spin me right round (ange)

spin me right round

angel & ilyès

y'a un jour ou tu regretteras vraiment tout ça, ou ça va te revenir à la gueule et ou ça fera exploser ton couple avec noor. parce que t'es sans doute un peu naïf de penser que ça restera à paris, ou dans une quelconque autre ville du monde. mais y'a l'alcool qui t'empêche d'y penser réellement pour le moment. et sans doute qu'une fois demain, tu feras tout pour penser à autre chose, parce qu'il se sera déjà barré depuis longtemps, alors c'est pratique, pour se dire que y'a pas grand chose. que c'est que du cul, juste quelques heures agréables. accessoirement. tu esquisses un léger sourire face au brun. ouais, c'est accessoirement glauque de vouloir baiser avec quelqu'un qui dort. et tu termines par te lever, par t'éloigner, en direction de ta chambre d'hôtel.

celle dans laquelle tu prends le temps de retirer ta veste, de la poser sur une chaise, pour éviter qu'elle ne se retrouve baladée à l'autre bout de la pièce si tu laisses angel s'en occuper. j’veux toujours que tu réagisses. tu esquisses un sourire, t'approches un peu du mannequin, sans doute trop proche. tu joues avec le feu, t'aimes trop ça avec lui. pourtant t'es pas spécialement un impulsif de nature, pas un mec à jouer comme ça. le brun vient se rapprocher un peu plus encore, réduisant à néant l'espace entre vos deux corps. j’aime bien trop quand tu gémis mon nom malgré que tu sois à bout de souffle. ta voix sonnerait presque cassée et… et bordel ce que c’est hot. tu arques un léger sourcil, sourire au coin des lèvres face au jeune homme. encore faut-il que t'arrives à ce stade. tu murmures d'une voix un peu plus rauque. ce soir ça t'déranges pas d'lui laisser les reines. d'me laisser à bout de souffle et la voix cassée. tu ajoutes, ses mains glissant contre tes hanches, jusqu'à tes fesses. tu viens glisser tes doigts contre son torse, ne te privant pas pour directement franchir la barrière de tissu, touchant sa peau sans t'en priver. ton bassin vient à la rencontre du sien, tes prunelles se plantant dans les siennes. et tu sais qu'il aura aucun mal à le relever, ce défi. il va même s'en donner à cœur joie.

(c) DΛNDELION

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angel & ilyès

Si Ilyès est loin d’être impulsif, c’est tout l’inverse chez toi. Il paraît que ça fait partie de ton charme, de ce qui plait chez toi. C’est pas le genre de truc qui met ton psychologue du même avis, pourtant. Lui, ça a plutôt tendance à le faire flipper. Mais t’aimes pas tourner autour du pot et délayer l’inévitable. À quoi bon se nier un plaisir pendant quelques longues minutes alors que l’on pourrait l’avoir tout de suite ? Maintenant ? T’as jamais pigé ceux qui s’amusent à se faire languir. C’est pas ton truc.T’es pas patient. Tu veux tout et tu le veux tout de suite. C’est pour ça que t’attends pas pour glisser tes mains sur les fesses de ton interlocuteur, pour t’en saisir entre tes doigts et tâter la marchandise - comme tu le dis si bien. « Encore faut-il que t'arrives à ce stade. » qu’il te provoque et tu arques un sourcil. Parce qu’il sait pertinemment que tu l’as déjà fait et que tu le referas. « D'me laisser à bout de souffle et la voix cassée » Parce qu’il sait pertinemment qu’il est entrain d’offrir un défi enroulé d’un putain de ruban et que les défis, ça pique ton intérêt. Tu comptes bien le relever, et pas uniquement parce qu’il t’a provoqué. Tu comptes bien faire de lui une masse incohérente de mots dont seul ton prénom ressortira. Parce que merde, c’est bon pour ton égo, ça - pis c’est tellement bon de le voir comme ça. « Voyons, doll. Tu sais bien que tu n’as pas besoin de me provoquer pour que je te le montre. »

Tu ne tournes pas autour du pot et tes lèvres viennent s’emparer des siennes. Tu laisses tes mains tâter encore un peu, profiter de la rondeurs de ses fesses sous tes doigts avant de finalement les amener devant lui - objectif, virer ce pantalon qui commence à te sortir par les yeux. Parce que c’est chouette, les provocations verbales, mais t’as pas spécialement envie de passer quinze heures à décrire ce que tu vas lui faire. T’es du genre à le montrer, toi - pas à le décrire. Alors tu t’attaques à sa ceinture, décollant un peu ton bassin du sien pour te laisser de quoi manoeuvrer. Ça a jamais été ton fort, ces putains de ceintures. Elles sont toujours dans le passage celles là.

(c) DΛNDELION

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angel & ilyès

c'est sans doute un mélange vicieux de tout ça, qui t'attires, chez le brun. de cette impulsivité, de sa confiance en lui, de tout ce qui change de ta relation avec noor. douce noor qui mérite bien mieux que toi, en réalité. tu fermes les yeux un court instant, prenant une douce inspiration en sentant les doigts du brun venant glisser sur tes fesses, ne se privant pas pour te tripoter au passage. et bordel, c'est jamais désagréable quand c'est le mannequin qui le fait. c'est même bien trop agréable. tes doigts viennent tirer son haut, le déloge pour pouvoir y glisser, à même sa peau.

tu viens le provoquer. parce que t'aimes bien ça, t'aimes bien ce que ça risque d'engager. pour une fois, ce soir, ouais, t'as p'être bien besoin de lâcher un peu le contrôle dont tu fais preuve dans ta vie de tous les jours. échappatoire qui ne devrait pas avoir lieu. voyons, doll. tu sais bien que tu n’as pas besoin de me provoquer pour que je te le montre. tu lèves les yeux au ciel, un sourire sur le coin des lèvres. évidemment que j'en ai pas besoin. tu te contentes de souffler, ses doigts quittant tes fesses et venant s'attaquer à la ceinture de ton pantalon.

ça t'ferait presque rire de le voir galérer avec un simple bout de cuir. tu l'observes quelques instants. j'essayerais de penser à pas en mettre la prochaine fois, vu que tu galères toujours à les défaire. tu souffles avec un rire, haussant les épaules, glissant tes mains contre ses hanches pour venir te débarrasser de sa propre ceinture, ne te privant pas pour faire descendre son jean sur ses cuisses. y'a rien de compliquer pourtant. tu ajoutes, un petit sourire sur le coin des lèvres, tes doigts habilles venant défaire les boutons de sa chemise. faut dire que tu fais que ça de tes journées, habiller et déshabiller tes mannequins. mais pas dans le but qui te mène à déshabiller angel ce soir. dans tous les cas, t'as pas de mal à venir faire glisser sa chemise sur ses épaules.

(c) DΛNDELION

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angel & ilyès

« Évidemment que j'en ai pas besoin » Tu souris en coin. Tu mets un point d’honneur à ce qu’il le sache, ça - au fait que même sans provocation, tu comptes bien le faire aller jusqu’à prononcer ton nom lors de vos ébats, le lui faire gémir autant que possible. « Bien. » que tu répliques sans perdre ton sourire, ton regard planté dans le sien.

Il se fout de ta gueule. C’était à prévoir. « J'essayerais de penser à pas en mettre la prochaine fois, vu que tu galères toujours à les défaire » T’as jamais été doué avec ces fichus ceintures, sans doute parce que toi, t’en mets jamais à moins d’y être obligé. À moins qu’on t’en fasse porter une pour ton boulot - pour un photoshoot, un défilé ou encore une soirée professionnelle. T’es plus à l’aise dans des frocs un peu trop grands pour toi, le genre de froc qui tombe sur tes hanches et qui menace de rejoindre le sol sans demander son reste. Ya que pour les grandes occasions que t’en porte - de ces créations infernales. Et pour bien enfoncer le couteau dans la plaie, t’en porte une ce soir - une qu’il détache avec une facilité déconcertante. « Y'a rien de compliquer pourtant. » qu’il te dit, provocateur, alors que ton pantalon tombe sur tes cuisses et que tu le finisses par le virer à coup de pieds. Et tu arques un sourcil, parce que t’as envie de lui faire ravaler son côté effronté, son petit sourire en coin qu’il t’adresse tandis qu’il s’attaque à ta chemise.

Tu finis par décrocher la victoire contre sa ceinture maudite puis contre son pantalon que tu baisses à ton tour sans plus attendre. Et puis tu le rejoins dans ses activités, défaisant à ton tour les boutons de sa chemise. Tu te retiens de pas venir les arracher, de tirer sur le putain de tissu qui t’empêcher de toucher sa peau mais t’as vu comment il avait posé sa veste un peu plus tôt et t’as pas envie de jouer au con s’il aime bien sa tenue. T’as pas spécialement envie qu’il t’en veuille pour l’avoir détruite. Alors la chemise finit au sol, doucement, détachée soigneusement et tu le pousses jusqu’au lit, jusqu’à ce que le derrière de ses genoux ne s’y heurte et que tu n’ais plus qu’à le faire basculer sur le matelas. Et puis tu grimpes au dessus de lui, Lion s’avançant vers sa proie, les doigts se baladant sur sa peau jusqu’en haut de son torse.

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angel & ilyès

ça t'as toujours fait marrer, ça, un mannequin qui galère à défaire des ceintures. et tu peux pas vraiment t'empêcher de le faire chier là-dessus, angel. juste pour pouvoir laisser un sourire se dessiner sur le coin de tes lèvres. et t'es étonné, quand il s'attaque doucement à ta chemise, après avoir enfin fait glisser ton pantalon sur tes cuisses. tu t'en débarrasses aisément, le vêtement tombant sur tes jambes, loin d'être assez ajusté pour rester en place. tu t'en débarrasses rapidement, le laissant glisser un peu plus loin d'un coup de pied. tu te mords l'intérieur de la joue, observe le brun de longues secondes, qui termine par retirer ton haut. sourire au coin des lèvres, tu t'retrouves bientôt en boxer, laissant angel dans le même état que toi, simplement en sous-vêtement. t'aimes un peu trop cette vue d'ailleurs.

tu recules, tes genoux tapant contre le lit trop grand, au matelas dans lequel t'as constamment l'impression de t'enfoncer quand tu t'y allonges. angel te pousse dessus sans demander son reste, ne tardant pas à grimper sur tes hanches pour te surplomber. ton regard croise le sien, prédateur, et ses doigts viennent glisser contre ton torse. tu laisses tes mains venir dessiner la courbe de ses épaules, remontant contre sa nuque pour l'attirer un peu trop brusquement à toi, ta langue venant trouver la sienne pour un baiser qui n'a rien de romantique, rien de doux, rien qui ne ressemble aux baisers que tu échanges avec noor quand tu rentres d'un voyage. et c'est bien pour ça que tu l'embrasses, le brun. parce qu'il n'y a rien à comparer. tu fermes les yeux un instant, ne peux t'empêcher de venir glisser une main jusqu'à ses fesses, le pressant un peu plus sur toi.

(c) DΛNDELION

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angel & ilyès

Tu ne prends pas la peine de répondre à la provocation de la ceinture. T’as juste envie de le faire taire, de lui faire oublier qu’il ait ne serait-ce que penser à se moquer. Et quand il est là, couché sur le lit alors que tu t’avances au dessus de lui, t’aimes à penser que t’as déjà commencé à y parvenir. Il glisse ses mains sur tes épaules, sur ta nuque avant de t’attirer à lui. Tu te laisses happer par le baiser, ta langue allant à la rencontre de la sienne pour la caresser, la frôler de cette manière à la fois passionnée mais très peu romantique. Une main se pose sur tes fesses, attirant ton bassin un peu plus contre le sien et tu viens sourire du coin de tes lèvres. Tu te laisses faire, ton bassin venant se coller au sien tandis que tu le bouges légèrement afin de créer un début de friction. Tu viens prendre la lèvre inférieure d’Ilyès entre tes dents, doucement, sensuellement avant de finalement la lâcher pour mieux planter ton regard dans le sien. Bordel comment tu le boufferais alors qu’il est là, sous toi, presque nu et à ta merci. Tu recules un peu ton buste, rien que ton buste, pour mieux voir, pour mieux admirer ce corps sous le tiens et un nouveau sourire vient se dessiner sur tes lèvres. Putain c’que t’aimes c’que tu vois. Et puis tu restes là, un peu plus relevé - gardant la vue, pour mieux bouger à nouveau ton bassin contre le sien, jouant de cette friction malgré vos boxers respectifs. Tu peux quand même le provoquer un peu, après tout. Tu peux quand même en profiter un peu, n’est-ce pas ?

(c) DΛNDELION

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angel & ilyès

tu t'retrouves rapidement allongé sur le lit, à moitié à poil, avec angel sur toi, dans le même état, ne portant plus que son boxer. boxer que t'as bien envie de virer, d'ailleurs, mais tu préfères pour l'instant venir écraser tes lèvres contre celles du brun, ta langue venant rapidement danser avec la sienne, envoyant valser le romantisme loin, très loin. parce que ça a jamais rien eu de romantique, ce qu'il s'passe quand vous vous retrouvez dans le même lit. t'attires l'bassin du brun contre toi, parce que ça suffit de sentir simplement son corps effleurer le tiens et que t'es pas très patient, quand t'as bu. et quand tu t'es emmerdé une bonne partie de la soirée. t'as plus envie d'attendre quoi que ce soit. il semble l'comprendre. puis angel, ça a jamais été un mec patient non plus, alors quand il vient bouger son bassin contre le tiens, y'a un soupir qui s'échappe de tes lippes et tu fermes les yeux un court instant, le laissant se redresser un peu. et tu t'en fiches que ce soit de la provocation. il a toujours été comme ça, le mannequin.

(c) DΛNDELION

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angel & ilyès

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» Last Round ? - Cassey.
» round of applause [r]
» music-go-round ; avery
» presque ange
» Visage d'ange. (camilla)