SAVE THE QUEENS
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 there is no hope

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Message Sujet: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 9:04

save the queens ---- / galatea thorn

44 ans ---- / clubs ---- / selma blair

identité complète - un beau prénom, en apparence. galatea, la statue de pygmalion, la statue qui n’aurait pas dû vivre. un simple objet, un simple meuble, à disposer comme bon nous semble... si seulement elle n’avait pas reçu le cadeau de la vie... douce fleur à la naissance, elle n'est désormais qu'épines, elle n'est désormais que ronces, elle n'est désormais que thorn, le malheur qui subsiste en son cœur. lieu de naissance et origines - si ses origines remontent jusqu'en europe, la belle angleterre de par ses deux parents, sa naissance s'est faite au sein de la grosse pomme, dans un quartier mal famé, la pauvreté lui collant déjà à la peau alors qu'elle n'avait même pas poussé son premier cri. études ou métier - vendue bien jeune pour la survie de ses géniteurs, elle n'a jamais eu d'autres choix que de se prostituer, sous peine de se faire punir par le fouet, par les poings, par le vice. orientation sexuelle - qu'en sait-elle ? elle n'a jamais eu le choix, elle n'a jamais pu dire non, elle n'a jamais pu prendre du plaisir. tout ce qu'elle sait, c'est que les hommes sont proscrits tant ils lui ont fait du mal. mais cela veut-il dire que les femmes l'attirent ? elle n'en sait rien, ne veut pas savoir. statut civil - toujours seule et enchaînée à jamais à une vie qui ne lui veut que du mal, elle garde cependant un trésor, le fait d'être maman même si elle ne mérite rien de ce titre. pi, scénario ou prélien - mélange de pi et de pré-lien de @joy stevenson.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / c'était comme un rêve, c'était comme un cauchemar. se réveiller, un beau matin, les larmes aux yeux, le sang arrêté, l'impression d'être punie, l'impression que le destin la repoussait, la rejetait, la détestait. le regard dans ce miroir étripé de ses larmes et de sa panique, le test déposé contre le lavabo rouillé, et les pleurs qui ne s'arrêtaient pas. comme si quelqu'un, là-haut, lui en voulait. depuis qu'elle était née, depuis qu'elle avait crié, la première fois, dans cette chambre de motel, dans les bras d'une maternelle ne désirant même pas la regarder, bouche infâme de plus à nourrir. on ne l'aimait pas. on ne l'avait jamais aimée. et cet homme qui l'avait violentée avait réussi, là où les autres avaient échoué. il avait brisé son âme, il avait brisé les derniers espoirs qui résidaient en la boîte de pandore, en abusant d'elle, en la violant plus d'une fois, après son premier refus. et là, quelques jours plus tard, c'était la mort qui revenait sourire, qui revenait pour se moquer. elle ne voulait pas la prendre, elle ne voulait que jubiler, de ce petit bébé qui bientôt grandirait en son sein. le fruit du pire acte possible, le fruit d'un malheur qui ne cesserait de la tourmenter, de la détruire, plus encore. ce n'était qu'un cauchemar.
et des mois d'angoisse.
et des mois de souffrance.
un mac qui ne supportait pas cette idée.
qui se vengeait sur elle, qui la poursuivait jusque dans son faible sommeil, l'obligeait à faire deux fois plus d'heures, à déboutonner deux fois plus de pantalon, à s'agenouiller deux fois plus souvent, deux fois plus longtemps, les larmes ne comptant même pas pour lui, les larmes ne faisant que lui donner cette envie de la battre, encore et encore.
des mois infernaux, avec pourtant une perle de joie, à laquelle elle ne s'attendait pas. parce que ce petit être qui poussait en elle finissait par la charmer. elle ne savait pas qui il était, qui elle était, elle ne savait pas encore à quel point elle pourrait l'aimer, ou l'adorer, mais elle se surprenait à contempler, dans ce miroir décrépi, le ventre qui s'arrondissait, le sourire aux lèvres, malgré les blessures de ces dernières. et dans son lit, matelas durci, draps abîmés, il y avait de doux rêves qui venaient la hanter, pour une fois. les rires d'un enfant qui venait habiter ses pensées, les pleurs d'un bébé qu'elle viendrait consoler. elle ne pouvait plus la haïr, cette grossesse maudite. elle ne pouvait plus la haïr, malgré sa vie misérable, malgré ses envies parfois suicidaires. parce qu'elle donnait la vie, parce qu'elle donnait l'amour, parce qu'elle serait aimée. aimée d'un bout de chou à qui elle donnerait tout ce qu'il lui restait, à qui elle offrirait chaque instant de sa vie, à qui elle léguerait chaque perle d'espoir qui viendrait aussitôt disparaître. dans un monde qui ne voulait pas d'elle, dans une vie qui ne voulait plus d'elle, depuis si longtemps, elle trouvait en cette grossesse un bonheur inespéré, une joie longtemps recherchée. et lorsqu'elle apprit que c'était une petite fille qui hériterait de ses gènes, elle ne put s'empêcher de lui murmurer, la main contre la peau si frêle de son ventre, combien elle l'aimait déjà. combien elle la sauvait de ce tourment incessant qu'était cette vie. combien elle lui était reconnaissante d'avoir transformé l'un des pires moments de son existence en cette explosion de bonheur. et dans un soupir, une nuit, la main glissant contre son nombril, elle l'appela joy, sa seule joie, son seul sourire. joy pour la vie. joy pour l'éternité. joy qui répondit, petit coup en elle comme pour lui promettre en retour de ne jamais l'abandonner. une nuit pleine de rêves, un sommeil réparateur, l'impression que pour toujours, il y aurait ce sourire.
un rêve.
comment un rêve.
les premiers cris de son enfant, alors qu'elle viendrait doucement la bercer, à l'hôpital, lui chantant une berceuse. les premiers rires de sa petites, qui viendraient soigner ses tourments, qui viendraient la guérir de ses malheurs quotidiens. les premiers mots de son bébé, les yeux pleins d'étoiles, ses premiers pas, sa vie toute entière. une vie qu'elle ne savait plus attendre, un rêve qui se réalisait, et au réveil, la torpeur.
au réveil, le cauchemar.
au réveil, les larmes. sanglots profonds.
au réveil, la réalité.
une vie de pute, une vie d'esclave. rien de sain pour son bébé, rien de sain pour son bonheur.
elle ne pouvait pas lui offrir ce désespoir.
elle ne pouvait pas se résoudre à faire de sa vie un cauchemar, juste pour quelques sourires parmi les ténèbres.
elle ne pouvait pas.
et ce fut l'épreuve la plus difficile de sa vie.
la laisser.
accoucher, en sachant qu'elle ne la garderait pas.
les larmes qui coulaient, le long de ses joues, le long de son cou, pendant le travail, un médecin toujours avec elle, qui lui assurait que tout irait bien.
mensonges.
elle allait la laisser.
mensonges.
elle était un monstre.
mensonges.
elle ne pourrait jamais s'en remettre.
mensonges.
elle ne pourrait jamais la voir grandir.
ne pourrait qu'entendre une première fois ses cris, alors qu'elle venait au monde.
ne pourrait la prendre qu'une seule fois dans ses bras, avant de la remettre à un couple ayant les moyens de lui offrir le monde qu'elle ne pourrait jamais lui offrir.
ne pourrait lui dire qu'une seule fois combien elle l'aimait, avant de la voir disparaître à jamais, pour une vie meilleure.
ne pourrait l'embrasser qu'une seule fois avant de la laisser là où on saurait s'occuper d'elle.
et plus jamais elle ne put s'en remettre.
et plus jamais elle ne fut la même.
une brisure en son sein, une cassure en son âme, le cœur fendu pour toujours.
une vie de malheurs qu'elle ne savait même plus affronter.
comme morte le jour où sa fille s'en alla.
comme morte, l'envie de l'être.
comme morte.

aujourd'hui encore, elle ne l'a pas oubliée. aujourd'hui encore, elle se sent vide, sans elle. une photo de sa bouille d'ange vieille de vingt-trois ans, froissées de ses larmes, froissées de ses pleurs, à jamais avec elle. et les cauchemars. ceux dans lesquels elle lui en veut de l'avoir laissée. ceux dans lesquels elle se sent plus horrible encore. ceux dans lesquels elle aimerait mourir. mais la faucheuse n'a pas tenu sa promesse. elle ne l'a pas tuée, elle l'a maudite. la maladie, symptômes apparus à sa trentaine, tandis que le corps se faisait plus douloureux encore, qu'un client s'acharnait sur elle. et le déchirement. la sentence. la mort ne frappant qu'à moitié. elle ne peut désormais plus marcher sans canne. elle ne peut désormais plus bouger sa main gauche. elle ne peut désormais plus supporter les assauts physiques de ses clients, de son mac.
elle va mourir.
lentement.
douloureusement.
elle va mourir.
parce que c'est son destin.
elle va mourir.
sans connaître le seul amour de sa vie, sa petite fille chérie.
elle va mourir.
c'est ce qui est écrit. dans le nom de sa maladie.
sclérose en plaques.
elle veut mourir.
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 9:13

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
famille
qu'est-ce donc ?
cela n'existe pas. cela n'a jamais existé. ce n'est qu'un mythe, une légende urbaine à raconter aux enfants, pour qu'ils puissent dormir sur leurs deux oreilles, sans jamais avoir à se préoccuper des conneries que la vie a à leur soumettre. un mot maudit, un mot malsain, celui qui fait sourire les âmes fortunées, qui rappelle aux autres combien l'amour est pauvre, combien l'amour est froid, combien l'amour est faux.
c'est une insulte, c'est un cauchemar, c'est comme un poignard planté à vif dans le cœur, la douleur qui ne part jamais, l'impression que l'on mérite une telle souffrance.
une famille, c'est un mensonge.
la sienne, tout du moins.
une mère qui ne l'aimait pas, un père qui ne la supportait pas, un bébé qu'ils ne voulaient pas, pauvres qu'ils étaient. des coups, qui partaient. des oublis, qui fusaient. comme si elle était un monstre, comme si elle était une horreur, comme si elle n'était qu'un cauchemar de plus dans la vie de ces deux anglais qui avaient tout misé sur l'amérique, avant de se faire prendre par les dettes dues aux pires malfrats. l'idiotie d'un paternel trop con pour se rendre compte qu'emprunter à un usurier lui amènerait plus de problèmes que de solutions. la naïveté d'une mère qui se disait que quelques charmes ne lui causerait pas la souffrance de devoir se donner, pour quelques poignées de dollars. une famille détruite, des mensonges abominables, et pourtant, une fille. petite fille. un prénom qui semblait joli, comme pour lui dire qu'on l'aimait. un prénom qui reflétait une vérité, une simple statue venue à la vie. une simple statue qui n’aurait jamais dû vivre... ce n'était pas un prénom empli d'amour. ce n'était qu'une excuse pour lui en vouloir. à cet enfant qui grandissait malgré le manque, malgré la faim, malgré le froid. à cet enfant, qui grandissait, qui s'acharnait à survivre, comme pour prouver à ses parents qu'ils avaient torts.
peut-être aurait-il mieux fallu qu'elle meurt en bas âge, finalement...

maître
pas celui de l'école.
de toutes façons, elle ne pouvait pas y aller.
pas celui de l'école.
même s'il lui apprenait des horreurs.
pas celui de l'école.
de toutes façons, elle était désormais assez grande pour aller au lycée, si seulement on le lui autorisait.
mais elle n'était plus elle-même, elle ne s'appartenait même pas. ses parents, disparus, repartis en europe avec l'argent de la vente. de sa vente. trafic infâme, elle n'était plus qu'un objet, âgée d'à peine quinze ans, elle n'était plus qu'un objet. comme son nom l’indiquait. elle n’était plus qu’un objet. les jambes écartées, l'apprentissage commencé, les pleurs, pour la première fois, les cris, pour la seconde. le besoin de fuir, les essais infructueux. il n'y avait pas de sortie, il n'y avait pas d'issue. elle n'était qu'un objet, elle n'était qu'une pute. il y eut des coups. il y eut des punitions. il y eut des sanglots. et des seringues insérées de force en ses bras. il y eut des nuits sans sommeil. il y eut des clients plus vicieux que d'autres. ceux qui aimaient les filles. pas les femmes. les filles. ceux qui se délectaient de voir une gosse souffrir de leurs vices.
elle ne pouvait pas fuir, de toutes façons.
elle avait un maître.
qui la tenait en laisse.
elle avait un mac.
qui la tenait en chaînes.
elle n'était qu'une pute.
et il faisait bien son travail.
lui avait appris qu'elle n'avait aucun échappatoire.
elle n'était qu'une pute.
et se laissait faire.
elle aurait tant aimé mourir.

grossesse
le pire jour de sa vie.
l'homme qui ne voulait pas d'un non.
le monstre qui n'avait pas d'argent.
l'horreur qui ne lui assurerait même pas un peu de fric.
inhumain, il la frappa contre le mur, tout en la prenant. inhumain, il la déchira, tant son corps que son âme. inhumain, il lui fit faire des cauchemars pour toute une vie.
et un cadeau malsain en prime.
un bébé.
un bébé qui lui causa tant de peurs. tant de douleur. son mac ne le supportait pas, elle n'eut jamais autant mal. ses clients la trouvaient écœurante, elle eut à peine de quoi manger, de quoi survivre. le monde ne voulait pas la laisser en paix.
et pourtant, il y eut un miracle. un amour. le genre qu'elle n'avait jamais connu, la réalité qu'elle avait oubliée. un bébé qui pourrait l'aimer. un sourire qui pourrait la sauver. un bonheur qui pourrait l'aider. comme une seconde chance, comme une seconde vie.
et des mois à l'attendre, ce petit être, sa seule joie. sa joy.
des mois à l'attendre, l'espoir revenu.
l'espoir comme une étincelle, qui éclairait finalement sa vie.
mais chaque étincelle s'éteint.
elle ne voulait pas lui donner cette vie, cette horrible vie. et dans la plus grande des peines, elle lui dit au revoir alors qu'elle venait d'accoucher. elle lui dit au revoir, pour lui donner une meilleure vie.
le plus beau des sacrifices.
le plus douloureux des sacrifices.
mais elle était contente de ne pas être morte.
pour elle.

maladie
des années qui passaient, et des clients qui se faisaient plus humains. comme si une pute de trente ans avait le droit à quelques attentions, comme si une pute de quinze ans n'avait le droit qu'aux pires cauchemars.
son mac qui l'oubliait un peu, se concentrait sur les plus jeunes. de quoi lui faire mal, parce qu'elle les comprenait, ces petites qui se retrouvaient embarquées dans l'horreur du commerce de la chair, du trafic d'enfants, d'humains.
mais égoïste, elle pouvait soufflait, remerciait le ciel de l'épargner un petit peu.
quelle idiote.
il y eut ce moment, où elle se sentit perdre pieds.
il y eut ce moment, où elle eut l'impression de ne plus pouvoir marcher.
il y eut ce moment, où elle ne put serrer une tasse qui se brisa à ses pieds.
il y eut cette douleur, quand elle se laissa prendre par un nouveau client.
le destin.
le karma, pour s'être sentie libérée alors que des plus jeunes retenaient toute l'attention de son bourreau.
la maladie.
une sclérose en plaques. une maladie grave. et d'un seul coup, la vie devint plus compliquée. les pas se faisaient plus difficiles. le corps l'abandonnait de temps en temps, puis plus souvent. elle se retrouvait à faire des concessions, à jeûner pendant plusieurs jours, parce que sa condition attirait moins de clients, moins d'argent. elle se retrouva à vivre dans le froid, le chauffage l'empêchant de manger un repas tous les trois jours. et il y eut la fatigue, les escaliers de son immeubles devenus insurmontables. sans canne, elle ne pouvait plus marcher. sans concentration et grande volonté, elle ne pouvait plus atteindre sa porte. sans peine, elle ne pouvait plus aller aux toilettes. sans mal, elle ne pouvait plus se doucher.
et elle se perdait.
elle se perdait dans une autre forme de malheur.
comme si la faucheuse se moquait d'elle.

joy
mais jamais elle ne l'oublia.
toujours, elle pensa à elle.
photographie de son bébé gardée précieusement toutes ces années, elle avait longtemps pleuré contre elle, elle avait longtemps rêvé d'elle.
elle espérait qu'elle était heureuse.
elle espérait qu'elle était en vie.
elle espérait que son geste ait pu porter ses fruits.
et surtout, qu'elle ne lui en voulait pas.
parce que c'est son bébé.
pour l'éternité.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK

victoria ---- / 23 ans ---- / rpgiste

ville - rueil. études ou métier - droit. avis général sur le forum - j'l'aime trop. le détail qui t'a fait craquer - elle s'appelle sab. vous connaissez sans doute, depuis le temps there is no hope 3132515876 . fréquence de connexion - souvent. crédits des icons - soldiers eye. le mot de la fin - je ne promets pas que c'est la dernière there is no hope 3132515876 .

Code:
[b]selma blair[/b] / [i]galatea thorn[/i]
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 9:30

Bienvenue. there is no hope 946831849
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 10:20

MAMAN there is no hope 3794924939 there is no hope 3794924939 there is no hope 3794924939
Mon dieu comme elle est parfaite Galatea there is no hope 697000959
J'ai juste envie de dire there is no hope 2941531464 there is no hope 2941531464 there is no hope 2941531464 pour tout ce qu'elle a vécu, c'est trop horrible there is no hope 2941531464
Mais je l'aime déjà tellement there is no hope 2746119247 je pense que Joy va résister genre... 10 secondes ? there is no hope 3132515876
Ta plume est toujours aussi belle, et puis Selma je ne pouvais pas rêver mieux elle colle tellement à Joy there is no hope 1774268211

Je te remercie de tenter ce "pré-lien", et évidemment c'est tout bon pour moi, c'est magnifique there is no hope 3794924939
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 11:17

rebienvenuuue there is no hope 3227196488
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Betsi Braxton;

-- blow a kiss, fire a gun --
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Betsi Braxton



peltz.
balaclava - av | self - sign.
brynn - o'neil | cez - o'connell | kurtis - king | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
11788
944
28
le coeur baroudeur et l'amour fugitif. t'aimes pas qu'on te retienne, t'aime pas qu'on revienne. c'est une danse perpétuelle entre toi, les émois éphémères et les désirs vagabonds.
vendeuse dans un sex shop. en proie aux vicelards qui s'la ramènent face à la blondinette au visage d'ange, les regards lubriques au détour des rayons de DVDs pornographiques et les coups d'oeil incisifs des bonhommes graveleux. un terrain de jeu. pernicieux. fétide. immoral.
( m o o d b o a r d )

l y e s ( 2 ) / l a l i / h a l l # 0 2 / t r i p p / c o b a n
s o f i a / a m o s / s o c o / y o u ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 12:49

rebienvenue avec ce beau personnage tout neuf there is no hope 1948873765
(par contre, comme c’est bien marqué dans le bottin, le prénom a été réservé par quelqu’un d’autre).

_________________
-- well-behaved women rarely make history.
don't be scared to be a b i t c h.
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https://savethequeens.forumactif.com/t455-bb-blow-a-kiss-fire-a-gun https://savethequeens.forumactif.com/t537-bb-some-like-it-violent
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 13:27

Oups désolée @betsi braxton je n’avais pas vu >.>
J’ai modifié ~
Et merci there is no hope 1967697819

@noé beauchamp merci ~ there is no hope 3794924939

@joy stevenson MON BÉBÉ there is no hope 1967697819 there is no hope 1967697819 there is no hope 1967697819
Je suis trop contente que tu l’aimes there is no hope 3794924939 vraiment vraiment trop contente there is no hope 3794924939
J’espère bien que Joy ne va pas résister trop longtemps ~ parce que Galatea va la vouloir dans ses bras pour toujours there is no hope 2781936883 there is no hope 2781936883 there is no hope 2781936883
Moh, t’exagères et tu me flattes trop ma petite chouette, ma plume n’a rien d’extraordinaire there is no hope 1967697819
Merci en tout cas there is no hope 3794924939
C’est moi qui te remercie !!!

@sadie myers merci there is no hope 3794924939
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 14:02

Bienvenue there is no hope 3794924939
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 17:18

Bienvenue. there is no hope 1505825564
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Message Sujet: Re: there is no hope   there is no hope Empty Sam 28 Déc - 18:27

Rebienvenue !
T'es parfaite, encore une fois ! there is no hope 946831849 there is no hope 946831849
Garde une place pour June, obligée !! there is no hope 2597456409
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