in the dark truths do not explode | alexis, ruben & emy.

Jusqu'au aujourd'hui Ruben n'avait jamais eu à faire attention à l'ascenseur. Il ne sait donc pas vraiment comment il est. Maintenant qu'il est dedans, à observer, il voit bien l'ouverture en haut mais est-ce que ça va vraiment aider de savoir ça ? Il n'est pas l'homme araignée après tout. Trop de trucs se passent, entre l'inconnue qui flippe, les voix emanant d'un peu plus haut dont celle de Nika qu'il a reconnu, les paroles échangées, l'angoisse... Tout ça mélangé, fait que les choses ne vont pas s'arranger. Il lève les yeux au ciel quand il entend l'homme avec sa femme parler. Il n'est pas électricien peut-être mais il n'a pas l'air d'y mettre du sien non plus. À moins que ce soit la peur qui réfléchit à sa place. Il est plus facile d'accuser les autres après tout. «Oui ça va, enfin on ne va pas pouvoir rester là longtemps !» Répont-il en pensant à la jeune femme qui n'arrive pas à respirer à coté d'elle. Il passe une main sur son épaule mais jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas ça qui va lui donner de l'oxygène. Seulement, si elle se calme ça ira mieux pour tout le monde mais avant tout pour elle-même. «Vous trouvez une solution ?» Il demande ça, d'un ton assez énervant mais là il ressent le besoin pressant de sortir de cette cage d'ascenseur, de retrouver son chez-soi. Plus il passe du temps enfermé et plus il prend conscience de la situation. Et de là où il est, il ne peut pas faire grand chose. Et ça, ça le tue. S'il y a bien quelque chose dont Ruben a horreur c'est bien d'avoir besoin des autres. Que sa vie repose exclusivement entre ses mains. En levant la tête, il voit quelques mouvements non loin de là mais éclairé uniquement par les lumières émanant des veilleuses de sécurités, ça reste assez flou. «C'est vous ? Vous nous voyez ?» Demande-t-il en regardant en l'air. À un mètre près, ils seraient arrivés à destination. Ce n'est vraiment pas de peau. Ils sont coincés entre les deux étages. C'est moins dramatique que ce qu'il pensait. Ils pourront sortir de là, pas vrai ? Ruben ne pensait pas être aussi haut dans l'immeuble. Il pensait à être à l'étage au-dessus mais ça aurait revenu au même : ils seraient sortis dans l'immeuble du voisin du dessus. Au vu de la situation est-ce qu'on aurait pu vraiment leur en vouloir ? À un mètre près, ils seraient arrivés à destination. En parlant d'elle, il voyait bien dans quel état elle se trouvait alors il finit dans un élan par la prendre dans ses bras, pour la calmer. À cet instant précis Ruben ne pense qu'à lui, et à la demoiselle qui se trouve avec elle car il n'est pas de ceux qui laisserait une personne en souffrance, encore moins lorsque la personne se trouve à même pas un mètre. «Ils vont réussir à nous sortir de là, on n'est pas très loin. Tout va bien se passer, faites moi confiance. Je m'appelle Ruben et vous ?» Il a lu quelque part que parler de son prénom rassure les autres. Surement dans un magazine à la con qu'il a lu lors d'un déplacement pour les compétitions. En attendant, il n'a que ça pour essayer de ne pas la stresser davantage. En attendant, il parle aux personnes au-dessus, à savoir Nika et l'inconnu - qui n'est pas électricien, seul chose dont il a connaissance. Ce n'est pas le moment de simuler une crise de jalousie, il est une question de vie ou de mort - a moins que ce soit la jeune femme qui lui ait mis des idées noires à force d'avoir peur ? -.

La respiration qui s’échappe de ta poitrine au rythme d’un palpitant enflammé qui s’est perdue en chemin. Paralyser par une peur incontrôlable que de celle d’être enfermé dans un espace confiné. Dire que ta soirée tu l’avais imaginé avec un bon verre de vin à discuter avec Nika confortablement installé dans son canapé. Tu ne l’avais pas imaginé coincé dans un ascenseur dans le noir avec un inconnu. Tu remerciais sa prévenance mais, rien ne réussissais à te clamer pas même les voix de Nika et de ton frère que tu semblais distinguer en provenance du conduit qui abriter l’instrument de torture dans lequel vous étiez enfermer. Une prison mobile dans laquelle tu imaginais le pire. Tomber. Oui, voilà, tu t’imaginer tomber avec lui et voir ta vie défilé devant tes yeux. Tu étais trop jeune pour ça. Rien ne semblait te clamer alors que tu ne faisais même plus attention aux échanges de voix entre les deux hommes et Nika qui semblait temporisé. Chercher une solution pour sortir de là. Toi, tu n’avais que crainte. Aveuglée par la peur et te voyant déjà devoir vivre tes derniers instants avec lui. Tu ne voulais pas mourir, tu étais bien trop jeune pour ça. Tu dramatisais certainement comme toujours. Comme à ton habitude. Excessivement attachante. Toujours dans l’extrême et pourtant, là, tu n’y pouvais pas grand-chose si ce n’est ta phobie qui prenait le dessus sur le reste. Consciente que tes cries n’aider pas alors, tu pries sur toi concentrer sur ta respiration que tu avais tout simplement du mal à reprendre. Sur tes larmes qui commencer à perler ton visage alors que n’avais qu’un envi : te recroquevillais en boule dans un coin de cette boite. Car, oui, à tes yeux ce foutu ascenseur était devenue une boîte mortuaire. Un putain de cercueil ambulante et voilà que tu te jures de ne jamais plus prendre un ascenseur de ta vie quitte à mettre une guerre à monter les escaliers. Le regard perdu dans le vide tentant de te reprendre alors que tu avais conscience de donner une piètre image de toi-même. Tu te demandais comment l’homme à tes côté arriver à garder son sang-froid alors que la seconde d’avant l’engin avait bel et bien tremblé sous vos pieds ravivant ta panique intérieur. Paralysé tu n’avais même plus conscience d’être à deux doigts de sortir ni même du mouvement que semblait apercevoir au-dessus de vos tête l’homme. Non, t’étais comme hors de ton corps. Une coquille vide. Perdue. Si perdue que tu te laissas faire comme une poupée quand l’inconnu t’attira à lui pour te prendre dans ces bras. Réconfort de la chaleur humaine à ton cœur qui semblait vouloir se calmer à caler ta respiration sur la sienne. Tu le remerciais silencieusement de son gêne en priant pour que ce ne soit pas un pervers qui compte profiter de la situation. Tu t’imaginais tout et n’importe quoi à ce stade-là. L’enfermement qui te montait à la tête. Hochement de tête contre son torse qu’il devait sentir pour lui signifiât que tu le croyais alors qu’il te révéla enfin son prénom. L’inconnue qui n’en était plus un. « Emeraude… moi c’est Emeraude mais, tout le monde m’appelle Emy !! » Que tu lances en t’accrochant à lui comme à une bouée de sauvetage. « Qu’elle idée d’habiter si haut aussi !!»  Que tu lances en rigolant tentant de retrouver le sourire ou de te changer les idées. Plaisanter pour oublier toute cette foutu situation dans laquelle vous étiez tous les deux bel et bien embarqué malgré vous.

Te moquer de lui ? Tu as le sourire qui parle pour toi, pourtant tu t’efforces de ne pas sourire, mais c’est comme demander à la Joconde d’effacer son sourire. «  Y a pas des soucis, donc pas de solution à trouver, non ?  »   Tu le jonches du regard, levant un peu les sourcils avant de souffler. Plus de courant, il ne manquait plus que ça, maintenant que tu avais comme seule idée de le faire partir le plus vite possible par l’ascenseur, te voilà coincer avec celui qui te rend folle, juste pas sa présence. Puis, pour en ajouter une couche à tout cela, Ruben qui allait arriver, enfin l’amant ou encore le mari, à entendre Alexis tu en avais une tonne d’homme, t’as aussi envie d’être piquante, mais t’hésites. Tu ne veux plus batailler, car tu sais que les coups que tu lui assènes, tu te les donnes à toi-même. «  Ouai, enfin l’amant est à mes côtés, non !  »   Fallait que tu l’ouvres forcément, c’était trop demander de ne pas le faire.   «  Pas l’électricien, mais le frère d’émeraude …  »   Tu le dis, car tu n’es même pas sûr de ce que Lexis représente pour toi maintenant, par contre ton abruti de cœur à l’air mécontent lui. Petit con.

La confusion règne, surtout quand tu sais que Ruben est coincé avec Emmy, autant dire que tu as l’impression que le sort s’acharne sur toi. Entre Alexis et Emmy/Ruben, tu allais finir par griller tout comme les plombs.   «  J’HURLE SI JE VEUX !  »   Que tu commentes les dires d’Alexis. «  Puis, t’en as pas marre de me dire ce que je dois faire … bosser avec toi, ne plus te croiser et maintenant ne plus crier ?  »   Tu râles en oubliant presque la situation, t’es à bout après tout, beaucoup trop. «  Manquerait plus que tu me dises qui ne pas aimer et aimer !  »   S’il seulement il savait tout, mais non. Tu t’en vas chercher un téléphone, ton téléphone, mais tu es en colère, entre ça et le fait que tu es dans le noir. C’est compliqué. Mais, tu entends que ce n’est pas bon de l’autre côté, alors tu y retournes pour finir par voir Alexis batailler avec les portes de l’ascenseur coincé sur lui. «  Quoi t’as pas trouvé mieux pour me fuir !  »   Pas logique vu que c’est lui qui est venu. Tu en oublies les portes ouverte, le fait que Emmy ne supporterait pas une histoire entre vous et puis ton mari … ouai ton mari.

« Oui c’est nous ça va là-dedans ?  »   Que tu réponds en demandant aux deux autres coincés dans l’ascenseur.   «  Je tire d’un côté tu fais de l’autre ?  »   Tu déposes ta main sur le rebord des portes, mais en tirant c’est ta bague qui glisse de ton doigt, quittant donc ta main. «  Merde ma bague !  »   finissant par lâcher la porte à nouveau sur Alexis. «  Oh pardon, ça va ?  »   C’est une voix douce qui vient sans doute surprendre Alexis, oubliant presque que deux autres étaient coincés dans une boite en métal.

Pas de soucis, pas de solutions à trouver. Qu'est-ce que ça voulait dire ça ? Alexis rêvait Ou Nika avait essayée d'être subtile ? C'est un mystère qu'il devait laisser de côté pour le moment. Tout ça à cause d'une foutue coupure de courant. Tout ça parce qu'Emmy et ce type étaient coincés dans un ascenseur. Quelle idée d'utiliser ces engins-là aussi. Alex se sentait agacé par cette situation, autant que par cette conversation inachevée. Alors, forcément, les piques sortaient plus facilement, bien que les répliques ne soient jamais bien loin. " Ah bon ? A tes côtés ? Tu sais ce que c'est qu'un amant hein ? S'il y en a un, je t'assure que ce n'est pas moi, pour le moment." Fin de phrase volontairement suggestive. Pas de quoi fouetter un chat non plus. Cela dit, le stress les aidaient-ils à avoir une discussion constructive ? Peut-être, un peu. Elle l'avait introduit en tant que frère d'Emeraude, une pointe sur la défensive, il l'avait vu. "Enchanté ou pas." On ne se refait pas.

Quoi de plus logique que de péter un câble ? Nika semblait sur la bonne voie. Temporiser un peu, sage décision prise dans un instant de lucidité. "C'est que je suis un homme exigeant ... Et je crois que je pourrai en effet." Une once de sourire ? Oui, oui. D'un côté, ça lui allait bien de s'emporter un peu. Il en trouvait même ça craquant, mais pas le temps de rester là-dessus, elle allait cherchait son téléphone et lui, il devait trouver quelque chose. Comme se coincer entres les portes de l'ascenseur. Se donnant l'interdiction de regarder de l'autre côté, de voir le vide. La voix de l'homme ne semblait pas si loin pourtant, mais que répondre à ça en se regardant là, bloqué." Euh, j'irai pas jusqu'à dire une solution, mais ... On avance."

C'était embarrassant que Nika le trouve comme ça, à son retour, mais lui, il essayait de ne pas se démonter pour autant." Tu parles, même les portes me laisse pas faire." La demoiselle semblait mettre du temps à comprendre qu'il avait besoin d'aide et à côté de ça, la remarque de l'homme le fit ironiquement rire. "On n'est pas encore non plus au stade de la vue." Enfin, Nika venait l'aider. Ils allaient unir leurs efforts pour ouvrir ces fichus portes et sortir de là, on ne savait comment, les deux personnes en dessous. Tout ne pouvait cependant pas être aussi simple. Une bague qui s'évadait et voilà que la brune lâchait tout. Alexis, lui avait vu le petit anneau quitter la main de Nika, il avait tenté de l'attraper d'un réflexe, mais un faisant ça il perdait légèrement l'équilibre. La porte qui s'était refermée sur lui avait accentué cet effet-là, instinctivement, il avait essayé de s'éloigner et ... Paf. La chute. Il allait mourir entre Nika et le mari, sous le regard d'Emeraude, cruelle destinée. "Hein ?" C'était rapide, trop rapide. En rouvrant les yeux qu'il avait fermés sans s'en rendre compte, il apercevait la lueur des portes un peu plus haut. Un mètre, même pas quoi ... "Franchement ? "Bon, si on lui avait dit quelques heures plus tôt qu'il se retrouverait sur le toit d'un ascenseur, il n'y aurait pas cru. "Vous m'entendez ?"

Si Ruben essaye de garder la face, la présence de la jeune femme complètement terrorisait ne l’aide pas vraiment. La peur est quelque chose de contagieux et même s’il essaye de rester les idées claires en se disant qu’on va se sortir de là surtout depuis qu’il a entendu les appels venant de son propre appartement, montrant ainsi qu’ils ne finiront pas là, seuls, ignorés de tous. Pourquoi habiter dans un endroit sans escalier ? A quoi pensait-il ? Faire confiance en la technologie, aux nouvelles méthodes de grimpe, c’était une très mauvaise idée. Pour le moment le plus urgent c’est de la calmer sinon il va lui-même partir en crise d’angoisse, autant éviter d’en arriver là. La prendre dans ses bras serait un moyen de la canalisait, et aussi de le calmer lui aussi même s’il tente de garder la face. Au fond il flippe vraiment. Il n’a pas fait tout ça dans sa vie pour finir ici, dans un ascenseur. « D’accord Emy… tu vas voir, on va s’en sortir de là » Continu-t-il de dire, comme si en lui rappelant ceci en prononçant son prénom allait renforcer ce réconfort. Il rit à sa réplique : « Je ne sais pas mais dès qu’on sort, je demande à faire installer des escaliers ! » Plus fatigant certes, mais tellement plus sécurisant. Pouvant communiquer avec l’extérieur, Ruben ne sait toujours pas à qui appartient la voix masculine. Nika fini par le présenter comme le frère d’Emeraude. A cette réponse Ruben pose le regard sur la jeune femme près de lui. Il ne pose pas de question de pourquoi il est là, Nika a dû inviter le frère et la sœur, peut-être de vieux amis ? De toute façon ce n’est pas vraiment le moment pour réfléchir à ça, le plus urgent c’est de sortir de là. « D’accord, bon au moins vous allez nous aider n’est-ce pas ? » Enfin s’ils le peuvent, ils ne sont pas des sur hommes non plus ! Bon, entre sa femme et le frère de sa coéquipière de galère, on va bien chercher à les sortir de là même s’il paris plus sur l’envie de sauver la jeune femme que lui, mais ça, il ne peut en vouloir à personne. Dans tous les cas, si l’un sort, l’autre aussi donc ils seront tous gagnant. « Ca va… » Inutile d’inquiéter tout le monde en parlant de la crise de la fameuse Emy. « Mais ça serait bien qu’on retrouve de l’air en sortant ! » Sa voix se veut calme mais il n’est pas sûr d’y parvenir, cette dernière est plus tremblante qu’à l’accoutumé. « Vous avez de l’electricité vous ? » Coincé ici, il n’en sait pas plus mais cette panne pourrait provenir d’une panne de l’immeuble. Et parler de l’extérieur parvient à penser à autre chose. Puis soudain, un bruit sourd, quelque chose ou quelqu’un vient de tomber sur l’ascenseur. Ruben ne peut s’empecher de laisser échapper un « PUTAIN C’EST QUOI CA ? » tout en serrant toujours la jeune femme contre lui. Pour sa virilité on repassera. « Ca va Emy ? » Demande-t-il simplement. La voix de l’homme semble plus proche. « Oui… » Dit-il en fronçant les sourcils. Ce n’est pas plus mal, il va peut-être pouvoir aider comme ça. « Il y a pas une trappe ? » Ce qui expliquerait qu’ils entendent autant, puis ça serait une bonne manière pour les pompiers de venir les secourir. Ils vont devoir faire sans eux de toute évidence.

@Emeraude Hamilton @Nika Jenkins @Alexis Hamilton

Tu t’en voudrais presque d’être venue voir ta meilleure amie ce soir. Tu t’étais imaginé une soirée tranquille entre fille pour finalement te retrouver à affronter l’une de tes plus grandes peurs. Paralyser par l’angoisse que tu essayais de vaincre dans les bras de l’inconnu qui s’avérer être le mari de Nika à ce que tu avais compris. Oui, ton esprit embrumé par la peur avait fini par faire le rapprochement que le fameux Ruben était celui qui avait soit disant volé le cœur de la belle Nika. Tu n’acheté pas encore ce mariage pas après les doute que votre dernière entrevue t’avais laissé mais, qui sais, tu pouvais être surprise. TU n’avais surement pas imaginé le rencontré dans ces circonstance le marie e ta meilleure amie. Ce n’était pas le moment le plus glorieux de ta vie. Le souffle coupé et les nerfs à vif. Les cries que tu as poussé précédemment et le calme et le sourire qui t’as quitté. Tu ne pensais qu’au pire. Tu dramatisais surement mais, que pouvais tu aire d’autre alors que tu te sentais couper du monde. Même les voix au-dessus de vos tête ne te rassurer pas. Peut-être que ce contact avec lui le faisais un peu mais, tu ne voulais pas mourir dans les bras d’un inconnu. Tu ne voulais pas mourir tout court. Tremblantes comme une feuille tu tentais désespérément de te raccrocher aux mots de l’homme qui arriva même à te tirer un sourire « Je ne comprends pas que vous ne l’ayez pas déjà fait… les ascenseurs c’est des cercueils ambulant ! » tu rigoles légèrement mais, ton esprit qui tourne à trois mille à l’heure n’arrive pas à se poser. A se rassurer pleinement. Tes pensées étaient irrationnelles. Tu te sentais couper du monde et la seule personne sur qui tu te fixé c’était Ruben. Tout semblait bourdonnement alors que tu commençais à manquer d’air. L’aide arrivé apparemment mais, toi, tu étais sur le point de ne plus y croire. Tu te voyais déjà passer la nuit ici jusqu’à temps que le système soit relancé. Les voix qui se rapproches et tu laisses l’homme à qui tu t’agrippés faire le lien avec l’extérieur. Même la voix de ton frère ne te rassure pas. Tu es trop à de questionnais sur sa présence ici. Tu as bien trop de choses en tête pour être rassurer quoi que ce soit. Un autre bruit qui fait trembler la machine et c’est la perte de sang froid de ton compare de captivité qui à raison de toi cette fois. « AHAHA !! » que tu t’écris à l’unisson. Un bon sur place avant de retrouver ta position initiale comme si t’agripper à lui rendrais le passage à la mort plus facile. Oui, jusqu’au bout tu te voyais mourir. Pourtant, l’espoir de s’en sortir venait de tomber littéralement sur le hait de l’ascenseur. La voix de ton frère et tu hoche la tête. « Oui ça va… » Que tu lances toujours peu assurer les yeux maintenant rivé vers le haut de la boîte. Tu te décides enfin à bouger, tu ne tiendras pas une seconde de plus. Ton téléphone que tu sors de ta poche pour vous éclairer à la recherche d’une trappe. « Oui, il y a l’air d’avoir une trappe… on va sortir … oui… hors de question que je meurs là-dedans…. Alexis ?! C’est toi ?! Tu voies la trappe ?! » Tu souffles pour tenter de te remettre sur pieds mais tu n’en même toujours pas large. « Peut-être que si vous me porter sur vos épaule je pourrai l’atteindre ?! » que tu demandes cherchant le regard de Ruben comme pour te rassurer encore et toujours.