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 douce esquive.

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Message Sujet: Re: douce esquive.    douce esquive.  - Page 2 Empty Sam 9 Fév - 0:20


il a compris. tu n'es plus seule, tu le sens. ses pensées rejoignent les tiennes. sa colère rejoint la tienne plus enfouie en toi. et parfois t'en viens à te demander à quoi ressembler le atlas mclaren de son autre vie, d'avant le drame. comme parfois tu te demandes quelle serait ta vie si tu n'avais pas déménagé à new-york, si tu n'avais pas rencontré ismaël, si tu n'avais pas perdu ce bébé. et le temps ne guérit pas les blessures. t'envoyais bouler cette citation, ce amas de conneries. tu ne croyais presque plus en rien, qu'en tes décisions au futur karma. mais tu ne croyais plus en la chance de la vie, elle t'avait déjà pris le plus important au monde. je n'aime pas perdre mon temps, c'est vrai. petit sourire entendu pour l'homme, c'est là que tu as décidé de t'approcher de lui.
et tu devrais être vexée, tu devrais tellement mal prendre cette vérité qu'il te donne. ce n’est pas toi, c'est ce que tu représentes. tu devrais oui mais ce n'est absolument pas le cas. étrangement, ou pas car plus rien ne te surprend de ce côté là de ta personnalité devenue trop noire, tu aimes cela. t'aimes sentir cette sensation, comme un prédateur ressentant la peur de sa proie, comme un prédateur ressentant la fatalité chez sa proie, comme le prédateur qui sent le dernier souffle de sa victime sous ses crocs. il le sait, tu n'es pas là pour le secourir. t'es plutôt là pour l'emmener avec toi dans les enfers de votre souffrance. tu es charon au féminin, nana, la nocher des enfers. de ta rame, avec ton sourire taquin et mutin, avec tes yeux sous ta frange trop noire, avec tes tenues élégantes et séduisantes, tu fais traverser le styx au pilote brisé, à l'homme qui a perdu une partie de lui avec la mort de sa femme et de son futur fils, à l'homme qui pense être mort en même temps qu'eux. comme toi, la plus âgée de vos tragédies, tu lui montres le chemin, le garde contre toi. parce que le blond te plaît, parce que tu ressens une connexion particulière avec lui. parce que t'as pas envie de le lâcher comme cela. à ta place, je continuerais de fuir, atlas ou d'essayer. ton regard dans le sien, ce n'est qu'un conseil d'amis, d'amants d'une nuit, que tu lui donnes même s'il devrait savoir que tu n'as pas envie qu'il prenne cette décision. c'est d'ailleurs ce que montres la lueur dans tes yeux. c'est trop tard, atlas. bien trop tard et je suis contente que tu te sois résolu. parce que ses mots te font plaisir, parce que sa dernière phrase te confirme qu'il arrête de se battre alors que vos corps se frôlent, ta poitrine contre ton torse. ce n'est pas moi qui vais contredire tes choix, merveilleux soient-ils... ta voix qui baisse presque dans un chuchotement, tes doigts viennent courir le long de son torse. tu trouveras pas chez moi de quoi panser tes plaies, tu ne trouveras pas chez moi de quoi oublier, tu le sais, n'est-ce pas ? second avertissement. tu peux encore essayer atlas, de partir, de fuir mais t'es presque comme un chat jouant avec la souris qu'il a attrapé, mesquine, celle qui lui fait croire la liberté pour mieux la rattraper ensuite, pour mieux la torturer. parce que je suis comme toi mclaren, si ce n'est pire, j'ai des années derrière moi. t’as la putain d'expérience derrière ton dos, des années accumulées. confession alors que tes lèvres sont maintenant proches de son oreille, ta tempe venant se coller contre son profil, tes cheveux venant lui chatouiller le visage, avant que ton visage se recule, qu'il se penche sur le côté pour le regarder. c'est le défi qui danse encore dans tes yeux, comme à chaque fois que t'es à son contact. le défi et pas que. c'est la promesse que ça se passera comme cela. la promesse que vous ne pourrez vous apporter que le réconfort le temps de vos corps l'un contre l'autre, le temps de la jouissance. tu recherches rien d’autre. tu ne cherches pas à être sauvée, à ce qu'on t'entende sur le drame de ta vie. tu préfères qu'il t'entende gémir. c'est trop tard pour cela, pour ta rédemption. ou c'est ce que tu crois.
@atlas mclaren
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Message Sujet: Re: douce esquive.    douce esquive.  - Page 2 Empty Jeu 14 Fév - 19:57

Tu as lutté contre toi-même et se désir brûlant de replonger dans les délices de l’enfer à t’en déchirer un peu plus le cœur. L’âme aussi. Tu as lutté pour ton esprit ou cet infime espoir qu’on vienne te sortir de tes démons. Tu as lutté pour te racheter bonne conscience de cette culpabilité qui te ronge un peu plus chaque jour mais, à quoi bon. Tu rends les armes pour cette envie de retrouver la sensation qui agite ton corps. Cette sensation qui s’appelle la vie. La vie dans la mort. Oui, tu es mort de l’intérieur. Une coquille vide qui respire et pourtant la souffrance qu’elle te donne à manger semble être devenu ton plat préféré. Ta drogue. Il n’avait suffi que d’une fois. Une fois pour qu’elle pique ton âme et que tu t’accroche à la sienne. Une fois pour que tu deviennes ce putain de camé en manque d’elle. En manque de son corps. De ces courbes. De ces cries. Peut-être bien que tu avais été dans le déni à la fuir comme la peste ?! Peut-être bien que c’est le foutu manque de ce jeu enivrant qui t’avais poussé à t’arrêter. Replonger dans cette lueur de défis qu’elle te sert sur un plateau. Aussi pourri l’un que l’autre et c’est surement là, que vous vous trouviez bien. Elle s’approche la tentatrice petit à petit. Elle se fait une place parmi les fantômes de ta vie. Parmi tes démons. Deux aimants désespérément attirés. T’avais besoin d’elle autant qu’elle avait besoin de toi. Vous aviez besoin du répit de l’autre. De la douleur de l’autre. « Le temps c’est qu’un putain d’enfer, autant se résoudre à être coincer dedans…. » Que tu lances le corps droit qui ne bouge pas mais le regard qui touche à lui tout seul. Elles prennent tous tes opales. Tout d’elle et tes mains elles, elles n’attendent que le moment opportun. Vos corps qui se frôles, vos regards qui se cherches et vous voilà de nouveau enfermer dans le cercle vicieux de ce jeu dangereux. De ce jeu qui vous faisiez vibrer. Vibrer l’un l’autre. Vibrer l’un pour l’autre. Elle t’arrache un sourire sa mise en garde. Elle te caresse l’épiderme de la pseudo bonne conscience qu’elle tente d’afficher. Tu n’en a que faire tu iras dans tous les cas en enfer alors, autant donner au diable un peu plus de raison de te prendre. « Je ne serais pas l’idiot qui s’essoufflera à tenter d’échapper à une chose qu’il n’as pas envie de fuir… » Que tu lances le regard plongé dans le siens et le corps déjà bien trop brûlant d’elle. Tu lui ris au nez à sa foutue mise en garde qu’elle n’a prononcé que pour les formes. Vous êtes dans le même bateau tous les deux. Vous en avez envi tous les deux de plonger tête la première. Ton regard qui se plonge dans le siens et tes mains qui agrippes son visage. Les paumes encadrant la beauté avec laquelle elle te nargue depuis le début. Elle t’appelle du plus profond de son âmes. Là, où la noirceur à fait son nid et toi, toi tu réponds en t’en foutant des conséquences. A l’arrivée tu n’as plus rien à perdre. « Détruit moi Nana ! Détruit moi, je n’attends que ça… » Que tu souffles contre son visage. Que tu laisses cette électricité vous envelopper. Tu l’as laisse reprendre ces droits cette putain d’alchimie malsaine qui oscille entre vous. Tu l’accueil à bras ouvert avec l’idée que quitte à souffrir autant le faire en se faisant plaisir. Tu ne reconnais pas et pourtant tu l’accepte ce nouveau toi. Tu n’es plus le même depuis quelque mois et voilà ce que la vie t’as fait. Elle t’a transformé et tu acceptes ton nouveau sort. Que t’en soit damné t’en avait plus rien à faire. Qu’elle soit ta putain de reine des enfers si elle le voulait toi, tu voulais juste de servir et ne plus penser. Ne plus penser à rien d’autre qu’elle au fond du gouffre avec toi.
@nana sforza douce esquive.  - Page 2 2730069674
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Message Sujet: Re: douce esquive.    douce esquive.  - Page 2 Empty Ven 15 Fév - 11:55

tu ne ressens aucune honte, aucune culpabilité sur ce que tu es en train de faire car pour la première fois de ta vie, tu as l’impression d’être en total symbiose avec quelqu’un concernant ton malheur. avec cet homme que tu as rencontré qu’il y a quelques mois, tu as l’impression d’être, enfin, comprise. enfin accompagnée. à l’époque, tu as perdu l’homme que tu aimais, le bébé que tu aimais. lui, il as perdu la femme qu’il aimait, le futur bébé qu’il aimait déjà tant. vos histoires ne sont pas similaires mais se terminent de la même façon. au final, vous êtes seuls, même avec un certain soutien de vos proches. tu ne connais rien de la vie du pilote mais tu ne peux pas douter qu’il doit recevoir du soutien. et pourtant, tu te doutes de ce qu’il fait. sans doute fait-il comme tu fais toujours depuis des années : rejeter l’aide, la compassion, la pitié, surtout elle, tu la détestais au point qu’elle te fait vomir, au point qu’elle te donne envie de frapper ces gens. et encore, ton histoire n’est pas publique comme la sienne. tu n’es rien dans cette société, seulement quelques personnes le savent dans ton entourage, alors tu n’imagines pas l’ampleur chez lui.
et pour ça, tu sais d’avance que tu ne le lacheras pas, tu ne le[ lâchera pas. il aurait mieux fallu pour lui qu’il tombe dans un autre groupe de soutien. il aurait fallu que l’homme ne te rencontre jamais car t’allais le bouffer comme une mante religieuse. avec toi, il n’atteindra pas la rédemption, ni le soulagement et le répit, il ne se sentira pas mieux dans son chagrin. parce que tu ne vas pas le consoler sur le long terme, seulement le temps de quelques étreintes enflammées, seulement le temps de vos lèvres parcourant le corps de l’autre. c’est tout ce que tu demandes. c’est tout ce que t’as toujours demandé depuis ce jour d’août où ta vie avait basculé, où tu t’es éteinte en même temps que le petit coeur. ton coeur te permettant d’aimer une personne à la manière d’un couple a filé, il a suivi l’âme du bébé que tu as perdu en accouchant. tu n’as jamais rien fait pour changer tout cela, rien fait pour te pardonner toi-même. car oui, en réalité, beaucoup de ton histoire repose sur le pardon. ce n’est pas ta faute, paraît-il mais tu continues de porter la culpabilité, comme l’homme devant toi qui craque au fur et à mesure de votre échange. il portera à vie une certaine culpabilité d’avoir pris la voiture avec sa femme enceinte. et même si c’est la faute au chauffard en face, tu sais ce qu’il ressent, ses suppositions pour refaire le monde, sa douleur et sa peine, les armes qu’il jette devant toi, à tes pieds. pour ton plus grand plaisir. je ne te le fais pas dire... le temps n’arrange rien, le temps ne t’a jamais aidé, il n’a fait que t’enfoncer encore et encore dans ton propre enfer. dans un monde que tu as créé pour toi, que tu as créé pour des gens comme vous et t’es heureuse de pouvoir enfin avoir de la compagnie, avoir ton premier compagnon de voyage dans cet état de souffrance de l’esprit. t’as le corps qui s’est rapproché, là au beau milieu de ce magasin, ton doigt qui parcourt son torse comme un prédateur jouant quelques instants avec sa proie. ses yeux te possèdent autant que les tiens dans les siens, ses yeux t’offrent la tension dans le corps rêvé, enflammée, comme une psychopathe appréciant ressentir la douleur des autres. là, c’est juste parce que la sienne est similaire et bien plus fraîche que la tienne. je te comprends, je n’ai jamais voulu oublier. tu susurres, parce qu’oublier serait pour toi tourner le dos à ta fille mia et tu ne peux pas avancer sans elle. tu ne peux pas lui faire cela, même dix ans après. il ricane de ta mise en garde et t’en hausses les épaules, les lèvres qui s’étirent bien plus encore vers le haut. tant pis pour toi... et ses mots te font échos, ses mots te rendent joie. détruis-moi ! détruis-moi, je n’attends que ça ! appel de la souffrance, appel de la résignation, et évidemment que tu ne peux refuser. évidemment que tu prends, avec une putain de jouissance. ta tête coincée entre ses mains, dernier regard dans le sien, dernier regard qui détail le visage de l’homme qui accepte de te suivre, tu récupères tout ce qu’il te donne et tout ce qu’il te donnera. tu as terminé tes courses ? t’as envie de te barrer de là, de le détruire autant que tu es détruite. parce que c’est avec plaisir. ton chuchotement se perd contre ses lèvres que t’as cogné contre les tiennes sans aucune douceur, avec empressement, celui de ton désir pour lui. t’as plaqué ta bouche sur la sienne pour conclure votre pacte, pour qu’il appose sa signature, sa vie qu’il te donne. et ce n’est même pas sa réponse que tu attends ensuite, c’est ta main qui prend la sienne, tes lèvres qui quitte les siennes, ton corps qui se sépare du sien alors que tu le guides en dehors du magasin, laissant vos courses non achevées derrière vous, amenant le titan sur ton propre styx.  bienvenue en enfer atlas mclaren.
@atlas mclaren douce esquive.  - Page 2 3227196488
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Message Sujet: Re: douce esquive.    douce esquive.  - Page 2 Empty Dim 17 Fév - 21:43

Ces yeux pour les tiens. Tes mots pour les siens. Vos âmes qui se sondent. Vos êtres qui se scrutent pour se retrouver. Echos de vos pensées et connexions de vos douleurs. Origine différentes et pourtant l’arrivée était la même. Vous étiez dans le même bateau tous les deux. Dans la même dérive. Des naufragés d’une souffrance qui vous submergés. Douleur incontrôlable que vous ne cherchiez plus à étouffer. Vous la prenez à bras le corps et c’était peut-être ça qui vous rassemblez tous les deux. Attirez l’un par l’autre par ces démons que vous traîniez. Tu l’avais fui la Nana, tu avais tenté de l’ignorer l’appel de son feu qui attiser le tiens. Tu avais tenté de ne pas te laisser aller au diable qui t’attendais de l’autre côté. Tu avais essayé de t’y accrocher à cette lumière auquel tu n’y croyais pas pour finalement te résigné à l’envie de vibrer à tes démons. L’envie de terrer dans ce gouffre avec elle. Son corps qui avait su panser tes plaies l’espace d’un instant. Te faire oublier le temps d’un échange charnel qui avait réveillé tes sens. C’était un leurre, tu le savais mais, tu n’en avais plus rien à faire. Souffrir pour souffrir. T’étais prête à la recevoir autant que tu étais prêt à te faire prendre. Tu t’agrippais à elle comme elle le faisait à toi. Putain de jeu dangereux dans lequel vous aviez plongiez. Vous n’aviez plus rien à perdre après tout. Le temps vous aviez coincé et c’était ainsi autant vous y résoudre. Vous étiez d’accord. Aucun doute ou aucune hésitation de son corps qui cherches le tiens. L’un contre l’autre à attiser vos flammes. Vos désirs. Là, enfermer dans votre bulle vous l’as connaissiez la fin inévitable. Comme écrit d’avance. Vous jouez sans gagnant, sans perdant. Vous vous perdiez l’un l’autre. « Le temps c’est qu’une belle connerie !! » que tu lances les iris accroché dans les siens. Tu te tenais à ce moment en suspens pour ne faire qu’un avec les déchirements de ton cœur. Les morceaux tu les laisses à vos pieds de toutes manière ils ne font que te ralentir. De toute manière les conséquences en seraient les même. Tu souffrirais dans out les cas alors, autant succombé à l’instant. Au plaisir qu’elle te donner. Au plaisir de sa douleur contre la tienne. « Impossible d’oublier une chose qui finiras par nous rattrapez de toute manière… » Une constations pour une autre. Vous étiez d’accord. L’harmonie de la souffrance. Vous ne vous feriez que tu mal tu le sentais et pourtant tu voulais t’y laisser prendre. Prendre avec elle. Tu t’es laissé happer par la Nana. Ton corps qui répond à l’appel de tes mains qui s’accroche à son visage et le sourire en coin qui s’étire quand elle contente ton désir. Tu te laisses attraper. Tu te laisses guider. Sa main qui te montre le chemin. Tu t’en fou des courses, tu t’en fou de tout. Tu te laisserais glisser sur la pente glissante avec elle. Laissant tout en plan t’avais plus que le souci de l’instant. Du moment avec elle. La pause qu’elle t’offrait dans le défilement infernal de ta putain de vie. Tu l’accueillais encore une fois comme un foutu cadeau. Elle n’était que poison tu le savais mais t’en avais rien à faire de crever un peu plus. T’étais déjà plus rien de toute manière. Il fallait dire qu’il était doux le poison. Tentante la sirène et toi t’étais prêt à être son putain d’Ulysse.
@nana sforza douce esquive.  - Page 2 2730069674

FINITO
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