Sinners + Dax

01. Ah les femmes… Leurs courbes, leurs poitrines galbées, tu les aimes sous toutes les formes, toutes les couleurs. Tu fais aucune discrimination. Le sexe, c’est du sexe, bon ou mauvais, tant que tu prends ton pied et que tu fais ta vidanges d’huile, t’es impec. T’as cesser de compter le nombre de femme que t’as baisé, ou même celles qui ont eu ton tuyau entre les lèvres dans un bar. C’est simple, t’es incapable de dire que tu as une régulière, tu préfères dire que tu as des préférences en fonction des jours de la semaines. Tu baises au moins avec 1 fille différente par jours. C’est une règle non-écrite, jamais deux fois la même meuf. Du moins, pas deux fois dans la même semaine… T’es un connard, sans attache, préférant baiser sans lendemain que de vivre une relation où tu te sentirais complètement attaché. 02. C’était un soir comme les autres, une échange de prévu, après, tu finirais au club comme d’habitude et tu te taperais une putain. C’était ça ta vie. Rien de bien palpitant. Rien de bien excitant. T’as jamais eu l’âme charitable, à vouloir aider ton prochain, mais ce soir-là, le destin a mit cette nana sur ton chemin. Tu avais changer d’idée. T’étais aller vers une résidence étudiante. Tu savais que l’un des filles qui venaient souvent au club allait y être. Clope au bec, tu marchais lorsque tu entendis des bruits sourds. Fils de policier, tu avais bien compris que ce n’était pas normal. Sans attendre, tu approchais. Ce que tu vis te mis dans une colère noire et profonde. Alors que tu allais t’en mêler, la demoiselle a été en mesure d’arracher la cagoule de son agresseur. Il est partit en courant, alors que toi, tu courais pour aider à jeune femme. T’as été frapper par sa beauté, frapper par sa douceur, sa force. Pendant 2 ans, tu es resté en contact avec elle, de loin. Tu la guettais, essayait de la protégé, tapis dans l’ombre, puis lors du procès, tu es sortit de l’ombre, tu étais assis dans l'audience, prêt à mettre un mot s’il le fallait, mais le mec, il avait pas oublier ton regard. Alors il savait que s’il sortait, tu lui ferais la peau. T’avais même oser te pointer avec ton blouson du club. À la sortie, tu la salua avant de monter sur ta bécane… Depuis, elle ne cesse de débarquer dans ta vie, à l’improviste. T’as beau essayer de pas succomber à son charme, mais fuck qu’elle est belle la Zelda… Qui sais… Peut-être va-t-elle réussir à te faire flancher? 03. Tu crois. Plus que tu ne voudrais. T’as passé si proche de la mort que maintenant, t’as pas honte de prier avant une mission, ou alors que tu roules sur ta bécane. Tu crois en Dieu, tu crois en cette connerie, ouais. Tu sais que sans ça, tu ne pourrais pas survivre. T’as un chapelet dans la poche de ton cuir et tu comptes bien le laisser là, jusqu’à ce que tu crèves. Tu sais aussi que la belle Zelda est croyante, tu l’as vu sortir de l’église, alors que toi, tu t’y rendais. Depuis, tu crois que c’est un signe. Un putain de signe à la con.04. T’as deux moyens de transport. Une belle Harley, vintage. C’est ton bébé. T’as toujours bien prit soin d’elle. Changement d’huile, cirage, tout ce qui est nécessaire pour que ta magnifique deux roues soit parfaite. Pour ce qui est de ton deuxième moyen de rouler, tu te promènes dans une magnifique Pontiac GTO. C’est une bagnole d’époque. Tu l’adores. Toute en cuir, noire et un beau motard qui rugit dès que tu appuies sur l’accélérateur. T’aime ce qui roule… Peut-être plus que les femmes… Même si c’est bien de sentir l’odeur d’une femme… Mais c’est encore mieux.  05. T'es accro aux aiguilles. T'es incapable de te passer de ça. Oh, bien sûr, on ne parle pas nécessairement de la drogue que tu pourrais t'injecter. Non, on parle de l'encre qui marque ta peau. De celles qui cachent les cicatrices de violence. C'est sûrement pour cette raison que tu en as autant. Parce que t'avais besoin de ça pour ne pas avoir envie de casser la gueule du paternel. Trop exigeant, trop violent. Encore aujourd'hui, tu ne pourrais pas t'arrêter. C'est une drogue, dure, pure. Tu l'aimes cette drogue, parce qu'elle ne te détruit pas la vie et encore moins celles des gens qui t'entourent.