Kristine Froseth ZAJA (avatar) Grisha, Céleste, Orphée, Messaline, Virgil 127 966 25 Secrète elle ne dira pas un mot sur ses amours, cache fiévreusement cette promesse murmurée un crépuscule lorsqu’elle était elle, cette essence de mort et de vie, l’éros qui foisonnait et thanatos qui embrassait. Si je dois me donner ce sera à lui, quand bien même elle ferait une erreur, consciente et assumée. Armée de son appareil photo, elle décline son talent d’immortalisatrice, les images se fabriquent à la lumière et la maîtrise d’une compositrice artiste. Elle peint, dans l’atelier octroyé, des toiles monumentales qu’elle expose ou qu’elle donne. Privilégiée, elle peint toute la journée depuis des années. A trois ans déjà dessinait-elle pour découvrir et maîtriser ce qu’elle peinait à concevoir, la vie, la mort, le monde. Elle arbore un pseudonyme, connue comme Woodman, et se met parfois en scène sans visage ni corps. Queens Huppé
Kristine Froseth ZAJA (avatar) Grisha, Céleste, Orphée, Messaline, Virgil 127 966 25 Secrète elle ne dira pas un mot sur ses amours, cache fiévreusement cette promesse murmurée un crépuscule lorsqu’elle était elle, cette essence de mort et de vie, l’éros qui foisonnait et thanatos qui embrassait. Si je dois me donner ce sera à lui, quand bien même elle ferait une erreur, consciente et assumée. Armée de son appareil photo, elle décline son talent d’immortalisatrice, les images se fabriquent à la lumière et la maîtrise d’une compositrice artiste. Elle peint, dans l’atelier octroyé, des toiles monumentales qu’elle expose ou qu’elle donne. Privilégiée, elle peint toute la journée depuis des années. A trois ans déjà dessinait-elle pour découvrir et maîtriser ce qu’elle peinait à concevoir, la vie, la mort, le monde. Elle arbore un pseudonyme, connue comme Woodman, et se met parfois en scène sans visage ni corps. Queens Huppé