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| Sujet: céleste + elle, elle creuse. Jeu 7 Juin - 16:05 |
| save the queens ---- / CELESTE IRONTHORN
25 ans ---- / ace of heart ---- / emma roberts
identité complète céleste, rosen, margaret ironthorn. lieu de naissance et origines / premier avril mille neuf cent quatre vingt treize, dans un hôpital du queens. études ou métier / infirmière. orientation sexuelle / les garçons au citron, avec une barbe qui pique, un air mutin, qui chasse les écureuils en lisant du Nietzsche. statut civil / du coup célibataire pi, scénario ou prélien / prélien - la bonne @Carmen Standford.
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / empathique, du genre à pleurer devant une pub, ou parce que son ami a perdu sa chaussette + douce, jamais un mot plus haut que l'autre + intelligente, si petite, elle ne pouvait briller par sa beauté, céleste a toujours été l'intello de la famille ; avec un QI de plus de 130 couplé à une mémoire eidétique + lunaire céleste, elle est dans son monde, dans les étoiles, elle n'est pas solaire, comme sa sœur, merveilleuse et parfaite en toute circonstance. elle vit dans son ombre et s'est constitué son propre système solaire. + rêveuse, le nez souvent dans un bouquin, céleste à tendance à rêver sa vie plutôt que d’essayer de la vivre vraiment + fantasque, l’ensemble de ses traits de personnalité la rende d’humeur changeante ; à la fois mélancolique ou morose et exultante de joie quelques minutes plus tard + intemporel, à la fois déjà vieille, mais pourtant encore une enfant, elle vacille, peut bouder un instant comme si elle avait 6 ans, rire aux éclats tel un carillon et tout à coup prendre l'air sérieuse de celle qui a vécu 100 vies et philosopher avec vous. tour à tour femme, enfant, grand-mère et se cherche encore. + curieuse, l'avantage de tout retenir, c'est que votre cerveau ressemble à une grosse machine, et le besoin de faire fonctionner cette machine est impétueux et violent, il faut l'alimenter, sans arrêt, l'abreuver sans cesse de savoir nouveau, d'anecdote, d'histoire, d'image, de couleur et d'odeur. il faut l'envahir et encore et encore. + téméraire, vouloir tout connaitre implique de tout tenter. libérer des dictats imposés par sa sœur, céleste se découvre une passion pour l'inconnu, toutes les aventures l'enchantent, et elle est de toute les vadrouilles + fragile, le problème c'est qu'avec elle, tout ne tient qu'à un fil, on n'est jamais à l'abri qu'à un moment, elle replonge dans ses vieux démons, la mélancolie s'installe sur son visage, elle se renferme, se braque, se recroqueville et alors on obtient pour rien d'elle. pas à pas elle affronte une vie sous une nouvelle lumière, sans sa sœur pour lui cacher le vrai soleil, alors parfois elle trébuche et menace de tout abandonner. cette bonne pomme, douce, naïve, fragile, et loufoque. la petite confiance qu'elle commence à avoir en elle, c'est une étincelle, une brise pourrait tout foutre en l'air. + espiègle, si elle a longtemps été la cible des quolibets, aujourd'hui, céleste est un peu plus vive, mais là où les autres s'en servirait volontairement pour blesser la blondinette essaye de n'être que maligne et la joute verbale n'est pas un exercice qu'elle pratique + dévouée, presque reconnaissante de l'attention qu'on lui porte, de l'affection ou l'amour qu'on veut bien lui donner. les habitudes ont la vie dure, et quand on a été le faire valoir toute sa vie, il est difficile de ne pas vouloir se rendre utile histoire de garder sa place et l'attention qu'elle confère save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share les parents/. « Une fois, je crois qu'elle m'a dit que sa mère venait du Texas, mais que son père était new-yorkais, elle m'a aussi dit qu'elle supportait pas les manières de sa mère, pompeuse et snob, alors qu'elle venait d'un trou paumé au fin fond de nul part. D'ailleurs, elle a jamais compris ce que son père pouvait bien lui trouver à sa mère. Puis, elle se souvient d'avoir été quelques fois en vacances chez une tante resté dans l’État. Mais je comprend pour sa mère, faut dire Céleste, elle est pas faite pour cette famille, on l'aurait échangé à la naissance que les choses tomberaient pas plus sous le sens ! Cette fille, c'est une guimauve quand le reste de sa famille n'est que pierre. » Solène, voisine
« Son père et le mien travaillait ensemble. Pendant très longtemps, j'étais persuadé que cet homme n'avait qu'une fille. Mon père rentrait en parlant de « Diane » la fille de son collègue, elle est comme ci, comme ça apparemment. Moi, je m'en fichais un peu mais voilà, un jour, on a été dîné chez eux. J'ai cru que la fameuse Diane avait invité une copine ! L'air de famille n'était déjà pas évident, mais c'était surtout une attitude, des gestes, des bouts de phrases, des sourires. Un tout qui faisait tourner la tête vers l’aîné sans jamais se rendre compte du regard envieux de la plus jeune. Vraiment, j'ai été tout surpris en comprenant que Céleste était la petite sœur et qu'elle faisait bien partie de cette famille digne d'un magasine en papier glacé. On les aurait collé dans une pub pour une cuisine ou un salon et BAM les ventes auraient explosé devant leur apparente perfection. C'est triste à dire, mais finalement, je pense que peu de gens se rappellent de Céleste, à la fois si effacé et si omniprésente par son malaise. Clairement, elle ne semblait pas du même monde. Mal dans sa peau, se cachant la bouche pour parler, rondelette, empotée, gêné d'être là, triste de ne pas plaire comme sa sœur, de ne pas briller. D'être la lune face au soleil. » Elliot, fils d'un collègue de son père
la soeur/. « Diane, Diane, Diane, Diane, la fascinante, brillante, solaire Diane. La sœur aînée de la famille aurait pu et est très certainement d'une certaine manière, la seule fille de la famille. Ses parents n'ont de cesse de parler d'elle. Si bien que finalement, même Céleste finissait par ne parler que d'elle. Elle est comme ci, comme ça, elle te plairait, vient chez moi tu verras. Et les gens venaient, appâter un peu par l'aura de mystère de cette sœur parfaite. Céleste n'avait pas vraiment d'amis à elle, tous venait voir sa sœur, la rendant plus misérable encore lorsqu'elle quémandait un peu d'attention, un bonjour, un signe de la main. Elle faisait peine à voir. » Olga, camarade de classe
« Sa sœur avait tout ce qu'elle n'avait pas. La grâce, la beauté, la féminité, l'élégance. Une photographie, une égérie, un mannequin. Une publicité ambulante et envoûtante pour tout ceux posant les yeux sur elle. Elle captait les regards, attiraient les yeux, attisaient les convoitises. Il n'y en avait toujours que pour Diane. Elle se revendiquait artiste, mais n'était que muse. Elle brillait socialement, aux yeux de ses parents, de ses professeurs, de ses amis. Tout le monde était fascinés et ne pouvait s'empêcher de voir Diane. Classe, distinguée, élégante, maniant les styles, les couleurs, les matières avec un goût sûr. Qui aurait bien pu s'intéresser à Céleste après avoir frémis au contact du rayonnement de son aînée ? Triste petite personne empotée et mal dans sa peau. Les joues rondes comme une enfant, le bidon qui va avec, elle souriait pas beaucoup, évitait de regarder les gens dans les yeux, préférant admirer ses yeux. Elle chuchotait plus qu'elle ne parlait, tressaillait au moindre haussement de voix et répondait presque toujours « oui » si elle pouvait aider. Sa sœur en avait fait son faire-valoir, Céleste courrait aux quatre coins de la maison pour satisfaire les désirs de sa sœur, l'écoutait inventer des histoires pour elle, lui raconter sa journée. Elle mangeait des yeux son aînée, lui enviant son assurance, sa détermination, son élégance. Elle buvait ses paroles, faisait ceci, lui donnait cela. Tout ce qu'elle pouvait pour que sa sœur fasse attention à elle. » Meghan, amie de Diane
« et puis, c'est le drame. pas pour céleste, pour diane. quelqu'un ose ! une âme en peine, un pauvre hère ! qui est donc cet homme ? cet étrange personnage qui préfère céleste à elle ? et qui a l'outrecuidance de l'utiliser pour avoir une chance de croiser céleste au détour d'un couloir. Il s'appelait Léon. Un bien drôle de garçon sous certains abord, mais charmant. Seulement voilà, pour Diane, l'intêret qu'il portait à sa sœur était étrange. Pourquoi Céleste alors qu'on ne s'était jamais intéressé qu'à elle ? Elle eut beau tout tenter, se montrer douce comme sa sœur, le faire languir d'indifférence, rien n'y fit. Le pauvre garçon était irrémédiablement amoureux de sa sœur. Céleste n'en sut jamais rien. Diane se garda bien de lui dire. Après tout, je suis, enfin j'étais, je ne... sa meilleure amie depuis des années, avec moi, elle ne ment pas. Alors je sais, je sais ce qu'elle a véritablement ressenti. Un vide, un vide énorme et plus l'envie de rien. Fade, fanée, une fleur flétrie. Voilà tout ce qu'il restait d'elle, à 23 ans seulement. Elle s'enfonça, chaque jour un peu plus dans ses pensées amers. Tout ça à un cause d'un garçon, de la jalousie dévorante, du besoin de la chaleur d'un regard qui la couve d'admiration. C'est assez pathétique, je ne devrais pas le dire, je suis également triste pour elle. Mais pourquoi pour un seul garçon alors que tout les autres étaient à ses pieds pour un battement de cils ? Ils se seraient damnés pour la plus petite attention. Mais elle resta sur son échec. Elle moisissait dans une chambre d’hôpital, triste, dépressive, malheureuse comme une pierre et se voyant déjà vieille, vieille, vielle, les cheveux gris et des rides plein de le visage.. Puis un jour, elle revint à la vie si puis-je dire, changé, un peu, mais fidèle à elle-même. Égoïste, lâche. Le premier bel homme riche qui lui mit le grappin dessus à sa sortie gagna le gros lot. Elle l'épousa à peine quelques mois plus tard, et ils déménagèrent en Californie. Autant dire qu'on entend plus beaucoup parlé d'elle. Elle est partie. Elle a tout laissé derrière elle, sans plus d'explication sauf l'amour. Elle est partie. Et ne donne plus de nouvelles. Ni d'explication. » Chelsea, meilleure amie de Diane
la libération/. « Curieusement, l'internement de Diane n'a pas eu l'effet attendu sur le moral de sa sœur. C'était comme si elle se libérait. On pensait tous, attachée comme elle était à Diane, que ça lui ferait plus de mal qu'autre chose, et qu'elle-même se retrouverait dans un état proche de la dépression de sa sœur. Mais au contraire. Céleste s'est libéré. Libéré du soleil pour s'épanouir. Faut dire, ses parents était eux-même dans un sale état et eux, n'ont pas bien vécu l'internement de leur parfaite aînée. Ils ne se sont jamais soucié de ce que pouvait ressentir Céleste, ils n'allaient pas commencer maintenant, prit dans leur propre peine. Et tout à coup, Céleste était libre. D'être ce qu'elle voulait, de faire ce qu'elle voulait, d'être empoté et godiche. Plus personne ne lui a jamais fait de réflexion. Au moins, elle était assez saine d'esprit pour continuer son petit bout de chemin. Faut dire, elle a jamais trop eu l'impression que ses parents l'aimaient, que sa famille de manière générale tenait particulièrement à sa présence. Alors elle a fait comme si de rien n'était. Car pour elle, rien n'avait vraiment changé. Diane était le sujet principal de conversation, et elle avait beau briller scolairement, ces parents ne se souciait toujours que de Diane. Même après que la jeune fois ait été soigné, et ait disparu par amour, ses parents ne parlent toujours que de Diane. » Olaf, voisin
« Diane enfermé, Céleste était libre. Et si peu de gens ont remarqué les quelques changements qui se sont opérés chez la jeune femme, c'est sans doute parce qu'il était discret et qu'on avait peu fait attention à elle avant ça. Bien sûr, elle n'a pas prit la place de Diane, ça tout le monde l'aurait remarqué. Mais elle était plus épanouis, plus douce encore, plus sereine. Comme si elle n'avait plus à lutter sans cesse. Et c'est sans doute ce qu'elle ressentait. Faut dire, c'était pas facile d'être la cadette de Diane. Avoir l'incarnation de la perfection féminine sous les yeux à longueur de temps alors que vous luttez contre quelques kilos en trop, et un visage plus disgracieux. En fait, ce qui est arrivé à Céleste, c'est que d'un coup, elle a comprit le concept de confiance en soi. Sa sœur vivait à travers les appréciations des autres alors que Céleste n'a jamais pu compter que sur son talent, à peine reconnu par ses proches. Au début, elle a cru que ses parents allaient enfin faire attention à elle, mais quand elle a vu que ça ne serait pas le cas, elle a laissé tomber pour faire sa vie sans plus jamais se soucier de leur avis. Et c'est là qu'est né sa vrai force. Elle s'est émancipée de ses parents psychologiquement en tout cas. » Chelsea, meilleure amie de Diane
les amis/. « Petite, on pouvait pas vraiment dire qu'elle avait des amis. La plupart était ceux de Diane, et les quelques rares enfants de son âge s'intéressant à elle, ne le faisait que pour mieux atteindre sa sœur. Faut dire, quand elles étaient petites, elles étaient tout le temps ensemble. Diane protégeait sa petite sœur et lui faisait profiter de son cercle en l'intégrant toujours malgré parfois la réticence de ces amis. Diane et Céleste étaient un lot. En grandissant les choses ont un peu évolué, et Diane n'a plus voulu aider sa sœur. Elle s'est détaché d'elle, et Céleste s'est retrouvé bien seule. Du coup, on la voyait peu, mais elle était là, dans un coin de la maison, à lire un livre souvent. J'ai longtemps aperçu seulement le sommet du crâne de Céleste penché sur un bouquin. » Johanna, amie de Diane
« Du coup au collège, c'était pire que tout. Elle était seule. Complètement seule tout le temps. C'était triste à voir. Enfin, c'était pire qu'être seule, elle était carrément transparente. A l'époque, Diane brillait plus que jamais, elle commençait à devenir un vrai petit bout de femme, alors forcément, elle faisait tourner la tête de tout le monde. Céleste était donc transparente. Parfois, les petits intellos ont tendances à être persécuter. Céleste, même pas. Comme les gens voulaient quand même être en bon terme avec sa sœur, ils laissaient la petite sœur dans un coin sans se préoccuper Mais c'était vraiment la tête d'ampoule de la classe, sauf qu'elle ne participait jamais. Elle n'ouvrait jamais la bouche. Elle donnait tout durant les épreuves écrites et brillaient. Mais refusait les compliments pour justement ne pas s'attirer les foudres plus que nécessaire. Et puis elle perdait beaucoup à ne pas participer. Mais elle voulait disparaître. » Maxyn, camarade de classe
« C'est au lycée que les choses ont commencé à changé. Bon au début, elle allait complètement se faire avoir. Deux garçons se sont particulièrement intéresser à elle. On les appelait « La bonne, la brute et truand » quand il était tout les trois. Au début, ils s'étaient rapproché d'elle comme tout les autres, pour se rapprocher de Diane. La technique fonctionnait avant, mais Diane et Céleste n'avaient plus rien en commun depuis des années. Elles s'adressaient à peine la parole à la maison, et absolument jamais au lycée. En général, leurs camarades et professeurs s'étonnaient du fait qu'elles étaient sœurs. La seule chose qu'elles avaient encore en commun, c'était un nom après tout. Mais bizarrement, en voyant que ce n'était pas par Céleste qu'ils se rapprocheraient de Diane, ils n'ont pas laissé tomber la petite comme une chaussette. On s'était dit que c'était juste pour ça, et finalement le groupe semblait s'épanouir ainsi. Puis un nouveau membre s'y ait greffé, un peu par dépit, mais l'osmose a fini par être là. Les cinq de la main amputé d'un doigts. Une place, un rôle dans un tout. Elle ne demandait que pour s'épanouir Céleste. Et voilà la petite fleur qui éclot. » Emily, camarade de classe save the queens ---- / BEHIND THE MASK
rastakeur / leïna ---- / 22 ans ---- / rpgiste
ville / lille. études ou métier / licence de lettres modernes. avis général sur le forum / le détail qui t'a fait craquer / le pré-lien . fréquence de connexion / 4/7. le mot de la fin / de quels couleurs sont les petits pois? - Code:
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[b]emma roberts[/b] / [i]céleste ironthorn[/i] - Spoiler:
désolée, j'ai changé d'avis en cours de route pour le type de formulaire, la façon dont j'ai décidé d'écrire l'histoire ne se prête pas très bien aux "points"
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