SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal
anipassion.com

Partagez

 

 (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Dim 18 Aoû - 14:44



dovresti vedermi in una corona
Jabez - Annalisa

«Je demandai à un ermite, en Italie, comment il pouvait vivre seul, dans une chaumière élevée sur la cime d'une montagne, à un mille de toute habitation il me répondit aussitôt : La Providence est à ma porte.» laurence sterne
Cela fait déjà plusieurs heures, que votre avion s'est élancé pour regagner les terres de ton enfance. Confortablement installée dans ton siège, ton regard se perdant dans la nuit, tu savoures finalement ces quelques moments de répit qui te sont offerts. Jabez à finalement réussi à s'endormir, tout contre toi l'air finalement paisible. Qui aurait cru que l'animal soit aussi dérangé à l'idée de s'envoler? Après tout, tu l'as compris toute suite à sa tête lorsque tu lui as tendu son billet tout sourire il y a quelques jours. Huit heures de vol pour rejoindre Naples, rejoindre ton sanctuaire et Leonardo. Pouvoir refouler les pavés des ruelles que tu connais par coeur, retrouver certains sourires oubliés depuis longtemps comme cette trattoria où t'avais l'habitude d'aller chercher des foccacias pour le repas du midi au salon. Le café se trouvant près de la villa de ton maître, et cette dernière gigantesque pour ce vieux bougon tout seul. Cette fois-ci, l'israélien t'accompagne, sans que tu ai eu besoin de négocier quoi que ce soit. Il s'est contenté d'accepter, puis de capturer tes lèvres dans un baiser passionné.

Petit à petit, tes paupières se ferment aussi. T'es bercée par le souffle du tatoué tout contre ton épaule, et ta tête vient très vite se reposer sur la sienne. Tu t'endors avec un léger sourire les lippes venant mourir au fur et à mesure que tu sombres dans le sommeil. Tu fais des rêves heureux, bien que très décousus. Tu peux déjà vous imaginer vous prélassant sur la terrasse de Leo, pour finalement aller vous chamailler dans l'eau de la piscine comme des enfants terribles. Tu vous vois dans l'une de ces petites adresses ne payant pas de mine pour en ressortir avec de gigantesques pizzas encore fumantes à la pâte bien épaisse et moelleuse comme le veux la tradition napolitaine. Tu rêves à la cave à vin de ton maestro, et de ses réserves cachées de sambuca lui qui t'as donné cet amour inconditionnel pour cette fameuse liqueur anisée faisant un tabac chez vous. Vous vous autoriserez peut-être même un joint ou deux provenant de sa petite culture personnelle. Combien même les souvenirs douloureux, les plus beaux resteront les plus importants. Ceux comprenant Pierre également, partie de ta vie que tu ne pourras jamais effacer que tu portes désormais en sautoir autour du cou. Ton alliance ne te quitteras plus, trônant fièrement contre ta poitrine secrètement. Naples fait partie de toi, bien plus que Palerme ne peut le prétendre. C'est là-bas que tu as grandis. Là-bas où tu as fais tes armes pour devenir la femme que tu es aujourd'hui.

C'est comme avec un étrange goût de déjà vu, qu'une hôtesse vient te taper doucement sur l'épaule pour te réveiller. Sans doute bien trop intimidée par le zombie dormant comme un loire accolé à toi. Tes paupières papillonnent un instant le temps de te faire à l'aube naissante filtrant par ton hublot. Légèrement endolorie par ces quelques heures de siestes devant vous suffire comme nuit, tu viens t'étirer comme un chat ne manquant pas de faire craquer quelques unes de tes articulations au passage. Tu réveilles tendrement le zombie lui indiquant que vous êtes finalement arrivés et qu'il est temps pour lui de découvrir Napoli. Légèrement ronchon, tu viens rejoindre ses bras tandis que vous descendez de l'appareil pour rejoindre l'un des nombreux halls où vous finissez par débarquer. L'attente des valises se veut brève, et rapidement vous retrouvez vos bagages pour vous hâter vers l'extérieur. T'as le cœur qui bat, 'lisa. Si fort, que ça pourrait presque te faire mal. Si fort, que tu le sens résonner dans tout ton corps. L'excitation, le bonheur de partager quelque chose de si important avec lui après ces derniers événements ayant bien failli vous envoyer directement au cimeterre.

"Sono a la caaaaaaaaaaaaaaasa!" que tu viens presque crier une fois vos carcasses enlacées trouvant l'extérieur de l'aéroport. L'air frais balayant vos visages te fait un bien fou, et l'air est doux pour ce début de journée d'été. Ta poitrine vient trouver le torse de Jabez et tu te hisses sur la pointe de tes pieds pour venir trouver ses lippes encrées des tiennes pour vous lancer dans un baiser fiévreux. Tes mains s'étant instinctivement nouées autour de son cou pour venir t'étreindre un peu plus contre lui, tu viens briser ce ballet de langues pour retrouver les opales fatiguées par le voyage de l'israélien. L'une de tes mains viens quitter sa nuque pour trouver sa joue que tu caresses affectueusement de ton pouce le couvrant d'un regard aimant. "Trouvons nous un taxi, et allons prendre un bon petit déjeuner à l'italienne amor mio." que tu lui souffles à quelques centimètres de son visage. Tu rêves d'un bon café noir, de plusieurs cornetto sortants du four pour venir réchauffer vos estomacs pendant que tu prendrai plaisir à lire l'un des quotidiens fraîchement imprimé comme pour reprendre un peu ton quotidien d'antan. Joueuse, enfantine, les étoiles ayant quittées le ciel pour rejoindre tes yeux tu viens tirer le zombie par la main tout en arrêtant l'une des nombreuses voitures défilant. Vous grimpez dans l'une, tu demandes au chauffeur de vous amener jusqu'au centre ville dans ton italien le plus chantant et joyeux. La voiture s'élance, bientôt la détente sera à vous loin de tout ce qui ai pu ce passer à new-york. Une semaine de détente, uniquement vous. Pas d'oiseaux de malheur ou d'infirmier plutôt doué. Rien de tout ça, juste lui et toi.

(c) DΛNDELION


@Jabez Krief (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3227196488
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Lun 19 Aoû - 10:38



c'est son sourire d'enfant qui l'a fait craquer quand l'italienne lui a tendu son billet en direction de naples. ce sourire sans lequel il aurait certainement refusé. l'avion il ne l'a prit qu'une seule fois dans toute son existence, c'était pour quitter les champs de bataille d'israël dans un vieux coucou qui menaçant de s'écraser à la moindre turbulence. depuis ce jour il s'est juré de ne plus jamais frôler les nuages sauf pour toucher le septième ciel, mais plus d'avion grinçant, plus de voyage interminable où le stress est maitre de ses actes. pourtant il a cédé facilement pour elle, c'est la concrétisation du projet abordé lors du repas au restaurant. il ne peut pas lui refuser ça, pas après tout ce qu'ils ont vécus. il n'a même pas abordé le sujet de sa peur, se contentant d'un baiser fiévreux en signe d'acceptation. le voilà maintenant dans le hall d'attente pour l'embarcation. le coeur qui bat la chamade et sa main qui est prête à broyer celle d'anna. les souvenirs lui donnent l'impression d'étouffer comme des vagues qui le renversent sans cesse. la chaleur, les maisons en ruines, les coups de feus pour rythmer les journées avant la fuite, l'ultime éloignement de ce pays qui l'a vu naitre. c'est très étrange comme sensation, il espère secrètement refouler ses terres pour retomber sur les pas de son enfance, mais c'est aussi sa plus grande crainte. prendre l'avion c'est déjà un bon début. il ne prononce pas un seul mot depuis que les portes de l'aéroport se sont ouvertes pour eux, concentré seulement sur cette peur qui lui tord les tripes. pourtant il avance docilement quand le moment de l’embarcation est venu. il avance mais il a seulement envie de partir en courant de cet appareil bien trop grand pour lui. c'est toujours dans un silence morbide qu'il s'installe sur le siège pourtant confortable en prenant le soin de laisser l'italienne côté hublot. hors de question pour lui d'observer le ciel pour ressentir un peu plus cette sensation de vertige, il lui laisse volontiers ce plaisir. les consignes de sécurité sont données et enfin l'avion démarre. à ce stade la main d'anna doit ressembler à de la bouillie, c'est un drôle de combat entre l'excitation et la peur qui se déroule dans ses entrailles. il est rare que la peur vienne prendre possession du corps de jabez, mais ce soir c'est le cas à un tel point que sa respiration s’accélère naturellement. une fois l'appareil stabilisé dans les cieux il décide de clore ses yeux pour ne plus voir les étoiles défiler à une vitesse impressionnante. c'est bercé par le parfum de la ritale qu'il trouve finalement les bras de morphée tout le long du voyage, le crâne solidement posé sur son épaule comme un gamin qui a seulement besoin d'un peu d'amour pour être rassuré. les heures défilent sans que jabez ne se réveille, l'avion entame son atterrissage et c'est finalement anna qui vient le secouer tendrement pour le sortir de ses songes. il s'en extirpe difficilement dans un grognement, mais finalement satisfait de ce voyage passé plus vite que prévu. l'entrain n'est pas le même quand il s'agit de descendre l'appareil, il veut vite quitter cet engin de malheur pour fouler le sol italien. le couple des enfers ne tarde pas à trouver l'extérieur de l'aéroport qui laisse directement résonner la voix enthousiaste d'anna. malgré son réveil bougon, jabez ne peut retenir un sourire quand il la voit dans cet état, elle est dans son élément le plus naturel. plus de queens, plus d'oiseaux de malheur, même plus de salon de tatouage le temps des vacances. seulement de la détente et de l'amour à l'état pur. c'est comme pour le remercier qu'elle vient encercler la nuque de l'encré pour un nouveau baiser endiablé, le premier sur un nouveau continent. la main de jabez vient instinctivement trouver la chute de ses mains pour l'étreindre un peu plus fort, la garder au plus proche de lui alors que la fin du ballet lui laisse un goût de trop peu sur le bout des lèvres. la proposition d'un petit-déjeuner sur une terrasse ensoleillée vient raviver l'estomac du zombie qui l'accompagne sans broncher dans ce taxi qui file dans la ville pour les mener à l'adresse donnée un peu plus tôt par la tatoueuse dans un italien parfait. le trajet n'est pas très long, il laisse tout juste le temps à jabez de perdre son regard dans les rues napolitaines où il tente d'imaginer les souvenirs d'anna. il compte sur elle pour lui faire découvrir les moindres recoins de la ville, même les plus intimes. la course du taxi est payée, l'israélien s'empresse de sortir de la voiture pour attraper la main d'anna pour lier leurs doigts comme un jeune couple conventionnel. leurs pas les mènent vers une terrasse qui vient presque côtoyer les vagues de la mer. son ventre gargouille quand ils s'installent sur cette terrasse, dans un coin un peu reculé du monde. comme au restaurant avant l'accident, le drame en moins. ici il n'y a pas de cara pour venir briser ce moment, jabez peut bien se permettre de se pencher légèrement au-dessus de la table pour venir goûter aux lèvres de l'italienne. pour ne jamais oublier les frissons que ça procure à son échine douloureuse. « quel est le programme de la journée mia bella ? » son accent est loin d'être parfait, mais il aime prononcer ces quelques mots qui n'appartiennent qu'à eux. parce que personne ne peut égaler l'amour qu'ils se portent, puissant et éternel.






@annalisa de bertolis  (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Lun 19 Aoû - 16:16



dovresti vedermi in una corona
Jabez - Annalisa

«Je demandai à un ermite, en Italie, comment il pouvait vivre seul, dans une chaumière élevée sur la cime d'une montagne, à un mille de toute habitation il me répondit aussitôt : La Providence est à ma porte.» laurence sterne
Poupée de chiffon entre les mains de Jabez lorsque celles-ci viennent se loger tout contre la chute de tes reins pour t'attirer contre lui. Tes lèvres viennent déposer un baiser d'abord tendre, puis se laissant aller dans sa passion. Peut importe, que vous soyez dans le chemin de gens tentant de se frayer un passage hors de l'aéroport, tant pis si vous gênez. Il n'y a que lui, que son cœur qui bat contre le tiens. Parce que c'est ça, qu'il t'a promit lorsqu'il t'a dit qu'il t'aimait pas vrai? Juste lui et toi, vous deux, à jamais. C'est bien pour ça, que tu t'es relevée, pour voir ces promesses d'avenir se concrétiser, vous voir devenir toujours plus fort dans l'adversité. Vous avez réussis à tromper le destin, à dire à la mort d'aller s'faire foutre au moins aussi violemment que vos ébats faisant gauler les astres. Pourtant t'as quand même cette voix dans ta tête, qui reste bien présente. Celle qui te dis de te méfier, de faire attention à toutes les autres qui viendront essayer de venir te le prendre. Perfides créatures que tu ne connais que trop bien. Tu montreras les crocs, prête à abattre tes griffes sur le moindre oiseau venant piailler dans le creux de son oreille pour le donner à manger aux chats.

L'envie d'un bon café noir sûrement partagée par l'israélien, tu viens rompre votre étreinte tes yeux pétillants de bonheur. Tu auras tout le loisir de t'inquiéter à votre retour, ici il ne peut rien vous arriver. A vous la plage, le sable fin et l'eau saline. Le soleil brûlant, les cocktails colorés et les soirées à n'en plus finir. A vous les ruelles napolitaines, le salon de ton maestro et sa gigantesque villa confortable où tu comptes bien te faire inviter le temps de ton séjour, enfant prodige retrouvant son père adoptif après plusieurs mois de séparation. Vous vous élancez à la recherche d'un taxi pour vous emmener sans gênes dans le centre-ville. Rapidement, vous grimpez dans un véhicule après avoir ranger vos bagages dans le coffre pour regagner la banquette arrière. Le paysage défile sous tes yeux, théâtre de plusieurs années de ta vies étant les plus belles qu'il t'ai été donné de vivre comme les plus tragiques. Tu te revois à plusieurs stades de ta vie. L'adolescente rebelle, quittant ses cheveux bruns pour les tinter définitivement de rouge et devenir cette gamine flamboyante prête à bouffer le monde. La jeune majeure, fiancée, la tête sur les épaules, résidente dans un des plus gros salons de tatouages d'Italie. La jeune adulte, qui achète son premier appartement, établit des projets d'avenir, une envie de devenir mère plus forte que tout. La femme puissante, fière, éclaboussée du sang de son époux, abattu à la terrasse d'un bar. Le monstre de tristesse, que l'accident a engendré, des envies de vendetta dans l'âme. Puis la Libitina, impitoyable divinité des funérailles faisant sonner le glas de sa vengeance n'hésitant pas à faucher bien des âmes sur son passage.

Le taxi s'arrête, l'israélien paye la course en tendant un billet européen au chauffeur pour ensuite se hâter de sortir de la voiture et t'ouvrir la portière de façon galante. La pulpe de ses doigts retrouve la tienne, pour venir laisser ta chevelure de feu briller d'une couleur toute aussi chaude avec les rayons du soleil naissant, continuant son ascension dans le ciel. "Suis moi" que tu viens lui susurrer tout contre ses lèvres que tu viens trouver pour un énième baiser tandis que vous laissez vos phalanges assassines s'entremêler, traînant vos bagages derrière vous. Tu viens trouver une petite impasse dans l'hyper-centre de Naples non loin de l'adresse que tu avais donnée à votre conducteur un peu plus tôt. Ton petit plan est parfaitement orchestré, ce séjour sera le plus beau qu'il vous aura été donné de vivre jusqu'ici. Napoli s'éveille, tout comme ce café ayant ouvert ses portes peu avant votre arrivée. Vous vous installez en terrasse, l'air étant déjà chaud pour l'heure matinale. Il doit bien être aux alentours de sept heures du matin, t'as pas fais les choses à moitié. Parce que Leo, vit juste à côté et que ce vieux grognon est bien incapable de se faire couler son propre café tout seul. Sa routine matinale fait qu'il vient chaque jour ici pour venir dessaouler de la veille comme la vieille chouette qu'il est.

Le ventre du tatoué grogne, mais il chasse vite le sentiment de la faim en venant surplomber la table de sa silhouette imposante et capturer tes lèvres ne manquant pas de te faire défaillir. Parce qu'il aura toujours cet effet sur toi, d'ébranler tout ton être pour le rendre sien. Éternellement, inconditionnellement. Il s'assoit de nouveau sagement, t'arrachant un grognement de mécontentement. Tu pourrais bien passer des heures à rattraper ces deux semaines perdues loin de lui et dans l'errance la plus totale. Sa voix vient te chatouiller en finissant sa phrase sur une note d'italien t'arrachant un large sourire après la brève bouderie dont tu fais preuve pour l'arrêt de ce baiser trop court à ton goût. "Disons que je ne fais rien par hasard!" Que t'ajoutes avec un clin d'oeil. Une voix vient te héler joyeusement en Italien, tu te lèves d'un bond pour aller étreindre affectueusement la vieille femme sortant de son bar pour prendre votre commande. Gina vient t'enlacer de ses bras fatigués, tout en piaillant en italien d'une voix joyeuse. Portant ton index sur tes lèvres, tu lui intimes de baisser le son pour ne pas ameuter Leonardo trop vite. Parce qu'il a beau se faire vieux, le crouton garde une ouïe particulièrement fine. Tu te retournes vers l'israélien que tu lui présentes en Italien tout en traduisant pour ton compagnon. "Amor, je te présente Gina, c'est la patronne de ce café. Une amie de longue date, elle est ravie de te rencontrer mais l'anglais ça a jamais été son fort..." que tu te mets à rire lorsque la cinquantenaire vient te mettre un énième baiser sur la joue. Sans laisser le choix à l'encré, elle vient lui faire subir le même châtiment déclenchant ton hilarité la plus totale. La chaleur des italiens à l'état pur. Vous remettant de vos émotions, tu lui commandes deux grands cafés accompagnés de ses cornettos fait maisons faisant la renom de l'endroit. La petite femme tassée retourne s'affairer à votre commande, pendant que tu viens trouver les genoux de jabez plutôt que ta chaise te paraissant presque hostile maintenant.

L'un de tes bras vient de nouveau se nouer autour de son cou pendant que l'autre vient trouver sa pommette qu'elle caresse lentement. Ton palpitant ne cesse de choquer contre ta cage thoracique, ton souffle est naturellement court lorsque ta peau vient retrouver son épiderme tatoué. Jamais, t'aurais pensé pouvoir vivre ça un jour. Encore moins à ses côtés, plus puissante et rayonnante que jamais. Parce que t'es complétée de ta moitié manquante, celle qui est nécessaire pour faire rouler les mécaniques parfaitement. T'es quoi, sans Jabez, 'lisa? Votre commande ne tarde pas à arriver, et lorsque tu va pour saisir ton sac posé sur l'une des valises. Le regard noir de Gina suffit à te faire abandonner l'idée de régler quoi que ce soit, tu te contentes de souffler en roulant des yeux, éternelle gamine que tu resteras à ses yeux. Tu regagnes à contre cœur ta place, quittant l'étreinte que tu étais venue chercher dans le creux des bras de Jabez pendant un court instant. Prenant ta tasse de café fumante entre tes doigts, tes yeux viennent de nouveau chercher les opales éclaircies d'un zombie satisfait. "Notre logement est juste à côté, et mon petit doigt me dit que notre hôte ne saurait tarder." que tu lances, énigmatique. T'es amusée, 'lisa. Tu respires, le palpitant énervé. T'es en vie.

(c) DΛNDELION


@Jabez Krief  (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939 (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939 (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Mar 20 Aoû - 21:08



juste quelques jours pour oublier le quotidien parfois pesant. du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique. comme un jeune couple conventionnel qui part en vacances pour profiter des dernières années sans enfants dans les jambes, sans mariage ou crédit à payer. juste quelques moments pour arrêter le temps, fuir la violence qui anime le queens au quotidien. plus d'engueulades, plus de jolies gazelles tentatrices, plus de pleurs face à des sentiments trop grands pour leurs cages thoraciques. l'amour leur suffira amplement pour vivre pleinement, profiter de ce répit entre deux tempêtes. les téléphones sont coupés depuis que leurs pas ont foulées le pays que tout le monde surnomme la botte. plus de contact avec le monde extérieur, il n'y a qu'eux et cette bulle créée de toutes pièces par leurs mains meurtrières. les pupilles de jabez semblent avoir retrouvées une teinte plus verdâtre, elles ne sont plus entièrement noires quand elles se posent sur les rues qui défilent à toute vitesse. même en dehors du taxi il s'attarde sur les moindres recoins de la ville comme un enfant émerveillé devant la beauté du monde. le monde d'anna surtout, elle est comme un poisson dans l'eau, c'est sûrement ça qui le rend heureux à cet instant. la visite peut bien attendre, pour le moment c'est l'estomac de l'israélien qui grogne, la peur de l'avion a laissé sa place à une envie irrépressible de dévorer la vie par les deux bouts. il ne manque pas de le faire remarquer à la ritale juste avant un nouvel échange de lèvres fiévreuses de se retrouver. même au milieu de la foule de touristes ils ont du mal à contenir ce désir incontrôlable qui anime leurs corps quand ils se frôlent. la moindre attention devient une étincelle qui vient enflammer le brasier déjà attisé naturellement. une nouvelle fois il a ce goût de trop peu quand elle vient lui annoncer que rien n'est laissé au hasard concernant le choix de la terrasse. une vieille femme fait son irruption dans le cadre de la porte qui mène à l'intérieur du petit restaurant familial. il ne met pas longtemps à comprendre que c'est cet accent italien qui a bercé l'enfance d'anna. il observe patiemment les embrassades tout comme les présentations traduites. c'est avec toute la tendresse du monde que la vieille femme vient enserrer les deux joues de jabez pour déposer un baiser dessus. une authentique mamma italienne, à son sourire l'encré devine la douceur de ses gestes, la bienveillance de son regard dans sa façon d'accueillir un parfait inconnu comme s'il avait toujours fait partie de la famille. c'est l'une des rares fois où jabez ne sent aucune tension lui raidir les muscles lors d'un contact physique. peut-être parce qu'il n'a jamais connu de réelle famille, c'est le rejet qui a rythmé sa vie de gamin, pas la tendresse d'une mamma. le petit-déjeuner est commandé, gina part rejoindre ses cuisines alors que la tatoueuse vient trouver les jambes de jabez pour s'asseoir dessus. c'est tout naturellement que ses bras viennent encercler la taille fine pour la maintenir tout contre lui. s'assurer encore une fois qu'elle n'est pas juste un mirage venu pour le piéger et l'emmener tout droit dans les limbes. il a tout juste le temps de déposer ses lippes sur l'épaule découverte de sa moitié que la commande arrive déjà à table, le soleil portant le nom de gina rayonne quand elle dépose les mets sur la table, elle s'assombrit seulement quand anna souhaite payer, comme une bonne grand-mère qui se respecte. l'étreinte éphémère prend fin alors que la vieille femme s'éloigne discrètement. le regard de jabez ne manque pas d’apercevoir la silhouette voutée toute proche de celle d'un homme qu'il devine être le fameux leonardo. il ne peut que sourire à cette idée d'une excitation trop puissante pour être gardée secrète. la tatoueuse vient confirmer ses doutes, mais il laisse les quelques pensées s'échapper pour piocher un cornetto, un délice italien dont peu de personnes ont le secret. « ils sont tous comme ça en italie ? » qu'il murmure à moitié hilare. il leur suffit d'un peu de répit pour que les regards se dévorent sans aucune pudeur. quelques secondes qui n’appartiennent avant que le père spirituel d'anna décide de faire sa grande entrée. les bras levés au ciel, le sourire étendu sur toute la longueur de son visage, il s'approche d'un air enjoué. "et puis, je pourrais te présenter leonardo! je suis sûre que de te voir en vrai lui en boucherait un coin à cette vieille bidoche." jabez se souvient de ces quelques mots prononcés par anna lors de l'épisode du restaurant. elle avait visé juste ce jour-là, le maitre tatoueur s'arrête un moment pour le dévisager comme une œuvre d'art vivante. l'israélien a tout juste le temps de reposer son café fumant sur la table que l'homme à la chevelure d'ébène vient étreindre anna et puis lui dans un italien qu'il peine à comprendre. des mots de bienvenue il suppose vu la joie qui émane du lieu. pas de serrage de main ici, seulement des embrasses à n'en plus finir. « ravi de faire votre connaissance, depuis le temps qu'annalisa me parle de vous.. » un coup d'oeil amusé à l'intéressée suffit à graver le sourire sur le visage des deux hommes. il est beau ce moment entre deux hommes qui sont unis à une seule et même cause : protéger la femme qu'ils aiment.




Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Jeu 22 Aoû - 5:36



dovresti vedermi in una corona
Jabez - Annalisa

«Je demandai à un ermite, en Italie, comment il pouvait vivre seul, dans une chaumière élevée sur la cime d'une montagne, à un mille de toute habitation il me répondit aussitôt : La Providence est à ma porte.» laurence sterne
Tu aurais pu, prendre le risque vous envoler jusque Palerme pour venir débarquer à la villa familiale surprenant l’entièreté de ta famille. Celio ayant déserté, te voilà dernière enfant de la cosa nostra présente sur le territoire américain pour en porter fièrement le nom. Car t'as cessé de te cacher, de dissimuler qui tu pouvais bien être comme si ton nom de famille était une honte, un fardeau à dissimuler. Bien au contraire, aujourd'hui le sang de ton sang fait ta fierté, bel et bien encré tout contre ton épiderme. Enfant de la pieuvre impitoyable, première femme de main de l'organisation, héritière si jamais quelque chose devait arriver à ton père et ton frère aîné. T'aurais pu, choisir d'emmener Jabez rencontrer ton sang. Inconsciemment, tu ne te souviens que trop bien de la réaction de tes proches lorsque tu leurs as annoncé l'arrivée de Pierre dans ta vie, lui qu'il l'a partagée pendant près de quatorze longues années. Tu redoutes, inconsciemment surement une nouvelle fois le rejet des tiens si bien que c'est ta ville adoptive que tu choisis comme principale escale de ton voyage avec l'israélien.

Une certaine fierté te gagne, lorsque tu peux lui présenter la patronne des lieux et ses sourires communicatifs à la terrasse de ce café faisant partie intégrante de tes souvenirs et de ce que tu es. Parce qu'elle est ta figure maternelle la plus proche, après Agnese ta génitrice. Parce que Gina, elle a toujours veillé sur toi du mieux qu'elle le pouvait. Bien trop souvent pour te défendre du courroux de ton maître d'apprentissage, vieux hibou partageant sa vie et ses draps depuis bien des années sans que t'ai pu trop comprendre comment deux personnes aussi différentes pouvaient bien réussir à s'entendre. T'es fière, comblée de pouvoir partager un peu de tout ça avec Jabez lorsque la femme vient l'étreindre chaleureusement le laissant presque abasourdi par autant de chaleur humaine. Tu ne tardes pas à gagner rapidement ses côtés, bien trop attirée par sa peau réclamant la tienne si tu ne t'y méprends pas. Car maintenant, vous ne vous séparerez plus. Pas un seul instant si cela n'est pas nécessaire.

Quittant finalement les genoux de celui que ton cœur a élu comme son éternelle moitié, tu retrouves sagement ta place après t'être éprise un bref instant de son épiderme avant que ta mère adoptive ne vienne déposer sur votre table maintenant ensoleillée deux grands cafés et des cornettos à se damner. Un rire cristallin te vient lorsque Jabez te demande d'un ton très sérieux si vous êtes tous comme Gina ici. Tu ne peux t'empêcher de répondre sur un ton faussement exaspéré. "Attends de rencontrer les Palermiens, tu changeras vite de point de vue." tes yeux roulent dans tes orbites, t'ose à peine imaginer la réaction de ton aîné en apercevant Jabez franchir les murs de la villa portant l'encré à ton bras fièrement. Tes prunelles se reposent sur Jab se servant dans les petits croissants faussement feuilletés italiens pour venir le porter à sa bouche. T'es comme hypnotisée par ce spectacle, ton menton venant reposer contre l'une de tes mains fièrement maintenue par ton coude tout contre la table bêtement. Parce que tu te régales sans vergogne de ce doux spectacle offert à tes prunelles le temps qu'il dure, celui de toi et l'israélien ne vous souciant de rien d'autres que vos estomacs s'écriant famine. Tes mains ayant saisies ta tasse de café un peu plus tôt vient la reposer tout contre la table après l'avoir portée entre tes lèvres.

Car tu l'as entendu, t'as bien reconnu sa voix à ce vieux grognon. Sans grande surprises, tu te relèves de nouveau d'un bond pour venir gagner les bras de Leonardo la tête encore ensommeillée de sa soirée de la veille. C'est les bras levés vers le ciel, que tu viens gagner les siens pour t'y lover en t'exclamant dans un italien des plus chantant. Celui qui t'as toujours supporté, qui ne t'as jamais abandonné combien même tu pouvais être odieuse, lui supplier de te lâcher. Il a toujours su, qui tu étais. Du moins, il s'en était toujours douté, le nom des De bertolis n'étant inconnus que de très peu d'italiens après avoir sévit pendant des années sur la sicile. Tu roucoules, aplatissant ta joue tout contre celle de ton Maestro de toujours venant nouer tes bras autour de sa nuque. En italien, il te demande ce que tu peux bien faire à Naples, encore plus en si bonne compagnie. Ton rire vient résonner dans l'impasse, réveillant le reste de chanceux se trouvant encore au lit. Tu lui présentes celui présent à tes côtés, celui n'ayant pas hésité à bondir dans un avion pour t'accompagner quand bien même sa phobie et ses appréhensions.

Leonardo sans plus chercher vient quitter ton corps pour éteindre celui de Jabez semblant le fasciner. Avant de l'atteindre, il te demande si c'est bien le fameux projet dont tu lui avais parlé. L'idée folle de recouvrir d'entre un homme de la tête aux pieds. Les yeux pétillants de folie, tu lui réponds qu'il ne se trompe pas. "Attention, tripotage dans trois.. deux..." t'as même pas le temps de finir ta phrase que Leo vient s'exclamer en anglais à quel point ton travail est finalement soigné tout en tirant sur les membres d'un israélien sidéré. Tu rétorques, gamine mal élevée que s'il t'avait mieux apprit les rouages du métier t'en aurais moins chier et que ton travail n'en serait que plus parfait. Un silence s'installe pendant que vos opales se fusillent un bref instant, oubliant Jabez et Gina ayant rejoint vos côtés. Puis un rire fou vient secouer vos carcasses, animant d'autant plus cette terrasse malgré l'heure matinale. T'en viens à oublier ces cicatrices encore fraîches sur tes avants bras qui ne manqueront pas d'éveiller les soupçons de la chouette, ce malheur ayant habillé ta vie ces dernières semaines. Rien de tout cela ne compte, vous êtes vivants, main dans la main. Pour toujours et à jamais car jusqu'à ce que la mort ne vous sépare restera à jamais tes voeux de mariage adressé au premier amour de ta vie.

Sans attendre ton invitation, le tatoué venant de vous rejoindre vient tirer l'une des nombreuses chaises vacantes pour l'entraîner à votre table. N'ayant plus besoin de passer commande après tant d'années de voisinage, Gina vient apporter le ristretto de monsieur Leo tout en lui adressant un coup sur l'épaule tandis qu'il noie Jabez de questions à ton sujet. Savoir si tes aiguilles ne l'ont pas trop maltraitées, si tu es une bonne professionnelle attentive aux besoin de ses clients. Tu attends patiemment, un sourire en coin sur tes lippes pulpeuses le moment où le zombie viendra annoncer fièrement que tout ce qu'il sait, c'est toi qui lui a appris. Ayant finalement cédé non pas à un, mais deux apprentis incluant votre jeune recrue, Rebel. La femme grisonnante te souhaite bon courage, sa main venant reposer un bref instant sur ton épaule. La gratifiant d'un sourire, tu lui réponds en italien que tout ira pour le mieux, que le pire pouvant arriver étant Leonardo tombant fou amoureux de ta moitié ne serait-ce autant que tu l'es. Totalement ignorées des deux hommes, vos rires féminins viennent animer la conversation battant son plein avant de voir disparaître ta mamma de nouveau. "Bon, ça suffit les infidélités tout les deux!" que tu t'exclames, reprenant une nouvelle gorgée de café d'un ton rieur. Qu'il est bon, de se sentir réellement en vie.

Plusieurs heures passent, vous restez là à enchaîner les cafés joyeusement servit par l'italienne chaleureuse tenant les quatre murs depuis des années. De nombreuses connaissances passent par là, venant t'étreindre chaleureusement sous un regard toujours plus intrigué de la part du zombie découvrant une nouvelle partie de toi. L'enfant prodige revenant aux sources, acceptée comme elle l'est, combien même après avoir mit la ville à feu et à sang pour venir se venger. Parce que tous, savent d'où tu viens et ce que ton nom de famille inspire. Tous s'attendaient plus ou moins à ce que tu cèdes à tes pulsions siciliennes d'autant plus une fois que la vie t'ai privée de ce que tu avais de plus cher. Cependant, ils te l'ont tous pardonné, ont tous comprit ce besoin résidant dans tes entrailles te dévorant jusque dans tes rêves les plus fous. "C'est pas tout ça, mais j'échangerai bien mon royaume contre une petite tête dans l'eau!" que tu t'exclames, tout sourire aux hommes de ta vie à présent réunit pour ton plus grand malheur/plus grande satisfaction en fonction des envies pouvant les prendre. Tu ne les connais que trop bien séparément pour savoir que d'une manière ou d'une autre les atomes finiront par s'ancrer ensemble pour devenir quelque chose de puissant.

Vous quittez finalement la terrasse sur laquelle vous vous êtes échoués il y a déjà de ça un long moment. Vos valises vous suivant fièrement, vos mains entrelacées, vous suivez ton maître d'apprentissage jusqu'à sa villa, voisine. Passant la porte presque cachée, comme à la dérobée, vous pénétrez dans un long jardin aux odeurs d'oliviers et de citronniers que tu ne reconnais que trop bien. Tes sens en ébullitions, ton pas se veut léger et presque sautillant tant le bonheur fait battre ton palpitant. Car l'israélien est bien là, à partager tout ça avec toi, découvrant ce qui fait de toi ce que tu es. Car si une personne à bien changé ta vie à tout jamais, il s'agit bien de Leonardo, s'exclamant dans de grands gestes venant faire la visite du propriétaire à Jabez. Amusée tu laisses tes doigts quitter ceux du tatoué ayant traversé les océans pour toi pour le laisser se perdre dans l'immense villa aux côtés de ton maestro pendant que tu gagnes les profondeurs du jardin. Tu laisses ta valise s'échouer tout contre la terrasse pavée, tandis que tes pas dansants te mènent au bord de l'eau où t'on regard s'échoue. S'il y a quelques jours, lorsque tu t'apprêtais à mourir on t'avait dit que tu vivrais d'aussi beaux moments, tu n'en aurais pipé mots. Parce que c'est presque trop beau pour être vrai, frôlant l’irréel.

Tu ôtes tes spartiates, que tu abandonnes sur le côté du rebord afin de laisser tes jambes traîner dans l'eau claire de la piscine à température ambiante malgré l'heure encore matinale devant approcher les onze heures. Ton reflet dans l'eau, tes songes se perdent bercés par le rire des deux hommes au loin. Parce qu'ici, Jabez se sentira accepté, aimé, reconnu pour ce qu'il est. L'homme t'aimant de tout son palpitant, celui t'ayant redonné le goût à la vie et cette envie de ne pas lâcher, jamais. Parce que toutes les belles histoires ont un happy ending, et que la votre ne fait que commencer.

(c) DΛNDELION


@Jabez Krief (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939 (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Ven 23 Aoû - 15:29



ce pays n'est donc pas un mythe, un mensonge pour attirer les touristes naïfs. les moindres ruelles sur lesquelles jabez a pu poser ses yeux sont magnifiques, même les plus petites. le soleil brille d'une douce chaleur qui n'a rien d'étouffant grâce à l'air marin et surtout les gens sont plus accueillants qu'ailleurs. il est loin le queens où les regards noirs s'échangent plus que les sourires. elle est loin la colère qui gronde habituellement dans les entrailles de l'israélien. il ne regrette à aucun moment d'avoir bravé sa hantise de l'avion pour atterrir ici, dans cette ville où tout semble simple, l'ambiance d'un petit village de campagne dans une ville qui comprend bien plus d'habitants. s'il ferme les yeux il peut même entendre les cigales chanter, s'imaginer dans un jardin fleuri assit sur un banc avec deux gamins qui chantent à la gloire du soleil dans un italien parfait. c'est peut-être ça son problème à jabez, il n'a vécu que dans deux pays qui ne connaissent la violence et la brutalité, il n'a pas pu se développer autrement qu'en jouant des poings pour se faire une place, ne pas se faire bouffer. c'est la loi du plus fort là-bas. ici c'est seulement la loi du plus avenant. comme ce fameux leonardo qui pointe enfin le bout de son nez, ce mythe dont il a entendu parler plus d'une fois. il est exactement comme dans son imagination, grand, des cheveux ébènes qui viennent s’emmêler autour de son visage rieur. encore plus bavard que dans son esprit par contre. tout comme la mamma un peu plus tôt, le tatoueur vient étreindre jabez dans une accolade chaleureuse. il le voit à son regard qu'il est fasciné par le long travail d'anna sur son corps. l'israélien ne décroche pas son sourire quand leo vient s'approprier une chaise alors que jabez termine son café qui vient le réchauffer encore un peu plus dans cette jolie matinée. les questions fusent au moins autant que les réponses. non il n'a pas eu mal, oui elle est soigneuse, une merveilleuse tatoueuse qui a eu la meilleure des formations, il garde seulement pour lui la finalité de la dernière séance en date mais parle de ses autres œuvres sans soucis. à un tel point qu'il ne voit pas l'heure passer, lui le zombie asocial qui se surprend à trop parler, vite rappelé à l'ordre par sa moitié rieuse devant ce spectacle de deux hommes qui s'adorent sans réellement se connaitre. la conversation jusque là uniquement centrée sur les tatouages dévie sur le pays en général, la vie à naples, celle dans le queens pour mieux intégrer anna dans cet échange animé. tout le monde ici semble se connaitre depuis des années lumières, les accolades ne cessent qu'au moment où l'italienne prodige réclame un plongeon dans la piscine. la chaleur commence déjà à bien taper sur les têtes, ce sera une bonne excuse pour s'offrir une sieste dans l'après-midi, après avoir arpentés une partie de la ville. le petit groupe se lève pour rejoindre la villa de leo non loin. des citronniers pour faire des tartes, des cigales pour se réveiller, des olives pour l'apéritif, il peut déjà imaginer la réserve de vin dans une cave cachée. c'est le rêve d'avenir de jabez qui se présente devant ses yeux, le genre de jardin dans lequel il veut bien passer le restant de ses jours. la main d'anna fidèlement accrochée à ses doigts il avance malgré son regard perdu dans la villa qui semble immense. l'italienne est parfaitement dans son élément, les valises ont tout juste le temps d'être déposées dans l'entrée qu'elle s'échappe pour tremper ses pieds dans l'eau cristalline de la piscine. jabez de son côté est réquisitionné pour visiter la maison pour son plus grand plaisir. il n'a pas le temps de penser aux soucis que la vie lui apporte, aux souvenirs douloureux qui lui enserrent le coeur parfois. seulement le temps de retomber un peu en enfance avec ce voyage qui ne fait que commencer. leonardo lui parle de l'histoire de la maison, décrit les moindres pièces avec une précision fantastique et un humour ravageur. comme deux enfants têtus ils en viennent vite à reparler de tatouages, des façons de faire, des artistes résidents. « annalisa vous a dit qu'elle m'a offert le poste d'apprenti ? » qu'il annonce fièrement. c'est la réalité, il porte ce nouveau boulot comme une fierté de sortir de sa misère, une porte qui s'ouvre pour lui offrir une vie moins difficile, un appartement qui ne manque pas de tomber en ruines un peu plus chaque jours. le maitre tatoueur se stoppe dans son élan pour prendre quelques maigres secondes de silence avant d'afficher un long sourire pour étreindre une nouvelle fois jabez après l'avoir engueulé en lui demandant de le tutoyer, promettant qu'il n'est pas si vieux que ça. leurs deux rires viennent résonner dans la villa alors que la visite reprend son rythme. toutes les pièces sont immenses, décorées par de nombreuses oeuvres d'art, les tableaux viennent joncher les murs pour donner un charme unique à cette maison. ils retournent dans la partie salon où jabez en profite pour reprendre les valises et trainer jusqu'à leur chambre désignée pour les vacances, tout aussi grande que les autres. leonardo fini par disparaitre dans son atelier au sous-sol pour donner le temps à l'encré de se changer, retirer ces vêtements qui viennent l'étouffer avec la chaleur de l'extérieur et s'habiller simplement de son maillot de bain. hors de question d'être le seul à profiter de cette piscine qui l'appelle. il s'aventure dans la villa seul pour rejoindre sa moitié qui attend patiemment les pieds dans l'eau. il se stoppe quelques secondes pour l'observer alors qu'elle est de dos, admirer la chance qu'il a de l'avoir dans sa vie malgré les difficultés. juste quelques instants pour savourer ce spectacle avant de s'approcher par derrière pour déposer ses lèvres sur la mâchoire ritale. « tu m'as manqué amor. » qu'il murmure contre sa peau alors que la sienne est déjà électrisée par ce simple baiser. c'est incroyable cette aura qu'elle a de le rendre encore plus fou à chaque fois, prêt à se damner pour un sourire de sa part. l'israélien finit par prendre ses distances pour ne pas lui sauter dessus tout de suite, préférant plonger dans l'eau qui vient lui rafraichir le corps et les idées. il ne peut pas s'empêcher de venir se rapprocher d'anna pourtant, se maintenant hors de l'eau grâce à ses mains simplement posées sur ses cuisses alors que tout son regard la dévore, tout comme le sourire qui nait au coin de ses lèvres. « tu as fait le choix de me trainer en italie pour me rendre encore plus amoureux c'est ça ? » le ton taquin en dit long sur son humeur. amoureux de ce pays, de cette maison, des personnes qu'il a eu la chance de côtoyer et par-dessus amoureux d'elle, cette italienne puissante qui se trouve fièrement sous ses doigts, prête à conquérir ce monde main dans la main. il n'est qu'un fou à lier capable de sacrifier des vies entières pour rester à ses côtés dans ce pays ou ailleurs, ce n'est pas le plus important tant qu'ils sont ensembles, rien ne peut leur arriver si leurs cœurs continuent à battre la chamade . ils condamnés à s'aimer pour l'éternité, c'est un châtiment que jabez peut bien accepter pour le restant de ses jours.

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Sam 24 Aoû - 4:58



dovresti vedermi in una corona
Jabez - Annalisa

«Je demandai à un ermite, en Italie, comment il pouvait vivre seul, dans une chaumière élevée sur la cime d'une montagne, à un mille de toute habitation il me répondit aussitôt : La Providence est à ma porte.» laurence sterne
T'as le cœur d'une légèreté incroyable, depuis que vous vous êtes envolés pour les terres de ton enfance. Tu ne peux pas dire comme si rien n'était arrivé, les traces rosâtres sur tes avants bras témoignant toujours du contraire. Cependant, t'as réussi à laisser toutes tes interrogations, tout tes ressentiments et toute ta peine fermée à double tour dans ton appartement sans ne serait-ce que lui jeter un regard en arrière. Une semaine, sept jours loin de New york et des pavés du queens. Loin de vos soucis, de ceux cherchant à vous faire du mal. Ici, il n'y a que vous. Crocus et sa Libitina fièrement étreinte par son bras tout contre le creux de ses reins. Car ici, il a tout à découvrir. La chaleur des gens, leurs ouverture d'esprit, leurs bonne humeur communicative. Les étreintes à ne plus finir, les cafés servit coup sur coups, la sambuca coulant à flots, d'autant plus aux vues des réserves astronomiques de Leonardo que tu pourrais presque soupçonner de se préparer à une attaque atomique en se façonnant le parfait petit bunker. Tu peux clairement voir les priorités de cette vieille-chouette, bien trop occupée à passer ses journées à tatouer et à s'alcooliser lorsque la nuit tombe jusqu'à plus soif.

Après un bref baiser tout contre ta joue, Jabez se laisse finalement attraper par Leo bien décidé à lui faire visiter chaque pièces de cette villa bien trop grande pour son âme solitaire. Tu lui as toujours dis, d'se trouver une nana ou un mec gentil qui lui ou elle saurait au moins faire couler un café d'une façon décente. Bien trop amoureux de sa liberté pour s'enticher, c'est fièrement qu'il continue de papillonner usant de ses sois disant charmes que tu ne lui trouves toujours pas à cette vieille branche grognon. Tu te contentes de lui laisser ta valise, supposant que ton ancien maître d'apprentissage viendrait sûrement à lui présenter ton ancienne chambre pour gagner les profondeurs du jardin. Rapidement intéressée par l'eau claire de la piscine, tu viens délasser tes spartiates pour avoir le loisir de venir tremper tes jambes. Tes esprits se perdent un instant, divaguant à de nombreux endroits, mais surtout ici. A cette fierté que tu ressens de pouvoir présenter Jabez à tes proches, à ceux qui comptent vraiment et sur lesquels tu restes bien trop discrète comme à ton habitude. T'as toujours cru qu'on ne pouvait aimer qu'une seule personne à tout jamais. La vérité, c'est que l'amour que tu portes aux gens est propre à eux mêmes, jamais aucune histoire ne se ressemble, cela ne les rend que plus belles encore.

Tu restes un court moment comme ça, à laisser tes jambes barboter dans l'eau, tes pensées rythmées par les rires lointains des hommes de ta vie filtrant hors de la villa. Voilà, ce dont à quoi t'aspires. Posséder votre petite villa au fin fond de ta Sicile natale, élever vos enfants dans une maison aussi belle et aux parfums différents. Leonardo a été bien plus qu'un père adoptif pour toi, c'est ton modèle, celui à qui tu aspires à ressembler plus tard le vœu de célibat en moins. Car un futur sans l'israélien ne t'intéresses pas. C'est à ses côtés auxquels tu veux te tenir tandis que vous vieillissez ensemble. C'est avec Jabez que tu veux pouvoir rendre ton dernier soupir, dans ses bras étant un luxe que tu espères pouvoir t'appartenir.

"Toi aussi, tu m'as manqué..." Tu souffles dans un murmure. Les lèvres du tatoué viennent te sortir de ta rêverie lorsque ses lèvres viennent déposer un baiser rempli de cette douceur que tu continues de lui découvrir tout contre ta mâchoire. S'étant faufilé dans ton dos sans bruits, ta peau s'hérisse d'un léger frisson malgré le soleil méditerranéen venant taper sur vos épidermes encrés. "T'as protégé ta peau au moins j'espère?" que tu lui lances, faussement autoritaire. Combien même le zombie partage tes draps, il est hors de question qu'il vienne gâcher ton travail avec un misérable coup de soleil bien senti sur son cuir. Tu ris, après avoir maintenu pendant quelques secondes un regard réprobateur et très sérieux rapidement gommé par tes éclats de voix joyeusement cristallins. Tu ne peux retenir ce sourire bête, venant habiller ton visage lorsque Jab vient gagner les profondeurs de la piscine avant de revenir se poster tout contre toi, profitant de la chaleur de l'eau à son tour. Ses avants bras viennent trouver place sur tes cuisses découvertes, venant rafraîchir ta peau frissonnante de ce contact. Tu ne peux t'empêcher de rire tendrement, lorsqu'il te demande si tu l'as emmené en ces lieux pour l'ensorceler un peu plus, le faisant toujours plus tomber sous ton charme. Tu t'apprêtais à rétorquer quelque chose du genre "Si tu avais besoin de ça" ou autre chose de semblable lorsque Leo fait son grand retour, une bouteille de liqueur anisé et trois verres en main.

T'adresses un bref baiser sur les lèvres de Jabez, te penchant dangereusement vers l'eau qui t'appelle. Te dérobant sagement de lui, tu viens lui chuchoter au creux de l'oreille. "Laisse moi le temps d'enfiler mon maillot et je viens coller mon corps au tiens." Tu le sais, l'effet que ces simples mots pourront avoir sur lui. Tu le sais, que de nouveau vous ne résisterez pas longtemps avant de succomber aux plaisir de vos chaires se mélangeant. Leonardo ne devrait pas tarder à partir pour le salon, bientôt vous aurez ce moment d'intimité que tu attends avec impatience. A contre coeur, tes cuisses quittent les avants bras de Jabez ainsi que tes jambes quittant la douceur de l'immersion dans l'eau tiède de la piscine. Gratifiant ton père adoptif d'un baiser sur le front pendant qu'il s'affaire à remplir vos trois verres dans sa tenue de vacancier des plus rocambolesques, tes pas te mènent vers la chambre t'ayant servie de refuge pendant bien des années. Tes doigts glissent le long des pierres apparentes de la villa pendant que les souvenirs en ces lieux viennent défiler sous tes yeux. Tu te rappelles de votre première nuit avec Pierre sous ce toit, vous qui n'aviez nulle part d'autre où aller si ce n'était ces chambres d'hotel que vous vous arrangiez pour payer à la journée. Tu peux te souvenir de ces soirées passées à dessiner jusqu'à ce que le jour ne se lève pour venir comparer la différence de vos traits, ton ex mari comme juré favori.

T'atteins la chambre non sans un pincement au coeur. Tu n'étais pas revenue chez ton maître d'apprentissage depuis bien longtemps, t'étant contentée d'un bref arrêt au shop lors de ta dernière visite à Naples pour que Leonardo viennent apposer la pieuvre de la cosa-nostra tout contre ta fesse. Car personne ne te connaît mieux que lui, sur cette foutue planète. Tu pénètres courageusement en ces quatre murs, lieux gardien de bien des souvenirs. Tes opales balaient la pièce où de nombreux clichés de vous restes affichés aux murs. Des photos de toi et Leonardo devant sa boutique posant fièrement, des clichés de Pierre et toi étant plus ou moins jeunes. Une photo de votre mariage retient cependant ton attention lorsque tu passes devant le cadre. Ton cœur se met à battre un peu plus fort. Si tu vis, c'est aussi pour lui. Combien même il pourrait trouver à redire sur certains de tes choix. Comme ta vendetta, ton envie subite de te donner la mort il y a quelques semaines. Chassant ces idées de ton esprit, tu fais glisser ton short blanc le long de tes cuisses ainsi que ton tanga afin qu'il retrouve le sol. Fesses nues, tu finis par ôter le bout de voile blanc recouvrant ta poitrine afin de te laisser le loisir d'enfiler le maillot de bain une pièce choisit pour vos vacances. Puis tu reviens sur tes pas, bien trop pressée de pouvoir retrouver l'épiderme encré de Jabez n'attendant que toi.

Prenant le chemin en sens inverse, tu peux constater certaines modifications apportées à l'intérieur de la villa par Leo ne cessant de la modeler à son image. Rapidement, tu retrouves le jardin pour retrouver ton zombie barbotant seul, son verre à la main. "Ne me dis pas, il a filé au salon parce qu'il a pas vu l'heure passée et que son rendez vous s'impatientait?" t'en mets tes deux mains à couper, sûre de toi. L'absence avancée du maître des lieux venant t'arranger soudainement, tes fesses galbées viennent retrouver le bord de la piscine sur lequel tu glisses de façon lascive. Tes opales brûlantes, noircies par le bonheur et l'excitation viennent trouver celles de Jabez tandis que ta carcasse se retrouve à présent totalement immergée t'arrachant un gémissement de satisfaction. Gémissement renouvelé lorsque qu'après deux ou trois brasses ton corps vient retrouvé celui de l'encré t'attendant patiemment. Tes lèvres pulpeuses se fraient un chemin jusqu'aux siennes tatouées pour venir les saisir et ne plus les abandonner. "Je t'aime, Jabez." Que tu souffles entre deux baisers, tes bras venant former un étau tout contre sa nuque. Pour toujours et à jamais.
(c) DΛNDELION


@Jabez Krief (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939 (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3794924939
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Sam 24 Aoû - 11:55



ce moment intimiste entre trois personnes qui s'apprennent pourrait bien faire l'objet d'une photographie ne demandant qu'à être encadrée. personne ne pourrait se douter de leurs vices personnels, de la vendetta de l'italienne qui a ôté la vie à de nombreuses personnes, des deux meurtres de jabez emporté par la bête qui sommeille au plus profond de lui. même ce bon vieux leonardo doit avoir des histoires sombres bien cachées au fond de lui. ils forment un trio dangereux, trois bombes prêtes à exploser pour protéger la personne aimée. ça a déjà été le cas pour anna et jabez, emportés par une fureur incontrôlable. l'encré s'est toujours demandé si elle aurait pu tuer cara le soir du restaurant s'il n'avait pas été là pour la séparer, calmer ses poings vengeurs. sûrement que oui, de son côté il n'aurait pas hésité à finir un homme venu dans le seul but de briser un nouveau couple. ce que cara ignore c'est que leur couple est indestructible, il a été taillé dans l'acier le plus solide pour résister aux moindres coups bas venant de l'extérieur. que ça leur plaise ou non ils sont liés pour l'éternité. autant profiter de cette vie qui se passera à ses côtés, surtout dans le cadre de ces vacances improvisées, dans cette villa qui laisse une nouvelle fois résonner le rire de jabez quand la tatoueuse reprend son air professionnel pour lui demander s'il a protégé ses tatouages. après tout elle est la cause de toutes ces marques d'encres qui ornent l'intégralité de son corps, il peut comprendre qu'elle y tient. « comme tu me l'as appris, chef. » il insiste volontairement sur le dernier mot, l'apparence joueuse qu'il prend cache en réalité une immense fierté de devenir son apprenti prêt à courber l'échine face à ses ordres tant qu'ils restent d'ordre professionnel. c'est un rêve de gamin qui se réalise pour lui avec cette possibilité de faire quelque chose de sa vie, ne plus être qu'un chien errant sans but. le maitre incontesté du tatouage refait son apparition avec la fidèle sambuca que l'israélien commence à bien connaitre. il verse le contenu de la bouteille dans trois verres, jabez s'empresse d'attraper le sien juste après avoir déposé ses lèvres sur celles d'anna, trop rapidement à son goût mais c'est pour mieux la retrouver. les deux hommes se retrouvent à nouveau seul, ils en profitent pour trinquer à eux, au bonheur que l'amour peut offrir, à l'italie. toutes ces choses qui transforment jabez le temps des vacances, le retour à la réalité risque d'être brutal pour tout le monde. il ne faut pas longtemps avant que leonardo regarde sa montre pour s’apercevoir de son retard0 , il abandonne l'encré en emportant tout de même son verre. jabez profite de cette solitude imposée pour laisser divaguer ses pensées à son tour. jamais il ne pourra offrir à l'italienne ce qu'elle lui donne à cet instant, jamais il ne pourra l'emmener dans son pays d'origine qui n'est rythmé que par la guerre, même une simple rencontre avec sa mère relèvera de l'exploit. elle ne pourra jamais réellement se greffer comme il a pu le faire avec sa famille adoptive italienne, ils ne sont pas du même monde, elle a le confort qu'il n'a pas, la chaleur humaine qu'il n'a jamais connu. il a eu les coups de feu à la place des feus d'artifices, les cris d'effroi plutôt que les rires enthousiastes, un toit effondré plutôt qu'une immense villa comme domicile. pourtant il n'y a pas de jalousie, il profite simplement de ce que la vie peut lui offrir même de longues années plus tard. cette italienne est un cadeau quand elle revient tout près de la piscine simplement vêtue d'un maillot de bain qui dévoile bien mieux ses formes que des vêtements, mais il reste tout de même superflu au goût de jabez. elle vise juste quand la question sur l'absence de leo se pose. « bingo, il s'est laissé emporté par son rôle de guide. » son rictus amusé s'efface bien vite au profit d'un sourire plus sérieux quand elle vient coller dangereusement leurs corps, ce qui ne manque pas de réchauffer l'eau déjà tiède de la piscine. ce n'est rien comparé au coup d'électricité qui vient parcourir son échine toute entière quand les trois mots sont prononcés, lèvres contre lèvres. ce n'est pas la première fois qu'il les entend, mais l'effet reste le même, c'est un tsunami d'envie et d'amour qui vient déferler en lui. « je t'aime. » qu'il murmure à son tour dans ce moment intimiste alors que le baiser ne tarde pas à reprendre de sa fougue. la main droite de l'encré vient se loger sur la joue de la ritale alors qu'il colle leurs corps suffisament pour qu'elle se retrouve coincée entre le rebord de la piscine et son corps. prise au piège, en proie aux dents du loup affamé. c'est tout naturellement que les souffles se coupent sous le désir qui grimpe en flèche, rendant l'atmosphère encore moins respirable. la seconde main était prête à se poser sur le fessier galbé de sa moitié alors que leonardo refait son apparition en un éclair, se perdant en excuses, mais la bouteille d'alcool ne pouvait décemment pas rester toute seule, il en a trop besoin pour tenir le coup pendant sa séance qui risque de durer un moment. son passage ne dure que quelques secondes, mais jabez peut deviner un sourire entendu sur les lèvres du maitre. il a sûrement passé l'âge d'être naïf. aussitôt disparu dans son atelier de tatouage, l'israélien reprend où il s'était arrêté. la poitrine d'anna est toujours compressée dans son torse et cette fois la main parvient à trouver le chemin de ses fesses pour mieux la maintenir. l'étreinte de leurs lippes est rompue pour qu'il puisse prendre possession de son coeur où il laisse trainer ses canines dans un doux grognement. il ne se lassera jamais de ces moments où il se sent vivre plus que jamais. inlassable, incapable de vivre sans elle.


Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Mer 28 Aoû - 6:13



dovresti vedermi in una corona
Jabez - Annalisa

«Je demandai à un ermite, en Italie, comment il pouvait vivre seul, dans une chaumière élevée sur la cime d'une montagne, à un mille de toute habitation il me répondit aussitôt : La Providence est à ma porte.» laurence sterne
T'as pas mis longtemps avant de te décider. D'acheter deux billets plutôt qu'un. Tu ne connaissais pas la peur de Jabez pour l'avion, avant de craquer sur un coup de tête. Ce besoin de retrouver tes origines, de retrouver les personnes ayant fait partie de ta vie pendant si longtemps. T'as eu ce sentiment d'avoir besoin de Leo, de retrouver la villa pour t'y ressourcer. Repiquer dans le salon où tu as fais tes armes si l'occasion s'y présente. Retrouver Gina et ses étreintes solaires venant réchauffer le cœur de n'importe qui au moins aussi chaudement que ses cornettos encore fumants lorsqu'ils sortent du four. Alors lorsque l'encré est sortit ce soir là, après t'avoir embrassé passionnément sur les lèvres afin de gagner la pénombre des rues new-yorkaises pour retrouver Alyah lors de sa débauche, ça t'as paru comme un évidence. Tu pouvais pas partir sans lui, tu pouvais pas le laisser la-bas. Lui aussi, il mérite tout l'amour des tiens, d'être entouré de leurs halo doré sachant apaiser les âmes. Alors sans réfléchir plus, t'as acheter deux billets. Parce que à présent, c'est ensemble sinon rien. Et ça a commencé dès cet instant.

T'as attendu patiemment qu'il arrive au shop le lendemain. Il est entré par la porte arrière, à gravit les étages menant jusqu'à ton appartement pour te réveiller en te couvrant de baisers. Il s'est glissé sous tes draps tout habillé venant trouver ton corps nu de cette nuit passée sans lui et vos lèvres se sont retrouvées. Vos corps aussi, car vous êtes bien trop fiévreux pour pouvoir réussir à vous retenir lorsque vos instincts viennent piquer vos entrailles en vous suppliant de céder. Après vous êtes unis longuement, et avoir atteint plusieurs fois l'orgasmes tu t'es contentée de lui lâcher comme ça. "J'ai acheté deux billets pour Naples. J'aimerais que tu viennes avec moi amor. J'ai besoin d'un court retour à la maison..." Tu ne serais pas partie, s'il ne t'avait pas accompagnée. Incapable de te retrouver à nouveau à plusieurs milliers de kilomètres de lui. Y'a des étoiles, qui se sont allumées dans ses yeux. Tu sauras jamais vraiment pourquoi. Si c'était la fierté que tu veuilles le présenter à ceux que tu considères comme ta famille, cette semaine de vacances méritées que tu vous offres au soleil loin de tout vos soucis, où cette perspective pouvoir lui offrir un maximum de pièces sur le puzzle compliqué constituant ta vie en lui offrant un peu plus de matière pour comprendre comment t'es faite, de quelle manière t'as été assemblée et pourquoi tu es ce que tu es.

Tu t'échappes du corps de l'israélien ayant trouvé la chaleur de l'eau claire de la piscine à contre-cœur pour toi même te revêtir de ton maillot de bain. Après un nouveau baiser des plus passionné, tu t'arraches à son étreinte après un grognement d'insatisfaction commun. Car vous détestez ça, venir séparer vos corps trop rapidement à vos goûts. Tu gagnes l'intérieur de cette villa que tu ne connais trop bien malgré les changements apportés par ton maestro au fil des années qui passent. Nouvelles sculptures, peintures. Murs abattus ou d'autres nouvellement dressés. Leo est un éternel excentrique, électron libre incapable de se poser ne serait-ce que cinq minutes. Hyper-actif notoire en manque d'affection et ayant bien trop peur de s'attacher aux gens. Tu gagnes ta chambre, enfin, ton ancienne chambre non sans mal. T'as le coeur qui se serre lorsque tes opales se posent sur ces différents clichés révélant différents instants de ta vie. Du début de ton apprentissage jusqu'à ton mariage. Tu le sais, que Leo a été aussi touché que toi lors de la perte de Pierre. Car il le considérait comme un fils, lui aussi. Dans le fond, c'est peut-être bien ce qui avait motivé les paroles de Leonardo à l'epoque. "T'es l'enfant de la pieuvre 'lisa. Soit redoutable et vient faire sonner le glas de ta vendetta." Ta tête se secoue rapidement. Tu ne tardes pas à faire glisser tes vêtements au sol pour enfiler le maillot plié dans l'une des poches de ta valise. La présence de Jabez te manque déjà, vos corps étant comme deux aimants.

Féline, tes pas t'amènent tout droit vers la piscine où tu rejoins ton zombie favori. D'une façon lascive laissant étirer ton corps d'une façon sensuelle ton épiderme se retrouve submergé de l'eau tiède tandis que le soleil brille à son zénith au dessus de vos têtes. Vous vous amusez du fait que Leo se soit laissé porter par son rôle de guide au point d'oublier l'heure précise de son rendez vous. Le shop étant accolé à la villa, donnant sur une rue adjacente au café de Gina. Vous riez, vos corps se retrouvant tout comme vos lippes lorsque vos mots d'amour les franchissent. Tu t'en remets pas, lorsqu'il te le dit. Qu'il t'aime. Lorsque son souffle vient te susurrer ces quelques mots, n'ayant pas de mal à venir électriser ton épiderme malgré qu'il soit submergé par l'eau. Votre baiser reprend, ton palpitant cogne avec une force de surmené dans ta poitrine pour venir trouver celui de l'israélien. T'es rien sans lui 'lisa, sans l'étreinte de ses doigts, sans ses lèvres ou son regard. Sans son coeur battant pour le tiens, lui rappelant qu'il peut tout faire, tout endurer. Si bien que t'as pas vraiment le temps de comprendre lorsque ton corps se retrouve bloqué entre le mur de la piscine et le corps fiévreux du tatoué.

La chaleur monte instantanément, deux félins pour l'autre, bien incapables de se retenir plus longtemps. Les mains s'emballent, tout comme les dents qui viennent titiller et s'agacer mutuellement. C'est sans compter sur un raclement de gorge, provenant de ton dos émit par un maestro se confondant en excuses faisant interruption dans le décor. Tu n'peux t'empêcher d'perdre ton visage contre Jab, faussement exaspérée du comportement trop enfantin de ton maître d'apprentissage. Tu l'sais, que c'était pertinemment fait exprès, juste pour s'assurer que c'était pas une caméra cachée, que t'étais bien folle amoureuse d'un zombie à en crever. Les phalanges de Jabez ne manquent pas de revenir à l'assaut lorsque tu supposes Leo enfuit, les mains à l'épiderme encré viennent saisir tes fesses, tes jambes nouées comme un étau autour du bassin de l'israélien. Vos lippes se séparent, ses canines viennent grignoter ta poitrine au niveau de ton palpitant qui cogne furieusement tout contre lui comme pour le remercier de ces caresses à son attention. Une plainte de plaisir audible pour vous deux uniquement s'échappe d'entre tes lèvres. T'aimes beaucoup trop ces douces petites piques de violence qui vous animent lorsque que vous venez à lâcher la bride pour laisser les démons danser de tout leurs saoul.

Vos bassins se livrent un ballet des plus enflammés, créant un courant brûlant autour de vous. Vos lèvres parcourent furieusement les parcelles de peaux offertes à leurs bons vouloir qu'elles soient tatouées ou non. Tes bras scellés autour de sa nuque n'ont de cesse que d'accentuer cette étreinte de ta poitrine tout contre ton torse, laissant la pointe dressée de tes tétons percés venir caresser son torse nu au rythme de vos échanges. Leonardo ayant constaté votre besoin d'intimité, et loin d'être suicidaire vous semblez avoir un long moment devant vous avant de pouvoir aller profiter des rues napolitaines que la ville peut vous offrir. L'une de tes mains vient quitter le cou tatoué de Jab pour glisser le long de son corps et atterrir sous tes fesses où une érection bien marquée commence à naître. "Tu préfères pas profiter de la piscine, avant de profiter de moi?" que tu viens lui souffler entre deux baisers ardents. Bien-sûr, que tu que t'aimes mieux avoir son corps contre toi pour venir raviver ces braises dans vos bas ventres lorsque ces derniers se retrouvent en contact. Ta carcasse entière lui hurle de venir s'en éprendre sur le champs, ton langage corporel ne sachant lui mentir et encore moins lorsque le plaisir est mit en question. Tes gémissements suivent de près les coups de bassins donnés. Tes doigts aventureux viennent taquiner l’élastique de son maillot de bain , avant de se faufiler entre ce dernier et la peau de l’israélien. "Après... J'pense qu'on va pouvoir être tranquille un moment." Nouvelles paroles murmurées pour déchaîner toujours plus ses instincts. Car avec vous 'lisa, rien n'est jamais innocent.

(c) DΛNDELION


@Jabez Krief (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  3227196488
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty Mar 3 Sep - 19:49



la noirceur de son âme est bien loin à cet instant. pour que cet instant de pur plaisir ne cesse jamais, que cette envie qui vient meurtrir leurs palpitants reste intact pour le restant de leurs jours. que tout ce chemin déjà parcouru ne soit pas qu'un mauvais rêve, mais une histoire qu'ils pourront raconter à leurs petits-enfants une fois vieux. c'est une relation qui mérite d'être contée, d'être affichée au grand jour sur un écran géant, d'être hurlée au clair de lune pour la faire résonner pendant le crépuscule. c'est tout ce qu'il veut, changer sa vie de monstre pour en faire quelque chose de meilleur à ses côtés. il ne s'aperçoit même plus qu'il s'enferme dans une bulle qui n'appartient qu'à eux quand leo refait son apparition en simulant l'oubli de la bouteille de sambuca alors que sa cuisine doit avoir assez de réserves pour tenir les prochains mois sans sourciller. il veut surtout contrôler d'un oeil paternel cette relation qui reste récente entre deux personnes qu'il apprécie étrangement. c'est à peine si jabez a le temps de le voir partir la tête timidement rentrée dans ses épaules mais le sourire bien présent. l'encré se retrouve trop accaparé par le plaisir qui n'en finit pas de naitre en bas de son ventre. il ne manque pas de le faire remarquer en donnant quelques coups de bassins pendant que ses lèvres sont occupées à l'exploration de sa poitrine qu'il semble connaitre par coeur, mais dont il est certain de ne jamais se lasser. les souffles se coupent à l'unisson pour mieux évacuer cette chaleur qui semble les consumer. lui l'homme qui ne prenait jamais le temps de savourer les préliminaires, qui allait droit au but sans se poser de questions, le voilà qui apprécie cette douce torture quand il est en compagnie de la ritale. il prie pour que ce moment dure des heures, des jours entiers, qu'ils explorent les moindres recoins de cette villa qui doit regorger de cachettes ou encore de cette ville qui ne demande qu'à être baptisée entre deux visites. les mots d'anna se font murmure, juste une phrase joueuse qui attise toute l'attention du zombie. il préfère se dessécher, mourir plutôt que de cesser ce moment, surtout quand elle vient glisser sa main dans son maillot dans une innocence qui ne lui réussit pas, arrachant un grognement bestial à jabez. « je peux très bien profiter de la piscine et de toi en même temps.. » qu'il souffle difficilement, pauvre proie à la merci des doigts habiles de l'italienne. il ne lui en faut pas plus pour qu'il remonte ses lèvres, cherche celles de l'être aimé avec une férocité qui annonce parfaitement la suite des évènements. juste quelques secondes, quelques maigres minutes peut-être où il profite des caresses qui le mènent tout droit en direction de la folie. les poignes de l'israélien glissent sous ses fesses pour la soulever délicatement, poser ses fesses contre le rebord un peu frais de la piscine. il suppose sans mal que la chaleur doit camoufler toute fraicheur ambiante, surtout quand le baiser se stoppe pour laisser l'occasion aux lèvres tatouées de glisser le long de sa mâchoire, glisser confortablement vers son bas où il écarte simplement le maillot à l'aide de ses doigts, ceux qui ne sont pas occupés à meurtrir ses hanches de griffures à vif. c'est la langue qui rentre en action tout contre l'intimité déjà gonflée de l'italienne, cette même langue qui savoure le plaisir en dessinant des mouvements étendus, mais dans une lenteur volontaire. tant pis si les cris résonnent jusqu'à alerter tous les voisins du quartier ou encore leo. peu importe si le décompte des vacances s'amenuise au fil des minutes qui passent. ces moments-là valent bien plus que quelques minutes, ils sont là pour rabibocher deux cœurs encore bousillés par les récents évènements. jabez a cette impression de lui devoir quelque chose, ce besoin de la remercier pour lui avoir sauvée la vie. c'est en cette fin de matinée qu'il compte lui offrir un orgasme comme le plus beau des cadeaux. pour intensifier le plaisir, les doigts lâchent le tissu du maillot suffisament retenu par son visage pour se glisser en elle dans ce supplice qui le torture autant qu'elle. ne faire qu'un avec elle, voilà ce dont il rêve. il préfère attendre pour rendre ce moment toujours plus prenant. c'est comme prendre de l'élan pour s'envoler plus haut, jusqu'à toucher les étoiles.




Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty
Message Sujet: Re: (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez    (ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
(ITALIA/NAPOLI +18) dovresti vedermi in una corona ± jabez
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» buongiorno Italia gli spaghetti al dente (01/07-11/07)
» bad decisions that we made (jabez)
» le soupir de l'aube. (jabez)
» PR / will, jabez, aislinn (24/07).
» wild stare (ft Jabez)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: versions #11 et #12 :: RPS
-
Sauter vers: