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Message Sujet: Re: (flashback) all my feelings on fire ft solal   (flashback) all my feelings on fire ft solal - Page 2 Empty Dim 24 Nov - 22:56


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( all my feelings on fire )
ft. solal

Ta patience mise à rude épreuve entre cette patronne qui ne se prend clairement pas pour de la merde et ce garçon qui ne te facilite pas la tâche pour échanger avec Madame Specter sérieusement. Quand il t’a coupé brusquement pour parler il y a de ça deux minutes, c’était déjà chiant mais ça allait. Mais lorsque il intervient une seconde fois pour te demander de patienter et de pas te la jouer miss-je-pose-mille-et-une-question tu perds vite patience. Non, tu ne rigoleras pas avec lui, non tu ne lui diras pas « bien joué Solal, haha on se fend la poire avec toi » ce qui te vient en tête c’est plutôt un « mêle toi de ton cul, tu commences à saouler là » mais ça aussi, tu le garde pour toi, ravale ta franchise et regarde cette garce de directrice d’agence rigoler comme pas deux à chaque mot que Solal peut prononcer.

Pour couronner le tout, tu te prends un vent Riley. Une putain de tempête qui s’abat sur toi alors que t’attends un peu plus de renseignement. Tu tournes alors la tête vers Solal, le regarde d’un air interrogateur. Tu te demandes si t’as parlé assez fort, si il n’y a que lui qui a entendu ce que tu viens de demander. T’as l’impression d’être folle, même pas cinq minutes passé ici que déjà tu te sens en colère. Bordel c’est ton premier jour et t’as pas le droit de poser les questions maintenant ? Mais t’es où là ? Dans un sketch ? On est en train de te filmer pour MTV là ? En plus elle se permet de vous demander pourquoi vous êtes encore dans son bureau ? T’as bien envie de répondre que oui. Vous êtes encore là et que ça risque pas de changer tant que vous n’aurez pas obtenu les informations que vous souhaitez mais déjà Cruella d’Enfer prend son rôle de chef et vous explique vos rôles à ses côtés. Tu comprends assez vite que tu ne seras que l’assistante/boniche tandis que Solal aura un rôle important avec les clients. T’es pas de nature jalouse pour des choses pareil Riley mais ça te pique un peu quand même, te fait surtout de la peine de te voir assigné aux tâches les plus ingrates et voir un garçon s’octroyer les taches les plus intéressantes. Ta fierté qui en prend un coup, mais après tout tu ne connais pas les compétences de Solal. Sauf avoir appris qu’il avait fait des études de communication tu ne sais rien de plus, tandis que toi tu n’as été qu’une petite vendeuse en friperie et n’a jamais eu d’expérience dans la comm’ depuis que t’as fini les études.

La voix de Solal qui se fait entendre, le beau brun qui demande si vous allez être indéfiniment ensemble dans le même bureau. Indéniablement tu te sens un peu vexée, t’imagines qu’il ne veut pas être avec toi trop longtemps enfermé dans un bureau. Toi qui étais si heureuse d’apprendre que vous seriez ensemble… Te voilà refroidit, d’autant plus quand tu entends Miss Specter faire comprendre que si il veut un bureau à lui tout seul il n’a qu’à faire ce qu’il faut pour. Ça veut dire quoi ça ? Si il passe sous le bureau il aura une promotion canapé ? Un grand bureau à lui tout seul ? T’es abasourdie par tout ce que t’entends depuis que vous êtes entré dans ce bureau mais tu ne feras plus aucun commentaire. On t’y reprendra pas, alors quand elle vous demande de signer votre contrat tu ne passes pas trois quart d’heure à lire chaque page, tu zyeutes très rapidement celles-ci chaque page de tes initiales et quitte la pièce en disant :

- Bonne journée.

Rien de plus, rien de moins. De toute façon Solal s’occupe de jouer le lèche cul pour vous deux en lui souhaitant très jovialement une agréable journée. La porte à peine refermé que tu soupires, ne te soucie pas de ton collègue lorsque tu fais ton petit commentaire désobligeant. Et peut-être que tu devrais ? Quand il te dit de faire gaffe qu’il pourrait te faire du tort avec cette simple phrase tu viens de sortir, tu roules des yeux et dit :

- Oh j’ai bien compris que vous vouliez m’évincer, je pense vous êtes bien parti pour ! D’ici peut être la fin de la journée vous aurez le bureau que pour vous… Comme vous avez l’air de le souhaiter !

Petite une petite pincée de vérité dissimulé derrière ces palabres, peut-être lui faire comprendre que sa réaction t’as légèrement étonné par rapport au bureau qu’il n’a pas l’air de vouloir partager ? Tu sais pas trop, t’essaie de pas t’attacher aux détails mais en moins d’un quart d’heure passé dans ce bureau t’es légèrement chamboulé Riley, un peu sur les nerfs même. Et lorsqu’il te demande gentiment si vous pouvez vous tutoyer puisque vous allez forcément vous côtoyer chaque jours tu lâches un brin trop sérieusement :

- Non, essayons de rester professionnel …

Comme le dirait un fameux youtuber, tu rigoles bien évidemment. Vous avez le même âge, vous avez commencé à vous draguez dans la salle d’attente donc t’as zéro souci avec le fait qu’il te tutoie et de le tutoyer toi aussi. Sauf qu’il ne semble pas apprécier ton humour, parait que t’es une lourdeur et tu perds ton sourire, ajoute légèrement gênée :

- Je rigolais, y’a pas de soucis pour qu’on se tutoie hein… J'pensais pas avoir besoin de le préciser. Mais oui, allons retrouver Adriana j’crois c’est la nana de l’accueil, tu sais celle qui te fixe avec des yeux de merlan frit.

Et sans plus tarder, vous partez à la recherche de cette fameuse Adriana, la jolie petite brunette de l’accueil. T’es certaine de l’avoir entendu prononcer ce prénom mais tu n’en dis rien, te contente de suivre le brun qui se dirige alors vers l’accueil. Bien évidemment, à peine la brune capte que vous arrivez en sa direction, elle passe une main dans ses cheveux vraiment pas discrètement, se met à sourire comme une meuf niaise à l’approche de Solal. Comme t’es pas trop à l’aise avec tout ce qu’il se passe, tu laisses l’Amsterdamois s’exprimer pour vous deux, dire à la secrétaire de l’accueil que c’est Miss Specter qui vous a demandé de vous adresser à une certaine Adriana pour vous indiquer où est votre bureau. Et elle se fait un plaisir la brune, rit comme une bécasse en lui disant qu’il est bel et bien devant la bonne personne et montre sa joie de savoir qu’ils bosseront ensemble.

Toi d’où t’es, tu grinces des dents et te met à fixer tes ongles un instant en attendant que tout ce cirque soit terminé. Quand ils se mettent à marcher en direction de votre bureau tu te contentes de suivre d’un pas trainant. Une vingtaine de mètres effectué dans les couloirs et voilà qu’elle vous arrête devant un bureau, ouvre la porte et vous laisse entrer à l’intérieur. Les murs 2 murs blancs, une immense fenêtre donnant sur les buildings d’en face, les rues d’un Manhattan vivant. Et surtout, deux bureaux à quelques mètres l’un de l’autre histoire de ne pas etre à l’étroit.

- Wow, il est super ce bureau tu ne trouves pas ?

La tête que tu tournes vers Solal, des étoiles pleins les yeux tandis que tu t’approches du bureau près de la fenêtre, regarde déjà en contre bas les gens se presser dans les rues, les taxis jaunes emprunter les grandes allées. T’as l’impression d’être dans le diable s’habille en prada, ou bien cinquante nuances de grey. En gros, t’as l’impression d’être dans un film bien cliché.

- Bon, je vous laisse découvrir votre nouveau lieu de travail et n’hésite pas à venir me voir si t’as besoin de quelque chose …

La voix d’Adriana qui se fait entendre derrière ton dos, alors tu tournes la tête la voit qui parle concrètement et uniquement qu’à Solal, tu roules des yeux et soupire avant de te remettre à fixer l’extérieur. Quelques secondes qui passent avant que la porte de votre bureau ne se referme, ne vous laissant que tous les deux dans votre lieu officiel de travail. Tu te tournes alors, regarde le brun qui se met à explorer les lieux comme tu le faisais juste avant lui et lui dit :

- Et bah … Tu fais fortes impression, je crois que ta place est assuré ici t’as réussi à te mettre dans la poche la boss et sa petite secrétaire.

Y’a pas de rancune, tu l’envies même Solal. Toi aussi t’aurais aimé qu’on t’apprécie pour ce que t’es, ce que tu dégages. Mais c’est plus compliqué, t’es pas aussi à l’aise que lui, puis t’as le malheur d’être une fille et tout le monde sait que les femmes sont plus souvent des rivales que des copines.

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Message Sujet: Re: (flashback) all my feelings on fire ft solal   (flashback) all my feelings on fire ft solal - Page 2 Empty Lun 25 Nov - 22:42


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( all my feelings on fire )
ft. riley

Porte qu’il referme dans son dos, les deux nouveaux assistants laissés en tête à tête dans le couloir. Et une remarque pas bien encourageante que Riley laisse échapper, ses prunelles ambrées qu’il braque alors sur elle, lui répond, pour rire, qu’il est parfaitement capable de prendre sa place à tout moment. Mais Solal il n’a jamais été très doué avec le second degré, le sarcasme qu’il a du mal à glisser dans sa voix, bien souvent on le croit sérieux lorsqu’il ne l’est en réalité pas le moins du monde – mais ça, il ne l’a toujours pas compris, simplement persuadé d’avoir un humour trop pointu pour la plèbe. Et lorsque la jeune femme fait rouler ses jolis prunelles, lui rétorque qu’elle a bien compris qu’il ne voulait rien avoir à faire avec elle, il demeure un instant silencieux. Car avec elle il sait pas sur quel pied danser, le garçon. Qu’il a bien noté que contrairement à leur supérieure, elle n’avait pas esquissé le moindre petit sourire suite à ses quelques blagues ; qu’au contraire, les regards noirs s’étaient précipités dans sa direction, et que son ton s’était finalement fait froid, sec, tranchant. Changement d’ambiance radical entre la salle d’attente et le luxueux bureau, c’est limite s’il n’aurait pas l’impression d’avoir une toute autre personne à ses côtés, depuis quelques minutes. Bien éloignée de cette fille qui lui a tapé dans l’œil au premier regard, de plus en plus au fil de la conversation. Il a l’impression qu’elle s’est vexée de ses mots, et en même temps cette perspective lui semble d’une absurdité crasse. Et il a besoin de s’en assurer, Solal. Ne serait-ce que pour savoir à quoi s’en tenir avec elle. Si une susceptibilité sans précédent serait bel et bien la tare venant noircir son si joli tableau. Alors il continue sur sa lancée, use encore et toujours de ce sarcasme qui semble la tendre un peu trop.

- Vous pensez, vraiment ? Waouh, je ne pensais pas que ce serait aussi rapide, mais il faut croire que les miracles existent…


Et le regard curieux qu’il porte sur elle, dans l’attente de voir si oui ou non elle va encore se rebiffer. Purs mensonges qui s’évadent de sa bouche, Solal qui, en réalité, souhaiterait que ce partenariat entre eux dure jusqu’à la fin de leur contrat – enfin, peut-être un peu moins si elle doit se sentir piquée au moindre palabre prononcé, c'est vrai. Et pour tenter de se rapprocher un peu plus d’elle, d’enterrer la distance exacerbante instaurée par le vouvoiement, il lui demande s’ils ne pourraient pas plutôt se tutoyer. Grand sérieux lorsqu’elle lui répond que non, il leur faut rester professionnel, lorsque c’est très exactement la dernière chose qu’il souhaite faire avec elle ; Solal surpris, surtout déçu d’une telle réponse, d’autant plus après l’échange qu’ils ont eu dans la salle d’attente. Serait-elle donc réellement vexée ? Mais soit, il respecte son choix, aussi guindé soit-il, hoche d’ailleurs la tête pour le signifier, peut-être un brin trop discrètement cependant.

Passe déjà à autre chose, parce qu’il faut bien, lorsqu’il souligne la lourdeur de leur nouvelle patronne. Des paroles qui font tirer un peu plus encore la tronche à sa collègue, d’ailleurs ; allons bon, qu’a-t-il encore dit… Et sans qu’il saisisse pourquoi, elle fait le choix curieux de revenir sur cette question de tutoiement ; avoue qu’elle plaisantait – il se garde bien de lui faire remarquer que ce n’était pas flagrant, quoi qu’elle en dise –, ajoute que cette Adriana doit n’être nulle autre que la brunette les ayant accueilli un peu plus tôt.

- Ah, oui… En effet, cela fait sens. Ma « sœur »…

Petit sourire, probablement que certains le trouveraient lourd au possible de revenir ainsi à la charge avec cette blague pas spécialement drôle, mais Solal, lui, se croit tout bonnement hilarant. Essaie seulement d’insuffler quelques relents de cette ambiance agréable qui régnait entre eux avant que Madame Specter ne fasse son entrée. Et sans plus attendre, ils rebroussent chemin pour revenir à l’accueil ; la petite secrétaire qui se trouve toujours derrière son bureau, leurs regards qui se croisent tandis qu’il se dirige vers elle d’un pas assuré. Et il capte bien la manière qu’elle a de soudain baisser les yeux, passer une main dans ses cheveux déjà parfaitement coiffés ; dommage qu’elle ne soit pas son genre, dommage qu’elle semble un peu trop facile à avoir, aussi. Car depuis peu, elle est plus agréable avec lui que la jolie blonde, y a pas à dire.

Le bureau qu’il atteint sans tarder, lui explique alors la situation, prudent, il laisse entendre ne pas être sûr de l’identité de la prénommée Adriana. Non pas qu’il ne fasse pas confiance à Riley, mais… sait-on jamais, la petite brune ne s’est pas présentée auprès de lui, après tout, par conséquent il n’est pas supposé savoir comment elle s’appelle. La demoiselle qui confirme alors en gloussant qu’il s’agit bel et bien d’elle, commence alors à discuter avec lui comme si la blonde était totalement inexistante. Et même s’il ne sait plus très bien quoi penser d’elle dernièrement, ça le met mal à l’aise pour elle de la voir se faire éclipser de la sorte. Il sait parfaitement ce que cela fait d’être rendu « invisible » par des personnes plus bruyantes que soi, aussi il ouvre déjà la bouche pour faire remarquer à la brunette qu’ils ne sont pas tous seuls, que ce serait bien la moindre des corrections que de prêter autant d’attention à Riley qu’à lui, Solal toujours là pour redresser le comportement d’autrui, seulement la demoiselle ne lui en laisse pas le temps, s’éloigne déjà sur ses talons faisant à peu près la moitié de sa taille. Un regard perplexe qu’il échange alors avec sa collègue, avant de se décider à suivre la petite secrétaire.

Quelques mètres à parcourir dans les couloirs de l’étage, une porte immaculée qu’elle pousse, leur dévoile une pièce spacieuse, lumineuse. Deux bureaux installés à leur effet, une grande baie vitrée comme éclairage naturel. Y a pas à dire, ça change des cuisines de McDo. Et Solal qui s’avance, curieux de découvrir ce lieu où il passera le plus clair de son temps au cours des prochaines semaines, peut-être même des prochains mois. La voix de la jeune femme qui retentit alors dans la pièce, le poussant à détacher son regard du tableau minimaliste accroché à l’un des murs pour plutôt le poser sur elle. Sur son doux visage, et ses prunelles ambrées soudain brillantes, si brillantes. Comme si elle voyait un rêve se matérialiser sous ses yeux, se réaliser entre ses doigts. Il la trouve magnifique Riley, plus encore que lorsqu’il s’est interposé entre les portes de l’ascenseur pour elle, plus encore que lorsqu’ils riaient ensemble dans la salle d’attente. Et cela lui arrache un sourire contemplatif, un instant avant qu’il ne ressaisisse, hoche doucement la tête.

- Oui, je dois reconnaître que cela me change de mes environnements de travail habituel. C’est plus spacieux, et je ne doute pas que l’on sera ici mieux installés que debout derrière une caisse. Après, je ne te cache pas que ce n’est pas réellement le style de décoration que je préfère, ce modernisme et ce minimalisme, ce côté si épuré…

Vague haussement d’épaules, la franchise de ses goûts dont il lui fait part, comme si son avis comptait ne serait-ce qu’un peu quant à la décoration des lieux. Solal, il aime cent fois mieux le charme de l’authentique, les lieux comme les meubles, les œuvres ayant une histoire. Mais bon, il ne fera pas la fine bouche. Il sait qu’il a de la chance d’avoir ce travail. Et spontanément, en la voyant regarder par la fenêtre il s’approche, s’arrête dans son dos, la tête par-dessus son épaule pour jeter un œil à la vue en contrebas.

- Mais cette fenêtre est très chouette… A condition de ne pas avoir le vertige.

Sourire en coin, et la voix aigue d’Adriana qui résonne dans leur dos lorsqu’elle prend congé, forçant Solal à se reculer un peu pour tourner la tête dans sa direction, la hocher doucement.

- D’accord, merci.

Toujours un peu gêné de voir qu’elle ne calcule réellement Riley que pour le strict minimum, il ne s’épanche pas davantage sur sa réponse, Adriana qui le fixe quelques secondes, l’air d’attendre qu’il ajoute quelque chose, avant de se décider à sortir de la pièce. Pièce qu’il se remet d’ailleurs à arpenter, regard curieux qui se porte sur les étagères, les bureaux seulement sertis d’un ordinateur. Il faudra qu’il amène un truc ou deux pour donner un semblant de vie à tout cela. Et sa nouvelle collègue qui lui fait remarquer qu’il a de toute évidence fait forte impression, semble se mettre tout le monde dans la poche ici. Tout le monde sauf elle, malheureusement.

- Oui… C’est curieux, hein ? Leur comportement, je veux dire… Après, je doute qu’Adriana ait un quelconque poids dans le fonctionnement de cette entreprise, cette Madame Specter me semble plutôt du genre à n’écouter qu’elle-même.

Vague haussement d’épaules, déjà il ajoute :

- Je ne saisis même pas pourquoi j’ai hérité de telles responsabilités, je t’avoue. Je n’ai jamais fait que des petits boulots des plus rudimentaires, après tout, c’est ma première expérience dans le milieu de la communication. Sans doute cela tient-il à mes talents de polyglotte… ou au fait que j’ai dû faire une excellente impression lors de mon entretien d’embauche…

La main qu’il passe sur son menton, l’air de sérieusement se questionner sur la question ; dans quel domaine est-il le plus doué, Solal ? Un ego toujours un peu trop grand, on ne le changera pas, ses mains dans lesquelles il vient soudainement taper, comme pour passer à autre chose.

- Bon ! Cela ne te dérange pas, je suppose, que je prenne ce bureau-là ?

Le bureau de droite qu’il désigne, car il est un tout petit peu plus grand, et donc parfait pour accueillir tout son joyeux bordel, lorsque Riley, semble plutôt être une jeune femme ordonnée. Il en aura plus besoin qu'elle, c'est évident.
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Message Sujet: Re: (flashback) all my feelings on fire ft solal   (flashback) all my feelings on fire ft solal - Page 2 Empty Mer 27 Nov - 22:42


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( all my feelings on fire )
ft. solal

Conquise. Y’a pas d’autre mot pour désigner l’état dans lequel t’es lorsque tu découvres votre bureau, pièce qui t’en met plein la vue, regard admiratif qui ne sait même plus où se poser en rentrant dans la pièce. T’es séduite que ce soit par la décoration très moderne de celui-ci ; la vue que vous avez en regardant par la fenêtre ou le matériel mis à votre disposition. T’as l’impression d’être dans une série soudainement, Riley. tu te prends pour Rachel Zane. L’envie de te balader en jupe fendu et stileto qui te fait de l’œil surtout si en contrepartie tu peux faire du charme à ton tout nouveau collègue de bureau.

Et toi Riley, quand t’es heureuse faut que la Terre entière le sache, c’est sans honte que tu te tournes vers Solal, oublie tous les petits couacs que vous avez eu depuis que vous êtes entré dans le bureau de votre directrice pour lui demander ce qu’il pense des lieux. Garçon qui acquiesce tes dires, avoue ne pas avoir connu de si beaux locaux auparavant. Et t’hoches de la tête, car toi non plus t’as pas eu la chance de travailler dans un si bel immeuble, dans un bureau si bien positionné et qui donne envie de passer du temps dedans. Sauf que pour lui la déco n’est pas à son gout… Tout le contraire de toi qui adore les murs blancs, épurés avec un ou deux cadres bien choisis comme dans la pièce dans laquelle vous êtes. Tout est esthétique, de très bon gout et tu te demandes bien ce qu’il peut aimer comme décoration si celle-ci ne lui plait pas.

- Dans tous les cas on pourra décorer chacun notre côté et un peu ensemble pour rendre les lieux agréables un minimum, c’est juste une base là !

Tout est à faire, si il le souhaite tu pourras emmener une plante ou deux – même si t’as pas la main verte du tout – puis vous pourrez toujours aussi emmener des pèles mêles, des poster et des photos pour donner un peu de vie à votre bureau. Si vous devenez ami – ou plus, vous pourrez aussi y caler vos propres photos de souvenirs aussi. La première sortie ensemble, le premier évenement auquel vous serez invité et ainsi de suite jusqu’à que ce bureau devienne un lieu familier. Bref, t’as pleins de rêve dans la tête, tu regardes par la fenêtre sans trop porter d’attention à ce qu’il se passe dans les rues, tu remets les pieds sur Terre uniquement lorsque Solal se fait entendre tout près de toi. Son corps si proche du tien, son torse frolant ton dos, le souffle de sa voix caressant ton oreille lorsqu’il se penche un peu pour regarder par-dessus son épaule. Putain qu’il est craquant ce garçon. Il va t’avoir à l’usure tu le sais, c’est perdu d’avance pour toi. T’es foutu. Et foutu pour foutu, tu rentres dans son jeu allant presque jusqu’à oublier la petite brunette qui vous a mené jusqu’ici lorsque tu tournes un peu ta tête, regarde le brun – son profil du moins qu’il t’offre en pâture – et lui dit :

- Craintif du vide Monsieur Pettersen ? Je vous imaginais un brin plus courageux et fort … Le mythe s’effondre….

De quel mythe tu parles même ? Le garçon tu ne le connais ni d’Adam ni d’Eve, tu ne risquais pas de tuer un mythe avec un si peu d’information sur lui. Ton sourire qui se veut plein d’humour et la tête que tu tournes déjà vers la brune qui se fait entendre derrière vous, souligne le fait qu’elle doit retourner à son bureau, que si Solal a besoin de quoi que ce soit, il peut venir la voir. Bien évidemment, Solal hein, pas toi. Toi, si t’as une question bah … Tu te renseigneras toute seule, comme une grande. Mais aller, t’essaie de ne pas faire attention et lui fait un signe de main pour lui dire bye-bye et tourne déjà la tête, n’attends même pas qu’elle soit partie pour te remettre à fixer l’extérieur. Quelques secondes qui passent avant que la porte ne se referme, vous laissant seul dans votre bureau. Et comme Solal, tu t’écartes de la fenêtre vient caresser du bout des doigts l’un des deux bureaux, regarde l’écran mac et le pot de stylo vide. Est-ce que t’as pensé à ramener des stylos ? Non, même pas un. Espèce d’imbécile. Ton attention que tu portes plutôt sur le brun qui lui, explore encore les lieux. Tu souris, vient lui faire remarquer qu’il a fait bonne impression avec les deux femmes que vous avez rencontré jusqu’à présent. Tu l’envies un peu Solal, envie le fait qu’il soit si abordable, donne envies aux gens de discuter avec lui tandis que toi t’es mise sur le côté. Et quand il te dit que leur comportement est curieux tu ris, roules des yeux ajoute avant même qu’il ne finisse :

- Tu trouves que c’est curieux ? Vraiment ?

Genre sincèrement ou il joue les bêtes ? Ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu’elles sont à fond sur lui uniquement car c’est un beau jeune homme. Et tu ne peux même pas leur en vouloir d’être attiré par lui car même toi t’es tombé dans le panneau.

- Mais oui, clairement notre chef semble n’avoir besoin de personne pour choisir qui bosse avec elle ou non mais j’imagine qu’à choisir, elle préfère garder quelqu’un qui a l’air d’être apprécié dès le premier jour tu vois ?

La question de la répartition des tâches qui vient sur le tapis, chose que t’avais oublié. Ça te pique encore un peu de voir qu’il a le boulot le plus interessant de vous deux mais alors quand tu l’entends se jeter des camions de rose sur le fait qu’il a surement hérité de ces responsabilités là car il a cartonné à son entretient tu ricanes.

- Bah oui, bien évidemment c’est ça qui t’a fait briller… Ton intelligence, rien d’autre hein !

Surtout pas son physique à tout hasard, certainement pas le fait qu’il est très beau parleur et qu’il arriverait à se mettre dans la poche même une lesbienne. Pas une seule seconde en répondant ainsi, tu t’imagines qu’il puisse se vexer car en soi, c’est un compliment que tu lui fais. Car même si il ne brillerait pas d’intelligence, ne saurait pas parler tu ne sais combien de langue il trouverait tout de même un job Solal, t’en est certaine. Mais tout le blabla, c’est bien beau mais ça ne fait pas avancer les choses, vous n’avez toujours pas décidé qui aurait quel bureau et lui le premier se prononce. Le bout de son doigt en direction du bureau que tu souhaitais, celui près de la fenêtre t’hausse un sourcil un brin étonné.

- Mais t’as pas dit que t’avais le vertige ? Ça serait dommage que tu passes les prochains mois à vomir dès que lève les yeux vers la fenêtre …


Raison bien ridicule pour qu’il te cède le bureau que tu souhaites, mais t’essaie, tente le sourire et les grands battements de cils tandis que tu viens poser tes petites fesses sur le bureau opposé, laisse tes doigts glisser sur le bois. Ouais, non t’es définitivement pas fan de côté-là du bureau. Toi tu veux être face à la clarté, pouvoir laisser tes yeux se balader vers l’extérieur quand soudainement tu te fais rêveuse.

- Tu peux bien me faire cette fleur, juste pour te faire pardonner de m’avoir coupé à deux reprises dans le bureau de la chef … A moins que tu préfères la jouer à pile ou face ? Comme tu veux.

Un choix que tu lui concède, si il veut réellement le bureau près de la fenêtre t’es prête à la jouer proprement, laisser le destin choisir lui-même qui sera l’heureux détenteur du coté fenêtre.

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Message Sujet: Re: (flashback) all my feelings on fire ft solal   (flashback) all my feelings on fire ft solal - Page 2 Empty Sam 30 Nov - 11:21


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ft. riley

Imposante baie vitrée de laquelle il s’approche, ou plutôt jeune femme de laquelle il s’approche, se glisse dans son dos, les prunelles à la recherche de cette vue de toute évidence imprenable sur la ville. Fait remarquer qu’y a pas intérêt à avoir le vertige ici, suite à quoi Riley lui prête une soit disant peur du vide, mentionne un mythe dont il n’avait même pas idée, qui lui arrache un sourire amusé.

- J’ignorais qu’il existait un mythe autour de moi... Mais non, si cela peut te rassurer, je n’ai pas plus peur du vide que l’être humain moyen. Je parlais plus en général.

Petit haussement d’épaules, il dit vrai, Solal, ne cherche pas à redorer son blason ou quoi que ce soit en disant cela. Le jeune homme, qui au cours de ses périples, s’est déjà retrouvé à flirter avec le vide, vaciller dans les hauteurs ; le cœur qui faisait alors un peu des castagnettes, mais c’était plus grisant qu’autre chose, en réalité. Et la voix aiguë d’Adriana pour les tirer de leur petite conversation, la jeune femme qu’il laisse filer sans chercher le moins du monde à la retenir ; et enfin, au bout de quelques minutes, elle se décide à partir pour de bon. Les deux jeunes gens laissés alors seuls dans le bureau, mille et une idées saugrenues qui viennent à l’esprit de Solal… mais non. C’est plus sage qu’ils s’en tiennent à des relations strictement professionnelles, au moins le temps d’apprendre à se connaître, le temps pour lui de jauger si elle est aussi casse-pieds qu’elle en a l’air ou si c’est là seulement une impression ; jeune homme un peu perdu, la faute au caractère changeant de la jeune femme, tantôt tendue tantôt amicale au possible. Aussi c’est bien innocemment qu’il se remet à évoluer dans la pièce, regard curieux qui vient se poser partout et nulle part ; la voix de Riley pour l’arracher à ses pensées lorsqu’il se disait qu’il lui faudrait amener de quoi mettre un peu de vie dans ce bureau, la demoiselle qui lui fait remarquer qu’il aurait apparemment fait bonne impression auprès de la gente féminine des lieux. Leur comportement qu’il qualifie lui-même de curieux, hausse les épaules lorsque la jeune femme lui demande si c’est là réellement ce qu’il pense.

- Eh bien, oui… Disons que ce n’est pas réellement ce à quoi je m’attendais pour un premier jour de travail.


L’air contrarié, réellement. Car y a quelque chose qui le gêne dans le comportement de ces deux femmes, comprendre que l’on plaît est agréable, il ne va pas mentir, mais dans leur cas, il a rapidement trouvé cela lourd. Et déplacé, venant de sa nouvelle patronne. Le genre de situation dont on sait difficilement se dépatouiller. Et lorsque Riley ajoute que Madame Specter préférera sans doute garder quelqu’un lui ayant fait bonne impression dès le début, il ne peut s’empêcher de rouler des yeux, lui répond d’un air plus exaspéré qu’il ne l’est réellement :

- Mais non, elle ne va pas te renvoyer, enfin. Tu viens à peine de commencer, détends-toi un peu…

Et un soupir qui lui échappe, pas contre elle directement, c’est là plus le côté je-m’en-foutiste de Solal qui s’exprime, celui qui sait d’avance que travailler avec une personne stressée va vite devenir pénible. Car lui, il a si bien appris à rebondir qu’il s’en fiche pas mal aujourd’hui de se faire virer. Son travail il le fait comme il veut, à son rythme, et si cela plaît tant mieux, si cela ne plaît pas tant pis. Mais ce n’est certainement pas pour Specter ou pour Riley – aussi jolie soit-elle – qu’il va soudainement se mettre martel en tête. Et la répartition des responsabilités sur laquelle il s’interroge alors, car Solal il saisit pas bien pourquoi on lui a confié de telles tâches. Une réponse qu’il cherche dans les hypothèses qu’il émet, peut-être ses nombreuses langues parlées, peut-être dans la bonne impression qu’il aurait faite lors de son entretien. Car vu son éloquence, il ne pouvait que faire bonne impression. Mais sa collègue n’en semble pas si bien convaincue, l’air sarcastique sur lequel elle lui répond que ce ne doit être que son intelligence qui lui a offert ce poste. Et il fronce les sourcils, Solal, car s’il n’est pas susceptible il n’apprécie pas pour autant ce genre de sous-entendus. Depuis quand met-on son intelligence en doute, même ? C’est qu’elle est bien audacieuse, celle-là.

- Tu n’as peut-être pas la finesse d’esprit pour t’en apercevoir, mais je suis quelqu’un de très cultivé, oui, qui sait raisonner. Autant de qualités qui ne peuvent que me servir lors d’un entretien d’embauche, alors libre à toi d’en douter, mais moi je sais assurément que si j’ai été pris ici, c’est parce que j’ai les compétences pour.

« Enfin bref », comme on dit, et Solal qui se détourne plutôt pour détailler les bureaux, ne souhaitant pas s’attarder davantage sur ce débat peu constructif et même plutôt destructeur pour son ego. Alors, pour changer de sujet, il propose de prendre le bureau qui lui fait le plus de l’œil : légèrement plus spacieux, près de la fenêtre, y a pas à dire, c’est celui qui fait le plus rêver. Et si d’ordinaire il aurait eu la galanterie de la laisser faire son choix la première, là, elle l’a rapidement agacé avec ses sous-entendus indélicats. Alors au diable les bonnes manières, il dit clairement que c’est celui-ci qui l’intéresse le plus. Un sourcil qui s’arque – de nouveau – lorsqu’elle recommence à mentionner ce vertige imaginaire. Mais elle a quoi avec ça, à la fin ?

- Hum… Non, tu n’as de toute évidence pas fait suffisamment attention car au contraire, je t’ai justement appris que je n’ai pas le moins du monde le vertige… Je ne te cache pas que cela me déçoit quelque peu de voir que tu n’écoutes pas ce que je te confie sur moi…

Moue rapidement triste, il tente le tout pour le tout, se repose sur la carte du mélo. Son regard qui suit la jeune femme lorsqu’elle va s’asseoir sur le bureau, fronce les sourcils en l’entendant mentionner ces deux fois où il lui aurait manifestement coupé la parole.

- Comment ça, je t’ai coupé… ? Oh, si tu ne parlais pas autant, aussi, ce serait plus simple de ne pas t’interrompre par inadvertance, c’est si dur de pouvoir en placer une, là…

Il taquine, bien évidemment qu’il taquine, mais pas sûr que la demoiselle saisisse son humour si particulier. Le jeune homme qui se rapproche un peu jusqu’à se retrouver devant elle, la toise sur son perchoir.

- Tu es sûre de ne pas vouloir de ce bureau ? Tu sembles pourtant si bien installée dessus… On croirait qu’il a été fait pour toi !

Sourire qui s’étire, bien trop innocent pour être honnête, et un soupir qu’il finit pourtant par lâcher, résigné, en enfonçant la main dans la poche de son jean.

- Mais allez, si tu y tiens tant… Jouons-la à pile ou face, hein. Je te préviens, j’ai une chance incroyable dans tous les cas, je suis sûr que tu n’as jamais vu ça.

Rictus confiant, et une pièce qu’il extirpe de son porte-monnaie. Pièce d’euro, juste pour se la péter un peu.

- Pile j’ai le bureau, face c’est toi qui l’a.

Le jeton qu’il lance en l’air, le rabat sur le dos de sa main. Face. Bien évidemment, et l’horreur qui se peint sur ses traits. Solal qui vient de se prendre en direct live le retour de bâton de sa vanité trop grande, ça le touche mais il reste debout, beau joueur il va poser son sac à dos au pied de ce qui est désormais son bureau, tente quand même, un regard trop gentil pour être honnête :

- On pourrait au moins échanger les deux bureaux, les déplacer pour que le plus grand se retrouve côté mur… Histoire de retrouver un semblant d’égalité…
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( all my feelings on fire )
ft. solal

Tu le sais que tu viens d’arriver, tu le sais aussi que normalement ça devrait bien se passer. Et pourtant, t’es pas plus rassurée que ça, t’as peur Riley. T’es une putain d’angoissée qui s’imagine déjà que sa place dans l’entreprise ne sera qu’éphémère. Car il y a Solal qui semble déjà intégré, a les capacités pour briller tandis que toi, t’es juste Riley. La petite anglaise sans grande expérience professionnelle, qui débute dans ce monde qu’est événementielle. Tu doutes trop de toi, t’en est consciente et même si une personne extérieur te dit que t’as pas à t’inquiéter… T’arrive pas à lâcher prise, ça t’agace même un peu qu’un garçon que tu connais depuis à peine quinze minutes se permette de te demander de te détendre tout en soupirant un long coup. Comme si tu le gonflais à être comme t’es ? Comme si t’avais rabâché encore et encore que t’allais te faire virer ? Au moins c’est clair, ce n’est pas devant lui que tu pourras dire ce que t’as sur le cœur. Il perd des points Solal, encore et encore mais t’essaie de ne pas y faire attention te focalise plutôt sur la conversation en général. Le fait qu’il ait tapé dans l’œil de la secrétaire et de la directrice de l’établissement, plus précisément. Lui pense que c’est pour ses capacités professionnel tandis que toi, bien que tu saches qu’il y a forcément le fait qu’il soit intelligent et polyvalent tu le sais au fond de toi qu’il a aussi été pris car c’est un beau garçon. Et surement que t’as pas la meilleure des façons de le faire comprendre, que ton humour ne passe pas car à peine essaie tu de le dire qu’il se rembrunit Solal. Te coupe bien rapidement et te recadre pour te dire ô combien il est intelligent, ô combien c’est un homme cultivé.

Bref, tu comprends vite que c’est un putain de vantard ce Solal. Il te fait carrément arquer d’un sourcil à tellement se mettre en avant, le mégalo à son comble. Il se prend pas pour de la merde le gars et toi ça te refroidit un peu plus encore à son sujet. Si jusqu’à présent tu faisais un effort pour toujours rattraper le coup quand tu voyais qu’un truc ne lui plaisait pas cette fois, t’arrive pas à trouver l’énergie pour faire cet effort là et répond assez sèchement :

- Ouais voilà, j’ai pas ta finesse d’esprit ça doit tenir à ça.

Un sourire trop faux, bien trop faux pour qu’il puisse s’imaginer qu’il est réel. Mais tu peux pas mentir, passé un temps ce n’est plus à toi de te remettre en question mais peut-être à lui. Le silence qui s’installe alors dans le bureau. Un silence lourd de sens, gênant à souhait depuis quelques instants. T’as beau avoir insufflé de ton propre derechef le froid dans la pièce t’as pas non plus forcément envie d’instaurer une guerre entre vous deux alors quand il te parle du bureau et t’avoue qu’il souhaite celui sur lequel tu lorgnes depuis que vous êtes entrée dans la pièce, forcément t’essaie de trouver un truc pour l’en dissuader. Cette histoire de vertige qui sort d’entre tes lippes trop rapidement alors qu’il a bel et bien avoué un peu plus tôt qu’il n’était pas vraiment craintif du vide. Oui bon …  Il a besoin de faire son cirque car t’as dit ça ? Genre tu le déçois ? Mais si seulement il savait ô combien lui te déçoit avec son air supérieur.

- J’ai écouté, après on sait tous qu’un homme gonfle toujours son égo et cache ses peurs pour paraître plus fort qu’il ne l’est réellement… On se connait que depuis une petite demi-heure après tout. Je ne suis pas censé savoir ce qui est vrai ou faux. Puis ce bureau me plait aussi, si je pouvais t’en dissuader d’une manière ou d’une autre je me devais de le faire.


Pure vérité, tu ne lui doit rien à Solal après tout. T’as pas à lui faire une fleur, t’as pas à lui céder quelque chose que toi-même tu convoites. Surtout quand tu vois comment il agit, quand il te coupe la parole durant votre premier entretien avec votre supérieure hiérarchique, se permet de se la jouer pète-cul quand t’essaie de rire avec lui. Non vraiment, il ne mérite pas que tu fasses un effort surhumain pour le satisfaire. Encore moins une énième fois lorsqu’il dit que tu parles trop. Alors là, c’est l’hôpital qui se fout de la charité, t’écarquilles les yeux, pouffe de rire clairement étonnée qu’il puisse se permettre de te dire ça. Juste lui quoi.

- Alors là … Si on m’avait dit que c’est le moulin à parole qui me dirait ça ….


Prunelles qui roulent, tes longues jambes que tu croises tout en voyant le diable s’approchait de toi, du bureau sur lequel t’as pris place par dépit en attendant que vous trouviez une solution pour départager qui obtiendra le fameux bureau près de la fenêtre. Tu croises les bras sous ta poitrine, sourit en voyant très clair dans son jeu. Il joue de ses charmes Solal, tente de te faire changer d’avis à la force de son sourire, de la proximité qu’il instaure entre vos corps en se rapprochant. Mais tu ne changeras pas d’avis c’est foutu. Tu te contentes d’hausser les épaules et lui dire :

- Non non, j’te garantis je me porterais au mieux si j’ai celui qui est près de la fenêtre ! Tu ne m’entendras pas me plaindre toute la journée au moins vue que je parle trop ça sera toujours ça de pris j’imagine ?

Alors vous partez sur un pile ou face d’un commun accord. Solal qui te prévient de la chance qu’il a au jeu du hasard. Tu le crois, ça t’étonnerais même pas que tout réussisse à un beau garçon comme ça – aussi égocentrique soit il – mais tu préfères perdre comme ça ta chance plutôt que de la lui céder trop facilement. Ainsi, il sort une pièce le beau brun. Un euro, la pièce qui t’échauffe le cœur à sa simple vue, le passé qui te met une gifle. Ça fait longtemps que t’avais pas vue une pièce européenne. Longtemps que t’as pas mis les pieds dans ta ville natale, aussi.

- Ok, va pour face.

Et voilà qu’il lance la pièce, tu regardes la petite monnaie voltiger, faire des loopings à hauteur de vos têtes et etre récupéré au vol par Solal. La pièce qu’il abat contre le plat de sa main, met à découvert et la pièce en ta faveur qui vous fait face. Tu souris, pince les lèvres pour ne pas exploser de rire, même. Tu pourrais etre mauvaise, te moquer de lui ouvertement car il le mérite, qu’il a trop parlé de sa chance et que ça s’est retourné contre lui. T’en viendrais même à dire que c’est le karma qui lui joue une petite farce mais tu la joue à l’amiable et répond toute enjouée :

- J’ai plus de chance que toi apparemment, sans rancune Pettersen ?

Tu te remets alors debout, quitte le bureau qui appartient désormais à ton collègue de bureau et va vers le tien, dépose ton sac à main sur celui-ci et te demande par quoi commencer. Tu t’imagines que la conversation va se terminer là, qu’à partir de maintenant chacun va faire ce que bon lui semble pour se familiariser avec les lieux. Mais y’a de nouveau sa voix qui retentis derrière toi, alors tu tournes la tête l’écoute te demander si il est au moins possible d’échanger les bureaux car le tien est d’après lui plus spacieux que le sien. Tu regardes alors la taille des bureaux, remarque qu’effectivement le tiens est légèrement plus grand. Il chipote mais soit.

- Si tu veux on la joue en pierre feuille ciseau cette fois-ci ? En trois manche hein ...  

Tu rigoles, t’es prête à lui donner un plus grand bureau si il le souhaite mais t’es aussi une grande taquineuse, une putain d’emmerdeuse qui risque de se bruler les ailes à ne pas comprendre que vous deux, vous n’arrivez pas à vous comprendre dès qu’il s’agit d’humour. Faudrait arrêter le massacre là, juste se contenter de discuter boulot si le reste ne passe pas.

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( all my feelings on fire )
ft. riley

Sourcil qui s’arque face à l’apparente vérité générale énoncée par la jeune femme, un air bien sûre d’elle pour proclamer que tout homme cherche à se donner plus de force qu’il n’en a réellement. Que les hommes sont tous les mêmes, finalement, un jugement qui lui semble un peu trop gros pour être honnête, s’il est le premier à juger trop vite autrui il peut au moins se targuer de ne pas mettre toutes les femmes et tous les hommes dans le même panier.

- Vraiment ? Je trouve cela un peu naïf de ta part de t’imaginer que les hommes sont tous pareils, méritent tous d’être mis dans un même sac… A raisonner ainsi, tu me donnes l’impression d’être le genre de fille à dire que « men are trash », aussi. Enfin… Crois que je dis seulement cela pour me faire gonfler auprès de toi si cela te chante, moi je sais ce que je vaux et c’est le principal.

Haussement d’épaules indifférent, il n’a pas davantage de temps à perdre à débattre avec une fille infoutue de se mettre dans le crâne que tous les hommes ne sont pas des bêtes gonflées de testostérone, et à la masculinité un brin trop fragile. Il sait qu’il n’a pas besoin de mentir, s’inventer des qualités ou des compétences inexistantes pour plaire, Solal ; alors pourquoi s’embêterait-il à le faire ? Et puis Riley prétend qu’il lui aurait déjà coupé la parole à de trop nombreuses reprises, et la surprise qui l’assaille de nouveau mais il prend sur lui pour ne pas se braquer, lui répond plutôt avec une légèreté volontaire que si elle ne parlait pas autant, il ne lui arriverait pas de l’interrompre par mégarde. Solal taquin, et la jeune femme qu’il voit écarquiller les yeux, pouffer de rire à ses mots ; allons bon, qu’a-t-il dit encore ? Au moins ne monte-t-elle pas sur ses grands chevaux, pour une fois… Réponse évasive qu’elle lui offre cependant, le désigne comme un « moulin à paroles », il proteste d’un air peu convaincu :

- Je ne suis pas un moulin à paroles…

Et déjà il s’avance, approche. La distance qu’il anéantit, tente le tout pour le tout afin de récupérer ce putain de bureau. Car il en va de son quotidien des prochaines semaines, qui sait, des prochains mois ; qu’il se voit clairement pas passer des journées entières sur ce bureau étriqué – bon, il exagère peut-être un brin –, avec pour seul horizon ce triste mur blanc. La jeune femme qu’il voit sourire, les bras croisés, il pourrait presque venir poser ses mains de par et d’autres de son corps, sur le bureau, pour réduire un peu plus la distance entre eux ; mais non. Ça ne fait que quelques heures qu’ils se sont rencontré, pas de ça entre deux inconnus – pas dans un contexte professionnel, en tout cas. Sa silhouette frêle qu’il jauge plutôt, en équilibre sur le bureau, se raccroche à cela – à tout ce qu’il peut, finalement – pour lui faire remarquer qu’elle semble si bien installée ici que cela lui briserait assurément le cœur de devoir l’en déloger pour lui offrir meilleur bureau. Des paroles pleine d’altruisme et d’attention pour elle, si si, vraiment, mais cela ne fonctionne pas : Riley a parlé, elle aime décidément mieux celui de la fenêtre, en profite pour mentionner de ce qu’il a dit un peu plus tôt, quant au caractère de moulin à paroles de la demoiselle. Palabres qui ne peuvent que le faire rouler des yeux, car il la trouve d’une lourdeur – c’est l’hôpital qui se fout de la charité, un peu.

- Olala, pourquoi ne t’es-tu pas présentée comme Miss Susceptibilité un peu plus tôt ? Car cela te sied bien mieux qu’Arriston, tu peux me croire.

Car si elle doit se vexer chaque fois qu’il ouvre la bouche, ils n’ont pas fini de s’amuser, tous les deux. Que Solal il a du mal avec ce genre de tempérament, que bien souvent le courant ne passe pas avec ceux qui s’offusquent trop vite de sa langue bien pendue et qu’en général ce n’est pas grave, ils ne se reparlent plus et personne ne sort lésé de cette rencontre infructueuse. Mais là, Riley il a pas le choix, va falloir qu’il la côtoie tous les jours pour une durée encore indéterminée, selon la tolérance de leur nouvelle patronne pour l’inexpérience de débutants comme eux. Et s’il doit travailler avec le sentiment de ne rien pouvoir dire, il sait déjà que les journées ici vont être très longues. Enfin, pour l’heure faut faire avec et cette histoire de bureau n’est toujours pas réglée ; les deux jeunes gens qui décident de jouer ça à pile ou face, laisser le hasard décider de leur sort, en somme, et vaniteux Solal qui ne se prive pas de se qualifier lui-même comme étant très chanceux aux jeux de hasard. Tous ses plus beaux espoirs qu’il place dans cette pièce lorsqu’il la lance en l’air, la rabat sur le dos de sa main… espoirs bien inutiles puisqu’il découvre un résultat en sa défaveur. Mais bon, tant pis, c’est le jeu, il est pas du genre à ressasser des heures durant la même chose, lui. Alors c’est d’un air bien détaché qu’il range la pièce dans son porte-monnaie, silencieux, relève le nez vers sa collègue au sourire trop grand et hoche la tête.

- Sans rancune aucune, c’est le principe du jeu après tout, hein !


Et sans plus s’attarder sur la question il fait quelques pas pour aller poser son sac à dos au pied du bureau, jette un dernier coup d’œil, successif, aux deux meubles… Situation clairement inégalitaire, s’ils ont joué l’emplacement ils n’ont pas spécifiquement joué la taille du bureau, en soi, aussi il tente le tout pour le tout. Refusant tout de même de se retrouver avec le pire bureau de l’étage. Et lorsque Riley lui répond qu’elle veut bien lui accorder une partie de pierre feuille ciseau pour régler la question, il ne saisit pas qu’elle plaisante la demoiselle, car ils n’ont décidément pas le même humour tous les deux. Hoche plutôt la tête, lui répond, ravi de voir que la question peut manifestement se négocier :

- Bien évidemment, une seule manche c’est bien trop hasardeux.

Et déjà il revient vers elle, rompt une fois de plus la distance pour disputer cette fameuse partie, et espérer ainsi ne pas ressortir pleinement perdant des négociations. La main qu’il met alors dans son dos, prononce déjà les mots magiques :

- Pierre, feuille, ciseau !

Et c’est avec un sérieux sans pareil qu’il déploie une pierre, son poing fermé sous ses yeux. Persuadé qu’elle l’aura suivi dans cette histoire.
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ft. solal

Ça brule, ô seigneur comment ça te brule la langue de lui dire que si toi t’aurais dû te présenter comme miss susceptibilité, lui aurait dû se vendre comme monsieur connard. Car s’en est un gros de connard et le pire c’est que tu ne t’y attendais pas à ce qu’il soit comme ça le garçon. Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences. Ça t’apprendra à te fier à un beau sourire, des yeux pétillant et une coupe de cheveux impeccablement imparfaite. La genèse vous avez prévenu de toute manière, le diable était le plus bel ange de Dieu au départ. Mais aller, une énième fois – celle de trop surement – tu passes outre, tu ne t’attarde pas sur sa méchanceté gratuite et vient plutôt tenter dans un élan de gentillesse de départager qui aura ce foutu bureau à la loyale. Pas de pot pour lui, c’est toi qui emporte la partie et t’es limite soulagé de le voir qu’il prend plutôt bien la défaite, Solal. Au moins être mauvais perdant ne fait pas parti de ses tares au garçon.

En bonne écolière, tu quittes son bureau pour te diriger vers le sien, placer comme bon te semble l’écran pour ne pas être gêné par la lumière, place le clavier à bonne distance. Un premier tiroir que tu ouvres, à l’intérieur couché à l’horizontale des stylos et même un pot à crayon des plus lambda. Tu souris, t’imagines déjà que dans le futur t’iras acheter tes propres fournitures pour rendre cet endroit un peu plus personnel et pourtant, on veut déjà te dérober ton bien. Déjà, Solal se fait entendre car il trouve que les choses ne sont pas bien équitable. Parait-il que ton bureau est plus grand que le sien et que c’est pas bien juste pour lui qu’il se tape et l’endroit qu’il aimait le moins et le bureau le plus petit. Oui effectivement, ça se joue à quelques centimètres son histoire de bureau trop petit, en gros il chipote un peu le beau garçon et toi pour rire, tu rentres dans son jeu lui propose une partie d’un jeu d’enfant. Tu crois qu’en lui disant ainsi les choses il va se rendre compte du ridicule de la situation, que pour quelques centimètres vous n’allez tout de même pas bouger les bureaux … T’es pas devenue déménageuse quoi. Mais pas du tout, il prend tout au sérieux Solal. Ni une ni deux, il s’approche de toi, cache sa main derrière son dos et lâche la fameuse phrase sous tes yeux ébahis.

Il fait la pierre et toi … Bah rien, nada. Car tu ne t’attendais pas à ce qu’il aille au bout du délire. Tu le fixe en clignant des yeux, quelques secondes qui passe avant que tu ne lâches finalement :

- Mais t’es sérieux ? Genre on va vraiment devoir bouger les bureaux car il te manque peut-être huit centimètres ? Tu trouves pas que t’abuses un petit peu là ?

Apparemment non, il est très sérieux Solal et tu sais d’avance qu’il va surement débattre encore dix-huit ans si tu ne le laisses pas faire. Un dilemme qui s’impose alors, lui tenir tête et risquer encore des tensions entre vous ou bien le laisser faire ce qu’il veut et ainsi, ouvrir la porte à tous ses caprices. Moment de réflexion tandis qu’il parle, parle, tu vois sa bouche bouger mais n’entends rien. Et tu finis finalement par le couper, excédé d’entendre ces mille et un argument dont tu t’en fous complet.

- Oui bon ça va, fait ce que tu veux j’men fou de perdre un pan de bureau ça m’empêchera pas de dormir contrairement à toi, vas-y prend le si ça te pose pas de problème de jouer les déménageurs. Moi je vais voir notre chef, voir si elle veut qu'on fasse quelque chose plutôt que de se tourner les pouces et se disputer un bureau hein.

Tu pars sans te retourner, ferme la porte un peu trop vivement sur ton passage – la première d’une gigantesque liste de fois – et te dirige vers le bureau de ta chef pour demander quoi faire maintenant que vous avez pris connaissances de votre espace, lui demander si t’es réellement obligé de partager ce bureau avec Solal si il n’y a pas un autre bureau à intégrer plutôt que celui-là car tu le sais, tu le sens que ça sera pas facile, ça sera même très compliqué de bosser avec lui si dès les dix premières minutes ça ne marche pas. Mais non, pas de solution à ce problème-là. Tu ressors de ce bureau avec une belle liste de tache à te partager avec ton collègue mais toujours ce problème de bureau qui ne se réglera pas pour le moment. Va falloir faire avec, apprendre à travailler avec ce diable Solal.


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