SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !

Partagez

 

 (+18) falling like the stars ± nicholas

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1 ... 6, 7, 8 ... 10 ... 14  Suivant
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Dim 15 Sep - 23:34


falling like the stars
Nicholas - Briannah

« La saveur de la muse détrône les plus tristes faiblesses des coeurs fragiles. »veramo.
Il ne te faut pas longtemps, pour que tu viennes rejoindre à nouveau les côtés de ton photographe. T'as besoin de cette proximité maintenant que tu y as eu le droit. T'as envie de pouvoir avoir accès à ses lèvres, s'il te le permet. S'il ne désire pas s'éloigner, ne pas reprendre tout ce que vous avez construit pendant cette année et demie de collaboration. T'as jamais autant apprécié un travail que celui-ci, t'as même pas l'impression de travailler dans le fond lorsque tu te retrouves avec mr. Crain. "Sûrement, au pire des cas j'aurais sûrement de quoi t'attacher pour te garder avec moi.." Que tu lui lances un sourire mutin sur les lèvres, l'espièglerie faisant pétiller tes yeux. Tu retires bien trop de satisfaction à graviter autour de lui, à le regarder faire à son tour lorsque les rôles s'échangent et que son appareil photo se met à cliqueter. Tu ne veux pas perdre tout ça, c'est sûrement pour ça d'ailleurs que tu ne t'es pas laissée aller à tes envies plus tôt. Parce que c'est un risque que tu n'étais pas prête à prendre, gardant jalousement tes fantasmes contre ton cœur en étant persuadée qu'ils ne viendraient jamais à se réaliser. Pourtant, vos lippes se sont trouvées. Tout comme vos corps ont commencés à se découvrir plus intimement, toujours plus chaudement pour vos plus grands plaisirs et frustration. T'es prête Bri, à te battre bec et ongles s'il le faut. Tu le désires bien trop, ton corps ne pourra vouloir d'un autre contre lequel se lover.

Tes phalanges mêlées à celles encrées, vous venez chasser l'espace entre ton salon et ta cuisine pour vous mettre à ta proposition initiale, étant que de remplir vos estomacs. Faut dire que la faim commence à se faire sentir, et que tu serais pas contre une bonne assiette encore fumante. Tu vous imagines déjà tout les deux assis l'un près de l'autre, vos jambes restant volontairement en contact pour ne pas rompre votre étreinte. Toujours rester l'un près de l'autre. T'as pas pu t'empêcher que de sourire discrètement derrière tes mèches de cheveux retombant devant ton visage lorsque Nicholas est venu ajouter que tu l'attires comme aimant. Ton cœur à tapé nettement plus fort sous le poids de ses mots. Comme s'il réagissait de son propre chef pour venir répondre au tatoué. T'es mal barrée Bri, si les deux se mettent contre toi. Tu te rafraîchis les idées un instant lorsque tu viens chercher ton nécessaire pour le plat de ce soir dans le bas du frigo. T'as retrouvé de ton côté joueur, de cette envie de voir pétiller ses yeux lorsqu'ils se posent contre toi. Il n'est pas le seul, à avoir l'impression d'être un aimant constamment attirée vers lui. Vous êtes joueurs, les sourires ne quittent pas vos visages. T'as bien fais, Bri que de l'inviter ce soir pour dîner et plus car affinités.

Tu l'investis d'une mission sacrée, pendant que tu te mets à préparer plusieurs préparations de ton côté. Tu t'rappelles de tes parents qui passaient le plus clair de leurs temps à cuisiner des plats qui mijotaient parfois des journées entières pour réchauffer un peu les cœurs. Vous mangiez à cinq, ou bien plus nombreux surtout après Katrina lorsqu'il a fallu que la communauté se serre les coudes. Quand le bayou est devenu inhabitable, tout comme l'entièreté de la nouvelle-orléans. On vous a alloués des mobiles-homes de larges terrains pour venir vous y installer le temps des reconstructions. Nombre d'entre eux sont encore là bas, bien des années après, oubliés par un état qui préfère investir dans bien des lobby plutôt que le bien-être de ses concitoyens. T'as commencé ta vie de jeune adulte dans la galère, incapable de décrocher un prêt étudiant pour pouvoir partir à la fac de tes rêves. T'as enchaîné les petits boulots, tu faisais tout et n'importe quoi. De la garde d'enfants, au service, t'as bossé dans une station essence, de nombreux restaurants comme plongeuse. T'as pas compté sur les heures, mais tu l'as fais de façon volontaire, sans jamais te plaindre. Tu leurs devais bien ça, à vos parents. Alors tu t'es jamais écoutée, t'as continué encore et encore. Jusqu'à ce qu'ils t'attendent tout les quatre, tes parents et tes frères attablés un soir alors que tu rentrais d'une pénible journée. Ils t'ont permit de t'en aller, de pouvoir t'envoler loin de la louisiane petit oiseau déployant finalement ses ailes graciles pour prendre son envol loin du nid.

Les odeurs commencent à émaner, et tu t'amuses à observer Nicholas aussi précis qu'un chirurgien lorsqu'il épluche les légumes avec soin. T'as un sourire béat, t'es bien trop fascinée par le tatoué Bri. Tu récupères les pommes de terre et le reste des carottes pour venir les faire mijoter dans ta large cocotte sur le feu crépitant. L'une des mains de ton photographie vient se faufiler contre ton épiderme, te rapprochant de lui en t'intimant de reculer de quelques pas. Tu baisses légèrement le gaz, et te laisses aller volontiers à une nouvelle étreinte. Vous êtes tendres, infiniment doux. Vous vous enlacez comme si vous le faisiez depuis des années, comme si c'était naturel. Et t'as tellement l'impression que ça l'est Bri. Que votre alchimie est réelle, qu'elle prend en puissance un peu plus à chaque instant. Son nez contre ton cou, tu laisses ta tête reposer contre la sienne d'une façon attendrissante. Tu laisses tes bras reposer contre les siens, tes paupières closes pour apprécier un maximum ce câlin sauvage. Il te demande ce que vous pouvez faire pour vous occuper le temps que le tout mitonne. "Mh... Je t'avoue avoir une étude à terminer pour demain, mais je pourrais me lever un peu plus tôt demain matin pour m'en occuper c'est pas trop grave." Jamais, surtout pas quand ça te permets de dégager du temps pour profiter de Nicholas.

Il te fait pivoter, tu viens retrouver son torse avec plaisir et le creux de ses bras que tu affectionne déjà tant. Ses doigts t'effleurent, viennent retrouver les traits attendris de ton visage pour que vos yeux se captent à nouveau pour échanger un peu tout ces sentiments de façon silencieuse. Tu le trouves subitement bien sage, l'encré alors qu'il te promet de bien se tenir si tu lui laisses le loisir de partager tes draps en ta présence. Ton cœur défaille, et tu manques clairement de tourner de l’œil une nouvelle fois. L'idée de pouvoir t'endormir contre lui, pouvoir sentir son souffle chaud et son palpitant battre contre le tiens. T'en as rêvé de ça aussi Briannah, te persuadant que tu ne pourrais jamais faire ce genre de choses avec lui. "Tu en as envie autant que moi?" Que tu lui demandes laissant tes opales miroiter dans les siennes alors que tu laisses tes bras venir reposer contre sa nuque. Tu te hausses légèrement sur la pointe de tes petits pieds pour retrouver un peu plus la hauteur de son visage et laisser ton nez frotter adorablement contre le sien. Bien-sûr que t'en crèves d'envie. C'est comme un rêve éveillé, comme s'ils venaient tous à se réaliser un peu plus. Tes lippes viennent trouver les siennes, sur lesquelles tu déposes un tendre baiser avant de t'arracher à lui le temps de quelques secondes pour remuer l'intérieur de ta casserole laissant dégager de douces odeurs.

Tu te demandes, si vous arriverez à vous tenir si sage que ça. Si tu ne viendras pas à le supplier une nouvelle fois de s'échouer entre tes cuisses pour te donner cette explosion dont tu as encore du mal à te remettre sur l'instant. "Tu le sais, que j'en ai envie? Que j'ai envie de toi? De pouvoir te découvrir entièrement?" Tu lui demandes avec sincérité, abandonnant tes fourneaux pour mieux le retrouver. Tu te retournes à nouveau vers lui, laissant vos mains se retrouver pour t'attirer une nouvelle fois contre Nicho. Tu veux qu'il le sache, que tout ça c'est réel Que ça existe bien, que ça prend en ampleur. Que t'es clairement en train de capituler peu à peu pour mieux te laisser aller.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 3794924939  
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Lun 16 Sep - 17:27




Thinking out loud
You should treat a muse like a fairy.



Elle arrive à te clouer le bec plus de quelques secondes, ta jolie et si innocente muse. Quand elle sous entend qu'elle aurait tout à fait pu t'attacher pour te garder captif s'il t'avait pris l'envie de t'en aller avant le jour. Tu plantes tes prunelles claires dans les siennes, comme pour vérifier qu'elle est tout à fait sérieuse à ce sujet et arque un sourcil pour le moins dubitatif. Dis donc ... Est-ce que t'es pas en train de te lâcher un peu toi ? Que tu ne peux t'empêcher de la taquiner ouvertement. T'aimes bien ça la taquiner. Et tu sais qu'elle n'est pas contre l'idée non plus. Pas que tu saches tout du moins. Et t'oses espérer qu'elle te l'aurait dis si c'était en train de devenir un problème entre vous. Tu ne penses pas pousser démesurément ceci dit. T'es juste gentiment joueur avec elle. Et maintenant que vous vous mettez à fricoter tous les deux, c'est d'autant plus vrai. Tu la taquines gentiment. De sorte à maintenir en vie cette attraction grandissante entre vous. Si grande désormais, qu'elle ne semble pas elle même souhaiter y mettre fin. Elle ne fait rien pour ralentir les choses en tout cas. Et t'en n'es pas tellement mécontent. Tu crains juste le jour où elle va réaliser ce qu'elle fait et y mettre une fin claire, nette et précise. Parce que pour toi ça ne fait aucun doute qu'un tel moment finira par arriver. Quand elle réalisera que ça va beaucoup trop vite alors qu'elle s'était persuadée que rien de tout ça n'arriverait jamais au contraire.

En attendant, tu profites autant que tu peux. Même s'il ne s'agit que de cuisiner en sa compagnie. Un plat typiquement français, tu le comprends assez vite. Et tu le sais, pour avoir fréquenté pas mal de restaurants français. Ils font parmi les meilleures cuisines du monde selon toi. T'es curieux de voir ce que ça donne, fait par Briannah dont tu as rapidement deviné les origines françaises. Ne serait-ce que par son nom de famille, bien sûr. Qui en dit long sur le sang français qui coule certainement dans ses veines. Tu termines d'éplucher les légumes comme elle te l'a demandé. Quand tu te redresses, tu vois bien son sourire démesuré. Qui te ferait presque rougir alors que tu prends consciente de la précision que t'as mis à ta tâche. Sans doute trop. Tu te sens un peu idiot et ça t'arrache une grimace à toi. J'en fais trop, encore ? Que tu demandes, l'air de rien. T'as rarement l'impression que ça la dérange la jolie Briannah. Pourtant tu pourrais comprendre qu'à force, ce soit le genre de chose qui lui tape sur le système. Y'a rien d'adorable à ces petites manies et ces nombreux tocs. Pas pour toi en tout cas. Ta fiancée elle même s'impatiente souvent quand tu vous ralentis pour aller quelque part, parce que t'as besoin de faire plusieurs demis tours. Vérifier encore et encore que t'as rien oublié et que tout est parfaitement en ordre. T'es capable de revenir trois fois dans ta maison, direction la cuisine, pour vérifier que le gaz est bien éteint, c'est dire.

Tu la regardes mettre la touche finale à la préparation du plat, avant de t'approcher d'elle. T'as vit fait d'enrouler tes bras autour d'elle pour la câliner. Toujours aussi tendre avec elle. Parce que c'est bien là ce qu'elle t'inspire. Depuis le début. Mais c'est nouveau pour toi que de te laisser à ce point aller à tes envies en ce qui la concerne. Et elle te le rend bien. Elle qui laisse basculer sa tête pour la poser contre la tienne alors que t'as le visage enfouit au creux de son cou. C'est bien trop agréable, tu ne peux le nier. Chacun de vos contacts est agréable à sa façon. Maintenant plus que jamais. Je peux te tenir compagnie pendant que t'avances dessus si tu veux ... Parce qu'aux dernières nouvelles, il est prévu que tu sois encore là au petit matin, justement. Et t'as pas envie de la voir se réveiller aux aurores pour avancer sur ses cours. T'as pas envie qu'elle s'épuise par ta faute. Juste parce que vous aurez eus envie de profiter de quelques heures de plus ensemble. T'estimes qu'elle en fait déjà bien assez. Pour ne pas dire trop. Tu ne veux pas participer à son épuisement. Au contraire. T'aimerais être capable de l'aider. Mais tu en vois pas ce que tu peux faire pour ça. Probablement rien. C'est pas comme si rester tranquille à te regarder, allait me poser problème ... Au contraire, tu passes déjà ton temps à ça. Elle est tellement belle et tellement fascinante Briannah, que tu pourrais la regarder et te contenter de ça, pendant des heures et des heures.

Tu ne tardes pas non plus à la faire pivoter pour pouvoir planter ton regard dans le sien une fois qu'elle est face à toi. Et lui offrir de nombreux autres sourires attendris. Plus encore lorsqu'elle se redresse sur la pointe de tes pieds pour venir frotter son nez au tien. T'aimes bien ce genre de petit geste adorable et innocent à souhait. Tu pourrais en devenir accro à tout ça également ... Dans le fond, tu l'es sans doute déjà bien. T'as vraiment besoin de me poser cette question ? Que tu ne peux t'empêcher de la taquiner, encore une fois. Ce n'est vraiment pas évident pour elle, que t'as terriblement envie de rester là un peu plus longtemps et même, si possible, de dormir dans le même lit qu'elle ? T'en as rêvé si longtemps de son corps contre le tien. De son corps entre tes bras. Même s'il ne s'agit que de la câliner, tu sais que ça te ravira au plus haut point aussi. T'aimes bien trop son contact. C'est un oui ? Que tu la taquines en la relançant quand même un peu. C'est facile de plus ou moins te retourner la question pour ne pas avoir à t'offrir une vraie réponse digne de ce nom. Tu la vois venir la petite minette qui tente de fuir pour ne pas répondre clairement. T'espères juste que ce n'est pas par crainte de t'offrir un refus clair et concis. T'as envie de croire qu'elle le sait maintenant, que tu ne le prendras pas mal du tout si elle se contente de refuser cette nuit dans le même lit. Qu'elle n'aura pas même de compte à te rendre de toute façon.

Tes mains se libèrent des siennes pour aller se croiser dans le bas de son dos quand t'enroules plus encore tes bras autour d'elle pour la maintenir tendrement serrée contre toi. Tu ne quittes plus non plus son regard du tien quand elle veut bien te l'offrir. Elle n'est pas du genre à le fuir à vrai dire. Ni pendant vos séances photo, ni en dehors. Elle semble vouloir te permettre, à sa façon, de toujours lire dans son regard profond qui en dit toujours long sur elle, ses émotions, ses sentiments, ses états d'âme. Je le sais. Et je ne suis pas vexé, tu sais ? Pas vexé de n'avoir rien en retour, en réponse à tes caresses précises et intimes au possible. Rien ne presse. Et peut-être même que t'y auras jamais droit. Tu pourrais le comprendre ça aussi .T'es toujours pas célibataire et tu sais que de base, c'est cette raison qui l'a tant tenue à distance. En plus, j'aime vraiment beaucoup, beaucoup, m'occuper de toi. Là encore, ce que tu entends par là est assez évident dans le genre. Ne serait-ce que parce que t'affiches ton fameux petit sourire coquin, en plus de venir mordiller sa lèvre inférieure. Tu restes doux et tendre parce que le but n'est pas -encore- de rallumer le brasier qui semble n'être qu'en sommeil.

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Lun 16 Sep - 22:52


falling like the stars
Nicholas - Briannah

« La saveur de la muse détrône les plus tristes faiblesses des coeurs fragiles. »veramo.
"C'est pas toi qui m'as dis que je n'avais pas à me sentir gênée et que je pouvais me laisser aller?" Tu lui adresses un clin d’œil joueur. T'es déjà foutue Briannah, alors autant assumer le fait de l'être? Autant te jeter à corps perdu dans cette soirée qui n'appartient qu'à vous. Tu t'éloignes un instant de lui pour t'occuper de ta large gamelle sur le feu. Tu t'autorises un coup d’œil vers ton photographe dans la foulée. Il est beau, ce moment où vous gravitez ensemble dans ta petite cuisine d'étudiante. Il est magnifique, Nicholas lorsque tes yeux le retrouvent plongé avec attention sur ces légumes qu'il épluche avec soins. C'est quelque chose qui t'as directement charmé chez lui, ces petites manies comme tu préfères les appeler. Tu t'attendris à chaque fois, comme lorsqu'un peu plus tôt il s'est senti obligé d'aller vérifier à l'intérieur du studio si tout était bien éteint. Tout le monde à ses faiblesses, ses parts d'ombres. Celles de Nicho, tu tentes de les dé-complexifier. De lui ouvrir les yeux sur le fait que ce n'est pas étrange, pas quelque chose dont il devrait avoir honte. Car toi, tu peux pas t'empêcher une de ces moues d'enfants admiratives lorsqu'il vient croiser ton regard. "Tu n'en fais jamais trop." T'as les yeux qui pétillent, tu l'aimes déjà bien trop pour le trouver excessif en quoi que ce soit.

Tu quittes tes fourneaux pour venir l'effleurer. T'as pas le temps d'aller bien loin que ses mains viennent retrouver ton épiderme. T'apprécies bien trop lorsque les bras de Nicholas viennent t'enlacer pour te ramener à lui. C'est doux, tendre, passionné. C'est pur, spontanée. T'aimes trop fortement ce rapprochement pour faire comme si rien ne s'était passé. Comme si vous ne vous étiez pas embrassés, comme si tu n'avais pas vibré sous le joug de sa lange/lèvres pour ton plus grand bonheur. C'est arrivé, c'est bien réel. Il t'apprécies, te le montre infiniment et plus encore. Et toi tu fonds, tu te laisses aller contre ses bras, tu te régales de son souffle contre ta nuque ne manquant pas de faire naître un frisson sur la zone de peau taquinée. Vous restez comme ça un instant, lorsqu'il te demande ce à quoi vous pourriez vous adonner pendant que le plat mijote avec amour. Tu réfléchis un court instant sur ta liste des choses à faire, tu lui glisses que tu te lèveras un peu plus tôt le lendemain pour pouvoir travailler sur tes cours. Il te souffle tout contre ta peau que tu pourrais très bien t'y mettre, que te regarder travailler suffirait à le ravir. Tu peux pas t'empêcher de rougir. "Tu sais, entre la médecine légale, les cours de psychologie j'ai de quoi te faire fuir... C'est vraiment pas très passionnant vu comme ça." Pas autant que lorsqu'il te touche, pas autant que lorsque ses lèvres filent sur toi. Maintenant que t'y as eu le droit, tout risque de te paraître si fade.

Tu ne manques pas de pivoter, pour retrouver le torse accueillant de Nicholas contre lequel tu t'échoues avec plaisir. Tu te mets sur la pointe de tes petits pieds pour être un peu plus à sa hauteur, profiter toujours plus de sa chaleur qui t'enivres depuis que tu as eu le plaisir d'y goûter ce soir. Vous appréciez tous les deux le contact de vos peaux, t'as l'impression que ça te réchauffes de l'intérieur, que ça te donnes envie de voir la vie en plus grand. Il te demande si tu lui laisseras le loisir de gagner tes draps pour s'y coucher en ta compagnie. T'as à nouveau unfrisson de tout les diables qui vient parcourir ton épiderme. Tu lui demandes si c'est quelque chose qu'il désire autant que toi. Si c'est pas du flan, ou fait juste pour te faire plaisir. Vous ne vous offrez ni l'un ni l'autre une réponse suffisamment satisfaisante. "Oui, je veux que vous partagiez mes draps cette nuit mr. Crain." Cette nuit, et toutes les autres aussi. Mais ça, tu te gardes bien de l'ajouter. Parce que tu manquerais de le faire fuir, c'est sûr. Comment tu vas faire Bri, pour réussir à te passer de tout ça après cette nuit? Comment tu vas réussir à y renoncer? T'en sais rien. Peut-être que ça te donneras envie de te battre encore plus, toujours plus pour Nicholas.

Tu laisses tes yeux se bercer dans les siens couleurs orage. T'aimes bien trop ce regard qui te perce de part en parts pour te sonder entièrement. S'y perde également. Ta voix se veut comme un murmure, tu lui demandes encore une fois s'il le sait, que tu meurs d'envie de lui appartenir. Que t'aurais aimé être aussi simple que ces autres filles, sans toutes tes peurs autour. Sans toutes ces questions hantant ta tête. Parce que du sexe pour du sexe, tu sais même pas si tu pourrais lui offrir ça. Parce que toi, t'as déjà commencé a avoir ces sentiments. Ils sont bien réels, bien présents, irréfutables. Il te rassures encore une fois, rapprochant son visage du tiens. Il n'est pas vexé, ne le sera pas. Faut que t'arrives à te mettre en tête que les choses iront à ton rythme sans le gêner. C'est compliqué, car tu l'as senti son désir. Tu t'en es transie pendant un long moment. T'oses pas imaginer la frustration que tu dois creuser dans le creux de ses reins. T'as pas le temps de répliquer, ou d'ajouter quoi que ce soit qu'un sourire complice et coquin vient étirer ses lèvres pour lesquelles tu te damnerais volontiers. Il a aimé ça, te faire du bien. Te voir gigoter de plaisir sous le joug de sa langue uniquement, toi qui découvres un tout nouveau monde de plaisirs inexplorés. Tu voulais, qu'il soit le premier, et il l'aura été.

Ses dents viennent saisir avec douceur ta lèvre pour la retenir un instant captive. Tu ne peux t'empêcher de gémir, venir te coller un peu plus contre lui en renfermant un peu plus cette étreinte qui vous lie. Ton palpitant bat la chamade dans ta poitrine, cognant contre son torse que tu sais à présent recouvert d'encre pour avoir pu laisser tes yeux s'en délecter un peu plus tôt tout comme tes mains aventureuses. Vos langues viennent se retrouver avec délicatesse, comme pour appuyer sur tout ce qui est beau entre vous. Cette compassion que vous éprouvez l'un pour l'autre, cette fascination teintée d'un profond respect, cette tendresse à ne plus en finir lorsque vous venez à vous retrouver. Tu voudrais que ça ne s'arrête jamais Bri, que ces cinq cent jours d'été puisse continuer à tout jamais, que les saisons ne viennent jamais à changer. Tes bras autour de sa nuque, tes pointes de pieds dressées c'est ton cœur qui vient dicter le rythme de vos baisers dans un élan de franchise. Juste pour qu'il puisse ressentir ce qu'il te fait vivre, expérimenter à ses côtés. Tu perds à nouveau ton souffle, tant pis t'pourrais bien y perdre ta vie que tu t'en fouterais si c'est sous le joug de ses baisers. Parce qu'il est le seul à avoir redonner à ta vie un semblant d'envie, un semblant de lumière toi qui te noyais dans cette ville trop grande. Un point de repère, un phare dans la nuit, l'étoile du berger servant à traquer les épiphanies.

"Comment tu veux que j'étudies quand tout ce que je veux c'est rester dans tes bras?" T'as bien dû rassembler tout ton courage, pour lui souffler ces quelques mots lors de cette nouvelle avalanche de baisers venant lier vos lippes, les sceller les unes aux autres délicieusement. Tu pourrais rester comme ça jusqu'à la fin de tes jours si la chance t'en étais donnée, tu pourrais bien vendre ton âme pour que cette nuit ne s'arrête jamais. Pouvoir profiter éternellement de celui qui arrive à te faire rayonner si fort. Et pourtant, demain matin il s'en ira.



(c) DΛNDELION / MORPHINE (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 3794924939  
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Mar 17 Sep - 18:57




Thinking out loud
You should treat a muse like a fairy.



Tu ne peux t'empêcher de ricaner à sa remarque/question. Elle a raison, tu lui as dis ça. C'est vrai ... Que tu lui confirmes, toujours le sourire amusé sur les lèvres. Tu te gardes bien de lui faire remarquer que tu ne t'attendais pas non plus à ce qu'elle passe ainsi d'un extrême à un autre. Parce que c'est bien ce qu'elle vient de faire pour le coup. Passer de l'adorable petite innocente à la folle furieuse prête à te ligoter pour te garder chez elle. Ce dont tu ne te plaindrais vraiment pas pour le coup. Venant d'elle, tu penses que tu pourrais tout accepter. Ou pas loin. Ce que tu évites pourtant de lui dire pour le moment. Il ne faudrait pas qu'elle en abuse de trop tout de même. Quand bien même tu doutes que l'envie lui prenne de le faire.  Pour l'heure, vous profitez de ces quelques heures en compagnie l'un de l'autre, sans vous poser plus de question que ça. Toi tu profites, autant que possible en tout cas. Après ces préliminaires torrides sur son canapé, vous cuisinez ensemble. Quand bien même t'es rapidement gêné par son regard que t'interprètes à ta façon. Elle doit te trouver bizarre, elle aussi. Avec toutes tes petites manies ennuyeuses au possible. Tu dis pas ça pour être gentille ? Que tu demandes quand même, en plissant encore une fois le nez de façon adorable. Elle a pourtant l'air sincère au possible. Avec ses jolis yeux clairs qui pétillent quand ils se posent sur toi. De quoi faire battre ton coeur un peu plus vite.

T'estimes qu'elle est de nouveau pleinement disponible pour toi et pour tes mains baladeuses, quand elle abandonne ses fourneaux pour venir te frôler. Un simple geste qui suffit à te filer de nouveau l'envie de l'attirer à toi. Ce que tu fais donc sans te faire prier. Tes mains s'accrochent à son corps féminin. Ton torse vient se coller un court instant à son dos. Tu la câlines de la façon la plus tendre qui soit. Parce qu'elle ne t'inspire que ça la jolie étudiante. De la tendresse et encore de la tendresse. Tu réalises que ta présence pourrait être un frein pour d'autres choses qu'elle avait à faire au cours de sa soirée. Ce que tu ne peux décemment pas accepter. Tu ne veux pas qu'elle prenne du retard dans ses cours sous prétexte que t'es là chez elle. Quand bien même c'est elle qui t'a invité. Et tu ne manques pas de lui promettre de te contenter de la regarder bosser. Tout ce qui te concerne, me passionne. Que tu réponds le plus sincèrement du monde. Tu prends le risque qu'elle juge que t'en fais trop. Parce que tu ne joues pas la comédie. La fascination que tu ressens à son encontre, ne tourne pas exclusivement autour de son physique des plus avantageux. Il y a bien d'autres choses qui fonctionnent sur toi. C'est arrivé peu à peu au fil du temps. Et désormais tu penses pouvoir dire que t'es carrément accro à elle, d'une certaine façon. Tu ne peux plus te passer ni de vos séances photo, ni de sa présence dans ta vie.

T'as encore un petit sourire quand elle pivote pour te faire face à nouveau. Levée sur la pointe de ses pieds délicats pour placer son visage à hauteur du tien. Tu te laisses faire. Tu profites de chaque geste tendre qu'elle a à t'offrir, sans jamais rien demander en retour. Vous parlez plus sérieusement encore de cette nuit à venir. Sans trop de surprise, t'espères pouvoir dormir dans son lit, en sa compagnie. Quitte à rester toutes ces heures chez elle, autant que ce soit pour profiter pleinement de sa présence. D'autant plus que tu te penses capable de rester sage et de ne toujours rien attendre de sa part. Si t'as tenu alors que ton visage était logé entre ses cuisses, t'es capable de tenir en toutes circonstances ! T'es quand même parcourut par un sacré frisson quand elle t'appelle "Mr Crain". Un truc qu'elle s'amuse déjà à faire au cours de vos séances. Forcément consciente de l'effet que ça te fait à tous les coups. Parce que t'es pas tellement doué pour cacher ce genre de chose. Loin de là. Et t'as beau parvenir à prendre sur toi pour ne pas lui sauter littéralement dessus, tu ne peux t'empêcher de jouer encore et encore. De la provoquer pour la tester un peu en retour. T'as bien trop envie de la voir réagir à l'excès elle aussi.

T'as à peine le temps de planter tes dents dans sa lèvre inférieure, qu'elle s'exprime à coup de gémissement. Ce sont finalement vos langues qui enchaînent en se retrouvant de la façon la plus sensuelle qui soit. C'est ainsi que fonctionnent les contacts physiques entre vous. T'en n'es pas mécontent. C'est beaucoup trop bon. T'ignores bien si vous allez réussir à revenir à une relation plus basique par la suite. Impossible que t'acceptes de mettre fin à tout ça. Tu ne peux déjà plus t'en passer alors que ça ne fait que quelques heures que vous fricotez de la sorte. T'as un bras qui vient tendrement s'enrouler autour de son cou pour la maintenir au plus près de toi le temps que vos langues poursuivent leur danse à deux. Tu ris doucement contre ses lèvres quand elle parvient à reprendre la parole pour une question qui t'attendrit autant qu'elle t'amuse. Ta main qui n'est pas perdue autour d'elle, vient se loger sur sa joue. Ta paume en épousant la forme pour permettre à ton pouce de caresser sa pommette. Si y'a que ça, je peux aussi te garder dans mes bras, en plus de te tenir compagnie et de te regarder. Que tu taquines. Pourtant sérieux en même temps. Peu importe de quelle façon vous allez profiter des prochaines heures. Du moment que t'es en sa compagnie. Et que tu puisses lui permettre de bosser un peu sur ses cours en même temps, tout te convient. Mais je peux aussi m'occuper à te prendre en photo. T'es consciente que mon nouveau but va être de te prendre en photo en toutes situations ?

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Jeu 19 Sep - 1:57


falling like the stars
Nicholas - Briannah

« La saveur de la muse détrône les plus tristes faiblesses des coeurs fragiles. »veramo.
T'évites de penser aux choses désagréables en général. Parce qu'après tout, il n'y a que vous qui comptez lorsque vous vous retrouvez ensemble. Comme à cet instant, où lovée contre ses bras tu retrouves le confort de sa peau. Tu voudrais ne jamais avoir à bouger d'ici. Tu voudrais que cette nuit dure éternellement, que jamais le jour ne vienne à se lever. Tu pourrais te montrer menaçante face à l'astre solaire s'il s'en venait à pointer son nez si tôt. Hors de question qu'il vienne essayer de te chaparder ton photographe avant l'heure. Tu sortiras bec et ongles pour pouvoir le garder le plus longtemps possible près de toi. Tu profites un maximum de votre étreinte, son cœur battant contre ton dos avant qu'il ne vienne te retourner torse contre poitrine. "A ton tour de me faire un peu confiance, tu veux?" Que tu lui murmures en réponse à son inquiétude quant à ses petites manies. Tu les trouves réellement toutes plus adorables les unes que les autres, tu peux pas t'empêcher de stopper ce que tu fais pour mieux venir l'observer, ne pas louper une miette de ce qu'il peut faire. Jamais, tu n’émettras de jugement sur Nicho, jamais tu ne viendras dire quelque chose de désobligeant à son égard. Tu l'aimes bien trop pour lui causer du tort d'une quelconque manière.

T'aurais aimé lui souffler, que pour toi c'est lui qui te passionne. Nicholas tout entier. Ses traits, la façon qu'ils ont de se raidir ou au contraire de se décontracter au gré de ses humeurs. Son professionnalisme, son sens de l'art hyper développé tant il touche à tout. Photographie, dessin, peinture. Tu te doutes, qu'il doit savoir faire bien d'autres choses. Qu'il ne cesserait de t'étonner si tu lui en laissais la capacité. Parce que t'aurais pu te rapprocher de lui bien plus tôt lors de sa première tentative. Vous auriez pu en faire, bien des choses. Ou peut-être pas. Peut-être qu'il t'aurais prit pour une de ces filles faciles, incapables de lui résister lorsque ses avances viennent caresser le creux de tes oreilles. La gêne aurait été clairement trop présente, venant gâcher la beauté de vos moments tout les deux. Tu penses à croire que les choses devaient se passer comme ça, que c'est écrit dans le destin de vos étoiles. Tu l'aimes comme elle est, votre histoire. Avec sa douceur, sa tendresse infinie, cette complicité n'ayant de cesses que de s'accroître de jour en jours, de séance en séances. Car chacun des clichés prit par ton photographe vient vous rapprocher un peu plus, vous liant secrètement sans que vous ne puissiez vous en rendre bien compte. C'est aussi comme ça que tu t'es mises à développer tout ces sentiments à l'égard du tatoué. C'était impossible pour toi que de lui résister.

T'en viens à évoquer tes devoirs, chose sur laquelle tu aurais aimé ne pas avoir à t'éterniser ce soir. Parce que tu veux passer chaque seconde à profiter de Nicholas, à le regarder longuement encore et encore sans jamais t'en lasser. Apprendre ses lèvres par cœur à force de les couvrir de baisers. T'as envie de passer chacune des secondes contre sa peau, tout comme il vient te prouver la réciprocité de vos envies en laissant la pulpe de ses doigts venir faire frissonner ton épiderme encore frais de cette douche sensée te faire revenir sur terre. Vous vous rassurez l'un l'autre, vous vous comprenez que trop bien, vous vous complétez presque trop parfaitement pour que soit vrai. T'es pas vraiment de celles qui peuvent affirmer avoir tout ce qu'elles désirent. T'es pas non plus de ces nanas qui piquent des colères noires pour s'approprier l'objet de leurs convoitise. T'es du genre à toujours faire passer le bien des autres avant le tien. Tu t'importes toujours plus de leurs bien-être que le tien. Tu te mets de côté, et tu le fais depuis plus d'une dizaine d'années maintenant. T'as choisis d'être de ces adultes avec le cœur sur la main, peu importe les déceptions subites par l'homme en général que tu finiras sûrement par trouver immonde d'ici quelques années. En attendant, tu conserves ta joie de vivre tout en ronronnant contre les lèvres de Nicholas se rapprochant dangereusement des tiennes pour venir s'y déposer une nouvelle fois.

Les dents agacent, vos baisers ont reprit de plus belle à présent, mais d'une autre teinte que la passion vous ayant animée un peu plus tôt. Tu ne peux t'empêcher de gémir de contentement tout contre ses lippes lorsque vos langues se mettent à nouveau à danser. Vos corps n'ont de cesse que de se chercher l'un l'autre au rythme de vos lèvres se cherchant franchement. Dressée sur la pointe de tes pieds, tes bras noués autour de son cou, t'as l'impression que cela fait nettement plus longtemps que ça que vous vous amourachez l'un de l'autre. Tout ton corps hurle à l'évidence, comme si c'était téléphoné que votre relation en arrive à un tel point. T'en as tant rêvé Briannah, t'as eu le loisir de t'imaginer ces scènes vous mettant en évidence de si nombreuses fois. Dans bien des tableaux différents du plus chaste au plus osé. Et pourtant, te voilà tout contre lui, vos palpitants venant se chercher l'un l'autre pour mieux l'inciter à battre à tout rompre. Tu sais pas vraiment ce qui te prends, lorsque tu laisses tes lèvres se séparer de celles appartenant à Nicho pour lui glisser dans un murmure que tu préférerai nettement pouvoir profiter de ses bras jusqu'au bout de la nuit plutôt que de potasser des bouquins sur des sujets que tu connais sur le bout des doigts pour les avoir déjà lus de nombreuses fois. T'as légèrement du mal à interpréter le rire de Nicholas qui vient chatouiller tes lippes après que ta voix se ne soit éteinte. Tu peux pas t'empêcher d'avoir l'air stupide, Bri.

Tu ne peux pas t'empêcher que de sourire lorsqu'il te propose d'allier tes envies à tes besoins de travail. Il est vrai que tu pourrais facilement prendre place dans ses bras le temps de parcourir les lignes de tes bouquins ennuyeux tout en prenant notes. T'as ton cœur qui ne cesse de battre plus fort encore à cette douce idée de sa part. "Ca me va alors." Que tu chuchotes alors que l'une de ses mains encrées vient trouver ton visage rosit par l'émotion. Son pouce caressant ta pommette délicieusement, tu ne peux t'empêcher de frotter ton visage contre sa paume en ronronnant tel un chaton n'appréciant que trop fortement la chaleur d'une étreinte. La voix de Nicholas reprend, te demande si tu es bien consciente de l'envie qu'il peut avoir à te mitrailler et ce peu importe tes occupations et les mises en scènes. Tu n'as laissé à personne le loisir de pénétrer dans ton appartement, encore moins de poser les yeux sur ta peau découverte autrement que sur du papier glacé. Tu multiplies tant de premières fois avec Nicholas, t'as l'impression d'être en constante évolution de toi même pour toujours devenir quelqu'un de meilleur. De plus empathique, de plus compatissant, de plus vivant. Jamais tu n'as eu la chance de vivre une si belle aventure, si palpitante. "Immortalises tout ce que tu voudras, tu sais bien que tu n'as plus besoin de mon autorisation pour ça." Parce que t'es sa modèle à lui et lui seul. Que ça ne t'intéresses pas de travailler et de poser pour un autre que lui.

T'adresses un dernier baiser sur ses lèvres avant de te décrocher de son étreinte. Un coup dans la cocotte plus tard histoire de remuer le boeuf commençant à sentir drôlement bon et après l'avoir remouiller légèrement de vin rouge, t'attires à nouveau Nicholas par la main. Vos corps se ramènent à nouveau dans le salon vos verres coincés entre vos phalanges libres. Pendant que tu laisses le tatoué quelques instants, le temps pour toi de récupérer tes ouvrages de médecine légale, tu regagnes à présent le canapé avec douceur. Tes yeux brillants de mille feu pour ton photographe tu relèves ton minois vers Nicho après avoir attaché tes cheveux en un chignon bien haut sur ton crâne laissant les plaines de ton cou à découvert. "Moi aussi, si j'étais douée j'passerai mon temps à te prendre en photo." Mais t'es pas douée de tes doigts toi, pas du tout. Tout ce que tu sais faire c'est comprendre l'être humain et l'étudier sous toutes ses coutures y ce qu'il ce passe à l'intérieur. Toi aussi, t'aimerais pouvoir rendre honneur à ses traits parfaits et à l'amour qu'ils t'inspirent.


(c) DΛNDELION / MORPHINE (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 3794924939  
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Jeu 19 Sep - 15:10




Thinking out loud
You should treat a muse like a fairy.



Tu n'as pas énormément de complexes ... Et il n'y a pas beaucoup de choses chez toi que tu n'aimes pas -en toute objectivité bien sûr-. Mais tes tocs et tes manies qui ont parfois tendance à te bouffer un peu la vie, en font bien partie. Alors quand tu vois le sourire de la jeune femme qui te regarde éplucher les légumes avec tant de précision et d'insistance, tu t'imagines tout de suite qu'il y a au moins une petite part de moquerie. Tu ne le prendrais même pas mal parce que t'estimes qu'il y a de quoi se moquer pour le coup. T'en fais toujours beaucoup trop et t'es le premier à en être agacé. Tu perds parfois du temps avec des conneries de ce genre. Et c'est même là le sujet principal de tes disputes avec ta fiancée. Au départ elle trouvait ça relativement drôle. Maintenant elle s'agace vite. D'accord ... Je te crois. Que tu capitules assez rapidement. Parce qu'elle te fait craquer avec ses grands yeux vert d'eau. Et parce que tu sais qu'elle est sincère avec toi. Elle n'est pas du genre à te mentir pour te faire plaisir. Du moins, pas que tu saches. Alors tu la crois. Tu ne comprends pas comment ni pourquoi elle semble apprécier tes petits défauts. Mais tu la crois sur parole et lui offres même un sourire attendri pour la rassurer. Tu ne doutes pas d'elle. Tu n'as pas du tout envie de remettre sa parole en doute. Ne serait-ce que parce que ça vous mènerait à des choses plus désagréables encore. Et que t'as pas envie de ça. Vos moments ensemble sont bien trop beaux pour être gâchés.

T'es doux avec elle, Nicholas. Comme rarement tu l'as été avec qui que ce soit. Tes caresses tendres déposées sur ses joues ou le reste de son corps. Tes mots doux, tes promesses, tes propositions. Tu parviens même à rester relativement sage alors même que tout ton corps te hurle de te rapprocher du sien et de faire plus que de "juste" te frotter à ses courbes ô combien alléchantes. T'en meurs d'envie, c'est évident. Pourtant t'es encore là à la câliner de la façon la plus chaste qui soit et à lui proposer de rester ainsi contre elle et autour d'elle le temps qu'elle gère ses cours. T'as pas envie qu'elle se lève plus tôt au petit matin pour faire ce qu'elle n'aura pas eut l'occasion de faire ce soir. Et pas uniquement parce que tu comptes profiter du réveil pour la câliner encore. Quand elle sera encore brûlante de sommeil et le visage tout chiffonné de sa nuit passée à dormir. Il est aussi question d'elle et de son bien être. Tu ne veux pas qu'elle s'épuise à la tâche. Elle arrive parfois épuisée et affamée à vos séances photo. Et plutôt que de lui gueuler dessus comme tu le fais pour d'autres mannequins, tu prends soin d'elle. En veillant à ce qu'elle ne manque de rien surtout. Pas pour tes photos. Mais pour elle. Parce que bon sang, elle compte Briannah. T'ignores encore à quel point et tu ne sais pas mettre des mots sur ce que tu ressens pour elle. Mais elle compte. Et c'est bien pur ça que tu fais encore tout, aujourd'hui, pour t'assurer son bien être.

Vous ne tardez pas à vous embrasser de nouveau tous les deux. Comme vous savez si bien le faire. T'aimes beaucoup trop le goût de sa bouche pour parvenir à t'en passer. Tu l'embrasses encore et encore. Et elle te répond avec la même sensualité. Vos langues flirtent ensemble, vos lèvres se câlinent, vos dents taquinent. Vous vous laissez une nouvelle fois complètement aller tous les deux. Incapables de vous en empêcher et de vous arrêter. A quoi bon alors que vous avez l'occasion de profiter comme jamais ? Vous vous embrassez et vous câlinez dans le même temps. Vos corps collés l'un à l'autre et les bras qui emprisonnent. T'as envie de profiter plus encore de tout ça. Mais t'as aussi envie qu'elle continue de mener sa petite vie comme elle l'aurait fait si t'avais pas été là chez elle. T'as envie de la voir évoluer dans son petit appartement. T'as envie de la découvrir toujours plus. De toute savoir d'elle. Alors vous vous mettez d'accord pour de bon au sujet de ses cours. Et elle te fait davantage plaisir encore, quand elle accepte que tu la prennes en photo si ça te chante. Tu le sais qu'elle n'a jamais rien contre cette idée. Mais tu crains de ne plus du tout pouvoir t'arrêter si tu commences. Mais puisque t'as son accord, pourquoi te priver de le faire ?

Elle s'éloigne temporairement de toi pour vérifier que la viande mijote correctement, avant de revenir à toi. Sans mal elle récupère ta main pour quitter de nouveau la cuisine. Et sans surprise, tu suis sans te faire prier. Tu tournes en rond rien qu'une seconde ou deux quand elle s'éloigne. Avant de décider de récupérer ton appareil photo dans ton sac. Celui que tu trimbales de partout pour immortaliser des choses et d'autres. Parfois des trucs devant lesquels les gens ne s'attardent même pas dans la rue. Mais pour toi, tout est bon à prendre pour l'inspiration. T'as le regard qui pétille quand elle est de retour dans le salon et qu'elle échoue sur son canapé, ses bouquins entre les doigts. Rien que là, t'as le coeur qui s'emballe alors qu'elle ne fait rien d'autre que ramener ses cheveux en un chignon lâche et encore humide. Rien que là, tu ne peux t'empêcher d'immortaliser la scène. T'y peux rien si tu la trouves belle et fascinante en toutes situations. C'est après ça que tu t'approches pour échouer à ses côtés. Tes doigts se faufilent déjà sur le haut de son dos qui a été mouillé par ses boucles et tu viens y dessiner des arabesques invisibles, de ton index. Hm ... Mais moi j'en ai fini de cette époque où j'étais de ce côté là de l'objectif. Que tu fais remarquer, taquin. Et toi t'es douée pour un tas d'autres trucs. Que tu crois également bon de lui rappeler.

Et tu ne peux pas t'en empêcher ... De venir frôler sa peau de ton nez quand tu viens te coller à elle. Que tu sens le mélange de sa peau et du gel douche parfum monoï. De quoi te donner de drôles d'envies de voyages et de vacances en sa compagnie. T'es pas certain que ce soit bien logique ni vraiment possible. Mais ça te prend quand même. Alors que tu continues d'apprécier son odeur qui te fait tant d'effet. Et la chaleur de son corps tout contre le tien. Tu tentes de reprendre le contrôle de ta petite personne quand tu poses ta tête contre son épaule et enroule un bras autour de sa taille. Ton regard errant du côté de ses bouquins, sans vraiment chercher à les comprendre. C'est son truc ça, pas le tien. Tu restes immobile pendant un moment, avant de te redresser et d'aller t'enfoncer contre le dossier du canapé, le regard de nouveau sur elle. T'avais pas prévu qu'elle serait aussi belle, concentrée comme elle l'est. Tu ne devrais pas être surpris pourtant. N'est-elle pas toujours terriblement tentante la jolie modèle ? Tu prends quand même sur toi pour ne pas la déranger en la prenant de nouveau en photo. Ne serait-ce que parce que plus vite elle aura terminé, plus vite vous serez tranquilles tous les deux.

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Ven 20 Sep - 9:29


falling like the stars
Nicholas - Briannah

« La saveur de la muse détrône les plus tristes faiblesses des coeurs fragiles. »veramo.
Lorsque tu t'es levée ce matin, déjà la bonne humeur était au rendez-vous. Malgré la fatigue engendrée par la journée de la veille, tu t'es déterminée à te lever rapidement sans traîner. Tu es passée sous la douche, tu t'es préparée puis tu t'en es allée pour réviser. T'as un train de vie un peu spécial, tu vis de façon totalement déréglée. Tu passes le plus clair de tes journées à étudier lorsque tu ne travailles pas à la faculté. T'as pas mal d'options faut dire, t'essaies de rattraper les années que t'as mis sur pause après l'ouragan. Parce que t'aurais pu passer pas mal de diplômes, si Katrina n'était pas venue détruire ta vie et la briser le temps de quelques années d'errances dans l'ombre. Tu t'es retrouvée bloquée en compagnie de ta meilleure amie dans votre lycée. La journée n'était pas sensée se gâter tant que ça, après tout la Louisiane est connue pour son climat capricieux. C'est quelque chose qui te fascinais avant, les tempêtes et orages. T'étais de ces gamines qui pouvaient passer une nuit entière à regarder la foudre tomber pendant que le ciel se mettait à gronder en déchirant le ciel. Et puis vous vous êtes retrouvées bloquées par l'ouragan, la crue se déchaînant, montant à vue d'oeil vous bloquant les accès aux sorties.

Rapidement, vous avez manqué d'électricité et de batterie sur vos téléphones portables. Vous étiez neuf, à vous retrouver bloquer ainsi en ces lieux. Trois heures, trois petites heures de pluie ont finies par changer votre destin. Nombre d'entre vous ont paniqué, tentant de s'enfuir par les fenêtres, ou bien même par le toit. Lali voulait les suivre, tu lui as intimé le contraire. Vous ne pouviez pas fuir dehors, ça serait encore plus dangereux que de rester ici. Alors vous êtes passés de neuf à quatre. Les cinq vous ayant quittés n'ont pas été retrouvés à ce jour, et tu remercies le seigneur que d'avoir réussi à dissuader trois personnes de l'horreur régnant à l'extérieur. Au début, vous pensiez que l'on viendrait vous chercher. Après tout, quatre adolescents manquant à l'appel de leurs parents il était sûr que l'on notifie votre absence pas vrai? Une première journée à passer. Puis une seconde. Puis encore une et ainsi de suite. Vous mourriez de faim, de froid, de fatigue. Vous étiez épuisés, morts de peur. On vous avait abandonné, oublié. C'est que vous pensiez. Ce que tu pensais, alors que Lali chutait dans les escaliers trempés. T'as pas pu la retenir, t'étais trop loin derrière elle. T'as juste pu te contenter de la voir chuter, et de chuter à ses côtés en te précipitant lorsque tu t'es rendue compte qu'elle n'ouvrait pas les yeux. T'as tout essayé, tout et n'importe quoi. T'avais treize ans à l'époque, qu'est-ce que tu aurais pu faire? T'as imploré, essayé de couvrir son crâne, prier du plus fort que tu le pouvais, t'as bien hurlé à t'en abîmer les cordes vocales. Tu l'as perdue lors de l'accalmie, alors que vous aviez survécu ensemble jusqu'ici. Tu t'es endormie contre elle, et à ton réveil plusieurs jours plus tard t'étais dans un de ces centres de triages ton petit corps étendu dans des draps blancs. Aujourd'hui, t'as appris, à ne plus penser à tout ça. A essayer de mettre cette tragédie derrière toi. Tu n'en parles tout simplement pas. Comme si ton cerveau faisait un énorme blocage. Tu restes cependant paralysée lorsque tu entends le vent souffler, s'énerver dehors.

Tu ne penses pas à tout ça, lorsque tu es avec Nicholas. Tu ne penses pas à tes problèmes, à tes peurs, à tes pertes. Il n'y a que ce qu'il te fait ressentir qui t'importes. Ce bonheur constant, cette douce adrénaline venant chatouiller ton organisme. Il n'y a que ses sourires, vos taquineries pour réchauffer ta vie un peu plus, lui donner un aspect bien plus joli. T'émets une légère insatisfaction lorsque tu viens toi même arracher ton corps au sien. Rien n'aurait pu te faire croire ce matin à un tel dénouement de ta journée. T'es bien trop heureuse que de l'avoir à tes côtés, c'est bien trop inattendu. Jamais, tu n'aurais cru entre apercevoir le visage de Nicho entre tes murs tant tu pensais finir gênée. Et dire que c'était sensé être une de ces séances des plus habituelles, dénouées de sous entendus et de complicité lorsque vous êtes venus à la même rengaine. Tu quittes ses lippes à contre-coeur viens te tirer hors de ses bras le temps de quelques instants pour pouvoir vérifier ton bourguignon puis récupérer tes livres de travail avant de t'échouer sur le sofa accompagnée de tes ouvrages d'anthropologie. "Mais... Et puis je vois pas en quoi tu me trouves douée!" Tu le vois, qui sot ton appareil photo comme un enfant impatient. Tu n'y prêtes pas attention, tu te plies à son jeu qui est de ne pas vouloir paraître intrusif dans ton quotidien.

Au final, Nicholas finit par rejoindre tes côtés dans le canapé et s'installe près de toi. Tu viens gagner le creux de ses bras pour t'y réfugier le temps d'étudier ta tête reposant contre l'épaule tatouée. Tu pourrais passer des heures et des heures comme ça, à savourer cette étreinte qui vous lie l'un à l'autre, pas vrai Briannah? Enfoncés confortablement dans ton canapé, et toi lovée contre ton photographe, tu te plonges à corps perdu dans tes lectures des plus mornes. Faut dire que t'arrêtes jamais d'étudier, même quand celui que tu considères comme l'homme ayant changé ta vie te retiens tendrement captive entre ses phalanges. Tu t'arrêtes par instant, vient saisir ses lèvres pour y déposer quelques baisers fougueux entre deux lignes parce que t'es bien trop attirée par lui pour résister. "Je ne t'écrases pas?" Que tu lui demandes après avoir déposé un tendre baiser sur ses lèvres d'une douceur infinie. Ta prise de notes avance bien, tu noircis les pages de ton bloc-notes au fur et à mesure de ton séjour chez eux et ça tu ne l'avais pas remarqué? T'es comme une enfant Briannah, incapable de te concentrer en présence de certaines personnes. Quand tu te retrouves dans les bras de Nicho il est difficile pour toi que d'être la plus patiente et la plus parfaite. Tu comprends pas vraiment, ce qu'il te trouve toi le photographe.

T'as bien avancé ta prise de notes, que tu laisses échouer ton nécessaire de travail sur ta table basse en te jetant à corps perdu dans les bras du tatoué. Comment tu pourrais un jour t'en défaire? Revenir à un présent où tu n'as aucun droit sur sa présence, aucun droit pour fuir tout court. Tu veux pas penser à ça, penser à l'importance qu'il a prit dans ta vie, le mal que cela pourrait te faire s'il venait à te lâcher. Tu te laisses aller vers l'arrière, te reposant à présent entièrement contre Nicholas dont les bras continuent d'enserrer ta taille délicieusement. Enfantine, tu te contentes de laisser tes lèvres défiler sur la peau que le photographe se décide t'offrir. Tes lippes parcourent son torse, sa mâchoire, ses lippes, son nez... "Je voudrais que ce moment ne s'arrête jamais." Tu murmures, les yeux fermés le cœur battant tout contre celui de Nicho s'agaçant contre ton dos. T'installant un peu plus confortablement dans ses bras, tu remercies le ciel d'avoir mit Mr. Crain sur ta route, de t'avoir offert la possibilité de rencontrer quelqu'un d'humain, quelqu'un d'aimant. Pas vrai Bri?

(c) DΛNDELION / MORPHINE (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 3794924939  
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Ven 20 Sep - 16:54




Thinking out loud
You should treat a muse like a fairy.



Maintenant que t'es là chez Briannah, t'es bien décidé à profiter pleinement des prochaines heures en sa compagnie. Parce que t'apprécies bien trop d'être avec elle. Et parce que t'es encore en train de la découvrir. Toi qui pensais en savoir déjà énormément sur son compte, tu vois bien que t'étais encore loin de la réalité. Elle est plus intéressante que jamais à tes yeux alors qu'elle continue de se révéler à toi. Tu ne pensais pas avoir encore tant à découvrir sur son compte. Tu te rends bien compte désormais que si. Que t'étais loin de t'imaginer la quantité d'info que tu n'avais pas encore. Mais t'es bien décidé à rattraper tout ça, autant que possible. Parce que t'as vraiment envie de tout savoir à son sujet. Même des choses qu'elle même pourrait estimer peu intéressantes. Tu sais que c'est impossible ça. Que tout à son sujet mérite d'être su et connu. Et ce n'est pas uniquement à cause de vos échanges de baisers et de caresses. Des échanges sans fin desquels tu te régales en continue depuis que vous avez commencé à flirter, un peu plus tôt dans ton studio. Tu continues encore et toujours de les chercher ces contacts. Alors quand elle s'éloigne de toi le temps de récupérer ses cours dans ta chambre, tu ressens un manque véritable. Que tu trompes en attrapant ton appareil photo qui trône fièrement dans ton sac. Pour mieux revenir à elle et voler son image comme tu sais su bien le faire. Tu sais que ce n'est pas un problème pour elle. Elle ignore sans doute le temps fou que tu passes à les contempler encore et encore ces photos de sa petite personne si parfaite.

Douée dans tes études, par exemple ? Elle a un sacré cerveau Briannah, en plus d'être magnifique. C'est presque mieux pour le reste de l'humanité, qu'elle ne soit pas particulièrement douée pour les arts. Il ne manquerait plus que ça. Qu'elle soit parfaite dans tous les domaines. L'ego de personne ne pourrait survivre à pareille perfection. Tu ne résistes pas bien longtemps à la tentation de la rejoindre sur son canapé. Tes doigts qui se perdent déjà dans sa nuque, à défaut de ses cheveux qu'elle a remonté en un chignon haut et lâche. Elle est tellement belle ta muse, que tu ne peux pas résister à l'envie d'être toujours au plus près d'elle. Tu ne te lasses pas non plus de la dévorer du regard. Elle est tellement jolie. Tellement tentante. T'as envie de la croquer en toutes circonstances. Autant que d'être tendre avec elle et attentif à ses envies et besoins. T'es tellement bien avec elle. T'en reviens pas de voir à quel point c'est le cas. Surtout là que vous êtes tranquillement chez elle. Que vous passez du temps ensemble dans un cadre autre que ton studio. Aussi chaleureux et bien puisse-t-il être, ce n'est pas pareil. C'est nettement plus intime comme cadre pour vous. De quoi vous permettre de vous découvrir toujours plus. T'aimerais tout savoir à son sujet.

T'es forcément heureux quand elle se réfugie entre tes bras quand tu t'installes contre elle. Sa tête sur ton épaule alors qu'elle tente de se concentrer sur ses cours dans le même temps. Tu crains de la déranger et de la perturber par ta seule présence alors tu tentes de ne pas en rajouter une couche en remuant ou en te laissant aller à quelques caresses volées. Tu ne fais rien mais elle se charge de venir récolter quelques tendres baisers sur tes lèvres. Que tu lui rends sans te faire prier, bien sûr. Le sourire toujours bien présent et qui ne fait que s'accentuer jusqu'à chatouiller tes zygomatiques. Pas du tout. Je suis très bien là. Et encore. Les termes sont encore trop faibles pour décrire le sentiment de bien être qui te gagne de plus en plus alors que tu profites largement du contact de ses courbes qui reposent tout contre ton corps. Elle est confortable Briannah, ainsi logée tout contre toi. T'aimerais rester ainsi des heures entières. Tu le pourrais. T'aimerais ne plus avoir à le quitter, du tout. Ce corps autant que cette posture contre elle et son appartement tout entier. Mais la réalité de la vie finira par te rattraper comme elle le fait toujours. Elle continue de bosser durant de longues minutes. Que tu vois pourtant à peine passer tant t'es surtout -et uniquement- fasciné par elle toute entière. Sa beauté affolante, encore et toujours.

Elle finit par abandonner son travail sur la table basse. T'ignores bien si elle l'a terminé ou si elle s'est prise d'impatience et du besoin de retrouver pleinement tes bras. Quoi qu'il en soit, elle ne tarde pas à venir trouver un plus gros refuge tout contre toi. Tu ne te fais pas prier pour la serrer un peu plus fort. Et l'attirer davantage à toi. Que le haut de son dos repose contre ton torse quand tes bras s'enroulent pour de bon autour de son corps fin et que ton nez puisse retrouver sa peau. Juste là au creux de son cou qui concentre ses odeurs délicieuses. Ton nouveau concentré de bonheur. Si seulement ... Que tu te contentes de souffler en retour. Si seulement le monde pouvait se mettre sur pause juste un instant. Pour vous permettre de profiter l'un de l'autre sans voir les minutes défiler. Pourtant tu ne tardes pas à te redresser légèrement pour laisser ton regard revenir sur des photos que t'as eus le temps d'apercevoir quand tu t'es permis de découvrir l'endroit. Toi qui es toujours curieux quand il s'agit de la jolie étudiante, t'as envie de tout savoir sur son compte. C'est la Nouvelle-Orléans ? Que tu te renseignes en montrant les photos qui s'affichent ici et là, d'un vague mouvement de menton. T'as beau connaître une partie de la personnalité de la jeune femme et sa vie actuelle, tu ne sais pas grand chose en ce qui concerne son passé. Et c'est bien dommage. D'autant plus qu'elle même peut tout savoir de toi si elle en ressent l'envie et le besoin. En tapant simplement ton nom dans Google, elle peut tout savoir ou presque. Tu te demandes même si elle ne l'a pas déjà fait. Bien qu'il n'y ait même pas besoin de tant pour savoir que l'on parle de toi ici et là. Trop souvent encore t'aperçois ta tête sur quelques torchons qui n'oublient jamais de glisser quelques mots au sujet de tes caprices.

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Ven 20 Sep - 23:48


falling like the stars
Nicholas - Briannah

« La saveur de la muse détrône les plus tristes faiblesses des coeurs fragiles. »veramo.
T'es pas vraiment douée pour grand chose. Tu ne dessines rien d'autres que des bonhommes en smiley sur les notes que tu laissais à tes parents pour les informer de l'heure à laquelle ton service finissait. Tu ne chantes pas très bien, et à vrai dire tu préfères grandement ne pas massacrer une oeuvre en posant ta voix dessus. On ne t'as jamais appris à danser, alors que tes parents dans leurs jeunes années étaient d'incroyables danseurs. Tu cuisines relativement bien, tu te contentes de suivre les étapes à la lettre tout en y mettant beaucoup de ton coeur. C'est comme ça que tu as appris à cuisiner. Comme les jambalaya pour nourrir tout le bayou que ton père préparait quand tu étais encore haute comme trois pommes. Ou alors qu'il préparait son Gombo qui faisait sa réputation comme personne. Vous n'étiez pas issu des anciens esclaves, encore moins des anciens maîtres. Votre famille est arrivée à la nouvelle orléans comme de simple travailleurs, travaillant dans les cultures eux aussi. Peut-être pour ça, que le bayou est autant votre chez vous comparé au centre de nola. Combien même tu y as vécu pendant près d'une dizaine d'années avant de retourner dans les contrées marécageuses. Vous n'aviez plus rien, ni maison, ni mobiliers, vêtements. Vous étiez dépossédés de tout, obligés de repartir à zéro.

Tu ne peux t'empêcher de sourire lorsque les doigts de Nicholas viennent flatter les plaines de ta nuque lorsqu'il ajoute que tu es douée pour les études. Il faut dire qu'être surdouée facilite bien des choses. Certes t'as un cerveau qui utilise un peu plus ses fonctions que les autres. Peut-être que tu peux réfléchir plus vite, ou te concentrer plus facilement. T'as sauté bien des classes, t'as toujours été en marge. Trop jeune pour t'entendre avec les plus âgés, mais bien trop mature pour t'entendre avec les adolescents de ton age. C'était pas facile, mais tu te plongeais à corps perdu dans les livres, que tu dévorais un par un rageusement en quête de savoir. L'être humain t'as toujours fasciné, sous toutes ses coutures. Tout comme le monde, les pratiques différant d'une culture à une autre. T'es curieuse, avide de découvertes. "Pour l'instant, mise à part gratter du papier je ne fais pas grand chose." Alors que si, dans le fond tu participes à de nombreuses études, t'as surbooké ton agenda scolaires options facultatives pour toujours plus pousser tes connaissances. En vérité, t'es douée pour la médecine légale. Mais ça, tu te gardes bien de l'ajouter pour ne pas l'effrayer. Pour ne pas le faire fuir. Tu récoltes les honneur et félicitations, tes coups de bistouris et ta logique sont implacables.

Tu t'installes de façon confortable dans ses bras afin de commencer ta prise de notes. Tu t'inquiètes à savoir si tu ne l'écrases pas trop. Il faut dire que tu prends tes aises, viens t'installer confortablement dans le creux de ses bras. Sa voix te rassures, et tu te mets à ronronner presque instantanément. T'aimes bien trop ça Bri, l'avoir près de toi. Pour toi. A toi. T'as l'impression qu'il est une drogue à laquelle tu deviens méchamment dépendante toi qui n'en as jamais consommé sous n'importe quelle forme. Nicholas, il est comme ta cocaïne, ton héroïne. Tu deviens dépendante un peu plus à chaque séance, à chaque dose de lui. Et ce soir, t'as explosé les records d'ingestion. Tu n'es qu'euphorie, bonheur. Tu ne te méfies pas encore de la re-descente, du retour à la réalité qui pourrait être des plus violents. Pour l'instant, tu savoures tout le bonheur qu'il t'es donné d'avoir. "Alors si t'es bien, que je suis bien... C'est tout bon!" Tu t'exclames comme une enfant perdant tes prunelles dans les siennes en basculant ta tête un peu plus profondément tout contre son épaule. Bordel comment tu vas faire pour revenir au simple stade de modèle? Comment tu vas faire pour revenir à ces effleurements innocents qu'il doit avoir avec toutes ces filles qui défilent devant son objectif? Tu préfères pas y penser, alors tu te plonges dans ton archéologie et dans l'étude des différents embaumements. Rien qui pourrait intéresser le tatoué plus que ses appareils photos. Tu continues d'écrire, de parcourir les lignes de ton regard aiguisé pour en imprimer tout leurs sens et en permettre une analyse claire et détailler. T'es légèrement perturbée par le cœur de Nicho qui bat contre toi fortement, ne manquant pas de te rappeler la chaleur de votre échange.

Tu sais pas pendant combien de temps tu t'es réellement laissée absorber par tes bouquins, optant une moue concentrée lorsque tes yeux filaient à travers les lignes pour en capter tout leurs sens. Tu t'es légèrement laissée emballer, ton crayon a gratter le papier plus qu'il ne le fallait et te voilà avec une conclusion des plus épaisses qu'il t'aies été donné de rédiger dans un certain temps imparti. Si t'avais su, t'aurais passé une année et demie à étudier auprès de Nicholas, tout contre ses bras pour améliorer tes compétences. T'abandonnes tes livres et ton carnet contre la table basse avant de savourer plus profondément l'étreinte qui te lie à ton photographe. Il vient te serrer un peu plus fort, un peu plus passionnément. Tu lui dis qu'tu pourrais rester là pendant un temps illimité. Juste à te régaler de cette étreinte qui vous lie l'un l'autre. Tu t'attendais pas vraiment à une réponse si positive Bri', et pourtant son "si seulement" qu'il te souffle te transperce de part en parts. T'as pas vraiment le temps de répliquer quoi que ce soit qu'il vient te désigner quelques uns de tes clichés de polaroïds désignant certaines de tes heureuses années. Il semble avoir reconnu les joyeuses rues de Nola, ses maisons colorées. T'as un pincement au cœur Briannah. Trop vif, trop perçant pour que tu ne puisses réussir à le cacher.

"Tout à fait." Que t'ajoutes. T'es bien plus neutre qu'il y a quelques instants où tu te régalais de ses bras. Tu n'as pas honte d'où tu viens, cependant personne ne sait vraiment d'où tu es originaire. Juste que tu viens de la campagne profonde. Tu ne veux pas attirer la peine, sous prétexte que tu aies pu connaître la désolation. Tu ne veux pas que Nicholas te vois comme l'une de ces rescapées abîmées. Tu viens cependant te relever, rompant l'étreinte entre vos corps pour saisir quelques clichés encadrés sur l'une de tes étagères dans une souple gymnastique. Tu manques de les serrer tout contre ton cœur, ces souvenirs précieux. Une photo d'une maison colorée, une autre de ton lycée, ou de toi enfant à côté de Lali. Tout ces souvenirs qui te sont si cher à ton cœur. Il ne connait pas cet aspect là de ta personnalité. Tes démons à toi. "J'suis née là bas, j'ai vécu là bas. New-York, c'est mon rêve américain à moi." Toi la fille de la campagne, la gosse brisée aux rêves plus gros qu'elle. Tu t'y es jetée à corps perdu, tête la première sans réfléchir lorsqu'on t'as enfin donné la possibilité de fuir. Tu te loves un peu plus contre les bras de Nicho que tu retrouves pour ton plus grand plaisir. Il ne fera pas l'rapprochement, c'pas possible qu'il pense aux horreurs que vous avez traversés. Et puis, toi il ne t'es jamais venu à l'idée de te renseigner sur sa personne. De faire attention aux tabloïds, à ce que les journaux peuvent raconter. Tu le connais, peut-être pas mieux qu'une autre personne, mais tu sais qu'il est quelqu'un de bon, de positif à ta vie et c'est tout ce qui t'importes. T'aimerais toi, qu'il t'aime Bri. T'aimerais tellement pouvoir t'offrir corps et âme entièrement.

Et pourtant, tu lui pardonnes cet anneau à son doigt. Ces promesses qu'il a pu formuler à une autre femme. Parce que c'est impossible de falsifier ce cœur qui bat si fort contre le tien. Qu'il est incapable que de te tromper sur cette chaleur alliant vos carcasses l'une à l'autre. Tout ton corps lui intime de ne pas te quitter, te resserrer un peu plus cette étreinte. "La Louisiane c'est toute ma vie." Parce qu'il est difficile pour toi que de lui dissimuler cet aspect de ton être s'il vient à t'y questionner. Tu ne mens pas Bri, jamais. C'est bien là l'un de tes principaux défauts. T'es bien trop franche pour pouvoir dissimuler ton avis sous des teintes plus agréables. Tu te loges contre Nicho en lui laissant observer les clichés de plus près en frottant tes pouces contre le verre protecteur.
(c) DΛNDELION / MORPHINE (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 3794924939  
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty Dim 22 Sep - 21:15




Thinking out loud
You should treat a muse like a fairy.



T'as envie de tout savoir au sujet de la jolie jeune femme qui est ta muse depuis plus d'un an maintenant. T'es curieux d'en apprendre toujours plus à son sujet et c'est bien pour ça que t'as accepté si aisément de venir dîner chez elle. Et, par la suite, d'y rester pour dormir. Soit, c'est aussi parce que vous avez eus l'occasion de fricoter un peu tous les deux et que rien que pour ça, t'es soudainement bien incapable de te tenir loin d'elle. C'était bien trop bon. Bien trop agréable. Et vous ne pouvez déjà plus vous passer de tous ces gestes tendres que vous avez l'un pour l'autre, de toute évidence. Et pour le coup, ça t'arrange bien de voir que t'es pas le seul à ne pouvoir te contenir. De constater qu'elle vient aussi souvent vers toi que toi tu vas vers elle. Et ce malgré ses premières réticences. Que tu comprends et acceptes depuis le début. Mais que t'es pourtant pas prêt à affronter tout à fait. Parce que t'es rien qu'un idiot effrayé Nicholas. T'as peur de ce qu'en dira la presse. Tu crains que des scandales n'éclatent suite à ta rupture. A propos de tes nombreuses infidélités au cours des deux dernières années. T'es déjà pas mal surpris que ça ne se soit pas encore su ça. Avec le nombre de personnes qui sont au courant, c'est vraiment étonnant. A commencer par les filles concernées. Certaines pourraient vouloir profiter de ta notoriété. Tout ça arrivera peut-être plus tard. Quand tes fiançailles seront rompues justement. Ces filles oseront peut-être davantage sortir de l'ombre pour prétendre qu'elles sont la cause de cette séparation.

Alors non, tu n'as pas la moindre envie de vivre ça. Mais de plus en plus, t'as envie de laisser une chance à ce que tu pourrais finir par partager avec Briannah. T'en es de plus en plus certain qu'un truc beau peut s'installer et se construire entre vous. Il faudrait simplement que tu fasses un peu preuve de courage à ce sujet. Ce qui finira bien par arriver tôt ou tard. T'ignores juste complètement. Quand tu seras pris d'un soudain élan sans doute. En attendant, tu ne peux t'empêcher d'espérer de toutes tes forces, pouvoir poursuivre ce petit jeu de séduction avec la jolie petite étudiante. T'as le droit de rêver après tout. D'espérer voir les choses se poursuivre aussi joliment qu'elles ont démarré un peu plus tôt dans l'après-midi, dans ton studio photo. Tu joues beaucoup trop avec le feu Nicholas. Mais Briannah est devenue ta tentation suprême. T'es incapable de ne pas avoir envie de toujours plus avec elle. Parce qu'elle te tente comme jamais aucune femme n'a été en mesure de te tenter. Et t'en as pourtant fréquenté pas mal au cours des dernières années. Mais Briannah, c'est Briannah. D'un tas de façons, elle sort du lot. Et pour un tas de raisons, elle te plait vraiment. T'es de plus en plus accro, c'est un fait contre lequel tu ne peux pas grand chose. Tu n'essaies d'ailleurs pas vraiment. Peut-être ... Mais t'as pas choisis la facilité dans ton choix d'études. J'imagine donc que t'as la tête plus que pleine ... T'en es sûr qu'en plus d'être incroyablement belle, Briannah est très intelligente.

Tu tentes de te faire aussi discret que possible pour éviter à tout prix de la ralentir dans son travail. T'as bien trop hâte de pouvoir la retrouver elle et son attention, pour de bon. Et ce n'est pas en la perturbant que tu vas aider. Et tant pis si c'est insoutenable que de devoir te retenir de la photographier sous tous les angles. Elle est terriblement belle Briannah. Aussi et surtout quand elle se concentre à ce point. T'es incapable de détourner tes yeux d'elle. Elle affiche une petite moue concentrée que tu trouves adorable à souhait. Mais ça aussi tu le gardes pour toi. T'as pas envie de la déconcentrer. Vraiment ! Tu laisses échapper un bref rire, pour de bon, quand elle prend des airs de gamine heureuse pour confirmer que si t'es bien et qu'elle l'est aussi, tout va bien. Constant enfantin en effet. Mais que tu ne peux que trouver terriblement adorable. Tu profites de chaque contact physique entre vous, sur ce canapé. Même le plus innocent. Qui va de tes doigts tendres qui se perdent dans ses cheveux, à tes lèvres qui viennent déposer des baisers légers sur son crâne. Tu sais et sens qu'elle apprécie le tout elle aussi. Qu'elle est friande de toujours plus, même. Alors tu ne peux que t'en donner davantage à coeur joie encore. T'es presque soulagé qu'elle abandonne ses cours. Elle va de nouveau pouvoir se concentrer pleinement et uniquement sur toi !

T'en profites donc assez vite pour l'interroger sur certains clichés. Tu penses reconnaître la Nouvelle-Orléans. Alors tout naturellement, tu lui poses la question. Tu sais trop peu de choses au sujet de Briannah. Alors sans le dire clairement, t'espères qu'elle va te donner quelques nouvelles informations sur son compte. Tu n'insistes pas quand elle se contente d'une réponse assez courte. T'as pas envie de la brusquer. C'est à elle d'ajouter des choses si elle ressent le besoin de se raconter un peu. Elle ne tarde finalement pas à se redresser pour attraper quelques photos qu'elle vient flanquer sous ton nez. Tu prends le temps de les étudier du regard alors qu'elle parle un peu. Qu'elle mentionne ses origines. Pour finalement conclure par le fait que sa vie à New-York était son rêve américain à elle. De la pulpe de tes doigts, tu viens frôler la photo. Celle qui la représente gamine. T'étais tellement adorable. Que tu commentes spontanément. Et elle l'est d'ailleurs toujours. Elle a encore ce petit air presque innocent sur le visage. En plus de ses regards totalement séducteurs qui te font constamment chavirer. Tu reposes les yeux sur elle quand elle affirme que la Louisiane, c'est toute sa vie. T'es quand même heureuse ici, à New-York ? Tu t'y intéresses vraiment. T'as besoin d'être sûr que ses sourires et ses rires sont toujours sincères. Qu'elle ne cache pas une plaie à vif et un manque cruel au creux de son coeur. Parce que t'as envie de la savoir bien Briannah. T'es venue toute seule ? Pour tes études ? Tu tentes de te mesurer pour ne pas la bombarder de questions. Mais ce n'est quand même pas si simple.

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






(+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty
Message Sujet: Re: (+18) falling like the stars ± nicholas    (+18) falling like the stars ± nicholas  - Page 7 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
(+18) falling like the stars ± nicholas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 7 sur 14Aller à la page : Précédent  1 ... 6, 7, 8 ... 10 ... 14  Suivant
 Sujets similaires
-
» Isaac | Rain keeps falling, tears keep falling
» / JUKEBOX.
» Don't forget me when you're famous - Nicholas
» Your heart starts to beat. (Nicholas)
» alice human sacrifice ± nicholas

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: versions #13 et #14 :: RPS
-
Sauter vers: