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 (hot) where the lines overlap ± Gabriel

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Mer 2 Oct - 4:46



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'as essayé, de rencontrer d'autres hommes. De te sortir le tatoué du cœur, de la tête. Parce que ça n'a pas fonctionné la première fois entre vous, que ça c'est finit salement combien même vous vous persuadiez d'avoir fait ça sans blesser l'autre. Quels idiots vous faisiez à l'époque. Parce que les disputes se sont intensifiées au fil des mois, que ta jalousie était bien trop conséquente et le manque de sérieux de Gabriel quant à l'officialisation de votre histoire te blessait beaucoup trop. Tu ne supportais pas, d'être loin de lui tout comme tu ne supportais pas lorsqu'il se contentait des mêmes gestes qu'il avait toujours pu avoir lorsque vous vous contentiez de votre amitié. T'as pas eu l'impression d'évoluer, t'as pas eu l'impression de sentir une différence. Parce qu'au fond rien n'avait changé. Vous étiez trop fiers pour faire un pas vers l'autre, bien trop sulfureux pour réussir à vous entendre et à mettre les choses à plat. Alors vous avez préféré lâcher l'affaire plutôt que d'imploser d'une façon dévastatrice qui aurait sûrement fait du mal à votre bande et ça vous ne pouviez l'accepter. Ils payaient déjà bien trop les frais à l'époque de votre incompétence quant à vous comprendre, vous ne pouviez pas leurs infliger ça en plus.

Alors vous vous êtes séparés, en vous promettant que cette tentative ratée ne viendrait en rien entacher votre relation amicale. Encore faut-il que vous ayez déjà été de réels amis pour ça. Parce que vous n'avez fait jamais dans la demie mesure tous les deux. Vous êtes bien trop, ou pas assez. Chez vous, tout est noir ou blanc jamais vous ne tombez d'accord sur les teintes de gris que vous feriez mieux d'adopter. Alors t'as cru qu'avec un autre cela pourrait aller mieux. Au lieu de ça, tu t'es mise à détester chaque homme peuplant cette foutue planète pour leurs en vouloir d'un simple fait. Ils n'étaient pas lui. Combien même ils pouvaient être travailleurs, posés, avoir la tête sur les épaules ou foutrement intelligents aucun ne t'intéressait. Ils te paraissaient tous sans saveurs, dénués d'étincelles. Alors t'as rapidement oublié l'idée et tu t'es résolue à finir seule et abandonnée. A être cette mégère aigrie venant cracher sur ces couples heureux dans la rue comme une vieille folle. Si tu ne peux pas l'avoir lui, alors tu préfères finir ta vie seule et sans compagnie. T'es foutue bornée Joanne, et tu t'es mise cette foutue idée dans la tête il y a de ça treize ans alors que vous vous sépariez tous les deux. Alors que ton cœur s'est brisé violemment pour se réduire en pièces. Et toi depuis tout ce temps t'as été incapable de recoller les morceaux.

Alors forcément, lorsqu'on te parle de Gabriel ça te fais doucement marrer. Déjà premièrement, les gens s’immisçant dans les affaires des autres ça a le don de te faire vriller. Lorsqu'on parle de ta gueule, tu préfères nettement qu'on le fasse en face plutôt qu'en tenant compagnie à ton cul qui est pas des plus dégueulasses. Ensuite, personne mais bien personne n'a le droit de vous juger. Pas Anya ni Romeo, ou aucun autre membre de votre bande ou de vos proches. Personne ne peut comprendre ce lien indescriptible et certes malsain vous liant l'un à l'autre. C'est comme ça, pas autrement et même vous n'y pouvez rien. Vous êtes trop faibles pour vous tenir éloignés l'un de l'autre trop longtemps, vous finissez toujours pas craquer et vous offrir à l'autre sur un plateau d'argent. Bien que généralement, c'est toi qui succombes Jo'. Bien trop souvent c'est toi qui vient capituler face à lui pour t'offrir toujours plus à son bon vouloir, corps et âme. Parce que ton palpitant il ne trouve que de raison lorsqu'il bat pour/contre lui. Ça a toujours été comme ça, et tu peux pas faire autrement. Même si ça fait mal, que c'est déplaisant. Même si tu ne supportes pas l'idée de Gabriel partageant les draps d'autres filles, bien plus jolies ou douces que tu ne peux l'être. Parce que t'es juste Joanne, cette meuf bancale et abîmée. Incapable d'aimer pleinement car trop apeurée l'abandon. C'est comme ça, depuis toujours et tu doutes que cela vienne à changer Jo'.

Cette nuit encore, et un typique exemple de votre relation. Tu te retrouves face à lui, gonflée de colère comme jamais. Comme une cocotte minute ne demandant qu'à imploser, venant éclater au visage de n'importe quel témoin de la scène. Il n'a eu de cesses que de te faire monter en pression, te donner toujours plus envie de venir écraser ton poing contre son visage parfait pour lui faire ressentir les mauvais traitements qu'il pouvait avoir envers ton palpitant fatigué. Et encore une fois Jo', tu t'es bien faite niquée la gueule. Encore une fois, tu t'es faite roulée dans la farine par ses yeux de chien battu alors que t'enchaînais les saloperies contre sa couenne cependant habituée à un tel traitement. Il n'a eu de cesse que de t'attirer à lui alors que tu brûlais d'envie de lui faire mal autant qu'il avait pu te blesser avec de simples clichés. Ses lèvres se sont collées à tes lippes tout comme sa carcasse contre ta couenne agonisante, désespérée pour un tel rapprochement. Et forcément, il a fallu que t'abdiques. Que tu viennes déposer les armes pour saisir sa bouche avec toute cette rage et cette peur de le perdre. C'est ce que t'essaies de lui faire comprendre, que t'es désespérée de/pour lui alors qu'il vient te renverser contre ton matelas pour te marteler de ses vas et viens désordonnés. Tu gémis à la lune tes ressentiments, tes envies de lui appartenir alors que vous vous agitez comme deux fauves désespérés.

Les feulement s'échangent, percutent les murs de ta chambre alors que vous n'avez de cesses que de gagner la profondeur de tes draps d'une façon toujours plus ardente. C'est à moitié déshabillés que vous vous éprenez l'un de l'autre maladroitement comme deux adolescents tiraillés par la hâte des premiers ébats. Dans le fond, vous n'avez pas évoluer. Vous êtes toujours aussi brouillons lorsqu'il en vient de parler de vous, lorsqu'il s'agit de vous coller une étiquette pour vous définir. Vous êtes plus qu'un simple autocollant qu'on vient vous coller sur la gueule pour mieux vous appréhender. Vous êtes toute cette complexité, tout ce meli-mélo de sensations s'entrechoquant si violemment que vous êtes en incapacité totale de comprendre ce qui s'en vient vous tomber sur le coin de la gueule. Gab et toi vous embrasez toujours plus alors que tes jambes viennent quitter le confort de ton matelas pour laisser finalement ton dos s'y reposer et tes lèvres retrouver les siennes bien trop mutines à ton gout. Vos langues se déchaînent s'emmêlent de façon au moins aussi virulente que vos reins s'alliant toujours plus profondément. Vous n'êtes que gémissements, preuves d'appartenances dans ces instants trop rares à ta plaisance. Il est magnifique, le tatoué alors que tes opales se perdent dans les siennes pendant qu'il est furieux contre toi et que tes jambes viennent l'enserrer toujours plus fortement. S'il te lâche Joanne, tu pourrais en crever tu t'en rends compte de ça? Et s'il venait à te trouver répugnante, indigne de toutes ces attentions? Au lieu de ça, il vient clamer que tu lui appartiens. A lui et lui seul. Si seulement il pouvait se rendre compte à quel point ses paroles résonnent en toi pour y trouver tout leur sens.

Tu ne te lasses pas, de le sentir et de le voir te posséder rageusement mais tu trouves le temps de l'échange venu et profitant d'une fenêtre courte tu viens faire basculer Gabriel toujours profondément ancré dans ta moiteur. T'es une amazone impitoyable, valkyrie sanguinaire ou libitina assassine. C'est à moitié dénudée que tu chevauches l'encré de tout ton être pour asseoir à ton tour ta dominance. Ta voix laisse glisser quelques mots que tu ne contrôles pas et auxquels il répond positivement. Et si en treize ans il venait à ne pas quitter tes côtés lors du lever du jour? Et si cette fois était la bonne et que tu pourrais enfin avoir la chance d'ouvrir les yeux pour tomber sur lui. La seule chose que tu veux voir le matin en te réveillant Joanne, c'est son sourire. Et ça fait si longtemps que c'est le cas que t'es devenue totalement désespérée à cette idée l'oubliant totalement. Te résignant à être cette connasse ne méritant pas l'étreinte chaude d'un réveil à deux. Tu t'es dis que tu finirais par t'en remettre, mais de le savoir t'avoir fais cette promesse là ne peux t'empêcher de que de t'enflammer toujours plus. Rapidement après qu'il ai accepté ta requête, tout devient brouillon. Vos échanges tout comme vos corps fiévreux. Vos baisers reprennent alors que tu te penches contre lui qui te percutes toujours plus fortement.

Ton visage en décalage du sien, alors que sa poigne se raffermit et que son cœur se veut toujours plus violent en toi tu le sens finalement exploser dans une plainte des plus rauques. Le feu dans ton bas ventre cède à ses derniers coups de reins n'ayant de cesses que de te faire sombrer en même temps que lui. Te laissant incapable de faire preuve d'autres choses que ces plaintes sonores s'échappant de vos carcasses. T'exploses alors qu'il vient déverser sa jouissance dans ton entre jambe palpitante. "Bordel Gabriel.." T'es haletante, sur le point d'avoir une crise cardiaque alors que tu te laisses retomber sur le côté du matelas tremblante de cet orgasme dévastateur agitant tes membres de soubresauts que tu ne peux contrôler. L'une de tes mains vient se perdent contre son visage tourné vers toi, ton pouce venant redessiner les contours de ses lèvres que tu apprécies tant. Il t'as promit cette nuit de ne pas fuir, de rester avec toi jusqu'à ce que vous veniez à vous réveiller dans les bras l'un de l'autre. C'est stupide dans le fond Jo', c'est un truc d'ado ça. Et pourtant, t'as jamais eu le loisir de connaître ça. Avec personne et encore moins avec ton tatoué. T'as envie de lui dire, ces mots qui comptent et qui viennent tromper les hésitations et vous mettre une claque de réalité. Ces mots qui viennent donner un dernier coup de rein et qui relancent les dés du destin. T'espères secrètement être de ceux ayants le courage d'affronter le blizzard, de ne pas détourner les yeux de l'orage et de réussir à te jeter à corps perdu dans cette tornade d'envies diverses. Tu feras ce qu'il faut, pour Gab. Pour toi, pour vous. Parce que ça a commencé avec lui et que tu finiras avec lui. Sinon rien.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 3794924939  



@gabriel dixon (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 1505825564 (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 3476085353
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Mer 2 Oct - 20:09




overlap.
The desert is calling
The emptiness of space
The hunger of a lion
Is written on your face
A maniac's new love song
Destruction is his game
I need a new direction,
Cause I have lost my way.



Tu n'as jamais vraiment su si tu pouvais ou non considérer ta relation avec Joanne, comme étant une véritable et sincère amitié. T'aimerais pouvoir dire haut et fort qu'il s'agit bien de ça. Mais t'es bien assez conscient de sa haine éternelle pour toi, pour songer que ce n'est sans doute pas le mot qui définie le mieux votre lien. T'aimerais ça pourtant. Pouvoir te dire qu'elle t'apprécie au moins comme un ami. Mais c'est trop compliqué. Elle ne fait rien qui est vraiment susceptible de te donner l'impression qu'elle te voit comme tel. Et ça n'a rien à voir avec votre relation amoureuse qui n'a duré qu'une petite année en fin de compte. Déjà avant de vous risquer à cette forme de relation tous les deux, vous ne sembliez pas capables de vous entendre. Cette amourette n'a rien changé. Elle n'a ni rendu les choses plus belles et plus supportables, ni ne les a vraiment empirées. Avec le temps t'as appris à faire avec surtout. T'as appris à supporter tout ça de sa part parce qu'elle est trop importante pour que tu te contentes de lui tourner le dos. Si t'avais été capable de ça au début, t'aurais peut-être finit par passer à autre chose au fil des mois puis des années qui sont passés. Mais ce n'est pas arrivé. Et plus le sable s'est écoulé dans le grand sablier de la vie, plus les choses ont été difficiles à encaisser et à supporter pour toi.

Tes démons n'ont fait que gagner en place dans ton coeur. Et tu le sais que tout ça ne t'aide pas à les chasser. Au contraire. Ils te dévorent de plus en plus. Jusqu'au jour où il ne restera plus de toi qu'une carcasse sans vie. Un regard morne, un corps mort et un coeur à bout de souffle, à bout de course. T'as l'impression de ne vivre que pour ces nuits que t'arrives encore à voler à la vie et voler à Joanne elle même. Ces nuits durant lesquelles vos coeurs s'enlacent étroitement et ne font plus qu'un. Elles sont belles ces nuits. Elles sont parfaites. Elles sont torrides à souhait. T'es absolument incapable de te passer de tout ça. Tu te dis pourtant, parfois, qu'il te faudra apprendre tôt ou tard. Parce qu'elle ne sera pas toujours prête à te recevoir dans ses draps frais Joanne. Arrivera un jour où elle sera amoureuse d'un type qui aura sans doute tout fait bien comme il faut pour la mériter. Arrivera un jour où tu la perdras parce que t'as trop attendu et que t'as été trop maladroit tout au long de ta vie. T'en es conscient. Mais tu ne sais pas quoi faire d'autre. Tu ne sais pas comment te comporter pour être à la hauteur. Tu ne l'es pas. Et tu ne le seras tout simplement jamais. Faut que tu te fasses à l'idée. Même si c'est dur. Même si elle te manque quand t'es pas avec elle. Même si, dans le fond, t'aimerais pouvoir l'embrasser en publique sans te poser mille et une questions. Même si t'aimerais avoir le droit de la câliner quand bon te semble, sans que ça ne lui semble étrange. T'aimerais aussi avoir le pouvoir de la faire rire et, dans la foulée, de la rendre heureuse. Mais tu sais pas faire tout ça Gabriel. T'es pas à la hauteur. Tu ne la mérites pas. Alors tu te contentes d'être là. De répondre présent quand elle veut t'ouvrir ses bras et ses draps.

Vous perdez si bien les pédales tous les deux, quand vous vous laissez simplement aller à vos envies les plus primitives. C'est comme ça que les rôles s'inversent et qu'elle se fait amazone sauvage et féline pour te dominer à son tour. Elle danse pour toi. Sur toi. Elle se donne pleinement Joanne, comme elle le fait toujours si bien. Tellement belle, tellement sûre d'elle, tellement attirante. Tu lui souffles un mot, rien qu'un, pour accepter sa requête. Presque une supplication qui vient de lui échapper. T'as rien contre. Au contraire. T'as l'impression d'avoir attendu ça toute ta vie durant. Toi qui ne demandes rien d'autre qu'avoir le droit de ça. De partager plus qu'une étreinte ou plusieurs au cours de la nuit. Toi qui espères pouvoir trouver le sommeil dans ses bras. Mais qui prends la fuite avant le lever du jour du peur de lire du regret et du ressentiment dans ses jolis yeux. T'aimes pas les regards qu'elle a pour toi Joanne. Ils sont rarement faits pour te plaire. Ils sont rarement tendres, doux, malicieux. Parfois, comme ce soir, ils s'embuent de désir puis de plaisir. Mais pour ça, encore faut-il que l'alcool se soit invité dans la partie. Comme elle te l'a si bien fait remarquer, elle n'est pas même capable de te supporter sans ça.

Les choses continuent de s'accélérer entre vous. Ses mouvements de bassin sont un peu plus désordonnés et brouillons que quelques minutes auparavant. Mais elle y va franchement. Elle se donne à fond. Te donne beaucoup. T'offre ou t'inflige, tu ne saurais trop le dire. Mais t'aimes clairement ce qu'elle te fait. Tu grondes et geint, presque surpris par la montée en puissance du plaisir. C'est presque trop rapide. Dans tes veines tu peux la sentir l'extase qui monte, qui monte et qui monte encore. Ton sang est en ébullition dans tes veines. Tu t'exprimes de plus en plus. Tu échappes son prénom presque trop fort, tant t'es incapable de te retenir. Et finalement ça te heurte de plein fouet. C'est la foudre qui s'abat sur toi et qui te fait flancher. T'es presque abasourdi par le plaisir insensé que tu prends, encore une fois, avec elle. C'est différent avec Joanne. C'est plus fort, plus violent, plus soudain, plus beau également. Et elle te rejoint presque aussitôt dans l'orgasme Joanne. A croire que vos corps sont vraiment parfaitement connectés l'un avec l'autre. T'aimes cette idée. T'aimerais pouvoir te servir de ça pour lui faire comprendre que vous êtes bel et bien faits pour être ensemble. Mais t'auras jamais le courage de faire un truc pareil Gabriel. T'es pas du tout doué pour les choses trop profondes dans les relations. Tu restes en surface avec elle parce que t'as peur de te plonger trop en profondeur dans tout ça.

T'es tendu et crispé de la tête aux pieds. Un sourire bienheureux sur les lèvres quand elle jure et souffle ton prénom. Elle aussi est crispée au sur et autour de toi. Jusqu'au moment où elle relâche tout à fait son corps. Qu'elle se laisse tomber sur le matelas, à tes côtés. Ou plutôt, qu'elle se laisse lourdement tomber. T'aimes savoir qu'elle est dans le même état déplorable que toi. C'est bien trop sexy que de la voir de la sorte. Dans cet état là. Tu ne réalises que ta tête et tournée dans sa direction, que lorsque sa main vient doucement trouver ton visage. Et que son pouce se fait tendre sur tes lèvres qu'il redessine tranquillement. Laisse moi cinq minutes et on recommence. Que tu fais mine de promettre. Plus joueur et provocateur qu'autre chose. Alors même qu'il est évident que vous allez remettre ça tout au long de la nuit. Avec quelques petites pauses durant lesquelles vous trouverez certainement le sommeil, l'un comme l'autre. Avant toute chose, tu secoues un peu tes jambes pour retirer enfin pour de bon ton pantalon et ton boxer. Tu te tournes ensuite vers elle pour faire de même avec le peu de vêtements qu'elle porte encore. Tu galères parce que t'as toujours deux bons grammes d'alcool dans le sang. Mais tant bien que mal tu lui retires sa jupe. Pourquoi faut toujours qu'tu portes des trucs galères à r'tirer comme ça ? Que tu ronchonnes en t'en prenant ensuite à son soutien gorge. Mais aide moiiiiiiiiii ! Que tu râles quand tes doigts perdus dans son dos, galèrent à défaire les agrafes. Tu ne tardes pas à rire comme un imbécile heureux et à aller étouffer ton rire au creux de son cou.

CODAGE PAR AMATIS



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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Jeu 3 Oct - 5:20



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Souvent, tu t'dis que t'aurais finalement pas besoin de grand chose de sa part pour te pousser à chasser l'espace vous séparant. Tu t'dis bien trop souvent, que s'il agissait de telle ou telle façon, bah ça vous ferait bien moins chier. Qu'les choses pourraient être plus faciles à endurer. A supporter. Tu crèves à petit feu Joanne, tu t'éloignes du monde qui t'entoures pour te renfermer toujours plus entre tes quatre murs. T'as toujours une bonne excuse dans l'fond, lorsque tu dois te justifier de tes agissements. T'es fatiguée parce que tu passes tes journées à bosser comme une acharnée, ou bien t'as pas le temps de t'adonner à un verre en ville le soir parce que t'as un projet important le lendemain sur lequel tu dois te pencher pour griffonner rageusement. Dans l'fond mise à part le staff de RDT et tes clients, tu vois pas grand monde. Parce que tes potes s'ils ne font pas le déplacement c'est clairement pas toi qui trouveras le temps pour aller les trouver. Et ils te le reprochent, après tout ils en ont tous les droits qu'de te faire remarquer ton absence à leurs côtés. Vous étiez pas sensés être plus que ça les uns pour les autres? A partir de quel instant t'as commencé à t'comporter comme une inconnue en leurs compagnie?

Et le pire, c'est avec Gabriel. Tu le plains, parfois lorsque tu te rends compte du poids de tes mots. Parce que bien trop souvent tu t'en veux, t'es assaillies par les remords et tu pleures chaudement tout en étouffant tes râles de désespoir dans ton oreiller. T'es pas foutue capable que de lui exprimer clairement ce que tu ressens Jo', même après treize ans à avoir essayer avec plus de mal que d'bien. T'as finis par t'persuader que quelque chose n'allait pas rond dans ta caboche qu'au final t'étais le problème. C'est toi et ton problème d'abandon, toi et ta peur bleue qu'on t'laisses pour mieux comme les gens entrant dans ta vie l'ont toujours fait. T'as jamais été assez importante pour qui que ce soit Joanne, jamais. Personne ne t'as jamais soufflé qu'il t'aimait, qu'il pourrait faire n'importe quoi pour toi. Et pourtant, toi tu peux pas en dire le contraire pas vrai? Parce que chaque jour tu meurs un peu plus de ton éloignement toujours plus creusant entre toi et Gabriel. Car un jour, une nana bien plus jolie ou bien plus aimable que toi viendra t'le voler, l'emmener loin de toi. Et là, t'auras plus que tes yeux pour pleurer Jo, ça sera bien fait pour ta gueule. T'avais qu'à agir avant dans l'fond, si tu le voulais réellement.

Et c'est ce que tes lippes laissent échapper alors que tu le supplies de rester, de ne pas t'abandonner cette nuit lorsque pendant toutes les autres il trouve le moyen de te fuir. T'es pas forcément connue pour être grognon au réveil, au contraire c'est plutôt le reste de la journée qui vient t'miner le moral pour te rendre toujours plus désagréable et presque invivable. Tu t'demandes bien comment Torbjörn et Rebel peuvent faire pour t'supporter, parce que t'es foutrement détestable parfois. Mais jamais avec eux, il est vrai. Comme si t'étais incapable de faire du mal à tes collègues de boulot, parce qu'eux ils ne se défileront pas. S'ils ont signés, c'est pour en chier et ils en sont conscients. C'est aussi pour ça, qu'ils sont venus frapper à ta porte non? Parc que tu es critique et affirmée. Que tu préfères être franche que de tortiller de ton fessier pour aligner deux phrases. Il n'y a qu'avec 'Bel dans le fond, avec qui tu fais attention. Parce qu'il est comme l'un de tes petits frères (combien même ces derniers sont bien plus détestables que ton apprenti.) T'as envie d'prendre soin de lui, et d'le pousser à faire de grandes choses. Tout comme tes maîtres d'apprentissages ne t'ont pas lâchés, jamais, y compris lors de tes périodes de crises et de remises en question. Lorsque d'un accès de rage tu pouvais faire voler les ateliers pour mieux te défouler. Ils ont été là, toujours et ils continuent de l'être encore maintenant bien des années après.

Il y a forcément ce moment, où tu viens échanger les positions. Ou tu te veux conquérante et où tu renverses Gabriel pour venir le chevaucher tout comme maintenant. Parce que t'aimes bien trop le surplomber, venir asseoir tes envies de lui toujours plus fortement, rageusement et sans aucune retenues. Vous êtes pas comme ça, à vous cacher derrière de fausses envies. Combien même vous tournez autour du pot concernant vos sentiments que vos corps ne se mentent jamais lorsqu'ils se trouvent. Parce que le tien ne réagit que trop bien au sien, comme s'ils avaient été moulés l'un pour l'autre. Créés pour s'imbriquer parfaitement, comme avec aucun autre. Parce que t'as aucun foutu point de comparaison, les autres ne peuvent même pas prétendre au challenge. Et c'est pas faute d'avoir été ouverte, d'avoir essayé avec une nana ou deux. Non, t'es pas acheteuse. Clairement pas. Il n'y a que Gab, que sa maladresse et sa passion. Que lui et ses mains encrées venant se perdre dans tes cheveux pour toujours attirer ton visage plus proche du sien tendrement. T'as envie de lui, et c'est tout ce que ton corps/cœur reflète à cet instant. Rien ne compte, rien n'est important. Qu'on t'emmène au pilori pour répondre de tes péchés, qu'on te foudroie sur le champs pour tes mauvaises actions tu t'en fous Jo', tout ce qui compte c'est ses mains qui se crispent contre toi et ces lippes tentatrices venant s'éprendre des tiennes avec cette manie gourmande que tu ne connais que trop bien.

Il y a cette explosion que vous ne connaissez que trop bien qui vient secouer vos épidermes incandescentes. Tu frissonnes alors que dans un énième coup de rein le tatoué vient te transporter vers cet univers cotonneux et agréable qu'étant la jouissance de vos deux êtres mêlés. Treize ans après, ça t'fais toujours le même effet qu'au premier jour Jo, et après t'oses remettre en cause votre évidence. T'es franchement conne comme nana, en plus d'te foutre de la charité sous l'nom de l'hôpital. T'as un cœur, mais pas que pour mourir. Il est aussi fait pour s'ouvrir aux autres, pour qu'un jour tu puisses libérer le poids de tes sentiments à Gabriel et d'te délester de tout ça. T'y as pensé, au bien que ça pourrais t'faire. A quel point t'pourrais t'sentir soulagée loin d'toutes tes conneries et de tes non-dits espérant simplement que Gab s'réveille un matin en étant un putain de devin. T'passes ta vie à courir après un réveil qui ne s'opérera que si tu viens le provoquer, le truc c'est que tu manques clairement de courge. Pas d'envie, oh ça non. Parce que tu passes bien trop d'temps à rêver à ce que vous pourriez/auriez pu être si vous aviez étés moins stupides. Et l'résultat t'affliges, vous pourriez être tellement plus. Malgré tout, même en t'en rendant compte, t'es pas foutue capable que d'ouvrir ta gueule pour le bien d'tous. T'es pas capable de faire le premier pas, jamais.

T'es crispée, alors qu'il se déverse en toi et qu'vos prénoms s'emmêlent pour faire gauler la lune ou bien même les étoiles. Tu t'en fous, si les voisins peuvent vous détester à vous unir si bruyamment ou si un chanceux peut avoir l'occasion d'vous mater à travers la fenêtre de ta chambre. Rien ne compte, mise à part Gabriel et son souffle haletant venant t'percuter. Il est satisfait, l'encré et tu peux le lire sur son visage alors que tu finis de palpiter contre lui pour t'affaler lourdement contre le matelas laissant le temps à ton cœur de se calmer un court instant. Encore une fois, vous avez fuis ensemble cette soirée pour mieux se retrouver dans tes draps. Encore une fois, vous avez étés trop sentimentaux ou amourachés pour ne pas succomber. T'as pas envie qu'il te voie comme la chose abîmée qu'tu peux être, ces pièces tremblantes et menaçant de s'effondrer s'il venait à se dérober totalement loin de toi.

Le visage tourné vers le sien, tes doigts effleurant ses lèvres douces il te souffle quelques mots qui ne manquent pas de raviver la chaleur étant venue faire brûler ta peau il y a encore quelques poignées de secondes. T'aimes ça Jo, quand il te promet de remettre le couvert inlassablement. Et ce soir vous aurez l'occasion de le faire de façon multiples et tant pis si vous en crevez. Vous aurez au moins la prétention d'avoir pu vivre ensemble, de vous être trouvés dans ces heures sombres. "Laisses moi le temps de satisfaire mon gosier et j'suis toute à toi Gab. Jusqu'à ce que le jour se lève et plus encore." faut dire que tu crèves la soif après cette longue route et vos ébats. Ca s'rait con de mourir desséchée alors qu'il te fais la promesse de s'éprendre encore de toi. Tu le veux, toujours plus conquérant lorsqu'il prend soin de toi. Tu pensais avoir encore quelques secondes de répit avant qu'il ne retrouve ses esprits et pourtant le tatoué vient se débarrasser du reste de ses fringues en moins de temps qu'il lui en a fallu pour s'éprendre de toi passionnément contre ton matelas unique témoin direct de vos ébats des plus fous.

Il se dénude en un rien de temps, Gabriel et vient à l'assaut du peu de tissu reposant encore sur ta peau. Tu te redresses légèrement pour lui faciliter la tâche et ta jupe ne manque pas de rejoindre le sol pour s'y échouer avec le reste de vos affaires éparpillées. Tu t'en fous, du bordel que vous laissez dans votre sillage, car le lendemain lorsqu'il te fuis et que tu rassembles le puzzle de ta dernière soirée tu ne cesses de revivre ces flashs des plus ardents. Constituants ta mémoire de ces images ébréchées vous rapprochant. Tu peux pas t'empêcher de glousser comme une conne Jo, alors que l'encré semble incapable de te soulager de l'emprise de ton soutien-gorge. Tu lui voles un bref baiser avant de te relever non sans un bond de ton matelas pour atterrir sur tes deux jambes et faire voler la pièce de tissu t'ayant maintenue fermement toute la journée. "Gardes moi ça et j't'interdis d'bouger." Que tu menaces presque en te délectant de la vue non combien érotique de ton modèle sur pattes dénudé dans tes draps.

Tu t'arraches non sans mal à lui pour laisser tes pas légers filer en direction de ton salon/cuisine pour t'éprendre de quelque chose à boire. "Tu veux quelque chose tant que je suis debout?" Que tu demandes à ton compagnon de nuitée, le seul et l'unique alors que la pulpe de tes doigts file en direction de l'un de tes nombreux placards de cuisine pour se refermer contre une bouteille de whisky entamée. Ton pouce envoie voler le bouchon pour qu'il aille mourir sur le comptoir alors que tu portes le contenant directement à tes lèvres pour en avaler une longue rasade. Tu t'en brûles la gorge au passage Jo, mais ça ne manque pas de venir fouetter ta couenne au passage. T'es pas folle, lorsque t'entends les pas de Gab se rapprocher pour rejoindre tes côtés alors que tu te retournes entièrement nue au moins autant que lui. Tu chasses l'espace vous séparant vient poser tes lèvres contre les siennes tout en lui offrant l'alcool encore empoigné dans ta main. "Cinq minutes tu m'avais dis?" Que tu lances, foutrement joueuse et prête à taquiner l'homme de ta vie. Cinq de tes doigts filent agacer le creux de son bas ventre dessiné en un V parfait pour mieux le faire frissonner. Tes lippes quant à elles viennent saisir son lobe d'oreille non sans être accompagnées du bout de tes quenottes affamées. Il peut bien s'occuper de la bouteille que tu lui refiles, t'as d'autres pré-occupations en tête Joanne. Et la principale étant de faire capituler Gabriel sous tes caresses conquérantes.


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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Jeu 3 Oct - 21:45




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T'as jamais été capable de la comprendre Joanne. Et le temps ne change rien à la chose. T'es toujours le même idiot maladroit avec elle, qui ne sait pas du tout ce qu'elle attend et espère de ta part. Tu regrettes d'être comme ça. T'es bien certain qu'elle même ne se comporterait pas du tout de la sorte avec toi si t'étais moins le crétin de service. Mais tu ne sais pas du tout être autrement et c'est bien pour ça que tu n'as jamais insisté pour que vous tentiez une seconde fois votre chance ensemble, en tant que couple. Parce que tu n'as vraiment pas la moindre envie de la blesser encore et encore Joanne. T'en fais déjà trop à ce niveau là te semble-t-il. Tu passes ton temps à lui faire du mal, sans jamais trop piger de quelle façon. T'es juste démesurément maladroit. Et t'aimerais bien qu'elle s'en rende suffisamment compte pour cesser de t'en vouloir aussi fort. Ainsi, peut-être que vous parviendriez au moins à entretenir une certaine amitié. A défaut, vous passez plutôt tout votre temps à vous faire la guerre tous les deux. Ce qui est frustrant et usant au possible à la longue. Pourtant t'es toujours là. Et elle aussi. Tu ne saurais trop dire comment ce miracle est possible. Fut un temps où tu te serais dis que c'était juste une question de temps avant que ça n'explose une bonne fois pour toutes. Maintenant t'es plus sûr de rien. T'en viens plutôt à songer que ça va durer ainsi. Que vous deviendrez un jour deux vieux cons qui auront juste assez d'énergie pour vous disputer et vous insulter.

A moins que vous ne parveniez à trouver un terrain d'entente et à faire tous les deux quelques efforts. C'est ce que t'espères bêtement quand elle te demande de ne pas partir comme un voleur avant son réveil. Comme t'as un peu trop tendance à le faire en général. Tu le lui promets. Le coeur s'affolant à cette seule perspective. T'as toujours eus trop peur de croiser son regard accusateur au réveil. T'es pas du tout prêt pour ça. Mais si elle te le demande, c'est bien qu'elle en a réellement envie, non ? T'essaies de ne pas mettre la requête uniquement sur le dos de la dose d'alcool qu'elle a bu ce soir. Pour une fois tu prendras sur toi et resteras dans son lit pour y dormir plus qu'une petite heure. Et peut-être même que tu te réveilleras après elle. Que pour une fois ce n'est pas toi qui profiteras du sommeil de l'autre pour observer tout à loisir. Parce que t'adores faire ça toi. Rester de longues minutes immobile et tranquille à côté d'elle pour la regarder dormir. Parce que dans ce genre de moment, elle ne risque certainement pas de t'agresser d'une quelconque façon que ce soit. Dans ce genre de moment, elle est évidemment adorable et sage comme une image. Tu ne peux le nier, c'est presque ainsi que tu la préfères Joanne. Quand elle ne cherche pas à t'atteindre par ses mots violents.

Quoi que t'es pas mécontent non plus quand elle se fait amazone sauvage pour votre plus grand plaisir à tous les deux. Sans trop de surprise tu te laisses faire sans rechigner. N'offrant que quelques coups de reins bien sentis de temps à autre pour que le plaisir ne retombe jamais tout à fait. Impossible qu'il retombe à vrai dire. Pas tant que vous n'aurez pas tout simplement atteint l'orgasme tous les deux. Et c'est ensemble que vous vous laissez aller à l'apothéose final. La vague violente qui vient tous les deux vous faucher dans le même temps. T'es à bout de souffle et bien incapable de gueuler ton plaisir aussi fort que ce qu'il peut pourtant résonner dans ta tête en cet instant. Y'a des jurons et des mots sales qui cognent contre ta boîte crânienne alors que de simples grognements et gémissements qui fusent à travers tes dents serrées. Tu te tends en elle. Elle se crispe autour de toi. Et finalement son corps vient échouer tout contre le tien, sur le matelas. T'es à bout de souffle et à moitié sonné par ce trop plein de plaisir. Cet orgasme qui t'a bien eut pour le coup. T'es à bout de force mais tu ne t'en plains pas. Au contraire. T'auras jamais la force de te passer de tout ça. De te passer d'elle et de cette entente sexuelle divine. Et t'as forcément envie de croire que c'est pareil de son côté.

Vous vous montrez bien tendres l'un envers l'autre après le sexe ce soir. Ses doigts qui viennent caresser tes lèvres d'une façon tout ce qu'il y a de plus adorable. L'alcool ça déshydrate. T'as mangé aujourd'hui ? Que tu demandes soudainement, laissant la curiosité prendre le pas sur la logique de vos échanges. Faut dire que tu te demandes souvent si elle prend vraiment le temps de se nourrir correctement, au moins deux fois par jour. Ou si, vraiment, elle se contente de grignoter de temps en temps. T'as un peu peur qu'elle ne fasse effectivement que grignoter. Parce qu'elle travaille beaucoup trop. Mais que t'as bien compris que tu n'avais pas le moindre droit de le lui faire remarquer. S'il te prend la folle et terrible envie de faire ça, tu risques de réveiller la bête qui grogne. Elle te rappellera que toi tu ne peux évidemment pas comprendre, puisque tu ne fais strictement rien de ta vie. A part te faire entretenir par "ta vieille". Quand bien même Susan n'est pas si vieille que ça, dans les faits. Faut croire que ça l'arrange Joanne, de la voir comme une vieille femme qui profite de la santé et du corps d'un jeune homme encore en pleine force de l'âge. Tu le sais qu'elle n'aime pas Susan. Pourtant, elle pourrait vraiment l'adorer si elle venait à la rencontrer et à lui parler au moins quelques minutes. Il n'y a rien de mauvais chez "ton employeur". Elle est la bonté et la douceur incarnée.

C'est rare que ça arrive, mais t'es en train de la faire glousser la tatoueuse. T'es tellement surpris, que t'arrêtes ton geste, tes doigts toujours bloqués sur l'agrafe de son soutien-gorge. Tu lèves encore une fois très haut les sourcils et tu la regardes, presque abasourdi. Tu l'aimes salement ce petit gloussement presque puéril. Pourquoi t'y as pas droit plus souvent ? D'autant plus qu'en retour, ça fait apparaître un sourire sur ses lèvres. Qui se transforme en moue frustrée quand elle se lève et s'éloigne de toi. Quand bien même c'est pour ôter pour de bon ce foutu sous vêtement devenu obsolète et que trop encombrant. Tu ne prends pas la peine de répondre à la question/invitation. Et surtout, tu ne prends pas non plus la peine d'obéir à son ordre. Parce que tu le quittes son lit. Mais c'est pour mieux la rejoindre du côté de la cuisine où elle vient de faire sauter le bouchon d'une bouteille de whisky. T'as pas le temps de l'atteindre, que c'es telle qui vient à toi et qui dépose un baiser alcoolisé sur tes lèvres. Tu grondes en sourdine et pose une main sur l'une de ses joues. Ton autre main se referme autour du verre de la bouteille. Et c'est quand le baiser brûlant prend fin de façon temporaire, que tu portes le goulot à tes lèvres. Autre brûlure. Autres sensations. Mine de rien et alors que t'avales quelques gorgées de l'alcool qui ne te fait que plus encore tourner la tête, tu perds ta main libre dans ses cheveux. Alors qu'elle se veut dangereusement provocatrice et joueuse sur toi. On n'est pas encore aux cinq minutes. Que tu fais finalement remarquer d'une voix chaude, en abandonnant finalement la bouteille sur le premier meuble venu. Histoire de te concentrer de nouveau pleinement sur ta belle qui se veut soudainement bien taquine. Ce qui n'est pas pour te déplaire. T'aimes quand elle se lâche de la sorte, Joanne.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Ven 4 Oct - 5:22



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'étais tellement en colère contre Gabriel ce soir lorsque tu es arrivée au bar, que t'aurais littéralement pu faire exploser l'ambiance sous le poids de ta colère. Toute la journée, t'as ruminer dans ton coin comme une abrutie en t'enrageant inutilement. Tu t'es levée c'matin, encore un peu crevée de ta nuit presque blanche à crayonner inlassablement pour satisfaire tes clients. T'as des gens qui comptent sur toi, sur ta régularité et ton sérieux alors tu prends un grand soin tout particulier à rendre les projets en temps et en heure. Dans tous les cas, tu t'es réveillée et ton premier réflexe a été de saisir ton téléphone entre tes doigts manucurés pour parcourir le fil de tes réseaux. Facebook, twitter, instagram tu suis religieusement chacune de tes notifications pour suivre l'évolution de votre travail sur la toile. Le tien, celui de Tor ou encore celui de Rebel ayant rejoint votre équipe récemment. Tu consultes les likes, vois l'évolution de vos profils et finalement tu t'perds sur ton fil d'actualité le temps d'émerger non sans mal pour revenir au monde réel nettement plus désagréable et terre à terre. Parce que c'est un uppercut en plein visage que tu t'es bouffée Jo, lorsque t'as vu le sourire radieux de gabriel avec cette mention presque trop innocente concernant l'fait qu'sa vieille friquée tenait l'objectif pour capturer cet instant.

Toi t'as pas le droit à ça. Enfin si, mais pas de sourires sincères qui expriment le plaisir qu'il peut prendre à s'trouver avec toi. Il est toujours penaud, maladroit ou sur l'point de faire une connerie en ta compagnie. Il est jamais sûr de lui, assuré ou quoi que ce soit qui puisse y ressembler. Il est constamment hésitant, comme si t'allais faire craquer ses cervicales d'une façon meurtrière pour t'venger. Il t'prend sûrement pour un monstre incapable de sentiments, une nana froide et bien trop hargneuse pour pouvoir mériter ce genre de choses. Un weekend loin de tout, des mots rassurants ou encore une promesse de quelque chose de mieux. Un truc qui pourrait réussir à t'faire tenir la distance, à rassurer tes démons ou apaiser ta peur de l'abandon. T'as qu'à regarder ta mère, monstre de solitude incapable de se laisser à une nouvelle romance. Toi t'as pas vécu ta vie que t'es au moins aussi aigrie qu'elle concernant ta vie sentimentale. Tu veux pas du même schéma pour ta vie, tu veux pas une succession de déceptions. Tu veux pas t'faire briser, alors tu ne t'autorises aucune fragilité. Jamais. Même avec Gabriel, tu luttes depuis si longtemps Joanne que ça te dévores de l'intérieur. Comme une plaie suintante, refusant toute cicatrisation. Une encre refusant fermement d'infiltrer le derme pour s'y installer sagement.

Ce soir, tu comptais exploser encore une fois. Et tu l'as fais pas vrai? Tu lui as craché ce genre de mots qui blessent, ceux que tu ne contrôlent pas. Parce que quand t'es animée par ta rage, tu t'laisses brûler trop furieusement. Le problème Jo', c'est que tu parles à personne de ce que tu peux vraiment ressentir. Tu fais toujours la nana trop fière d'elle, du parcourt qu'elle peut avoir. Tu portes fièrement ton badge de célibataire endurcie alors que dans l'fond, tu troquerais volontiers ça pour une robe blanche et une jolie maison. Alors que dans l'fond, tout ce que t'attends c'est un geste de sa part. Un tout petit truc, qui pourrait t'assurer que vous deux c'est pas juste inespéré. Qu'vous n'êtes pas une force de l'habitude, un truc malsain refusant de s'éteindre après avoir clignoté si furieusement pour tenter d'retrouver son éclat. Ce soir, tu voulais lui montrer que t'étais blessée. Que toi aussi, t'es capable de ressentir des trucs. Que ton coeur, il n'te sert pas qu'à clamser plus vite en s'fatiguant bêtement. Il devrait le savoir Gab, après tout ce temps. Il devrait être capable de s'en rendre compte que dans l'fond tu crèves d'entendre trois petits mots traverser ses lippes pour chambouler vos vies. Pour venir relancer les dés et qui sait vous autoriser un nouveau départ. La capacité de vivre une jolie histoire, et sûrement moins douloureuse que la première.

T'en as souffert comme une chienne, de votre première séparation. Et tu ne te souviendras que trop bien de ce jour toute ta vie. Vous avez eu le mérite de vous confronter face à face, c'est bien une des rares fois où vous avez fait preuve de courage l'un avec l'autre. Lorsqu'il a fallu se rendre à l'évidence que votre couple ne fonctionnait pas et qu'il vous faisait plus de mal que de bien. T'étais trop possessive, trop jalouse. Tu supportais pas l'idée qu'il puisse t'abandonner et big news, c'est toujours d'actualité. Tu voulais le prendre en otage, le garder pour toi seule parce qu'à l'époque tu savais pas vraiment ce que partager voulait dire. T'avais jamais eu de quoi partager.  Jamais rien d'aussi important que lui. Quant aux torts de Gabriel, ils ne sont pas vraiment différents de ceux encore au goût du jour. Il est toujours aussi fuyard, incertain, incapable de déclarer nettement le fond de sa pensée et ça c'est sûrement ce qui te fais câbler le plus. Parce que ouais c'est bien joli de rire, mais tu sais qu'il y a plus que ça. Et jamais, il ne s'est ouvert à toi. Jamais, il ne t'as laissé entrevoir ce qui pouvait se cacher au plus profond de tes entrailles alors que tu penses ne pas vraiment avoir de secret pour lui. Bordel, si seulement quelqu'un venait choper vos deux crânes de piafs pour les choquer l'un à l'autre, peut-être que ça pourrait ouvrir un bon coup vos yeux d'amoureux aveugles.

Toi qui étais si rageuse, t'as finis par abdiquer. T'as déposé les armes rapidement, non sans avoir craché ton venin cependant. Tu laisses les excuses à plus tard, si elles viennent un jour à voir le jour. Parce que t'es persuadée qu'il s'enfuira lorsqu'il aura fini ses affaires avec toi. Prenant la poudre d'escampette sur la pointe des pieds pour s'échapper sans bruits. Ça t'bute, lorsque tu t'rends compte qu'encore une fois il t'as laissé. Comme si t'étais pas méritante après t'être offerte à lui sans retenues, parfois venant le dominer de toute ta frustration pour essayer d'lui faire comprendre. Qu'il n'y a aucun homme comme lui, qu'il est le seul et l'unique. Alors quand tu viens le chevaucher de tout ton désir, tu lui fais promettre. Tu ne le laisseras pas t'abandonner, pas ce soir alors qu'encore une fois t'abdiques à ses doigts te saisissant, épousant tes courbes pour mieux mieux accompagner le ballet furieux de tes reins. Tu lui appartiens, et il le grogne tout contre tes lèvres se mêlant aux siennes. Vous êtes lumineux, lorsque vous vous retrouvez de cette façon. Vous vous entourez d'un halo doré, comme si le destin venait vous promettre monde et merveilles car vous avez su vous écouter ne serait-ce qu'un minimum. Assez pour vous laisser à nouveau une chance alors que vous vous agitez l'un contre/pour l'autre. Pour vous prouvez qu'si vous êtes encore en vie et bien prêts à vous débattre comme des diables c'est pour des moments comme ceux là. Venant redonner foi, tromper le destin et laisser une chance supplémentaire au hasard. Car qui sait, un jour vous pourriez bien devenir adultes.

Fait loin d'être étonnant, vous venez à exploser ensemble. Vos mains se crispant en chœur contre vos épidermes encrés pour toujours plus marquer les soubresauts agitants vos corps/âmes plus intensément. Tout ton être se met à trembler, alors que tu te laisses reposer à demie nue un court instant, juste assez pour reprendre ton souffle alors que la voix de ton tatoué ne vienne t'arracher un sourire en s'inquiétant si t'as oui ou non avalé quelque chose. "Mhhhhh j'pratique un nouveau régime, j'me nourris de liquide t'as vu!" tu blagues presque en faisant allusion au whisky avalé alors qu'il vient se séparer du reste de ses fringues obstruant ses jambes. Cinq minutes, si peu? Tu comptes bien le prendre au mot si tel est le cas. Il vient finalement conquérir ton soutien-gorge lui menant apparemment la vie plus dure que tu ne peux le faire. Tu ne peux pas t'empêcher d'sourire et on t'y prendrais presque à rire Jo alors que tu t'arraches à lui pour lui offrir la vue de ton corps que tu portes fièrement et qu'il connait si bien maintenant.

Tu t'élances en direction d'la cuisine après avoir proposé tes services, mais forcément sale gosse impatient comme il est il ne peut rester en place et te talonnes jusque dans la cuisine. Tu viens trouver une bonne bouteille de ce liquide ambré que t'apprécies bien plus que tu ne le devrais pour finalement laisser reporter le goulot contre tes lippes mutines. Une longue rasade venant faire picoter ton œsophage, tu t'retournes tout contre ton encré que tu viens toujours plus échauffer. T'abandonnes la bouteille à son bon vouloir, alors que ta voix s'élève pour lui rappeler le compteur défilant. Il ne manque pas de te répondre rapidement, bien trop joueur pour vos propres biens à tous les deux. Il y a eu sa main sur ta joue, et ses lippes contre les tiennes alcoolisées. A présent, ses doigts se perdent dans tes mèches teintées de feu comme depuis une éternité alors que la pulpe de tes phalanges ne cessent de se perdre contre l'épiderme frissonnant à leurs contacts alors que tu gagnes peu à peu les contrées plates de son bas ventre. T'as beaucoup trop apprécié tatouer cette zone là de son corps, penchée outrageusement au dessus de lui enchaînant les commentaires des plus ardents pour détendre l'atmosphère piquante de la chose. Tes lippes se perdent contre son cou, son torse alors que tu t'abaisses peu à peu pour toujours plus le redécouvrir sous toutes ses facettes. Tu couvres ton art de baisers alors que tes genoux reposent finalement contre le sol, ta bouche venant à présent électriser ses cuisses qu'il te refuse d'encrer. Car ses jambes, elles sont bien trop abîmées à ton goût par sa passion pour le bmx lui datant d'longtemps. Là où toi tu traînais toujours ton skate et Romy ses rollers. Bande de pas doués qu'vous formiez, et bande de bras cassés qu'vous restez bien que t'aies personnellement laisser tes quatre roulettes au placard depuis bien longtemps. "Et le chrono, il en est où?" T'es une putain de diablesse juste bonne à lui faire perdre les pédales, alors que tu laisses à tes prunelles le loisir de se faire surplomber des siennes noircies par l'envie de te posséder jusqu'au bout de la nuitée et exceptionnellement jusqu'à ce que le jour soit bien levé.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Ven 4 Oct - 23:53




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Tu n'as pas encore tout à fait pigé la raison pour laquelle Joanne semblait tant t'en vouloir ce soir. Dans le fond, t'es pas même certain qu'elle ait toujours une raison d'être ainsi remonté contre toi. T'as finis par en conclure qu'il ne s'agissait que d'excuses pour pouvoir déverser toute sa haine sur ta personne. T'es pas tout à fait innocent de tout et t'as pas rien à te reprocher. Mais il n'y a vraiment qu'elle qui semble te détester à ce point. Et qui a toujours eut ce comportement avec toi. Depuis le premier jour t'as la sensation de lui sortir par les yeux. Et pourtant, maso comme tu sembles l'être, tu n'as de cesse d'y revenir encore et toujours à elle. T'es incapable de te passer de celle qui te fait le plus de mal sur cette terre. T'es salement accro et t'aimerais que ça ne soit pas tant le cas. T'aimerais pouvoir te passer d'elle. Surtout depuis que vous avez été assez dingues pour vous essayer à une relation de couple. Ta première et dernière grande histoire d'amour à toi Gabriel. Faut dire que t'as jamais eus envie de t'y réessayer avec qui que ce soit. T'as été amoureux qu'une seule fois au cours de ta vie. Mais c'est un amour qui dure depuis plus de dix ans. Même si tes sentiments ne sont probablement pas partagés. Et même si t'as jamais eus le courage de les avouer tes sentiments. T'assumerais pas de simplement les dire, juste comme ça. Parce que t'es qu'un lâche, elle a raison sur toute la ligne Joanne.

La dernière fois que t'as fais montre d'un minimum de courage, c'est justement le jour où vous avez décidé ensemble de vous séparer. Tout simplement parce que tu n'as eus d'autre choix que celui de lui faire face pour mettre les choses à plat une ultime fois. Une fois, tout court. Cesser vos incessantes disputes pour prendre la décision d'arrêter tout ça. Et tenter, tant bien que mal, de sauver ce qui pouvait encore l'être, de votre amitié. Pas grand chose en vérité, vu que vous ne vous en êtes pas si bien tirés à ce niveau là. Mais vous avez au moins tenté la chose. Elle, peut-être un peu moins que toi. Ou tu te fais des films, tu ne saurais le dire. Tu sais que t'es bêtement maladroit et que tu ne la comprends pas du tout la plupart du temps. Mais tu prends vraiment sur toi. T'essaies, tant bien que mal, d'être un peu plus sage quand elle est dans les parages. Parce que tu sais qu'elle ne supporte pas quand t'en fais trop. Quand tu parles trop fort, quand tu ris trop fort, quand tu fais des blagues stupides trop fort encore. Elle n'est pas la personne la plus discrète qui soit, Joanne. Mais elle est bien loin d'être exubérante contrairement à toi. Tu te dis que tu dois lui faire honte. Que c'est pour ça qu'elle passe son temps à t'offrir des regards noirs, à t'envoyer chier et à tout faire pour te calmer par des mots relativement méchants. Tu ne peux pas tellement lui en vouloir. Mais ça ne t'aide pas à penser qu'elle est un jour parvenue à t'apprécier.

Y'a que quand elle remplace sa colère constante par une belle dose de passion, qu'elle se "calme" Joanne. Ou plutôt qu'elle a une bonne excuse pour se défouler sur toi. T'aimes nettement plus cette façon de se défouler pour le coup, que toutes les autres. Tu préfères ses regards brillants de désir, à ses regards noirs. Tu préfères quand elle geint ton prénom plutôt que lorsqu'elle le gronde d'une voix sévère et sur un ton qui se veut menaçant. Bref, tu préfères quand vous laissez parler vos corps plutôt que vos cerveaux en constante ébullition. Le sien surtout, puisqu'elle t'en veut toujours pour un tas de trucs et qu'elle passe son temps à te le faire bien saisir pour être certaine que tu comprends et daignes te calmer. T'essaies de rester tranquille quand elle est là. Mais tu ne te contrôles quand même pas si bien. Ce qui n'empêche pas que vous finissez par vous retrouver dans le même lit. Ou n'importe quel autre endroit susceptible d'accueillir vos folles étreintes. Ce soir c'est bel et bien son lit. Dans lequel vos corps viennent de s'éprendre l'un de l'autre pour la énième fois ces derniers mois. Après l'étreinte, tu prends le temps d'apprécier la vue de ses courbes nues tellement délicieuses. Elle te fait vriller le cerveau ta belle Joanne tant elle te fait de l'effet. Pas pour rien que t'es à ce point incapable de résister à la tentation qu'elle représente pour toi, alors que vous vous êtes promis de rester bons amis, y'a de ça dix bonnes années.

N'importe quoi ... Faut qu'tu manges sinon tu vas perdre ça ... Tu viens pincer gentiment l'un de ses seins. Et ça ! Que t'ajoutes en allant pincer son bassin, tout près d'une fesse posée sur le matelas. Tu préférerais qu'elle prenne dix kilos, plutôt qu'elle en perde ne serait-ce que cinq. Tu la veux en pleine forme Joanne. Et aussi lumineuse que possible, si elle le peut. Pas sûr qu'elle y parvienne pourtant. Elle s'épuise beaucoup trop au boulot pour penser à retrouver sa pleine forme habituelle. Ce qui est fort dommage. Mais t'as pas le droit de lui faire remarquer tout ça. Sous peine de gâcher l'instant présent en la faisant se tendre de nouveau. Tu préfères la voir jouer de ses charmes sur toi, comme elle s'amuse à le faire en cet instant. Attiré par elle comme un papillon par la lumière, tu quittes le lit et la rejoint dans la cuisine. Quand bien même elle t'a ordonné de ne pas bouger. Il est hors de question que t'obéisses à pareil ordre alors que t'as juste envie de retrouver sa peau de la tienne ! C'est elle qui, pourtant, efface le dernier mètre entre vous. Elle fond sur toi comme un vautour sur sa proie. Pour ton plus grand bonheur ! Ta main se fait douce sur son visage puis dans ses cheveux. Alors qu'elle même n'hésite pas à caresser ta peau tatouée qui se recouvre de chair de poule à son passage délicat.

Tu portes la bouteille à tes lèvres alors que de son côté, Joanne embrasse la partie tatouée de ton cou. Qu'elle se fait joueuse et mutine pour réveiller le feu en toi. T'en es bien certain. Et sans grande surprise surtout, tu te laisses faire bien volontiers. C'est trop bon pour que t'ai le courage de l'arrêter en si bon chemin ! T'abandonnes la bouteille quand les lèvres féminines entament une tranquille descente le long de ton corps. T'es bien trop conscient de ce qu'elle est en train de te faire. De ce qu'elle ne va pas tarder à te faire, surtout. Ton coeur se fait fou furieux. Ton regard se porte sur le visage féminin alors qu'elle prend le temps de caresser et embrasser le haut de tes cuisses. Tout ton être est en train de s'impatienter et de devenir fou. A se demander ce qu'elle attend pour s'occuper de toi. De "mini" toi plutôt, en l'occurrence. T'en as le souffle qui se coupe quand elle relève la tête pour croiser ton regard. Elle est tellement belle Joanne. Mais dans ce genre de moment elle a un pouvoir fou sur toi. Elle a la capacité de t'ensorceler tout à fait. Comme jamais aucune autre femme n'a su le faire. Elle est belle quand elle te provoque. Autant que lorsqu'elle affiche une expression apaisée dans son sommeil. Elle est belle en toutes circonstances à vrai dire. Cinq minutes. Ca y est, ça fait cinq minutes ! Que tu mens sans l'ombre d'un doute. Alors que tu n'as certainement pas pris la peine de vérifier l'heure. T'es juste trop impatient. Toujours quand ça la concerne. Et quand ça concerne ce désir insensé.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Sam 5 Oct - 6:49



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Dans un autre monde, t'aurais pu être une nana sympa. Une Joanne pas prise de tête, qui aurait eu tout l'amour dont elle aurait bien pu avoir besoin en étant enfant. Un daron, une daronne accompagnés d'la jolie maison et du chien dans l'allée. Toi t'as eu le droit à l'appartement miteux et aux baby-sitters plus qu'étranges alors que ta mère célibataire s'acharnait à cumuler deux jobs. Son coeur, il avait déjà été brisé une fois. Par ton géniteur, un connard sans couilles l'ayant abandonnée peu après qu'elle lui ai avoué ton existence grandissant dans le creux de ton ventre. Tu sais pas vraiment, pourquoi elle ne s'est pas débarrassée de toi. Tu lui as souvent posé la question. Son existence aurait été bien plus simple sans toi pour venir lui foutre des batons dans les roues. Elle aurait pu continuer ses études, aspirer à mieux que des emplois merdiques et une gamine qui s'voudra froide comme la glace plus les années la feront vieillir. T'as trop été touchée, par les malheurs entourant ta vie pour que tu ne les laisses pas t'atteindre. Et par malheurs, t'entends personnes auxquelles t'as pu t'attacher bêtement pour salement te faire poignarder en plein cœur.

Gabriel malgré tout ce qui a pu se passer entre vous il est resté dans ton paysage. C'est pas que tu ne l'apprécies pas Joanne, c'est juste que t'es trop effrayée par ce que tu ressens pour lui. Parce que lorsqu'il s'agit du tatoué t'as autant de volonté qu'une crevette avariée puant la défaite. Tu lui reproches des choses que tu es tout aussi incapable de faire. T'attends de lui qu'il fasse le premier pas, parce que toi t'es trop fatiguée pour pouvoir le faire. Tu te sens trop invisible pour ça. Si t'es en colère contre lui, c'est parce qu'il est capable de voir la beauté chez tous le monde. Mais vraiment. Gabriel, c'est le genre de personne qui serait capable d'apprendre à un chat sauvage à regarder avant de traverser. Et pourtant, lorsqu'il s'agit de toi il est tout bonnement incapable que de t'accorder le bénéfice du doute. Parce qu'il doit te voir comme un sacré monstre, s'il se met à penser que tu ne ressens rien pour personne et surtout lui. Jamais, tu ne t'es affichée avec qui que ce soit si ce n'est lui en treize ans certes. Mais justement ça devrait être parlant, non? Il ne t'es jamais arrivée de lui jeter au visage que tu pouvais le détester non plus ou que ta vie serait mieux sans lui à tes côtés. Ça serait des mensonges, Les plus gros que tu pourrait venir un jour à formuler.

Cette nuit, tu voulais lui faire part de tes ressentiments. T'as essayé, pour rapidement capituler. Vous avez déambulés bras dessus-bras dessous pour mieux vous échouer dans le confort de ton appartement. Loin des autres, des tumultes de vos vies écorchées. Il n'y a que vos palpitants sur le point d'imploser qui peuvent importer. Que vos épidermes se trouvant sans relâche pour ne pas se lâcher. Vous allez et venez rageusement imbriqués l'un dans l'autre après avoir semés vos vêtements aux quatre coins du salon dans votre sillage. Peu importe, la recherche peu bien attendre demain. Car c'est l'un dans l'autre que vous venez à exploser ensemble. C'est comme une habitude que vous avez toujours eu de façon inconsciente. Vos corps ne sachant qu'atteindre l'orgasme ensemble sinon rien. T'y comprends pas grand chose, il est le seul à avoir réussi à ne serait-ce que te faire frissonner Gabriel. Et pourtant, il l'ignore. Lui à qui tu peux reconnaître de nombreuses conquêtes rien qu'en écoutant certains ragots au sein de la bande. T'as horreur de ça, lorsqu'ils viennent à conter les exploits de Gab avec d'autres femmes. Comment tu peux t'en remettre toi après? Tu t'contentes d'espérer que ce que vous vivez l'un avec l'autre est quelque chose d'unique. Qu'il ne peut espérer vivre avec aucune autre que toi. Tu chasses ces horribles idées alors que le tatoué vient pincer ta peau de part et d'autres. "Eh j'te permets pas okay? Et puis ça m'ferais pas d'mal." T'as ce léger soucis Jo par rapport à ça, faut dire que t'as toujours trop tendance à t'voir dans le miroir comme cette lycéenne aux courbes généreuses que tu pouvais être alors que t'as perdu bien des kilos a travers les années.

Vous finissez tous les deux de vous déshabiller et c'est nettement assoiffée que tu rejoins la cuisine de ton appart'. T'as tenté d'intimer au tatoué de rester à sa place alors que tu finirais par revenir après les cinq minutes promises. Au lieu de ça, de son éternelle désobéissance il te talonne et ton ouïe fine ne peut s'empêcher que de le remarquer. Tu ne lui accordes pas trop d'importance au début, te contentant d'aller chercher vigoureusement une bouteille de whisky entamée. Le bouchon vient sauter sous l'effet de ton pouce expert alors que tu viens t'enfiler une longue rasade d'alcool ambré avant de laisser traîner ta carcasse en direction de Gab. T'as pas fini de le tourmenter, d'autant plus que cette nuit et ce pour la première fois de vos existences il t'as promit de partager ta nuit. Combien de fois, il a pu se réveiller aux côtés de s vieille connasse friquée hein? Plutôt pas mal pas vrai? Et pourtant jamais t'as eu le droit à un tel effort de sa part à son égard. Comme si t'étais un monstre n'attendant qu'à bondir sur sa proie pour mieux venir la dévorer sans aucune arrière pensées? Tu vaux mieux que ça putain Jo' et t'espères qu'il saura tenir sa promesse jusqu'au bout sans te décevoir

Tu chasses l'espace vous séparant l'un à l'autre, lui qui a voulu jouer la carte du courage et t'affronter pleinement. Goguenarde, vous échangez quelques mots des plus joueurs tout en vous éprenant des lippes et de l'épiderme de l'autre. Tu ne te lasseras jamais de te régaler de ses caresses ou de ses frémissements alors que tu t'accoles fiévreusement à lui. T'aimerais parfois qu'il se fasse foudroyer par un éclair et que cela vienne lui ouvrir les yeux sur votre situation. Ou tout simplement lui rappeler que s'il a un cœur il n'est pas fait que pour mourir bien au contraire. Où est-ce que vous avez réellement merdé tous les deux? Quand est-ce que votre histoire à réellement prit l'eau à un point de non retour pour que vous ne puissiez jamais vous accorder ce bonheur auquel vous rêvez tant? T'es pas folle Joanne, tu peux pas l'inventer cette attirance indéniable que vous avez l'un pour l'autre. Tu peux pas prétendre qu'elle n'existe pas alors comment il le pourrait? Tes baisers se veulent des plus mutins. Quittent les lippes de Gabriel pour s'échouer contre cette peau que tu as toi même tatouée depuis bien longtemps. Tu n'as de cesses que de descendre pour finalement arriver genoux au sol contre ce bas ventre que tu n'apprécies que trop furieusement. Tes opales supplantées de celles de Gabriel, tu te veux féline et prête à t'éprendre de lui pour le faire capituler toujours plus. Sa voix ne manque pas de l'affirmer alors qu'il te ment ouvertement concernant le soit-disant compteur retardant sa recharge totale.

T'attends aucune autorisation, aucun encouragement de plus avant de laisser tes lèvres se perdre plus intimement contre Gabriel que tu viens taquiner du bout de tes lèvres. Autant vous n'avez pas prit le temps de vous dévorer un peu plus tôt car trop excités par cette envie violente de vous éprendre l'un de l'autre que cette fois t'as envie de pouvoir profiter de lui et faire ralentir la chose. T'as envie de toujours plus avec l'encré car tu sais que tout peut rapidement tourner au vinaigre et que tu peux être amenée à perdre tout ça. T'as pas envie de vivre une telle chose. T'aimerais un rapprochement, une nouvelle chance. Une opportunité de lui montrer que ce que tu ressens est bien réel. L'une de tes mains se joint à tes lippes taquinant sa virilité pour la couvrir de baisers alors que cette dernière ne manque pas de tressauter à tes assauts répétés. Après si longtemps à côtoyer les draps l'un de l'autre, vous savez au moins parfaitement comment vos corps réagissent l'un à l'autre. Vous n'aurez finalement pas tout perdu pas vrai? Comme si une partie d'vous s'évertuait à vous montrer qu'vous êtes capables d'vous entendre même s'il ne s'agit que de ça pour l'instant. Cinq de tes ongles venant trouver sa main tatouée, les autres filent contre ses reins pour le laisser gagner du terrain entre tes lèvres enserrées. Les genoux joints, le dos redressés t'accueilles Gabriel d'une façon bien différente qu'un peu plus tôt, jouant du bout de ta langue percée faisant rouler la barre de titane contre sa chaire tendue. Tu pourrais, un jour le perdre. Que même le sexe ne suffise plus à vous rapprocher. T'as pas envie d'être encore en vie pour voir ça, parce que t'es incapable d'imaginer une vie sans lui combien même la seule façon de vous rapprocher est celle de vos corps se rendant fous l'un l'autre.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Sam 5 Oct - 20:50




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T'as moins de filtres quand t'as tant d'alcool qui se mêle à ton sang dans tes veines. T'es moins capable de te protéger des attaques de Joanne également. Mais elle même est moins agressive quand elle est ivre ou presque. Elle n'est finalement que délicates provocations et taquineries des plus plaisantes, quand vos corps se trouvent pour se percuter avec plus ou moins de passion. Que vous vous laissez pleinement aller à toutes vos envies les plus folles comme à chaque fois que vous vous trouvez de la sorte. T'es fasciné par elle toute entière quand elle daigne enfin baisser un peu les armes. Et tu ne te prives vraiment pas pour le lui faire sentir. A la façon que t'as de la dévorer du regard. Et même à te permettre de jouer avec elle alors que, sobre, elle passe son temps à t'envoyer. Elle ne le fait pas quand tu te bats tant bien que mal avec l'attache de son soutien-gorge. Au lieu de ça, elle se laisse faire sans rechigner et fini même par s'en débarrasser d'elle même. T'es pas en état d'y arriver ! Tu grondes ton mécontentement quand elle affirme que ça ne lui ferait pas de mal de perdre un peu de poids. T'espères qu'elle n'est pas sérieuse à ce sujet. Parce qu'elle est beaucoup trop parfaite telle qu'elle est en cet instant. Et surtout, t'as pas envie qu'elle soit plus fine encore qu'elle ne l'est déjà. Elle n'a que trop perdu au cours des années déjà. T'as bien remarqué. Tu passes ton temps à la dévorer du regard il faut dire.

Arrête tes bêtises ... Que tu marmonnes avant de te pencher pour aller mordre une cuisse à découvert, à pleines dents. T'es bien trop bonne comme ça ! Que t'affirmes haut et fort, sûr de toi à ce sujet. Sûr aussi qu'elle n'a sans doute que trop de succès auprès des mecs quand elle porte des tenues un brin moulantes ou courtes pour vos soirées en bande. Pourtant tu la vois souvent les envoyer chier les mecs qui tentent de l'accoster quand elle s'éloigne temporairement de vous. Tu ne l'avoueras jamais mais c'est aussi pour ça que tu ne quittes jamais l'une de ces soirées en charmante compagnie. T'as aucune envie de lui faire le coup alors qu'elle ne te le fait jamais. De ça au moins, t'en es conscient. Tu te doutes qu'elle a une vie sexuelle en dehors de toi, Joanne. Mais tant que tu ne le vois pas de tes propres yeux, tu n'as vraiment aucune raison de te l'infliger par la pensée. De l'infliger à ton cerveau déjà bien assez esquinté comme ça. Bien assez sombre sans la tristesse de tout ce que t'as perdu concernant cette relation amoureuse qui a été foutue en l'air. T'es parfaite. Que t'affirmes haut et fort pour être bien certain qu'elle t'entende. Même si t'es pas franchement sûr que ton avis sur la question compte tant que ça. Elle s'en fout probablement mais qu'importe. Tu le dis parce que tu le penses. Et t'espères que t'es pas le seul à le lui dire et qu'à force de l'entendre, elle finisse enfin par se faire à l'idée et accepter la chose.

Tu joues un peu au vilain garçon quand tu la rejoins du côté de la cuisine malgré son ordre. Elle voulait que tu restes là bien tranquille à l'attendre. Mais t'es attiré par elle comme un foutu aimant qui ne sait pas du tout résister à la tentation. Alors t'es bien vite juste devant elle. A la regarder effacer le dernier mètre qui vous sépare l'un de l'autre. T'aimes bien trop quand elle fond sur toi avec une telle assurance. T'es conscient qu'elle est dans le même état que toi. Qu'elle est déjà en train de s'enflammer aussi et surtout. Son corps appelle le tien et inversement. Vous n'avez aucun mal à relancer l'incendie tous les deux. Elle te fait beaucoup trop d'effet. Elle colle son corps encore brûlant, contre le tien. T'as juste envie de l'attraper par les hanches et la soulever de terre pour la flanquer sur le premier buffet venu. Pour te perdre une nouvelle fois entre ses cuisses. Tu sais qu'elle ne demande que ça dans le fond. Quand bien même elle est encore trop occupée à embrasser ta peau de ses lèvres délicates. Tu les préfères sur ta peau plutôt qu'à débiter des horreurs à ton encontre ou concernant vos amis, sans réelle surprise. Tu les préfères quand elles descendent le long de ton corps. Elle se fait joueuse et provocatrice. Parvenant à te faire te crisper sur place et à grogner ton envie d'elle. Quand tu ne jures pas et ne lui souffles pas que t'as sacrément envie d'elle.

Tu le sens qu'elle va prendre beaucoup de plaisir à te redécouvrir de cette façon. Vous n'avez pas suffisamment pris le temps plus tôt en arrivant. Trop à votre hâte de vous posséder vite et fort. Vite et bien. Elle rattrape l'erreur en s'installant bien sagement à genoux devant toi. Pour ton plus grand plaisir. Elle a le pouvoir de te ravager tout entier de cette bouche joueuse et elle ne s'en prive absolument pas. Tout au contraire. Elle sait se jouer de toi et de ton désir pour elle. De ton corps qu'elle connait par coeur. Comme elle connait très bien tous tes points faibles. Tu ne te fais vraiment pas prier pour te laisser faire sous sa bouche chaude qui te possède. T'aimes bien trop quand elle prend le rôle du dominant. Parce qu'elle maîtrise l'art de te retourner le corps et le cerveau et qu'elle ne se prive donc jamais de le faire. Pour ton plus grand plaisir, sans surprise. Tu lâches un juron, un peu trop fort, quand elle taquine de sa langue percée. Elle devine sans mal le plaisir qu'elle procure de cette façon. Tu préfères ne pas penser à tous les hommes auxquels elle a offert ça. Tu tâches de ne penser qu'à toi, à vous, à ton plaisir. Parce qu'elle le fait pour toi là. Et que c'est tout ce qui importe pour toi.

Tu débites des "putain oui" et des "putain encore" d'une voix rauque. Encore et encore. Quand il ne s'agit pas de son prénom que tu souffles du bout des lèvres. Sans parler de tes doigts qui filent se perdre dans ses boucles colorées et se crisper sur l'arrière de son crâne. T'as bien envie d'appuyer juste là pour l'inciter à y aller plus franchement. A vrai dire, tu ne tardes pas à le faire. Sans même y penser. Sous prétexte qu'elle te fait coulisser entre ses lèvres, t'appuies pour accentuer la chose et l'inciter à poursuivre et à t'offrir toujours plus que ce qu'elle n'est elle même en train de t'offrir. Tu prends tout et tu cherches plus encore. J'veux pas que ça s'arrête. Que tu confies d'une voix chaude. Sans trop savoir si tu parles uniquement de ces préliminaires ou s'il est question de plus que ça. De vous deux, de votre relation, de façon plus générale. Parce que t'as pas envie que ça s'arrête entre vous. T'as jamais vraiment désiré ça mais t'as pas eus des tonnes d'autres choix. Tu te laisses toujours porter par la vague. Même là. Tu te contentes d'apprécier la montée en puissance du plaisir et de la chaleur, quand tu ne remues pas des hanches pour accentuer les vas et vient. T'es totalement à sa merci. Prêt à aller jusqu'au bout si c'est ce qu'elle souhaite. Ou à te perdre de nouveau en elle si elle décide de se relever pour te recevoir une seconde fois entre ses cuisses chaudes.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Dim 6 Oct - 7:08



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'es une nana bourrée de complexes Joanne. Plus jeune t'étais pulpeuse et tu te sentais mal dans ta peau. T'avais toujours été abandonnée par la moindre de tes figures paternelles qui te laissaient toujours de côté toi comme ta daronne. Puis tes petits frères. Comme si les De Luca n'étaient jamais assez. Comme si vous n'aviez pas le droit au bonheur. Tu t'es remise en question sur tout les points. T'étais pas assez sage, tu ne rentrais pas assez dans le moule. Tu n'étais pas assez jolie ou assez docile. T'aurais tout donné toi, tout sans exceptions pour n'avoir ne serait-ce qu'une âme tenant réellement à toi. Une personne capable de bouger des montagnes et d'ôter une vie si c'était dans l'but de protéger. Pas ta mère, nan parce que ta mère c'est une putain d'guerrière Joanne et ça t'en es bien avertie. T'es la seule à t'être rendue compte à quel point elle pouvait trimer dans le noir. Parce que si elle te demandait de te mettre de côté sans forcément vivre ton adolescence comme tu l'entendais c'était pour que vous puissiez maintenir ce toit au dessus de vos têtes. Pour que vous puissiez avoir à bouffer dans vos assiettes chaque jours alors qu'elle même se contentait parfois de café et de pain pour se sustenter.

Tu t'en es voulue, tu t'es mise à te détester. Ton apparence, ta façon d'être et de penser. Tu t'es faite du mal, secrètement en laissant tes poings heurter les murs de ta rage plutôt que de préférer les lames contre tes veines pour te soulager. T'es une lâche toi Jo' tu préfères déverser ta hargne en étant violente contre quelque chose plutôt que toi même. Alors ça peut être Gabriel, votre bande ou bien autre chose tant que la colère s'en va et que tout se calme. Ce soir encore, t'as eu les mots de trop. T'as dis des trucs que tu pensais pas forcément pour mieux justifier ta colère à l'encontre du tatoué qui semblait être incapable de te comprendre. Treize ans, qu'vous essayez de communiquer en vain. Comme si l'autre émettait un signal crypté que vous étiez en incapacité de déchiffrer. Tu t'es noyée à corps perdu dans le dessin et le tatouage, te mettant clairement de côté. Tu t'es mise à bosser comme une acharnée après votre rupture pour mieux occuper ton esprit et soulager ta daronne sur l'point d'craquer. T'as enchaîné les heures, tu t'es clairement oubliée. T'as bossé encore et encore afin d'ramener ces précieux billets verts. Tu courrais après l'argent et le savoir plutôt qu'après tes potes et ta fin d'adolescence méritant d'être savourée. T'as quitté le lycée avant d'être diplômée pour te lancer dans ton apprentissage. Tu devais t'éloigner de Gabriel et de sa nouvelle indifférence que tu ne pouvais définitivement pas supporter.

Il pince ta peau le tatoué alors que tu t'arraches à lui pour mieux te dénuder. Vous argumentez sur ton alimentation alors que ses dents viennent se loger contre l'une de tes cuisses offertes à son bon vouloir. "Alors déjà cher monsieur Dixon on ne dit pas d'une dame qu'elle est bonne, mais qu'elle est jolie!" Tu roules des yeux dans tes orbites alors que tu taquines en faisant tomber ta jupe après t'être débarrassée de ton arme de torture. Tu finis par lui intimer de rester sagement à sa place alors que ta soif légendaire et dévorante se veut d'autant plus présente que tu retrouves peu à peu tes esprits après cet orgasme fulgurant vous ayant liés tous les deux de cette manière que vous ne connaissez/appréciez que trop bien. T'entends sa voix, qui s'élève pour te notifier qu'il te trouve parfaite. "C'est quelque chose qui se saurait, Gabriel." Qu'tu te contentes de rajouter alors que tu gagnes finalement ton salon cuisine. Ça serait bien, qu'un jour tu penses à déménager d'autant plus que tu en as clairement les moyens. T'apprécies le côté minimaliste du dernier étage du Shop t'étant réservé. Tu te sens à ton aise, dans ce trois pièces te servant de chez toi. Seule, t'as pas besoin de plus après tout.

Il ne manque pas de te rejoindre, tout à fait désobéissant ton tatoué. Tout comme tu ne tardes pas à le rejoindre une bouteille de whisky trônant fièrement dans tes mains. Tu lui refiles le bébé, pour mieux laisser tes lèvres et tes mains se perdent contre sa peau offerte à tes caresses des plus intimes. Vous vous connaissez par cœur, jouez de vos corps depuis treize longues années. Il n'y a plus de gêne entre vous, pas en ce qui concerne d'assumer vos épidermes qui vous sont bien trop familiers. Tu pourrais pas t'en passer Jo', imaginer que ça appartienne totalement à quelqu'un d'autre. Tu te rends bien trop malade à l'idée que parfois la vieille ridée ne l'achète que pour ses petits extras. Tu ne te partages pas toi. Certes par choix, certes aucun n'a jamais réussi à te donner un orgasme si ce n'est Gabriel. Combien même. T'as jamais vraiment voulu d'un autre dans tes draps ou dans ta vie. Tu les as tous blâmé, de ne pas être lui. Tu leurs en as tous voulu de ne pas lui ressembler, si fort que tu t'es rapidement retrouvée dans l'incapacité de les apprécier pleinement. Ils.ne.sont.pas.lui.  

Et c'est ce que t'essaies de lui prouver, alors que tu tombes à genoux pour toujours plus t'éprendre de son corps. Autant la passion est venue vous dévorer quelques instants avant que cette fois t'as envie de profiter pleinement de lui et de sa peau s'offrant à tes envies. Tes lèvres partent des siennes à sa mâchoire. Tu files de sa jugulaire palpitante à ce torse que tu ne connais que trop bien. Tu finis pas atterrir  contre les plaines musclées de son ventre pour chuter entre ses cuisses abîmées par bien des chûtes à vélo. Pour ça que t'essaies même pas de tatouer ses jambes, parce qu'il se les abîme bien trop souvent pour que cela n'en vailles le coup. Pourtant son dos lui est bien trop vierge à ton goût et si ce n'est le courroux de tes griffes manucurées ou bien de ton dermographe il ne risque pas grand chose. Il te tardes, de pouvoir le recouvrir d'encre puis de venir agacer celle-ci du bout de tes phalanges affûtées. Ta voix vient chaudement faire allusion au pseudo chrono donné avant la reprise des hostilités sur lequel Gab revient sans grandes surprises. T'as un large sourire sur les lèvres alors que ses yeux viennent surplomber les tiens pétillants d'envie. Et il ne t'en faut pas moins pour venir plonger tes lèvres contre sa virilité offerte à ta bouche aventureuse et avide de le retrouver.

Les choses escaladent rapidement et le désir n'a de cesse que de revenir tel un coup de fouet violent venant réveiller vos corps désireux. Ses mains se perdent contre les boucles flamboyantes de tes cheveux pour mieux guider tes vas et viens que tu fais généreux. Vous adorez ça l'un comme l'autre que de vous aimer de la sorte. Sans retenues, lorsque les filtres tombent et que vous vous retrouvez finalement. Tu peux le jurer sur tout ce que tu peux avoir de plus cher Joanne, jamais aucun homme au monde n'as su te faire sentir de la sorte. Aussi offerte et vulnérable. Les plaintes de l'encré se font entendre tout comme ses jurons fracassant le silence entre deux bruits de succion de ta part. Tes mains se crispant à présent autour de ses hanches pour toujours mieux l'accueillir, le piercing de ta langue n'a de cesse que de rouler pour mieux l'agacer et l'énerver. Le monter aux portes de l'excitation des plus intenses. Car t'es douée, lorsque tu dois jouer de ta langue. Autant lorsqu'il te faut le faire craquer que de lui balancer des saloperies. Véritable succube jusqu'au bout dans le fond.

Tu finis par l'abandonner, la pulpe de tes doigts gagnant les siens alors que tes yeux s'ancre à ses prunelles noircies par le plaisir pulsant dans se veines. Tu l'abandonnes sciemment, pour mieux faire durer le plaisir toujours. Toi aussi, t'as envie qu'il te dévores comme un affamé ayant pour le but d'aspirer ton âme hors de ton corps avant de toujours mieux s'en éprendre. Vous vous connaissez par cœur, ne connaissez que trop bien les envies de l'autre sur ce plan après tout ce temps. C'est fou, que vous vous entendiez si bien sur le plan sexuel comme une évidence alors que le reste vous semble si insurmontable. Tu fais quelques pas après t'être redressée, pour laisser à tes fesses le plaisir de reposer contre un buffet meublant la pièce. Te hissant sur la pointe des pieds pour laisser le bois caresser ta peau, tu t'assois à présent pour attirer le tatoué de tes jambes entourant son bassin. Tes lèvres ont capturées les siennes depuis un moment déjà, laissant à sa langue le plaisir de danser avec la sienne rageusement. Tes mains parcourant son corps de part et d'autres tu ondules au gré de cette danse vous agitant. "Ton tour..." Que tu grognes en refermant ta poigne contre sa chevelure de geai pour l'attirer à ton bassin, furieuse et avide de ne laisser aucune place à la conversation. Tu brûles bien trop pour ça Jo', vous avez voulu jouer et vous vous êtes à nouveau brûlés. Il est temps d'en subir les conséquences et réciproquement.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel - Page 2 Empty Dim 6 Oct - 21:16




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Tu l'as toujours trouvé sacrément sexy et belle Joanne. Même avec quelques kilos de plus -et non pas "de trop"- quand vous étiez tous bien plus jeunes. Quand elle s'est lancée dans le projet de son salon, elle a un peu trop perdu à ton goût en revanche. T'as pas trop aimé quand t'as commencé à voir ses joues se creuser. De même avec ses cuisses. Mais bien vite, elle a repris quelques kilos. Pour ton plus grand plaisir. Et pour celui de tes doigts qui ont de nouveau pu se planter dans sa chair ferme. Alors tu ne te fais pas prier pour lui faire remarquer qu'elle n'a pas des kilos en trop, contrairement à ce qu'elle semble s'imaginer. Elle est même carrément mince Joanne. Alors tu ne comprends pas qu'elle ait tant de complexes en fin de compte. T'oublies parfois un peu trop qu'elle en a alors t'oublies de la complimenter comme elle le mériterait. Ce soir tu n'y manques pas. Sûr de toi quand tu lui fais remarquer qu'elle est "bonne". Elle ne manque pas de te reprendre sur ce mot. De quoi te faire plisser le nez de la façon la plus adorable / enfantine qui soit. Nan. T'es pas juste jolie. T'es belle. Jolie se dit d'une fille simplement "mignonne". Belle se dit d'une femme parfaite ou pas loin. Et elle l'est à tes yeux, à n'en pas douter. T'es belle. Et t'es bonne aussi. Avec un corps comme le tiens, c'est comme ça qu'on dit. Que t'affirmes tout de suite derrière, le regard posé sur sa poitrine puis sur son bassin parfaitement arrondi. Tout en rondeur délicate.

Mais Joanne elle n'a jamais envie d'entendre tes mots à ce sujet là. Elle est déjà en train de fuir du côté de sa cuisine. Et toi, t'es bien incapable de ne pas l'y rejoindre très vite. Parce que t'es bien trop attiré par sa petite personne, toute entière. Quand elle s'éloigne de cette façon, tu te sens soudainement bien trop seul. Alors forcément, tu la rejoins sans perdre une seconde de plus. Et c'est elle qui efface le peu de distance qui demeure entre vous. Tu comprends très vite quelles sont ses intentions et, sans réelle surprise, tu te laisses faire sans te faire prier. Prenant quand même le temps de boire quelques gorgées de l'alcool fort pour pouvoir affronter le tout sans perdre trop rapidement les pédales. Tu crains de ne pouvoir tout à fait profiter de la chose si ça va trop vite parce que tu ne sais pas te contrôler. Tu perds les pédales rien que de la voir à hauteur de ton bas ventre, sagement installée sur ses genoux. Elle est réellement belle ta Joanne quand elle joue avec ton corps et tes désirs de cette façon. Pas surprenant que tu te laisses autant faire. Tu sais qu'elle gère cet art là qui consiste à te rendre totalement dingue. Et elle aussi le sait suffisamment pour s'en donner toujours plus à coeur joie. Pour ton plus grand bonheur. T'aimes quand elle s'applique à te faire tant de bien de sa bouche. Et du reste de son corps d'ailleurs. T'as le coeur qui s'emballe et le souffle qui se coupe temporairement alors qu'elle est justement en train de te faire beaucoup de bien.

T'as aussi les doigts qui viennent se perdre dans ses cheveux pour l'inciter à poursuivre. Et pour avoir un semblant de prise sur elle, au passage. Ta main libre quant à elle, est posée à plat sur le plan de travail sur lequel repose également la bouteille à présent. T'es bien trop emporté par ce qu'elle est en train de faire. T'as presque peur de perdre l'équilibre du coup. A défaut, tu laisses parfois échapper quelques plaintes de plaisir et de surprise mêlés. Tes doigts toujours plus crispés alors que tu regagnes franchement en vigueur entre ses lèvres qui ne sont plus uniquement taquines. Elles sont bien plus que ça. Elles sont gourmandes, à te dévorer avec toujours plus d'application. C'est sa langue percée qui se fait tendrement taquine et provocatrice. C'est ça qui n'a de cesse de t'arracher de francs frissons et des grognements incontrôlables. C'est quand tu couches que t'es le moins expressif Gabriel. Tu te fais presque sage alors que tu sembles te concentrer sur ta tâche pour être bien sûr d'être à la hauteur. Avec elle, c'est différent. Parce que tout se fait de la façon la plus naturelle -et la plus torride- qui soit. Tu ne réfléchis pas. Jamais. Tu te laisses sacrément emporter par la vague du désir puis celle de l'extase qui arrive toujours très vite. Trop vite à ton goût même. Mais tu ne vois pas bien comment tu pourrais te contenir quand Joanne elle même s'applique tant à t'embraser.

T'aimes bien trop les sons qui s'échappent de ces préliminaires de plus en plus dingues. C'est humide. C'est sonore. Tu joins tes mouvements aux siens sans y penser tant t'es excité. Plus encore lorsqu'elle pose presque sagement ses mains sur tes hanches pour s'assurer qu'il n'y ait plus aucune entrave entre toi et sa bouche. Et elle continue un bon moment. Alternant les cadences et les caresses pour s'assurer que tu perdes toujours plus les pédales. Ça fonctionne. Et c'est quand t'es à bout de force, qu'elle te relâche. Un peu trop subitement à ton goût, pour sûr. T'as le regard trouble quand elle se relève pour se replacer à ta hauteur. Le souffle encore comme si c'est toi qui venais de faire un truc. Alors que globalement, tu t'es "contenté" de te laisser faire. T'es toujours dans le même état quand elle se recule pour se hisser sur un buffet. Ton regard flirte avec le sien avant de filer à la rencontre de l'entre-cuisse moite. Mais ses lèvres attirent les tiennes après qu'elle se soit chargée de t'accueillir, toi, entre ses cuisses. Tu lui rends son baiser avec la même fougue qu'elle en met elle même. Mais tu ne comprends sa véritable intention que lorsqu'elle te souffle deux mots. Tu percutes enfin. Et ça t'arrache un semblant de rire. Et elle se fait dominatrice à souhait quand elle appuie sur ton crâne pour t'obliger à descendre entre ses cuisses. Quand bien même t'as pas vraiment besoin de te faire prier pour ça.

Tu te fais quand même très joueur dans un premier temps. De ta part, il ne faut pas s'attendre à autre chose. Y'a tes lèvres qui prennent d'abord le temps d'embrasser l'intérieur de ses cuisses. Y'a tes dents qui viennent ensuite taquiner. Mordillant ici et là pour la provoquer toujours plus ta belle Joanne. Et finalement ta langue qui, de son plat, vient la tremper de salive. T'inventes des dessins sur sa peau nue et pâle alors que tu remontes enfin. Destination finale évidente. Que tu finis par atteindre. D'abord tes lèvres qui viennent embrasser les siennes, intimes. Ensuite ta langue qui se faufile et se fait provocatrice. Dansante, au coeur même de son intimité. Curieuse dans son exploration. Gourmande quand elle insiste davantage encore. Et bien vite tu lui offres des préliminaires dans les règles de l'art. Joueur et fougueux mais relativement précis alors que tu la dévores. T'iras jusqu'à l'orgasme si elle t'y autorise et s'y autorise elle même. Ou t'arrêteras avant si elle préfère te recevoir de nouveau très rapidement en elle, de ton désir brûlant. Dans tous les cas tu veux bien lui obéir un peu pour une fois. En matière de sexe t'aimes juste quand vous jouez tous les deux ensemble. Tantôt dominant, tantôt soumis. L'essentiel étant d'être encore et toujours sur la même longueur d'ondes tous les deux. De connaître toujours plus le plaisir que vous vous partagez avec joie et sans limite véritable. L'air de rien, tu lui fais reposer une cuisse sur ton épaule et écarte l'autre de tes doigts pour conserver l'accès et l'angle parfait à sa moiteur que tu continues de provoquer et aimer de ta bouche.

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