p u t a i n d u s h o w - b i z

save the queens ---- / COCO ORTEGA

20 ans ---- / ace of spades ---- / maya stepper

identité complète / cosima, nom venu d'une contrée lointaine, vainqueur d'une bataille en maternité qui a terrassé les soledad, adriana, carmen, paola. cosima qu'on a toujours réduit à coco. la coco ortega, d'une famille sortie du mexique et qui peuple les quartiers malfamés du queens, les ortega qui a chaque fois qu'une voiture est retrouvée brûlée on pointe du doigt. lieu de naissance et origines / née dans le queens, bien qu'originaire de mexico. du côté de la mère on part plutôt du côté de la grèce, doux mélange qui s'avère affreux. études ou métier / l'art de manier les mots et les gestes, haut niveau de persuasion digne d'égaler le diable en personne. coco c'est le serpent qui te pousse à manger le fruit. sûr qu'elle aurait pu travailler dans la finance, dans la politique. au final, c'est un peu ce qu'elle fait dans les bas quartiers. revendre des flingues à gogo, négocier le prix pour toujours tirer le meilleur parti. du haut de ses vingt ans, coco elle gère les affaires à merveille. orientation sexuelle / coco aime les bras musclés et les mains rugueuses, les barbes qui griffent la joue, la violence aux creux des reins. coco elle aime les hommes. statut civil / coco elle a pas envie de s'embarrasser avec tout ça, on peut même dire que coco n'a jamais eu de relation sérieuse. avec son schéma familial, coco elle a jamais vraiment compris ce que c'était l'amour, elle a pas envie de le savoir non plus. pi, scénario ou prélien / pré-lien de @sly amor.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star

traits de caractère / il y a des personnes, quand tu les croises, tu peux pas t'empêcher de penser à ce qu'ils ont vécu étant gamin, leur cadre familial, leurs origines, les événements dramatiques qui ont pu leur tomber sur la gueule pour qu'ils en arrivent là. et tu t'dis que ça n'a pas dû être facile. c'est toujours ceux qui donnent l'impression de n'avoir jamais eu de passé qui te font penser ce genre de trucs débiles et inutiles, ces idées brodées de préjugés que personne n'arrive à effacer. ceux qui ont perdu l'éclat. coco elle fait sûrement partie de ces gens là, tu vois bien qu'elle a encore des traits de gamine mais elle a la face rongée par les soucis. vingt ans ont suffi pour polir la façade, on dirait presque que les problèmes lui glissent dessus sans la faire sourciller. coco c'est pas les effusions de colère, la tornade en talons aiguilles qui défonce tout sur son passage, coco c'est le calme sans tempête. coco c'est le sang froid, la tête bien haute, les pieds sur terre. coco elle est pas susceptible parce que rien ne l'atteint, du moins c'est ce qu'elle aime faire croire. le truc c'est que coco elle est trop réaliste pour se laisser emporter trop facilement, coco c'est la force tranquille. coco tire les ficelles et tourne tout à son avantage, manipulatrice sans entrer dans l'excès, juste ce qu'il faut pour exister sans se faire écraser.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

J'ai pas d'dieu que des gants de boxe pour allumer mes nuit

six ans du matin. le soleil traverse à peine la vitre crasseuse de ma chambre et illumine un millier de particules fines qui s'font passer pour des étoiles ou des paillettes, quelque chose comme ça. je les observe tomber puis remonter. tout semble si paisible, bien en place. image du cosmos, hiérarchie universelle qui maintient le faible dans l’orbite du fort sans jamais l’écraser. image apaisante qui contraste avec le bruit d'une assiette jetée contre un mur. ça fait des heures que les cris se répercutent sur les murs de l'appartement, mais aucune larme ne vient mouiller mon visage, aucun doudou ne viennent serrer mes bras d'enfant. huit ans du soir. le cri d'une sirène qui vient déchirer le calme reposant de la nuit. la porte défoncée par les policiers. je les regarde passer les menottes autour des poignets de papa. un agent s'accroupit, il dit ça va? je sais bien qu'il faudrait leur montrer beaucoup de peur et un peu de tristesse mais rien ne vient. j'hoche seulement la tête sans dire un mot. maman pose sa main sur son épaule. contact non familier. je lève la tête en fronçant les sourcils, pour la première fois je la vois sourire. spectacle d'horreur. tout respire la fausseté dans ses traits. ça m'donne envie de gerber. neuf ans du midi. les garçons du quartiers se rassemblent au terrain vague pour une partie de foot. les filles n'y sont pas conviées. elles font trop de chichis, le sport c'est un truc de mec c'est papa qui l'a dit. les filles elles jouent à la marelles. je ne sourcille même pas, je me trouve une place sur le terrain. en plein milieu. j'attaque. il suffit toujours d'un coup de pied bien placé et le problème est réglé. les garçons m'appellent coco, ils aiment pas cosima. à l'école je deviens caïd de la récré. je n'ai pas peur. je n'ai pas froid. je n'ai pas mal. je m'en persuade. je tais ce grondement qui persiste au fond de mon ventre. onze ans de minuit. le queens est plongé dans l'obscurité, lampadaires jamais réparés. le bout de ma cigarette brille dans la nuit qui engloutit toute la ville. caïn est là. monstre bienveillant. il attrape la cigarette et l'écrase sur le dos de ma main. mon cri vient briser le silence assourdissant. ça fait un mal de chien. une boule de rage naît dans mon ventre. l'envie de le réduire en pièce. mon poing vient s'écraser contre son torse. un hurlement presque inhumain s'échappe de mon corps. c'est le grondement qui explose enfin. un énorme poids me tombe sur les épaules. ce sont les onze ans de haine, onze ans de colère, onze années de violence qui se défoulent sur son affreuse carcasse. il reste droit. il lui suffira d'un geste pour me briser à niveau. je ne suis plus qu'un déchet défragmenté, une merde gémissante gisant sur le bitume. quinze ans du matin. quatre ans qu'il fait partie de ma vie. j'ai l'impression d'avoir déjà tout appris. je cogne comme aucun de ces ados pré-pubères qui peuplent le bahut ne savent cogner. je connais les prises, les points faibles et les points forts. inatteignable. implacable. coco la teigne. je me sens toute puissante. maintenant si faible. le flingue dans la main. c'est un vieux beretta 951. le viseur pointé sur un putain de chaton. tire. j'y arriverai pas. le corps tendu. la mâchoire crispée. réduite en pièce par une saloperie de chaton. appuie sur la détente. j'ai l'index sur la gâchette, le bras qui tremble à peine. si je tire à côté c'est la fierté qui prend un coup. si je tire en plein le mille je sais que j'suis foutue. je bouge pas. les yeux rivés sur la pauvre bête. putain. j'entends un cliquetis. je sens la froideur du canon de son arme qui vient se poser sur ma tempe. je ferme les yeux. une larme s'échappe de mes yeux et mon âme avec quand le bruit retentit.

Sur le marché aux putes
J'fais mon biz'
J'lâche pas et je lutte
Pour mon entreprise
Les pornos et l'afghan
Non ne me font plus rien
Toujours contre le vent
En serrant les poings

dix-sept ans du soir. ma vie volée en éclat. j'ai dix-sept ans. c'est mon anniversaire. je regarde mes mains. elles ne tremblent plus. le carmin coule le long de mes doigts et s'écrase sur le sol. je ne gémis plus. aucune réaction, pas une émotion face à cette scène d'horreur, carnage perpétré par ces mains. les miennes. j'suis fier de toi. sa voix comme un échos lointain. acouphènes qui me déchirent les tympans, prennent toute la place dans ma tête. c'est la détonation qui envahie encore tout l'espace. et pourtant ma respiration reste calme. et pourtant mes cils ne papillonnent pas. j'me sens morte comme les cadavres qui gisent à mes pieds. je suis morte à dix-sept ans, c'est lui qui m'a tuée. j'ai beau frotter à m'en déchirer la peau, aucune eau ne pourra me débarrasser de mes crimes. j'ai le sang de cet homme incrusté dans la peau, l'image de son corps sans vie gravée au fond de ma caboche à jamais. je ne sais toujours pas comment il a pu y croire, à ces quelques mots susurrés dans le creux de l'oreille. je ne sais toujours pas comment il a pu succomber aux caresses de ces mains sales, répugnantes. sentiments puissants qui aimantent nos corps jusqu'à n'en former plus qu'un. haine pénétrant la soie. une nuit plus tard, la guerre est déclarée. vingt ans du matin. trois ans que je fais partie des marabuntas. trois ans que je n'avais plus approché ses bras empoisonnés. mon créateur et mon destructeur. celui que je retrouve après toutes ces années. et les harpies qui se dégradent par ma seule présence. spectacle languissant dont je m'amuse grandement. pourtant y'a sly. roi fou mais pourtant affectueux. j'pourrais presque regretter le chaos que je suis en train de semer. le mal est fait. plus de place pour les sentiments. le cœur trop ensevelie dans la crasse, mécanique dysfonctionnelle, le crime et l'amertume qui bloquent les engrenages. qu'un putain de manège qui déraille. tout ça n'est qu'un jeu. tout ça n'est qu'un jeu. je m'en persuade. pas le temps de péter les plombs pour des broutilles. je fais ce pour quoi j’ai été faite : manipuler et détruire.

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

noa ---- / 18 ans ---- / rpgiste

ville / saint-omer le sang lel. études ou métier / prépa littéraire youhou. avis général sur le forum / c'est vraiment de la merde les gars sans ironie quoi. le détail qui t'a fait craquer / l'ambiance de merde et les pl qui puent du cul et vos gueules qui m'ont pas manqué. fréquence de connexion / ça va carburer le we les vacances et les jours fériés. crédits des icons / écrire ici. le mot de la fin / je déteste l'ironie sérieux.

Code:: [b]maya stepper[/b] / [i]coco ortega[/i]

gros love

Trop de mystère p u t a i n d u s h o w - b i z 3176379322

Bienvenue parmi nous p u t a i n d u s h o w - b i z 2480631781

Bon courage pour ta fiche p u t a i n d u s h o w - b i z 3794924939

hier j'étais justement en train de regarder les avatars de maya que j'avais en stock parce que je voulais trop la jouer.
du coup, je ne peux qu'approuver ton choix, je l'adore.
rebienvenue à la maison, interdiction de nous quitter cette fois.
j'ai hâte de découvrir ta fiche.

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-- well-behaved women rarely make history.
don't be scared to be a b i t c h.

rebienvenue. p u t a i n d u s h o w - b i z 3794924939

bon choix de prélien. p u t a i n d u s h o w - b i z 946831849

Ce choix

p u t a i n d u s h o w - b i z 857285543

hâte de voir la suite de la belle cosima p u t a i n d u s h o w - b i z 697000959

bienvenue chez toi p u t a i n d u s h o w - b i z 857285543

maya est beaucoup trop belle. p u t a i n d u s h o w - b i z 697000959

elle était dans ma liste pour l'avatar de ma scar. p u t a i n d u s h o w - b i z 3227196488

bienvenue. p u t a i n d u s h o w - b i z 3227196488

(re)bienvenue par ici

@elio feels keur sur ton fessier

@drill gherman je vais éclaircir un peu tout ça alors
merci

@betsi braxton oh désolée chat c'est vrai que c'est un canon cette fille
je suis trop contente de vous retrouver, promis j'vous quitte pas comme la dernière fois on se trouvera des liens sympas
merci beaucoup

@irwin burton merci beaucoup

@kéziah maynard hernandez je m'attendais pas à le voir sur un forum on va avoir toute l'équipe de champion sur le forum c'est trop mignon merci beaucoup!! la suite arrive bientôt

@ernest virgo joanna est un très bon choix aussi (et jared leto ) merci beaucoup

@maxine barnes merci!!