Sujet: Re: Show me that you love me - Warston Dim 23 Sep - 21:50
Show me that you love me
Isabella & Nikolaï
« How can I say this without breaking, How can I say this without taking over, How can I put it down into words, When it's almost too much for my soul alone. I loved and I loved and I lost you, And it hurts like hell, yeah it hurts like hell. »
Ado, Nick était vraiment loin d'être ce qu'il est aujourd'hui. Bon aujourd'hui il n'est pas forcément mieux mais juste un peu plus mature. Avant il n'avait aucun scrupule à abandonner une fille pour aller ailleurs, il n'avait pas non plus collectionné les conquêtes mais il n'était pas non plus du genre très fidèle à l'époque. L'amour ? Il ne courrait pas vraiment après ... il cherchait juste a avoir de l'attention rien de plus. - Je sais ... c'était vraiment pas classe ! Dit il un petit air presque gêné sur le visage. Comme si il s'en voulait alors que c'était trop tard pour s'en vouloir. Mais il reprend aussi en lui disant que si il avait eu la chance de la connaitre plus tôt, ce serait elle qui l'aurait emmené au bal. - Nan, avec toi j'aurais eu une bonne raison de rester ! Murmure t'il en plongeant son regard dans le sien quelques secondes avant de changer subitement de sujet pour parler de sa famille. Son père ... c'était du passé quant à sa mère il ne savait pas vraiment quoi dire à son sujet. Elle aussi elle avait coupé les ponts avec lui, ils ne ce voyaient jamais, elle ne l'appelait que très rarement et elle avait choisi de partir loin de lui. Il repense avec nostalgie aux moment qu'il a pu passer avec elle, cette journée à la fête foraine. Tant de moment si rare . - Évidement ... mais elle est loin d'ici et maintenant elle n'a plus besoin de ce soucier de moi ! On a chacun notre vie et elle ne reviendra pas pour moi. Mais dans le font, oui ! Il aimerait qu'elle soit là, c'était malgré tous sa mère mais c'était comme ça. Pour la première fois, elle osait lui parler de son père ! Elle ne lui donnait pas tous les détails de leur relation mais le peu qu'elle en dit prouve combien cet homme est détestable et encore il est tellement loin de la vérité. Loin de comprendre tous ce qu'il a pu lui faire subir ... mais elle ne répond rien. En fin de compte, il ce rend compte qu'ils on à peu prêt subit la même enfance, toujours à la recherche de la reconnaissance de leur parents, des père détestables et surtout ils ont apprit à devenir adultes seuls, prit soin de leurs frères et sœurs et forcé de ce forger un caractère sans l'aide de personne. Mais elle ne semble pas avoir envie de continuer cette conversation puisqu'elle y met un terme en changeant de sujet. Elle était tombé sous son charme à cause de son accent. - Quoi ! C'est vrais ! Reprend t'il presque outré qu'elle ose en douter, il était sincère même si l'avait un peu trop jugée rapidement en la voyant pour la première fois. Cette femme hautaine, riche mais pourtant en creusant un peu plus il s'avère qu'elle est bien plus que ça ! L'attirant dans ses bras, il s'approche pour lui voler un tendre baiser qu'elle prolonge quelques secondes en venant enlacer son cou. C'était tellement plaisant d'avoir ce genre de contact avec elle sans avoir peur d'être surprit ! - Muh, je sais pas trop ... on peu aller faire un tour en ville oui ! Je prendrais bien un café moi ! Lui volant un dernier baiser, il réfléchis déjà ou il pouvait l’entraîner, un endroit à lui faire visiter. - C'est bien ça le problème ici, c'est qu'il y à tellement de chose a voir que c'est difficile de tous faire en une journée.
Sujet: Re: Show me that you love me - Warston Lun 24 Sep - 18:19
♛ Show me that you love me.
Donne-moi le temps, D'apprendre ce qu'il faut apprendre, Donne-moi le temps, D'avancer comme je le ressens, Y'a pas d'amour au hasard, Ni de rencontres trop tard, Mais sois patient, Quand je me donne, c'est vraiment, J'attendrai que tu m'attendes. Tu auras le temps De prendre ce que tu veux prendre, Tu auras le temps, De nous faire avancer ensemble, Tant de gens se cherchent Se désirent, se suivent et se perdent, Donnons-nous la peine De se découvrir, se connaître, Je ne laisserai pas l'amour au hasard, Ni qu'il soit trop tard, Si la patience s'apprend, J'apprendrai ce qu'est d'attendre…
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Elle balaye l’embarras de Nikolaï d’un baiser, un simple baiser pour lui faire comprendre que ce n’est pas si important, ce qu’il était auparavant. C’est l’homme qu’il est devenu qui l’intéresse. Et, en réalité, elle ne pense pas que ce soit véritablement sa faute. Il n’avait pas d’attention de la part de ses propres parents, comment aurait-il pu apprendre à en donner aux femmes ? Quelque chose qui, par chance pour elle, a beaucoup changé. Il sait se montrer beaucoup plus attentionné envers elle, plus charmeur aussi. Quand elle l’entend affirmer qu’avec elle, il aurait eu une bonne raison de rester, elle lui sourit. Un sourire beaucoup trop conquis par les paroles du jeune homme. – Ou peut-être que tu m’aurais emmenée avec toi. dit-elle sur le même ton en se perdant quelques secondes dans son regard. Mais parler de leur adolescence revient aussi à parler de leurs parents. Ce qui n’est, en l’occurrence, pas forcément un sujet évident. Elle est attristée de le voir si attaché, mais en même temps si détaché de celle qui l’a mis au monde. Elle doit lui manquer, plus encore qu’il ne le laisse entrevoir. – Tu pourrais y aller toi, seulement pour quelques jours. Il n’a pas l’air d’en avoir l’intention mais, l’espace d’un instant, elle se dit que ce serait un joli cadeau à lui offrir. Puis, elle se rappelle. Elle n’est pas censée lui offrir un cadeau, pas un cadeau aussi important. Ils sont si proches, si facilement, tous les deux, que dans des circonstances pareilles, elle oublie la réalité. Elle a l’impression que c’est réel, ce qu’ils vivent, que c’est sa vie. C’est tellement naturel que c’en est troublant. Elle commence même à se livrer un peu plus à lui. A son tour, elle évoque sa mère mais aussi, plus étonnant encore, son père. Elle ne dit pas grand-chose, elle est toujours aussi mystérieuse sur le secret qui la hante. Mais elle arrive à lui parler, et c’est loin d’être anodin. Elle ne parle jamais de son père, pas même avec sa propre famille. C’est un sujet tabou, mais qu’elle amorce pour une fois, avant de s’en éloigner aussitôt. Elle ne peut pas se confier davantage. Elle ne peut pas en dire plus, et sans doute qu’elle n’y arrivera jamais. C’est plus facile de détourner la conversation. A nouveau taquine, la jeune femme fait mine de ne pas croire les belles paroles de son amant qui s’en offusque aussitôt. Mais c’est pourtant elle qui a raison, elle en est convaincue. – Dès la première seconde ? Tu m’as trouvée hautaine ! Et tu m’as dit que tu espérais voir mon mari plutôt que moi ! Il l’a déstabilisée ce jour-là. Alors, bien sûr, elle s’est mise sur la défensive. Ce qui ne l’a pas empêchée, quelques jours plus tard, de tomber totalement dans ses bras. Exactement comme en ce moment même. Leurs lèvres qui se scellent dans un nouveau baiser, son cœur qui s’accélère d’emblée. Il lui fait un effet dingue, Nikolaï. Mais la journée est loin d’être terminée. Elle veut profiter de toutes les activités touristiques que possible en sa compagnie. – J’approuve, je commence même à avoir faim. C’est qu’elle a de l’appétit, Isa. Et, à défaut de le dévorer lui, elle peut se contenter de nourriture. – Ce n’est pas grave, on fera le maximum. assure-t-elle en attrapant sa main pour l’entraîner avec elle. Et, en fin de compte, l’essentiel n’est pas ce qu’ils font mais plutôt que ce soit ensemble qu’ils le fassent.
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Sujet: Re: Show me that you love me - Warston 
Dim 23 Sep - 21:50
Elle balaye l’embarras de Nikolaï d’un baiser, un simple baiser pour lui faire comprendre que ce n’est pas si important, ce qu’il était auparavant. C’est l’homme qu’il est devenu qui l’intéresse. Et, en réalité, elle ne pense pas que ce soit véritablement sa faute. Il n’avait pas d’attention de la part de ses propres parents, comment aurait-il pu apprendre à en donner aux femmes ? Quelque chose qui, par chance pour elle, a beaucoup changé. Il sait se montrer beaucoup plus attentionné envers elle, plus charmeur aussi. Quand elle l’entend affirmer qu’avec elle, il aurait eu une bonne raison de rester, elle lui sourit. Un sourire beaucoup trop conquis par les paroles du jeune homme. – Ou peut-être que tu m’aurais emmenée avec toi. dit-elle sur le même ton en se perdant quelques secondes dans son regard. Mais parler de leur adolescence revient aussi à parler de leurs parents. Ce qui n’est, en l’occurrence, pas forcément un sujet évident. Elle est attristée de le voir si attaché, mais en même temps si détaché de celle qui l’a mis au monde. Elle doit lui manquer, plus encore qu’il ne le laisse entrevoir. – Tu pourrais y aller toi, seulement pour quelques jours. Il n’a pas l’air d’en avoir l’intention mais, l’espace d’un instant, elle se dit que ce serait un joli cadeau à lui offrir. Puis, elle se rappelle. Elle n’est pas censée lui offrir un cadeau, pas un cadeau aussi important. Ils sont si proches, si facilement, tous les deux, que dans des circonstances pareilles, elle oublie la réalité. Elle a l’impression que c’est réel, ce qu’ils vivent, que c’est sa vie. C’est tellement naturel que c’en est troublant. Elle commence même à se livrer un peu plus à lui. A son tour, elle évoque sa mère mais aussi, plus étonnant encore, son père. Elle ne dit pas grand-chose, elle est toujours aussi mystérieuse sur le secret qui la hante. Mais elle arrive à lui parler, et c’est loin d’être anodin. Elle ne parle jamais de son père, pas même avec sa propre famille. C’est un sujet tabou, mais qu’elle amorce pour une fois, avant de s’en éloigner aussitôt. Elle ne peut pas se confier davantage. Elle ne peut pas en dire plus, et sans doute qu’elle n’y arrivera jamais. C’est plus facile de détourner la conversation. A nouveau taquine, la jeune femme fait mine de ne pas croire les belles paroles de son amant qui s’en offusque aussitôt. Mais c’est pourtant elle qui a raison, elle en est convaincue. – Dès la première seconde ? Tu m’as trouvée hautaine ! Et tu m’as dit que tu espérais voir mon mari plutôt que moi ! Il l’a déstabilisée ce jour-là. Alors, bien sûr, elle s’est mise sur la défensive. Ce qui ne l’a pas empêchée, quelques jours plus tard, de tomber totalement dans ses bras. Exactement comme en ce moment même. Leurs lèvres qui se scellent dans un nouveau baiser, son cœur qui s’accélère d’emblée. Il lui fait un effet dingue, Nikolaï. Mais la journée est loin d’être terminée. Elle veut profiter de toutes les activités touristiques que possible en sa compagnie. – J’approuve, je commence même à avoir faim. C’est qu’elle a de l’appétit, Isa. Et, à défaut de le dévorer lui, elle peut se contenter de nourriture. – Ce n’est pas grave, on fera le maximum. assure-t-elle en attrapant sa main pour l’entraîner avec elle. Et, en fin de compte, l’essentiel n’est pas ce qu’ils font mais plutôt que ce soit ensemble qu’ils le fassent.