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 noir paradis (tôma)

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Amos Hulst;

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Amos Hulst



pienaar.
bambieyestuff (av) vocivus (ic) sirencharms (sn)
jolene (s. geburtig); thelma (c. keegan).
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effacée par la noirceur, la môme n'a plus de myocarde suffisant pour s'enticher d'un être.
fausse déesse, elle s'imagine rayonnant dans un monde dans lequel elle est souveraine, joue à donner des illusions à quelques âmes.
zdravko; rp; rp; rp

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Message Sujet: noir paradis (tôma)   noir paradis (tôma) Empty Lun 13 Déc - 14:34


i had a dream
i got everything i wanted


le verre n'est plus que semblable à du gravier entre ses paumes sèches, émietté si finement, façonné par des ressentiments amères, façonné pour s'approprier la lumière. il n'a pour but que de s'enfoncer dans la chair, de laisser des marques visibles, de faire couler du sang et de briser les énièmes rêves des autres, de faire plier les pieds jusqu'à la chute. elle sera grandiose leur chute, et leur absence profitable. le coup de grâce approche. le silence est roi dans les vestiaires vides d'âmes, si décolorés par les années, occupés par les casiers où les cadenas ne tiennent que trop peu.
la môme fut naïve, il y a un temps. fut entourée d'innocence, d'une bonté émanant de son âme, de ses doux sourires qu'elle lançait lorsque son corps se positionnait en symbiose avec le tempo. amos avait ces espérances en boucle dans le myocarde, ces pensées innocentes qui lui répétait qu'elle serait remarquée parmi les autres, qu'elle serait une divinité sur laquelle ils auraient tous posé les yeux. mais non. elles sont toutes les mêmes les danseuses. la même silhouette, les mêmes pas à perfectionner, les mêmes rêves de revenir la seule et l'unique sur le devant de la scène. les efforts sont devenus sueur et sang, bleus et crevasses. jalousie et désespoir. elles sont si semblables que les efforts ne sont plus qu'invisibles, si ternes parmi ceux des autres. elles ne forment plus qu'un ensemble qui se doit de réussir, qui doit être d'une perfection à leur couper le souffle. ensemble toujours. il n'y a plus de regard sur elles individuellement, des solos distribués au hasard, une grandeur distribuée seulement pour quelques moments.
elle s'est vendue amos. elle a vendu son âme au diable, s'est délestée de son innocence, de la pureté qui se dégageait de ses iris, de ses simples sentiments. une violente fièvre s'est prise d'affection pour son être, l'a transformée en cygne noir, en sirène aux envies furies, en coquille vide qui n'a plus que la grandeur perpétuelle comme fantasme, gravé dans un coin de la pupille. une sirène avide de projecteurs, et d'idées désobligeantes pour faire plier celles qu'amos considère à présent comme les cibles à abattre.
il faut ce qu'il faut.
le coup de glas sonnera demain matin, à la première heure quand l’infortunée enfilera ses chaussons. un casier choisit sans trop d'attention, et les morceaux sont vite enfilés dedans, repartis soigneusement entre le talon et la pointe. suffisamment discrets pour que leur reflet ne se voit pas à l’œil nu. elle se sentirait euphorique la môme, prise d'une envie irrépressible de les voir tomber les unes après les autres. mais il faut ce qu'il faut pour réussir. trop rare sont celles qui deviennent prima ballerina. s'il faut foutre new york en feu, amos le fera. puisque l'échec n'est plus une option. tout est lancé. c'est trop tard.
pourtant, c'est un bruit dans le vestiaire qui la fait sursauter, glace précipitamment son sang lorsqu'un visage se fait apercevoir. sa main est vite dégagée de la porte du casier, son regard devient imperturbable. ce n'est pas elle qui devait chuter, pas comme ça. elle avait des plans amos, et ce n'est pas lui qui la fera tomber. ils ont tous des secrets, même le pianiste apparemment, dans sa main, la poudre attire le regard. qu'est-ce que tu fais là? à cette heure? la sirène reste imperturbable, mais y'a le dernier morceau de verre en trop qui s'enfonce dans sa main; qui lui arrache une grimace. elle attend. peut-être qu'il sera avec elle. ou contre.
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Tôma Cheong;

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Tôma Cheong



Choi Su Bin
©littleliars.
Mael Yun.
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tristement richissime quand l'argent n'achète pas le bonheur. sa raison de vivre, elle est pourtant là, toute autre, elle est dansante et son corps s'élance avec déchirement sous ses yeux. que ne ferait-il pas pour lui, Nihjee ? il déplacerait l'univers, il continuerait de s'entredéchirer à ses beaux yeux éteints, il y rallumerait la flamme en donnant de la sienne.
plus réellement pianiste, il s'est enlisé dans cette carrière, il y a oublié d'exister. années de jeunesses délaissées, esprits fatiguées de l'opulente sournoiserie de la bourgeoisie. il veut changer, Tôma, il va rentrer au conservatoire et choisir sa propre voie.
Queens huppé, on a les moyens, ce serait bête de ne pas en profiter. se cacher et pourquoi ? quoi qu'il en dise, en pense, il fait partie du même monde que les ingrats.
nihjee - amos - anya

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Message Sujet: Re: noir paradis (tôma)   noir paradis (tôma) Empty Mar 11 Jan - 17:06


Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis leur arrivée sur le territoire américain. Les propositions n’avaient pas manqué quant à sa réputation grandissante dans le milieu de la musique, il les avait épluchées sans grande conviction. Que sa vie continue en Corée du Sud ou en Amérique, qu’est-ce que cela changerait ? Il était embourbé dans cette spirale infinie et il n’avait plus d’échappatoires sous la main. Viens avec moi, ses mots avaient infiltré l’âme de Nihjee et il l’avait vu sourire au travers de ses yeux d’enfant. Il ne serait pas parti sans lui, bien que leur relation pourrissait dans la malsanité. Il avait les moyens de prendre soin d’eux deux et il le ferait jusqu’à ce que la mort les sépare parce que Nihjee non-plus n’allait pas bien. Il aimerait le relever, l’envoyer voler dans les cieux, mais il ne faisait que le plonger six pieds sous terre.
Alors les notes prenaient forme dans sa tête, sur le clavier de son ordinateur, dans les feuilles délabrées de ses cahiers mal choisies et sur son instrument ne remplissant qu’à peine l’espace libre de leur appartement. Il composait pour cet être qui se lovait dans la dépravation et qui lui tournait la tête. Il ne le lui dira pas, à Nihjee, les maux et les mots cachés là dessous, il se bornera à lui faire croire que leurs caresses appuyées n’étaient que dû à leurs imaginations dépareillées. Les couplets et les refrains coloreront la mélodie et parfois des voix s’y prêteront sans qu’il ne soit convaincu des sentiments qu’il souhaiterait les voir apporter à ses compositions. Ce n’était pas grave, tant qu’il s’échinait et que sa popularité grandissait. On le réclamait, on le désirait quand lui n’avait d’yeux que pour une seule personne.
Et c’était pour cette raison que ça ne suffisait pas et que ça ne suffirait pas. Il avait reçu une invitation à jouer au conservatoire, il avait accepté et son agent n’en avait que des plus joyeux. Il était difficile de gérer une personne comme lui qui prenait ses aises à se savoir choyé au point d’être capable d’agir comme ça lui chante. Il arpentait les couloirs après la représentation, il n’y avait plus grand-monde et l’heure était avancée. Il aimait retourner sur scène quand il n’y avait plus personne d’autre comme compagnie que le silence, ce silence apaisant et envoûtant qui vous rappelait votre propre solitude profonde. Il s’échouait sur l’un des nombreux sièges et laissait la poudre ou la seringue faire son effet et ça le faisait bien rire.
C’était ce qu’il avait fait, Nihjee rentrerait tard ce soir alors il n’avait aucune raison de rentrer tôt. Il entendit du bruit, fut surpris de ne pas se savoir seul. En soi, il ne l’était pas, il restait du personnel mais qui n’avait rien à faire dans les vestiaires. Il poussa doucement la porte et s’appuya à l’encadrement en observant. De ses yeux vides et pourtant à se remplir de cette scène se déroulant sous ses yeux.

« Et toi, qu’est-ce que tu fais là ?, lui répondit-il, Qu’est-ce que ça va t’apporter de faire ça ? Les femmes sont bien malignes. »

Petite dernière phrase sinueuse bien prononcé et un sourire amer fit étirer ses lèvres. Il rangea le sachet dans la poche arrière de son jean et s’avança vers elle. Il déchira un bout de sa chemise - quelle importance ? - et lui attrapa la main. Il lui força à l’ouvrir, jeta le morceau de verre à la poubelle et pressa le bout de tissu sur le sang.

« N’est-ce pas à elle que tu veux faire mal au lieu de toi ? »

@amos hulst
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Amos Hulst;

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Message Sujet: Re: noir paradis (tôma)   noir paradis (tôma) Empty Sam 15 Jan - 14:58


you should be scared of me,
who's in control?


l'impatience se logeait entre ses côtes, n'arrêtant de grandir, de lui tordre les tripes, de tourbillonner dans sa chair, créant une extase qui se rependait dans toute la sainte carogne. électrisée par ses propres pulsions, par l'ombreuse partie qui se tapissait quelque part et qui venait prendre son dû, elle était devenue une pilleuse d'êtres, le fantôme aux babines sanglantes qui ne cherchait qu'à s'approprier ce qui ne lui était pas destiné. le verre pillé fut son premier acte, une traître réflexion de ce que refermait le masque défectueux, de ce qui se dessinait réellement dans les prunelles d'une naïveté devenue enragée, d'une vie où sous l'or se dessinait une moisissure, qui avec le temps ne serait plus percevable. le masque sera trop bien ficelé. si imperturbable. elle ne se fait que sentinelle faussement attendrie, presque à l'allure compatissante, à attendre qu'elles disparaissent les unes après les autres, qu'elles ne soient que des vagues souvenirs pour les pauvres malheureux qui viennent s'abreuver de leur grâce, de leurs silhouettes longilignes, des rêves qu'elles présentent à ceux qui ne sont plus capables d'en avoir. elles n'sont toutes que des pantins, trop douces, à tenter d'exceller sans cesse. remplies d'erreurs sont celles qui pensent que la lumière viendra se loger dans leur dos. non, la lumière, il faut l'attraper. la lumière est si dédaigneuse qu'elle ne reconnaît point le talent, alors il faut la forcer à le regarder dans les yeux jusqu'à ce que ses larmes vous choisissent.
et si l'apparence que donne amos pourrait les aveugler, tromper même les plus fins observateurs, les fils qui la retenait n'y sont plus, envolés par l'idéologie qu'on avait implanté dans son jeune encéphale, tu dois réussir. mets nous hulst en haut de l'affiche. ces mots furent comme un mantra mortel, répétés tant de fois que même des années plus tard, amos pourrait en reproduire l'intonation exacte, la même haine qu'ils avaient dans leurs voix tremblotantes. ils l'ont jeté dans cette foutue fosse, ils l'ont façonné, même si ce n'est qu'indirectement. peut-être que parfois, les regrets se marquent sur ses traits, peut-être qu'au final, ce n'était pas de ce monde là qu'elle devait prendre possession. mais les regrets ne servent plus lorsque inévitablement, le sang coulera sur le plancher, elle en sera la faute. cronos tentant de dévorer tout ceux qui pourrait prendre sa place. elle est cronos. les règnes ne sont jamais éternels.
l'onyx tombait à peine sur les bâtiments, et la sournoise môme se tenait dans un coin des vestiaires décolorés, le verre dans la main comme faucheuse, occupée à préparer son geste, celui qui noircira la pureté qui occupait son myocarde. la première allégeance face aux demandes qu'on lui a trop crié, le premier c h â t i m e n t. il lui laissera des traces. sans doute même qu'une partie de son être, la plus pure, ne sera plus que poussière. envolée sous forme de cendres, diluées avec le vent. le bruit la fait sursauter, les affaires sont rangées précipitamment, mais il reste du verre entre ses paumes. à son tour, il vient s'enfoncer dans les tissus, se moquant du manque de dignité de la gamine. tu veux pas savoir. me pose pas de questions, et j'en ferais de même. j'ai bien vu ton sachet. le regard se fait inquisiteur, cherche à déceler ce qu'il dira par la suite, s'il est du genre à céder au chantage. au fait, toutes mes félicitations. t'es doué comme pianiste. une part de vérité se cache dans les félicitations adressées, mais c'est avant tout que flatter un égo lui permettra peut-être de s'en sortir indemne. alors, quand il s'approche, déchire sa chemise, pour éviter que son sang coule à flots, l'avis préfabriqué qu'elle avait sur lui s'estompe. t'étais pas obligé mais merci. cette fois, c'est sincère, de toute façon, elle avait terminé, elle va s'en aller, à quoi bon prétendre pour cinq minutes de plus. parfois, on est pas aussi doué qu'on le pense. alors, faut bien provoquer le destin. tant pis pour la coupure. dommage collatéral. et toi ta poudre, ça t'sert à quoi? qu'elle annonce, levant les épaules, l'observant à nouveau. j'pourrais t'en raconter des choses, j'suis déjà un dommage collatéral depuis que j'existe.



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plus réellement pianiste, il s'est enlisé dans cette carrière, il y a oublié d'exister. années de jeunesses délaissées, esprits fatiguées de l'opulente sournoiserie de la bourgeoisie. il veut changer, Tôma, il va rentrer au conservatoire et choisir sa propre voie.
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Message Sujet: Re: noir paradis (tôma)   noir paradis (tôma) Empty Lun 24 Jan - 15:47


Les moyens ne manquaient pas. Quand bien même ne les aurait-il pas eus, ses parents étaient là pour subvenir à ses besoins. Heureusement, il n’avait pas besoin de les appeler, de s’agenouiller à leurs pieds parce que petit virtuose qu’il était il avait atteint le haut du sommet en n’étant qu’à moitié en possession d’être intégralement indépendant à son âge. Ah ça, ses parents avaient de quoi être fiers. Leur famille était cassée en deux mais leurs enfants menaient tous leurs vies avec une flamme brûlant les cieux des dieux. Il n’était même pas majeur dans le monde entier qu’il vivait dans un appartement rutilant en le payant avec son propre argent gagné grâce à son propre talent. Il avait un don inné et il ne se le cachait pas, pas même devant Nihjee qui lui-même regorgeait de surprises chaque jour. Il n’attendait que ça, le voir s’envoler vers les nuages éclatants au lieu de quoi l’alcool le clouait sur place. Qu’il ne parte sans lui, ce n’était pas grave, il ne désirait que son bonheur et il lui en avait donné plus que la possibilité en l’emmenant dans le pays de tous les possibles. Mais, était-il plus heureux, ici, Nihjee ? Il avait peur de n’avoir fait que l’enfoncer plus profondément sous terre. Mon amour, je suis navré de mon incompétence.
Et comme les billets fleurissaient à même le sol, c’était aisé de se permettre ce qui lui plaisait. Sachet acheté avant la représentation, il finirait déjà par connaître par coeur tous les bons coins où acheter les meilleurs stupéfiants de décolorer son âme. Il prenait des risques, il le savait et son agent le savait aussi. Ce n’était pas le premier artiste avec lequel il travaillait, il l’enjoignait de cesser tant qu’il était temps et de se reprendre en main. Sottises. Cet idiot ne connaissait pas son passé, personne ne l’avait écrit dans les lignes parce qu’il était étonnamment resté caché entre les murs de la demeure familiale. Et ceux qui avaient pu être capables de ne pas garder la bouche fermée… son père s’en était occupé. Triste constat. Alors, pour ne pas enticher sa réputation et celle de sa famille, il n’avait rien dit. En tant que bourgeois, il en prenait assez pour son grade et il y avait Nihjee. Pour sa sécurité, il faisait attention et il s’y perdait. Tant pis des conséquences, il avait acheté une ou deux doses en sachant qu’une fois le spectacle terminé pas même l’un de ces faciès à glousser devant sa prestance ne l’apaiserait. Cependant, il ne s’était pas attendu à découvrir qu’une autre personne avait eu la même idée de rester après toutes ses heures écoulées.
Il sourit, il aimait ce genre de caractère. Tempétueux, désordonné. Nihjee. La maligne avait vu le sachet, l’un comme l’autre avait vu ce qu’ils n’étaient pas censés voir. C’était intéressant la manière dont les soirées prenaient parfois un tournant inattendu. Et ses pupilles scintillèrent sous les compliments parce que ce n’était pas les premiers ce soir. Probablement pas les derniers. Mais ceux-là étaient-ils vrais ? Il tamponna le sang, entoura le tissu autour de sa main comme elle se laissait faire.

« Je sais, lui répondit-il, que je suis doué. Sinon, je ne serais pas là, mh, haussa-t-il un sourcil, Et toi alors ? »

Il la provoquait un brin, ça l’amusait et c’était la drogue qui faisait effet. Elle lui avait enjoint de ne pas poser de questions mais elle, elle s’en donnait le droit. Pourquoi alors pas lui ?

« Désolé, je n’ai regardé votre représentation comme je jouais mais ça m’avait l’air plutôt pas mal, chercha-t-il dans ses souvenirs, esquivant sa dernière question, Crois-moi, tu auras beau abattre tes cartes, eux, ils t’en sortiront de nouvelles. »

Il esquissa un nouveau sourire, à elle d’en déchiffrer le sens, et il partit s’installer sur l’un des bancs.

« Vas-y, danse pour voir, lui fit-il signe, Exécute-toi ou je pense qu’il y en a à qui ça ferait plaisir d’entendre que l’une de leurs danseuses joue les perfidies. »

Elle, elle avait tout à perdre. Lui, rien. Peut-être sa prestance mais c’était bien connu que les artistes les plus réputés se perdaient dans leur célébrité. Il attendit, devint silencieux et observateur. Elle avait une bonne posture, un joli minois et de beaux cheveux. Le physique comptait aussi à sa manière, il était bien placé pour le savoir. Qu’en était-il du reste ? Il avait démontré seul et avec elles, à son tour de lui prouver que ce qu’elle avait fait en valait la peine.

@amos hulst
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