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| Sujet: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 12:02 |
| save the queens ---- / TYRON WILLIS
32 ans ---- / ace of clubs ---- / ismael cruz cordova
identité complète - tyron clay willis. paraît que c'est ta mère qui a tenu à ton deuxième prénom, que ça t'ancrait dans le sol, dans la matière de la terre. toi tu t'es toujours dit que ça t'empêchait de frôler la stratosphère, de t'échapper dans les airs, de voler loin d'un berceau soudé qui t'enchaînait. ton patronyme, c'est celui qu'on murmurait dans ton quartier avec un fin sourire, ouais vous savez, les mômes avec la mère qui s'est barrée. la mère, nan, tu te gourres, l'type en a eue plusieurs, sont jamais restées. comme quoi, y en a qui développent pas l'instinct maternel, juste celui de se barrer. toi t'as eu les deux instincts, la contradiction au creux du coeur, partir, rester, t'enfuir, rentrer. willis, ce sera toujours pour toi à la fois une obligation, une autre mission, mais avant tout un nom qu'on insulte pas. parce que ton père il est peut-être mort mais il t'a légué l'amour des tiens, même si parfois t'étais loin, il n'y a rien de plus important que ce nom qui vous relie, que ce nom qui vous unit. lieu de naissance et origines - on t'a semé sur le béton, y a rien qui pousse en général, juste les herbes que la pollution n'éradique pas, et qui reviennent chaque année, qui lézardent le bitume, qui l'éclatent et le fendillent. toi c'est la vie qui t'a fendillé, le queens c'est une sorte d'horizon bouché, les trafics de kenny d'un côté, les rêves tus trop tôt écrasés sous les pieds. maman était afro-américaine, d'elle tu as une photo un peu fânée et des souvenirs embrumés, tu te souviens plus trop de son visage, mais son parfum tu pourrais le recomposer à chaque fois que t'inspires à plein poumons. mais y a longtemps que tu inspires plus grand chose, sinon la came que tu consens à refourguer, pour par abandonner l'aîné dans ses convictions qui l'ont finalement menotté. lui aussi il pousse sur le bitume, à riker, et toi, t'as vu des soleils orangés, que tes yeux prenaient pour des mondes oubliés, le sable, ça n'a rien changé. t'es resté accroché au macadam, celui que ton père italien foulait, avec ses envies de vivre qui ont été contrariées par la maladie. de lui, t'as plus qu'une photo, de lui t'as l'absence, t'as le deuil, t'as même l'agonie. des images gravées, d'un monde bien réel que tu peux pas oublier. études ou métier - le chemin de l'école, contrairement à ton frère, t'y étais pas fortement allergique, c'est juste que tu te vantais pas d'aimer ça. ton prof d'arts plastiques, il a vu ta sensibilité, toi le petit gars qui voulait jouer les durs, mais qui ne convainquait pas grand monde. puis il a aussi compris ton incapacité à voir ce que chaque môme voyait, t'es né daltonien, les couleurs ne signifient rien, ou disons que pour toi ce ne sont pas les mêmes, elles ont quelque chose d'amputé, qui donne à ta perception une anormalité que tu as très tôt couchée sur le papier, comme pour te l'approprier. tu adores dessiner, peindre, apposer des couleurs qui n'appartiennent qu'à toi, horizons diffus, étranges, que tu es seul à regarder parfois. mais la passion, contrairement à ce qu'on prétend, ça suffit pas, y a des enjeux qui te prennent aux tripes et qui t'emmènent plus loin, les couleurs oubliées, diptyque de la race, noir ou blanc, même si papa vous a pas éduqués comme ça. mais kenny lui, il avait des convictions, et l'envie de se faire du blé, il a bientôt porté fièrement l'appartenance à l'UBN, et toi... toi qu'est-ce qu'on s'en foutait de tes petits dessins, dans le plus grand dessein des conflits intestins qui empoisonnent la vie, les rêves, et les états tout entiers ? le soucis, c'est que les grandes déclarations resserrées sur ta communauté, ça te parlait pas, sandro il avait baisé toutes les couleurs, t'avais des frères et soeurs qui représentaient à la fois un grand bordel, et un putain d'arc-en-ciel. alors t'as emmené le rêve plus loin, incapable de choisir, t'as gardé les souvenirs de la fratrie, de la maladie de ton père, du parfum de ta mère, des yeux de camé de celui qui avait recruté kenny, tes couleurs délavées sur la rétine, la folie qui creusait une peine et une colère dont tu savais pas te débarrasser. bagage armé, qu'il fallait bien poser quelque part. t'as voulu prouver tes idées, que combattre pour un pays, c'était mieux que ce que prônait kenny, tu t'es engagé. t'as servi, plutôt que de balancer des coloris sur une toile, t'as noirci tes mains de cambouis, tes idées se sont mécanisées, c'était simple, c'était clair, t'étais utile et ça suffisait. ça aurait dû, tu te le dis encore aujourd'hui. puis ton père est mort, kenny s'est fait arrêter, et la guerre t'a bousillé. t'es rentré, t'as gardé la mécanique sous les doigts, les idéaux éventrés dans la tête, t'as fini par servir le gang de ton frère, plutôt que de servir à rien. c'est ce que tu t'racontes pour ravaler l'amertume que tu contiens, monochrome, immonde et grisâtre, celle de ceux qui ne voient plus rien. orientation sexuelle - elles ont parfois su attirer ton regard, elles ne sont pas nombreuses, on peut pas dire que tu saches vraiment causer de sentiments, et puis y a parfois juste l'envie de partir pour ne rien partager, parce que s'ouvrir pour toi, particulièrement aujourd'hui, c'est comme se paumer, plus encore que tu ne l'es. alors les femmes elles te plaisent, elles t'attirent, mais tu t'en méfies aussi, parce qu'elles fouillent toujours dans la fragilité, et que tu veux pas l'exposer, ni la leur donner. t'es persuadé que tu n'as plus rien à offrir de ce côté-là, et celle qu'aurait pu te prouver le contraire, t'as fait que l'amocher, sans même comprendre ce qui te prenais. statut civil - t'as sans doute pris un peu trop de sandro, le mariage tu comprends pas bien le concept, t'as le coeur qui se pose mais les promesses tu les gardes, soigneusement tues, histoire de ne jamais trahir le sens que tu y trouves. puis tu sais que tu vas crever, sous la morsure de la seringue ou parce qu'une balle t'aura crevé la peau, alors tu préfères encore votre façon de ne rien contraindre, chez les willis. l'avenir, qu'importe si tu le transmets, il est tout autant gravé dans les rires des mômes de kenny, dans les humeurs erratiques de devon, dans la placidité de lamar ou dans la folie d'eli. pi, scénario ou prélien - pl de la démone @devon willis.
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / tu les regardes tous. parler d'eux. à un moment, faudra bien parler de toi, et tu sais que tu pourras pas. te taire, te taire, et regarder, c'est ce que t'as fait, admirant le grand-frère, espérant trouver ta place dans ses idées. il a nourri des rêves contradictoires, sans même le savoir. kenny il savait que tu t'imaginais artiste, même qu'il t'encourageait, t'étais fier de ça, d'avoir l'aval d'un frère qu'était plutôt tourné sur la castagne, et qui jouait les gros bras. mais ça l'a pas empêché de t'entraîner dans tous les mauvais coups, histoire de te former, peut-être pour que tu continues à regarder. à regarder et à te taire. puis t'en as eu assez, tu allais lui prouver que t'avais pas besoin d'un gang pour exister, t'allais arborer d'autres couleurs, les couleurs patriotes qui doivent donner un sens à l'existence. même ton père était fier ce jour-là, alors que ton côté artiste ça lui parlait pas. doit y avoir une symbolique qui t'échappe. tu vas quand même pas leur raconter tout ça, tu regardes la pendule, tu devrais te barrer. te lever, sans rien ajouter, t'as déjà dit bonjour, ça suffira. puis qu'est-ce que tu devrais dire qui n'a pas été raconté ici ? que tu contrôles plus ton animosité ? que t'es violent quand tu parviens pas à t'exprimer ? leur en foutre une, surtout à celui qui cause plein de compassion là, peut-être que ça sera explicite. peut-être que tu devrais. ou leur parler des rêves en morceaux, avec les tripes d'alvarez dessus. ça en fera bien chialer un ou deux. mais pas toi, toi tu pleures pas, tu dis rien, tu te tais, y a rien à ajouter sur ce que tu ressens. t'essaies pourtant, de te canaliser, de te concentrer sur le trafic, sur le côté minutieux de ton métier, officiel comme officieux, qu'importe, faut le même calme que t'avais, au front. ce putain de calme. celui qui ressemble à un gouffre, et où on ne peut absolument pas tomber. nan. même quand on en a envie. on tombe pas. faut oublier. et puis ça passera. c'est sans doute ce genre de conneries qu'il va te répondre, l'autre, avec son bâton de parole à la con. tu lui fais la gueule, tu souris pas. tu secoues la tête pour dire que tu passes ton tour, encore une fois. te taire. puis oublier. c'est tout ce qu'il y a à faire. pour enterrer le môme qui rigolait avec papa, qui essayait de se rappeler de sa mère, pour le retrouver devant son chevaler, avec le prof qu'étais si sympa, alors que c'était même pas pour le cota. la fierté, tu t'en souviens mais tu parviens pas à la retrouver, c'est un vêtement qui te glisse entre les doigts, qui se déchire. y a les tripes d'alvarez dessus. puis les couleurs passés, grises, vertes, désertiques de tes pensées. ça non plus ils peuvent pas comprendre. alors tu te tais. tu te tais.
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 12:02 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share arc-en-ciel, t'es qu'un môme et tu veux déjà jouer au grand. faut dire que quand on a une mère qui préfère disparaître plutôt que d'élever ses deux marmots, ça oblige à oublier qu'on est un enfant. t'as très vite oublié, il a fallu se démerder, parce que sandro... c'était un père aimant mais pas vraiment organisé. sur tous les plans, il choisissait ses compagnes pour une nuit, il héritait de petits braillards pour la vie, un adage qui lui a presque réussi. t'avais peut-être pas de mère, mais t'as eu des frères et même une soeur. sur lesquels t'as veillé, au côté de kenny, parce que vous étiez les deux aînés. ça filait pas droit, ça prenait même des chemins de traverse histoire de voir du pays, de foutre le bordel à l'école, dans le quartier, dans la maison aussi. bordel était à tous votre deuxième prénom, ça faisait marrer le paternel, et à toi ça te donnait le vertige. t'avais des envies, mais tu parvenais pas à les dire. t'essayais un peu de les dessiner, ou de les peindre, mais c'est quelque chose que t'as rapidement planqué, parce que ça ne servait pas à vous faire bouffer. c'était juste un peu plus de bordel dans le marasme dans lequel vous plongiez. un beau marasme, parce que la fratrie tu ne peux que l'aimer. mais l'amour, ça n'empêche jamais de se barrer. tu l'espères tout du moins, car c'est ainsi que tu te dis parfois, que ta mère elle te détestait pas. sub rosa, la môme bizarre du quartier, la petite soeur juste avant celle qui finirait par t'arriver. tu lui parles, tu joues avec elle, tu te dis que c'est bizarre sa famille qu'on ne voit jamais, cette mère qui ressemble à un insecte qui la dévore. elle te plaît, elle contribue à ton imaginaire, elle porte l'adolescence avec plus de lumière. tu l'aimes, tu veux la protéger, et puis elle, elle est amoureuse, comme les gamines le sont d'un plus grand garçon. t'essayes de pas trop favoriser ça, mais l'attachement, il est bien là. tu l'oublies pas, même quand tu te barres, tu lui écris, tu te dis aussi que tu la reverras. cinq ans, c'est le temps qui t'a fallu pour revenir, et pour la redécouvrir, l'adolescence en charpie, les cuisses ouvertes pour quelques billets, joyss est rosa, et elle est prostituée. tu la désires c'est vrai, mais y a quelque chose de proscrit là-dedans, quelque chose qui rampe, un animal déviant sous la peau d'un homme qu'est sans doute trop bousillé pour aimer. quelque chose qui rend dingue, qui te paralyse aussi. tu résistes, tu lui résistes, tu préfères même qu'elle soit folle à son tour, plutôt que de la toucher, vu qu'elle appartient à tout et à rien à la fois. vous mettrez des années, des années à enfin céder. tu sais que tu l'aimes, mais tu ne parviens ni à le lui dire, ni à le lui faire ressentir, ou à de trop rares occasions pour que ça puisse vous sauver. tu ne sais pas rester. rester à ses côtés. puis depuis que t'es rentré, y a sous l'animal une blessure putréfiée, qui a nourri une colère qui vient d'éclater. c'est sa lèvre que t'as fendue, sa bouche que t'as fait saigner, alors que t'aurais dû l'embrasser. pour qu'elle se taise. ou surtout qu'elle ne puisse rien dire de ce qu'elle constate chez toi. qu'elle voit, qu'elle ressent, et qu'elle déclenche parfois. serve and protect, tu y as cru, que c'était la seule solution. pour partir, pour envoyer du fric à la famille, pour t'émanciper du gang dans lequel t'allais forcément tomber. tu pars avec alvarez, un type que tu aimes comme un frère depuis que t'es né, et puis il t'apprend, à faire comme si tu voyais comme tout le monde, à t'entraîner pour un test que tu vas forcément rater. mais l'armée de terre, tu arrives à la flouer, tu mets des couleurs sur des notions qui t'échappent, puis pour t'improviser mécano après tout, tu te dis que tu t'en sortiras. le désert est orange, pour toi il est verdoyant, parfois gris, parfois pâle comme une amante endormie qui confirait sa vie aux affres du sommeil. c'est magnifique ce que tu vois en afghanistan, et puis tout ce que t'apprends, à réparer, à concevoir aussi. toi qui as toujours aimé la vie de famille, elle est ici bigarrée et vraiment soudée, alvarez est comme toi, mécano, et vous portez votre uniforme comme on porte un bleu de travail dans les ruelles du queens. les immeubles là-bas, c'est du sable et des châteaux de cartes, que les américains écroulent et rebattent. puis alvarez crève, au moment où une femme se fait sauter, juste devant votre convoi. t'as ses tripes sur toi, ça tu l'oublieras jamais, parfois tu le revis, dans tes jours gris ou dans tes nuits. alvarez est pas rentré. toi si. c'est l'histoire de centaines de gars comme toi, et pendant des années, alors qu'il fallait compenser l'absence de kenny, t'as surjoué le mec qui s'en est bien sorti. et tout le monde y a cru. jusqu'à ce que l'héroïne perce tes défenses de papier, les crament, et que le mal que tu renfermais, se mette à te ronger. ubn, i just ride, une évidence pour toi, que de rejoindre le gang de kenny, histoire de le suppléer. la guerre s'est chargée de t'arracher tous les idéaux que tu avais encore à l'adolescence, fallait mettre la famille à l'abri, puis faire prospérer les affaires de ton frère. clamer des idées entre deux rails aussi, ça donne un style, ça fait exister. t'as ouvert un garage vu que l'armée t'avait mis de l'or dans les doigts, en plus du sang et des cendres. tu t'es servi de ça pour monter une affaire, une jolie devanture pour écouler la drogue de l'ubn. c'est la combinaison parfaite, des rêves morcelés, et de l'argent qu'il faut ramasser, quand t'as aucune autre idée pour mieux l'amasser. destin tout tracé, ça te fait même pas sourciller. t'oublies la peinture, t'oublies le traumatisme, t'es driver pour les mauvais coups, pour extraire les potes quand ils descendent écouler leur merde, ou quand il faut frapper fort sur les gangs rivaux, ou ceux qui vous prennent de haut. conduire, ça tu sais, te taire aussi, alors ça convient à l'ubn, à kenny. et toi, t'en penses rien. tu penses ni aux conséquences, ni à ce que ça te vaudra. la mort elle est déjà là. disappear here, depuis quelques années, le mal te ronge, et les images rentrées reviennent te posséder. certains anciens de l'armée t'ont conseillé d'aller en causer, mais tu parviens pas trop à te décider. tu essayes de faire bonne figure, mais c'est de plus en plus dur de te concentrer, et de pas avoir l'envie de tuer, de bousiller la beauté qui te passe sous les doigts plutôt que de la sublimer. tu sais que tu dérives, et tu fais mine de t'en foutre, tu picoles, tu te drogues, tu gères le garage, tu essayes de conduire droit au milieu des idées troubles, et des envies qui ne se succèdent pas. t'as envie de rien, sinon de prendre soin des tiens, quand t'y parviens encore. d'aller faire visiter les murs de béton armé à ta petite soeur chérie, c'est ton idée. une idée qu'elle te revaudra, mais que jamais tu ne regretteras. c'est hors de question que tes frères et ta soeur deviennent comme toi, ou comme kenny. c'est tout ce qui compte, c'est ta seule loi.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
callian---- / 34 ans ---- / rpgiste
ville - l'île sans la mer. études ou métier - du code et des emmerdes. avis général sur le forum - je l'aime tant que je me démultiplie, et que ça n'est pas raisonnable... mais l'amour n'est pas fait de raison le détail qui t'a fait craquer - principalement la communauté de stq, qui provoque toujours l'inspiration. fréquence de connexion - 5/7, ça n'est pas un rendez-vous crapuleux. crédits des icons - corvidae. le mot de la fin - je vous nem . - Code:
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[b]ismael cruz cordova[/b] / [i]tyron willis[/i] |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 12:47 |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 12:55 |
| que je t'aime, encore une fois quel joli choix de pl, tu le sais, j'étais conquise bien avant qu'il n'arrive et je suis contente de le voir enfin débarquer et de savoir qu'on va faire encore de belles choses tes premiers mots à peine esquissés me charment déjà, Tyron est beaucoup trop cool, cet avatar fiou et j'ai hâte de vous lire à nouveau avec Devon, vous nous faites toujours des merveilles ensemble (première fan de votre duo ) par contre, Joyss n'a pas du tout hâte de revoir cette tête dans les parages (mais moi j'ai hâte de tout ce qui va se tramer, tu le sais. que nos plumes se croisent et recroisent, j'ai trop hâte ) et je suis pressée d'en lire plus, que je dévore encore tous tes mots. rebienvenue chez toi ma douce |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 13:08 |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 13:21 |
| Oooooouh (et je viens aussi seulement de faire le lien avec tous tes comptes, oui oui) Super choix en tout cas, j'aime beaucoup ta façon d'écrire |
| | | Invité;
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 13:51 |
| là là, que vous pouvez être adorables alors. je suis vraiment heureuse que tyron plaise, surtout que c'est un personnage qui s'éloigne de mes deux autres loustics et c'est tant mieux.
@Devon Willis et que dire des tiennes qui toujours m'inspirent aussi ? je suis ravie de nous faire une nouvelle fratrie très différente de la précédente. (breaking news : ils ne couchent pas ensemble...... ) et franchement, tu peux pas savoir tout ce que tu offres comme idées à chaque fois que tu lances un nouveau perso. je suis contente d'avoir craqué
@Joyss Lane chaton, tu sais que c'est réciproque, et franchement, le lien qui s'annonce sera terrible à jouer ** ça nous changera... enfin... ou pas merci pour ton accueil qui est toujours si charmant, et pour tous les mots...
@Adonis Worall enfin, c'est une victoire, nous allons pouvoir nous lancer toutes les deux, et j'ai très hâte de dévaster le monde aux côtés d'Adonis, et de conjuguer leurs deux folies
@Shea Harrington merci beaucoup ** et c'est pas un soucis, moi-même je me gourre encore dans les multi-comptes 8D
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Lun 15 Mar - 15:33 |
| Tu sais tout ce que je pense de ta plume et des personnages que tu crées. A chaque fois je dévore tes mots, l'émotion que t'arrive à transmettre est juste folle. J'ai hâte qu'on puisse jouer ce fameux lien dont on a parlé et le faire prendre vie. En tout cas, j'aime beaucoup ce que tu as fait de Tyron et j'suivrai toutes ses aventures parce que ça promet d'être aussi génial que tout ce que vous avez déjà écrit tous ensemble. (non, non, j'vous stalke pas du tout ) Breeeeef, re-bienvenue chez toi avec ce bg. |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Mar 16 Mar - 16:39 |
| ce FC et ce background wow, c'est tellement prometteur (sans compter la plume, mais ça tombe sous le sens ) Rebienvenue ** |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here Mer 17 Mar - 9:35 |
| @Jez McKinney merci tellement pour cette gentillesse. tu sais combien ça me plaît d'écrire avec toi et je suis ravie de pouvoir mieux en profiter lors de notre futur lien qui promet des merveilles.
@Misha Orlov merci toi aussi. je suis ravie que l'histoire de ty te plaise, toi qui façonnes toujours tes persos avec tant de détails. |
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| Sujet: Re: (tyron) disappear here |
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