J'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub Et toi, tu me déposes des mots précieux au creux de l'oreille On se regarde droit dans les yeux, on veille jusqu'au lever du soleil J'nous vois sortir, marcher, boire et partir sans payer Tirer des plans sur la comète et faire l'amour les fenêtres ouvertes
Les paupières frémissent, balbutient sous la lumière incandescente venue chasser les ombres nocturnes. Le corps frêle remue à peine, tente de se soulever mais un poids plus lourd l’en empêche. C’est la main délicate qui, la première, se fraie un chemin pour distinguer l’objet qui la retient. Un bras, bien plus imposant que le sien, qu’elle reconnaît quand elle ouvre enfin ses prunelles sombres. Les rayons lumineux de l’astre du jour la poussent à s’incliner, un premier temps, avant qu’elle ne s’habitue lentement à la clarté matinale. Et, en même temps, elle s’acclimate des lieux, de ses bras, de lui, Nikolaï. Les images de la nuit passée commencent à défiler dans son esprit encore embrumé alors qu’elle tourne discrètement le minois vers lui. L’esquisse d’un sourire à peine dissimulé apparaît instantanément sur les lèvres encore brûlantes de tous les baisers partagés. Elle souhaite éviter de le réveiller, le laisser se reposer. Alors elle reste là, Isabella, plusieurs minutes durant, elle se contente de le contempler. Elle contemple cet homme qu’elle a aimé, quitté, perdu, puis retrouvé ; cet homme qui parvient encore à éveiller les battements effrénés de son cœur trop abîmé. Elle le contemple avec tendresse, presque, avec adoration, quand il semble à son tour prêt à se réveiller. Les doigts fins de la beauté ténébreuse viennent glisser contre la peau nue de son amour, pas si, cendré quand elle voit enfin l’azuré de ses iris. – Bonjour toi. elle le salue, la voix douce, comme toujours. Elle a eu le temps de bien se réveiller, sûrement mieux que lui qui sort tout juste de son sommeil. Mais elle a encore du mal à réaliser comment ils ont fini dans ce lit, tous les deux, enlacés. Elle se souvient du dîner, des rires, de cette complicité retrouvée ; elle se souvient de lui qui s’essaie à la charmer quand elle reste plus sage, comme toujours, de son côté. Elle se souvient de leurs deux silhouettes devant la porte d’entrée.
Elle qui n’arrive pas à le quitter, elle qui se met à l’embrasser, elle qui se laisse consumer.
Trop effrayée de reproduire les mêmes erreurs, elle s’était promis d’y aller en douceur. Elle ne veut pas tout gâcher avec l’homme qu’elle aime. Elle refuse de voir le château de cartes dont ils débutent à peine la reconstruction à s’effondrer. Mais l’ébène ne sait pas résister ; elle ne sait pas se maîtriser, quand il s’agit de l’homme qui se tient à ses côtés. Elle ne peut pas dire qu’elle regrette la nuit qu’ils ont passée. Elle était belle, merveilleuse, pleine de désirs et de promesses. Seulement, tout de suite, la nymphe ignore véritablement ce qu’il en est. Des questions qu’elle n’a pas envie de se poser ; pas tout de suite, pas si vite. – Tu as bien dormi ? elle lui demande en se tournant un peu plus vers lui, le corps uniquement recouvert par la douceur des draps de luxe ; ceux qu’elle avait voulus elle-même, Isabella, reine du monde malgré elle. Quand il n’y a pas si longtemps, c’était là qu’elle vivait. Quand, il n’y a pas si longtemps, ils étaient unis à jamais.
Sujet: Re: j'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub. (nikolaï) Dim 1 Nov - 21:20
J'nous vois ...
Isabella Kingston
Etait il vraiment en train de dormir ? C'était plutôt étonnant, en réalité ça faisait même un bail que ça ne lui était pas arrivé. De trouver cet apaisement, cette sensation de bien être alors qu'en temps normal, il passe la nuit à ce retourner dans tous les sens dans l'espoir de trouver enfin le sommeil. Il ce sentait fatigué mais bien ... étrange sensation de bien être. Doucement, ses songes reviennent à la soirée qu'il avait passé. Doucement ce dessine les traits apaisant de celle qui sait faire battre son coeur. Isabella. Ils avaient passés la soirée tout les deux. Ce qui devait être un simple diner était devenu une nuit, toute une nuit ou elle était rien qu'à lui. Dévouée corps et âme. Il avait essayé de la troubler, doucement les souvenirs de cette soirée lui reviennent en mémoire alors qu'il émerge doucement sans pour autant ce réveiller complètement. Des souvenirs qui lui plaise de plus en plus. Le dîné brulé, ce rapprochement entre eux, son rire, ses blagues maladroite. L'homme qu'il était lorsqu'il était avec elle. Hier soir il n'y avait pas eu de douleur, pas de souffrance, pas de larmes. Juste de la bonne humeur, des rires, de la simplicité. Cette soirée ne signifiait pas pour autant que leur couple était de nouveau à flot. Il ne ce faisait pas trop d'idée mais il voyait ça comme un excellent début. Ils étaient brisés tous les deux et il fallait donc du temps pour reconstruire tous ce qu'ils avaient eux même démolie.
Les souvenirs de cette nuit lui revienne d'avantage. Les longs baisers échangés, sa peau contre la sienne, elle tout simplement. A chaque fois elle le rend un peu plus accro, à chaque fois il en demande plus. Il continue de s'obstiner Nikolaï malgré tous ce qui c'est passé entre eux. Ils avaient finalement réussi à s'endormir, les yeux dans les yeux, son corps contre le sien, ils avaient finit par fermer les paupières pour s'endormir l'un contre l'autre. Comme pour s'assurer qu'elle n'allait pas prendre la fuite, Nick continue encore à s'accrocher à elle, son bras fermement attaché à sa taille, lui allongé juste derrière elle. Alors que les rayons du soleil viennent titiller son visage pour tenter de le réveiller, il ressert légèrement l'emprise qu'il a sur elle. Est t'il en train de rêver ? Est ce vraiment elle à ses côtés ? Les yeux encore clos, il sent cette douce caresse le long de sa peau. Ses doigts fins qui parcourent son bras. Il en a presque la chair de poule alors qu'il ouvre légèrement les yeux. Il peine a s'acclimater de la lumière ambiante mais il est pleinement conscient. Il ne rêve pas. Elle est bel et bien là. - Bonjour. Murmure t'il encore endormi alors qu'il cligne plusieurs fois des yeux. - Dit moi ... est ce que je rêve ? Ajoute t'il en souriant à peine. - Parce que ... si s'en est un je veux surtout pas me réveiller. marmonne t'il alors il ouvre pleinement les yeux pour la contempler. - Bien dormi ? Muh ... une nuit plutôt courte mais ça faisait longtemps que j'avais pas aussi bien "dormi" Il ce redresse légèrement pour venir ce pencher au dessus d'elle et venir lui voler un baiser. - Et toi ?
C’est comme un besoin ; comme un instinct. Une évidence pas si marquée, pour celle qui s’y est longuement refusée. Elle est souvent allée à l’encontre de ses envies ; elle l’a fait presque tout au long de sa vie. Mais, la nuit dernière, elle a fermé les yeux sur toutes les raisons pour lesquelles elle ne devait pas, Isabella. Sous les astres nocturnes, seuls témoins de ces heures partagées, elle s’est laissée aller, sans plus réfléchir. Sans plus se l’interdire, elle a suivi uniquement son envie, son envie d’être avec lui. Nikolaï, il est ici, juste à ses côtés. Les prunelles mal réveillées, l’océan ne perd pour autant pas de temps pour la pousser à s’y noyer. Un faible sourire aux lèvres, les phalanges toujours caressantes sur son derme, la nymphe ténébreuse garde rivés ses opales dans les siennes. L’ombre esquissé sur ses lippes s’agrandit avec malice, l’air aussi légèrement attendri quand elle entend la demande du colosse qui paraît, à cet instant, d’argile tant elle sent que sa réponse pourrait si vite tout détruire. – Non, tu ne rêves pas… et elle se demande s’il a déjà fait ce rêve ; lui. Ce rêve où ils se retrouvent tous les deux, ce rêve où enfin, elle cesse de résister à l’attraction qu’il exerce sur tout son être. L’âme torturée, elle, n’a pas souvent eu cette chance. Elle rêve comme elle songe, Isabella, l’esprit empreint de souffrances. Les démons ressurgissent, beaucoup trop de nuits, dans des cauchemars loin d’être sans importance. Et c’est ainsi depuis bien plus longtemps encore, depuis, les instants les plus douloureux de son enfance. Mais quand elle vivait avec Nikolaï, ses nuits étaient plus tranquilles. Les rêves si sombres devenaient plus nébuleux, loin d’être lumineux, mais bien plus supportables. Cette nuit, Isa, elle n’a pas rêvé, et c’est le meilleur moyen de se réveiller apaisée. Ça, et la présence si tendre de l’homme qui se tient à Ses côtés. Le sourire amouraché sur le minois, elle le suit de son ébène quand il se penche au-dessus d’elle, pour déposer un baiser contre ses lèvres. La main frêle se pose sur la joue de son amant pour prolonger son baiser le temps de quelques secondes. – J’ai très bien dormi aussi. elle lui répond, lui, toujours au-dessus d’elle. La seconde menotte glisse contre la peau nue de Nikolaï, elle effleure son dos pour le garder contre elle ; comme si elle voulait empêcher qu’il s’en aille. C’est elle, pourtant, celle qui s’en va constamment, c’est elle qui a si peur de ses sentiments. Dans un murmure à peine audible, elle lui confie. – Je voudrais rester ici toute la journée. toute la nuit, aussi, et puis, toute la vie.
Sujet: Re: j'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub. (nikolaï) Ven 6 Nov - 18:00
J'nous vois ...
Isabella Kingston
Difficile de croire que c'était réel. Pendant tellement de temps Isabella à cherché à fuir, fuir leur relation, le fuir lui. Fuir toute sorte d'amour, tous ce qu'il pouvait lui offrir. Mais cette nuit, c'était comme si elle avait réussi à mettre son esprit sur "pause" juste le temps de retrouver ce qu'elle avait si souvent bridé. Hier soir, cette nuit, Isabella c'était simplement contentée de suivre son envie, écouter son instinct et en ouvrant les yeux, la belle avait retrouvé cette esprit serein et presque heureux. Tout comme sa belle, Nick avait l'esprit si léger, il ce sentait bien. Loin de ses tourments habituels qui le brise chaque fois un peu plus. Cette maudite solitude qui ne fait que le blesser d'avantage. Auprès d'elle, il ne ressent pas cette douleur. Tout comme elle, Nick avait réussi à mettre son esprit de torturé en pause, juste le temps de cette nuit dans ses bras. Un bonheur qui n'est surement qu'éphémère comme à chaque fois qu'ils ce retrouvent coupé du monde. Chaque fois, Nick espère que ça dura plus longtemps, suffisamment pour qu'elle accepte de vivre avec ... mais la réalité finit toujours par revenir. Emportant tous espoir et bonheur sur son passage. Histoire sans fin de leur amour brisé mais toujours aussi fort. Les yeux légèrement ouvert, il retrouve avec plaisir l'ébène qui lui fait face. Un faible sourire ce dessine sur ses lèvres alors qu'il ce demande même si il est en train de rêver ou pas. Un colosse loin d'être invincible. Puisque sa plus grande faiblesse reste cette femme, celle qui noie son regard dans le sien. Un simple mot, un simple soupir d'elle pourrait suffire à le briser. Comme pour s'en assurer, il ce redresse légèrement juste pour venir ce pencher au dessus d'elle pour venir capturer ses lèvres. Un doux baiser, différents de tous ceux qu'ils avaient partagés Mais suffisent pour lui confirmer qu'il n'était pas en train de rêver. Elle était là, bien là. Cette douce caresse contre sa joue le pousse à clore les paupières de brèves secondes, si faible, si sensible face à elle. - Tant mieux alors, et toi qui voulait partir. Souffle t'il en souriant l'air plus taquin. Comme quoi, elle n'avait pas si envie que ça de le quitter. Toujours penché au dessus d'elle, les yeux rivés dans les siens, un petit sourire sur le bord des lèvres. Il la contemple, silencieux alors qu'elle murmure quelques mots, à peine audible comme si elle osait à peine dire tout haut ce qu'elle pense. - Alors reste. Répond t'il en ce penchant d'avantage pour venir poser son front contre le sien. Les yeux désormais clos, il n'avait pas besoin de lui parler, ou de l'entendre. Il avait seulement besoin de sa présence. Il reste ainsi quelques secondes avant de finalement ce redresser pour s'allonger de nouveau à côté d'elle. - On peu rester là, toute la journée. Tournant la tête vers elle, il reprend doucement. - On peut parler pendant des heures, je peux t'écouter sans t'interrompre ou juste te regarder me sourire de cette façon. On peut faire l'amour encore et encore jusqu'à n'en plus pouvoir, on peu juste rester là l'un à côté de l'autre jusqu'à ce que tu décide de t'en aller. Il y avait tant de possibilité mais quoi qu'elle décide, il comptait la suivre.
Lui, ta douce éclipse, il est là, tout contre toi, ta main qui se perd dans ses cheveux, tes opales qui se noient dans ses yeux, lui, tu le veux, toute une vie, tout contre toi. Les limites ont été franchies, elles ont laissé un doux goût d’interdit. Un goût venu tout droit du passé, ceux de cette nuit étoilée, où la beauté abîmée avait filé. Loin de son mari, elle avait quitté son lit, pour le rejoindre, lui.
Elle se souvient, Isabella, de ses réticences avant la première fois, de ses craintes qu’il a balayées de ses caresses, de ses doutes qu’il a fait taire de ses lèvres,
Elle se souvient, Isabella, parce que cette nuit, c’était comme la première fois.
Ils se sont retrouvés, comme s’ils s’étaient échappés, en dehors de la réalité, dans un univers qui leur appartiendrait. Ce monde qu’ils ont autrefois connu, celui qui leur a appartenu. Ils reprennent timidement possession des lieux, peau contre peau, sans cesser d’se dévorer les yeux. Le sourire sur les lèvres qui, encore, s’appellent. La malice retrouvée dans ses pupilles, face à sa taquinerie, l’écorchée vive lui confie. « Je n’avais pas réellement envie de partir. » elle n’a jamais envie, Isa, d’être loin de lui. Elle n’a jamais envie de s’enfuir, c’est juste la peur qui devient panique. C’est juste sa raison qui, trop souvent, la guide. Le désir a été plus fort cette nuit, mais elle n’en sait pas moins pour l’avenir. Il y a juste cette envie beaucoup trop intense de passer les prochaines heures à ses côtés ; l’envie de savourer chaque seconde qui leur est accordée. Mais il s’éloigne déjà, son corps se détache du sien pour s’installer non loin. Déjà trop loin. Une petite moue presque enfantine apparaît sur le minois de la ténébreuse alors qu’elle glisse sa main contre la sienne pour le pousser à revenir tout contre elle. « Peut-être que je n’ai pas envie de m’en aller. » elle avoue dans un souffle, ses phalanges qui le caressent avec délicatesse avant qu’elle n’ose relever la tête. L’encre dans l’océan, elle pourrait s’y perdre, mais elle est déjà envoûtée depuis longtemps. « Tu te souviens, au début de notre relation… tout avait l’air… si facile. » elle interrompt ses caresses mais continue de le fixer, l’ébène noyée dans son lac. Elle se remémore les premiers instants, les premières fois. Liaison passionnée, transformée en amour qui les a consumés. Tous ces moments de complicité, cette intimité partagée, puis toutes les exigences, toutes les complications qui sont venues les perturber. Leur amour s’est retrouvé déboussolé, parce qu’autrefois, ils se suffisaient. C’est cela, Isa, qu’elle voudrait retrouver. « Nous étions heureux, seulement parce que nous étions tous les deux… j’aimerais retrouver cette sensation… » J’aimerais te retrouver pour de bon, toi, moi, nous, tout notre amour, et la promesse d’un toujours.
Sujet: Re: j'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub. (nikolaï) Sam 7 Nov - 21:23
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Isabella Kingston
Tous était tellement plus clair lorsqu'elle était avec lui, tous était si simple. Si beau. Quand il plongeait son regard dans le sien, il voyait un lendemain, un avenir, heureux. Alors qu'elle s'entête toujours à prendre de la distance avec lui. Ne ce rendait elle pas compte que lorsqu'ils étaient ensemble tous était beaucoup plus simple. Evidement, pour l'instant c'était simple. Là, dans cette chambre qui fut la leur, coupé du monde, rien ne pouvait les atteindre. Oublier les horreurs qu'ils avaient vécu, l'enfer de cette nuit cruelle qu'ils avaient partagé. Les angoisses ce retrouvaient chassées lorsqu'ils étaient tous les deux. L'amour de sa vie si proche de lui, pour la première fois depuis des semaines il ne l'avait jamais senti aussi proche de lui. Isabella n'était pas juste là physiquement, non elle était toute entière, elle était là et mieux encore elle semblait heureuse d'être là auprès de lui. Cette nuit n'était pas une erreur de parcours, c'était juste l'issue la plus favorable à leur histoire. Séparé mais pourtant ils sont à jamais liés l'un à l'autre. S'aimer simplement ... comme avant.
Après un bref baiser, Nikolaï retrouve sa place auprès d'elle. Allongé le corps à moitié recouvert des draps, les yeux rivés sur son amantes, le sourire aux lèvres. Un léger rire s'échappe d'entre les lèvres du policier alors qu'il la dévore des yeux, cet air toujours malicieux. - Je m'en doutais ... tu ne serais déjà plus là sinon. Elle aurait trouvé le moyen de s'enfuir avant qu'ils arrivent dans ce lit ou alors elle aurait profité du calme de la nuit pour prendre la fuite. Dans le fond, elle avait envie d'être ici, elle tenait à ce réveiller auprès de lui et plonger son regard dans le sien. Profiter de ce moment de tendresse qu'elle pouvait faire durer autant qu'elle le voulait. Il s'allonge de nouveau auprès d'elle mais comme si il était déjà trop loin, la belle attrape sa main pour l'attirer de nouveau vers elle. Il ce laisse faire, ce penchant de nouveau au dessus d'elle. Comme si la distance n'était plus supportable. - Vraiment ? Moi ça ne me gène absolument pas que tu choisisse de rester. Au contraire. Et peut être que moi non plus je n'ai pas envie de te laisser partir. Il pourrait la garder prisonnière, une idée qui est loin de lui déplaire. Les yeux dans les yeux, une fois encore. Nick la contemple avec tendresse alors que sa main libre vient caresser ses cheveux. Avant, lorsqu'ils n'étaient encore que deux amants, maudit ou chanceux. Unis dans un mariage mais fou l'un de l'autre. L'air quelques peu rêveur, il acquiesce légèrement.- Oui, je me souviens. Comment oublier ? C'est vrais que lorsqu'ils étaient simple amants, leur relation avait quelque chose de beaucoup plus légère. Pas de promesse entre eux juste les plaisirs d'un instant coupé de leur quotidien. L'échappatoire d'un mariage trop prise de tête. Fronçant légèrement les sourcils, il l'écoute attentivement, cessant lui aussi ses caresses. - Tu voudrais qu'ont redeviennent de simple amants ? Qu'ont ce retrouve en cachette ? Parce que c'est ce qu'ils faisaient à l'époque. - C'est vrais que c'était tellement plus simple ... on parlaient pas d'avenir, ni de projets juste l'instant présent et rien d'autre. Mais il avait finit par avoir besoin de plus, toujours plus. Il avait eu envie qu'elle soit entièrement à lui. Mais c'était peut être ça le problème justement. Il en demandait trop ... Détournant le regard l'air songeur, son sourire s'élargie sur ses lèvres alors qu'il reprend. - Ont pourraient. Dit il l'air confiant. - Pas de complications. Il ce penche vers elle pour venir déposer un baiser contre ses lèvres. - Pas de larmes ou de disputes Un nouveau baiser contre ses lèvres. - Juste toi et moi. Dit comme ça, c'est tellement idyllique. Mais n'avaient ils pas déjà essayé ? - Isa ... on ce redonne une chance. Parce que je veux y croire. Je veux croire qu'entre toi et moi c'est encore possible. On ne brusque rien et laissons simplement faire les choses comme elles nous viennes. Son visage proche du sien, il la contemple toujours avec tendresse. - Quoi qu'il en soit ... tu sais que je suis tout à toi.
Fragments morcelés, l’cœur fracassé, les débris d’une âme émiettée, et, au milieu des reliques cendrées, la flamme qui se met à se raviver.
Jamais tout à fait là, jamais trop loin à la fois, Isabella, présente dans ses absences, absente dans ses présences, comme l’astre qui file, elle disparaît bien trop vite. Le myocarde voué à l’homme qui se tient à ses côtés, c’est son âme qui semble constamment de l’autre côté. Comme si un mur invisible, mais bien trop solide, l’empêchait de complètement le retrouver. Comme si, elle pouvait être avec lui, sans jamais lui appartenir.
Alors elle file, l’étoile trop fébrile, elle vacille pour continuer de l’éclairer, quand, en réalité, elle peine à se maintenir éveillée.
Nikolaï, il a été sa rédemption, autant que sa perdition.
Car comment vivre avec le souffle coupé, quand il lui est déjà difficile de respirer ?
Le répit lui est offert, pour encore quelques heures. Loin du chaos de ses démons, l’âme torturée trouve un instant d’apaisement. C’est peut-être pour les empêcher de revenir, qu’elle ne le laisse pas s’éloigner trop vite ; c’est peut-être pour les empêcher de la submerger, qu’elle veut maintenir cette proximité. Car tant qu’il sera tout contre elle, Nikolaï, c’est de ses propres ténèbres qu’il la protégera. Les orbes rivés dans ceux masculins, la rose abîmée le contemple avec tendresse. Si elle pouvait, juste, se fondre entre ses bras, elle le ferait. Si elle pouvait oublier, tout ce qui est arrivé, pour qu’il puisse monopoliser ses pensées, elle le ferait. « Alors… ne me laisse pas partir. » elle murmure dans une supplique à peine audible. La détresse au bord des lippes, comme si elle n’était pas responsable de ses propres fuites, comme si une force supérieure la contraignait à partir.
C’est de sa souffrance qu’elle voudrait être libérée, Isabella, mais elle n’y arrive pas, et elle est, toujours, un peu plus en vrac.
Et l’envie formulée, à peine voilée ; d’oublier les engagements qui ont précipité leur fin. Oublier les exigences qui les ont rongées. Elle voudrait, seulement, retrouver ce qu’ils avaient. Retrouver la passion et le désir constant d’être à ses côtés. Retrouver l’amour sans les dérives qui l’ont bousillée. Isabella, si mature depuis qu’elle est née, s’avère trop naïve quand il s’agit d’aimer. Comme si, elle associait tout ce qu’il y a de plus douloureux dans l’amour aux souffrances devenues trop dures à supporter. Mais elle voudrait seulement le retrouver, sans que ce soit si compliqué ; sans avoir la sensation de suffoquer, sans finir ravagée. L’astre à ses côtés paraît l’écouter avec précaution ; elle a toute son attention. L’air légèrement déstabilisé, mais pas si opposé, il émet même l’idée qu’ils se retrouvent en cachette. Ce n’est pas ce qu’elle attend, Isa, pas ce qu’elle souhaite. Elle ne veut pas d’un retour en arrière. Elle a seulement envie, besoin, que tout redevienne plus simple. Les baisers reprennent et s’enchaînent, avant qu’elle n’y mette délicatement un terme. « Je n’attends pas qu’on agisse comme des amants… je t’aime, Nikolaï. » elle affirme comme une évidence, les mots qu’elle n’a pourtant pas prononcés depuis une éternité. La gorge un peu serrée, la poupée d’ébène se redresse, un peu, juste à peine ; juste assez pour se pencher au-dessus de lui et accrocher ses prunelles. De toute sa douceur, elle l’embrasse à son tour, avant que ses doigts frêles ne reprennent leurs caresses. Sa déclaration la touche alors qu’elle lui sourit tendrement, le cœur épris de ce ravage de sentiments.
Il est tout à toi, et toi, tu ne sais pas si tu peux en dire autant, tu ne sais pas si tu peux en donner autant, mais tu l’aimes, Nikolaï, bien plus qu’un amant.
« Moi aussi, j’ai envie qu’on se redonne une autre chance… il paraît que ça a déjà fonctionné pour d’autres, alors… pourquoi pas nous ? » elle reprend, candidement, les paroles de son amie-lumière, Joy, bien plus clairvoyante qu’elle. Le minois finalement posé au creux du cou de l’être aimé, elle se laisse bercer par sa respiration au rythme à peine régulier. « Alors… on laisse les choses se faire… naturellement… et on arrête de se faire du mal, surtout. C’est d’accord ? » S’il-te-plaît, promets-le moi, je t’aime beaucoup trop pour le supporter encore une fois.
Sujet: Re: j'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub. (nikolaï) Dim 8 Nov - 21:56
J'nous vois ...
Isabella Kingston
Il peine à croire qu’ils sont toujours là parfois. Nick n’a jamais cessé de croire en leur histoire, il n’a jamais renoncer à elle. Pourtant, c’était loin d’être gagné entre eux. Une histoire d’amour qui s’avérait pourtant impossible. Cette femme au coeur imprenable, cette femme bien trop différente de lui qui pourtant avait finit par saisir son coeur. Il ignore comment elle avait fait pour y arriver mais elle avait réussi et aujourd’hui il n’envisageait plus sa vie sans elle. Amoureux dès le premier regard … comme quoi, les coup de foudre ça existe.
Tant de fois il avait rêvé d'elle, tant de fois il avait espéré être avec elle. Pas seulement au simple titre d'amant mais en tant que l'homme qui partage sa vie. L'homme qui veille sur elle, qui la protège et qui reste quoi qu'il puisse ce passer. Il rêvait d'être cet homme, un rêve qu'il a réussi à toucher du bout des doigts. Mais Isabella, l'âme complexe, l'âme torturé lui en fait entrevoir cette vie auprès d'elle. Tant de dispute, tant de difficulté. Ils étaient heureux ... avant. Lorsque il n'y avait pas de promesse, pas de complication, lorsqu'ils n'étaient que deux amants. Cette période lui manque parfois, à lui aussi. Peut être qu'ils avaient juste trop précipité les choses entre eux, peut être qu'il en avait demandé trop d'un coup. Trop pressé, trop impatient de découvrir cette vie à deux. Tellement qu'elle avait eu peur ... il n'était pas le seul fautif mais il ce sentait toujours responsable d'avoir brusqué les choses.
Il l'aime, ça ne changera jamais, ensemble ou non. Ça restera toujours Isabella et Nikolaï. Amants maudits ou âmes soeurs ? Ils étaient sans aucun doute les deux à la fois. Mais l'un de vit pas sans l'autre. A cet instant précis plus rien d'autre ne compte, il ne pense à rien sauf à ce sourire. Il fond rien qu'en la regardant, plus vulnérable que jamais face à elle, sa plus grande force mais également celle qui détient lé clé de tous son être. - Je t'empêcherais toujours de t'enfuir. Je te rattraperais encore et encore. N'est ce pas ce qu'il fait déjà ? A chaque fois qu'elle s'enfuit, Nick la poursuit à coeur perdu. Il la suit et endure les blessures qu'il subit en chemin. Elle lui rend la tâche difficile mais il a toujours su encaisser. Le solide et courageux. - C'est toujours ce que je fais non ? Demande t'il, ce petit sourire sur le coin des lèvres avant qu'il ne vienne lui voler un doux baiser. Ne quitte pas ce doux rêve, reste avec moi Isa. Chaque baisers, quelques minutes supplémentaire en plus dans cette bulle qui n'appartient qu'à eux.
Elle envisage cette chance de recommencer avec lui, pour la première fois depuis longtemps c'est elle qui envisage ce nouveau départ qu'il lui réclame depuis leur séparation. Pas de complications, pas de difficultés, juste eux et cette passion qui les unis à chaque fois qu'ils ce retrouvent. Ce n'était pas très clair dans l'esprit de l'inspecteur mais il l'écoute pourtant avec beaucoup d'attention. C'est encore flou ce qu'elle lui propose mais il est pourtant prêt à accepter les conditions. Il tente même de clore la conversation en déposant plusieurs baisers contre ses lèvres. Je t'aime Nikolaï La dernière fois qu'elle lui avait dit c'était lorsqu'il était entre la vie et la mort ... ou peut être que c'était au Mexique. Un je t'aime qui le bouleverse légèrement. Il recule même légèrement alors qu'elle vient ce pencher à son tour au dessus de lui. - Je t'aime. Prend t'il tout de même la peine de répondre alors qu'il accroche de nouveau son regard. Penchée au dessus de lui, Nick la contemple alors qu'elle reprend ses caresses toujours aussi douces, tendres, séduisante. Un rire s'échappe d'entre ses lèvres entre deux baisers. - Disons que jusqu'ici on a eu droit qu'à des faux départs. Moi je veux croire que cette fois c'est la bonne ! Ose t'il espérer alors qu'elle vient enfouir son visage dans le creux de son cou. Naturellement il l'enveloppe de ses bras, fort, rassurant. Il la serre contre lui comme s'il ne voulait plus jamais la relâcher. - D'accord, laissons faire les choses. Mais ... promet moi juste une chose Isa. Demande t'il en cherchant de nouveau son regard. - Laisse moi être là pour toi quand tu sens que plus rien ne va. Souffle t'il sincèrement. - Je sais qu'on ... ne doit pas compliquer les choses mais c'est la seule chose que je te demande. Laisse moi être là.
Nikolaï, le cœur entier, prêt à tout lui donner, quand elle ne sait aimer qu’à moitié. Un demi-cœur mutilé, c’est ce qui lui reste de son passé. C’est ce qui demeure de toutes les épreuves endurées. Elle peut aimer, elle peut se donner, mais jamais totalement, jamais dans toute son entièreté. Comme si elle devait apprendre à se réparer elle-même, la beauté abîmée, avant d’avoir la chance d’offrir autant à cet homme que, pourtant, elle aime. Peut-être sont-ils trop différents, tous les deux, les âmes trop opposées. Lui, prêt à s’engager, prêt à se stabiliser dans la vie qu’il a toujours rêvée ; elle, déjà trop occupée à tenter de ramasser les débris de son âme émiettée. Elle a fait l’erreur de se jeter à cœur perdu une fois, dans un mariage qu’elle n’était pas prête à honorer. Elle a repoussé l’unique tentative de Nikolaï pour éviter de reproduire la même erreur, pour éviter de briser à nouveau un cœur. Seulement, peut-être que tout est allé trop vite pour elle malgré tout. Peut-être qu’elle n’est simplement pas faite pour un amour qui dure toujours.
Mais elle n’a jamais cessé, jamais arrêté de l’aimer, comme elle a terriblement besoin, que lui, il l’aime, qu’il continue de l’aimer, contre vents et marées, contre le monde entier, mais, surtout, contre elle-même.
Paradoxe amer de l’âme trop contradictoire avec le cœur. Elle redoute les promesses d’éternités autant qu’elle fuit le bonheur. Mais, dans tous les rouages complexes de l’esprit névrosé, elle a besoin, un besoin terrible, d’être aimée. Être aimée pour effacer les traces du passé ; être aimée pour parvenir à s’estimer ; être aimée pour, un jour, être sauvée. C’est aussi ce qui la rend si dépendante de Nikolaï ; au-delà de l’amour incontestable ; lui, il l’aime. Lui, il l’aime, pour de vrai. Tendre sourire sur les lèvres, elle se rapproche de son amour ravivé, presque reconnaissante de l’entendre toujours prêt à la rattraper. « Oui, c’est vrai… même quand je ne te l’ai pas demandé. » elle déclare doucement tout en entrelaçant leurs phalanges. Elle n’attend pas de lui qu’il court après elle, toujours, chaque fois qu’elle s’enfonce dans les ténèbres. Elle comprendrait mille fois qu’il arrête. Qu’il décide, un jour, de la laisser s’échapper, sans chercher à la rattraper. Mais, là tout de suite, elle a besoin qu’il la retienne contre lui. Là tout de suite, elle refuse de laisser ses angoisses la pousser à partir.
Noyée dans les affres sentimentales, elle se réfugie dans ses bras, elle s’enveloppe de son aura, elle se perd contre lui, Nikolaï.
Rester loin de lui, c’est devenu trop difficile. Le manque devient terrible, peut-être à cause de ce séjour qu’ils ont passé l’un près de l’autre à chaque seconde. Le manque devient insupportable, peut-être à cause de cet amour beaucoup trop fort ; toujours plus fort. Mots d’amour échangés, la complicité qui renaît ; leur couple qui commence timidement à se raviver. Elle se sent bien, Isa, enfin, de le retrouver. « J’ai envie d’y croire aussi. » qu’elle confie, sans l’ombre d’une hésitation alors qu’elle se noie sans chercher une bouée de sauvetage dans ses océans. Depuis le début, c’est lui, sa bouée de sauvage. Rédemption et perdition à la fois, Nikolaï. Les baisers prolongés, parfois tendres, parfois passionnés, s’interrompent quand il lui demande une promesse. Il y a son cœur qui, un peu, se serre, inquiète de ce qu’il pourrait attendre d’elle. Silencieuse, enveloppée par la chaleur de ses bras, elle se laisse bercer par cette impression d’être protégée, pour éviter de laisser paraître qu’elle est effrayée. Elle attend juste la demande qui finit par arriver. C’est à ce moment que l’écorchée relève le minois pour le contempler. Ses prunelles dans les siennes, elle acquiesce timidement de la tête. « Je te promets d’essayer… je ne veux pas te mettre de côté, crois-moi. » elle ne peut pas lui faire une promesse alors que, devant ses souffrances, elle ne sait jamais comment elle va réagir. La douleur la guide, bien plus que le contraire. L’âme en perdition, souvent, ne contrôle rien. « Je veux que tu sois là. Et tu le seras. » et elle ne sait pas si elle pourra toujours lui laisser entrevoir, les détresses dont il parle. Elle ne sait pas, Isabella, si elle aura ce courage-là, mais elle sait qu’elle a besoin, réellement, qu’il soit là.
Sujet: Re: j'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub. (nikolaï) Lun 9 Nov - 20:46
J'nous vois ...
Isabella Kingston
Il n'abandonne jamais, il ne renonce pas et pourtant Isabella est loin de lui faciliter la tâche. Elle s'enfonce toujours d'avantage dans les ténèbres et jusqu'ici Nikolaï n'a jamais eu peur de la suivre, il c'est toujours aventuré sans peur à sa recherche et il a toujours réussi plus ou moins à la ramener dans la lumière. Il c'est toujours battu pour leur histoire, il a toujours voulu y croire et aujourd'hui elle semble y croire elle aussi. Elle ne veut surtout pas qu'il abandonne, Isa lui demande de ne jamais la laisser s'en aller. N'est ce pas ce qu'on fait lorsqu'on aime quelqu'un ? On ce dépasse pour cette personne, on la relève si elle tombe, on la soutient on la retient. - C'est le principe ... je t'aime et je te retiendrais toujours. Enfin sauf si tu souhaite vraiment que je te laisse partir. Ce qu'il ne souhaite pas évidement. Mais dans le pire des cas, il ne pouvait pas la forcer à rester avec lui si elle n'en n'avait pas l'envie. Pour l'heure, ça ne semble pas du tout être le cas puisque, la brune vient trouver sa place au creux de ses bras. Contre lui, peau contre peau.
Naturellement, Nick l'enlace de ses bras. Il la serre contre lui, souhaitant la garder contre lui à jamais, la protéger de tous ce qui peut venir lui faire du mal. La protéger de ses idées noires, de ses souvenirs douloureux pour ne garder que les bons moments. Il ignore si il possède toujours ce pouvoir ou non mais quoi qu'il en soit, Isa semble trouver un certain réconfort contre lui et il ne demande pas plus. Doucement, ses doigts viennent effleurer son dos. Il frôle sa peau distraitement du bout de doigts, une simple caresses qu'il lui prodigue sans vraiment s'en rendre compte. Il profite simplement de cet instant, s'imprégnant de ce contact avec elle pour en garder à jamais une trace. Elle relève juste la tête pour lui confier qu'elle souhaite aussi y croire. Elle souhaite cette nouvelle chance autant que lui et ça la rassure de l'entendre dire de vive voix, comme si jusqu'ici il n'en n'était pas vraiment certain. Son regard qui accroche le sien, Nick sourie légèrement avant de reprendre l'air heureux. - Alors ça ne peut que fonctionner. Avoue t'il sur un air confiant, tout en reprenant ses douces caresses. Les baisers ce font tendre puis passionnés. Doucement, les deux amants semblent retrouver cette complicité, cet attachement entre eux. L'un contre l'autre, le silence s'empare de nouveau de la pièce alors qu'ils restent ainsi de longues minutes. Le soleil éclaire un peu plus la chambre, le temps avançait doucement mais c'était comme si il n'avait plus d'emprise sur eux. C'est lui, qui finit par briser le silence e, lui demandant simplement de lui promettre de le laisser être présent. Il connait Isa. Pour le moment tous va bien ... mais les ténèbres qui planent autour d'elle ne sont jamais très loin et au final ils la rattrape toujours. Nick voulait juste qu'elle le laisse être là ! - Hey, pas de panique ... je vais pas te demander quelque chose d'irrationnel ! Plaisante t'il alors qu'il remarque sa mine légèrement inquiète. - D'accord. Tu sais ... je veux pas seulement faire parti de sa vie dans les bon moment Isa. Quand on a décidé d'être ensemble toi et moi, tu m'as dis que tu voulais qu'ont soit là l'un pour l'autre. Qu'ont ait besoin de l'un et de l'autre. C'est ce que je veux moi aussi. Qu'ils ce parlent, qu'ils ce confient l'un à l'autre. - Mais sans pression ! Ajoute t'il en riant légèrement avant de la serrer un peu plus contre lui. - Merci d'essayer.
Fermant les yeux de brefs secondes, il profite encore de ce moment, sans un mot. - Tu devrais revenir vivre ici. Balance t'il soudainement. Laissant quelques secondes de silence il reprend. - Pas en tant que "couple" officiel. Mais tu devrais reprendre le double des clés que tu as laissé et comme ça tu pourra venir quand bon te semble. D'autant plus que tu as un dressing tous neuf prêt à être utilisé et ... parce que ça me manque ce qu'on avait avant.
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Sujet: j'nous vois danser au ralenti sur du rub a dub. (nikolaï) 
Dim 1 Nov - 19:03
