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 Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1

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Thomas Farrel;

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Thomas Farrel



Daniel Sharman.
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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

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Message Sujet: Re: Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1   Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1 - Page 2 Empty Ven 24 Juil - 18:52



deux âmes en peine dans ce monde.
Quelques similitudes commencent à se faire sentir entre la jeune femme et ta petite personne. Tu viens tout juste de la rencontrer et, pourtant, tu apprécie déjà beaucoup la petite serveuse de cette pâtisserie. Il n'est pas exclu que tu revienne ici à de -très- nombreuses reprises et pas que pour les succulents gâteaux. Ivy, elle dégage une très bonne aura. Elle est une bonne personne, tu le sens. La dernière fois que tu t'es laissé guider par ton instinct, c'était avec Ella et tu as eu raison de le faire. Ella, elle est devenue aujourd'hui ta meilleure amie. Celle qui commence à te connaitre par coeur, celle qui ne te jugera jamais sur rien en ce qui te concerne. Ella, c'est également la personne qui t'as accompagné et tenue la main lors de ton court séjour à San Francisco. D'ordinaire, tu n’aborde jamais les demoiselles. Timide, réservé, tu reste persuadé de ne rien avoir pour toi. De n'être qu'un garçon banal, sans grand intérêt. Et pourtant, aujourd'hui, tu ose aborder la petite serveuse. Elle semble gênée de prendre sa pause en ta compagnie, tu n'es pas très à l'aise non plus. Néanmoins, sa présence te rend heureux. Elle te fait du bien. Rares sont les personnes qui entrent si facilement dans ta vie, pourtant, cette jeune femme, tu sens qu'elle n'est pas prête de la laisser s'en aller. Tu ne sais rien d'elle. Tu ne connais pas son histoire, pourtant, tu sens qu'elle est comme toi, bousillée par la vie. Doucement Thomas ! Ne t'emballe pas trop vite ! Tout le monde part un jour, n'oublie pas ! Pourtant, Ella n'est pas partie elle. Et elle n'est pas prête de le faire. Tout du moins, tu ne penses pas. Elle peut très bien décider, du jour au lendemain, de te chasser de sa vie et, accessoirement, de son appartement. Non, elle n'est pas comme ça la brune. Tu as exactement la même sensation avec Ivy qu'avec Ella la première fois. Tu as déjà pleinement confiance en Ivy, elle ne fera rien pour te nuir, tu le sens. Ce n'est pas une mauvaise personne, au contraire. Instinctivement, ta main se pose sur celle de la blonde qui vient tout juste de prendre place. Ivy se contracte, comme si tu avais commis une erreur faute envers elle. Tu ne dis rien, tu ne veux pas la mettre encore plus mal à l'aise qu'elle ne l'est déjà. Tu ne lui en veux pas, au contraire tu la comprend. Ton regard observe minutieusement la jeune femme. Tu scrute le moindre de ses faits et gestes. « Oh ? C’est vrai ? Parce que moi je n’oserai jamais proposer à quelqu’un de partager un repas, même une simple part de gâteau, avec moi. » Oui c'est vrai. Tu n'as jamais osé aborder une demoiselle quelconque avant aujourd'hui. Tu grandis, tu évolues. Tu oses faire toutes ces choses que tu n'as jamais fait auparavant. "Oui c'est vrai .. Je n'ai que très peu d'amis. J'ai du mal à me mélanger aux autres, je me méfie énormément d'autrui !" Tu insiste bien sur le très peu d'amis. Ils se comptent sur les doigts d'une main. Toutefois, tu sais que tu eux avoir confiance en eux. Tu ne dis rien quant au fait que tu as confiance en elle, déjà. Tu ne veux pas lui faire peur. Tu réfère laisser les choses se passer tranquillement et voir comment les choses évoluent. T'en as marre de toujours rester en retrait, d'être loin des autres, loin de leurs conversations. L'impression d'être un extraterrestre, d'être invisible aux yeux de tes pairs. Ivy te demande de parler de toi, ce dont tu as absolument horreur. Tu mets une petite poignée de secondes avant de lui répondre, lui racontant en un très bref résumé la personne que tu es. « Il faut dire que c’est une grande ville c’est facile de passer inaperçu. » Elle n'a pas tort, c'est bien pour ça que tu as choisis New-York. Passer inaperçu, être invisible aux yeux des autres était un réel but recherché de ta part. San Francisco est une grande ville également, pourtant, t'avais l'impression que là-bas tout le monde connaissait ton histoire. Ton arrivée à New-York a marqué le début d'un nouveau chapitre de ta vie. Tu retourne la question à la blonde. « Je… Je suis née ici. Enfin à Brooklyn, je n’ai jamais vécu vraiment ailleurs. J’ai été contrainte de partir pendant plus d’un an pour des raisons… personnelle, à Los Angeles et je suis revenue en début d’année, j’habite dans le Queens depuis…» Los Angeles, cette ville t'as toujours vendu du rêve. Toutefois, tu dois bien admettre que partir et tout recommencer, une fois de plus, ne te tente pas vraiment. Tu te sens bien à New-York et puis, tu as réussis à tisser des liens avec certaines personnes que tu refuse de laisser derrière toi. "Oh je vois ! J'adorerais aller faire un petit séjour à Los Angeles un jour !" Tu dis, offrant un vrai sourire à la blondinette. "J'viens de San Francisco. J'ai pas eu une vie facile. J'voulais repartir du bon pied alors quoi de mieux que de changer de ville ?"

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Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
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Message Sujet: Re: Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1   Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1 - Page 2 Empty Jeu 30 Juil - 18:24





Deux âmes en peine dans ce monde

feat. @thomas farrel




Thomas n’était pas méchant, ça n’était pas une personne mauvaise, Ivy le sentait ou du moins elle en avait l’impression. Mais, elle avait du mal à faire confiance à son intuition par laquelle elle avait trop souvent été trompée. Elle était naïve, très naïve et elle se faisait facilement berner par les impressions qu’elle pouvait avoir, elle se laissait toujours avoir par ce que les autres voulaient bien lui montrer et il était facile de lui planter un poignard dans le dos à la première occasion. Alors elle essayait de lutter et elle essayait de se méfier des inconnus comme elle était en train de le faire avec Thomas parce qu’elle avait peur, une nouvelle fois, qu’une personne à laquelle elle offrirait toute sa bienveillance piétine ce qui lui restait d’amour propre. Et d’ailleurs, comme souvent, face au jeune homme qui l’avait gentiment invité à goûter à ses côtés, la blonde ne contrôlait pas les réactions de son corps. Elle aurait voulu avoir l’air détendue et sympathique malgré la nervosité qui l’habitait mais, c’était apparemment un échec étant donné que le brun n’avait pas tardé de lui faire remarquer qu’il la sentait mal à l’aise. Quand la main de ce dernier était venue de poser sur la sienne dans un geste doux et certainement bienveillant, l’américaine n’avait pas pu empêcher son corps de réagir ou même plutôt de surréagir. Instantanément, elle s’était contractée et Thomas l’avait forcément sentit. La petite voix à l’intérieur de son crane lui hurlait de faire attention, qu’elle était potentiellement en danger et elle s’efforçait de la chasser, de respirer discrètement pour tenter de se calmer un peu. Il n’avait rien fait de mal jusqu’à maintenant et si elle voulait avoir l’air le plus normal possible, elle ne devait pas avoir l’air d’en faire un drame. Thomas ne fait pas de remarque supplémentaire concernant son attitude et Ivy pouvait lui en être reconnaissante. L’air de rien il poursuivit la conversation, cherchant visiblement à la mettre à l’aise. "Oui c'est vrai .. Je n'ai que très peu d'amis. J'ai du mal à me mélanger aux autres, je me méfie énormément d'autrui !". Ivy hocha la tête, comprenant très bien ce qu’il voulait dire. Elle non plus n’avait pas beaucoup d’amis. Enfin c’était un peu étrange parce qu’elle avait fait partie, malgré sa timidité, des filles populaires que ce soit à l’école, au collège, au lycée et ensuite à l’université, elle n’avait jamais rencontré de problème parce qu’elle avait eu la chance d’être une amie très proche de la fille la plus populaire, ensuite sa gentillesse et sa bienveillance légendaire envers autrui avaient fait le reste et elle avait toujours été entourée. Et puis, sa vie, qui avait déjà commencé à partir de travers, s’était compliquée d’avantage, la mort s’était invitée un peu trop souvent dans son entourage et elle avait fini par partir en vrille elle aussi. Depuis son retour de Los Angeles, elle était plutôt seule. En réalité, elle avait peur de revoir ses fréquentations passées. Pas parce que c’était toutes de mauvaises personnes, bien qu’il était possible qu’il y ait parmi elles, de mauvaises influences, avec sa gentillesse et sa naïveté palpable, Ivy n’attirait pas que les personnes bien intentionnées évidements. Elle avait peur de les revoir parce qu’elle avait peur d’affronter son passé et aussi de devoir expliquer pourquoi elle avait disparu du jour au lendemain sans donner aucune nouvelle. Les rumeurs avaient dû aller bon train en plus de cela. Et puis, après le virage radical qu’avait pris sa triste existence, elle préférait rester seule, dans sa bulle, se confronter aux autres que ce soit des inconnus ou non, était un exercice difficile pour elle qui ne maîtrisait plus ses émotions. « C’est marrant… moi aussi mais tu as dû le remarquer… Tu es plus doué que moi pour cacher ta méfiance on dirait, tu devrais m’apprendre » Dès que les mots eurent quitté sa bouche, Ivy le regretta. Que lui avait-il pris de dire des choses comme ça ? Déjà il pouvait penser qu’elle le traitait d’hypocrite mais avec une certaine subtilité et ce n’était absolument pas son intention et ensuite, ce genre de proposition de sa part pouvait être si mal interprété. Elle avait brièvement baissé les yeux vers la table avant de sourire légèrement pour essayer de faire passer sa gêne. Surtout que pour être honnête, elle se méfiait des inconnus certes mais il n’était absolument pas difficile de gagner sa confiance et de s’attirer sa bienveillance excessive, elle était sans doute la personne la plus crédule de la ville et donc la plus facile à trahir. La blonde était parvenue à détourner un peu la conversation mais Thomas ne semblait pas très à l’aise pour parler de lui comme si, dans son passé sa cachait une blessure profonde. Elle pouvait le comprendre, elle était pareille et d’ailleurs, lorsqu’il lui retourna sa question, elle n’était pas franchement à l’aise et, comme à son habitude elle en dit beaucoup plus que ce qu’elle n’aurait voulu. Par chance, Thomas ne la questionna pas plus précisément. " Oh je vois ! J'adorerais aller faire un petit séjour à Los Angeles un jour ! ". Ivy avait sourit très légèrement, plus par réflexe que par envie. L’évocation de Los Angeles avait toujours un effet plutôt négatif sur elle contrairement à Thomas que visiblement cette ville enchantait.« Oui ça doit… enfin c’est… Il y fait beau et chaud... ». Cette phrase n’avait aucun sens et Ivy était encore plus confuse que précédemment. Plus la conversation avançait plus en enchaînait les boulettes et les choses étranges, Thomas allait finir par prendre la fuite en lui confirmant qu’elle était incapable de faire de nouvelles rencontres lorsque cela ne concernait pas exclusivement son cadre professionnel. En réalité, elle était incapable de dire autre chose sur Los Angeles. Si elle y avait été pendant de longs mois, elle n’avait jamais été à Hollywood, elle n’avait jamais marché sur Venice Beach comme le faisait bon nombre de touristes. Mais elle ne pouvait pas le dire à Thomas, elle avait rattrapé de justesse ce qu’elle allait dire pour corriger sa phrase qui restait tout de même étrange. Pour quelqu’un qui avait vécu dans la cité des anges, elle n’avait rien à en dire mais elle ne pouvait pas dire au jeune homme la raison qui l’avait envoyé à Los Angeles et que la seule chose qu’elle avait visité la bas c’était leur clinique psychiatrique mondialement réputée. Avant de poursuivre Thomas avait sourit et son sourire, pur et sincère, semblait communicatif puisque la jeune femme n’avait pas pu réprimer, elle aussi, un sourire plus franc lui faisant oublier, quelques secondes, son malaise." J'viens de San Francisco. J'ai pas eu une vie facile. J'voulais repartir du bon pied alors quoi de mieux que de changer de ville ? " Changer de ville pour changer de vie, il avait raison, quoi de mieux ? Mais cela demandait du courage, un courage qu’Ivy n’avait pas eu alors même qu’elle en aurait eu l’occasion si elle l’avait voulu. Elle, elle avait seulement changé de quartier et de métier, pas sûr que ce soit suffisant… « Je suis d’accord mais c’est très courageux de tout laisser comme ça pour changer d’environnement ! Bravo et j’espère que New York t’apporte et t’apportera ce que tu veux. Moi… j’ai simplement changé de quartier, j’ai été moins courageuse, je n’ai pas réussi à partir totalement dans l’inconnu. »  En disant cela elle s’excusait presque. Des excuses envers elle-même surtout. Souvent elle se demandait pourquoi elle s’était infligée la peine de revenir dans cette ville. Changer de quartier n’était pas suffisant, surtout que Brooklyn et le Queens étaient un peu des quartiers voisins. Mais elle était comme ça Ivy, souvent incapable de bouger malgré la douleur que lui infligeait les choses, les gens ou même les lieux. Elle était meurtrie, chaque coin de rue new-yorkais lui rappelait des souvenirs devenus douloureux avec le temps, même sans avoir à remettre les pieds dans le quartier de son enfance et pourtant elle était revenue…
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« Ré-illusionnée »
I'm laughing with my lover, making forts under covers, trust him like a brother, yeah, you know I did one thing right. Starry eyes sparkin' up my darkest night. My baby's fit like a daydream, walking with his head down. I'm the one he's walking to. So call it what you want
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Message Sujet: Re: Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1   Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1 - Page 2 Empty Mar 4 Aoû - 13:01



deux âmes en peine dans ce monde.
Parfois, tu as l'impression de ne pas être à la bonne période. Tu n'as as vraiment les mêmes priorités que les autres personnes de ton âge. Beaucoup de trentenaires sont déjà en couple, voire mariés et avec un ou plusieurs enfants. Ces choses ne font absolument pas parties de tes priorités. Tu aime ta solitude, ton indépendance. Quelle femme serait assez folle pour lier sa vie à la tienne et accepter de te donner un enfant. Tu n'es pas un mauvais garçon, t'es juste un homme bousillé par la vie. Tu n'as pas voulu tout ce qui t'es arrivé. Les abus sexuels de ton beau-père, ton agression suivi de ton séjour à l'hôpital. Tu n'as rien voulu de tout ça et pourtant, tu les as vécu. Ce qui ne te tue pas te rend plus fort. Depuis ton retour de San Francisco, tu as appris que la roue tourne. Ton beau-père est tombé, il est en prison. Tu as souris à l'annonce de cette nouvelle. Apparement, tu n'es pas le seul à avoir subit les attaques de ton beau-père. Il y a quelques jours, ta mère t'as appelé. L'avocat veut que tu t'émoigne contre lui. T'hésite. Tu ne sais pas si c'est une bonne idée ou pas. T'hésite, tu réfléchis beaucoup -trop. Tu vas devoir en discuter avec Ella. Elle est ta meilleure amie, elle te connait bien. Elle est donc plus à même à te conseiller sur la meilleure solution à prendre pour toi. En sortant prendre l'air, tu t'es retrouvé dans une petite boutique remplie de pâtisseries toutes plus délicieuses les unes que les autres. Tout ces gâteaux te font saliver. Tu as également fait la connaissance de cette petite serveuse. Elle ne semble pas très à l'aise face à toi. La serveuse est très jolie, son petit air réservée te plait beaucoup, elle t'attire. Tu viens même oser à l'inviter à prendre sa pause avec toi, dégustant une part de cheesecake que tu lui offre bien évidement. Ivy, très joli prénom qui lui va à ravir. Tu remarque déjà des similitudes entre la jeune serveuse et ta petite personne. Réservés, pudiques, vous n'avez que très peu de confiance en vous. Elle te touche. Normalement, tu ne devrais pas t'intéresser à elle. Tu ne devrais rien an avoir de savoir si elle est heureuse ou non. Tu n'es pas méchant. En plus d'être agoraphobe, tu es quelqu'un de très empathique. Tu ne supporte pas voir un inconnu dans la rue triste, malheureux. Assis l'un en face de l'autre, tu commence à couper un petit morceau de gâteau. Tu le déguste lentement, un sourire apparait sur ton visage. "C'est vraiment délicieux !" T'exclame-tu avant d'en reprendre encore une bouchée. Si Ivy t'avais rencontré avant que tu n'apprenne l'incarcération de ton beau-père, elle aurait connue un tout autre garçon. Un homme ayant peur de tout et de tout le monde. Elle ne t'aurais d'ailleurs probablement jamais rencontré. Si tu es sortis aujourd'hui c'est avec un bon coup de pied au derrière. Tu n'as que trente-trois ans, t'es jeune encore. Tu as encore plein de choses à vivre. Dans la vie, tout est possible. Tout est une question de volonté. "C'est peut-être pour ça que c'est facile de parler avec toi, on est pareils !" Bien sûr que c'est un compliment. Tu ne connais absolument rien de la jeune femme et, déjà, tu te sens proche d'elle. "T'apprendre à être moins méfiante ? Je ne suis encore qu'un novice dans ce domaine. Habituellement, je ne sors pas de chez moi. Je l'ai fait avec un bon coup de pied aux fesses." Ce n'est pas vraiment la meilleure solution d'agir de la sorte sauf que, parfois, c'est nécessaire de se botter le derrière. "Mais je serais ravi de t'aider si tu le désire vraiment. Tu vas au cinéma des fois ?" C'est un des rares plaisirs que tu t'autorise, tu serais honoré de pouvoir invité la demoiselle à une séance de cinéma un de ces soirs. "Je te proposerais bien d'aller manger un morceau puis d'aller au cinéma mais on va commencer doucement. Un cinéma, juste toi et moi, ça te tente ?" Viens-tu lui demander, espérant de tout coeur qu'elle accepte ton invitation. Les refus t'en as l'habitude, t'es un expert en la matière depuis de très nombreuses années. Qu'il fasse beau et chaud ou bien froid, tu t'en moque un peu. Tu as envie de voyager à travers le monde, de découvrir tout ce que la planète Terre a à vous offrir. Tu viens brièvement lui parler de toi, d'où tu viens et de ton arrivée à New-York. Le choix de la ville a été difficile à faire. Tu voulais un endroit suffisamment éloigné de lui et aussi, une ville où tu pourrais vivre caché des autres. Une ville assez grande, très peuplée, là où tu pourrais te fondre dans la masse sans aucun soucis. "C'est déjà pas mal. Certains n'ont même pas le courage de déménager, juste pour changer de quartier. Le plus important c'est que tu te sente bien là où tu es actuellement et .. c'est le cas ?" Ose-tu lui demander, très indiscrètement. Tu l'aime bien la petite serveuse, quelque chose te pousse à dire que tu vas souvent revenir dans cette pâtisserie rien que pour la voir. "As-tu des talents cachés ? Je suis sûr que tu es doué pour la pâtisserie ?!!" Dis-tu en venant essuyer une petite trace de gâteau aux coins des lèvres de la blonde.

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Message Sujet: Re: Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1   Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1 - Page 2 Empty Jeu 6 Aoû - 18:40





Deux âmes en peine dans ce monde

feat. @thomas farrel




La conversation avec le jeune homme n’était pas difficile. Ivy était gênée, bien évidement, elle ne pouvait pas changer si facilement sa nature mais Thomas, malgré ce qu’il avançait concernant sa timidité semblait, lui, plutôt à l’aise et poursuivait la discussion au gré de ce qui lui passait par la tête. Malgré sa timidité maladive, Ivy était bavarde une fois lancée, du moment que le sujet n’était pas trop sensible pour elle. Son réel problème c’était que beaucoup de sujets, même les plus banales en apparence, pouvaient devenir brusquement sensibles pour elle, lorsque trop de mauvais souvenirs lui revenaient en tête et c’était quelque chose qu’elle ne pouvait pas contrôler, comme ses émotions, même si elle essayait de toutes ses forces. C’était aussi pour cela qu’elle s’était construit de telles barrières, pour s’éviter de souffrir à outrance, à la moindre occasion. Elle n’était pas prêt de se débarrasser de ses démons alors elle avait dû trouver une solution pour essayer de se protéger. Elle était trop emphatique, depuis toujours, mais avec les derniers évènements qui étaient venu émailler sa vie, cette partie de sa personnalité qu’elle n’arrivait pas à contrôler était devenue une véritable torture au quotidien, si bien que fuir les autres et leurs éventuels malheurs était devenu, rapidement, la solution de facilité qu’elle privilégiait car elle savait que face à une personne en souffrance, elle n’était pas capable de garder ses distances et qu’elle ferait très rapidement des problèmes d’autrui, les siens. Parfois, comme aujourd’hui avec Thomas, elle n’avait pas vraiment le choix, elle ne pouvait pas fuir et, même si elle essayait de résister, elle sentait ce qui se dégageait du jeune homme et elle ne pouvait pas s’empêcher de faire de ses sentiments douloureux, les siens, sans même savoir ce que cela concernait, sans même le connaître. Il avait beau donner le change, ne pas avoir l’air au bord du gouffre, Ivy sentait quelque chose de terrible qui émanait de lui et elle savait qu’il n’était pas raisonnable d’en apprendre plus si elle voulait se préserver. Seulement, maintenant qu’elle était assise en face de lui, elle ne trouvait plus la force de fuir. Et puis il était gentil ce Thomas. Il lui payait gentiment un goûter pendant sa pause et il lui faisait la conversation, la sortait un peu de sa routine. Elle pouvait bien faire un effort pour aujourd’hui en essayant de ne pas écouter les voix qui se battaient dans sa tête, l’une lui criant qu’elle devait aider cet inconnu, trouver ce qui n’allait pas chez lui et le soulager de toutes ses souffrances ou du moins essayer, quitte à s’en faire souffrir plus que de raison, l’autre lui hurlait de faire attention, de rester sur ses gardes, de se protéger en fuyant. Partagée, elle restait assise et se laissait porter par la conversation."C'est vraiment délicieux !". Ivy avait hoché la tête avec un certain enthousiasme. Ça n’était pas la première fois qu’elle gouttait ce cheescake, elle l’avait même déjà fait elle-même en suivant la recette de Jo’ et elle savait qu’il était excellent mais elle appréciait toujours entendre des compliments sur les pâtisseries qu’elle vendait.« Oh merci, je transmettrais au patron, ça lui fera plaisir, c’est sa recette ! » Joseph recevait des compliments sur ses pâtisseries ou sur ses boissons à longueur de journée mais, à en juger par le sourire que cela lui donnait à chaque fois, il n’avait pas l’air de s’en lasser. Joseph n’avait pas eu de formation particulière, c’était simplement un passionné, un amoureux de la nourriture et il cuisinait toujours avec tout son cœur et c’était ce qu’Ivy aimait chez lui, elle espérait un jour pouvoir lui arriver, ne serait ce qu’à la cheville, faire des gâteaux aussi bons que les siens et élaborer ses propres recettes. Plus lentement que Thomas, Ivy s’était aussi mise à déguster sa part de gâteau. Aussi bon qu’à l’habitude. " C'est peut-être pour ça que c'est facile de parler avec toi, on est pareils ! ". Il trouvait cela facile de parler avec elle ?! Elle ne lui facilitait pourtant pas la tâche avec son air gêné en permanence, elle ne savait pas ou se mettre et c’était probablement visible comme le nez au milieu de la figure. Elle avait légèrement rougie, ne mettant pas en doute une seconde la parole de Thomas. « Tu trouves vraiment que c’est facile de parler avec moi ? Je ne t’aide pas trop pourtant...  ». Dans la bouche d’Ivy cela sonnait encore comme des excuses, des excuses pour être celle qu’elle était mais c’était également un remerciement. Thomas ne s’en doutait certainement pas le moins du monde mais ce qu’il venait de dire faisait du bien à Ivy, lui mettait un peu de baume au cœur, elle qui pensait que, lorsque les gens discutaient avec elle, c’était plus par pitié ou obligation que par réelle envie." T'apprendre à être moins méfiante ? Je ne suis encore qu'un novice dans ce domaine. Habituellement, je ne sors pas de chez moi. Je l'ai fait avec un bon coup de pied aux fesses. Mais je serais ravi de t'aider si tu le désire vraiment. Tu vas au cinéma des fois ? " Quelque part Ivy était admirative de son interlocuteur. Elle était bien incapable de se mettre un coup de pied aux fesses. En fait, elle avait déjà essayé, elle avait essayé de refouler ses émotions, ses sentiments, ses peurs mais à chaque fois cela c’était mal terminé, elle avait fini débordée par ses émotions, dans un état qui lui avait fait regretté de s’être forcé malgré les médicaments qu’elle absorbait pour essayer de calmer son cerveau agité. « Félicitations pour avoir réussi à sortir aujourd’hui, comme on dit chaque chose en son temps et on avance à petit pas. Heu… j’aime bien le cinéma mais je n’y ai pas été depuis longtemps… je préfère regarder les films chez moi...  » Ivy pouvait être philosophe quand elle le voulait mais ça n’allait pas plus loin que des paroles, elle était encore incapable de mettre ses pensées en pratique malgré un travail de fond avec ses médecins, depuis de longs mois maintenant. Elle n’acceptait pas ce qui lui était arrivé et elle stagnait, c’était difficile à accepter. Quant au cinéma, oui elle aimait ça mais sortir de chez elle, seule, et aller au cinéma était une épreuve dont elle ne se sentait pas encore capable. Elle avait bien trop peur de tout et de tout le monde, surtout du regard des autres qui allait la voir comme une pauvre fille seule et paumée. Elle n’était pas prête à affronter tout cela, elle préférait la calme et la sécurité de son appartement. " Je te proposerais bien d'aller manger un morceau puis d'aller au cinéma mais on va commencer doucement. Un cinéma, juste toi et moi, ça te tente ? " Elle resta interdite quelques secondes, sentant son coeur s’emballer. Depuis sa sortie de l’hôpital elle n’avait jamais été invitée nulle part, par qui que ce soit, elle évitait à tout pris de se retrouver dans cette situation sachant qu’elle ne savait pas refuser. Elle savait qu’elle devait prendre sur elle, que c’était une occasion de progresser mais tous ses voyants d’alertes s’étaient allumés dans sa tête et elle se sentait tiraillée, débordée par tout un tas d’émotions trop intenses pour elle. « Heu… Oui… pourquoi pas… Je te laisse choisir le film, je ne suis pas difficile » Elle avait ajouté la fin de son propos pour ne pas donner l’impression d’être complètement folle après avoir bafouillé comme une idiote pour simplement répondre à cette invitation. Elle était tétanisée, paralysée par sa peur et ses inquiétudes, elle n’en dormirait probablement pas pendant plusieurs nuits mais elle avait accepté. " C'est déjà pas mal. Certains n'ont même pas le courage de déménager, juste pour changer de quartier. Le plus important c'est que tu te sente bien là où tu es actuellement et .. c'est le cas ? " Ivy s’était sentie soulagée, quelque part, d’entendre un inconnu lui dire qu’elle était courageuse même si elle n’avait pas pu changer de ville. Dans quelques minutes la culpabilité reviendrait certainement, elle en avait l’habitude. A chaque séance avec son psychologue ou son psychiatre, les médecins essayaient de lui faire prendre conscience de ces progrès car, même s’ils étaient infimes, elle en faisait. Ivy était alors fière d’elle l’espace de quelques secondes avant de replonger à chaque fois un peu plus profondément, emportée par le cercle vicieux dans lequel elle était prise au piège. Pourtant, elle ne s’en rendait pas compte mais, du chemin, elle en avait déjà fait beaucoup. Ensuite, la question de Thomas la laissa un peu perplexe. Est ce qu’elle se sentait bien là ou elle était maintenant ? Chez Jo’, évidement qu’elle se sentait bien, chez elle, dans son appartement, elle était bien aussi, du moins il n’y avait rien de cela qu’elle voulait faire changer mais se sentir bien… Elle n’en était pas sûre, c’était un concept vague et tellement flou pour elle. Elle vivait dans une souffrance perpétuelle, elle était meurtrie par le passé duquel elle était prisonnière et qui l’empêchait de vivre son présent, elle ne faisait que survivre depuis plusieurs années maintenant. Mais tout cela c’était des choses qu’elle ne pouvait pas dire, elle n’en était pas capable et puis personne n’avait besoin de savoir ce qu’elle avait dans la tête. « Ici ? Oui je me sens bien, chez moi aussi, c’est pas le grand luxe mais c’est suffisant pour moi.. et pour Socrate, mon chat. » En réalité, l’appartement dans lequel logeait Ivy était tout à fait correcte pour le quartier, moins luxueux que lorsqu’elle vivait à Manhattan certes mais c’était une volonté de sa part. Elle n’avait en tout cas pas à se plaindre et Socrate, son compagnon à quatre pattes, n’avait pas l’air mécontent non plus d’avoir trouvé un endroit où il pouvait s’étaler dans les plaids et les coussins toute la journée, en toute sécurité. " As-tu des talents cachés ? Je suis sûr que tu es doué pour la pâtisserie ?!!" Elle était en train de réfléchir à sa réponse et à ses éventuels talents cachés, qu’elle avait bien du mal à trouver d’ailleurs, quand le geste de Thomas la coupa complètement. A nouveau elle se crispa et les pensées s’entrechoquaient dans son esprit. Les jambes lourdes, elle était incapable de se lever, elle devait se calmer. Thomas n’avait certainement aucune mauvaise intention derrière la tête, elle devait faire taire ses pensées à tout pris, elle ne voulait pas que Thomas puisse prendre mal quoi que ce soit dans sa réaction même si celle ci était certainement démesurée. Discrètement elle pris une profonde inspiration pour répondre, essayant de paraître le plus naturelle possible. « Je ne sais pas si c’est un talent caché… mais oui je me débrouille en pâtisserie… du mois j’arrive à suivre les recettes on va dire… » Elle n’avait rien ajouté d’autre parce qu’elle ne se trouvait pas réellement d’autre talents. La pâtisserie était une véritable passion pour elle et un remède contre sa maladie, c’était un moyen pour elle d’avoir l’esprit et les mains occupés à réaliser quelque chose, de se prouver aussi qu’elle était capable de faire les choses biens. Elle n’avait pas de formation mais pour elle ce job n’était pas qu’une passade, elle se sentait plus à sa place qu’elle ne l’était dans son ancien métier, la cuisine de Jo’ était d’ailleurs le seul endroit où elle avait l’impression d’être réellement à sa place. Gênée que l’attention soit focalisée sur elle, elle ne pu s’empêcher de retourner la question à Thomas« Et toi ? Tu as des talents cachés … ou pas cachés d’ailleurs » Elle avait sourit, laissant transparaître toute sa bienveillance malgré son malaise toujours palpable.

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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1   Deux âmes en peine dans ce monde. Thomivy #1 - Page 2 Empty Ven 28 Aoû - 13:05



deux âmes en peine dans ce monde.
Ivy semble gênée de se trouver en face de toi, à la même table, en train de discuter et déguster une part de cheese cake. Tu n'as pas habitude de t'attarder sur les différentes personnes qui croisent ton chemin. Habituellement, tu recoqueville la tête dans tes épaules et avance sans faire attention aux personnes qui t'entourent. Tu sais très bien ce que peut ressentir la jeune serveuse, il fut une époque où tu étais comme elle. Timide, renfermé. Incapable de parler à qui que ce soit. Tu t'es mis un bon coup de pied aux fesses et, parfois, t'arrive à parler à certaines personnes. C'est encore rare cependant. Empathique, tu sens qu'Ivy est différente des autres. Tu ne réfléchis pas à un sujet de conversation, tu laisse les mots sortirent d'entre tes lèvres sans prendre le temps de les analyser. Peut-être que cela n'a aucun sens, peut-être que tu vas créer un énorme malaise entre la serveuse et toi. Ça ne t'étonnerait pas. Thomas, le boulet, c'est toi. Tu parle, tu parle, tu parle. Tu ne cesse de parler afin de ne laisser aucun blanc, aucun silence gênant prendre part à votre conversation. Tu refuse de parler de toi, ou du moins, tu n'entre pas dans les détails. Pas question qu'elle puisse découvrir ce que ton beau-père t'as fait. Pas tout de suite du moins. Tu ne sais même pas si tu vas revoir la petite serveuse, tu aimerais bien. Tu l'apprécie et puis, tu le sens qu'elle doit être une belle personne. Ivy est déjà très mignonne d'apparence, tu souhaiterais vraiment apprendre à connaitre la demoiselle. Savoir qui elle est là à l'intérieur. Tu viens déguster le cheese cake confectionné par les pâtissiers en arrière boutique. C'est vraiment délicieux et pour un grand fan de sucré comme lui, c'est un régal pour le palais. Tu ne sais malheureusement pas cuisiner aussi bien que ce Jo. Tu sais déjà faire cuire des pâtes et du riz, c'est pas mal déjà. Vivre chez Ella est déjà difficile, mais si en plus tu rajoute à cela ton incapacité à lui faire la cuisine, tu n'es vraiment pas une belle personne. Très souvent, vous commandez différents mets. Ça dépanne, c'est très pratique il n'y a pas à dire. Bien que souvent ça ne soit pas très sain, gustativement parlant. Comme si tu faisais attention à ton poids, à ta ligne ?! Non, tu n'es vraiment pas comme ça. Tu te fiche de prendre des kilos. Tu te fiche de manger des légumes, des graines ou bien des burgers. Tu mange ce qui te fait envie sans te poser trente-six milliards de questions. "J'mattarde pas sur les gens en général, tu sais. Mais toi, tu m'as l'air d'une personne bien." Tu ne saurais expliquer pourquoi mais, pour toi, Ivy vaut le coup d'être connue. Tu as énormément d'empathie envers les gens mais surtout envers la jeune femme. Tu as envie de la protéger, de veiller sur elle. Ivy semble encore moins à l'aise que toi envers les autres clients de sa boutique. Ivy souhaite que tu lui donne des cours afin d'être moins méfiante envers les autres. Tu n'es encore que novice dans ce domaine, toutefois, tu peux très bien l'aider et qu'elle t'aide en retour. Rien ne vous en empêche. "Et si on s'entraidait ?" Tu viens lui lancer. Les gens te font peur, tu n'arrive que de très rares fois à aller vers les autres. Pour venir oser engager la conversation avec cette petite serveuse, il a fallut te battre avec ta propre conscience. Toi, tu ne voulais pas et puis, finalement, c'est ta conscience qui a gagné. Allez Thomas ! Vas-y ! Elle ne mords pas ! Elle est comme toi, elle a peur d'autrui ! Va lui parler, tu ne le regretteras pas ! Ne cesse de te répéter la petite voix dans ta tête. Ce n'est jamais bon signe d'entendre une voix dans sa tête, pour le moment, elle ne te veux pas de mal. Ta conscience te souhaite simplement d'aller de l'avant, d'aller vers les autres. Elle veut que tu ailles mieux, comme Ella en fait. Elle ne veut que ton bien. Pour commencer sa réinsertion, tu y vas tout en douceur. Il commence par lui proposer une séance de cinéma. Tu verras suite à ça comment elle se sent et si un petit repas a fast food du coin est envisageable. "C'est quoi ton genre de film préféré ? Horreur ? Action ? Comédie ? Romance ?" Tu n'as pas de genre particulier de film que tu aime, tu vas tous les voir et, bien souvent, tu tombe sur des navets. On est tous courageux à un moment donné. On fait tous preuve de courage à un moment de notre vie. Toi, tu as eu le courage de changer de ville et de vie. Ivy, elle a fait preuve de courage en changer simplement de quartier. C'est déjà pas si mal. Ta main vient se poser sur celle de la jeune femme, tu lui lance un petit sourire afin de la mettre encore un peu plus à l'aise. "Qui a dit qu'on avait besoin de luxe pour vivre ? Et puis, tu as au moins un toit au-dessus de la tête !" Pas comme toi, tu vis encore sur le canapé de ta meilleure amie depuis deux mois. Ça commence à être long. Tu es jaloux quand elle dit avoir un chat. T'as toujours voulu en avoir un, ta mère n'a jamais sauté le pas sous prétexte qu'un animal c'est une responsabilité. Certes, elle a raison mais ça tient énormément compagnie. "J'espère qu'un jour tu me feras visiter ton chez toi et que je rencontrerais Socrate !" Oups, le rouge sur les joues, tu ne sais plus où te mettre. Dommage que tu ne puisse pas rentrer sous terre. Ivy avoue être une assez bonne pâtissière, ou du moins suffisamment pour suivre une recette. Ta main caresse lentement celle de la blonde, tu continue de lui sourire ne lui voulant absolument aucun mal. "Moi ? J'étais doué pour la danse autrefois mais j'ai pas pratiqué depuis des lustres .. je me débrouille pas trop mal en peinture aussi, c'est pas du Picasso mais je me débrouille .." Tu viens lui confier, haussant les épaules. Les minutes passent, tu ne veux pas que ce premier entretient se termine. Qui dit premier dit forcément second. Tu es pressé de faire cette séance de cinéma avec elle, t'es juste pressé de la revoir autre part que dans sa boutique de pâtisserie.

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Deux âmes en peine dans ce monde

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Thomas avait beau prétendre être un grand timide, renfermé sur lui même, quelqu’un qui, comme elle, avait de la difficulté à s’ouvrir aux autres, à discuter, il était très à l’aise face à elle. C’était assez difficile à croire surtout face à elle qui avait la fâcheuse habitude, par ses réactions souvent incompréhensibles, sa sensibilité à fleur de peau qui risquait de la faire exploser d’un moment à l’autre, cela ne facilitait pas la discussion avec elle. Elle se connaissait, de moins elle commençait à connaître celle qu’elle était devenue après ce qui pouvait s’apparenter à sa descente aux enfers, son passage à vide de plusieurs mois, et elle savait qu’elle était instable émotionnellement parlant ce qui rendait difficile, pour elle, de tenir une conversation même très banale. Pourtant, lorsqu’elle se sentait en confiance, comme cela pouvait être le cas avec Joseph, qu’elle savait que, même si elle se mettait à pleurer subitement, sans préavis, elle ne serait pas jugée, elle pouvait être un vrai moulin à parole. Mais, de peur d’exploser, de passer, une fois de plus, pour une folle, elle préférait éviter de se retrouver seule face à des inconnus, obligée de parler pour ne pas paraître encore plus bizarre. C’était extrêmement difficile pour elle, fatiguant, car elle devait toujours rester vigilante, son attention et tout ses sens étaient en alertes et elle se sentait toujours nerveuse. Thomas ne lui avait pas vraiment laissé le choix. Enfin si, elle aurait pu refuser l’invitation, prétexter qu’elle avait trop de travail à faire en arrière boutique en l’absence d’autres clients mais elle était incapable de refuser les propositions, elle ne savait pas dire non. Thomas, lui, ne le savait pas, et certains ne le savaient que trop bien et en profitaient allègrement. Depuis qu’elle était installée en face du jeune homme, Ivy luttait pour ne pas prendre ses jambes à son cou et pour poursuivre la conversation en paraissant le plus normale possible. Faire taire les petites voix dans sa tête n’étaient pas chose aisée, d’autant que celle qui lui hurlait de faire attention, qu’elle devait se méfier de ce Thomas, qu’elle ne devait laisser personne entrer dans sa vie était très dominante dans son crâne. Mais, pour le moment, elle était plutôt fière d’elle, elle réussissait à tenir la conversation et elle n’avait pas pleurer, ou pas encore peut être, elle ne devait pas crier victoire trop tôt, elle le savait pour en avoir déjà fait l’expérience assez traumatisante. En attendant, elle apprenait à connaître Thomas, son nouveau client, juste de passage ou, peut être qu’il reviendrait prendre un café en passant devant la boutique, seul l’avenir détenait cette réponse.
" J'mattarde pas sur les gens en général, tu sais. Mais toi, tu m'as l'air d'une personne bien. ". Le brun était venu lui confier ses mots comme un aveu et immédiatement Ivy baissa les yeux, elle manqua de laisser tomber la cuillère qu’elle tenait dans sa main. Elle avait beaucoup de mal à accepter les compliments, elle pensait ne jamais les mériter en réalité. Les mots de Thomas la touchaient profondément et elle se sentait toute chamboulée, sans chercher à savoir s’il les pensait vraiment, il aurait pu lui mentir, Ivy était tellement naïve qu’elle ne remettait que rarement en doute ce qu’elle pouvait entendre. Elle ne voulait pas le mettre mal à l’aise, elle devait répondre et ne pas laisser un silence trop pesant s’installer. Mais elle ne savait pas quoi répondre à ce qu’il venait de dire. La voix hésitante elle repris la parole avec douceur. « Je… Merci… Je fais de mon mieux, tous les jours, pour être quelqu’un de bien. » Elle avait tenté de relever les yeux vers Thomas et de lui sourire avec douceur en terminant sa phrase. Sa voix avait tremblé, les larmes n’étaient pas loin et elle priait silencieusement pour que le jeune homme n’ai pas remarqué cela. Elle avait honte d’être si sensible. Ce qu’elle avait dit venait du plus profond de son être. Ivy avait toujours été une fille gentille et bienveillante mais, depuis qu’elle était revenue à New-York, après son hospitalisation, elle essayait, chaque seconde de chaque jour, d’être quelqu’un de bien. Elle avait trop de culpabilité en elle, trop de chose pour lesquelles elle s’en voulait terriblement, cette culpabilité la rongeait et lui avait causé des blessures, profondes, jusqu’à l’os qui ne se refermaient pas. La seule solution qu’elle avait trouvé pour apaiser un peu sa peine et pour essayer de combler le vide qu’elle sentait en elle et estomper la culpabilité, c’était de se consacrer aux autres, d’aider à chaque fois que l’occasion se présentait, de faire le bien dès qu’elle le pouvait. " Et si on s'entraidait ? ". Ivy avait sourit à la proposition du jeune homme. L’entre aide , voilà une notion qui lui parlait. Aider c’était quelque chose qu’elle aimait faire. Elle ne savait pas ce qu’elle pouvait faire pour le jeune homme mais la perspective lui plaisait, sourire aux lèvres elle répondit sans attendre. « Avec plaisir ! Heu… Par contre à part faire des pâtisseries je ne sais pas trop ce que je pourrais t’apporter. ».
Elle avait commencé sa phrase avec entrain mais elle avait terminé en baissant les yeux. C’était aussi ça Ivy, parfois elle se sentait capable de soulever des montagnes et, la seconde d’après elle était vide et ne voyais pas comment s’en sortir. Thomas avait ensuite enchainé avec sa première idée pour l’aider à être moins méfiante, pour l’aider à reprendre une vie plus normale. Il ne savait sans doute pas dans quoi il s’embarquait et Ivy ne pouvait pas lui dire ce qu’elle avait au fond d’elle, c’était trop tôt encore et surtout elle n’était pas capable d’en parler, pas même à des médecins. Mais le brun avait le gentillesse d’essayer, sans poser plus de questions et elle ne pouvait que lui en être reconnaissante. Accepter une sortie au cinéma avec une personne presque inconnue n’était pas chose facile pour elle, elle savait qu’elle avait se poser des millions de questions avant de se retrouver seule dans la salle de cinéma avec Thomas, elle voudrait sans doute annuler un bon nombre de fois mais elle ne devait pas lui faire ça, elle devait continuer dans la voix dans laquelle elle s’était lancée. Thomas n’allait pas lui faire de mal, elle essayait de s’en convaincre, il avait l’air si gentil, il était si doux, il ne pouvait pas cacher de mauvaises intentions derrière cette apprarente bienveillance. " C'est quoi ton genre de film préféré ? Horreur ? Action ? Comédie ? Romance ? " C’était une bonne question. Ivy n’avait pas vraiment de style de films préféré. En général, elle lisait le résumé et s’il lui plaisait, elle regardait le film sans faire attention à la catégorie à laquelle il appartenait. En grand romantique, elle aimait les romances, les films sentimentaux mais elle ne pouvait pas les regarder sans verser toutes les larmes de son corps, c’était donc plutôt un genre à éviter. Concernant les films d’horreur, elle aimait ça, elle en avait beaucoup regardé avant, mais maintenant, son esprit était déjà assez torturé sans en rajouter. Après réflexion, elle répondit, essayant de paraitre sure d’elle. La question était banale, aucune raison d’hésiter. « Je n’ai pas vraiment de genre de film, je regarde de tout. J’aime bien les films d’action, les films historiques aussi. Et j’aime bien les dessins animés aussi. » Il allait peut être la prendre pour une gamine mais tant pis, elle avait sentit le besoin de rajouter cette dernière phrase à sa réponse. C’était honnête, elle adorait les dessins animés, c’était une inconditionnelle des animés Disney d’ailleurs, elle n’en ratait jamais un. Elle espérait qu’avec ça, Thomas pourrait choisir un film sans difficulté.  " Qui a dit qu'on avait besoin de luxe pour vivre ? Et puis, tu as au moins un toit au-dessus de la tête ! " Il avait tout à fait raison. Ivy avait grandit en banlieue de New York, sa famille n’était pas pauvre, elle n’était pas riche non plus. Ensuite, elle avait vécu de manière un peu plus aisée et, depuis son retour, elle vivait assez simplement. Son salaire chez Jo’ n’était pas mirobolant mais il était suffisant pour payer son loyer et s’acheter à manger. Elle aurait pu vivre mieux si elle l’avait voulu puisque suite au décès de son père, puis de son frère, elle avait touché une certaine somme de par les assurances que ces derniers avaient souscrits en sa faveur et en la faveur de sa mère. Mais elle préférait ne pas trop toucher à cet argent, c’était encore trop douloureux pour elle rien que de penser à la manière dont il s’était retrouvé sur son compte bancaire. « Oui tu as raison, j’ai un endroit ou dormir et de quoi manger dans mon assiette. Certains n’ont pas cette chance ! » La blonde avait sourit avec douceur. Elle appréciait la mentalité de Thomas qui transparaissait derrière cette phrase. Certaines personnes étaient réellement malheureuses, Ivy n’avait pas le droit de se plaindre. Elle culpabilisait d’ailleurs régulièrement de s’être retrouvé à l’hôpital pour ce qu’elle considérait comme une problème de ‘riche’, une caprice de gamine. Elle considérait toujours ses troubles comme quelque choses qu’elle aurait pu éviter. Certaines personnes avaient beaucoup moins de chance qu’elle et elle, elle se lamentait. Voilà pourquoi elle avait, entre autre, à coeur d’aider les autres, ceux qui avaient pour de chance qu’elle. " J'espère qu'un jour tu me feras visiter ton chez toi et que je rencontrerais Socrate ! " Aussitôt Thomas avait rougit et Ivy avait baissé les yeux face à cette réaction du jeune homme. Elle ne prenait pas mal ce qu’il venait de dire. S’ils devenaient amis , il aurait certainement l’occasion, un beau jour, de venir chez elle, ne serait ce que quelques minutes. Ivy avait du mal à laisser les gens entrer chez elle, c’était son cocon, sa bulle où elle pouvait être elle même et relâcher toute la pression que lui infligeait le simple fait de vivre en société, elle pouvait laisser toutes ses manies, tout ses tics s’exprimer sans avoir peur, elle pouvait également pleurer pendant des heures sans raison. « Peut être, qui sait. » La jeune femme s’était efforcée de répondre avec douceur, elle voulait rassurer Thomas. Elle n’avait pas l’habitude de voir le mal partout et cette fois ne faisait pas exception quand bien même Thomas était un homme et qu’elle venait à peine de le rencontrer. Elle n’imaginait pas que l’on puisse avoir de mauvaises pensées la concernant. Elle était toujours aussi mal à l’aise avec le contact de la main du jeune homme sur la sienne mais, lorsqu’elle sentit la légère caresses de l’un de ses doigts sur sa main, elle se sentit rassurer parce que c’était un signe qu’il reprenait de la contenance pour continuer la conversation. " Moi ? J'étais doué pour la danse autrefois mais j'ai pas pratiqué depuis des lustres .. je me débrouille pas trop mal en peinture aussi, c'est pas du Picasso mais je me débrouille .." Elle avait écouté avec attention ce que lui disait le jeune homme. La danse, la peinture, c’était donc apparement un artiste. Elle n’était pas vraiment étonné, cela expliquait la sensibilité qu’elle pouvait sentir chez le brun. Elle avait sourit en reprenant la parole.  « Autrefois ? Tu ne peux plus danser maintenant ? Tu me montreras tes peintures un jour ? Je te rassure, je ne suis pas une grande fan de Picasso ! » La blonde avait légèrement rit en terminant sa phrase. Il fallait bien avouer que les oeuvres de Picasso étaient spéciales. C’était un très grand peintre, il avait créé un mouvement mais Ivy, même si elle reconnaissait le talent, préférait les peintures plus réalistes. Elle s’était bien gardé de dire qu’elle faisait un peu de dessin, elle avait commencé pendant son hospitalisation, tout comme elle s’était perfectionné en pâtisserie au point de se découvrir une véritable passion, à ce moment là. Elle avait une certaine sensibilité artistique puisqu’elle écrivait un peu aussi, plutôt à des fins thérapeutiques d’ailleurs, et Thomas semblait avoir cette fibre là en commun avec elle. Soudain la cloche située au dessus de la porte de la boutique retentit et un client, un habitué des lieux fit son entrée. Ivy se leva, salua le nouveau venu et, après avoir récupéré un stylo, elle nota son numéro de téléphone sur l’un des serviettes en papier à l’effigie du magasin puis elle la tendit à Thomas. « Je dois y aller, le devoir m’appelle. Tiens, voilà mon numéro de téléphone, envoie moi un sms quand tu seras disponible pour aller au cinéma. » Pour le coup, elle n’avait pas vraiment réfléchie à ce qu’elle avait fait en donnant son numéro de téléphone à Thomas. C’était encore un parfait inconnu il y a quelques minutes de cela. Ils avaient appris à se connaître mais de manière superficiels, évidement, puisqu’ils n’avaient finalement passé qu’un bref instant ensemble. Seulement Ivy n’avait pas l’impression que cela pouvait être dangereux, elle essayait de reprendre un semblant de vie normale et elle avait l’impression que cela en faisait partie. Après un dernier sourire, elle salua Thomas avant de retourner vers le comptoir, après avoir débarrassé les assiettes et les verres vides, pour prendre la commande du client qui observait la vitrine avec envie.
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