retrouvais tes esprits et par instinct, tu t'redresses, parce qu'il est hors de question qu'tu t'retrouves en position d'faiblesse avec lui à tes côtés. mais rapidement ce sont ses mains à lui qui s'retrouve vers ta nuque et ça t'fait grincer des dents. et y'a un frisson qui t'parcourt l'temps d'un instant, mais tu l'admettras pas. d'autant plus quand t'entends une nouvelle fois sa voix venir raisonner dans tes oreilles. tu donnes dans les clébards maintenant. t'hausses un sourcil, peu sur quant à savoir si tu dois rire ou pleurer face à c'commentaire. tu tournes la tête vers lui, hors de question qu'tu te démontes. "que veux-tu, il semblerait que j'ai un type." que t'annonces, un faux sourire sur l'bord des lèvres. y'a sa patte qu'est toujours là, sur toi et t'en veux plus. "du coup c'est tes doigts que j'dois briser si tu les retires pas d'là ?" qu'tu demandes restant d'glace. t'es pas bien forte, mais t'es loin d'être la brebis faible que t'étais autrefois. pas sûre qu'il soit prêt à ce changement. tant pis. c'est con, j'étais moins lourd que lui. tu secoues la tête à sa référence. bien sûr qu'il n'était pas lourd, c'pour ça qu'à l'époque t'as craqué facilement. tu l'pensais différent. t'pensais avoir trouvé l'bon. naïve gamine que t'étais. hors de question d'confirmer ses propos. "mais l'un comme l'autre, vous êtes pas capable de vous la garder dans l'pantalon" que t'annonces platement, référence à peine voilée à sa tromperie. qui sème l'vent récolte la tempête, il aurait pas dû t'faire souffrir. pour qui s'prend-t-il d'te juger pour l'choix de tes conquêtes? il n'a aucun droit. plus aucun. parce que ta vie, c'qui s'passe dans ton coeur ou entre tes jambes, ça l'concerne plus. tu t'éloignes pour attraper l'un d'tes verres abandonnés sur l'bar, parce que t'as besoin d'boire encore un peu pour supporter sa présence. t'ferme les yeux un instant, pour profiter du calme avant la tempête. pour profiter d'la sensation du liquide qui coule dans ta gorge. pis tu finis par refaire face à terrence, et ses prunelles claires, qui t'rendraient presque faible. qu'est-ce qu'il fout encore là? bon sang. "qu'est-ce que tu fous là terrence?" qu'tu retiens plus. "t'es venue pour essayer d'marquer un territoire qu'est plus à toi?" t'hausses à nouveau un sourcil en attendant sa réponse, jubilant intérieurement d'sa potentielle jalousie. prête à jouer avec l'feu, au risque d'aggraver des émotions déjà bien trop bancales en toi.. |
| | | Terrence Figueroa;
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| Sujet: Re: long time no see (terrence) Lun 4 Jan - 3:05 |
| long time no see des deux, et même des trois, c'est sans doute toi qui devrais t'écraser. te faire tout petit, voire te faire oublier. à la place, tu préfères t'imposer, quitte à raviver un débat jamais complètement anéanti. avec l'agilité d'un fauve, tu t'immisces. tu sèmes les graines de ta jalousie puérile et déplacée et tu viens asseoir ta domination en l'enserrant de tes doigts possessifs. tes mouvements n'avaient aucune raison d'être, ils ne réagissaient qu'à un feu intérieur titillé par les effluves d'alcool et la ferveur de l'endroit. c'est ce que tu prêches, c'est ce que tu crois. pauvre type rapatrié aux oubliettes, il n'y a que ta propre présence que tu tolères dans son périmètre. souvenir lointain d'un temps où tout allait bien. d'un temps où t'as laissé filer l'évidence pour la promesse d'une nuit incandescente. tu joues si bien l'irrité, quand tu étais la seule cause du chaos occasionné. que veux-tu, il semblerait que j'ai un type. elle touche juste, te renvoie l'inconvenance de tes regrets à peine dissimulés. t'es détestable dans ta manière de juger, ce pourquoi tu étais le seul à blâmer. du coup c'est tes doigts que j'dois briser si tu les retires pas d'là ? l'esquisse malicieuse d'un sourire vient dessiner tes lippes. fascinante de cette poigne qu'elle espère s'approprier, intrigante dans sa nouvelle façon de t'aborder. tout doux, pas la peine de mordre. la chaleur de sa peau à peine retrouvée et déjà quittée. envahir son espace ne servira pas tes intérêts, c'est le temps qui travaillera pour toi. et cette hargne devinée dans les quelques mots échangées t'interpelle. tu sens encore davantage ce sentiment de la reconnaître sans vraiment le faire. ses traits sont les mêmes, mais ils ont mûri. en même temps que sa personnalité, et peut-être que c'était ce qui te manquait à l'époque. tu lui rappelles des souvenirs qui te reviennent avec elle. tu veux te la faire complice de ce que vous aviez partagé dans un passé qu'elle semblait avoir refoulé et qui de ton côté, revenait te percuter de plein fouet. mais l'un comme l'autre, vous êtes pas capable de vous la garder dans l'pantalon. regarde-toi shaye, avoue que tu ne fais rien pour leur faciliter la tâche. les hommes... tu sais ce que c'est. tu ne lui enlèves pas cette vérité, tu préfères te trouver des excuses. faire appel à ta misérable condition d'être masculin. tu te rabaisses à ça, si ça peut te permettre d'essuyer une ou deux casseroles. mais tu te retiens de lui répéter ce que tu avais déjà bien trop souvent fait. à savoir que son absence avait été l'unique cause de ta faiblesse. elle n'était pas là shaye, et pour une raison obscure tu la sentais te fuir. revanchard et incompris, t'as fait les mauvais circuits terrence, et t'en as payé le prix. et à nouveau, tu la sens s'évader. sauf que tu ne la laisseras pas recommencer. t'as fait le con, t'en es conscient, mais pour l'heure elle est à portée de toi. pas question de te défiler. tes iris ne la lâchent pas une seconde. de son verre à l'écart qu'elle opère, pour te revenir presque instantanément. ça te rassure de ne pas être le seul dindon de l'histoire. parce que là où elle pourrait t'éviter, elle ne part jamais bien loin. qu'est-ce que tu fous là terrence ? et toi ? t'as réservé le club où j'ai le droit de profiter de ma jeunesse moi aussi ? tu provoques, de cet art qui t'a valu tes heures les plus noires. tu provoques, sans doute dans l'infime espoir de la revoir sortir les griffes. parce qu'elle est envoûtante quand elle s'emporte shaye. tempête ravageuse que rien ne pourrait contenir, pas même la force de tes bras, ni les souvenirs éphémères d'une parenthèse d'un autre temps. t'es venue pour essayer d'marquer un territoire qu'est plus à toi ? ça te plairait ? tu la défies d'oser te dire le contraire. d'avouer qu'elle est aussi indifférente qu'elle tente de le prouver. et tu distilles l'idée dans la ligne de ses pensées. comme un mantra dont tu voudrais la persuader, par simple fierté masculine de l'entendre confesser le manque de toi.
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| | | Shaye Fernsley;
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charleen weiss. @amor fati n e s t a 1188 969 27 Célibataire, tu as le coeur meurtri d'avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d'inconnus lorsque la solitude se fait trop dure à porter. T'es pas prête à ouvrir ton coeur, parce que tu ne supporterais pas un échec, pas un nouvel abandon. Les notes de musique qui se faisaient entendre dès que tu déposais tes doigts sur les touches d'un piano étaient une douce mélodie à l'oreille. Mais c'est terminé. La vue d'un piano te panique, et t'es incapable de trouver du réconfort dans une passion qui t'a apporté tant de réconfort. Tu devais en faire ta vie, tu te savais assez talentueuse. Tu as tout abandonné, tes rêves de carrière et tes études, te perdant dans des petits boulots sans intérêt. queens tradi, with herself, for now. en cours de réécriture
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Lun 4 Jan - 23:33 |
| - - - - - - - ❖ - - - - - - -“I am glad it cannot happen twice, the fever of first love. For it is a fever, and a burden, too, whatever the poets may say.” @terrence figueroa t'as l'impression de vivre un mauvais rêve. être là, coincée entre l'mec relou qu'a pas comprit que les plans d'un soir ne sont justement là qu'pour une nuit, et l'ex petit ami. tu soupires à c'constat, pour éviter de penser à la personne à tes côtés, celui dont tu voudrais t'passer parce que c'est l'seul qu'à réussi à t'briser le coeur. il a été le premier à faire accélérer ton pouls par sa seule présence, ses mots, son toucher. c'est l'premier à qui t'as tout donné, ton coeur et ton corps. et pour quoi au final? pour qu'ça s'termine par sa tromperie. et pour ça, tu t'es jurée d'le détester à jamais. qu'il ait l'audace d'se montrer là, auprès de toi. d'sembler défendre ton honneur alors que lui-même l'a bafoué en trahissant ta confiance, ça pourrait presque te sembler comique. mais là, t'as pas l'coeur à rire. tu préférerais fuir. loin d'ici. loin d'eux. quitte à retrouver les images de tes cauchemars. mais ton corps, il veut pas coopérer. ça t'rend folle. t'es plantée là, incapable d'te mouvoir, alors qu'les deux gars ils se jaugent du regard, comme pour savoir l'quel des deux est le plus fort, l'quel des deux à l'droit de rester là. l'badaud s'en va, la queue entre les jambes, ne reste que l'salop. un instant, t'aurait presque aimé qu'ce soit l'inverse. l'échange commence, doucement, comme pour vous jauger, savoir si vous êtes, ou non, dans sur un terrain hostile. la réponse est oui. mais il bouge pas. pas tout d'suite. faut que tu l'menaces d'lui casser les doigts s'ils restent une minute de plus sur ton corps pour qu'il l'faire réagir. il sourit, tu pourrais presque fondre parce que ça t'rappelle de bons souvenirs. parce t'as toujours aimé les fossettes que cela dessine quand il le fait. l'salop. tout doux, pas la peine de mordre. pourtant il comprend l'message, il retire sa main. et pendant quelques secondes, tu sens encore les picotements à l'endroit où celle-ci était posée. t'aimes pas ça. t'aimes pas du tout qu'ton corps il soit encore réceptif à ce qu'il peut faire. les hommes... tu sais ce que c'est. qu'il te dit, comme s'il tendait la perche pour s'faire battre. comme s'il voulait qu'tu réagisses. "ouais j'sais.. comme tu l'as dit, que des clébards." qui font l'beau pour les caresses, t'donne de belles paroles pour gagner ton affection avant d'te foutre dans leur lit pour disparaître par la suite. ou t'blesser. t'as appris à jouer à ça, toi aussi. t'as pas forcément d'quoi être fière. mais t'as pas honte non plus. ta sexualité, tes choix, au final ça regarde que toi. et puis t'es sûre de pas replonger, d'pas remettre ton palpitant en péril. mais toi, t'es même pas sûre d'en avoir encore un, d'coeur. aucun risque d'le voir blessé une nouvelle fois. l'temps file et lui, il est toujours là. ça t'rend folle, pourquoi il s'casse pas. qu'est-ce qu'il veut. ne vous êtes vous pas dit tout ce qu'il y avait à dire y'a un certain temps, quand tout s'est terminé? t'pensais que oui. et toi ? t'as réservé le club où j'ai le droit de profiter de ma jeunesse moi aussi ? tu l'regardes droit dans les yeux, secouant légèrement la tête. prends-moi pour une conne, qu'tu veux cracher. mais tu l'fais pas. ça sert à rien. t'as l'regard qui s'perd dans la foule, il croise quelques pupilles à droite, à gauche. certaines plus féroces, plus insistantes que d'autres. "t'veux profiter de ta jeunesse? va donc en profiter avec tes pétasses, là-bas" qu'tu dis dans un sourire, un coup d'tête en direction d'certaines nanas qui vous regardent sans pudeur, fixement. se demandant probablement elle aussi pourquoi il est là et pas avec elles. comme pour les provoquer tu leur adresses un rapide signe de la main, parce que tu sais qu'ça les mettra mal à l'aise. et qu'alors, elles regarderont ailleurs. ça loupe pas. t'es fière de toi. en un sens t'aimes ça, savoir qu'tu les rends jalouse en étant là avec lui. c'est stupide mais.. t'peux pas t'en empêcher. tu reportes finalement ton attention sur terrence, qu'est toujours là. si près d'toi. un instant d'faiblesse et tes doigts, ils pourraient bien s'perdre sur son corps. non, non, non. c'est du passé. t'as tourné la page. ça te plairait ? qu'il t'dit naturellement. t'voudrais crier qu'non. mais y'a ton coeur qui s'emballe un peu. peut-être bien parce que son toucher, ça lui a manqué. alors peut-être que oui, ça t'plairait. pour une dernière fois. pour une nouvelle fois. mais t'es trop fière maintenant pour t'abaisser à ça. "j'crois que j'ai perdu assez d'temps avec toi comme ça" triste réalité qui t'revient en pleine face. t'pourrais t'laisser tenter, rien qu'un soir. rien qu'une ultime fois. mais ce serait raviver une braise que t'as essayé d'éteindre depuis bien longtemps maintenant. ça t'ferait peut-être du bien. ou ça t'ferait sombrer un peu plus. t'sais même pas. mais est-ce que tu serais capable de tenter malgré tout? peut-être. parce que même si tu l'détestes, même si t'as été de l'avant, c'est lui, c'est terrence. et en un sens, tu l'sais, y'aura toujours ce petit truc en plus qui fait qu'il peut être dangereux. stupide fille, reste forte. |
| | | Terrence Figueroa;
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nick hargrove. all souls. 4339 1299 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Mar 5 Jan - 3:04 |
| long time no see les cartes sont redistribuées à l'instant même où les souvenirs semblent s'envoler. elle n'a plus rien de la vierge effarouchée qui t'avait fait craquer, il y a de ça quelques années. sous l'enveloppe connue et si souvent caressée, tu découvres une tempétueuse amazone à la répartie viscérale. ça t'arrache un sourire des plus malicieux. trouvant de l'exquis dans le surprenant. le crochet tenté pour s'évader est bien vite avorté, te satisfaisant d'un pouvoir que tu sentais encore dominer entre vos deux êtres abîmés. parce qu'elle a beau se victimiser de tous les maux et t'élever digne bourreau, elle n'avait rien de la blanche colombe shaye. aussi coupable que toi, elle gommait ses raisons pour t'en désigner tourmenteur avéré. tu lui octroies le bénéfice du doute. et tu acceptes de lui concéder cette partie-là. dans l'attente d'embrasser la prochaine dans une distinction plus théâtrale encore. ouais j'sais.. comme tu l'as dit, que des clébards. chaque couteau, précédemment lancé, elle s'en sert comme des lames à te retourner. fine calculatrice, elle modifie les règles du jeu à son avantage. se fait manipulatrice aguerrie, l'arme au poing. si t'étais un brin plus tordu, ça te ferait presque bander. peut-être que ça chatouille un peu, sous la surface. ça réveille le mâle, l'attisant à la lueur de la flamme qu'elle avait soudainement éteinte. pour un pas de travers, une malheureuse histoire de circonstances. c'est sans doute pour te calquer sur le modèle avancé que tu prends des allures de chienne shaye. la vérité étant que ça ne la rendait que plus désirable. alors tu te rends compte du cliché que t'incarnes à la perfection terrence. attiré par les gonzesses les plus dépravées et les plus dénudées. toi aussi t'as un type, celui de tous les autres chiens auxquels tu te vantes de ne pas ressembler. t'es leur noble égal, même si ça doit t'offenser. t'veux profiter de ta jeunesse ? va donc en profiter avec tes pétasses, là-bas. elle ne s'y trompe pas ta brune, te devinant si facilement que c'en était désarmant. tu suis son regard se posant sur les créatures à l'horizon. de celles qui ont toutes la plastique à l'identique. et pour devise, la chirurgie esthétique. tu manges pas de ce pain-là terrence, du moins pas ce soir. pas sous ses yeux qui seraient trop heureux de pouvoir te percer à jour en te balançant en pleine face, ta prévisibilité. alors elle entame son petit numéro shaye, ça a le don de te faire rire. duel offert à tes pupilles en demande, l'offrande était trop belle. elle a le dessus, celle qui fût anciennement tienne, t'en doutais pas. elle a pris de l'âge, elle a pris du galon. quand il était des années qui écrasaient les hommes, celles-ci ne l'avaient que fortifiée. tu te fais sourd à ses reproches latents et t'entames ta progression sur un autre terrain. si tu veux les faire pester, fais-le correctement au moins. l'aubaine était divine, et tu la saisis comme un abruti. la faible distance entre vos deux corps que t'avales et ta main qui vient trouver la chute de ses reins pour la plaquer contre toi. conspirateur, tu te penches à son oreille. maintenant, qu'est-ce qu'elles disent de ça ? le chuchotement est complice, pendant que ta carcasse s'échauffe à son contact. j'crois que j'ai perdu assez d'temps avec toi comme ça. tu ne crois à aucun des mots qu'elle échappe. ses tics d'expression te soufflent le mensonge évident qui dégomme les fausses confidences. mais tu la laisses s'escrimer à s'en persuader. c'est tellement appréciable de la regarder se débattre avec ses désirs les plus enfouis. ceux qu'elle réfute parce qu'elle n'accepte pas de les regarder en face. j'aurais davantage tendance à dire que tu l'as mal employé. un vulgaire haussement d'épaules qui mime le tant pis, que tu penses si fort. simple question de jugement. tu peux te mentir à toi-même autant que ça t'amuse shaye. mais respecte-toi et évite de le faire devant moi, qui te sais autant que tu me sais.
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| | | Shaye Fernsley;
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charleen weiss. @amor fati n e s t a 1188 969 27 Célibataire, tu as le coeur meurtri d'avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d'inconnus lorsque la solitude se fait trop dure à porter. T'es pas prête à ouvrir ton coeur, parce que tu ne supporterais pas un échec, pas un nouvel abandon. Les notes de musique qui se faisaient entendre dès que tu déposais tes doigts sur les touches d'un piano étaient une douce mélodie à l'oreille. Mais c'est terminé. La vue d'un piano te panique, et t'es incapable de trouver du réconfort dans une passion qui t'a apporté tant de réconfort. Tu devais en faire ta vie, tu te savais assez talentueuse. Tu as tout abandonné, tes rêves de carrière et tes études, te perdant dans des petits boulots sans intérêt. queens tradi, with herself, for now. en cours de réécriture
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Mar 19 Jan - 20:06 |
| - - - - - - - ❖ - - - - - - -“I am glad it cannot happen twice, the fever of first love. For it is a fever, and a burden, too, whatever the poets may say.” @terrence figueroa t'aimerais ça, pouvoir agir comme si sa simple présence te faisait rien. vraiment. mais tu y arrives pas. parce que si tu t'es faits une raison, y'a comme un goût d'inachevé. y'a cette colère qu'tu pensais éteinte qui s'rallume à l'instant même où tu poses tes yeux sur lui. t'veux qu'il voit ce qu'il avait et ce qu'il a pu. tu veux lui montrer qu'maintenant, toi aussi tu sais jouer. il a connu celle que t'étais avant, celle qui découvrait ce qu'étais l'amour et ce que ça apportait. celle qui était d'apparence bien trop sage. bien trop calme. bien trop fade. si ta passion et son infidélité ont eu raison d'votre histoire, t'pourrais presque aussi blâmer c'manque de caractère que t'avais. comment t'aurais pu l'garder? non, tu veux pas t'incriminer pour l'naufrage de votre histoire. c'est sa faute. s'il avait pas fauté, qui sait c'qui se serait passé. mais t'as pas l'temps d'y réfléchir, parce que t'attaques, à la moindre occasion. incapable de n'pas le faire. t'veux le rendre fou. le faire craquer. qu'il découvre c'que t'es devenue. ça t'rend folle, quand tes pupilles elles croisent celles de ses potentielles conquêtes, à la silhouette parfaite, prête à tout pour une nuit entre ses doigts. t'veux pas être témoin d'ça. il était à toi, avant et tu veux pas l'imaginer avec les autres. y'a cette élan d'possessivité qui t'prend et que tu maîtrises pas. à toi, à toi, à toi. il l'était. si tu veux les faire pester, fais-le correctement au moins. ta respiration qui s'coupe le temps d'une seconde, quand sa main elle s'aventure sur tes reins, pour t'rapprocher de lui. et l'temps de quelques secondes, t'en perd tes moyens, t'en perds tes paroles, toi qui t'voulais si fière, tu deviens presque un pantin entre ses mains. la partie fait que commencer. t'veux pas paraître faible, tu veux t'faire violence. alors qu'à l'intérieur, y'a les battements d'ton coeur qui s'affolent. maintenant, qu'est-ce qu'elles disent de ça ? des murmures dans tes oreilles, automatiquement, tu les regardes, ces modèles qui vous jaugent avec leurs yeux plissés, toujours plus noirs. parce qu'elles voudraient être là, à ta place, elles aussi. parce que toi, t'es là, si proche de lui. son visage, si près du tien que si tu t'penchais, rien qu'un peu, t'pourrais effleurer ses lèvres des tiennes. tentant. tes yeux qui captent les siens, ça t'plait vraiment ce petit jeu. alors, tu t'rapproches toujours plus, les derniers centimètres disparaissant, ton nez touchant l'sien, vos bouches toujours plus proches l'une de l'autre. tu détournes pas l'regard, pas un instant. "là, elles crèvent de jalousie d'te voir si proche.." y'a ta main, qui remonte le long d'son bras, jusqu'à son épaule, elle remonte sur son cou, pour jouer avec lui. pis elle redescend, toujours plus doucement. "se demandant pourquoi tu perds ton temps ici" tes doigts qui rencontrent sa main chaude, toujours au creux d'tes reins. qui s'referment sur son poignet pour l'retirer d'là. "va donc jouer avec celles qui sont intéressées trésor" que t'annonces en lui échappant. tu t'écartes de lui, reprends un peu tes esprits. parce que tu fais comme si. mais avoir été si près, ça t'rends toute chose. et tu te l'interdis. pas une fois d'plus tu veux t'perdre sous son charme. parce que c'est plus facile d'le détester. plus facile d'ignorer cette part de ton passé. j'aurais davantage tendance à dire que tu l'as mal employé. tu rigoles à ces mots. ils sont peut-être vrais. probablement d'ailleurs. mais rigoler fait redescendre ta pression. t'permet de prendre le temps de choisir ta prochaine réplique. d'essayer d'montrer ton indifférence. mais tu ne bernes personne, lui encore moins, t'en es sûre. mais t'es plus faible shaye, alors tu fais c'que tu fais l'mieux maintenant, t'attaques. t'essaies d'te montrer impassible. hors de question d'ployer devant lui. "tu crois?" que tu commences à questionner, l'air innocent qui vient s'imprimer sur ton visage, pendant que tu fais mine de réfléchir en regardant ailleurs l'temps d'un instant. puis tu t'redresses, lui fait face, tout amusement ayant quitté ton visage. "j'imagine que c'est une question d'point de vue." tu penches la tête un instant en haussant les épaules. "mais du coup, j'préfère désormais utiliser mon temps à bon escient" que tu conclus, enfin. "alors si t'es pas venu ici pour une raison précise, t'peux repartir, j'ai pas besoin d'toi." tu souris, cyniquement. parce que s'il part, tu retrouves ton calme, tu reprends l'contrôle de tes émotions. tant qu'il est là, t'es entre deux ambiances, la froideur, l'envie d'lui en faire voir, d'te montrer reine des glaces. et l'envie d'te perdre en lui, une dernière fois, d'le posséder pour n'plus penser, ni à ta vie, ni à c'que lui-même à pu faire. te dire que peut-être, y'a encore des choses à vivre, à ressentir. et toi, tu t'concentres sur la première option, pour n'pas penser à la seconde. |
| | | Terrence Figueroa;
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nick hargrove. all souls. 4339 1299 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Mer 20 Jan - 14:20 |
| long time no see à l'image des faces opposées d'une même pièce, elle dévoile la plus sombre des deux après n'avoir été que la plus lumineuse. actrice hollywoodienne primée pour les casquettes dont elle s'affublait, tu la découvres plus séduisante encore que tu ne l'avais laissé. alors qu'elle dégage ce tempérament déterminé, cet air plus sûr d'elle avec la poigne des habitués. l'essence même de shaye semble s'être évaporée, remplacée par une dynamique faussée. les années l'ont sublimé, renforçant le portrait de la véritable femme qui, à ce jour, te faisait galoper. avant, elle était absente ta dulcinée. trop absorbée par ce qui vous entourait, trop cachée sous la réserve qui la caractérisait. et le feu qui t'habitait s'est lassé de la glace que rien ne savait faire fondre. les flammes ont flirté à mille lieux d'elle jusqu'à t'atteindre terrence. toi qui n'avais sans doute pas compris qu'à trop jouer avec le feu, on finit par s'y brûler les ailes. par ta faute, elle n'est plus rien pour toi shaye, tout juste une relation qui n'appartient plus qu'au passé et qui ne reviendra pas en un banal claquement de doigts. et face à toi, jouer de ses atouts semble être son audacieux leitmotiv. tous tes codes qu'elle a appris par coeur, tous tes mouvements de corps qu'elle manie d'une main de maître. c'est elle qui te nargue et qui touche en plein dans le coeur. tu détestes être celui qui tombe à genou, qui capitule et qui s'écrase face à une décision qui ne lui incombe pas. sur le papier, tu as peut-être fauté, mais c'est elle qui s'est tiré. elle, qui t'a fait remballer tes jolies phrases et tes excuses bidons. ton parfait sourire et ton capharnaüm d'émotions. ce soir, tu mises tout sur vos souvenirs. tu te sens conquérant au point de reprendre le pouvoir sur des sentiments à peine éteints. les braises de vous qui n'attendaient qu'une mince étincelle pour se raviver. tu savoures l'initiative, les pions qu'elle avance pour toi sans savoir qu'ils étaient de premier choix. et sans demi-mesure, tu la fais prisonnière de tes bras. sous prétexte de faire rager les divas en bout de salle, mais par simple pulsion fulgurante et viscérale. c'est presque trop doux de la sentir contre toi, comme si tu l'avais quitté hier quand il y avait des mois de ça. tu oses penser que les évidences se rattrapent parfois plus vite qu'on ne le croit. tu le sens, son palpitant contre le tien. la symphonie réconfortante qui contente l'esprit en totale déraison. là, elles crèvent de jalousie d'te voir si proche.. ses confidences te font doucement étirer les lèvres. tu t'en moques, tu jubiles simplement de l'instant et de la sensation qu'elle soit là, si proche. son parfum partout autour de toi te faisant encore frémir. presque autant que son derme qui s'aventure de ton bras jusqu'à ton cou. se demandant pourquoi tu perds ton temps ici. et en une fraction de seconde, tout s'accélère et tout t'échappe. avec fermeté, elle te dégage de ses formes. retrouvant cette liberté que tu t'étais approprié et dont tu avais joué. va donc jouer avec celles qui sont intéressées trésor. l'esquisse de tes lippes est jaune, ta réaction autant. ton égo est piqué à vif. tu essaies de ne rien en montrer mais ta surprise devient traîtresse. mettant en lumière toutes tes failles. depuis le commencement de la partie, les dés étaient pipés. et tu rumines de t'être laissé prendre comme un amateur. il ne fait pas bon jouer avec tes nerfs terrence, toi qui supportes bien mal la défaite. tu crois ? j'imagine que c'est une question d'point de vue. mais du coup, j'préfère désormais utiliser mon temps à bon escient. tes propos précédents deviennent brume à l'horizon. ils s'effacent loin de là sans que tu ne cherches à les rattraper. ce sont d'autres sentiments qui t'étreignent et qui vont te rendre dégueulasse. alors si t'es pas venu ici pour une raison précise, t'peux repartir, j'ai pas besoin d'toi. à l'intérieur de toi, ça bouillonne. et bientôt la sous-pape protectrice n'aura plus aucun effet sur la détonation qui guette. félicitations shaye, t'es devenue exactement comme elles. toutes ces sirènes auxquelles tu faisais les yeux doux pour une nuit sous leurs draps. toutes ces sirènes qui, à tes pieds, se pavanaient pour un regard de toi. alors t'as raison, vas te faire sauter par le premier clébard que tu croiseras au comptoir. c'est ce que font toutes ces salopes. t'es mauvais terrence. t'es dur et ta colère prend l'ascendant sur les mots que tu libères. tu vas lui donner raison à shaye, mais tu sais plus faire autrement. j'ai pas besoin de toi, moi. si ce n'était pas elle, ce serait une autre. tu n'avais jamais manqué de prétendantes. elle aurait dû savoir se satisfaire du constat, qu'à elle, tu étais revenu. quand les autres, tu ne les avais jamais revu.
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| | | Shaye Fernsley;
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charleen weiss. @amor fati n e s t a 1188 969 27 Célibataire, tu as le coeur meurtri d'avoir trop perdu. Tu te fais charmeuse pour te perdre entre les draps d'inconnus lorsque la solitude se fait trop dure à porter. T'es pas prête à ouvrir ton coeur, parce que tu ne supporterais pas un échec, pas un nouvel abandon. Les notes de musique qui se faisaient entendre dès que tu déposais tes doigts sur les touches d'un piano étaient une douce mélodie à l'oreille. Mais c'est terminé. La vue d'un piano te panique, et t'es incapable de trouver du réconfort dans une passion qui t'a apporté tant de réconfort. Tu devais en faire ta vie, tu te savais assez talentueuse. Tu as tout abandonné, tes rêves de carrière et tes études, te perdant dans des petits boulots sans intérêt. queens tradi, with herself, for now. en cours de réécriture
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Dim 7 Fév - 22:41 |
| - - - - - - - ❖ - - - - - - -“I am glad it cannot happen twice, the fever of first love. For it is a fever, and a burden, too, whatever the poets may say.” @terrence figueroa tu joues à un jeu dangereux, tu l'sais. et ça te plaît. c'est un jeu que tu ne connais que trop bien, mais qui t'es pourtant inédit avec lui. t'es plus la gamine naïve que t'étais, tu as abandonné ta candeur et tes rêves de grand amour, depuis bien longtemps maintenant. c'est pas l'feu de la passion qu'à fini par te consumer pourtant, c'est celui d'la vie, qui t'a pris cette moitié, sans qui t'as l'impression d'être plus rien. et pourtant à ce moment précis, t'apprécies de pouvoir te jouer de lui, de pouvoir lui montrer que t'as changé, que maintenant tu te laisseras pas marcher sur les pieds. tu t'sens redoutable, si bien que tu recules devant rien, parce que là tu as l'avantage. parce que tu t'souviens de qui il est, de ce qui peut le faire s'effriter. et s'il a changé, alors tu l'sais, ça ne resterait qu'un homme, et les hommes, tu as appris à les charmer. alors, tu le charmes terrence, en te rapprochant toujours plus de lui. en lui susurrant tes réponses à l'oreille, comme si tu lui confessais tes péchés. tes doigts qui glissent sur sa peau, vos corps toujours plus proches l'un de l'autre, tu le sais que tu t'rapproches trop. que ça va le rendre fou. t'affectionne tant c'nouveau rôle que tu as, qu'tu t'inquiètes pas de la suite. mais c'est inévitable, après la gloire, viendra probablement ta chute. parce que toi aussi, ça t'rend folle. si bien que pendant un quart de seconde, t'es pas sûre de vouloir te reculer. parce que la proximité est appréciable, parce que tu peux sentir son parfum, comme son souffle sur la peau nue de ta nuque. avant de devenir ton cauchemar, ça a été ton paradis, d'être ainsi proche de lui. ça fait si longtemps et pourtant, t'aurais presque l'impression que tu as quitté l'étreinte de ses bras la veille. mais tu te refuses de flancher. tu veux gagner. alors tu joues, et après l'avoir aguiché, tu t'replies, le laissant orphelin de la chaleur de ton corps. c'est dangereux comme jeu, tu le sais bien parce qu'il a toujours été fier terrence, parce que tu sais comment il peut réagir. et ça manque pas, les premières paroles fusent et claquent. félicitations shaye, t'es devenue exactement comme elles. tu détournes pas le regard face à ce premier coup, tu restes droite, la mâchoire qui se contracte en guise de réponse malgré toi. tu pourrais lui dire qu'il a tort mais dans l'fond, il a probablement raison. tu demeures silencieuse, t'préparant mentalement à la nouvelle salve qui ne devrait plus tarder à arriver. alors t'as raison, vas te faire sauter par le premier clébard que tu croiseras au comptoir. c'est ce que font toutes ces salopes. (..) j'ai pas besoin de toi, moi.. et là, tu déchantes, incapable de te contenir. c'est ta main qui vient s'terminer sur sa joue avec fracas. parce que tu peux accepter bien des choses, mais pas ça. pas de lui. tu t'prends pour qui? que tu annonces froidement, ignorant les fourmis dans ta main qui vient d'le gifler. qui es-tu pour m'traiter d'salope? pour oser porter un jugement? tu secoues la tête, interdite. parce qu'il a pas le droit. parce qu'il sait pas. j'te dois rien terrence. ce que j'fais de mon corps, ça te regarde pas. si j'décide de sauter l'premier mec qui m'tombe sous la main, ça m'regarde mais à aucun moment j'ai besoin d'ton avis, est-ce que c'est clair? que tu continues, appuyant tes propos en touchant son torse de ton index. j'ai pas besoin d'toi non plus terrence... que tu conclus, les derniers mots qui n'sont presque plus que des murmures, alors que la suite silencieuse fait écho dans ta tête. parce que quand j'ai eu besoin d'toi, t'étais déjà plus là. mais tu l'dis pas, ça reste en toi. mais t'peux pas t'empêcher d'te demander ce qui se serait passé s'il avait été là. peut-être que t'aurais pu t'appuyer sur lui, pour avancer, pour faire face à la douleur, à l'absence. peut-être qu'avec sa présence, tu serais pas en train d'te détruire, petit à petit. que tu aurais pu essayer d'avancer dans ta vie, n'te laissant pas hanter par les images de ce qui s'est passé. mais il a fallu qu'il faute, et que ça s'finisse entre vous. si bien qu'il était déjà loin, quand harlem aussi t'a quitté. ainsi, tu sauras jamais comment ça aurait pu s'passer si les choses avaient été différentes. tu sauras jamais où t'en serais aujourd'hui. tu restes plantée devant lui quelques secondes encore à le dévisager, aucune émotion sur l'visage alors que t'as l'coeur qui menace de quitter ta poitrine. l'effet de l'alcool c'est entièrement dissipé t'as l'impression, mais t'as plus la foi d'rester encore. sale con. que tu t'contentes de dire en le bousculant pour passer. parce que t'as besoin d'air, parce que t'étouffes là. faut que tu sortes de là. |
| | | Terrence Figueroa;
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nick hargrove. all souls. 4339 1299 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: long time no see (terrence) Ven 19 Fév - 0:47 |
| long time no see de vous, il ne restait plus rien. néant de ce que vous aviez été dans un passé commun que tu regardais s'effacer. lentement, même les souvenirs semblaient s'atténuer sous les assauts du temps qui ne vous laissaient aucun répit. les situations avaient beau être sensiblement les mêmes, vos réactions n'en étaient que davantage chamboulées. à toi, elle se révélait sous un nouveau jour shaye. et face à elle, tu redevenais prédateur hors pair. retrouvant les automatismes profondément ancrés en dedans, tu t'affiches dans ton plus simple appareil. si vite, le charme opère, t'élevant au rang du type irrésistible qui savait les faire flancher d'un simple mouvement de regard. d'une fuite orchestrée dans l'unique but de les faire plier. quand autrefois, tu étais le seul à jouer, shaye devenait aujourd'hui une partenaire de choix, se servant des mêmes armes que toi. et ça te déstabilise plus que de raison terrence. toi qui détestes être écrasé, toi qui détestes les laisser gagner. tu croyais la manoeuvre aisée. qu'à coup de deux trois regards appuyés, tu saurais à nouveau te l'approprier. ta vérité s'en est trouvé altérée et ta virilité amochée. ta hargne a pris le pas sur les bons sentiments que tu nourrissais jusqu'alors. et ta verve dévastatrice a mené votre échange vers une fin avortée, matérialisée sous l'empreinte d'une gifle bien méritée. le claquement est brusque et tu peines à maîtriser la grimace qui déforme déjà tes traits. tu t'prends pour qui ? tu reprends pied dans votre réalité plus modérée à la suite de l'élan. c'est la soudaineté de l'éclat qui t'a eu, alors que tu savais shaye bien incapable d'autant de virulence auparavant. qui es-tu pour m'traiter d'salope ? pour oser porter un jugement ? ton égo que tu tentes de ne pas ébranler, tu refuses de lâcher ses yeux noirs une seule seconde. tu fais face à la tempête que tu as toi-même engendrée. les rafales dégommant, un à un, chaque rempart que tu t'essaierais encore à ériger en guise d'armure à sa haine. et tu te tais terrence. la laissant déverser son fiel, le poison acidifiant sa langue. j'te dois rien terrence. ce que j'fais de mon corps, ça te regarde pas. si j'décide de sauter l'premier mec qui m'tombe sous la main, ça m'regarde mais à aucun moment j'ai besoin d'ton avis, est-ce que c'est clair ? un vague haussement d'épaules que tu lui offres en guise de réponse. tu sais qu'elle dit vrai, seul ton égo te souffle le contraire. te poussant à expier ce que toi, tu jugeais nécessaire. ça te va pas. ce nouveau rôle que tu joues. d'un air dédaigneux, tes gestes pointent sa silhouette. cette forme humaine qu'elle s'est créé de toute pièce pour une raison qui t'échappe. et d'un seul index, c'est encore elle qui te bouscule. encore elle qui assoit sa supériorité, la main mise qu'elle semble avoir sur les miettes de vous. j'ai pas besoin d'toi non plus terrence... tu te forces à esquisser un sourire qui ne se veut pas touché, mais qui ment autant que les phrases que tu lui sers avec aplomb. tu n'es plus crédible pour un sou terrence. le caquet rabaissé par la douce shaye de tes jours anciens. celle qui n'est plus que chienne sauvage, la canine dévoilée. le silence est long et pesant entre vos deux êtres en pleine ébullition. c'est bon, t'as fini ? mince répartie attrapée en bord de route pour t'assurer de manier, ne serait-ce qu'une seconde, un échange qui t'a complètement échappé. sale con. les derniers mots qu'elle t'adresse avant de te percuter en s'éloignant à grandes enjambées. le léger rire qui te gagne est surfait, mauvais, amer. il suinte de tes regrets mêlés à ta rancoeur. tu n'as jamais réfléchi aux conséquences de tes actes et tu t'es pris le retour de flammes sans même le voir venir. plus habile que toi, elle l'a été shaye. le privilège de l'intelligence qui t'avait fait défaut sous le coup de l'émotion. ta jalousie illégitime a parlé plus fort que toi terrence. t'a fait passer pour l'idiot qui, non-content de ses exploits discutables, se voyait les reprocher à l'autre. ta déception est telle que tu mesures enfin l'amplitude du chaos que tu as semé, en cédant aux sirènes hurlantes d'une fille qui ne te faisait plus le moindre effet la nuit passée. alors, la queue entre les jambes, tu retournes à l'unique terrain que tu connais terrence. à tes groupies qui n'attendaient plus que toi et dont le sourire se fait étincelant de mille-et-une faussetés dès que tu t'invites à leur hauteur. elle avait raison shaye, t'es qu'un sale con terrence.
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