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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Lun 7 Oct - 6:44



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
C'est compliqué, pour toi que d'écouter Gabriel te faire des compliments sur ton apparence. Pendant des années, t'as détesté ta ganache et l'enveloppe qui suivait. T'étais pas forcément très remplumée, mais t'avais de bonnes formes à l'époque. Tu complexais rapidement à la moindre remarque ou lorsque tu voyais Anya toujours aussi jolie dans ses vêtements serrés là ou tu préférais à l'époque d'ample treillis ou autres pantalons larges. Tu t'proclamais skateuse, graffeuse à tes heures perdues et apprentie tatoueuse à la langue bien pendue. Parce qu'au final c'est tes maîtres d'apprentissages qui ont essuyés le gros de ton mal-être. C'est c'est deux barjots qui ont étés assez fous pour te prendre sous leurs ailes pour mieux t'y nicher et y trouver un peu de confort. Ils ont su te montrer à quel point le travail était reconnu lorsqu'il était fournit avec implication. T'avais pas le temps de faire forcément à toi, d'passer ton temps à suivre la mode ou a traîner dans les magasins. De toute façon, t'avais pas l'argent pour te saper. Tu récupérais par ci ou par là. Faut dire qu'être issu d'un quartier pas favorisé facilite le rapprochement humain alors t'as récupéré des trucs déjà portés, rapiécés. Ça explique sûrement ton goût prononcé pour les friperies, quant t'y penses.

"Arrêêête!" Tu menaces faussement alors qu'il rajoute toujours plus une couche sur le fait que t'es pas jolie, t'es belle. Tu rougis Jo', tu peux le sentir au picotement sur le haut de tes pommettes et à la chaleur venant s'éprendre de ses dernières. "C'toi qu'est beau à crever 'tain fais chier là sér' quoi." Tu marmonnes faiblement dans ton absence de barbe alors que t'as finalement rejoint ta cuisine en s'extirpant de sa vue. Tu tentes de camoufler la gêne que tu peux ressentir face autant de gentillesses de sa part. Vous êtes pas vraiment du genre à vous jeter des fleurs tous les deux bien au contraire vous êtes de ceux qui se balancent des mots durs. Des choses blessantes que vous ne voyez pas forcément comme tel ou bine que vous ne contrôlez pas forcément lorsque les âmes s'échauffent. Tu t'noies un instant dans le whisky, juste ce qu'il te faut pour affronter l'encré à nouveau et chasser le rouge teintant ton visage après des mots si doux. T'aimes pas les compliments, les seuls que tu sais accepter sont ceux sur ton travail. En ce qui concerne ta personne, t'es bien plus dure et sans pitié. Alors tu peux pas le laisser, dire de telles choses. Si t'étais vraiment belle ou parfaite, pourquoi il perd encore son temps avec d'autres là où toi t'aurais presque fait vœu de célibat? Parce que ça fait combien de temps, Joanne que tu n'as connu aucun autre homme dans tes draps que le tatoué y passant occasionnellement?

Il est pas obéissant Gabriel, pas quand il s'agit de rester sagement à t'attendre du moins. Parce que t'as entendu ses pas rejoindre les tiens pour finalement s'arrêter près du bar/passe plat séparant ton salon de ta cuisine américaine plutôt fonctionnelle pour quelqu'un aussi nul en cuisine que toi. Ouais, t'es le genre de conne à faire cuire des pâtes sans eau et donc à faire brûler le tout. Tu t'éloignes des fourneaux depuis et te contentes de plats préparés. Merci les restaurants avec système de livraison hein, parce que sinon tu te laisserais réellement mourir de faim sans même tenter d'y remédier. Tu risquerais de faire exploser la rue suite à une explosion de gaz et tu tiens à rester un peu en bon termes avec tes voisins qui sont plutôt agréables en majorité. Gab lui tu sais qu'il cuisine bien et plutôt franchement pas mal. Les seules soirées que tu mets un point d'honneur à ne pas louper sont les siennes et généralement tu te jettes sur tout ce qu'il a pu vous préparer pour tenter de calmer vos estomacs d'affamés. Treize ans après, vous restez cette bande de sales gosses bruyante et unies comme les dix doigts de la main. Vous n'avez pas changés dans le fond et vous pouvez retrouver aisément en vous votre version passée pas si éloignée que ça finalement.

Tu chasses volontairement l'espace entre vous, bien décidée à reprendre les commandes de vos étreintes. Il a vaguement laissé entendre cinq minutes de repos, alors tu t'éprends de ses lèvres en te hissant sur la pointe de tes pieds pour laisser ton visage s'éprendre du sien. T'es folle de lui Joanne et tu lui rends dans ces baisers désespérés que tu lui offres encore et encore. Vous êtes beaux, lorsque vous vous laissez allers à ce que vous ressentez au plus profond de vous. Sans vous soucier de vos ego ou d'un éventuel refus/retrait de l'autre. Du moins pour toi c'est comme ça que tu vis la chose sur l'instant. T'en as marre des regrets, tant pis tu préfères avoir des remords pour changer. Et puis, il semble pas vraiment avoir envie de te fuir ce soir comparé à d'habitude Gabriel. Il t'as promit de rester et de ne pas t'abandonner. Alors tu tombes à tes genoux pour le satisfaire ne serait-ce que quelques instants, lui montrant qu'il fait le bon choix quant au fait de passer l'entièreté de la nuit à tes côtés. Tu sauras le remercier pour ce choix raisonnable inlassablement jusqu'à vous ne claquiez de fatigue dans les bras l'un de l'autre. T'as aucune idées, de ce que ça fait que de dormir réellement avec lui. Parce qu'il s'enfuit toujours après quelques heures de repos pour mieux t'abandonner à la solitude de tes draps cruellement vides sans lui. T'as horreur de ce sentiment qui t'habites Joanne, de ce trou dans ta poitrine lorsque tu t'aperçois que t'es toujours pas assez pour mériter qu'il reste jusqu'à votre réveil à tes côtés.

Tes lèvres agacent, se veulent aventureuses et désireuses de son épiderme s'offrant à toi. Il n'offre aucune résistance quant à tes prises d'initiatives. Il s'est voulu dominant de la première partie de vos ébats tu mèneras le second round d'une poigne de fer en vous offrant toujours plus de plaisir. Tu dévores sans retenues, viens asseoir ta domination combien même ses mains viennent se perdre dans tes boucles couleur feu pour mieux suivre le rythme de tes allers et venus de tes lippes serrées contre sa virilité gorgée d'envies diverses. Ton appartement est agité de ces bruits de succions et d'étouffements tout comme les plaintes sonores de ton tatoué s'adonnant à tes caresses buccales accordées avec tendresse et application. Tu prends grands soin à le faire jurer de façon bruyante, te gorgeant de désir à la moindre supplique s'évaporant de sa bouche soudainement bien bavarde alors que tu t'actives à l'accueillir toujours plus, inlassablement. Tes phalanges sur ses hanches parfaites continuent d'ajouter toujours plus de rythme et de profondeur à votre étreinte pour son plus grand plaisir et le tien ne cessant de croître en flèche à nouveau. Tes opales se perdent parfois dans les siennes alors que ton nez vient taquiner les plaines plates de son bas ventre. T'es transie par son regard noircit, scintillant des rayons lunaires venant les faire briller de mille et une paillettes scintillantes.

Il grogne ne pas vouloir que cela s'arrête et tu ne manques pas de gémir à ces doux mots. Pourtant, c'est bien la frustration que tu lui offres alors que tu te perches à nouveau sur le haut de tes deux jambes relevées pour abandonner sa virilité raidie et lubrifiée de ta salive appliquée de façon généreuse. T'as pas envie d'attendre cinq minutes de plus avant d'avoir le droit toi aussi à un traitement des plus tendre entre tes cuisses. Tes doigts se mêlant aux siens pour l'attirer contre toi et vous faire reculer de façon brouillon c'est tes fesses qui gagnent le buffet flambant neuf de ton salon. Monté par tes soins, t'es pas peu fière de ce petit détail. Tu laisses tes fesses dénudées gagner la surface boisée tandis que ta langue s'éprend furieusement de celle de Gabriel. Vous n'avez de cesses que de feuler votre envie l'un de l'autre alors que sa virilité vient frotter contre toi démontrant l'envie qu'il peut avoir de te posséder à nouveau. Tu continues cependant de mener votre échange passionné, laissant tes lippes se séparer des siennes pendant que tes doigts ayant gagnés sa chevelure sombre l'intime à descendre contre ton intimité à toi ne demandant que la douce caresse de sa langue et de ses doigts si le coeur lui en dit.

Il n'a clairement pas besoin de se faire prier pour se pencher contre ton pubis offert. Ton visage se balance vers l'arrière, menaçant d'heurter le mur derrière ce dernier alors que les lèvres tentatrices de Gabriel viennent embrasser tes cuisses brûlantes alors que tes doigts lui intiment un tout autre endroit à assiéger de sa douceur. Tu grognes, alors que ses dents taquinent un peu plus en se rapprochant de ton aine. Mais il ne se fait pas prier pour répondre à tes demandes et sans grandes surprises sa langue de son plat humide vient se rapprocher dangereusement et non sans t'arracher quelques frissons de ton mont de vénus ondulant déjà. Il fait durer le plaisir et tu n'as de cesses que de frémir alors qu'il gagne un peu plus de terrain son souffle taquinant à présent d'autres lèvres plus ardentes que celles que tu mords violemment. Il ploie le genoux pour commencer à te dévorer à la fois tendrement et passionnément de cette façon qui lui va si bien laissant apparaître ses deux faces à lui. Tes ongles se resserrent un peu plus contre son cuir chevelu en épousant le moindre de ses mouvements qui se veulent taquin alors qu'ils explorent un peu plus allant de ton bouton de plaisir gonflé à l'entré de ta moiteur quémandant ses bons traitements qu'il te prodigue à profusion et non sans te faire feuler son prénom.

Encore, t'en veux encore et toujours plus. Tu ne manques pas de lui préciser comme si tu en avais ne serait-ce que le besoin. Il est foutrement doué Gabriel pour te faire péter des câbles en tous genres et encore plus lorsqu'il s'agit de t'amener aux portes de la jouissance pour que tu puisses t'y perdre à corps perdu en sa compagnie. Ses yeux quittent la proie dont il s'éprend avec gourmandise pour trouver les tiens se voilant d'un fin voile humide alors que tu te laisses totalement aller à lui et à ses bons traitements. Tes doigts se décrispent de ses cheveux sombres pour mieux se cramponner au buffet. Il pourrait très bien venir te faire plier à l'aide de ses doigts accompagnants sa langue te faisant tressauter de plaisir ou bien venir se planter à nouveau d'un coup de rein sec, tu lui appartiens totalement corps et âme. Il est le seul, à te faire sentir ce genre de choses. L'unique à qui tu t'adonnes à de tels rapprochements. Celui pour qui tu te gardes jalousement avec l'espoir qu'il le remarque. Tu veux pas des autres, aucun ne lui arrive à la cheville. "Si tu continues comme ça..." T'as clairement du mal à finir ta phrase pas vrai Jo'? Alors que tu te redresses avec difficulté ton corps n'ayant cesser de glisser au rythme des vas et viens humides s'offrant à toi.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3794924939  



@gabriel dixon (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 1948873765 (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3794924939
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Lun 7 Oct - 18:34




overlap.
The desert is calling
The emptiness of space
The hunger of a lion
Is written on your face
A maniac's new love song
Destruction is his game
I need a new direction,
Cause I have lost my way.



Avec l'alcool que t'as avalé tout au long de la soirée, t'es vraiment pas assez conscient de ce que tu racontes pour pouvoir te mesurer dans tes mots divers et variés. Pas assez conscient pour pouvoir t'empêcher d'offrir une flopée de compliments à la jolie jeune femme de qui tu partages les draps une fois de plus. Une nuit de plus. Ce n'est pas super fréquent, mais ce n'est pas rare non plus, que vous terminiez votre course dans les draps de l'un ou de l'autre. La plupart des soirées que vous passez en compagnie de votre bande de potes, a tendance à se terminer de cette façon. Plus vous buvez tous les deux, plus il y a de chance pour que ce soit ainsi en fin de soirée lorsque l'heure de s'en aller sonne. Parce que vous ne savez pas vous montrer aussi sage que ce que vous pensiez et espériez lorsque vous avez mis fin à votre relation amoureuse. Vos corps s'appellent beaucoup trop pour ça. Vos corps sont même, littéralement, aimantés l'un à l'autre. Alors vous n'êtes sans doute pas prêts de savoir vous passer l'un de l'autre. Du corps de l'autre, surtout. Ne serait-ce que parce que c'est la seule chose qui fonctionne véritablement entre vous. Puisqu'on ne peut pas même parler d'une amitié quelconque. Il n'y a jamais rien eut de tel en réalité, entre vous. Quand bien même vous faites parties de la même bande de potes depuis l'époque du lycée. Ce n'est pas pour autant que vous avez un jour été capables de vous entendre. Bien que ça vienne d'ailleurs davantage d'elle que de toi. Toi, t'aimes tout le monde Gabriel.

Tu ne peux t'empêcher d'avoir un rire tendre quand tu la vois rougir à cause de tes compliments. C'est plus fort que toi. Quand tu bois autant, tu dis tout haut ce que tu penses tout bas. T'en dis même trop apparemment. Tu lui fais remarquer qu'elle est vraiment belle, selon toi. Qu'elle est même plus que ça à vrai dire. T'aurais rien dis de tout ça si elle avait été en mesure de cacher son éternel mal être et ses complexes inutiles qui n'ont pas lieu d'être. Parce que t'as balancé tout ça dans l'espoir de lui faire bien saisir tout ce que tu penses d'elle et de quelle façon tu la vois. Toi qui la trouves vraiment très belle depuis le premier jour. Même quand elle se planquait derrière ses cheveux colorés, qu'elle portait des vêtements trop grands qui dissimulaient d'adorables rondeurs et qu'elle semblait se foutre de tout mais surtout du monde entier. Toi tu la trouves belle depuis toujours. Mais plus le temps passe, plus elle a le don de te fasciner. Tu ne saurais tout à fait expliquer pour quelle raison mais c'est un fait contre lequel tu ne peux pas grand chose. C'est bien vrai qu'elle est magnifique. Même si elle semble toujours aussi persuadée du contraire. Un jour t'arriveras peut-être à lui faire entendre raison. Peut-être. Toi arrête ! Que tu grommelles en lui balançant un oreiller quand elle te tourne le dos pour rejoindre sa cuisine.

Là où toi même t'atterris bien assez vite. T'es tout bonnement incapable de te tenir loin d'elle trop longtemps quand vous passez une soirée et une nuit ensemble. Et elle doit bien le savoir depuis le temps. C'est sans doute même pour ça qu'elle t'a donné l'ordre d'attendre sagement. Mais elle se met le doigt dans l'oeil si elle pense encore pouvoir te faire obéir à ses ordres. T'es un sale gosse Gab et tu ne peux t'en cacher. Alors tu te pointes comme une fleur devant elle. Et elle n'a pas l'air si mécontente que ça. La preuve, elle finit à genoux devant toi. Bien décidée à te faire plaisir et du bien. Beaucoup de bien. T'as tout de suite un sourire de pure satisfaction alors qu'elle referme ses lèvres autour de toi. Bien décidée à te faire vraiment plaisir apparemment. Et ça fonctionne. Tout de suite. Très fort. T'es déjà grognements et frissonnements d'aise. T'as envie de la supplier de poursuivre. A vrai dire, tu le fais. Tu t'exprimes pour l'encourager à continuer ça à tout prix. Elle te connait par coeur Joanne. Alors elle sait précisément quoi faire et de quelle façon, pour te retourner le corps et le cerveau. Du coup, elle s'applique. Elle y met même tout son coeur dans ces préliminaires déjà incroyables. Parce qu'elle ne fait pas semblant et ne tourne pas autour du pot. Elle va droit au but. Elle maîtrise cet art là sur ton corps et c'est toujours un réel plaisir pour toi que d'y avoir droit.

Bien vite, tu réponds aux bruits de succions et autres sons qu'elle fait de sa bouche gourmande, par des grognements / plaintes / soupirs et supplications parfaitement audibles. Parce que t'as aucune envie qu'elle s'arrête trop tôt et trop vite et que tu le lui fais bien savoir.  Sans pour autant être bien certain qu'elle ait l'intention d'aller jusqu'au bout de la sorte. Parce qu'elle attend sans doute d'autres choses de ta part. De votre part à tous les deux, au cours de vos corps à corps de la soirée. T'oublies de respirer à chaque fois que son nez vient frôler la peau de ton bas ventre. Elle n'est que trop parfaite dans ce genre de rôle Joanne. Et ne s'en donne que toujours plus à coeur joie pour te le rappeler.  Mais malgré tes supplications, Joanne elle te libère de sa bouche. C'est la frustration qui te fait alors grogner tout bas. Malgré ton regard enflammé que tu poses sur son doux visage avant qu'elle ne s'éloigne un peu pour se percher sur le buffet. Tu devines qu'elle veut passer à la suite mais attends de savoir ce qu'elle attend précisément de moi. Et l'idée est loin d'être faite pour te déplaire. T'affiches même très vite un petit sourire presque pervers. C'est de sa main perdue dans tes mèches noires, qu'elle te fait descendre sur son corps. T'aimes bien trop lorsqu'elle se fait ainsi directive. A vrai dire, t'aimes absolument tout ce qui vient d'elle et t'es incapable de faire autrement.

Elle se fait insistante pour te guider plus au centre de ses cuisses. Mais tu lui refuses ça dans l'immédiat. T'acceptes sans mal de te perdre à cet endroit là de son corps. Mais ça ne veut pas dire que tu vas suivre absolument toutes ses règles, à la lettre. Tu les sens ses doigts qui se crispent plus encore et qui tirent, mine de rien, sur tes cheveux. Mais c'est toi qui décides quand et comment. Et quand enfin ta langue vient se perdre dans les contrées moites, tu la sens qui se détend presque de soulagement. Alors que ses reins dansent de façon sensuelle, déjà. En réponse, tu lui offres déjà des baisers des plus intimes et précis. Pour le plus grand plaisir de ta belle Joanne qui échappe déjà quelques plaintes de plaisir. Encore. Et encore. Elle se fait suppliante alors même que tu n'as finalement pas tant besoin que ça de changer quoi que ce soit. Juste être à la hauteur de ses attentes semble suffire. De tes dents taquines autant que de ta langue joueuse mais précise qui ne veut rien d'autre que la faire frissonner toujours plus de plaisir. Et de toute évidence, ça fonctionne à merveille. Tu les entends ses mots. Mais t'as pas l'intention de fuir. Au contraire. Tu lui réponds en glissant plutôt quelques phalanges entre ses cuisses ouvertes par tes soins. Histoire de la pousser à se laisser pleinement aller. De l'inciter à accueillir l'orgasme vite et fort. Parce que tu peux le lui offrir et te redresser ensuite pour reprendre vos ébats avec passion et fougue, sans difficulté aucune. Ni pour elle, ni pour toi.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 2625458459
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Mar 8 Oct - 4:48



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'en sais foutrement rien Joanne, de comment tu finiras. Mais ton futur sentimental ne se présente pas très bien. Treize longues années, que tu patientes pour la même personne. Vous vous êtes aimés aux yeux de tous pendant presque un an. Ou un peu plus tu ne sais plus vraiment. T'évites de te rappeler tout ça, c'est encore douloureux lorsque tu t'aventures dans certains de tes souvenirs qui restent pourtant très beaux combien même l'eau à su couler sous les ponts. Tu peux le revoir faire le mur de ta chambre pour gagner la chaleur de tes draps après qu'il est escaladé la gouttière. Vous vous étiez disputés pour une connerie sans noms que t'es incapable de te souvenir de quoi tout cela pouvait venir dans l'fond. T'as toujours eu cette capacité à t'enflammer rapidement. Gab se contentait (souvent) de grimper jusqu'à ton lit pour y passer quelques heures le temps pour vous de vous éprendre l'un de l'autre dans le plus grand silence afin de ne pas réveiller tes petits frères dormant à d'autres endroits de l'appartement. Il est le seul de toute la bande à avoir un jour franchit les portes de chez toi que tu gardais secrète de tous. Parque tu vivais pas dans le plus joli des quartiers où l'un des mieux famés. Que le second étage étant le votre menaçait de s'effondrer. Et pourtant tout ce qui pouvait lui importer Jo, c'était toi.

T'as jamais été capable de te rendre compte de l'affection qu'il pouvait avoir pour toi. Il aurait pu en choisir des tonnes des filles. Il a toujours eu cette facilité avec les connasses de ton espèce. T'as eu de la chance que les nanas du groupe n'étaient pas intéressées parce que t'aurais très clairement pu en crever. T'aurais pas supporté de voir ta sœur de cœur, celle que ta mère t'as toujours refuser te tourner le dos pour fricoter avec l'unique personne capable d'apaiser ton palpitant autant qu'il ne l'excite que ça soit d'excitation ou de rage. Anya elle n'a jamais vraiment prit de partie entre vous d'eux. Elle vous aime bien trop pour ça, bien trop pour vouloir un jour vous diviser. La rouquine s'contente de vous pousser l'un vers l'autre de ses conseils faussement sages elle dont la vie sentimentale reste tout à fait discutable. Tu te dis que parfois, t'aimerais avoir sa légèreté. Qu'au moins, tu ne finirais pas comme une vieille folle avec ses quatre-vingt dix-neuf chats sauvages s'étant faufilés par une fenêtre ouverte comme le noiraud te tenant compagnie lors de tes weekends en solitaires alors que tu dessines sans relâche. Mise à part ta bande de vieux frères, t'as pas grand monde Jo'. Tu pourrais compter sur Tor' ou bien Rebel mais t'es déjà leurs patronne et associée tu peux pas vraiment venir empiéter sur leurs vies privées comme ça. Du moins, t'évites.

Gabriel, il est foutrement talentueux quand il le veux. Il est le meilleur lorsqu'il faut te mettre en colère. Il excelle lorsqu'il s'agit de t'amener jusqu'aux portes de la jouissance pour t'y déposer tendrement ou avec violence ça dépend de votre humeur du moment. Il est le mieux placé pour te faire remettre en question, lui qui te connais mieux que quiconque combien même il semble encore en douter après toutes ces années. Parfois, tu vous imagines dans cette réalité inversée où vous êtes mariés. Dans une jolie maison qui n'a rien de prétentieux avec un clébard et quelques marmots à aimer d'tout vos êtres. T'auras jamais tout ça, il est trop tard pour que vous vous aimiez si fort pas vrai? T'as loupé la vibe Joanne et plus les années passent plus t'as l'impression amère qu'elles vous séparent un peu plus. Sans vous laisser de choix, ou de marge de manœuvre. T'auras pas le droit à ça tu dois te résoudre à la cruelle réalité.

Cependant, tu sembles oublier tout ce qui peut voir heurter à l'instant. T'oublies ta rancœur, tes émotions contraires pour te laisser aller pleinement à cette nuit s'annonçant longue alors que tu fonds entre ses cuisses en plein milieu de ton salon-cuisine. Ces longues années auront au moins le mérite d'avoir fait de vous des amants parfaits, sur la même longueur d'onde lorsqu'il s'agit de vous contenter sexuellement. T'es frustrée qu'il ne s'agisse que de ça, que de vos carcasses encrées s'allant l'une à l'autre. T'es pourtant foutrement reconnaissante, et c'est ce que t'es lèvres s'agitant contre lui s'efforcent à démontrer. T'es impitoyable, tes doigts viennent s'ancrer contre ses hanches pour donner toujours plus de rythme à tes bruits de succions. Ses râles de plaisir s'intensifient, viennent faire brûler ton épiderme tout comme l'intérieur de tes cuisses qui ne cesses que de se réveiller toujours plus intensément. Ta langue percée se veut gourmande, attaque avec précision l'intimité offerte à son bon vouloir alors que la cadence s'accélère un peu plus. Vous aimez bien trop ça l'un comme l'autre. Toi à le satisfaire rageusement et lui à t'accueillir toujours plus passionnément. Vous êtes deux sombres idiots incapables de vous rendre compte de ce lien précieux vous liant.

Tu pourrais, lui permettre de se lâcher contre le piercing de ta langue mutin venant rouler tout contre l'extrémité de son intimité lorsque tu te veux caressante au possible. Mais t'as bien trop envie que de partager ce moment, t'as envie que lui aussi vienne se perdre entre tes cuisses tremblantes d'un désir des plus fous. Vous n'échangez pas vraiment de mots alors que tu te relèves pour mieux saisir ses lippes furieusement. Sans aucun traitement de faveur alors que tes canines s'emparent de sa lèvre inférieure pour mieux la capturer de nombreuses secondes. Vous ignorez bien ce que vous faites, heurtez de nombreux meubles jusqu'à ce que tes fesses trouvent le buffet fraîchement acheté/monté décorant ton espace de salon.

T'as bien fait de pas vraiment le décorer de tes bibelots, car t'aurais tout envoyé valser pour mieux t'y installer. Plutôt que de déranger ton appartement, tes mains s'activent à te rendre service en se nouant autour des mèches sombres de Gab à qui tu intimes dans un grognement de descendre jouer à son tour de sa langue. C'est pas comme s'il était vraiment dominant, toi non plus d'ailleurs. Vous vous laissez tout simplement aller à vos pulsions lorsque vous vous retrouvez d'une telle façon. Vous faites en sortes que ça compte. Il ne manque pas de t'agacer, de couvrir tes cuisses de ses lippes alors que tu les préférerais nettement à s'activer sur une autre zone non loin. Tu grognes à ton tour, ta main se voulant rebelle et toujours fermement contre son cuir chevelu alors qu'enfin il se veut conquérant. Tu ne manques pas d'onduler, de gémir et d'accompagner ses mouvements alors qu'il déchaîne un peu plus la créature avide de lui que tu peux être. Il n'y a que lui et il en a toujours été ainsi. Tu peux compter les hommes ayant partagés tes draps sur les doigts d'une main et encore t'es bien généreuse. Trois? Quatre? Pas plus. Juste assez pour te rendre compte que le premier resterait couronné de succès à jamais, ayant le monopole de ton bien-être et de tes orgasmes des plus furieux. Tout ça, l'amour, le sexe et l'attachement ça ne vaut pas la peine d'être vécu si c'est pas avec lui et tu ne le sais que trop bien Jo'.

Déjà foutrement excitée du traitement que tu as su lui réserver un peu plus tôt, tu ne manques pas de feuler ton état instable à l'encré s'éprenant de toi furieusement. L'une de tes jambes contre son épaule pour toujours mieux avoir accès à ta moiteur grandissante ses phalanges tatouées ne manquent pas de s'insinuer en toi pour toujours plus te faire gémir/onduler avec plus de violence. Ta main quitte sa chevelure noire comme la nuit pour agripper fermement le meuble en bois que tu maltraites en laissant tes ongles s'y perdent sans aucune vergogne. Tu jures, insultes la lune et ses étoiles scintillantes encore une fois témoins de votre rapprochement soudain. Ses gestes sont plus rapides, ne manquent pas de t'essouffler alors que cette boule dans tes reins se reforme à nouveau plus forte que jamais et que tu bégaies à présent son prénom pourtant pas si compliqué à prononcer. T'as beau lutter mais t'y arrives pas. Et ça ne semble pas être dans ses intentions que de te laisser filer sans éclater contre sa langue ne demandant qu'à ce que tu imploses contre cette dernière. Cette fois, ton crâne heurte réellement le mur alors que tu le balances en arrière dans un bruit sonore. T'as pas vraiment de douleur, tu jures plus fort alors qu'enfin une autre délivrance s'offre à toi. A chaque orgasme son lot de sensations/émotions contraires. Tes doigts ont quittés le bois sans que tu ne t'en rendes compte pour déchirer de façon fiévreuse la peau des épaules de Gab. Ton corps à quitté le mur pour mieux s'accoler à lui et se lover autour de lui au passage alors que ta jouissance lui éclate au visage. Tu te contractes forcément, tes mains refermées contre son épiderme rougissant. Et tu n'as que son prénom aux lippes pendant que tu t'offres à lui pour la seconde fois de la soirée.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3794924939  



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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Mar 8 Oct - 20:29




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I need a new direction,
Cause I have lost my way.



Tu ne saurais dire quand les choses ont commencé à partir dans tous les sens comme ça entre vous. A quel moment c'est devenu relativement peu supportable pour toi et ton coeur assez fragile dans le genre. Tout ce que tu sais, c'est que c'est parti trop loin et que vous êtes à mille lieux de ce que vous avez été pendant un temps tous les deux. Et tu le regrettes, bien sûr. T'es toujours aussi attaché à elle. Si ce n'est plus encore qu'à l'époque en vérité. Plus le temps passe et plus t'es fou d'elle Gabriel, pas vrai ? Pas vrai que t'es accro au point de manquer de sa présence quand tu ne la vois durant des jours entiers ? Pas vrai que tu fonces tout droit dans son salon pour t'assurer qu'elle va bien, quand elle ne donne pas de nouvelles pendant trop longtemps à ton goût ? T'es carrément accro et toujours désireux de t'assurer que tout va toujours bien pour elle. Parce qu'elle oublie de donner des nouvelles. Ou parce qu'elle attend que le reste de la bande prenne la peine de lui passer un coup de fil ou de passer la voir  Il y a sans doute un peu de ça également. Mais t'as jamais trop osé lui poser directement la question. T'as pas envie de lui donner du grain à moudre comme on dit. Tu ne veux pas la relancer s'il s'avère qu'elle en veut réellement aux autres membres de votre bande de potes pour leur silence et le peu de temps qu'ils semblent pouvoir lui accorder.

A vrai dire, t'es quand même le seul qui a vraiment le temps pour tout ça. Le seul qui peut se permettre d'aller et venir dans la vie d'un tel ou d'une telle juste pour passer le temps. Toi qui ne fais pas grand chose de manière générale. Tu vis presque par procuration, leurs vies. A défaut d'être capable de construire la tienne. Ou de la rendre un tant soit peu plus intéressante. Tu ne sais toujours pas pourquoi t'es ainsi et tu ne le sauras probablement jamais. Mais au moins tu fais en sorte d'être là pour Joanne, toi. Quand bien même elle passe son temps à t'envoyer sur les roses comme elle sait si bien le faire. T'en es certain qu'elle ne les voit même pas tous les petites efforts que tu fais pour elle. Pour lui rappeler qu'elle est importante pour toi et que tu seras toujours là pour elle. Maso que t'es. T'aimerais être capable de te passer d'elle. Mais t'as du te faire une raison depuis le temps. Ce jour où tu sauras te passer d'elle, n'est vraiment pas arrivé. Loin de là. Plus le temps passe et plus t'espères gratter des heures, des jours, des semaines en sa compagnie. Jusqu'au moment où elle perdra patience et t'enverra chier une bonne fois pour toutes. Parce que tu crois encore dur comme fer que ce jour pourrait finalement arriver. Et qu'il arrivera sans doute même trop tôt à ton goût. Ce sera forcément trop tôt, pour toi qui ne penses pas être capable de te passer d'elle ...

Mais d'abord vous continuez de profiter l'un de l'autre, comme si la rupture définitive était pour très bientôt. Tu profites de tout ce qu'elle est en mesure de t'offrir, tant qu'elle n'est pas pleinement décidée à te rayer et chasser de sa vie. Tu profites de ces nuits entre ses bras. Et tu profites de ces minutes qu'elle passe avec sa bouche taquine et gourmande sur toi. T'es loin de t'en lasser de tout ça. T'as même envie qu'elle ne s'arrête jamais. Surtout pas ! Qu'elle continue donc de se jouer de toi et de ton corps si elle le souhaite. T'aimes trop quand elle te fait subir toutes ces choses délicieuses mais ô combien brûlantes qui te retournent toujours plus le corps et le cerveau. Parce qu'elle maîtrise bien trop cet art là pour que ça ne fonctionne pas du tonnerre sur toi,  c'est évident. Sans parler de ce piercing que t'as apprécié pour de bon la première fois qu'elle t'a offert une fellation. Dire que t'étais pas forcément fan des piercings à cet endroit là avant de découvrir que ça pouvait être source de plaisir pour un homme. A vrai dire, tu t'en es surtout rendu compte la première fois qu'une autre femme qu'elle a refermé ses lèvres autour de toi. La première femme avec laquelle t'as eus l'intention de coucher après Joanne. Un truc qui n'est pas allé jusqu'au bout. T'as pété les plombs après quelques vas et vient de sa bouche à peine et t'as pris la fuite comme un lâche, sans la moindre explication.

Mais tu ne l'avoueras jamais à ta belle Joanne ça. Ni ça ni tout un tas d'autres trucs qui en disent bien trop long sur les sentiments que tu peux avoir pour elle depuis toujours ou presque. T'as pas envie de lui donner des armes qu'elle pourrait utiliser contre toi. Ni lui faire prendre conscience de combien tu peux être accro à elle depuis longtemps. Parce que tu ne veux pas qu'elle puisse se foutre toi. Et moins encore qu'elle soit prise de pitié et soit forcée de t'expliquer pour quelle raison tes sentiments ne sont pas et ne seront jamais partagés. Parce que t'en es sûr Gabriel, que Joanne ne peut pas éprouver des sentiments de ce genre pour toi. T'es pas un homme dont on peut tomber amoureuse. T'es le bon pote des soirées arrosées. T'es celui qui fait rire la compagnie, qui amuse et qui divertie pour quelques heures. T'es celui qu'on appelle quand on a besoin de se détendre autour d'un verre et à grands renforts de blagues relativement pourries. T'es celui qui a le don d'illuminer une pièce par ses sourires démesurés et pourtant faux pour la plupart. T'es pas celui à qui on demande très sérieusement s'il va bien. Parce qu'avec un humour comme le tien et une joie de vivre comme la tienne, ça ne peut pas mal aller, n'est-ce pas ? C'est en tout cas ce que tout le monde semble s'imaginer. Et toi ça t'arrange assez puisque tu n'as aucune envie qu'on te pose trop sérieusement la question. Tu pourrais t'écrouler Gabriel si on venait à te prendre entre quatre yeux pour t'obliger à te confier enfin. A te confier pour la première fois de ta vie. Non, ça ne peut pas arriver un truc pareil. Impossible et impensable.

C'est plus facile pour toi de te perdre dans les nuits fauves avec Joanne, sans parler trop sérieusement de tout ce qui pourrait un peu trop te toucher. C'est donc avec plaisir que tu laisses les choses s'enchaîner les unes après les autres. Quand elle te quitte de sa bouche joueuse et précise, c'est toi qui viens te perdre entre ses cuisses ouvertes. Pour jouer à ton tour de ta bouche taquine et gourmande mais ô combien appliquée surtout, pour lui faire le plus de bien possible. Parce que t'aimes bien trop ça quand elle couine de plaisir ta belle Joanne. T'aimes bien trop ça quand elle se fait suppliante pour que tu continues et ailles même jusqu'au bout. Jusqu'à lui permettre d'atteindre l'orgasme. T'aimes bien trop ça le pouvoir que ça t'offre sur elle, sans surprise. En plus de ta langue, tu lui offres la présence de deux de tes doigts qui se font tout aussi précis et virulents dans ses chairs moites. T'aimes la sentir si excitée, bien sûr. Alors tu prend beaucoup de plaisir à poursuivre ces caresses presque tendres et à aller toujours plus loin. Toujours plus vite et plus fort. Et contre toute attente, elle l'atteint sans trop de mal la jouissance. Tu poursuis la danse de ta langue, quelques secondes de plus pour ne pas la lâcher en plein vol et te redresses en poursuivant les vas et vient de tes doigts. Etape après étape pour lui permettre de retrouver pieds dans la réalité, sans trop de mal. Tes lèvres retrouvent finalement les siennes avec beaucoup de douceur. Alors même que t'es toujours aussi excité de ton côté. Peu importe. Tu penses à elle avant tout, avant toi. Alors que son goût se mêle à votre baiser et que tes mains se glissent maintenant dans son dos pour la ramener plus au bord du meuble. Que ses fesses reposent en équilibre précaire alors que vos intimités brûlantes se retrouvent et se frôlent, provocatrices.

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@Joanne De Luca  (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 1813423790 (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3227196488
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Mer 9 Oct - 5:34



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'espères un jour, pouvoir aspirer à être heureuse. Ne pas lutter constamment contre le courant toi qui t'épuises déjà de ces années passées à nager en sens inverse. T'as toujours fais tout trop vite, voulant toujours devenir adulte plus rapidement. T'as eu l'impression pendant un instant que ça pourrait te permettre de ne pas reproduire certaines erreurs commises par ta daronne, qu'en un certain sens tu pourrais être différente d'elle. T'as pas loupé Joanne, t'es bien tout son contraire à ta mère. Elle qui est si aimante, rayonnante et douce toi t'es devenue un monstre de solitude, trop effrayée à l'idée de se laisser aller et de souffrir inutilement. C'bien pour ça qu'on t'prends toujours pour l'affreuse méchante rabat-joie. Qu't'es toujours incapable que de te laisser aller à cette idylle t'hantant depuis plus de dix ans maintenant et que ta meilleure pote ne cesses de te pousser dans les bras de celui pour lequel tu mets toute ta vie en arrêt espérant un geste qui ne viendra pas. T'es que trop au courant que du comportement de Gabriel, le subissant à chaque instant. Combien même il essaie d'être gentil et drôle, il n'a de cesses que de te blesser involontairement. Encore et encore depuis près de treize ans.

Pourquoi t'es incapable de passer à autre chose? Pourquoi t'arrives tout simplement pas à te dire que tout cela appartient au passé et que tu ne pourras plus jamais retrouver ce que tu as perdu? T'sais pas, tu t'accroches à ces nuits fauves que vous partagez ensemble. Parce qu'il n'y a que comme ça que vous arrivez à vous aimer. Comme un peu plus tôt, lorsque vos corps deviennent fiévreux et que plus rien n'importe que ce contact puissant entre vous venant ébranler tout le reste. Les disputes, la rancoeur, votre incapacité à vous comprendre combien même vous aimeriez que tout soit bien plus simple. Plus facile à vivre pour vos deux âmes torturées. T'imagines pas à quel point tu peux l'abîmer autant que tu ne l'aimes Gabriel. Parce que ces mots durs tu ne les contrôles pas. Tu ne l'as jamais fait. Il le sait non? Que ton sang bat plus vite que ta langue ne réfléchit avant de parler? Que tu parles trop souvent en regrettant tes mots dans la foulée pour n'avoir que cette envie de te molester rageusement pour te punir inlassablement. Tu lui en veux à Gabriel de ne pas t'offrir la capacité de voir ce qui peut se cacher profondément à l'intérieur. La possibilité d'entrevoir ses démons que tu supposes nombreux. T'es pas aveugle Jo', tu sais que comme toi il est abîmé. Qu'vous êtes deux êtres nageant à contre courant mais bien incapables que de se rejoindre pour affronter cette force adverse qui vous divise plus qu'elle ne vous rassemble.

T'aimerais parfois tout reprendre de zéro. Parce que dans le fond, c'toi qui n'as pas fait d'efforts en premier lieux. C'est toi qui les as maintenu fièrement à l'écart préférant qu'ils ne découvrent pas quelle gosse turbulente tu pouvais être. A quel point tu pouvais être bizarre, issue d'une famille rapiécée vivant dans ce petit appartement pourri d'brooklyn menaçant de s'effondrer au moindre coup d'vent. Franchement, tu comprenais même pas pourquoi ta mère a essayé d'te faire suivre des cours dans ce lycée bien trop privé pour toi. Toi t'étais pas comme eux et combien même ta bande de vieux frères tu n'as eu de cesses que de te sentir rejetée. Jamais à ta place. Comme si tu méritais pas ce que tes amis donnaient tout comme tu ne méritais pas d'essuyer autant de haine de la part des autres. Tu t'es enfermée dans ton monde fait d'encre et d'épidermes. Tu t'es petit à petit éloignée du monde entier pour mieux t'émanciper et construire la femme à demie accomplie que tu peux être. Parce que tu gagnes bien ta vie, que ton salon fonctionne du tonnerre. T'as des collègues que t'adores, des mecs sur qui tu peux compter fièrement. T'aimes bien trop ce trio que vous formez tous les trois avec Tor' et 'Bel. C'est une autre famille sur laquelle tu prends soin de veiller chaque jour qui passe, ne négligeant personne. Dans l'fond Jo', tu passes toujours plus de temps à te soucier des autres que d'ta propre personne et il serait bien qu'tu t'en rendes compte un jour.

T'as été dure avec Gab ce soir encore. T'as eu ces mots que tu regrettes déjà, cette attitude détestable qui dans le fond ne te ressembles pas. Parce que c'est ta colère qui parle, ta rancoeur lorsque tu le vois prendre du bon temps avec quelqu'un d'autre que toi et l'affichant sans vergogne. Il n'imagine pas à quel point ton coeur peut se resserer lorsque tu le vois poster des photos en compagnie de sa susan ou que tu peux le voir souriant comme jamais en ta compagnie lorsqu'il pose pour cette femme. Tu ne l'as jamais rencontrée et tu espères sincèrement n'avoir jamais à le faire. Tu sais pas comment tu pourrais réagir pour lui montrer qu'il est tiens. Que peu importe tout l'argent du monde elle n'éprouvera jamais ce que tu ressens pour lui. Tu trouves ça dégueulasse, malsain c'qu'elle peut faire. Profiter autant de lui et de sa présence. Parce qu'elle te revient de droit non, son attention? Ca t'fais vriller, tord tes entrailles lorsque tu l'imagines à ses côtés comme l'homme parfait qu'il se refuse d'être pour toi. Et ça te brises toujours un peu plus, toujours plus fort. Comme si vous n'étiez qu'un rêve que tu as imaginé, comme si toutes ces années n'étaient qu'un écran de fumée présent dans l'but unique de te tromper. Te maintenir dans un brouillard aveuglant.

T'espères pouvoir te réveiller demain matin et te rendre compte que tout ceci n'était pas qu'un rêve. Que vous vous êtes aimés passionnément pour mieux tapisser les murs de ton appartement de vos gémissements brûlants. Qu'il tient en effet la promesse qu'il t'as faite un peu plus tôt. Celle que de te suivre jusqu'à ce que l'aube se soit dissipée pour laisser l'astre solaire trônant fièrement dans le ciel pour vous recouvrir de sa chaleur alors que vous vous éveillerez l'un contre l'autre. T'as jamais connu ça Joanne. Jamais. Le plaisir que de t'éveiller à ses côtés pour tomber sur son sourire alors que t'ouvres les yeux. Tu as quémandé, t'es faite implorante pour qu'il ne puisse pas te fuir. Pas cette fois, parce que tu serais capable d'en crever. Parce que t'as plus la force que d'attendre un geste de tendresse évident de sa part. Quelque chose qui vienne chambouler vos habitudes ancrées dans la pierre. Tu lui prouves ce soir, à quel point tu peux l'aimer en lui rendant ses baisers. En venant t'éprendre de lui lorsque tu tombes à genoux pour laisser tes lippes tentatrices s'enserrer autour de sa virilité que tu ne connais que trop bien. Tu peux pas te passer de lui, de ce lien qui vous unit. Tu veux pas t'en séparer, tu veux pas y renoncer. T'as besoin de Gabriel à tes côtés bien plus qu etu ne puisses l'assumer. T'aimerais juste qu'un jour, il puisse s'en rendre compte sans pour te prendre pour la méchante de l'histoire.

Tu joues avec lui un instant, tes genoux contre le parquet-ciré de ton salon/cuisine alors que tu t'évades entre ses jambes ta bouche aller et venant contre lui. Ta langue percée taquine, vient rouler contre lui de façon gourmande pour toujours plus t'en éprendre alors que tes ongles manucurés s'enserrent contre la peau fine de ses hanches dépourvues de ton art pour l'instant comparé à une grande partie de son épiderme. Car il est ta toile humaine, ta plus belle oeuvre. La peau sur laquelle le plus venir apposer ton style et ta trace en lui bradant très clairement tes services ne lui demandant finalement que ce qu'il suffit pour couvrir le prix de l'encre et des aiguilles utilisées. Jamais, tu ne lui feras payer les heures passées en ta compagnie. Tu les apprécies bien trop, elles te sont bien trop précieuses pour ça. Et de tous tes clients, il reste ton préféré. C'est indéniable. Gravé dans la roche. Tu t'arraches finalement à son entre-jambe après l'avoir taquinée furieusement pour mieux capter ses lèvres. Tu te relèves sans mal, vos carcasses se heurtant aux différentes surfaces trônant dans la longue pièce.

Tu te veux clairement dominante non sans venir égayer une pointe d'amusement chez le tatoué alors que tes fesses trouvent ton buffet fraîchement monté par tes soins et que ta main file attraper ses cheveux noirs pour mieux le faire glisser entre tes cuisses pour qu'à ton tour tu puisses profiter de ces préliminaires fiévreux que t'as su lancer. Il est appliqué à la tache lorsqu'il s'agit de te contenter de la sorte et de te faire du bien. Parce qu'il te connait aussi bien que l'inverse lorsqu'il s'agit de déchaîner tes passions. T'ondules contre lui, rapproches tes fesses du bord du meuble pour mieux accueillir ses doigts qui s'affairent à t'pousser à l'explosion alors que tu lui intimes être sur le point de venir. Les choses sont foutrement trop rapides comme à chaque fois et tu te retrouves bien vite dans l'incapacité de lui résister alors que ses phalanges te percutent pour mieux te plonger dans cet état second qui te secoues lorsque tu te laisses aller. Tu jures, feules dans la nuit alors que tes griffes viennent lacérer la peau. Laisser une trace de leurs passage sur l'épiderme que tu proclames comme tien.

T'exploses contre lui après l'avoir prévenu de nombreuses fois de l'imminente arrivée de cette vague de jouissance ne tardant pas à faire freezer ton cerveau une nouvelle fois. T'exploses contre sa langue gourmande pendant que ses doigts ralentissent la cadence mais ne t'abandonnant sous aucun prétexte alors que tu palpites autour d'eux d'une façon saccadée. Vos lippes s'emmêlent à nouveau, ses mains quittent ta moiteur pour permettre à ton bassin de reposer contre le rebord le plus extrême du meuble sur lequel tu reposes. Tu lui rends ses baisers avec d'autant plus d'intensité, brûlante de ces rapports furieux. Son intimité contre la tienne tu ne manques pas de l'attirer en toi sans mal alors que tes griffes s'éprennent de la chute de ses reins vierge de toute encre jusqu'ici. "Moi non plus j'veux pas qu'ça s'arrête." Qu'tu gémis alors qu'il s'insinue à nouveau en toi faisant allusion à sa phrase lâchée dans l'air avant votre premier orgasme commun ravageant vos êtres avec toujours plus de force. Ton pubis frotte contre le sien alors qu'il gagne à nouveau toujours plus de terrain en toi et que ton souffle s'alourdit. Tu gémis, te veux toujours aussi conquérante alors que tes opales viennent t'challenger les siennes.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3794924939  



@gabriel dixon (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3794924939 (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 3794924939
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Mer 9 Oct - 20:52




overlap.
The desert is calling
The emptiness of space
The hunger of a lion
Is written on your face
A maniac's new love song
Destruction is his game
I need a new direction,
Cause I have lost my way.



T'aurais adoré savoir pourquoi ta relation avec Joanne est à ce point compliqué. Mais à part le fait que vous êtes incapables de vous comprendre tous les deux, tu ne vois pas. Tu veux bien admettre qu'elle a un caractère de merde Joanne. Mais ce n'est pas la première personne avec un tel caractère que tu rencontres dans ta vie tout de même. Tu te pensais capable de dérider les personnes plus compliquées. Depuis elle, tu sais que ce n'est pas le cas. Et plus le temps passe plus tu te décourages et tentes de te faire à cette idée que jamais elle ne rira de bon coeur à l'une de tes plaisanteries. Pas en étant sobre en tout cas. Parce qu'elle esquisse bien quelques sourires et échappes de temps en temps quelques gloussements. Mais seulement quand elle a un verre ou deux de trop dans le nez. Tu ne sais pas toi même pourquoi t'insistes encore autant. Pourquoi t'es pas simplement capable d'abandonner la partie alors que ça dure depuis une bonne éternité. T'es qu'un crétin qui laisse sa vie se faire ronger par ces conneries là. Sans trop piger pourquoi t'es à ce point incapable de t'en passer. C'est évident pourtant, que t'es fou d'elle depuis toujours. Mais t'arrives pas à accepter cette idée. Toi qui as toujours tellement peur de souffrir. Qui ne supporteras pas une autre rupture douloureuse avec elle. Tu le sais que ça pourrait t'achever une bonne fois pour toutes si vous tentiez une nouvelle relation amoureuse pour finalement devoir encore une fois abandonner.

Mais t'es faible quand il s'agit d'elle Gabriel. Regarde comme t'es faible quand elle se veut tendre et féline à la fois tout contre toi. Regarde comme tu fonds comme neige au soleil sous prétexte qu'elle daigne t'accorder un peu d'attention. T'es comme un animal de compagnie dont s'occupe finalement son maître après une trop longue journée d'absence. T'en es conscient de cette image qui a bien trop souvent le don de te frustrer à t'en faire mal au ventre. Mais tu ne fais aucun effort pour inverser la tendance. Parce que t'es un crétin qui est parfaitement incapable de ça. Parce que t'as pas envie qu'elle quitte ta vie pour de bon. Et tu te dis qu'à trop parler, elle finira par abandonner. Si t'en dis trop, si tu vas trop loin, si t'es plus crétin que d'ordinaire, elle va te lâcher en cours de route. Ce serait mérité Gabriel. Parce que c'est impossible qu'un mec comme toi ait le droit à sa constante présence dans sa vie. Elle mérite mieux qu'un type dans ton genre. Elle qui est tellement sérieuse, mature et bosseuse. Elle qui se bat depuis toujours pour pouvoir finalement vivre de sa passion. T'as jamais été capable de lui dire clairement à quel point t'es fier de sa réussite à l'heure d'aujourd'hui. Pourtant tu le penses vraiment très fort. Et tu tentes de le lui faire comprendre, à toujours revenir vers elle pour la voir bosser, lui tenir compagnie ou lui servir de toile l'espace de quelques heures. T'as l'impression de faire des efforts de sérieux, même. Pourtant, ça ne fonctionne jamais. Il est sans doute trop tard.

T'es le chien battu qui revient quémander des caresses auprès de son maître violent, quand t'acceptes d'échouer dans ses draps en sa compagnie. Ce soir, t'as même fait la promesse d'être encore là au lever du jour. Tu ne sais pas trop pourquoi elle t'a demandé un truc pareil. Tout ce que tu sais, c'est que t'as peur de subir encore la rancoeur qu'elle a toujours pour toi. T'as jamais tenu assez longtemps pour te réveiller à ses côtés. Pas même quand vous étiez "un couple". T'entrais dans sa chambre sans que sa famille ne soit au courant alors forcément, au petit matin t'étais plus là. Quant à la maison de ta grand-mère, il était hors de question de s'y essayer. T'as jamais trop été certain qu'elle l'aurait mal pris ta grand-mère. Mais t'avais aucune envie que Joanne la rencontre. Comme les autres membres de votre groupe d'ailleurs. T'adores ta grand-mère. Mais elle non plus ne le te rend pas tellement bien. Tu prends définitivement les tapes de tous les côtés, crétin inutile que tu es. Heureusement que t'es encore capable de faire vibrer ce corps féminin que t'as appris par coeur depuis le temps. Sans quoi, tu sais vraiment pas ce que tu serais devenu. T'es déjà pas capable d'avoir des tas de passions. Pour ne pas dire que t'en as absolument aucune. Quoi qu'il en soit, pour la première fois, tu vas t'y risquer au réveil dans le lit de Joanne. Sans savoir à quoi t'attendre. Tu préfères mettre ça de côté le temps que tu peux encore profiter de son corps.

Tu prends bien trop de plaisir à lui en offrir de ta langue sur elle. T'es concentré sur ta tâche pour ne surtout pas manquer ton coup. Bien décidé à lui offrir rapidement l'orgasme. Parce qu'elle le mérite malgré tout. Parce que t'as envie qu'elle y pense encore quand tu ne seras pas là à ses côtés, dans son lit, dans son appartement. Peut-être même que t'espères qu'elle pensera à toi quand c'est un autre qui gagnera le droit d'échouer entre ses bras et ses cuisses. Qu'elle n'oubliera pas comme t'as été capable de la faire vibrer de ton corps tout entier et de ta langue sur et en elle. Ce nouvel orgasme que tu lui offres sans trop de mal, avant de te relever pour l'embrasser de nouveau. Et pour perdre ton bassin entre ses cuisses, surtout. C'est elle qui te guide directement en elle. Impatiente alors même qu'elle vient tout juste de connaître la jouissance par tes soins. Et tu ne te fais évidemment pas prier pour creuser plus encore tes reins et ainsi te perdre profondément en elle. Avant d'entamer de véritables coups de reins. Tu vas et vient relativement fort de nouveau. Sans pour autant de réelle précipitation. Pas encore. Tu préfères surtout perdre tes doigts dans ses cheveux rouges. D'une main aussi ferme que celle qui se loge sur sa chute de reins pour maintenir son corps pleinement captif du tien. Et surtout, la garder au bord du meuble.

T'as déjà le souffle court quand tes doigts emmêlés à ses mèches, tirent quelque peu dessus pour lui faire basculer la tête en arrière. Seulement de quoi pouvoir planter ton regard dans le sien. Tes prunelles foncées qui n'expriment rien d'autre qu'un plaisir fou en cet instant. Et sans doute un peu de reconnaissance au passage. Parce que tu lui es reconnaissant, d'une certaine façon, de te permettre d'être ainsi contre elle et en elle. Encore et encore. Malgré votre relation constamment conflictuelle. Tu réponds à ses mots par une morsure délicate sur sa lèvre inférieure, toujours sans diminuer la force de tes mouvements entre ses cuisses. T'as pas envie de t'emballer alors qu'il y a toujours le risque qu'elle regrette son invitation à dormir. T'as trop peur de tomber de haut. Alors tu restes surtout concentré sur la beauté de l'étreinte. Teintée d'une belle passion, comme toujours. Concentré sur ce corps à corps divin. Sur les milliers de piques de plaisir qui t'assaillent de toutes parts, pour ton plus grand plaisir. Peu à peu, t'accélères la cadence de tes mouvements. Le regard toujours planté en elle pour y lire le plaisir qu'elle exprime. Parce qu'elle n'exprime que ça dans l'immédiat. Rien d'autre que ça et une pointe de joie, peut-être, de t'avoir là avec elle. Une pointe d'apaisement, qui sait ? A moins que tu ne prennes simplement tes rêves pour des réalités.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Jeu 10 Oct - 4:28



where the lines overlap
Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Dans l'fond, toi aussi t'aimerais être comme cette cliente à qui tu as refais le dos en le couvrant de ta noirceur. Celle qui en ayant déjà croisé Gabriel au salon à directement comprit qu'il se tramait quelque chose de pas net. C'est sans compter sur votre séance ensemble qu'elle t'as cuisinée à son sujet. Qui il pouvait bien être et tu cites: "ce magnifique brun tatoué te faisant de la gringue." Tu t'es contentée d'esclaffer très fort en un premier temps, retenant ton dermographe en l'air pour ne pas la blesser dans ton fou rire. Vous ne deviez clairement pas parler de la même personne, car Gab il est pas du genre à t'draguer. Encore moins devant du monde où sur ton lieu de travail. Y'a pas de ça entre vous, il n'y a plus d'ça. Tu t'es contentée d'répondre après une courte réflexion qu'il faisait partie de tes vieux frères, cette bande de potes immuable même après plus d'une dizaine d'années à vous supporter. Surtout après une dizaine d'années à vous entraider ou à vous envoyer des vacheries à la gueule. Faut dire que pour ça, c'est bien toi qui tiens la palme. Elle a soufflé de façon bruyante la nénette sous tes aiguilles et c'était pas par la douleur du dermo. Elle semblait bien agacée par ton comportement d'autruche, si elle savait vraiment.

T'aimerais être comme elle. Essayer de belles robes blanches en prévision d'une jolie cérémonie qui réunirait l'peu de gens qu'tu portes dans ton coeur. Seulement les plus importants, pas d'place pour les dalleux ou les mal intentionnés. Tu viendrais lui souffler tes vœux sur l'une de ces plages au sable fin alors qu'le vent laisse virevolter tes cheveux rebelles s'échappant d'une longue natte reposant contre l'une de tes épaules. Vous vous jureriez fidélité, l'amour jusqu'à la fin des temps pour célébrer joyeusement avec votre famille et vos proches. Filer vers une destination de rêve pour vous aimer quelques jours supplémentaires à l'abri des regards avant de revenir unifiés comme jamais, ne formant qu'un. T'as un jour pensé à des gosses et à cette maison modeste dans laquelle vous pourriez tous vivre ensemble. D'ce vieux chien s'reposant sur le porche en attendant qu'tu rentres du salon pour rejoindre ton p'tit foyer aimant. T'es pas une putain d'créature sans cœur Joanne, t'aspires à mieux qu'ta daronne. Etre plus que cette nana à qui on fait des gamins pour mieux l'abandonner derrière. T'es déjà trop brisée pour pouvoir passer par la case d'un amour difficile, d'un énième abandon. T'pourrais pas y survivre, ça viendrait sûrement t'achever. T'faire caner. Alors tu t'refuses à l'attachement, tu t'refuses à ouvrir ton cœur à celui qui l'fait battre depuis si longtemps. Tu survivrais pas à une nouvelle rupture, à un nouvel échec entre vous.

T'es follement amoureuse de lui. C'est pour ça que tu ne supportes pas l'idée d'être invisible à ses yeux ou alors qu'il ne pense pas à ce que ses actions parfois anodines et irréfléchies peuvent t'atteindre. T'es pas sourde et les gars d'la bande sont loin d'être les plus discrets lorsqu'il s'agit d'évoquer leurs conquêtes une fois les taux d'alcoolémies explosés. Tu détestes ça entendre Gabriel bredouiller que ouais, y'a bien une ou deux nanas sans jamais t'mentionner toi. Parce que ça t'rends dingue, l'idée qu'il puisse monnayer sa compagnie à cette vieille pie détestable qu'tu veux même pas apprendre à connaître. Parce qu'elle se le tape forcément au passage aussi non? Parce que Gab il aime les femmes et qu'il dirait sûrement pas non à cette femme qui l'emploie "généreusement". T'aimes pas ça Jo et le peux que tu t'autorises à imaginer te glace les sangs. Rien que de le visualiser dans son appartement à jouer à l'homme parfait, toujours le sourire aux lèvres ou le mot gentil pour l'accueillir lorsqu'elle le rejoint. Non ça t'butes clairement. Toi, en treize ans de relations il n'a jamais été foutu de rester dans tes draps plus longtemps que quelques heures. Finissant toujours par te fuir, te laissant aux bras de Morphée tel un bébé que l'on refile de bras en bras pour mieux s'en débarrasser. L'abandon, encore et toujours. Inlassablement.

Tu lui as fait promettre cette nuit, dans un élan de jouissance de ta part de ne pas quitter tes côtés lorsque l'aube viendrait le tenter. Tu sais pas vraiment quelle mouche est venue te piquer ni d'où te viens cette demande soudaine. Ce qui est fait est fait sans compter qu'il te l'a promit, cette fameuse faveur. T'espères sincèrement qu'il viendra tenir cette promesse. Qu'ensemble et malgré des années à stagner une amélioration pourrait venir se faire sentir. T'aimerais tellement, faire table rase de tout. Ton passé, les mecs incapables de ta mère et votre situation merdique toujours trop bordeline. Ton incapacité à te laisser aller, à t'ouvrir à ceux qui prétendent t'aimer de peur de t'habituer à leurs affection pour mieux la regretter lorsqu'ils viendraient à t'abandonner eux aussi. Tu t'es souvent demandée pourquoi les gens ne restaient pas à vos côtés. Quel pouvait bien être la malédiction trônant sur la tête des de luca. Parce que ça doit être un coup du destin non? Un truc comme ça? Pour que vous ayez autant la poisse avec les relations humaines et que personne, non personne ne semble assez courageux pour vous supporter plus que quelques années si ce n'est parfois des mois pour les plus couards.  

Gabriel il est toujours là mais sans l'être à la fois. T'as toujours l'impression qu'il n'en a que pour ton cul ou ton encre que tu lui brades juste sous prétexte de pouvoir passer toujours plus de temps en sa compagnie. T'as l'impression d'être le bouche trou, le vide couilles lors de vos soirées trop alcoolisées. T'as pas l'impression de compter pour le tatoué, lui qui semble incapable de vraiment prendre de positions quant à votre relation. Gab qui malgré tout ce temps reste incapable de te voir autrement qu'un monstre de colère mise au monde pour le torturer de tes remarques gratuites. Il oublie bien trop souvent que toi aussi t'as un palpitant. Un truc que tu lui réserves pour lui et lui seul lorsqu'il voudra bien ouvrir ses deux yeux et se réveiller. Tu peux pas faire ça pour lui, tu dois juste te contenter d'être patiente. Toujours plus. Combien même t'es sur le point de craquer, te noyant dans ta solitude plus évidente. Combien même tu t'refuses toute compagnie, t'contentant d'un pauvre chat errant faisant son petit bout d'chemin à l'intérieur de l'appart en s'faufilant par l'une de tes fenêtres restées ouvertes pour mieux quémander quelques caresses récompensées de ronrons intempestifs.

C'est toi qui ronronne actuellement, alors que peu à peu tu te remets de l'orgasme offert à nouveau par Gabriel alors que cette fois-ci il est pour toi et toi seule. Depuis autant de temps, tu sais bien qu'il retires autant de plaisir à te contenter que l'inverse des rôles. Vous êtes trop fusionnels là dessus pour vous focaliser sur de telles futilités. Vos corps savent mieux s'aimer et se le rendre que vous en êtes capable c'est un fait indéniable. Vous êtes juste deux abrutis s'allant uniquement l'un à l'autre pour toujours plus furieusement s'emmener au septième ciel et bien accompagné. Vos lippes se retrouvent, peu importe que ce soit toi ou bien lui qui ai chassé l'écart entre vous tout ça t'es bien égal. Tout ce qui importes, c'est sa virilité venant te trouver à nouveau pour t'arracher un long gémissement alors que ta langue vient retrouver le goût de ton nectar de plaisir déployé outrageusement un peu plus tôt alors que Gab usait de ses talents pour te faire perdre la tête violemment. L'une de ses mains contre tes reins l'autre dans tes cheveux, t'es haletante pour accueillir se rythme à la fois soutenu et retenu. Parce que le but est de vous apprécier toujours plus, la folie des retrouvailles étant passée. Parce que vous êtes magnifiques ensembles lorsque vous vous aimez comme ça.

Ton visage se retrouve légèrement tiré vers l'arrière pour mieux subir les opales noircies de ton encré ajoutant toujours plus de cadence à vos échanges. T'as noté ses lèvres contre tes lippes alors que tu répondais d'un élan inconnu au bataillon à une de ses phrases balancées au hasard sûrement. Tes mains sont logées sur son bassin se voulant furieux, inquisiteur pour mieux te percuter et faire trembler le buffet cognant en rythme contre le mur. T'as peut être pas choisi le meilleur endroit pour poser ton cul et te faire aimer de la sorte dessus mais t'es pas vraiment du genre réfléchie lors de ce genre de moments alors t'as fais avec les moyens du bord. "P'tain je t.." et c'est ton coeur cette fois qui met le hola alors que ton cerveau semble très clairement sur le point de déclarer forfait et déballer ses sentiments à nus. Tu peux remercier ton palpitant de t'sauver la vie parce que t'aurais bien pu t'faire avoir si facilement en te laissant porter par la chaleur vous unissant. Bien sûr, que c'est pas la première fois qu'tu manques de lui souffler ces trois petits mots précieux. Mais tu te rattrapes toujours aux branches Jo'. Tu ravises ta voix pour le balader quant à tes mots ayant réellement menacer de s'échapper de tes lèvres encore tremblantes. "Je te veux." Que ta voix hache, saccadée entre deux coups de reins. Ouais, c'est moins désordre que "je t'aime" pas vrai Joanne?

On dit qu'le temps détruit mais l'temps n'est pas notre ennemi
Parce que plus j'te connais et plus j'me sens béni
Assez béni pour t'emmener à l'église
Dire au prêtre : "Oublie l'truc où la mort nous sépare, on va rester dans cette vie"


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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Jeu 10 Oct - 19:44




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The emptiness of space
The hunger of a lion
Is written on your face
A maniac's new love song
Destruction is his game
I need a new direction,
Cause I have lost my way.



Selon certaines personnes, vous n'êtes tous les deux que deux parfaits crétins qui refusent de voir l'évidence depuis beaucoup trop longtemps. Et ces certaines personnes ne sont autre que vos amis de toujours. Votre joyeuse bande de potes qui se connaît depuis le lycée et qui vous a connu tous les deux, en tant que couple. Ils affirment que vous étiez beaux ensemble. Et que depuis que vous êtes séparés, vous vous contentez de fuir salement l'évidence qui vous a frappé de plein fouet tous les deux. Toi tu continues de penser tout le contraire. Parce que tu ne piges pas ces conneries. Parce que tu ne crois pas en l'évidence. D'autant plus que c'est la guerre véritable entre vous depuis plus de dix ans. Surtout de son côté. Elle a tellement l'air de vraiment te détester Joanne, que tu ne vois pas bien comment votre relation pourrait finalement prendre une autre tournure. Tu ne vois pas bien comment elle pourrait, contre toute attente, changer d'avis sur toi et finalement te vouloir dans sa vie et dans son lit de façon plus durable. Non, tu n'y crois pas du tout. N'en déplaise à tes amis. A vos amis. Qui pensent encore pouvoir vous pousser dans les bras l'un de l'autre. Tu sais que ça n'arrivera jamais. Que vous n'y parviendrez pas. Quand bien même t'as un peu plus de facilités à y croire quand tu échoues dans son appartement en sa compagnie. Parce que s'il y a bien une chose sur laquelle elle ne peut pas mentir, c'est le plaisir que vous prenez ensemble. Durant ces nuits que vous volez au temps et à la réalité.

De manière générale, t'as toujours autant l'impression de voler du temps à la vie. Quand tu passes ces nuits dans les draps de ta belle Joanne alors que tu t'attends à ce qu'un jour tu n'y ais plus accès. Parce qu'elle finira par trouver celui qui est fait pour elle et que, tout naturellement, elle te chassera en grande partie. Vous ne ferez plus que vous croiser aux rares soirées auxquelles elle aura envie et le temps de se rendre. Autant dire pas souvent, t'en es bien sûr. Tu n'as plus le moindre doute. T'as déjà bien l'impression qu'elle se force à vous y rejoindre à vos soirées. Tu n'y crois pas totalement à son excuse du boulot trop prenant. Quand bien même tu sais qu'elle travaille effectivement beaucoup trop. T'es bien sûr aussi qu'il y a d'autres raisons qui font qu'elle vous fausse un peu trop régulièrement compagnie. Mais t'as pas le courage de lui en parler directement à Joanne. A vrai dire, t'as pas le courage de lui parler de grand chose. Les conversations trop sérieuses à ton goût, tu les fuis absolument toutes sans exception. Parce que t'es pas capable de rester assez longtemps sérieux. Parce que ça te fait peur. Et parce que tu n'aimes tout simplement pas ça de toute façon. Tu n'aimes pas prendre un air grave pour aborder un sujet qui se veut sensible. Et tu n'aimes pas non plus quand les gens en face de toi, eux mêmes, sont trop sérieux. T'as toujours l'impression qu'ils sont forcément malheureux. Et ça, ça ne te plait pas du tout.

Ce soir, Joanne elle est parvenue à te faire promettre de rester toute la nuit durant chez elle, dans son lit et contre son corps que tu sais chaud quand elle s'endort. Tu le sais parce que t'attends toujours ce moment là pour prendre lâchement la fuite. Tout ça parce que t'as trop peur du réveil. Du moment où, t'en es certain, elle te ferait plus ou moins gentiment remarquer qu'il est grand temps que tu lèves le camp. Dans le fond, t'en sais trop rien de la réaction qu'elle pourrait avoir s'il te prenait l'envie de t'essayer à un truc de ce genre. Mais parce qu'elle te le demande, tu te dis qu'elle doit en avoir vraiment envie dans le fond. Et c'est une excellente raison pour que tu restes par conséquent. Que tu te permettes de trouver le sommeil en serrant tendrement son corps contre le tien. Entre tes bras aimants, quand bien même elle ne le sait pas du tout ça. Du moins pas que tu saches. Tu le sais sans l'ombre d'un doute que tu vas prendre beaucoup de plaisir à dormir dans le même lit qu'elle. Même si tu craindras quand même le lever du jour et le réveil de la jolie tatoueuse. Elle t'a demandé de rester dormir mais ça ne veut pas dire qu'une fois le corps libéré de l'alcool, elle soit toujours du même avis. Mais tu ne sauras pas avant le moment venu.

Après l'étreinte intimes de tes lèvres avec son inimité trempée, vient de nouveau le moment de faire s'unir vos deux corps qui ne savent que trop bien entrer en fusion l'un avec l'autre. Pour votre plus grand bonheur à tous les deux, pour sûr. Il suffit de voir comme vous avez l'air de prendre votre pied de cette façon, rien qu'à être unit. Vous qui n'êtes capables de vous entendre qu'au cours d'étreintes de ce genre. Dans le fond tu ne t'en plains pas. Parce que c'est beaucoup trop bon, c'est évident. Parce que c'est toujours avec un réel plaisir que vous vous perdez ainsi l'un contre l'autre et l'un dans l'autre. Sans penser au lendemain ni à "plus tard". A quoi bon ? Et tu t'emballes toujours plus alors que tu cognes furieusement ton bassin contre le sien. La danse est torride et infernale. Tendre mais animale. C'est comme ça que vous vous appréciez le plus. De cette façon que vous parvenez plus ou moins à vous aimer "ouvertement". T'entends vaguement les mots qu'elle échappe de sa voix hachée par le plaisir. T'es trop crétin pour les interpréter alors qu'elle se coupe en plein élan. Pour finalement conclure par des mots qui te font sourire. Quand bien même, pour ne pas changer, t'es pas trop sûr du sens à leur donner. Tu ne sais pas s'il n'est question que de sexe ou non. Et tu préfères ne pas trop t'interroger de toute façon. Trop de risques de te faire encore du mal. Toujours trop.

De nouveau tu lui coupes le souffle à l'embrasser trop fort et trop fougueusement. L'une de tes mains se faufilant sur sa poitrine pour empoigner. Trop fort. Toujours trop fort quand tu perds les pédales et le contrôle de la situation. Rien de nouveau. Rien qui risque de lui poser problème, en toute logique. Alors tu t'en donnes à coeur joie, comme toujours. Tu possèdes autant que possible ce corps parfait qui s'offre pleinement à toi. Tu ravages avec autant de fermeté que de douceur. Parce que c'est là l'éventail d'émotions et de sentiments qu'elle suscite chez / en toi. Et tu profites surtout, allègrement, d'elle et de tout ça. Ainsi, lorsque tu la fais redescendre de son perchoir, ce n'est que pour mieux la posséder encore. Dans une autre position alors que tu la fais pivoter pour qu'elle t'offre son dos. Et sa croupe parfaite contre laquelle tu viens te coller et te presser pour pouvoir plonger de nouveau en elle. Sans douceur. Plus maintenant. Tes coups de reins sont de plus en plus vifs et impatients. Comme la façon que t'as d'enrouler un bras autour de sa taille fine. Tu la serres trop fort contre toi. Parce que t'as trop peur qu'elle t'échappe Joanne. A l'image de ton sentiment qui perdure depuis plus de dix ans. Tu t'accroches toujours trop fort à elle et à ses courbes.

CODAGE PAR AMATIS



@Joanne De Luca   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 2625458459
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Ven 11 Oct - 5:19



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'as jamais vraiment manqué d'quoi que ce soit. Ta mère elle à toujours su rester là. Bossant comme quatre pour vous assurer un avenir, un toit au dessus d'vos têtes blondes. D'la bouffe dans votre assiette à chaque repas ou une éducation correcte. Elle s'est battue ta daronne, comme une putain d'forcenée. Toi à l'époque t'étais une foutue sale gosse. Une de ces foutues gamines qui passent leurs temps à gueuler plus fort qu'la musique, aux émotions changeantes si fortement qu'vous même vous l'comprenez pas. Combien d'fois tu t'es dis qu'tu canerais comme ça? Incomprise, enfermée sur toi même, esseulée. Qui pourrais bien tomber amoureux d'quelqu'un comme toi? D'un désastre, un pantin. Une sale clébarde mordant d'peur qu'on l'abandonne, préférant s'refuser à toute chaleur humaine parce que t'as tout simplement trop peur qu'on t'laisses sur le côté. Comme un chien en période de vacance, six mois après qu'on se soit rendu compte qu'il prend trop d'place. Qu'il d'mande trop d'attention. T'as toujours eu une peur panique des autres, d'l'attachement et tout ce qui pouvait s'en suivre. On vous as trop laissés sur l'carreau. D'côté comme si vous ne valez rien toi et les tiens. Alors t'as fermé la porte de ton coeur au gens, avalant la clef pour ne pas être tentée d'un jour en ouvrir à nouveau la porte.

Gabriel, t'as jamais été capable de le cerner vraiment. Pourtant faut dire que t'as un foutu sens de l'observation. Tu t'dis trop souvent qu'les gens abîmés arrivent mieux à voir les âmes qui leurs ressemblent. Et pourtant t'as l'impression qu'il est incapable de voir ton mal-être tout comme tu peux lire le sien sur ses yeux alors que tes mots dépassent ta pensée. C'est bien trop souvent le cas Joanne, qu'tu déballes des horreurs pour mieux éloigner le sujet. Allonger la balade, prétendant que le sujet est tout autre. T'es pas courageuse, ça fait treize ans que tu le fuis. Treize longues années que tu te caches derrière ce masque de connasse dépourvue de palpitant. Jo' la solitaire, jo' la mordue de travail. Parce que c'est ton excuse favorite, le travail. C'est à quatre-vingt dix-huit pour cent vrai, combien même tu préfères ta solitude à ce monstre que tu peux rapidement devenir alors que le stress et la fatigue viennent tirailler tes nerfs. Ils ont rien demandés à tout ça tes potes alors t'évites de t'imposer. Quitte à être un monstre de douleur, autant ne pas te montrer. Tu souffres bien trop Joanne tout en refusant de l'accepter. Tu te refermes tel une huître toujours plus fort pour te protéger de ta large carapace. Tu veux plus avoir mal, t'aimerais juste que ça s'arrête.

Il est ton tout. Ton idéal comme tes plus beaux rêves. Tes pires cauchemars comme tes plus beaux espoirs. Gabriel depuis des années il te colle à la peau. Il te colle au coeur. T'es incapable de te laisser aller à d'autres, pour toi c'est impensable que de leurs laisser une chance. T'as essayé, de tromper ton palpitant dans d'autres bras que les siens. De t'enivrer d'autres odeurs réussissant peut être par le plus grand des hasards à mettre ton esprit en déroute. Aucun n'a su ne serait-ce que te faire ressentir quelque chose. Pas la moindre envie ou la moindre culpabilité alors que tu les lâchais piteusement. Non, tout te ramenait trop à ton tatoué et tu les détestes tous car ils ne leurs ressemblent pas. Car ils n'ont pas cette douceur à ton égard ou cette tendresse qui est votre. Que la passion qui vous lie ensemble n'est égalée par aucune autre et de loin. Tu veux pas d'une vie sans lui, tu veux pas d'un avenir sans Gab tes côtés. Tu préfères te punir en restant malheureuse jusqu'à la fin de tes jours. Tu préfères encore t'enfoncer dans cette spirale malsaine de solitude quitte à en craquer plutôt que de te forcer dans quelque chose qui ne te ressemble pas. Car personne ne t'as jamais entre-aperçu avec quelqu'un d'autre que lui. Jamais. Et tu ne comptes pas à ce que ça changes Jo'. Tu resteras fièrement sur tes positions jusqu'à la fin s'il le faut.

Les gamines, elles ont toutes cette image bien spéciale de leur prince charmant. De cette être spécial qu'elles espèrent un jour rencontre au détour d'une rue pour qu'ils viennent les sauver de leurs pitoyables routines. Venant secouer leurs âmes pour leur redonner vie et venir les teinter de couleurs plus chaudes encore. Toi aussi, t'y as pas échappé. Tu n'as que trop bien imaginé ce super-man venant te sauver de ton existence morne pour l'embellir à grand coups d'amour. T'as toujours eu Gabriel en tête, aussi loin qu'il ne t'es donné de pouvoir t'en souvenir. Ce grand brun aux yeux sombres venant réchauffer ton âme de ses grands bras. Comme si t'étais prédestinée à tomber follement amoureuse de lui, comme s'il était la seule personne sur terre pouvant prétendre au rôle d’âme sœur te concernant. Désolé, l'rôle est réservé veuillez passer votre chemin. C'bien c'que ton cœur doit hurler à toute âme l'approchant. T'es une putain d'froideur, tu t'contrôles pas vraiment faut dire. T'es tout simplement trop abîmée, attendant le fin mot d'une histoire traînant à venir. Ou bien le coup de poker de ta vie et tu finis heureuse comme tu l'imaginais à ses côtés dans cette maison remplie de marmots ou bien tu finis par te jeter d'un pont craquant sous le poids d'un burn-out des plus violents t'menant jusqu'aux portes de la mort auxquelles tu viendrais à succomber après un énième abandon.

Il t'reste une relique de c'que vous avez étés, et celle-ci tu la portes encore contre ton cou. C'est con, qu't'ai gardé c'bout de métal sur toi après toutes ces années. Il te l'as offert pour vos un an c'bijou et pour ta petite personne il est vite devenu l'plus précieux d'toute cette foutue terre entière. Ayant quitté ton doigt pour un collier presque ras-le-cou, tu le portes toujours contre ta peau. C'est sûrement insignifiant pour lui, bien sûr que ça l'est. Mais pour toi, il signifie le monde entier. Plus précieux qu'de l'or lui même alors qu'il ne doit être fait que d'un alliage en argent ou en acier tout au plus. Tu t'en fous, t'y accordes bien trop d'valeur sentimentale pour n'serait-ce que l'ôter à un seul moment. T'as pas ôté cette chaîne depuis des années et t'ignores si t'auras besoin d'le faire. Peut-être restera t'elle forte pendant encore aussi longtemps ou bien viendra t'elle par céder sous son propre poids. Tout comme ta personne, son avenir semble bien incertain. Mais rien d'tout ça n'a sa place ici alors que vos bassins se retrouvent furieusement après que tu aies pu avoir la chance de te régaler de ses coups de langue ne manquant pas de te faire jouir à flots. Il te connaît par coeur, sait comment agir pour te faire perdre les pédales rapidement et encore une fois il n'a su que trop bien démontrer l'emprise qu'il pouvait avoir sur toi.

Vos gémissements s'emballent tout comme vos corps venant affaiblir un peu plus la commode sur laquelle tu reposes qui ne manque pas de venir choquer le mur à chaque coup de rein pour plus se fragiliser. Quant à toi, tu supplies pour toujours plus d'attention contre sa peau ou ses lèvres lorsqu'il t'offre ces dernières. Vos mains s'perdent l'un contre l'autre saisissant tantôt les cheveux ou l'épiderme pour mieux vous forcer à vous admirer dans toute votre splendeur. La douceur s'fait la malle et c'est pas sans te ravir. T'aimes bien trop ça lorsqu'il se laisse aller ton tatoué. Lorsque le plaisir vient le frapper si fort qu'il se veut vengeur venant te pourfendre de l'intérieur de ses coups de bassins effrénés t'arrachant plaintes sur plaines. T'es rien sans lui Jo', t'es rien sans tout ça. Sans votre amour défectueux, sans vos rapports passionnés. Tu veux pas vivre dans un monde ou tout ceci pourrait venir à t'être refusé. Tu peux pas t'l'imaginer. Tu manques de laisser échapper quelques mots forts fâcheux avant de te raviser rapidement conquise de ses lippes s'étant étirées dans un rictus amusé. L'une de ses mains venant torturer ta poitrine pour mieux te faire gémir au contact de cette nouvelle étreinte, le bois ne cesse de menacer contre le plâtre du mur.

Il ne manque pas de guider vos ébats et tu te retrouves à nouveau retournée trônant fièrement sur l'un de tes pieds alors que ton genoux libre repose contre le buffet. T'es toujours plus offerte à Gabriel qu'il ne se peut chose, qui n'est pas pour te déplaire. T'apprécies lorsque vous échangez les rôles comme dans une constante lutte pour la domination de vos ébats, comme si vous teniez à vous prouver qui aime l'autre plus fort de cette façon. Tu grognes pour montrer ton insatisfaction quant à la distance entre vos deux chaleurs palpitantes au même rythme que vos cœurs alors que ton tatoué s'enfonce à nouveau en toi en te crispant de part en parts. Bordel de merde, qu'tu jures à la lune alors que la douceur s'est faite la malle pour laisser place à la passion et à la fureur. T'accueilles chaque coups de butoirs comme si c'était le dernier, comme si tu pouvais claquer au moindre instant. Le meuble que t'as monté quant à lui semble rendre l'âme dans un fracas. T'as à peine le temps d'voir les planches trembler sous vos poids déchaînés que dans un hoquet de surprise vous reculez de quelques pas toujours bien imbriqués l'un dans l'autre pour chuter contre le canapé puis le sol sur lequel vous roulez en sécurité. T'as un fou rire des plus francs qui t'passes par la, alors que toujours en toi l'étreinte de Gabriel s'est sûrement resserrée pour te protéger d'un éventuel coup. Ton dos contre son torse, tu te mets à rire furieusement éclatant du comique de situation. T'es foutrement pas douée pour grand choses, encore moins lorsqu'il faut monter quatre planches de bois apparemment.


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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 3 Empty Sam 12 Oct - 1:20




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Tu n'as absolument jamais été en mesure de comprendre Joanne et donc, de savoir vraiment quoi faire et de quelle façon pour l'apaiser lorsqu'elle a tendance à s'emporter bien trop fort. T'as jamais été trop doué pour les choses trop sérieuses Gabriel, c'est un fait. Et une chose que ton amie a passé énormément de temps à te reprocher. Pourtant t'es toujours aussi fidèle à toi même. Très clairement, tu l'es même beaucoup trop. Tu sais pas te montrer sérieux plus de cinq minutes. En tout cas pas suffisamment longtemps pour pouvoir entretenir une véritable conversation. Ce n'est pourtant pas faute de souvent vouloir t'y essayer. Ne serait-ce que pour entrer dans un moule qui, pourtant, ne peut te convenir. Tu n'es pas fait pour ces choses là, que ça te plaise ou non. Dans le fond, tu n'es pas sûr de savoir pour quoi t'es fait au juste. La vérité, c'est que t'es vraiment atypique comme gars. Tu passes ton temps à rire alors que ça manque de couleurs dans ta propre tête. Tu passes ton temps à raconter des conneries pour faire pétiller les regards des autres alors que tout ce qu'affiche le tien, n'est rien d'autre que de la comédie. T'es relativement bon acteur. Tu devrais peut-être envisager de faire ça de ta vie. Acteur. Sait-on jamais. Toi qui n'a jamais trouvé ton domaine de prédilection, il n'est peut-être pas si loin que tu l'imagines. A l'occasion tu t'essaieras peut-être au théâtre. Dans le fond, t'as rien à perdre. Avec un peu de chance, t'as même tout à y gagner.

Comme avec Joanne dans le fond. Un jour tu devras peut-être envisager d'arrêter de jouer au con et te révéler à elle. Lui avouer clairement, purement, simplement, sans tourner autour du pot sans cesse, que t'es fou d'elle. Que depuis le jour même de votre rencontre, tu n'as d'yeux que pour elle. T'as du mal à le nier. Et tu te demandes même comment elle fait pour ne pas le voir depuis le temps. Comment c'est possible qu'elle ne remarque pas avec quelle insistance tu la regardes quand elle est dans les parages. Qu'elle ne s'étonne pas de te voir rôder si souvent dans son salon de tatouages. Sans parler des compliments que tu parviens à lui souffler quand t'as un verre de trop dans le nez et ta capacité à te perdre contre elle et à la serrer dans tes bras quand tu peux te le permettre. Parfois tu songes qu'elle attend simplement beaucoup trop de toi Joanne. Tellement trop, qu'elle ne prend pas conscience des petites choses qui signifient pourtant bel et bien que t'es incapable de te passer d'elle. Tu te doutes que ce n'est pas réciproque. Que ça ne le sera jamais, justement parce qu'elle attend beaucoup plus. Plus que ce que toi t'es capable d'offrir à une femme. D'offrir à celle que t'aimes. Parce que ouais, même si t'as énormément de mal à te l'avouer et plus encore à le dire à voix haute, tu dois bien être amoureux de Joanne pour continuer de lui courir après, après toutes ces années qui se sont écoulées. Plus de dix ans à lui coller aux basques, ce n'est vraiment pas rien.

Mais il n'y a que quand vous êtes ivres que vous parvenez plus ou moins à vous comprendre tous les deux. Ou plutôt, à laisser parler vos corps qui se fondent l'un contre l'autre, avec toujours beaucoup trop de plaisir. Dans ces moments là, t'as vraiment l'impression que vous êtes faits l'un pour l'autre. Pour penser différemment quelques jours plus tard à peine quand vos chemins se croisent de nouveau et que pour une raison ou pour une autre, Joanne t'étouffe sous tout un tas de reproches divers et variés que tu ne comprends pas toujours. De temps à autre tu te dis que tu devrais, pour une fois, ne pas fuir après une nuit fauve partagée avec elle. T'as envie de croire qu'elle n'attend que ça, de se réveiller dans tes bras. Mais très vite tu te rends compte de l'absurdité de cette pensée et tu reviens bien vite en arrière. A te dire qu'elle est mieux sans toi et que dans le fond elle doit bien en être consciente elle même. Mais tu ne sais pas Gab. Tu ne sais rien du tout. Et c'est avec beaucoup trop de plaisir que tu te fonds encore et toujours contre et dans son corps. Et tu sais que le plaisir est partagé. En témoignent les incessantes plaintes qu'elle laisse échapper, pour ton petit plaisir. Autant de gémissements et halètements qui viennent agréablement te chatouiller les tympans.

Jusqu'à ce que tu ne profites de ce semblant de domination sur elle, pour changer encore la position. Et tu ne peux qu'apprécier la façon qu'elle a elle même de se tenir contre/devant toi. Un seul pied pour se maintenir en équilibre alors que son autre jambe est repliée et le genou posé sur le buffet. Buffet qui est en train de vivre un sale quart d'heure il faut bien le reconnaître. Mais t'aimes beaucoup trop ça pour te soucier de ce genre de détail. Et tu penses qu'il en va de même pour elle. Alors que t'oublies d'être tendre et que tu laisses parler la bestialité presque délicate en toi. Que tu continues de marteler ses fesses parfaites de ton bas ventre. Jusqu'à ce que le meuble ne vous abandonne. T'as tout juste le temps d'enrouler un bras ferme autour de sa taille et de reculer pour l'éloigner de ce que t'imagines être un danger, que le buffet rend l'âme en s'écroulant. Et toi tu recules tant, que tu te prends le canapé et bascule dessus. Trop vivement, vous rebondissez dessus et atterrissez comme deux crétins aux corps étroitement liés, sur le sol. T'as que ta bouche pour hoqueter ta surprise. Alors que de son côté, Joanne est pliée de rire. Littéralement. Et toi t'es beaucoup trop sonné et surpris de la chose, pour rire à ton tour. Tu te contentes de la regarder le plus sérieusement du monde alors qu'elle même continue de rire à gorge déployée.

T'as trop rarement l'occasion de la voir rire comme ça Joanne. Et pour sûr, tu le regrettes beaucoup. Elle est tellement belle quand elle se laisse ainsi aller. T'aimerais pouvoir la faire rire de cette façon toi aussi. T'aimes beaucoup trop l'entendre rire. T'es même pas sûr de l'avoir déjà vu et entendu se lâcher de la sorte. A tel point, que tu préfères la laisser faire sans rien dire et sans rien faire. Pour profiter pleinement, le temps que ça dure. Putain c'que t'es belle quand tu ris ... Que tu ne peux d'ailleurs pas t'empêcher de lui souffler d'une voix tendre, lorsqu'elle commence à se calmer. Et sans trop de surprise, tu changes encore la position. Ton corps libère le sien rien qu'une seconde ou deux, le temps de l'allonger sur le dos et de venir de nouveau te perdre entre ses cuisses que tu ouvres de ton bassin. Le temps de lier de nouveau vos corps. Emboîtés l'un dans l'autre avec toute la perfection qui vous va si bien dans ce genre de moment. Et tes doigts qui viennent caresser son visage. Et tes lèvres qui trouvent les siennes pour des baisers tout en délicatesse. De nouveau tu prends le temps d'apprécier le tout. De l'apprécier elle comme elle le mérite. Tu devrais rire plus souvent ...

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