You are the strength that keeps me walking - Ainswell

You are the strength that keeps me walking

Ainswell

Handicapé de l'amour qu'elle est, Kristina lui avait tous donné, elle en avait parfaitement conscience mais elle ... que pouvait elle lui offrir en retour ? Sa maladie ? Super, mais y'a beaucoup mieux comme preuve d'amour et elle ne voulait que la protéger et là encore elle n'avait pas était capable d'y arriver. Mais elle avait toujours tous affronté seule, elle avait tellement peur de compter sur quelqu'un puis que cette personne l'abandonne qu'elle refusait de prendre la main que Kristina lui avant tendue. Et elle a beau essayer de ce faire pardonner, de lui donner des explications ça ne pardonne pas ce qu'elle a fait, les mauvais choix et tous ce que ça implique. - Oui, dans la tête c'était beaucoup plus facile à dire qu'à faire, plus simple et au final ça n'a fait que compliquer les choses. Mais on peu pas changer le passé mais si je pouvais je ferais d'autre choix. A croire que c'était elle l'adolescente qui ne savait pas ce qu'elle voulait et Kristina l'adulte. C'est ironique non ? Mais autant éviter de revenir dessus, ça ne ferait que leur faire du mal et c'est pas ce qu'elle voulait. Autant essayer d'aller de l'avant maintenant même si l'avenir de leur "couple" était plus que jamais compromis. D'ailleurs, il n'était plus question de parler de "couple" pour le moment, Kate devait avant tous ce concentrer sur sa guérison et après elle pourrait essayer de recoller les morceaux. Seulement est ce que sa jolie rousse est prête à la pardonner ? Encore ! Elle la fixe alors que son coeur espère que "oui", elle le puisse. Elle espérait tellement qu'elle soit capable une fois encore de lui pardonner ses faux pas. Elle avait parfois l'impression de jouer avec sa patience, la pauvre mais une fois encore Kristina la surprend. Parce que oui, elle était prête à lui pardonner bien que ça ne changeait rien entre elles. Son coeur manque un battement alors que son regard brille légèrement un peu plus à cause de l'émotion. Elle vient déposer sa main contre sa joue, comme pour conserver ce contact avec elle. - Moi j'aurais aimé que ça n'est pas de fin ... mais elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle même et elle en a parfaitement conscience. Laissant sa main glisser contre sa joue, sa peau elle recule légèrement.

(c) DΛNDELION