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 don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]

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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Mer 22 Mai - 20:39


don't threat me with a good time
Sasha - Nashandrä

« Les âmes soeurs finissent par se trouver quand elles savent s'attendre. »Téophile Gautier.
Tu te souviens de ta rencontre avec sash, les jeunes pleines d'espoir que vous étiez. Tu te souviens que ses cheveux étaient encore blonds, que ses yeux bleus t'avaient électrisés sur place te clouant au sol. Vous vous êtes monstrueusement rentrées dedans, c'était grandiose. T'as bien failli lui péter le nez et toi la cheville, vous auriez été deux magnifiques éclopées. Pour te faire pardonner, t'as proposé de lui payer un café. T'avais du temps devant toi, et tu te sentais vraiment mal d'avoir failli blesser une parfaite inconnue. Vous vous êtes serrées la main tout en vous présentant poliment. Ni l'une ni l'autre ne se doutait du terrible duo que vous alliez former par la suite. Vous êtes donc parties boire ce café, qui tourne rapidement à une bière en terrasse d'un café branché où tu passais ton temps à l'époque. Vous vous êtes parlées pendant des heures, sans vous soucier du monde autour. Comme si vous vous étiez toujours connues. Vos points communs et différences font de vous deux êtres parfaitement complémentaires, et c'est comme ça que la belle histoire de votre amitié débute.

Tu te souviens de ton réveil après ton comas trop long, de la lumière brûlant tes yeux et te brouillant la vue. Du bip  des trop nombreuses machines et perfusions auxquelles tu es reliée. ton corps entier te fait mal. Ta tête plus que tout, ton coeur bat dans tes tempes. Ta bouche est sèche, et t'as l'impression d'être revenue d'entre les morts. Ta vision s'ajuste, mais dans ta tête le brouillard est complet. La douleur prends le dessus sur tout, et t'as l'impression d'être âgée d'une centaine d'année. Tes yeux se portent d'abord sur tes draps, sur tes bras amaigris. Tu distingues ton lit, puis ta table de chevet où ce qui ressemble à un bouquet de lys repose. Ton regard continue son ascension, devenant toujours plus précis. Tu vois les machines qui te brisent les oreilles, tu comprends pas bien ce qui t'arrive. Tu serais peut-être bien morte? Non, t'aurais pas si mal. Tu planes, mais dans le mauvais sens. Tu te frustres de ne pas réussir à te concentrer, de cette douleur lancinante. T'entends un bruit de chaise, alors avec tout les efforts du monde t'essaie de tourner la tête. Bordel ce que ça t'as demandé comme force. Tes yeux tombent sur Siobbhan, assoupie et enroulée de vieux draps que tu reconnais vu que c'est les tiens. Puis tu tombes sur Sasha, oh sasha... Ta meilleure amie se tient debout devant toi, elle est blême comme la mort. De larges cernes presque violacées tombent sous ses yeux lui donnant un air grave que tu aurais préféré oublier. Tu te souviens des larmes qui se sont mises à rouler sur son visage, de sa main plaquée sur sa bouche afin d'étouffer son sanglot. Ton coeur se brise à cet instant, et sans les contrôler tes joues se retrouvent à leurs tour inondées. Elle réveille Siobbhan, qui sursaute tirée de sa brève rêverie. Ta mère adoptive manque de se ramasser en voulant se lever, et tandis que sa main saisit cette de sash la troisième madeleine se joint à votre joyeuse bande. Tu voudrais parler, mais elles te disent de ne pas le faire. Que le tube dans ta gorge t'en empêche mais qu'on va t'enlever ça. Leurs voix sont douces, elles parlent faiblement et ne tentent pas de t'assaillir. Tu commences à te sentir partir, sûrement la douleur qui te donne un malaise. Au moins, tu ne souffriras pas plus sur l'instant.

Sasha à été là aussi pendant ta ré-éducation. Alors qu'après plus d'un an immobilisée on te demande de remarcher. Que ton cerveau est un vulgaire gello à la fraise tout tremblotant et gélatineux. T'es bonne à rien, t'as envie de crever vraiment. C'est impossible que Sören t'ai fais ça, et qu'il t'ai abandonnée après. Ou alors c'est ta faute, t'es qu'une idiote après tout. Tu le pousses à bout, encore et encore. T'en demandes toujours trop, et c'est de ta faute. C'est toi qui as blessé tout le monde, c'est toi qui as fait pleuré tout le monde. Utiliser ta voix te fait mal, tes mains tremblent et tes jambes peinent à supporter ton maigre poids. T'es insignifiante et bonne à rien. Y'a que les médicaments qui te soulagent, bien que t'ai aucune idée de ce que ça puisse bien être. Et pourtant même si t'es exécrable, venimeuse et méchante Sasha reste là. Et elle prend tes coups, ta colère et ta frustration. Elle prend tout, et toi entière. Si ça c'est pas de l'amour.

Ta meilleure amie te lance avec presque un air de défi sur les lèvres qu'un strip poker est une mauvaise idée, sachant que t'as déjà une légère avance. Au contraire, toi ça te va hein. La vue de la peau douce de sash te ravit, tu la trouves magnifique bien qu'elle te soûles du contraire. Ses traits sont parfaits, ses yeux profonds. Ses lèvres tentatrices et son cou est un appel aux baisers. Sa petite taille et son allure fluette te donnent envie de la couvrir de tes bras pour la protéger à l'aide de câlins contre l'horrible monde des adultes. Sash c'est ta personne, ta moitié, ton âme frère. Vous avalez vos verres après avoir manqué de renverser vos shooter en trinquant comme deux pas douées. L'alcool passe dans ta trachée et te réchauffe instantanément l'estomac, continuant à faire monter l'ivresse naissante. Tu décides de remettre les scores à zéro et tu ôtes maladroitement la blouse légère encore présente sur tes épaules. Tes cheveux retombent sur tes épaules cachant faussement un côté de ta poitrine. "Tiens, comme ça tu m'accuseras pas de tricherie eheh" d'un rire théâtral tu lui jettes ton vêtement au visage, joueuse tandis qu'elle te nargue s'essuyant les lèvres et rejetant ses cheveux longs vers l'arrière. Parce qu'au fond, tu sais pas vraiment si c'est au poker que t'as envie de jouer. Tes yeux brûlent d'une lueur de défi, et tu sais ton chat joueur. Elle te demande de lui rappeler les règles, alors tu quittes ta position de tailleur pour te rapprocher dangereusement de ta belle. "La règle qui dis que si tu perds, tu perds aussi le peu de vêtement que tu portes?" tu susurres presque, la proximité de vos visages étant encore une fois tentante.
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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Jeu 23 Mai - 6:58

Nash. T'aurais pas pu la lacher même si t'avais voulu. Ses cheveux noirs et long, son sourire, sa dégaine, son énergie surtout. Votre rencontre avait été fracassante. Et pourtant dès qu'elle a posé ses mains su tes épaules en se fondant en excuses, t'as su, t'as sentis qu'elle serait importante. Tu te trompais jamais dans ses premiers instincts, même si tu sentais le sang battre dans ton nez, c'était pas grave, t'étais vraiment pas le genre de meuf qui se mettait à saigner du nez comme un robinet, c'était très étrange selon toi. Comme ton premier petit ami, Remi, quand tu l'embrassais et qu'il se deversait de rouge sur tout, sans coups, sans rien, juste comme ça. Weird. Pas toi, t'étais trop hypnotisée pour avoir mal. Présentation maladroite avant de passer le reste de votre vie ensemble. Des rires en délires sur la terrasse du café, à te perdre dans ses yeux, à pas avoir peur de vos contacts mutuels. Comme si tu retrouvais une vieille amie, que tu découvrais, que tu ne te laisserais jamais de redécouvrir. T'as pensé être amoureuse d'elle avant de te rendre compte que c'était bien pire, que vous ne pouvez pas gâcher ça avec des bêtises. Surtout quand t'aurais à te casser les noix avec les siennes, de conneries.

Connerie dont le seul non te fais trembler de rage. Parce que t'avais passé beaucoup de temps à son chevet, surtout quand Siobbhan a eut la bonne idée de te faire passer pour sa soeur, pour que tu ne sois pas obligée de venir que sur les heures de visite. Ça t'arrivais de partir, quand Siobbhan était là, qu'elle sentait que t'allais péter un plomb, qu'elle te disait d'aller prendre l'air, de manger, de marcher. Tu voulais pas, tu voulais pas qu'elle se réveille sans que tu ne sois là. Pour ça que t'avais perdu un poids fou, toi aussi, à force de pas manger et te faire du sang pour elle. Quand on te forcait, tu les cherchait, dans l'hopital, la maladie qui lui avait fait ça. Parce que tu le savais assez con pour venir se foutre le nez ici, la chercher. Si tu le revoyais, tu lui sautais à la gorge, tant pis pour tout, tant pis s'il était plus fort que toi, tu connaissais les cours d'auto-défense et tu lui ferais payer. Payer toutes ses nuits où tu pleurais perdue dans le lit contre elle, contre son corps inerte. Parce que t'avais peur qu'elle meurt, qu'elle ne revienne jamais. T'avais un petit peu arrêter de vivre, à ce moment là de sa vie à elle, jusqu'à ce qu'elle se réveille de son long someille de princesse. T'as pas su lui faire la morale, lui faire promettre de plus jamais parler à cet enfoiré, t'es juste fondue en larmes. Réveillé sa mère, cherchant à la rassurer, à la faire taire. Avant qu'elle ne reparte, mais plus pour aussi longtemps.

Tu ne pouvais pas faire autre chose d'être là pendant qu'elle s'en remettait. Pas autre chose que d'être positive lorsque sa vision à elle était toute noire. Tu l'aidais, à chaque pas, l'encourageais, tu l'as aidé à manger, t'as pris soin d'elle quand tu ne prennais même pas soin de toi-même. Tu pouvais bien le reprocher à ton pote Rio, tu faisais la même chose que lui avec les gens que t'aimais. Comment de fois tu lui as dit que ça iriait, qu'il fallait croire, être positif, combien de sort, de méditations t'as fait pour elle, tu ne les comptes plus. Tu lui avais promis que tout serait un jour ''normal'' et parfois, quand tu te perdais à la fixer, ça te rendait émotive de te dire qu'elle ne marchait même plus, y'a pas si longtemps. Ça te pince le coeur. Ça ou encore quand te doigts effleurent ses cicatrices. Tu le laisseras jamais revenir. Faudra te passer sur le corps. Ce soir, tout ça semble à des années lumières. Et lui aussi. Il la trouvera jamais, ici, chez-toi. Et c'est là que tu veux la garder.

Strip poker. Tu regrettes presque la blague, la mauvaise idée, celles qu'elle adore tellement ta belle amie. Un connerie plus loin tu proposais d'inviter Shabh, hein, why the fuck not ? Un shot plus tard, Nash arrache sa blouse. T'as encore l'alcool qui te brule les lèvres, que tu tentais de calmer du bout des doigts. « Wow. » Que te surprends à laisser tomber quand tes yeux glissent inévitablement vers sa poitrine. Pas que tu l'ai jamais vue, mais là, comme ça, ça te surprenais. Ramenant ses cheveux devant, fucking déesse qui te jettes son bout de vêtement. Tu ne te caches même pas pour en prendre une goulée de parfum, le reniflant comme une fan dramatique jusqu'à t'en étouffer et rigoler, déposant le vêtement sur ton sol. Bon, au moins elle triche pas, même si c'est clair qu'elle va tricher plus tard, mais booooon. Faut surtout pas tricher et bien te réexpliquer les règles. Elle se rapproche, normal, jusqu'à ce que ça ne le devienne plus. Quand elle te susurres sa phrase, que vos corps tangent, dansent l'un vers contre l'autre, que ton ventre se serre, ton souffle se coupe un peu, tu cherches tes esprits, rigolant pour retrouver un peu d'air. Ça va mal finir, ça va mal finir, très mal finir. T'as encore fucking envie de l'embrasser, à pleine bouche, de grimper sur ses cuisses et de danser sur ses genoux, jouer au strip sans le poker. Sauf que tu sais qu'il faut que tu te calmes. Fait chaud, bordel.

« Disons, plutôt comment on gagne, tout ça. » Que tu rigoles en détournant ton visage du sien, laissant ta tête tanger vers son épaule dénudé, dans un autre rire. Concentration. Vous avez un match à mener. God, te faudrais peut-être un autre shooter pour te remettre les idées en place, tu sais pas trop.
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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Dim 26 Mai - 19:00


don't threat me with a good time
Sasha - Nashandrä

« Les âmes soeurs finissent par se trouver quand elles savent s'attendre. »Téophile Gautier.
Ta belle détourne le visage, t'as presque envie de bouder. Sash se resserre un verre, comme d'un prétexte aimable afin de fuir ta tête que t'approchais de la sienne. Tu te laisses retomber lourdement en arrière, légèrement déçue que tes petites manigances ne prennent pas assez pour faire craquer ton amie. Comment gagner au poker? Le bluff? Savoir être prudent sans trop l'être? T'en sais pas grand chose dans le fond. T'as envie de fumer, et c'est donc ce que tu vas faire ma grande! Tandis que sash resserre une tournée de shooters, tu récupères le nécessaire à rouler. Bon, ça fait pas longtemps que tu roules. Tes doigts ne sont pas encore bien adroits quand il s'agit de tenir une feuille et encore moins quand celle ci contient weed et tabac. T'attaches tes cheveux en un haut chignon la concentration étant maximale. Tu te prépares comme une guerrière qui s'en va au champs de bataille. Slim? Okay. Tabac? Check. Weed de qualité finement grindée? Aye captain! Tu roules un petit bout de carton entre tes doigts afin de confectionner un tonc' qui te permettras de faire passer la douce fumée entre tes lèvres. Une fois le tout en place, vient l'étape que tu trouves le plus fatidique. Ta langue tendue passe sur le collant de ta feuille, tes yeux ne quittant pas sasha. Puis tu viens tourner le pétard sur lui même et d'un tadam magnifique tu lé présentes à ta camarade de soirée. "Franchement comparés aux anacondas enceintes jusqu'aux yeux que je roulais il y a encore peu, celui-ci mérite un vingt!." que tu t'acclames, fières de ta connerie.

T'enlèves ce que t'appelles le chapeau rapidement, c'est jamais trop bon ce gout de feuille cramée. Tu le portes à tes lèvres, l'allume et tire lourdement dessus. Le goût de la weed te revient en bouche avec panache, adoucissant l'amertume de la téquila ambrée que vous vous enfilez. T'expliques les règles à ta belle, enfin ce dont tu te souviens. Les jeux de cartes sont jamais vraiment trop ton fort, tout comme le reste des jeux dans le fond. Tu passes en revue les différentes mains possibles, allant de la plus faible à la plus intéressantes. Paire, double paire, brelan, quinte, flush, full, carré, la quinte flush et enfin la rolls royce la fameuse quinte royale composée des cartes suivantes: 10, valet, reine, roi, as. T'en viens aux différentes mises: se coucher, suivre la blinde en payant le même prix ou alors relancer en offrant et demandant une somme supérieure et ce à chaque carte du Flop retournée. C'est lorsque les cinq cartes du flop sont retournées et que les mises des joueurs sont faites que ceux-ci retournent leurs carte. La plus grosse main l'emporte, la mise avec. Plutôt fière des souvenirs que tu as gardé malgré la non pratique, t'as clairement l'air d'avoir perdu sash avec tes explications.  "Attends, t'sais quoi je vais te faire un petit papier avec les mains, comme ça tu sauras!." toujours si attentive que t'es.

Après ton petit post-it rédigé rapidement, à l'encre rose paillettes et avoir fait plein de petits coeurs dessus la partie peut commencer! Vous décidez d'un tour de chauffe afin de vous remettre toute les deux dedans, et heureusement parce que sinon t'aurais mangé cher dès le début avec son flush mesquin de la chance du débutant. Les manches s'enchaînent, tu continues de fumer tout en enchaînant les shooters. Le pétard toujours dans ta bouche, t'abats tes cartes sur la table persuadée de pouvoir l'emporter par la chance du bluff et c'est là qu'encore une fois Sasha l'emporte. Tu râles, déjà qu'elle à pas été rigolote plus tôt quand tu lui offrais tes lèvres, là t'es clairement la seule à te déshabiller. T'as commencer par tes chaussures, tes chaussettes. Ton collier cachant la cicatrice de ta trachéotomie, ne te restait à présent plus que ton soutient gorge et ton boxer vu que ta belle venait de te dépouiller également de ton pantalon. Sash n'avait perdu que ses chaussures, elle.  "hunhun, et à part ça tu te souvenais pas hein? Ou c'est la force du post-it qui te fais gagner? Non parce que là tu m'as plumée!."

here you are, en sous vêtements, totalement éméchée et bien défoncée en belle perdante que tu es. "On en refait une et tu me met à poil ou on s'arrête là?." que tu demandes innocemment, avec une pointe de défi. Ouais si les dieux avaient voulu que tu gagnes, tu l'aurais un peu plus déshabillée que ça quand même. Ta défaite est effroyablement écrasante mais t'arranges bien dans le fond. C'était agréable de voir sourire et s'amuser Sash. Tu te mets à jouer avec la bretelle de ton soutien gorge tout en passant le joint à ta meilleure amie. Tu t'étends sur la partie du sofa que tu occupes depuis un moment tel un serpent, t'étirant de tout ton long en sirotant un énième verre. Et c'est alors que presque nue tu te demandes si ce serait si mal que ce qui ce passait ce soir n'appartenait qu'à ce soir?
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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Ven 31 Mai - 5:13


Ça ne te dérange pas d'embrasser ta meilleure amie. Elle est presque une partie de toi-même. C'était déjà arrivé, ça arriverait encore. Sauf que là, ivre juqu'au fond des yeux, ça te chatouille trop fort dans le ventre, t'as peur de pas contrôler tes mains, tes lèvres sur elle et là ouuuups. Oups et plus rien ne serait pareil, hein, c'est ça? Et après ? Il se passerait quoi quand vous seriez allées trop loin ? Ça te fait peur. L'idée de la perdre, que vous n'arrivez plus jamais à vous regarder dans les yeux. Ou, pire peut-être, que vous n'arriviez pas à vous contenter. Que même après ce soir, la faim reste là, dans le creux de vos ventres. Là au moins, t'aurais une raison valide de détruire Soren s'il revenait. Et si tout ça arrivait et qu'elle le choisissais. Tu paniquais d'une solidité alors que rien n'était encore arrivé. Ou presque. Mais tu le sentais, comme on sent que l'orage va venir, alors qu'on reste tout de même dehors profiter des dernières goûttes des soirées estivales. Tu te demandais combien de verres encore, combien de taffe de marijuana il te faudrais avant de la vouloir sous ta peau, dans ta chaire, comme la peste dont on ne se débarasse plus. Quel état d'ébriété était nécéssaire pour que tu la laisses te dévorer ? Tu te sauves timidement de sa bouche, pour votre bien a tout les deux. Parce qu'intoxiquée de la sorte, tu sais que tout peut dérapper et t'as peut-être un peu trop envie que ça arrive quand t'as pas toutes tes capacitées. Tu voies sa petite mine boudeuse, lui joue du pied sous la table pour te faire pardonner.

Vous devez jouer à un autre jeu là. Tu brasses les cartes, l'observant tenter de rouler le joint, elle est adorable, remontant ses cheveux dans sa concentration. Presqu'un rituel, le souffle court quand elle fait passer sa langue sur le joint, son regard bien encré dans le tien. My fucking god. Tu te retiens à la table, aux cartes, à tes propres baskettes. « Pas mal. » Que tu commentes au bout de ton souffle avant qu'elle te présentes le deuxième joint, cessant un peu d'être aussi sensuelle, bordel. Elle travailles ta résistance qui s'amincies. Heureusement que y'avait une table entre vous deux pour la protégée des envies cannibales qu'elle fout dans ton ventre. « Oh come on, everyboy likes a fat blunt ! » Que tu rigoles en te souvenant très bien de ses joints, avant.

La weed n'aides pas à la concentration, à tes yeux qui coulent vers sa poitrine. Surtout quand tu tires sur le joint, une fois, deux fois. Au moins elle prend la peine de t'écrire les trucs sur un morceaux de papier. C'est surement ça qui te sauve, parce que t'es zéro stratégique, t'as juste de très bonnes cartes. Les cartes se flippent et les morceaux volent, surtout ceux de Nash. Ta tête deviens plus légère et ton rire coule à chaque fois que tu gagnes, la narguant, le sourire en coin. T'es adorablement chiante et t'hausses les épaules quand elle croit moyen que tu n'sais pas trop jouer.

« Mais j'fais pas exprès, j'ai toutes les bonnes cartes ! » Elle te défies, pour la dernière manche. T'arques un sourcil, joueuse devant le bordel imminent. Parce que tu veux seulement la voir tomber cette bretelle avec laquelle elle joue, t'attrapes le pétard, le regard un peu fixe, le sourire tendre surtout quand elle bouges comme ça. Fait chaud hein ? La tequila que t'avales n'aides plus à te remettre une quelconque idée en place. Ça va mal tourner, le crash est inévitable. « On a commencé, on termine oi ! » Que tu te plains. Brassant déjà les cartes, puis lui filant pour qu'elle les passe, comme ça elle ne pourra pas dire que c'est ta faute. La manche se joue et t'es presque aussi surprise d'elle, quand tu gagnes encore. T'as un grand rire, nerveux, peut-être, tu sais pas. Tu te lèves du sol pour aller te poser sur la causseuse en face d'elle, récupérant le joint dans le cendrier et le rallumant en t'écrasant dans le sofa. « Allez, striptease ! Comme ça j'vais m'sentir comme les gros beauf dans leurs vidéoclips ! » Que tu déconnes, serrant le pétard entre tes lèvres, ouvrant doucement tes cuisses en tappant dessus d'une main, juste au cas où elle voudrait bien te prendre au sérieux. Parce que tu vrillais, que t'étais vachement défoncée et pas du tout contre l'idée de la voir danser sur tes cuisses. Plus certaine de rien, face à elle désormais. Juste envie de proximité et on verrait bien pour la suite. Tu sais juste que peu important ce soir, elle resterait toujours là, toujours près, inséparable. Tu souriais doucement en te disans que ce serait bien fait pour ton ex. T'espérais même. Tu rêvais tranquillement de la tronche fâchée, confuse de Shabh quand Nash lui recontrait ton talent. Rien que ça, ça te comblait presqu.

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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Ven 31 Mai - 19:09


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Sasha - Nashandrä

« Les âmes soeurs finissent par se trouver quand elles savent s'attendre. »Téophile Gautier.
Sasha abat ses cartes pour la dernière fois de la soirée, et termine la partie de poker par une magnifique quinte royale. Tu te redresses, presque abasourdie qu'elle te sorte un coup comme ça pour la fin. Tu t'inclines, battue à plat de couture. "C'est bien ce que je disais, tu m'as plumée!." il y en à un a qui ça ferait plaisir d'entendre ça, la plume. Vous gloussez comme des adolescentes, l'humeur légère. ta meilleure amie se lève pour se poser sur ta causeuse tel un mafioso attendant ses gros culs dans un clip. Tu ris tellement elle est belle, tellement votre complicité l'est autant que ta moitié. Assise de façon lascive, les yeux brillants d'une lueur chaude, sash tape sur sa cuisse afin de t'y inviter. Oh bébé. Elle semble se laisser un peu plus au jeu qu'il y a quelques temps, là ou elle te laisser bouder après t'avoir refusé ses lèvres. Tu te relèves à ton tour et choppe ton téléphone qui gisait sur le comptoir de ta cuisine depuis ton retour des cours. Sans même calculer le monde qui t'entoures, tu files dans tes musiques et place ton gsm sur la base de tes larges enceintes. La voix chaude de Beyoncé se met à chanter dans ton appartement, tintant ton chez toi d'une ambiance très moulin rouge. Tes mouvements sont félins, lents, chauds. Tu te rapproches de ta belle dont les yeux bleus mer se sont tintés de noirs. L'envie, l'alcool et la majijuana dilatent les pupilles de sash la rendant encore plus hypnotisante. Le défi toujours présent dans les yeux, tes mains viennent dans ton dos afin de dégrafer ton soutien gorge en dentelle. Tu laisses tomber une de tes bretelles, puis la seconde d'un geste de l'épaule. Alors que le bout de tissu ne tient plus que par ton action, tu laisses lentement celui-ci glisser sur ta peau afin d'achever sa course au sol laissant ta poitrine à nue, enfin libre de toute entrave. Tes mains passent sur tes cuisses, et tes fesses. Remontant sur ton bas du dos, puis ton ventre afin de venir sur tes seins et mourir dans tes cheveux. Tentatrice prise à son propre piège. Ta peau parsemée de tatouages est entièrement découverte, si ce n'est le boxer qui trône encore sur tes fesses. Celui-ci, il faudra qu'elle te l'enlève de ses propres mains.

Tu avances tel un chat qui s'approche de sa proie. Tu plantes tes yeux dans ceux de ta belle, t'humectant les lèvres asséchées par le joint du bout de ta langue. T'aurais pu dire quelque chose, mais rien de plus que ce que vos corps se disent déjà. Ton ventre bourdonne d'un bon millier d'abeilles tueuses, tes tempes pulsent au rythme de la musique s'échappant des caissons. Lorsque tes doigts effleurent la peau de sash, ton corps entier se secoue d'un frisson. Son corps appelle le tiens, le tiens le supplie de l'aimer ne serait-ce que pour une nuit, ne serait-ce que pour quelques instants. Tu t'installes sur les cuisses de Sasha, collant ta peau à la sienne. Bordel ce qu'elle est belle. Tes mains s'insinuent autour de son cou, tandis que ton souffle vient titiller l'un de ses lobes d'oreilles. Tu laisses volontairement tes lèvres effleurer sa peau fine, tout en murmurant les paroles de la chanson défilant en fond sonore. Ton bassin ondule, tes mains fraîches frôlent sa peau brûlante avide du traitement que tu lui réserve. Ta bouche se veut tentatrice, aventureuse. Elle explore son cou, ses épaules nues. Ta poitrine est collée à la sienne, tes tétons raides pointant, agacés par le tissu de sasha frottant contre ces derniers. L'une de tes mains viens saisir le menton de ta belle, le relevant vers ton visage. Vos yeux se captent un instant, beuglant tout ce désir et cette envie. Tu ne résistes plus, mauvaise perdante que tu es. Dans un élan de passion, tu viens saisir les douces lèvres de sash, collant toujours plus ton corps au sien. Vos langues menant à présent un doux ballet. Les secondes deviennent des minutes, les minutes des heures entières. Tu te délectes de ces caresses buccales, de cette énergie traversant vos deux corps, de cette envie qui vous animes vous rendant presque primitives. T'aime le gout sucré de ses lèvres, l'odeur de sa peau qui sent bon le soleil et le coton.

La température ne cessant de monter, et toi crevant d'envie d'inspecter encore et encore la peau de ta compagne de soirée tu viens briser l'étreinte de vos lèvres pour un bref instant. Tes yeux ont du mal à se ré-ajuster à la lumière après avoir étés fermés tout ce temps, pendant que tu embrassais ta meilleure amie à pleine bouche. Vos joues sont rouges, sûrement à cause de vos corps incandescents, de cet alcool avalé, de ce désir brûlant au fond de vos entrailles. Tu la saisis par la main, ta douce. Tu l'invites intimement à se lever et à te suivre, dans tes draps. Tu la regardes, pleine d'amour, de complicité, d'envie et l'attires avec toi dans ta chambre. Vous vous embrassez en marchant à reculons, manquant de tomber et de vous cogner tant la passion est présente. Encore une fois, plus rien ne compte mise à par elle. Tu fais basculer la jolie blondinette sur ton lit, avant de l'escalader pour continuer à caresser ses lèvres. Tes mains tentent de venir chercher le bouton de son jean afin de lui enlever, comme pour égaliser la chose. Comme pour continuer de découvrir sa peau toujours plus. Tu t'arrêtes un instant, à califourchon sur la demoiselle allongée sur ton lit. Tu la contemples un instant et ne peux t'empêcher de lui souffler ces quelques mots.  "T'es magnifique, putain sash.."
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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Mar 4 Juin - 2:40

T'as le rire qui te secoues le ventre et malheureusement c'est pas la seule chose qui y vibre. Tu sais pas si c'est une bonne chose. T'as du mal à se faire suivre deux idées dans ta tête. Difficile de vraiment comprendre que ta victoire risque d'emmener sur tes cuisses, une Nash complètement dénudée. Encore plus belle dans sa nudité complète, dans sa forme la plus pure. Y'a plus rien de grave, parce que vous êtes bien trop défoncés pour ça. Parce que dans votre mauvaise idée elle met même de la musique. Ton regard qui se perd contre ses hanches qui ondulent dans sa lingerie, quand t'as du mal à avaler ta propre salive, la bouche entrouverte, un peu hypnotisée. T'y crois à peine, quand elle décroche sa dentelle, c'est pas que dans les pornos que ça arrive, ce genre de trucs ? Ses bretelles qui tombent trop doucement sur ses épaules et tes yeux qui le suivent, tout ce qui t'appartiens qui se casse la gueule contre le corps de ton amie. Le tissu qui tombe, ne laissant que ses seins parfaits, qui pointent au ciel. Ses mains qui se caressent, là où les tiennent ne savent que s'enfoncer dans les bras de la causeuse.

Et elle s'avance vers toi, avec tes envies de sortir de ton propre corps, tellement ça te rend folle, tout ça. Tellement tu n'assumes rien de ce qui se passe ici. Ses yeux dans les tiens, avant qu'elle n'attire ton attention sur ses lèvres où sa langue court. Tes doigts qui te retrouvent, tu ne sais même plus. Elle est partout, sur toi, en toi. Tu ne vois plus la limite qui forme mutuellement vos corps, sans cette fusion dont t'as envie. Surtout quand elle rejoint tes cuisses, que ton coeur se débat, tes mains qui rejoignent ses cuisses à elle, ses doigts dans ton cou, son souffle qui te chatouille, te fait sourire, puis rire. C'est pas sérieux tout ça, hein ? C'est même drôle. Drôlement sensuel, drôlement bon. Surtout avec les frissons que ses lèvres te volent, ce qu'elle chatouille dans ton ventre avec ses hanches-là et tes cuisses qui se serrent, sous elle. Tes mains pressant davantage ses cuisses, sa poitrine qui t'effleure dangereusement. Ton menton entre ses doigts avant que vous ne perdiez pied, toutes les deux, laissant place au désir qui vous possède toutes entières. Ta bouche qui devient la sienne, quand elles se mélangent, qu ta langue cherche la sienne dans un grognement de la faim qu'elle à coulée dans ton ventre. Tes mains ont le droit, maintenant, de remonter sur ses hanches contre lesquelles les tiennes se frottent. T'oses pas encore, remonter tes doigts vers sa poitrine. Et si elle se perdait dans un rire, en disant que c'était une blague, t'aurais l'air de quoi ? Elle te souffle pourtant une tornade volcanique dans le ventre. T'as chaud. Le bas de ton dos qui se perle doucement de sueur, des joues rosées à force de perdre ton souffle contre le sien, de pas vouloir t'arrêter.

Sauf qui faut bien, hein ? Revenir à la réalité, lui souhaiter, bonne nuit, tout ça ? Sa main prend la tienne, quand ses lèvres te quittent, que les tiennes se tendent encore vers elle, pas envie d'arrêter. Elle te tire et tu suis, sans un mot, dans sa chambre, dans son lit où t'as déjà trop dormi. Sa bouche qui retrouve la sienne quand elle t'entraine vers ta damnation, là où elle te pousse et tu tombes sans te retenir. Là où elle grimpe contre toi, ton ventre qui se serre délicieusement quand elle te surplombe, reviens t'embrasses et que tu te perds en gémissements dans sa bouche. Y'a ses doigts qui viennent jouer avec le bouton de ton jean, celui que tu fais glisser le long de tes jambes en ondulant contre elle, pour te débarrasser de ses vêtements en trop. Elle s'arrête, Nash et tu te plains d'un petit grognement que t'étouffes, tu veux pas qu'elle s'arrête. Tu rougis un peu plus, si c'est possible, quand elle te dit que t'es magnifique et tu ris doucement.

« Tu ne t'es pas vue, t'es bien pire. » Que tu lui murmures comme un secret. Parce qu'elle à des airs de déesse, de conquérante contre tes hanches et comme pour prouver tes dires, y'a tes lèvres qui glissent, remontent contre sa gorge, embrassent sa clavicule, viennent se perdent contre sa poitrine que t'embrasses quand tes mains y coursent pour la caresser. Pour foutre votre belle amitié en l'air avec ses baisers, avec ses frictions, avec ton coeur qui se débats, vos vêtements qui deviennent encombrant et la peur silencieuse que tout change, entre vous. Qu'une ou l'autre ne soient pas d'accord sur l'après. Que l'une veuilles trop, plus que l'autre. Que ce ne soit pas qu'une histoire d'une nuit, mais que ça n'aille pas à l'autre. T'as peur, peur d'être l'une ou l'autre. Peut-être que vous devriez faire une entente, mais ta bouche est occupée là, ta langue aussi, à rouler sur la peau qui se tend, le bout de ses seins qui se raidit sous ta langue et les petites marques un peu possessive que t'y laisses. Juste au cas où y'aurait un fucking Soren qui voudrait y revenir. Motherfucker.

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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Mar 4 Juin - 23:14


don't threat me with a good time
Sasha - Nashandrä

« Les âmes soeurs finissent par se trouver quand elles savent s'attendre. »Téophile Gautier.
L'air ambiant est brûlant. Ton corps brûle d'un feu qui ne l'avait pas animé depuis une éternité. Tu ressens chaque souffle, chaque caresse, chaque baiser de la part de Sasha sur ta peau totalement nue. Tes lèvres vont à l'assaut de sa gorge, de ses tempes, de sa poitrine presque nue. L'une de tes mains viens quérir la sienne tandis que tu abandonnes un bref instant ce foutu bouton pour venir t'attaquer à autre chose avec plus d'habilité. De ta main droite qui passes sous le dos de ta belle, tu t'en vas à l'assaut de l'agrafe de son soutien gorge que tu fais sauter adroitement. Tu ne sais pas qui de toi ou de sash arrivera à bout de ce tissu trop gênant, et tu t'en fiches. Ta bouche quitte celle de sasha pour descendre sur son menton, puis son cou afin de gagner sa poitrine fraîchement découverte, offerte à tes caresses. Tes lèvres viennent gagner ses seins, magnifiques et fermes. Ta langue titille, elle agace. Tes dents viennent mordiller et surprendre. Tout ton corps ondule au rythme des gémissements de ta belle, qui continue de t'enivrer de plus en plus de cette passion qui vous consume. Tes caresses buccales continuent tout en se frayant un chemin vers le nombril de la magnifique blonde occupant tes draps. Petit à petit, tu en reviens à ce fichu bouton que tu fais sauter avec agacement. Il ne te faut pas longtemps pour délivrer Sasha de la captivité de son jean qui vous séparait bien trop à ton goût. D'un geste habile, tes mains libèrent ta meilleure amie afin de laisser apparaître à ta vue ses magnifiques jambes ne demandant qu'à êtres plus montrées. Encore une fois, t'es émerveillée par ce corps magnifique que ton amie passe son temps à camoufler ou presque. bordel. Tu fais valser les vêtements au sol puis revenant à l'attaque de ta belle tu pars cette fois-ci de la pointe de ses pieds jusqu'à finir par parvenir à son entre-jambe, fruit défendu que tu viens chatouiller de ta respiration presque haletante. T'aurais envie d'y plonger tes lèvres afin d'en goûter le doux nectar, mais tu décides d'être patiente, de savourer cet instant au maximum du possible. De la rendre dingue, de continuer de la faire danser sous tes doigts. 

"Je pourrais bien te dévorer." que tu souffles. La dévorant déjà intégralement du regard. Tu reviens prendre ses lèvres, avec une douceur infinie, l'une de tes mains se permettant de s'insinuer vers son bas ventre brûlant d'envie tandis que ton autre main vient se perdre dans ses cheveux. Vos langues se mêlent et se démêlent, elles se taquinent et se cherchent. Ta main vient trouver son intimité, et vient agacer l'élastique du boxer qui te sépare encore de sa peau nue. Tes doigts chatouillent, caressent tout en explorant un peu plus les contrées interdites du corps de sasha que tu ne t'étais jamais imaginée visiter un jour. Et pourtant, qu'il est bon de se laisser aller. Qu'il est bon de se sentir en confiance absolue au point de se mettre entièrement à nue et de s'offrir complètement? La dernière fois que quelqu'un parcourait ton corps, il s'agissait de Warren. De sa domination qu'elle soit naturelle ou sous vos draps. Fut un temps tu aimais ce rapport de force, et ce que ce genre de relation engendrais. Tu te souviens d'avoir un jour aimé ça, et d'en avoir redemandé, alors que maintenant tu te noies dans un océan de douceur et que seul ça et uniquement ça ne compte. Sasha vient reprendre le dessus, joueuse elle aussi et te retournes sans que tu n'ai le temps de dire "ouf". Cette fois-ci c'est toi qui te retrouves offerte à ses caresses et à son bon vouloir. T'as envie qu'elle te possède, t'as envie de lui appartenir. T'as envie d'avoir ce que Shabh à eu, ce que remi à eu. T'as envie d'avoir ta meilleure amie à toi, et entièrement à toi. d'être à elle et uniquement à elle. "Possèdes moi, je t'en prie."
(c) DΛNDELION
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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Ven 7 Juin - 19:28

Ta peau n'est plus qu'un amas de frisson en prise à ses assauts. Ceux d'une amie trop intime pour que tout ça ne soit pas dangereux. Sauf que c'est trop tard, vous êtes tombées l'une dans l'autre et il n'y a plus d'arrêt, plus de retour en arrière possible. Chaque baiser arraché, plus bas, de plus en plus bas, ne se pardonne pas, ne se récupère pas et vous brulez rapidement, comme deux supernovas. Double explosion, puis implosion. Quand vous disparaissez, l'une contre l'autre. Ton soutiens gorge qui s'envole, qui gravite jusqu'au sol dans un gémissement, celui qu'elle t'arrache quand tu fermes les yeux, que tu te tends, t'offres à sa langue, tes doigts s'emmêlant dans ses cheveux. Ses dents pour mieux marquer ta peau pâle de quelques rouges souvenirs pour demain, quand vous ne voudriez peut-être plus vous souvenir de vos écarts de conduite. Parce que ça ne pourra pas continuer, hein ? Hein, que ça ne pourra pas continuer ? Ses lèvres t'abandonnent seulement pour mieux conquérir ton ventre. Celui qui fait des back-flips sous sa bouche qui dégringole trop vite pour que tu ne perdes pas l'équilibre. Ton jean en fusée catastrophe qui s'écrase au sol quand elle s'amuse à te rendre folle, sa bouche tentatrice remontant de ton pied jusqu'à ton coeur. Celui qu'elle n'embrasse pas, qu'elle agace avec son souffle et tu te plains, te tortilles sous elle, mordant ta lèvre pour réduire tes grondements que tu n'assumes qu'à moitié. Elle revient vers tes lèvres, pas le temps de répliquer qu'elle t'embrasse déjà et que tu te perds contre sa langue, tes jambes se resserrant autour d'elle lorsqu'elle viens glisser sa main contre toi. Lorsqu'elle s'amuse à te mettre hors de toi-même, récupérant tes feulements dans sa bouche. Parce que t'es trop défoncée pour elle patiente, que tu t'accroches à elle en proie à ses assauts.

Tu la retournes, dans toute ton impatience. Ton tour de la dominer, de faire monter ses cuisses contre les tiennes, de te venger. Parce que si elle avait provoquer ton plaisir jusqu'à t'en frustrer, c'était toi qui menait maintenant, elle qui en demandait. Et t'avais envie aussi, de jouer avec elle, de l'entendre se plaindre jusqu'au bord de la raison, jusqu'au bord du désespoir, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus et décide de te renverser de nouveau. Ton regard doucement ombragé par le désir. Par l'envie d'effacer tout ce que Warren à pu lui faire. Reconquérir son corps en entier, effacer chaque traces, chaque marque de cet abruti. Tes lèvres glissent contre son épaule, contre sa clavicule, remontent dans contre sa gorge, où tu l'embrasses, ta jambe remontant entre les siennes pour s'y presser doucement, la chatouiller déjà pendant que tes lèvres et ta langue aspirent sa peau pour lui écrit ton nom contre sa jugulaire. Un petit Sasha en forme de coeur rouge, puis violacé. Pour que Shabh lui demande et qu'elle mente. Tu retournes vers ses seins, les embrassant, les pressant, partout, assez pour qu'ils soient à toi, que ta cervelle éclatée en mémorise chacun des frissons que tu lui voles. Y'a ensuite ta chute, de son ventre à ses reins, de son nombril que tu embrasses tendrement jusqu'au creux de sa cuisse où tes lèvres remontent. Tes doigts qui ne font que tirer sur le tissus de sa dentelle, sans l'arracher de ses hanches, que faire percé sa peau sensible, là où tes doigts se glissent pour la caresser, lui faire rouler les hanches, la faire se plaindre à ton tour, mordant tes lèvres sous le plaisir que tu lui arrache. Sauf que t'arrives pas, à la faire attendre, à pas répondre à ses supplices et ta bouche va vite rejoindre tes mains. Tes lèvres embrasser son coeur avant que tu n'y coule ta langue, tes yeux qui remontent vers elle, celle contre qui tu fais ses prières silencieuse tracées à la salive, avec tes lèvres qui se couvrent de son miel, s'appliquent à la dévorer pour qu'elle se torde plus fort, pour que ses gémissements ne deviennent qu'un tout petit filet de voix qui peine à sortir de ses poumons malades de trop de plaisir. T'es perdue, entre ses cuisses, avec ses baisers que tu ne devrais pas lui donner. Et ce sera difficile demain aussi, après demain, après-après demain, de ne pas en avoir envie, de ne pas tomber à genoux pour la redécouvrir de ta langue jusqu'à ce qu'elle pleure, jusqu'à ce qu'elle tremble à en avoir mal au ventre pendant plusieurs jours. Ta bouche te promet que non, tes doigts qui glissent en elle te promettent que vous êtes damnnées et son corps qui ondule te jure que ce n'est pas grave si le désir ne meurt pas. Ça te fait peur, ce manque de filet sous votre corde de funambule et pourtant ça ne t'excite pas moins.


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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Sam 8 Juin - 20:15


don't threat me with a good time
Sasha - Nashandrä

« Les âmes soeurs finissent par se trouver quand elles savent s'attendre. »Téophile Gautier.
C'est comme si ta peau devenait plus étroite, comme si l'air se faisait plus rare. Vos deux corps s'appellent, se mélangent, se repoussent. Tu ne contrôles plus rien, ni les réactions de ton corps ardent face à votre désir, ni les plaintes de satisfaction s'échappant de ta gorge que ta belle marque à l'aide de ses lèvres. Tes doigts s'emmêlent dans ses cheveux, tentent de s'agripper à la réalité de sa peau mais ses lèvres t'emportent et t'enivrent. Tu te rappelles pas d'avoir été touchée comme ça depuis longtemps, tant que tu avais oublié cette sensation de feu qui irradie ton bas ventre et fait vibrer ton crâne. Puis ta déesse quitte ta jugulaire, afin de descendre prendre ta poitrine d'assaut. Ses mains étonnamment fraîches agacent tes tétons faisant rouler chacun des piercings les ornant dans une délicieuse sensation indescriptible. Tes doigts de pieds cherchent les siens, tes mains parcourent à présent son corps que tu chatouilles presque en l'effleurant du bout de tes doigts. Tu ne contrôles rien, ni le temps qui passe, ni la bouche de sasha, exploratrice qui descend dangereusement vers ton intimité répondant à son appel. Tes dents viennent mordre tes lèvres tant ses baisers sont doux qu'ils soient sur ton ventre, ton bassin ou l'intérieur de tes cuisses. T'as l'impression de défaillir lorsque les doigts de ta blonde viennent agacer le dernier morceau de tissu présent sur ton corps, pour venir t'explorer et te découvrir. Tu te tends, de tout ce plaisir et cette envie. "Sash... c'est si.." bon, délicieux, exquis. T'es incapable de finir ta phrase lorsque la bouche de sasha se pose de nouveau sur toi, mais en tout antre t'arrachant une longue plainte de plaisir. Tes sourcils se froncent, tes paupières se serrent un peu plus lorsque sa langue s'insinue sur toi, puis en toi. Tu t'abandonnes totalement, à ces mains expertes et cette langue désireuse de t'honorer. L'une de tes mains se bat avec tes draps, tant le plaisir est bon et qu'il déferle en toi en une vague chaude. L'autre vient chercher la nuque de ta meilleure amie maintenant le rythme de sa langue, dont le regard cherche le tien avide de ton bien-être. T'as l'impression d'être propulsée en orbite autour de la terre, d'être en totale apesanteur. T'as l'impression de faire qu'un, avec celle que t'appelles ton âme frère, si elle n'est pas soeur. Elle s'insinue en toi, sasha. d'abord avec douceur puis plus fiévreusement et de façon passionnée. Tu perds pieds, incapable de retenir l'explosion de ton plaisir plus longtemps. "Je vais... sash je...putain" que tu balbutie, incapable de terminer une phrase correctement. Tu sens cette flamme devenir réel brasier à l'intérieur de tes entrailles, et tout tes membres se contractent et se crispent de bonheur. Tu t'abandonnes totalement, à cet orgasme qui te tends les bras offert par la femme de ta vie. feulant le nom de ta belle t'ayant mené aux portes de la jouissance.  

Tu viens saisir les bras de sasha pour l'attirer à tes côtés après avoir récupérer tes esprits un bref instant. Vos joues sont rouges, vos pupilles dilatées. Tu décides d’ôter ton bas ainsi que le boxer de Sasha en venant retrouver ses lèvres des tiennes, les vêtements n'étant plus autorisés à un tel stade de votre soirée. Sa bouche porte encore le gout de ton intimité et du magnifique labeur qu'elle vient d'exercer, et à ton tour tu glisses vers le fruit défendu se trouvant entre ses jambes. Dans ton ascencion, ton regard luit du désir que t’éprouves pour la blonde, et tu laisses volontairement traîner ta langue sur chaque parcelle de son corps croisant son chemin. Tu viens enfouir ta tête contre son entrejambe, embrassant ses cuisses, l'une de tes mains caressant sa poitrine tandis que tu humidifies deux de tes doigts les portant à tes lèvres tout en dévorant Sash des yeux. C'est au tour de ton index et ton majeur, de venir découvrir le pubis de ta meilleure amie, accompagné de ton souffle chaud à l'entrée de ses lèvres que tu écartes pour venir insérer un doigt, puis deux en elle. Son bassin ondule au rythme de tes allers et venus. Tu la regardes prendre son plaisir, sash, tout en embrassant les genoux de ses jambes légèrement relevées. Et tu pourrais jurer devant dieu que c'est l'une des plus belles créatures à qui il t'ai été donné de faire plaisir. Tu la regardes souffler, gigoter sous le joug de tes doigts, que tu viens à présent accompagner de ta langue découvrant son bouton de plaisir bandé d'excitation. Tu l'agaces, l'aspire, le caresse et le lèche tes doigts continuant d'alterner différents rythmes. Elle t'appartient, sasha t'appartient, tout comme cette nuit qui ne fait que commencer.
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Message Sujet: Re: don't threaten me with a good time ± sashandrä [hot]   don't threaten me with a good time  ± sashandrä [hot] - Page 2 Empty Sam 15 Juin - 9:07

Les démons on prit toute la place. Ils on glissé dans ton corps avec l'alcool, la fumée. Ils sont devenus ton sang, dansent dans ton ventre, se sont glissés hors de tes os, grattent contre ta peau pour sortir, pour aller jouer, avec les siens, ceux que t'as semondus du bout de ta langue. Ceux qui sortent pas sa bouche, prient les enfers, vers le ciel. Perdues, emmêlées, comme ses doigts dans tes cheveux, quand tu l'aimes un tout petit peu trop du bout de tout ce que tu possèdes. Elle se tord, s'accroche, à votre chute, à tout ce que vous n'avez plus, aux barrières si floues qu'elles ont implosées. Vous n'êtes que deux corps, perdus, à la dérive dans le firmament, deux planètes qui se sont mises en orbite, l'une autour de l'autre, qui ne tarderont pas à faire collision, à force de friction. Vous n'êtes que des draps tordus, de souffles saccadés, de l'humidité, un soir d'été trop chaud. Sa main qui glisse même contre ta nuque, quand ta langue la cherche, cherche comment elle veut le plus, s'arracher à sa propre peau, elle aussi. Comment elle crie, quand tu lui fais perdre la raison comme même Warren à jamais, vraiment, réussit à le faire, huh ? Ou du moins pas comme ça, pas avec son ventre qui tremble sous tes doigts, sous ta bouche cannibale. Tout son corps qui se tend, tes lèvres qui disparaissent de plus belle, contre elle, quand elle se cambre, ondule, frémis si fort que tes propres cuisses se serrent, son plaisir flagellant tes entrailles liquides. Et quand elle chancèle de délice, tu ne t'arrêtes même pas. Tu fais à doigts d'honneur aux gars comme Rémi, qui même avec toutes les explications du mondes, ne comprenaient pas comment pouvait bien fonctionner un clitoris, en oubliait son existence. Oh, pas toi. Tes lèvres possèdent encore le sien, plus doucement quand il a gonflé et rosi sous tes baisers. Comme tes joues, tes propres lèvres qui ne veulent plus la lâcher, de son miel coulant encore jusqu'à ton menton, parce que ta langue est occupée ailleurs. Occupée à la torturer de la meilleure façons qui soit. Parce que son corps qui danse te rend débile, que t'aurais peut-être mieux fait de ne le jamais le voir découvert. L'image de sa main se resserrant contre son propre sein, qui te hante encore. Te hanteras demain, quand tu reposeras dans ton lit, quand tu t'en remettras, toute la journée, à combattre ses vilains songes parasites d'elle et de toi, de toi qui la baise jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de jours qui existent.


Elle te ramène, à elle. Pas à la raison. Parce que ça, c'est perdu, loin, quelque part sur sa poitrine, longtemps avant que tu n'atteignes le sommet de ses cuisses. Peut-être même bien avant, quand elle retirait ses vêtements, ou qu'elle t'embrassait avant que tu ne te défonces avec Marie-Jeanne. Ses mains qui coulent pour te retirer ce bout de tissus en trop, ton corps complètement nu qui se moule au sien. Ta bouche encore mouillée, d'elle, de ta propre salive, qu'elle rattrape, qu'elle avale. Ne te laissant même pas le temps de faire tes marques, non, elle tombe, à son tour, dégringoles dans l'un de tes soubresauts. Elle descend aux enfers, retrace son chemin de sa langue, sur la cartographie de ta peau diaphane où les cours d'eaux sont bien marqués par ses veines trop bleues. Ivre de ses caresses, de son regard brulant que tu n'oses qu'à peine soutenir tellement tout cela est délicieusement indécent. Sauf que quand tu fermes les yeux, c'est pire, parce que ses doigts viennent se glisser en toi, là où tu n'as rien pour t'accrocher. Là où tu n'as plus qu'à te tordre, qu'à être sa proie, petite chose aux hanches qui roulent pour se presser plus fort aux assauts de sa main. Sa bouche qui joint la valse avant que tu ne le cries dans une plainte. Terrible combinaison qui te fais perdre toute conversation. Pas de celles qui discutent au pieux, surtout pas quand t'as du mal à garder ton propre souffle en place. Le reste de ton corps avec lequel tu ne sais plus quoi faire, il n'y a que ton coeur doucement gonflée, perdu contre le serpent que devient son bout de chair te berçant de plaisir, de celui qui cambre ton dos et perds tout tes soupirs contre le plafond, ou du moins, de ceux qui sont trop puissants, trop tremblant pour être étouffé dans tes propres doigts. Ta bouche trop ouverte pour retenir quoi que ce soit. Tu la tires, Nash, la ramène vers toi, elle est sa bouche, garde sa main en toi, guides son pouce contre le mont de chair dont t'as besoin pour un orgasme. Tu perds ton souffle dans sa bouche, en lui intimant de continuer, son autre main que tu glisses derrière sa nuque, que tu n'assumes pas encore de demander contre ta gorge, doucement, comme t'aimes. Et tes cuisses frémissent quand même, pendant que tu perds te cris entre ses lèvres, son nom que tu ne sais même pas formé tellement elle possède tout, ton spasme, prière de plaisir, qui s'éclate sauvagement au bout de ses doigts, les secousses de ton souffle qui se perdent en gémissement, puis en murmures dans les filets de voix.

« Fuck... Nash... » Que tu pleures de plaisir avant de t'étouffer contre sa bouche, sa langue, le corps tendu, les sourcils froncés, la sueur perlant doucement de ton corps au sien. Ton bassin qui pourtant n'est pas fatigue, qui en veut encore, de son corps contre le sien, jusqu'à ce soit la fatigue qui vous niquent toutes deux.


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