wtf are you doing ? (damen)

la soirée est longue. tu laisses ton regard vagabonder de l'entrée à la scène, sur les visages, les corps, à travers la musique. c'est presque lassant, en réalité. les bras croisés contre ton torse, appuyé contre le mur derrière toi, un soupir s'échappe de tes lippes. tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant, tes prunelles pâles continuant de se balader ça et là, ne prenant la peine de se poser sur les danseurs. ça ne t'intéresse pas, en réalité. ça pourrait le faire. mais tu bosses, là. et ce ne serait pas très professionnel. tu secoues un peu la tête, tournes cette dernière un peu plus loin, là ou tu sais que se trouve le bureau de damen.
t'as aucune foutue idée de pourquoi tu penses à ton boss.
p'être parce que t'as l'impression qu'il y a un truc qui ne va pas ces derniers temps. bien qu tu t'en fiches de savoir ce qu'il peut s'passer dans sa vie (et qui pourrait clairement intervenir dans tout ça). mais, sérieusement, c'est pas comme si ça faisait cinq ans que vous baisez régulièrement et que là, plus rien. depuis bien une bonne semaine. ça te fait froncer les sourcils, c'est complètement con comme raisonnement. qu'est-ce que ça peu te foutre que le blond aille se taper quelqu'un d'autre, hein ?

mais il y a quelque chose qui ne va pas.
tu te pinces brièvement les lèvres. au diable une quelconque logique, putain. tu te redresses, laisses tes collègues prendre le relais un instant, t'avançant dans le club, mains enfoncées au fond de tes poches. tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant. y'a ton poing qui vient s'abattre contre le bois de la porte et comme bien souvent, tu ne te prives pas pour entrer dans la pièce sans attendre une quelconque autorisation. ton regard se pose sur le blond. salut. que tu souffles. tu te retrouves un peu comme un con en fait, à pas savoir quoi dire. t'es pas un bavard, mais t'as de la suite dans les idées, y'a plein de trucs que tu te contentes de ne pas le prononcer. là, même dans ton esprit, y'a pas grand chose qui se passe.

T’es en couple, putain. Toi. P’tit con incapable de retenir son impulsivité. Abruti ayant une peur panique de l’engagement ou même de simplement tenir à quelque chose. Ça te semble irréel, tout ça. Tu réalises sans doute pas encore, à vrai dire. T’as un mec. Un vrai. Un p’tit adorable souriant et rougissant qui fait battre ton p’tit coeur tout mou. Tu te donnes encore quelques jours avant de vraiment le comprendre, le piger, le digérer… et commencer à paniquer. Parce que merde, tu te connais par coeur. Mais pour l’instant, tu surfes sur la vague, tu te laisses flotter. Qui vivra verra.

Ce n’est qu’il y a quelques heures que t’as tiqué un peu. T’as croisé Slade du coin de l’oeil et ça a lancé les engrenages de ton cerveau. Vous avez pas baisé depuis combien de temps, vous deux ?. Tu réfléchis, tu calcules alors que tu te diriges vers ton bureau. Putain. Ça fait une semaine.

Une semaine sans t’envoyer Slade.
C’est sans précédent depuis cinq ans.

Ça te frappe comme une putain de claque en pleine face quand tu arrives devant ton bureau, avant même que tu ne glisses la clé dans la serrure. Waou. T’es peut-être vraiment en train de changer. En train de devenir… adulte. Pour de vrai. En train de… te ranger. Jamais tu n’aurais cru ça possible. Tu finis par glisser faire tourner la clé et entrer dans ton bureau en pensant à cette influence qu’Adam a sur toi, à la tornade qu’il a été et est toujours dans ta vie. T’es même pas sûr qu’il s’en rende compte lui même.

T’as même décidé de t’organiser, de ranger les papiers dans le bureau d’une manière cohérente. Bon, tu l’aurais fait même sans les changements actuels de ta vie, mais ton cerveau aime tout associer à Adam en ce moment. Il est à donf, ton putain de cerveau. T’es tranquillement en train de trier les papiers dans un classeur, les rangeant par date en putain de sifflotant quand t’es interrompu par quelqu’un qui toque. Tu lèves les yeux, posant ton regard sur Slade. « Salut. » qu’il souffle et tu lui décroches un sourire. « Hey. » que tu le salues à ton tour. « Tout va bien ? » Tu sais pas trop pourquoi il est là, à vrai dire. Tu te dis qu’il vient pas te chercher pour passer du bon temps en plein milieu de ses heures de boulot, pas comme ça, pas gratuitement. D’autant plus que lui foutre un vent serait… royalement gênant pour vous deux.

t'as aucune idée de ce qu'il s'passe. et c'est pas franchement plaisant, comme situation. y'a un certain contrôle qui t'échappe et la situation qui glisse entre tes doigts. tu ne sais pas exactement quoi, ni comment, ou pourquoi. un soupir glisse d'entre tes lèvres, la fête bat son plein dans le club et t'es censé être en train de bosser. tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant, glissant une main fatiguée contre ton visage. la nuit est bien avancée.
tu toques contre la porte du bureau du blond, entrant sans y être invité. il y a des habitudes qui se sont ancrées, en cinq ans, alors bon. y'a des fois ou t'rends pas compte du tout que c'est depuis autant de temps, que t'as fais la connaissance du blond. autant dire, la première fois que tu l'as baisé, enfonçant son visage dans le matelas pour que son père ne vous entende pas, dans la pièce d'à côté. faut dire que t'étais censé être l'exemple, un vrai mec. (un vrai mec qui aime tout autant les queues que son fils.)

hey. que le blond souffle en te voyant. tout va bien ? tu te contentes de hocher la tête. au mermaid, ouais, tout va bien. pas de sales cons à signaler, de ceux qui essayent de toucher ou de soudoyer quelques heures supplémentaires aux danseurs. tu viens croiser tes bras contre ton torse, retiens un soupir, fixe le blond quelques secondes de plus. c'est à toi que je devrais poser la question. tu souffles finalement, t'approchant un peu, venant te poser sur le fauteuil face au bureau du blond. ouais, parce qu'une semaine, c'est jamais vraiment arrivé. sans baiser. (parce que se voir, avec vous, ça revient à baiser. très clairement.) tu sais pas exactement ce qu'il se passe dans ton esprit, mais t'aimes pas ça non plus, quoique ce soit. t'as l'air occupé. ces derniers temps, phrase à moitié sous-entendue, juste pour pouvoir guetter un peu la réaction du plus jeune.

Il à l’air bizarre, Slade. Son attitude est différente de celle dont il fait preuve normalement mais tu ne saurais dire comment ou pourquoi. Alors tu lui demandes si tout va bien, si ça présence ici réside dans le fait que sa réponse est négative. « C'est à toi que je devrais poser la question. » qu’il t’offre comme réponse et tu arques un sourcil. Depuis quand il te pose ce genre de questions, lui ? Depuis quand il s’intéresse un minimum à ta vie ou à ce qu’il peut se passer au Mermaid en dehors de son propre boulot et de ce qu’il a besoin de savoir ? Il vient carrément prendre place dans le fauteuil face à ton bureau et cette fois, t’as carrément envie de sonner l’alarme.

What the fuck is going on with him ?

« T'as l'air occupé. » qu’il finit par lâcher et… bordel ce que t’es con. Bordel ce que t’es idiot de ne pas avoir compris la raison de sa visite depuis le moment où il a pénétré dans la pièce. Tu y avais même pensé toi même quelques minutes plus tôt quand tu avais ouvert la porte. Vous n’avez pas baisé depuis un peu plus d’une semaine. Bien sûr qu’il se demandait si tout allait bien dans ta vie et, surtout, si tu étais bien trop occupé pour lui. Bien sûr. Ça doit même lui coûter un max d’être là, à chercher des explications alors que vous ne vous devez rien. Mais tu le sais toi-même que si, au fond. Parce que cinq années à baiser régulièrement justifient parfaitement qu’il cherche à savoir si votre manège va continuer ou non. « Je… Hum. » Tu toussotes légèrement avant de t’humidifier les lèvres. « Tu vois Adam ? » que tu commences sans trop savoir où tu vas avec ça. Putain. Comment tu lui annonces que t’as complètement laissé de côté ce que tu disais sur les relations amoureuses depuis ton enfance et que tu es devenu ce dont tu te moquais royalement encore une semaine plus tôt ?

c'est totalement con. de se retrouver là comme si c'était un truc important. c'est juste devenu une sorte ... d'habitude ? retrouver damen dans son bureau, baiser, fumer une clope et te barrer quelques minutes plus tard. ça fait un bon bout de temps que ça dure, et c'est étrange que ça semble s'arrêter si soudainement, non ? t'en sais strictement rien, bordel. un soupir s'échappe de tes lippes et tu te pinces les lèvres un bref instant. t'observes le blond de longues secondes, essayant d'y trouver une quelconque information. n'importe laquelle, t'en sais rien.

et puis de toute manière, c'est pas comme si t'avais quoi que ce soit à dire, si ? t'en sais trop rien. sans doute pas, sans doute que si, t'es pas doué pour tout ça toi, et ça te fait hausser un peu les épaules. et puis de toute manière, c'est quoi ton problème ? il fait encore ce qu'il veut de sa vie le gosse. un soupir t'échappe et tu croises tes bras contre ton torse en attendant une quelconque réponse de la part du blond.
parce que t'as quand même bien envie de savoir. curiosité mal placée, sans doute. c'est même certain. je... hum. tu vois adam ? tu arques un sourcil à ses mots. (tu le sens mal, cette histoire.) ouais. que tu te contentes de souffler face au blond, venant t'appuyer contre le mur derrière toi. tu l'aimes pas le gosse. à jouer au con toujours, jouer à l'innocent. ça t'énerve bien trop, ce comportement. un soupir t'échappe et tu te mords l'intérieur de la joue un bref instant, restant silencieux de longues secondes. t'attends la suite, simplement.

T’es pas à l’aise. C’est le moins que tu puisses dire. Slade est là, scène bien trop inhabituelle dans vos deux vies respectives et il attends des explications. Des explications qu’il n’a pas forcément besoin d’avoir vu la nature de votre relation. Tu comprends, pourtant, là n’est pas le problème. La situation serait inversée que t’aurais cherché à savoir aussi ce qui était arrivé pour que vos parties de jambes en l’air s’arrêtent d’un coup. Ça rend pas la chose simple pour autant. Parce que tu le sais jaloux. Tu le sais territorial. T’as bien vu comment il regarde les gens qui osent poser leurs yeux sur toi pendant quelques secondes à peine. T’es loin d’imaginer comment il va réagir dans ce cas, ce qu’il va bien pouvoir faire après que tu lui aies annoncé que t’étais casé, comme un niais.

Alors tu commences doucement, histoire de faire venir l’information en douceur, peu à peu et qu’il ne se la prenne pas en pleine face. Parce que t’imagines qu’il est bien loin de se douter du truc, en fait. T’imagines qu’il est pas prêt - tout comme toi tu ne l’étais pas le jour où t’as accepté de suivre Adam pour un date et de devenir son petit ami ensuite. « Ouais. » qu’il réplique à connaître le p’tit brun et tu hoches doucement la tête. Ok. Respire Damn. Tu vas y arriver. « Ben on est… en quelque sorte… en couple. » En quelque sorte. N’importe quoi, toi. Vous êtes en couple, point. Ya pas de en quelque sorte qui tienne. Tu sais pas pourquoi t’as utilisé cette expression, pour le coup. Sans doute pour mieux faire passer l’information. De toute manière, l’information reste la même, dans le fond, et tu sais que l’adoucir ne la changera pas. Et tu te mords la lèvre inférieure, attendant patiemment la réaction du plus vieux alors que tu oses lever les yeux vers lui.

tu fronces un peu les sourcils face au blond. tu t'en fiches pas mal d'ailleurs du gamin. tu l'aimes pas franchement, c'est tout. même si tu dois avouer qu'il est pas dégueulasse à regarder danser. mais c'est juste un gosse, il vaut pas grand chose, avec son air de chiot perdu. ouais, non, t'aimes pas t'occuper des chatons. un léger souffle s'échappe de tes lèvres, inaudible, tandis que ton regard se pose sur le blond. tu restes silencieux, tu te contentes d'attendre, de voir ce qu'il va te sortir.

et pour être honnête, tu ne pensais clairement pas à un truc dans le genre. ben on est… en quelque sorte… en couple. tu fronces un peu les sourcils à ses mots, restant silencieux de longues secondes, te redressant un peu pour t'approcher du bureau, enfonçant tes mains au fond de tes poches. toi, t'es en couple ? que tu demandes en l'observant, arquant un sourcil et haussant un peu les épaules. damen ça a toujours été l'premier à ne pas vouloir l'être, en couple. et ça te donne envie d'rire, cette situation. tu te pinces un bref instant les lèvres et l'observes quelques secondes de plus. ok. que t'ajoutes simplement. tu glisses une main dans tes mèches brunes. t'as vraiment envie de te marrer, de lui dire qu'une semaine, c'est rapide, non ? ou peut-être que vous étiez toujours en train de baiser alors qu'il flirtait avec le gamin ? dans tous les cas ça t'donne envie d'en rire.
rire amer.

T’as l’impression que t’as arrêté de respirer, que toute la pièce s’est mise en pause alors que tu attends sa réaction, alors que tu tortures ta lèvre inférieure en te demandant bien comment il va répondre à cette putain de bombe nucléaire. C’est flippant, de ne pas du tout savoir à quoi t’attendre. Contre toute attente il reste calme, très calme, sans doute trop calme, même. Il s’approche un peu du bureau, aussi. « Toi, t'es en couple ? » Tu hoches positivement la tête sans trop savoir quoi répliquer, sur le coup. « Ouais... » que tu lâches avant de jouer avec le premier stylo qui te tombe sous la main, nerveusement. « Ok. » qu’il ajoute, simplement et tu arques un sourcil. Hein ? Quoi ? Ok ? Sérieux ? C’est tout ? Ben putain. T’as de quoi être soulagé, rassuré, de te dire qu’il à l’air de parfaitement bien le prendre et de ne pas péter un câble comme tu aurais pu l’imaginer. Pourtant, ya une partie de toi qui ne peut s’empêcher d’être vexé. Ok. C’est tout ? Alors qu’il était si jaloux avant dès que quelqu’un s’approchait d’un peu trop près ? Il est capable de passer de ça à un foutu ok de merde ?

Tu vois le bon côté des choses, quand même. S’il le prend comme ça, il va laisser Adam tranquille et vous pourrez vivre votre histoire en paix, sans avoir à flipper du tempérament de feu de l’agent de sécurité. Ça te file un boost à l’égo, quand même et tu souris doucement. « J’sais pas. Ça m’est tombé dessus comme ça. Il est… » V’là un sourire niais qui se dessine sur tes lèvres. « … j’ai jamais rencontré un mec comme lui, avant. J’me dis que si j’dois construire un truc, si j’dois tenter le coup, ça sera jamais avec un autre que lui. » Tu toussotes avant de te fermer ta gueule, conscient de passer pour ces mecs amoureux dont tu as toujours eu une sainte horreur.

ouais... même toi, tu te trouves extrêmement calme pour la situation. de toute manière, c'est presque risible. parce que le brun, c'est marqué sur sa tronche qu'il est encore puceau. qu'il s'écrase face à tout le monde. c'est pas ce qu'il lui fait, à damen. tu sais ce qu'il lui faut. (ta queue, entre autre.) c'est pas le genre de mec à se mettre gentiment en couple. tu te pinces les lèvres un bref instant, enfonçant un peu plus tes mains dans tes poches. j’sais pas. ça m’est tombé dessus comme ça. il est… j’ai jamais rencontré un mec comme lui, avant. j’me dis que si j’dois construire un truc, si j’dois tenter le coup, ça sera jamais avec un autre que lui. tu lèves les yeux au ciel. ça te donne envie de dégueuler de l'entendre parler comme ça. ouais, vraiment. un arrière-goût d'agacement sur les lèvres. un mec comme lui, tu veux dire puceau ? tu arques un sourcil, les mots s'échappant de tes lippes rapidement, presque accusateurs. tu t'approches un peu, venant appuyer tes deux mains contre le bureau du blond. tu te pinces les lèvres un bref instant.

tu tournes un bref instant la tête vers la salle, fronçant les sourcils devant le brun en train de se déhancher. ouais, tu vois pas, franchement. avec sa gueule de gamin et le courage d'une huître. t'arrives à l'baiser, au moins ? que t'ajoutes, sarcastique. faudra pas venir pleurer quand il voudra pas hein, vu sa tronche. que tu siffles en te redressant, l'air totalement fermé face au blond. il fait chier, ouais.
il fait putain de chier.
(tu sais pas trop si tu parles d'adam ou de damen, là.)
tu te pinces les lèvres de longues secondes. t'as franchement pas idée de pourquoi tu restes là sans bouger, face au blond. et qu'est-ce que tu peux en avoir à foutre qu'il soit en couple ? s'il veut essayer de se taper un puceau, c'pas ton problème. mais - putain, ça t'fait chier. parce que damen, tu sais lui filer les orgasmes dont il a besoin. personne d'autre. ça te fait enrager, sans doute trop.

« Un mec comme lui, tu veux dire puceau ? » Oh. Il arque un sourcil, il s’approche et tu peux voir la colère se dessiner sur son visage. T’es plus aussi sûr d’être déçu de sa première réaction, du coup. T’es plus aussi sûr que c’était une bonne idée d’avoir espéré le voir jaloux une dernière fois. Il gronde, Slade. Il vient s’appuyer sur le bureau et tu ne peux que cligner des yeux en le fixant, pris au dépourvu. « J’voulais dire un mec qui cherche sérieusement à se poser, qui est gentil pour de vrai et qui est terriblement optimiste. » que tu répliques, ta voix se faisant un peu plus assurée à chacun de tes mots. Tu commences à t’énerver, toi aussi. T’aimes pas ce qu’il sous entend. Pire encore, t’aimes pas du tout la manière dont il parle d’Adam, de ton mec.

Et il ne s’arrête pas là, il enchaîne et tu te sens bouillir de rage à l’intérieur. « T'arrives à l'baiser, au moins ? » Tu te lèves d’un bon, mains sur le bureau à ton tour et ton regard planté dans le sien. « Qu’est-ce que ça peut te foutre, hein ? » que tu craches, la mâchoire contracté sous la frustration et la colère que tu ressens. T’as l’impression que tu vas exploser sous le membre de respect flagrant dont il fait preuve, autant à toi qu’à Adam. « Faudra pas venir pleurer quand il voudra pas hein, vu sa tronche. » Tu te marres. Un rire amer et qui sonne parfaitement faux. « J’ai une tronche à me rabaisser à v’nir réclamer la queue d’un mec qui me parle comme ça ? » Tu arques un sourcil, le questionnant réellement. Vas-y mec, oses me dire le contraire. Je t’attends. « Que ça marche ou non, j’vois pas en quoi c’est tes putains d’oignons, Slade. »

Vous n’êtiez rien.
Vous n’êtes toujours rien.
Il va quand même pas péter un câble parce qu’il peut plus te sauter, si ?

« Et si tu parles encore une fois de mon mec de cette manière, j’te jure... » T’as pas tellement de menace qui te vient à l’esprit. T’es bien placé pour savoir que tu ne pourrais pas te mesurer à lui. T’as juste envie qu’il pige. On insulte pas Adam - pas maintenant, pas plus tard.