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Message Sujet: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Sam 28 Sep - 20:48



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'as pas su résister Jo, encore une fois tu t'es laissée avoir par ses filets. Il y a d'abord eu ses lèvres, contre ta peau pour essayer de venir apaiser ta colère n'ayant de cesse de te grignoter le bide. Il s'est voulu tendre, d'une extrême douceur quant à la façon de t'approcher. Il le sait, que t'es un animal méfiant et que tu pourrais bien te mettre à fuir au moindre geste brusque ou que tu pourrais trouver déplaisant. Au lieu de ça, il est venu chercher lentement mais sûrement le chemin menant à tes lippes qui ont su céder aux siennes. C'est généralement comme ça, que tout commence entre vous. Tu montes dans les tons, généralement il se contente de regarder ses pieds ou de prendre une mine penaude face aux commentaires qu'il essuie. Viens le moment où il en a marre, et alors les tons s'échauffent. Et puis vous craquez, comme deux biscottes. Faut dire que niveau volonté, vous pourriez faire mieux. Mais à quoi bon vous refuser l'un à l'autre, alors que vous savez pertinemment que ce lien indéfectible qui vous unit est plus fort que tout. Plus fort que ton mauvais caractère, ou l'incapacité de Gab à te cerner vraiment. Vous ne vous referez sûrement pas, après treize ans mais t'espères pouvoir un jour trouver un terrain d'entente. Une armistice.

Vous avez essayé de vous mêler à nouveau aux autres après cette escapade dans votre ruelle, théâtre de tous vos rapprochements ou presque. Tu t'es légèrement trop laissée emballée quant à la quantité d'alcool que t'es allée commandée histoire de noyer le poisson de votre retour. Vous n'aviez peut-être pas besoin d'autant de bouteilles faut dire... Mais tu peux t'permettre de leurs faire plaisir alors c'est sans compter que tu le fais. Pendant longtemps, c'toi qui a pu profiter d'leurs gentillesse combien même tu voulais pas d'ce genre d'attentions. Mais ils étaient là, et les amis c'est aussi fait pour ça. Tendre une main lorsque t'as l'impression d'crouler, d'te noyer, d't'étouffer. Pendant toutes ces années, ils ont été là. Lui tout particulièrement, t'servant de pilier, de phare dans la nuit sombre. Parce que c'est tacite entre vous, un serment qu'tu tiendras jusqu'au bout. Celui d'pas vous lâcher, de n'jamais vous abandonner. Combien même c'est houleux, qu'l'orage vient à éclater plus souvent que vous ne l'aimeriez. Mais vous êtes toujours là, à combattre le courant ensemble, main dans la main comme à cet instant où vos doigts viennent à s'emmêler sous cette table complice. Alors les verres s'enchaînent, et tu semble reprendre un peu vie. Tu r'deviens celle qu'ils connaissent, pas cette nana tiraillée par le stress et la fatigue. Vous êtes comme des vieux frères après tout, même pas l'blizzard viendra à vous séparer. Parce qu'il y a c'fil rouge qui vous relie les uns aux autres et tu l'sais Jo que si t'es effrayée lorsque la nuit tombe et qu'tes démons s'mettent à danser qu'il te suffit d'regarder ton petit doigt, et c'lien rougeâtre. T'es pas seule, tu l'es plus.

On t'prend à rire, à balancer des vannes sombres qui n'font rire que toi et certains des gars sous l'regard choqué des autres. Petit à petit, tu t'laisses bercer par la bonne humeur communicative des tiens, tu t'échappes de ta vie d'adulte presque trop sérieuse et trop stressante. Les verres s'enchaînent et le toi bourré refait surface. La Joanne dont les yeux pétillent de malice et de taquineries. Parce que dans l'fond il y a toujours cette partie de toi, cette gamine qui n'a jamais vraiment profité d'sa vie comme elle le voulait. Parce que tu courais après l'argent, après l'savoir. Tu voulais soulager ta daronne, te donner un avenir. Une raison d'exister. Vous échangez bon nombre d’œillades, avec le tatoué. Vous pouvez pas vraiment vous en empêcher tout comme vos doigts qui s'resserrent un peu pour apprécier toujours plus cette étreinte que vous peinez à garder secrète. Et puis t'façon, c'est pas c'qui importe pas vrai? Ils sont au moins tout autant habitués que vous à vos rapprochements soudains et à vos tempêtes. Ils ont eu le temps de comprendre votre manière de fonctionner, et d'lancer certains paris. Combien de temps tu feras la gueule? Est-ce que vous finirez ensemble une bonne fois pour toute? Allez vous finir la soirée ensemble chez l'un ou l'autre? Treize longues années que ça dure, et vous êtes les deux seuls idiots à ne pas vous en rendre compte. Ou vous êtes trop fiers pour ça, va savoir.

T'as ton cœur qui rate un battement, lorsque ses lèvres viennent chatouiller le creux de ton oreille pour y glisser son souffle accompagné de quelques mots des plus torrides. Sa main quitte la tienne pour se perdre contre tes cuisses dénudées, et son contact manque de t'faire chavirer. T'pourrais tomber de ton siège, tremblante de son naturel lorsqu'il reprend la parole comme si tout était normal. Comme si t'étais pas entrain de te mettre à t'embraser sous ces doigts bien présents contre ton épiderme. Et cette foutue table, qui vous tiens toujours aussi secrètement à l'abri alors que vous êtes plongés dans la pénombre du bar uniquement éclairé de ses fidèles néons. T'es pas foutue capable de supporter ça plus longtemps. Alors tu portes ton whisky entre tes lippes en venant claquer ton verre de façon sonore contre la table. Faut dire que t'as dû te descendre une bonne demie bouteille en un temps record là, et que si tu n'emmènes pas Gabriel avec toi MAINTENANT tu risques bien de l'emmener dans un coin sombre juste pour lui faire comprendre à quel point tu peux brûler pour lui, à quel point ça t'rends dingue. Alors tu blâmes la fatigue, la route jusque chez toi. Tu t'relèves dégageant ta cuisse de ces douces caresses prodiguées par les phalanges tatouées avant d'embrasser les filles et d'saluer les gars d'un geste de main. Mais t'oublies pas Gabriel qu'tu saisis bras dessus bras dessous sans vraiment lui laisser l'choix quant à la manœuvre. Bah ouais ça pourrait être dangereux d'rentrer seule, et quoi d'mieux que de rentrer en bonne compagnie hein? et puis merde t'en as marre de mentir Jo.

Lorsque vous arrivez dehors, et que l'air frais vient battre vos épidermes tu peux pas t'empêcher que d'l'attirer contre toi furieusement pour t'éprendre un peu plus de lui, juste là. Maintenant. Vos corps se pressent furieusement, viennent s'accoler l'un à l'autre pour mieux vous réchauffer. Vos mains viennent clamer leurs domination, tout comme les siennes qui viennent maintenir le galbe de tes fesses tandis que tu te hisses une nouvelle fois sur la pointe de tes pieds pour mieux l'embrasser avec toujours plus de passion. Il grogne, pendant qu't'es bien trop occupée à gémir d'envie pour répondre quoi que ce soit d'autre. Il vous faut regagner ton appartement, retrouver cette bulle qui se forme autour de vous lorsque vous vous éprenez l'un de l'autre à l'abri des regards, bien loin du monde qui au final n'attend plus que vous. Vous vous élancez comme lorsque vous étiez plus jeunes, et que vos nuits fauves étaient des plus endiablées. Vous titubez toujours de cette même façon, vous vous arrêtez toujours tout les trois cent mètres pour venir trouver vos lippes pour la énième fois bien capable d'y résister. C'est vos rires qui résonnent dans la nuit, vos cœurs qui battent à l'unisson. Tu sais, que tout ça est réel. Que tout ça possède un sens, une raison d'exister.

Vos pieds connaissent la route, vos esprits n'ont pas besoin de se concentrer là dessus. Il y a vos pas qui se pressent, alors que petit à petit vous arriver dans le quartier où t'as élu domicile il y a de ça un petit moment maintenant. Et rapidement la devanture de RDT apparaît devant vous. Vos carcasses complices se faufilent par l'arrière, Gabriel ne manque pas de se foutre de toi alors que tu galères à rentrer ta clef dans la serrure parce que t'as un taux d'alcoolémie bien plus haut qu'ces derniers jours. Tu lui intimes un "Shhhhhhhhhhhh!" vraiment pas crédible et tout à fait audible quand dans un élan de conquête tu viens finalement à vous déverrouiller la porte dérobée. T'as cette lueur féline dans les yeux Jo, celle qui veut dire qu'il en est fini de jouer. Parce que t'en peux clairement plus, et qu'enfin vous êtes à l'abri. Loin de tout, et de tous ceux qui voudraient tenter de vous séparer. Alors sans plus attendre, tu viens l'attirer à nouveau contre ton corps rafraîchit par la nuit tombée refermant derrière vous d'un coup de jambe pour faire claquer la porte. Tu n'cherches pas vraiment, lorsque tu viens le plaquer contre le mur non loin, tes doigts filant à la conquête de sa veste de cuir pour mieux la faire tomber.

Vous êtes félins, vos gestes semblent brouillon tant ils sont déformés par l'envie. T'as tes lèvres qui se perdent contre son cou, laissant tes canines acérées venir caresser l'épiderme que tu as tatoué il y a de ça des années déjà. Tu profites de ton oeuvre d'art de bien des manières, venant laisser une trace violette trônant fièrement parmi l'encre présent contre sa gorge que t'apprécies bien trop. T'as l'impression de mourir de chaud Joanne, t'as l'impression de brûler littéralement alors que ses mains viennent te trouver pour t'arracher un gémissement. Tes doigts viennent se perdre dans ses cheveux pour mieux s'y enrouler, saisir les mèches noires pour les emprisonner. Donner toujours plus d'impulsion à vos baisers. T'en veux encore et encore, qu'il t'aime maintenant et pour cent mille ans. Que vous n'ayez pas besoin de retourner à votre quotidien, qu'vous puissiez vous éprendre l'un de l'autre éternellement. Tu n'es qu'envie dévorante, passion embrassée, gestes mutins dans le but précis que de toujours plus le faire céder. Vous êtes encore bien trop habillés, encore bien trop sages et ça t'déplais fortement. T'as envie de profiter de l'ivresse du moment, de cet alcool venant faire tourner vos têtes encore plus violemment pour t'empêcher de penser au lendemain. Tes mains s'faufilent à présent d'une façon fiévreuse contre la peau de son dos, gagnant le dessous de son teeshirt pour toujours plus te régaler de sa peau. De celle qu'il t'offre depuis déjà bien longtemps et dont tu aimerais être la seule à profiter.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel 3794924939  



@gabriel dixon (hot) where the lines overlap ± Gabriel 3227196488 (hot) where the lines overlap ± Gabriel 3227196488
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Sam 28 Sep - 23:40




overlap.
The desert is calling
The emptiness of space
The hunger of a lion
Is written on your face
A maniac's new love song
Destruction is his game
I need a new direction,
Cause I have lost my way.



T'es bien incapable de te tenir loin d'elle quand vous vous trouvez à la même soirée tous les deux. Même quand elle passe son temps à t'envoyer chier bien comme il faut. Elle ne te rate jamais Joanne. Pourtant t'y reviens sans cesse. A croire que t'aimes ça te casser les dents sur elle. A vrai dire ce que t'aimes vraiment, c'est la sensation que vous vous rapprochez plus fort que jamais ensuite. Au cours de vos étreintes qui ont toutes un sens. Parce qu'il n'y a qu'avec Joanne que tu ressens une flopée d'émotions quand vous corps se retrouvent et se re-découvrent. Qu'ils s'appartiennent plus sûrement que jamais. Ces nuits au cours desquelles vous rallumez ce brasier incroyable que vous êtes les seuls à savoir éteindre ensuite. A grands renforts de soupirs et halètements de plaisir. Quand vous vous appartenez avec la fougue et la passion qui vous vont si bien. Ce soir ne fera pas exception. Vous quittez à la hâte le bar que vous fréquentez trop souvent avec votre bande d'amis. Et échouez dans un premier temps dans cette ruelle qui est trop souvent la témoin de vos pertes de contrôles. Trop souvent, des disputes qui ne se calment que lorsque vos lèvres se percutent pour faire taire les mots qui se font trop douloureux et trop agressifs. T'aimes pas quand elle t'attaque avec cette rage qui en dit long sur la colère qu'elle ressent toujours à ton encontre après toutes ces années.  Pourtant t'es toujours là à encaisser. T'as trop besoin d'elle, c'est une évidence.

Ce soir encore vous disparaissez ensemble. Inconscients dans l'immédiat, des pensées de vos amis. Qui se douteront forcément de l'endroit dans lequel vous avez échoués. Et qui sauront sans l'ombre d'un doute que vous vous y êtes rendus ensemble. Parce que vous n'êtes pas aussi discrets que ce que vous semblez penser tous les deux. Ces pertes de contrôle peuvent difficilement passer inaperçues. Moins encore quand l'alcool coule à flot et que vous oubliez toute retenue. Que vous vous cherchez du regard, que vous échangez des mots à voix basse et que finalement vous partez à la hâte. C'est Joanne qui a décidé qu'il était temps de lever le camp. Et toi qui ne t'ais certainement pas fait prier pour accepter la chose et pour la suivre. Quand bien même t'es pas trop sûr de comprendre ce qui arrive. Les gestes tendres ayant laissé place à des gestes plus fougueux et passionnés.  La seule chose qui importe vraiment, c'est la certitude de passer une nuit hors du temps en sa compagnie. Quelques heures de pure magie que vous volez à la vie qui continue de défiler. Qui vous échappe, mine de rien. Depuis trop longtemps vous jouez à ces petits jeux tous les deux. Autant tu le regrettes, autant tu t'y es fait. T'aurais sans doute jamais du t'y faire dans le fond. C'est en partie à cause de ça que t'as cessé de lutter et que tu ne fais rien pour arranger les choses. T'es qu'un crétin c'est évident. Tu t'habitues à tout. Même aux choses les plus douloureuses de toute évidence.

Y'a d'ailleurs plus rien de douloureux quand vous quittez le bar ensemble pour vous perdre dans cette ruelle. Dans votre ruelle. Qui n'est ce soir le témoin "que" d'un baiser plein de fougue. Parce qu'il vous faut atteindre son appartement. Avant que vous ne perdiez les pédales pour de bon tous les deux. Et ne fassiez vos cochonneries en pleine rue. Ce qui ne serait pas une première non plus. Vous êtes capables de perdre le contrôle n'importe où. Ça vous est arrivé dans ce fameux bar que vous venez tout juste de quitter. Dans les toilettes que vous connaissez maintenant par coeur. Cette fois, l'air frais de la nuit n'a aucun effet sur toi. A part te faire un peu de bien. Il n'a pas le don de te dégriser alors que ton envie de ce corps féminin, empire ton état d'ébriété. T'as envie de rien d'autre que de rouler dans les draps de son lit, avec elle dans tes bras et contre toi. C'est donc avec une certaine hâte qui vous remontez la rue. Non sans percuter quelques façades quand vos lèvres ont le besoin presque vital de se retrouver pour des baisers tous plus incandescents et brûlants les uns que les autres. Vous n'êtes plus que rires presque hystériques, halètements qui témoignent d'une perte de contrôle certaine et gémissements d'envie.  Tu ne te rends même pas compte que vous atteignez enfin le salon de tatouage. Tu ne réalises pas même tout de suite que Joanne vient de s'arrêter devant la porte qui vous mènera tout droit à son appartement. Tu la percutes de plein fouet alors qu'elle s'est arrêtée pour déverrouiller la porte.

Tu grondes un peu. Poses tes mains sur ses hanches rondes, colles ton bassin à ses fesses et loges ton menton sur son épaule pour la voir qui galère à glisser la clé dans la serrure. Sans grande surprise, ça a le don de t'arracher un rire franc et sonore. Elle essaie de te faire taire mais ça ne fait qu'empirer les choses. Tu ris plus fort encore. T'es de trop bonne humeur en cet instant. T'es vachement bien dans tes baskets surtout alors que tu sais que ton corps va bientôt retrouver la douce chaleur du sien.  Et ses mains aussi fermes que tendres sur toi. Tu trébuches un peu quand son corps se dérobe pour entrer dans le couloir et que tu ne peux que la suivre. Tu bascules un peu mais te rééquilibres aussi rapidement. Putain ! Que tu laisses échapper de surprise, quand elle te plaque férocement contre le premier mur venu. Et de nouveau, ses doigts attrapent ton perfecto. Ce coup ci, c'est bien pour t'en débarrasser. Tu ne te soucies déjà plus du cuir qui atterrit lourdement. Tu ne penses qu'à ses lèvres que tu provoques de tes dents dans ces baisers tous plus dévorants et gourmands les uns que les autres. Alors que tes mains se perdent à présent dans ses jolis cheveux colorés. Tu les libères pour les faire tomber en cascades sur ses épaules et y emmêles tes doigts.

Tu gémis fort quand elle vient taquiner la peau délicate de ton cou, de ses dents taquines. Elle connait toutes tes petites faiblesses et ne se prive vraiment pas pour en jouer. Et toi tu te laisses faire bien volontiers. T'en ronronnes presque de plaisir alors qu'elle continue de malmener ta peau. T'imagines bien qu'elle est en train de la marquer, comme à chaque fois que vous vous trouvez de cette façon tous les deux. Elle prend toujours un malin plaisir à laisser la trace de son passage sur toi, entre deux tatouages qui recouvrent déjà bien ta peau. Tu te laisses encore faire quand elle perd ses mains dans ton dos, sous ton tee shirt, à même la peau. Tu grondes tout bas et du bout des doigts, tu te charges de retirer ton tee-shirt justement. Pour finir torse nu devant elle qui n'a plus grand chose à apprendre de ton corps. De ta peau qu'elle connait par coeur. Et pas uniquement parce que vous passez de nombreuses soirées à vous redécouvrir de cette façon. Elle passe également beaucoup de temps à te tatouer. Elle les connait forcément par coeur tes nombreux tatouages. Comme le reste de ton corps. Tes diogts s'accrochent ensuite à ses vêtements à elle. Sur lesquels tu tires pour les lui ôter. Gestes maladroits et un peu trop brusques sans doute, alors que tu t'emballes et perds patience. Tu veux ses courbes contre ton corps. Tu veux sa peau sur la sienne. L'alcool te rend maladroit au possible mais pas moins désireux d'elle toute entière.  C'est sans te décoller d'elle ni même cesser de l'embrasser, que tu prends la direction de sa chambre. Trébuchant un peu ici et là et te rattrapant aux meubles et au murs que vous croisez pour ne pas chuter pour de bon. Tes mains toujours sur elle. Sur ses fesses bien rondes et sur ses seins bien hauts. Tu t'accroches à elle comme si ta vie en dépendait. Tu plantes tes dents dans sa lèvre inférieure quand tu ne l'embrasses pas tendrement. Et tu jures encore contre sa bouche. Tu te plains que ça ne va pas assez vite. Tu lui souffles à quel point t'as envie d'elle alors que c'est à ton tour de la plaquer contre un mur. De t'emballer. De la soulever un peu de terre pour que vos bassins puissent se trouver, se percuter, se presser l'un contre l'autre et se provoquer à coups de frottements séducteurs.

CODAGE PAR AMATIS



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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Dim 29 Sep - 5:52



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
T'as l'impression d'avoir à nouveau dix huit ans. Que t'as la vie devant toi, et que rien ne peux t'atteindre. Tu te sens forte, en pleine montée comme si plus rien pouvait t'arrêter. T'as le cœur léger Jo, et t'as juste cette envie que d'te laisser porter par le courant. Parce que demain n'est pas important, ce qui compte c'est l'instant. Vous titubez l'un contre l'autre, vous riez très fort comme deux grands enfants refusant de grandir. Parce que au final, entre vous c'est toujours la même chose. Vous ne savez vous aimez uniquement lorsque les ego sont au repos, mit en cages comme par l'alcool par exemple. Parce que là sur l'instant t'es clairement incapable que de lui en vouloir, ou bien de lui ressortir toutes ces saloperies que t'as su lui claquer en début de soirée lorsque t'étais bien amère comme il faut. Tu détestes te comporter comme ça, t'en viens à t'détester toi même. Comme lorsque t'as pu dire des saloperies sur vos potes, ça aussi c'était plus qu'au dessus de tes pensées. T'as dû mal à canaliser ta frustration, t'as l'impression d'vivre à côté de tes baskets ces dernier temps et de rater tout le meilleur de tes plus belles années.

Vous manquez d'vous casser la gueule au moins cent fois, de vous aimer au détour d'une ruelle encore bien plus. Vous ressemblez à deux imbéciles heureux se foutant bien du regard des autres passants. Rien ne compte, si ce n'est vos palpitants ne manquants pas de crépiter à l'intérieur de vos poitrines. Parce que c'que vous ressentez est réel, que c'est réciproque combien même les disputes tentant de vous séparer et de s'immiscer entre vous au fur et à mesure que les années passent. Faut qu'tu t'rendes compte que certaines choses sont immuables, qu'il faut qu't'apprennes à faire confiance Joanne. Parce que vous n'êtes plus au stade de l'amourette qui aurait pu être de passage, vous n'êtes plus ces gamins abrutis fonçant tête la première dans le mur. Ça ne tient qu'à vous, d'ouvrir un peu les yeux et de vous comporter comme des grands. Dans l'fond, vous êtes sûrement trop apeurés par le changement. Comme si vous pouviez venir à vous perdre maintenant, après avoir parcouru tout ce chemin ensemble. Tu préférerais crever, plutôt que de renoncer à ses années passées à ses côtés en tant qu'amante, qu'amie ou meilleure ennemie. Parce que vous devez être foutrement masos pour vous contenter d'ça, comme si c'était suffisant et qu'vous n'aspiriez pas à plus. Mais toi t'as envie qu'on tienne à toi Jo. Toi aussi, t'aimerais qu'il te fasse rêver à te glisser ces mots brûlants au creux de l'oreille chaque jour qui passe. Toi aussi, t'aimerais pouvoir partir en weekend avec lui et même jusqu'au bout du monde si ça vous chante. Tu pourrais bien partir n'importe où, jusqu'à la lune elle même s'il te le demandais.

Il y a son rire qui se mêle au tien pour aller faire gauler les étoiles, leurs jurer qu'vous avez pas renoncés. Plutôt crever pas vrai? Parce que tu supporterais pas qu'il vienne à disparaître de sa vie. T'as pas envie de partager le goût de ses lèvres avec aucune autre Joanne. T'aimerais pouvoir avoir Gabriel pour toi et toi seule. T'as peur parfois, de la façon à laquelle t'y penses. Cette envie de l'attacher à toi pour qu'il ne vienne plus jamais à t'quitter. Plus jamais aller s'adonner à d'autres bras que les tiens. T'es pas dupe, tu l'sais qu't'es pas la seule à partager ses draps. Et ça t'bouffes. Parfois t'as envie de lui faire payer, de t'amouracher le temps d'une nuit juste pour lui dire d'aller se faire foutre lui et son sourire à la con qui a le don de te faire fondre et ce depuis des années maintenant. Et pourtant t'y arrives pas, t'en as pas envie. Tu t'imagines pas dans d'autres bras Jo. Alors tu gardes ta putain d'frustration en toi, celle de ne pas réussir à avancer. Parce que t'as envie qu'il se réveille un beau matin, avec l'envie d'voir ton sourire. Que Gab vienne à t'rejoindre pour subitement t'dire toutes ces choses que t'attends depuis des nnées. Ces choses qui viendront chasser l'doute et la peur. Qui viendront installer l'éclaircie après un long blizzard, cette torture d'une dizaine d'années. T'attendras Jo, combien même tu dois caner avant.

T'as pas vraiment idée du temps et d'l'espace. Tout c'que tu possèdes, c'est ses rires qui viennent t'coller à la peau pour résonner dans tes esgourdes pour les ravir. Y'a cette bulle qui vous recouvre, comme pour vous protéger d'l'extérieur qui pourrait venir à vous faire du mal. Mais rien n'compte pas les autres, ni même le jour qui menace de s'lever bien assez rapidement comme ça. Tu l'tires joyeusement par la main comme pour donner un dernier coup d'rein au destin, lui montrer que t'abandonneras pas. Pas ce soir, pas cette nuit, pas avec lui. Y'a l'shop qui s'dessine au loin et ton pas qui s'accélère nettement. T'en peux plus, t'as bien trop furieusement envie d'lui maintenant toute suite. Parce que t'as été sage, que t'as pas craqué malgré l'envie qu't'avais de le bouffer dans s'bar qui ne vous connaît que trop bien après tout ce temps. C'est ça l'truc, les gens et les lieux vous connaissent mieux qu'vous même. Comme si vous aviez des œillères vous empêchant d'avancer dans l'même sens. T'es dans l'brouillard, t'as sûrement bien trop bu vu que t'es incapable de ne serait-ce qu'enfoncer ta clef dans la serrure d'la porte arrière du salon. T'es d'autant plus déconcentrée par le tatoué qui s'colle à toi chaudement pour rire à ton oreille. Il y a ses phalanges qui trouvent tes hanches que trop peu couvertes pour les faire frissonner et son menton reposant contre ton épaule. "Alleeeeeez gab j'ai dis chuuuuut! On va r'veiller l'quartieeeeeeer!" Bordel Jo, concentres toi tu peux le faire. Tu lui intimes de s'taire une nouvelle fois sauf que forcément ça a tout l'effet inverse. Heureusement pour lui qu'vous jouez pas à Jacques à dit, il s'rait bien dans la merde Gab.

T'as une moue plus que victorieuse lorsque t'arrives finalement à tourner ta clef et déverrouiller la porte qui cèdes laissant vos carcasses échouer à l'intérieur du couloir menant aux étages non sans vous faire tituber à nouveau. Vous êtes franchement pas stables, comme adultes. D'un geste de pied, t'envoie valdinguer la porte derrière vous pour la r'fermer. Vous offrir enfin cette intimité tant r'cherchée, celle qui vous a poussée à fuir vos vieux frères pour vous isoler ensemble afin d'mieux vous échouer l'un contre l'autre. Il grogne, lâche un juron l'encré lorsque tu viens l'accoler contre un mur faisant voler son perfecto au sol. T'as envie d'sentir sa peau contre la tienne, pouvoir goûter ses lèvres encore et encore. Vos langues s'lancent un duel des plus endiablés, tout comme ce corps que tu presses au tiens pour ne pas le laisser s'échapper tel un félin ayant finalement bondit sur sa proie. Vos lèvres se dévorent, vos canines se veulent inquisitrices. Tu laisses le passage de ta bouche sur les contrées de sa jugulaire, marque violacée en forme de cœur comme pour lui dire que tu l'aimes, qu'il t'appartiens et vice versa. Tu peux sentir ses phalanges gagner tes cheveux, s'enrouler autour de tes mèches fiévreusement. Tu gémis Jo, et il est le seul à te faire ronronner de la sorte tel un chat docile.

Vous avez tant attendu, que les choses escaladent rapidement. Tes mains contre son dos, son tee-shirt qui vient rejoindre son cuir pour pouvoir te laisser observer ce torse que tu connais par cœur baigné par les rayons lunaires. T'en as toujours autant l'souffle coupé, tu l'trouves magnifique et depuis la première fois qu'tu l'as vu tu t'en es toujours pas r'mise. Vos lèvres se retrouvent et c'est finalement tes fringues qui commencent à voler. Ton cuir rejoint l'sien, le top léger qu'tu portes vient s'échouer contre le tissu qu'il portait tout contre lui comme une seconde peau lui allant parfaitement. C'est ta poitrine retenue par cette arme de torture appelée soutien-gorge qui vient trouver son torse nu. T'es qu'une boule de gémissements alors que vous n'avez de cesses que de rencontrer un mur ou un meuble car bien trop décidés à rejoindre le confort de tes draps pour vous y éprendre l'un l'autre. Il vient de nouveau feuler à ton oreille, t'exprime l'envie déformant ses entrailles pour mieux le faire vriller et lui donner toujours plus envie de toi.

"Qu'est-ce que t'attends?" Qu'tu souffles alors que c'est ton dos qui vient finalement trouver l'un des murs alors que vous vous approchez de l'escalier menant aux ateliers. Tes mains s'affairent à faire sauter sa ceinture ainsi que l'bouton de son jean. Tu t'enflammes bien trop fort, bien d'une façon bien trop puissante. T'ondules, sur la pointe des pieds alors que les phalanges encrées par tes soins viennent t'faire légèrement décoller du sol. Bordel c'que tu donnerais pas pour qu'il te retourne contre sur ce mur à l'instant et pourtant à la fois vous seriez bien mieux niché contre ton matelas moelleux à batifoler en froissant tes draps inlassablement. "J'peux plus m'retenir Gabriel, c'est toi qu'je veux maintenant et à jamais." Cette nuit et pour toutes celles à venir.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel 3794924939  



@gabriel dixon (hot) where the lines overlap ± Gabriel 3176379322
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Dim 29 Sep - 13:14




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I need a new direction,
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T'es accro Gabriel. T'es accro depuis plus longtemps que tu ne veux bien l'admettre. Depuis le premier jour sans doute. Quand elle t'a envoyé chier bien correctement alors que tu te voulais assez drôle pour détendre l'atmosphère et détendre ce corps féminin que tu voyais tendu au possible. Mais tu n'as pas été suffisamment drôle. Plutôt que de t'en vexer quand elle t'a rabroué, t'as pris comme mission de la dérider un peu plus. Dans le fond, tu n'y es jamais arrivé. Pas même au cours de votre trop brève relation amoureuse. T'as pas été capable de la faire rire aux éclats sans une quantité astronomique d'alcool dans son sang. Ce soir encore elle n'a rit que lorsqu'elle a eut avalé suffisamment de verres pour ça. Tu le regrettes un peu mais depuis treize ans, tu t'es habitué d'une certaine façon. T'as pas d'autre choix que celui là à vrai dire. Puisque tu n'es pas assez doué pour lui faire l'effet escompté. Ce qui n'est pas non plus si grave que ça. T'as pas envie de laisser travailler ton cerveau pour si peu. Tant qu'elle n'a pas l'air trop mal à l'aise ni trop énervée Joanne, t'es satisfait toi. Ou du moins t'es pas "mécontent". Tu l'es moins encore à partir du moment où vos corps se retrouvent pour une danse qui sera, tu le sais d'avance, endiablée au possible. Alors que vos lèvres sont incapables de se séparer plus de quelques minutes et que vos langues se font autant la guerre qu'elles se font l'amour.

Vous aurez tout le temps plus tard dans la nuit, pour les gestes tendres. Pour l'instant, vous êtes dans la précipitation et le besoin indécent de vous appartenir l'un et l'autre. Toujours cette hâte folle quand vos cerveaux se mettent sur pause pour laisser communiquer vos corps ensemble. S'offrir des mélodies qui se veulent ensorcelantes au possible. Qui ne veulent rien d'autre qu'attiser l'envie. T'arrêtes pas de rire depuis que vos deux âmes ont fuit le bar de plus en plus bondé, pour vous perdre dans l'obscurité de la nuit. Y'a la lune qui se fait témoin de votre comportement de mi-enfants mi-adultes. Ta bouche qui laisse entendre des rires idiots quand elle n'est pas trop occupée à ravager la sienne. Tu fais mine de ronchonner un peu quand elle te demande une nouvelle fois de te taire. Tu sais pas si elle se soucie vraiment des voisins ou si c'est juste parce qu'elle n'arrive pas à se concentrer sur l'ouverture de la porte. Quoi qu'il en soit, tu laisses tes mains se faire plus aventureuses quand elles remontent pour aller attraper ses seins. Poigne solide alors que tu ris encore. Tu ris toujours. Tu peux pas t'en empêcher. Alors dépêche-toi d'ouvrir cette porte ! Mais tu la provoques en massant sa poitrine de tes doigts qui se font fermes sur elle. T'aimes bien trop la perturber de la sorte. Rien de nouveau. Y'a enfin la porte qui s'ouvre. Et qui se referme derrière vous moins de trois secondes plus tard.

Vous perdez l'équilibre mais le rattrapez bien vite pour vous embrasser de nouveau. A en perdre haleine. Elle se fait féline et sauvage quand elle te plaque contre un mur. Tu lui rends baiser sur baiser, les mains maintenant perdues du côté de ses fesses que t'attrapes presque avec rage. Tu n'as de cesse que de lui souffler des paroles toutes plus chaudes les unes que les autres alors que vos lèvres peinent à s'éloigner les unes des autres et que vos corps perdent peu à peu les couches de vêtements devenues bien obsolètes. Ta chambre est trop loin. Que tu râles en mordant son cou à pleine bouche, tes mains sur ses hanches pour la soulever de terre. Pour coincer son corps entre le tien et le mur. Y'a ton bassin qui entame quelques mouvements de vas et vient. Parce que tu t'emballes et parce que tu ne veux vraiment rien d'autre que son corps en cet instant. Parce que t'as salement envie d'elle et que t'es incapable de ne pas le lui montrer. Et y'a ses mots qui font louper un battement à ton coeur. T'es au bord de la crise cardiaque alors qu'elle te fait tant d'effet que ton palpitant s'oublie dans la manoeuvre. Tu geins, tu grondes, tu souffles des mots qui n'ont plus aucun sens et tu te presses plus fort encore contre elle. Tu veux que vos corps entrent en fusion et ne fassent plus qu'un. Te demander où se termine ta peau et où commence la sienne.

J'te veux tellement ... Que tu souffles en réponse à ses mots, tes doigts encrés qui se crispent plus fort dans ses cheveux rougeâtres. Elle te fait perdre la raison alors que tu lui permets de reposer les pieds à terre et que tu la pousses en direction des escaliers. Une marche après l'autre. Tant bien que mal. Tu râles encore mais tu continues. P'tain j'vais t'prendre dans tes escaliers. Que tu marmonnes tant bien que mal tout contre ses lèvres. Et tu continues de monter. Tes doigts s'aventurant sous la jupe courte pour attraper le sous vêtement sur lequel tu tires sans douceur. A en faire craquer la dentelle qui apparaît en haut de ses cuisses. Tu la fais encore reculer tout en haut des marches, pour te baisser juste le temps de faire disparaître la dentelle. Très vite t'es debout à nouveau. Gestes furieux et désordonnés. Tu ne sais même plus où tu vas quand tu pousses une énième porte, que tu la colles contre un autre mur pour posséder sa bouche de ta langue. T'es à bout de souffle quand tu pénètres dans la pièce uniquement éclairée par la lune qui entre à flot par les fenêtres. Tu décolles tes lèvres des siennes pour reprendre ton souffle. Profondes inspirations alors que tu la fais pivoter pour la faire basculer sur son lit.

Rien que le haut de son corps sur le rebord pour que ses pieds restent ancrés dans le sol. Ton corps suit tout de suite alors que ton jean et ton boxer descendent pour s'arrêter mi-cuisses. Juste de quoi te permettre de coller ton bassin à ses fesses que tu viens libérer de sa jupe courte que tu remontes au dessus de son postérieur. Tu ne perds pas de temps. Vous avez des heures devant vous pour vous satisfaire du corps de l'autre. Des heures qui seront forcément remplis de vos soupirs, halètements, gémissements et cris de plaisir. Des heures à vous posséder de toutes les façons possibles. Tendrement comme bestialement. Rapidement comme lentement. T'auras tout le temps de la dévêtir pour de bon histoire de pleinement profiter de ses courbes, aussi. Mais pour l'heure tu ne penses qu'à te glisser en elle. Ce que tu fais sans plus tarder avant de poser tes mains en appuie sur le lit, de part et d'autre de son corps fin. T'es maladroit et désordonné dans chacun de tes mouvements. Mais la seule chose qui importe c'est de ne faire enfin qu'un avec elle, avec son corps. La seule chose qui importe c'est d'être avec elle. De remplacer les rires par des gémissements de plaisir. De remplacer les mots durs par des paroles provocatrices au possible. Des promesses et des suppliques, toutes plus brûlantes les unes que les autres. Ce qui importe c'est d'être deux en étant capables de ne faire qu'un.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Dim 29 Sep - 20:51



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
C'est non sans mal que vous arrivez petit à petit vers ce quartier que tu ne connais que trop bien. Ces ruelles familières que tes pas foulent chaque jour depuis un long moment déjà. Vous avez titubé l'un contre l'autre, enfin surtout avec l'autre pour réussir à traîner vos carcasses tatouées jusqu'à l'arrière du shop. Vous vous en rendez pas compte, mais vous êtes foutrement bruyants à rire comme si le monde en dépendait. Comme si vous étiez plus puissants qu'tout le reste qui n'a de cesses que d'venir vous emmerder. Tenter d'vous séparer. Et pourtant c'est ta main dans la sienne, sa chaleur contre la tienne et depuis treize longues années. Rien n'réussira à vous séparer, pas les disputes ou les mots prononcés lors d'un accès de colère. Pas son incapacité à voir les sentiments animant ton palpitant ou bien le fait que tu sois trop bête pour réussir à prononcer ces trois mots qui terrifient plus que tout. Parce qu'est-ce qu'il se passerait, si tu venais à lui dire que tu l'aimes Joanne? Qu'est-ce qu'il pourrait bien arriver si tes lèvres laissaient s'échapper un "Je t'aime" ?

T'en sais rien, alors tu préfère te taire plutôt que de te prendre la plus grosse claque de réalité. Tu t'dis qu'il vaut mieux des regrets qu'des remords, parce que tu sais pas vraiment c'qu'il deviendrait d'vous après tout ça. Tu sais pas s'il pourrait t'abandonner malgré sa promesse de ne jamais le faire. Eux aussi, ils avait promit. Les hommes se permettant de rentrer dans vos vies, s'y installant un instant pour venir reprendre tout ce qui est joli, tout ce qui est beau pour vous laisser à nouveau dans la misère. Tu l'vois que trop, le cœur tuméfié d'ta daronne incapable de donner d'l'amour qu'à ses gosses turbulents. Tu l'sais qu'elle en à pleurer des larmes tard la nuit lorsque vous dormiez à poings fermés alors qu'elle s'arrachait les cheveux à savoir comment elle allait joindre les deux bouts, réussir à vous nourrir ou bien même à vous habiller. Vous n'avez jamais manqué de rien. Ni d'un toit au dessus de vos têtes, ni d'amour, encore moins de nourriture dans vos assiettes. C'est bien plus tard, que tu t'es rendue compte qu'elle préférait se sacrifier pour vous, se nourrissant parfois de pain et de café uniquement pour que vous puissiez manger à votre faim. Si il y a un truc que tu n'fais jamais, c'est jurer sur la tête de ta daronne. Elle est bien trop précieuse, bien trop importante. T'viendras lui déposer cette couronne sur le sommet d'son crâne, tu lui achèteras une belle maison et tu lui offriras une jolie retraite. T'es la fille d'une guerrière Joanne, mais c'est pas pour autant que tu t'sens prêtes à subir les mêmes blessures qu'elle pour venir assécher ton cœur un peu plus.

Tu tentes de déverrouiller la porte alors que Gab t'assailles dans ton dos. Tu fais mine de râler, t'es au moins aussi bruyante que lui et tu fais pas dans la dentelle lorsque tu viens rouler des hanches lorsque ses mains se posent contre ces dernières un court instant. T'as les mains tremblantes sur ta paire de clefs qui vient taper partout sauf dans le barillet qui pourrait vous permettre de vous enfermer à l'intérieur jusqu'au petit matin. Ses doigts s'faufilent, viennent chatouiller la peau fine de ta poitrine qu'il vient malaxer ouvertement en se frottant toujours plus contre toi pour attiser le feu dans tes reins. Il ne peut pas retenir son rire qui résonne dans ton être, et finalement t'arrives à ouvrir cette foutue porte que t'aurais fini à coup de docmarteens si elle n'avait pas voulu lâcher alors que tu la traites pourtant avec le plus grand des respects. C'est comme si votre dispute n'avait jamais existé, ni celle-ci ou les autres. Il n'y a que cette envie, que cette passion dévorante vous liant l'un à l'autre de cette façon indéfectible contre laquelle vous ne pouvez pas lutter. Il serait temps d'vous rendre compte de l'évidence que vous êtes, il n'y a qu'à vous voir contre le mur de ton couloir alors que tu laisses ses vêtements tomber au sol pour te laisser la satisfaction de contenter son torse et ses traits parfaitement sculptés.

Vos nuits fauves reprennent du service, et ton palpitant cognant contre le sien ne le connait que trop bien. Vous vous teintez à nouveau de cette impatience de vous éprendre l'un de l'autre, de vous noyer plus profondément encore que la dernière fois où vous vous êtes laissés allez à vos bras. Tu t'retrouves à présent quelques mètres plus loin soulevée par ton tatoué qui te dévore la nuque comme s'il était affamé de ta peau, de toi et tu ne peux que le sentir lorsque vos bassins viennent à se trouver furieusement encore recouverts de couches bien trop gênantes à ton goût. Tu gémis, lui demande de continuer. Tu pourrais en crever s'il venait à te laisser dans un tel élan. "T'as jamais eu besoin d'attendre ma chambre..." Ni aucun autre endroit faut dire, rien que dans ce bar dont vous connaissez les toilettes parfaitement après tout ce temps, où cette espèce de ruelle/impasse entre le bar et son ancien appartement lorsque vous étiez trop brûlants pour ne pas vous aimer sur l'instant. Vous n'faites pas dans la modération, faut dire qu'elle s'pointe jamais celle là après tout. Tu sais pas vraiment pourquoi il te repose avant de t'intimer d'te dépêcher de monter les escaliers au trot. C'est que t'aimes presque trop ça lorsque le désir se veut si important qu'vous en perdez tout les deux les pédales échangeant presque vos rôles du dominant et du dominé. Parce qu'entre ses doigts, t'es pas capable d'être autre chose que dévouée à son plus grand plaisir Jo.

Deux étages à monter, comme ça c'est super simple tout le monde peut le faire. Mais amourachés comme vous êtes en train de vous éprendre l'un de l'autre, tout en manquant d'redevaller l'étage pour revenir à la case départ. Au lieu de ça, vous vous plaquez contre l'un des murs des ateliers où Gab en rajoute une couche à la chaleur ambiante. "J'peux savoir c'que t'attends? Une invitation?..." T'aimerais ça, qu'il ne puisse pas se retenir et qu'il vienne te dévorer alors qu'il vient faire sauter la dentelle recouvrant tes fesses encore camouflée par ta jupe courte ne demandant qu'à se faire la malle aussi. Mais vous aurez tout le temps d'vous éprendre l'un l'autre dans les règles de l'art, pour l'instant l'envie est bien trop furieuse pour être refréné plus longtemps. T'as l'impression qu'vous mettez un temps infini à rejoindre ton appartement, alors que tes mains viennent défaire la boucle de sa ceinture et faire sauter le bouton de son jean d'un coup agile. Tu meurs de chaud Jo, t'es incandescente comme si à chaque fois que ses mains venaient te taquiner un peu plus tu venais t'enflammer plus fort encore sans jamais t'arrêter de t'embraser. Tu finis par le guider vers ta chambre, l'attirant contre ta poitrine encore retenue de ton soutien-gorge. T'es plus vraiment habillée Joanne, il te manque l'une de tes Docs alors que tu te libères de la seconde d'un geste de pied lâche. T'as encore ta jupe qui ne semble pas vouloir tomber quand à elle.

Les choses prennent enfin la tournure que vous recherchiez tant, lorsque sans te ménager tu te retrouves poitrine collée contre tes draps ta croupe relevée et prête à recevoir finalement le tatoué. Cette nuit encore, vous vous enverrez en l'air comme si c'était votre dernière soirée sur terre. Comme si c'était votre dernière nuitée de partagée. Vous vous donnerez tout et plus encore, même s'il vous faut en crever pour ça. T'as une longue râle de plaisir lorsqu'un long coup de bassin et sans aucune préparation que la virilité du tatoué vient clamer que tu es sienne. L'un de ses bras vient trouver les côtés d'un des tiens alors que son autre main vient se poser contre ton épiderme pour mieux te saisir. Vos mouvements sont brouillons, désordonnés mais foutrement bien trop bons. Tes doigts viennent à nouveau trouver ceux de Gab non loin pour s'y emmêler alors que tes phalanges libres s'agrippent à tes draps fermement. T'accueilles les coups de butoir comme un miracle, haletante de ce feu gigantesque ayant élu domicile dans ton bas ventre frottant contre le matelas sous l'effet des allers et venus tous plus bons les uns que les autres. Tu te redresses légèrement, ton dos trouvant son torse pour qu'il vienne le réchauffer, toujours plus t'éteindre fermement. Vos grognements viennent détapisser ceux de vos précédentes étreintes pour mieux recouvrir les murs de ta chambre. Peu importe si le voisinage se plein, peu importe si un petit malin se croit chanceux d'être éveiller et de tomber sur un spectacle sympa de ce qui se déroule chez la tatoueuse d'en face. Tout c'qui importe, c'est que tu sois reliée à lui maintenant. Furieusement, passionnément. Vous êtes félins pour l'autre, vos prénoms s'emmêlant langoureusement pour rendre hommage à cette astre lunaire venant vous bercer de ses rayons clairs.

T'en veux encore, et encore. Toujours plus jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce que vous tombiez de fatigue. "J'aime tellement être à toi." Que tu gémis fortement alors que tu viens trouver ses yeux des tiens, ta lèvre inférieure maltraitée par tes canines acérées. Tout c'que tu veux c'est être à lui, n'appartenir qu'à lui. T'aimerais tout rafler, et le garder jalousement pour toi. Pour laisser une nouvelle chance à votre histoire d'exister.

(c) DΛNDELION / MORPHINE (hot) where the lines overlap ± Gabriel 3794924939  



@gabriel dixon (hot) where the lines overlap ± Gabriel 917228000
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Dim 29 Sep - 22:14




overlap.
The desert is calling
The emptiness of space
The hunger of a lion
Is written on your face
A maniac's new love song
Destruction is his game
I need a new direction,
Cause I have lost my way.



Vous vous comportez vraiment comme deux gamins intenables et insupportables tous les deux. Vous remplissez la rue de vos rires mêlés de gémissements. Des sons qui n'ont plus véritablement de sens tant ils s'échappent à la volée et se mélangent les uns aux autres. Ne sont plus que des bruits. C'est à la hauteur de ce que vous êtes tous les deux, très clairement. Deux gamins intenables qui se désirent toujours plus, toujours trop. Qui, dans le fond, s'aiment sans doute trop fort aussi. Parce que vous ne pouvez vous passer l'un de l'autre. Vous n'avez jamais été capables de ça et maintenant vous vous perdez dans ces nuits fauves sans parvenir à vous empêcher. Sans vraiment chercher à le faire d'ailleurs. Tu ris encore à gorge déployée alors qu'elle galère à ouvrir la porte qui vous permettra de rentrer vous réfugier chez elle. Tu ris comme un gamin heureux alors que tes mains sur elle sont bien celles d'un homme adulte. Qui désire une femme incroyable. Et qui ne se fait assurément pas prier pour la provoquer en tripotant ses courbes parfaites. Tes gestes n'ont plus grand chose de tendre en cet instant. Vous êtes bien loin de ta main délicate sur sa cuisse un peu plus tôt dans la soirée. T'as trop envie d'elle pour réfléchir à tout ça. Trop besoin de la posséder dans les plus brefs délais, pour te soucier de ce genre de petit détail. Et tu sais que c'est pareil pour elle. Au moins sur ce plan là, vous savez que vous vous comprenez et vous entendez tous les deux.

Enfin vos deux corps étroitement emmêlés s'enfoncent dans l'obscurité du couloir. Tu ris encore quand elle pense utile de te rappeler que t'as jamais eus besoin d'atteindre sa chambre. Elle a raison. T'es capable de la posséder n'importe où, n'importe quand. Le désir étant trop souvent soudain et brutal. Il te tombe dessus avec la même violence qu'un uppercut inattendu. Et tu ne te fais jamais prier pour aller au bout des choses en sa compagnie. Au bout de la nuit, à tous les coups. Parce que vous êtes bien incapables de vous décoller l'un de l'autre, avant le levé du jour. Et généralement, c'est toi qui prends la fuite quand le soleil vient éclairer l'intérieure de la chambre. Parce que t'es trop lâche et que t'as trop peur de lire du regret dans ses grands yeux une fois que l'alcool n'agit plus sur elle. C'est plus simple pour tous les deux quand vous êtes plus ou moins libres. Que vos corps chantent la même chanson et que vos lèvres s'avèrent incapables de se décoller les unes des autres. Tu ronchonnes un peu contre ses lèvres quand elle même semble se plaindre que tu ne sois pas déjà en train de la posséder dans ces foutues escaliers. J'me soucie d'l'état d'ton dos bébé. Que tu marmonnes tant bien que mal, avec tes dents refermées sur sa lèvre inférieure. C'est presque davantage une question de confort qu'autre chose. Et parce qu'une fois dans son lit, vous pourrez y rester toute la nuit durant, tous les deux étroitement enlacés.

Les choses finissent bel et bien par s'emballer pour de bon. Quand tu perds tout à fait le contrôle une fois dans sa chambre. Dans laquelle vos corps toujours aussi étroitement enlacés, s'engouffrent sans plus tarder. Vous déboulez comme deux boules de feu sur le point d'imploser. L'image est assez réaliste. Alors que tu la positionnes déjà à plat ventre sur le bord du lit pour rabattre vivement ton corps sur le sien. Alors que ton souffle chaud vient chatouiller sa nuque et que tes mains remontent la jupe courte au dessus de ses fesses. Elles mêmes plus du tout obstruées par le moindre sous vêtement. T'aurais pu te contenter de le décaler de côté. Mais faut croire que t'aimes trop ça semer vos fringues un peu de partout dans les couloirs et les escaliers. Tu n'hésites pas bien longtemps avant d'unir enfin vos corps. Dans un mouvement fluide et vif pour te plonger tout entier en elle. Pour qu'elle n'ait plus le moindre doute en ce qui concerne ton incroyable désir pour elle. Ce désir qui te rend fou. Qui vous rend fou les deux parce que dans ce genre de moment tu sais très bien qu'il est partagé. Qu'elle est dans le même état que toi alors que tu la sens palpiter et s'humidifier toujours plus autour de toi. T'as déjà le coeur qui s'emballe et le souffle qui se fait plus court alors que tu remues en elle. Que tu lui rappelles qu'elle est à toi. Que tu rappelles à son corps qu'il est au tien.

T'es en appuie de tes deux mains sur le matelas alors que ton bassin martèles déjà frénétiquement ses fesses bien rondes. Claquement des chairs aussi érotique que les plaintes de plaisir qui s'échappent de vos lèvres entrouvertes. Tu crispes tes doigts autour des siens quand elle vient les perdre au creux de ta main. Tu grondes à la vision de ses doigts libres qui se crispent si fort sur les draps et qui tirent dessus comme si elle perdait le contrôle. Comme s'il lui était nécessaire de s'accrocher à quelque chose, aussi férocement que possible, pour ne pas imploser et s'éparpiller en milliers de petits morceaux à travers la pièce témoin de votre passion. T'essaies de graver sa nouvelle confession dans ta mémoire. Alors même que tu sais qu'elle risque de se faire la malle avec l'alcool qui quittera bientôt ton organisme. Elle est à toi pour la nuit Joanne. C'est déjà bien. Toi qui viens trouver ses lèvres des tiennes. Non sans mal dans la position que vous occupez. T'avales son souffle aussi court et haché que le tien alors que ta bouche vient de nouveau martyriser la sienne. Ton bassin ralenti la cadence. Tu appuies plus fort contre ses fesses. Comme pour gagner quelques millimètres supplémentaires ou en elle. Ou plus simplement pour apprécier la pression de sa croupe tendue vers toi, contre ton bas ventre.

Tu te frottes à elle. Soudainement bien langoureux. Ton coeur se calme un peu alors tu trouves le courage de te redresser. De la libérer de ton poids pour l'inciter à se retourner et à te faire de nouveau face. Tu l'aides à grimper un peu plus haut sur le lit, vos corps étalés sur sa largeur alors que de nouveau tu plonges en elle. Incapable de rester trop longtemps hors de sa chaleur qui te reçoit de nouveau avec facilité. Tu grondes ton plaisir tandis que tu disparais de nouveau entre ses cuisses ouvertes et que de nouveau, tes reins dansent pour elle. Mouvements toujours aussi brusques et rapides. Désordonnés aussi, il est vrai. Parce que t'es incapable de faire autrement. Parce que tu n'es qu'à moitié conscient de tout ce qui se passe, de tout ce qui se joue entre vous dans cette chambre à coucher que vous remplissez souvent de vos étreintes et de ses sons érotiques. T'es à moi. Que tu te surprends à souffler d'une voix chaude, ton torse écrasant sa poitrine et tes bras enroulés sur le lit, autour de sa tête. Ton visage toujours plus proche du sien. Tes lèvres qui n'ont de cesse de voler des baisers brûlants aux siennes. T'es désordonné parce que ton désir l'est plus encore. Parce que tu ne sais contrôler les choses quand c'est ton corps qui prend le dessus sur la raison et que tu le laisses s'exprimer sans lui mettre le moindre frein.

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@Joanne De Luca   (hot) where the lines overlap ± Gabriel 2625458459
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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Lun 30 Sep - 4:47



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
S'il y a une chose que tu viens à redouter alors que vous pénètrez tout deux dans le shop, c'est au résultat du lendemain. Lorsque tu viendras à te réveiller, et que tes mains viendront chercher Gabriel dans les plaines défaites de tes draps. Ce moment où ton cœur se brisera un peu plus, lorsque tu te rendras compte qu'il n'est pas resté. Qu'il s'est contenté d'attendre que tu t'endormes contre lui profondément pour filer à l'anglaise. Jamais, tu n'as eu le loisir de te réveiller à ses côtés. Et pourtant, c'est pas faute de vous être envoyés en l'air jusqu'à l'épuisement. Jusqu'à ce que vos muscles crampent, et que respirer vienne à vous faire mal. Tu le sais qu'il ne sera pas là lorsque tes yeux s'ouvriront, gênés par ton réveil strident et les rayons solaires agaçant ton nez qui viendra sûrement se froncer gêné par un tel affront. T'auras très sûrement la gueule de bois, et tout le poids du monde sur tes épaules à nouveau. Sans compter l'énième gifle en plein visage adressée par cette main tatouée venant t'rappeler que tu vaux rien. Qu'tu mérites pas grand chose. Même pas sa présence au petit matin pour soulager ton âme.

C'est l'une des raisons qui expliquent que t'as énormément de mal à lui faire confiance. Comment peut il jurer de ne jamais t'abandonner s'il est le premier à déguerpir lorsque la lune s'en vient à disparaître? T'en sais rien Joanne, t'as jamais compris à vrai dire. Et t'as toujours été bien trop fière pour ne serait-ce que mettre le sujet sur le tapis. Prendre le risque d'entendre quelque chose qui pourrait faire mal à ton cœur et que tu ne saurais supporter. Quelque chose qui voudrait dire que t'es pas assez bien ou pas assez méritante. Qui te rappelles à quel point tu peux être détestable par moment, et qu'il faut que ça te revienne en pleine tête d'une manière ou d'une autre. T'aimerais, réussir à lui faire promettre cette nuit de ne pas disparaître lorsque l'aube s'en viendra plus sérieusement que quelques rayons venant chatouiller vos épidermes encore transit par l'envie de s'éprendre de l'un l'autre. Alors cette nuit encore comme toute les autres tu devras prendre sur toi. Pour ne pas lui faire cette demande, ne pas t'amouracher à quelque chose qui ne pourra pas arriver. Qui n'est pas voué à durer. Car combien même s'il essaie de faire un effort, qu'est-ce qui t'assures qu'il recommencera? T'as pensé à quel point ça pourrait te faire du mal? Que d'te rendre compte que c'était juste histoire de t'faire plaisir, de t'faire fermer ta gueule sur l'instant pour éviter de te voir grogner de mécontentement.

T'essaies de mettre tout ça de côté alors que vous vous emballez clairement l'un contre l'autre. Vos dos viennent à se plaquer contre les murs des longs couloirs menant jusqu'à ton appartement. Vous n'êtes que plaintes de mécontentement, de plaisir et d'envies. Tu râles, lorsqu'il te fait remarquer à quel point ta chambre est chiante à atteindre. Alors d'abord on s'plaint sur la distance du bar à ton appartement, ensuite de ton incapacité à déverrouiller cette foutue porte arrière alors que t'étais assaillie sans vergogne des mains de Gabriel venant échauffer toujours plus ton corps, et ensuite il se plait du fait que ta chambre est inatteignable. Tu lui fais remarquer qu'il n'a jamais eu besoin d'un matelas pour s'éprendre de toi dans les formes et ça réponse à le dos de te clouer le bec aussi sec pour te laisser une plainte profonde de plaisir s'échapper de tes lippes. Bébé. Jamais, il ne s'autorise ce genre de familiarités. Du moins, plus depuis que vous vous êtes séparés. T'as ton cœur qui peine à se remettre en marche et c'est sans compter sur vos fringues qui se perdent un peu plus au fur et à mesure de votre ascension vers ton appartement. Une Doc ici, une de tes chaussette longue par là, sans oublier de semer ton string sur le sol du salon rageusement. Vous êtes incapables de vous contrôler, vous brûlez bien trop à présent. Bien trop fortement pour pouvoir espérer ne serait-ce que de retrouver un peu de raison avant que vous ne soyez totalement repu l'un de l'autre.

Ta chambre s'offre finalement à vous, et faut dire que vous en avez rudement chier pour en arriver là. Vous avez bien manqué de vous casser la figure cent fois si ce n'est pas une. L'excitation est à son comble, et Gabriel semble bien trop échauffé pour ne serait-ce que te laisser la moindre marche de manœuvre. T'aimes ça, lorsqu'il cesse d'être innocent pour se coller dans cette peau de prédateur avide de toi et de tes courbes que tu lui réserves jalousement. T'en as connu, quelques autres. Tous incapables que de te faire ressentir quoi que ce soit, ne serait-ce qu'un frisson. Alors t'as rapidement oublié l'idée, te promettant que si ce n'était pas à lui que tu appartenais alors tu te refuserais aux autres. Peu importe les pseudos belles histoires que tu pourrais manquer. Ou les mecs à qui tu devrais laisser une chance. T'en veux pas des autres, tu veux pas d'leurs histoires à la con. T'as toujours voulu que lui, lui et lui seul. Ca aurait servi à quoi, ces treize années à l'attendre si c'est pour tout foutre en l'air maintenant? Abandonner égoïstement? T'es pas comme ça, t'abandonnes pas les gens et encore moins tes convictions. Même si c'est douloureux, même si t'aimerais que les choses soient différentes et qu'elles aillent un peu plus dans votre sens. Il paraît que tout vient à point à qui sait attendre, alors peut être qu'un jour si tu continues d'espérer vous pourrez peut être enfin devenir quelque chose de beau. Quelque chose de bien.

C'est la poitrine contre ton matelas que Gabriel vient te déposer sans vraiment de douceur. Vous êtes trop transit par l'envie de vous lier l'un à l'autre pour ça. Parce que vous êtes deux putains de pièces de puzzle faites pour s'imbriquer parfaitement l'une à l'autre. Vous n'appartenez qu'à vous, n'arrivez qu'à vivre pleinement ce genre d'étreintes qu'en la compagnie de votre seconde moitié. Tu comprends pas Joanne, alors que tout prend son sens lorsqu'il vient s'insérer en toi pour t'arracher une longue plainte de plaisir. Vous êtes bien trop importants, bien trop beaux ensemble. La croupe relevée, tendue sur tes deux jambes t'accueilles les coups de butoirs invoqués comme un miracle que l'encré t'offres sans réfléchir à la bienséance. Vous êtes bien au dessus de ça, vous vous connaissez bien trop. Tout s'accélère. Les feulements tapissant à nouveau ta chambre, vos chaires qui s'entrechoquent furieusement pour mieux vous faire trembler de plaisir. Tes reins s'échauffent, ton bassin n'a de cesse que de recevoir gracieusement ces vas et viens puissants que Gab t'assènes pour mieux te faire couiner de contentement. Vos mains se trouvent, s'abandonnent. Vos corps gagnent un peu plus le matelas alors que vous glisser contre les draps pour vous y abandonner totalement, dansant rageusement comme vous savez si bien le faire. T'en veux encore, et toujours plus. Tu ne manques pas de lui lâcher, que t'aimerais être à lui et ce pour plus longtemps qu'une nuit. Pouvoir profiter de ce genre d'étreinte quand le cœur vous en dit sans être refrénés par une quelconque crainte ou souvenir douloureux.

C'est ton dos contre le matelas, vos lèvres qui se retrouvent pour s'éprendre l'une de l'autre. Vos langues s'emmêlent et vos corps continuent de ne faire qu'un. T'es submergée par ce flots de sensations toutes plus agréables les unes que les autres d'autant plus lorsque Gabriel vient asseoir sa domination à ton égard en te grognant que tu lui appartiens. Tu gémis en guise de réponse positive. S'il savait, que t'es bien incapable que de te laisser aller avec un autre homme. Ne serait-ce que l'imaginer te colle la nausée. Tu ne veux que lui, lui et encore lui. Lui à jamais, lui pour la vie. Tu te laisses aller à ses bras entourant ton visage, à ses coups de bassins tous plus endiablés les uns que les autres. T'aimerais qu'il t'appartiennes, mais t'es que bien trop au courant de ses quelques conquêtes. Sans parler de cette vieille partageant ses draps lorsque l'appétit lui en dit. "J'aimerais... putain. Qu'tu m'appartiennes aussi." Parce que toi Jo, tu peux pas te contenter d'un simple "T'es à moi" pour t'assurer que ce soit bien le cas. Et ça te butes si fort. Tellement. T'aurais presque des larmes qui t'montent aux yeux, bordel de flots de sentiments. Au lieu de ça, tu te contentes de gémir plus fort encore, toujours plus haletante. Tes jambes viennent s'enrouler autour de son bassin comme si tu manquais de t'effondrer. Tu ne veux pas que ça cesse jamais. Alors tu lui donnes tout ton être, et plus encore. Jusqu'à ce que t'en crèves, que la douleur de ne pas lui appartenir te fasse caner. Tu feules son nom pour faire gauler les astres, uniques témoins de vos rapprochements. Tes doigts s'emmêlent à lui, viennent griffer, saisir violemment. T'es cette lionne se débattant, mais à la fois étonnamment réceptive qui se laisse finalement aller. Tu lui murmures que tu le veux, maintenant et inlassablement. L'alcool n'aide pas, te laisses parler sans le filtre de ton cerveau sensé te préserver. T'es bien plus qu'à demie nue, t'as le cœur à découvert Jo et il palpite entre ses mains accolées à présent à ta poitrine. Tu remues contre lui toujours plus, vos intimités se percutant dans un claquement de peau des plus agréables. Tu pourrais claquer maintenant, qu'au final ça t'arrangerais plutôt pas mal. Qu'la jouissance vienne te foudroyer pour t'envoyer à l'ombre. Crever dans ses bras, si y vieillir t'es refusé tu t'en contenteras.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Lun 30 Sep - 20:14




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T'as jamais été capable de pleinement assumer ces nuits mouvementées en sa compagnie. Jamais assez pour rester une fois les premières lueurs du jour arrivées. Tu ne saurais tout à fait expliquer pourquoi ça. Pourquoi tu crains autant son regard après ces folles étreintes pleine de passion et, clairement, d'amour. Peut-être parce que t'as trop peur d'être fragile face à elle. Tu crains trop qu'elle puisse voir dans ton regard à quel point elle compte pour toi et à quel point t'es faible quand ça la concerne. Parce que t'es encore assez idiot pour t'imaginer que ce n'est pas réciproque. Que tu ne comptes pas autant pour elle qu'elle ne compte pour toi. Tu penses encore que Joanne elle te déteste mais apprécie vos étreintes. C'est possible après tout. Elle peut n'être attirée que par ton corps, quand bien même ce n'est pas le plus fou des corps dans le genre. Elle peut n'apprécier que l'intensité de vos étreintes toutes plus fougueuses et passionnées les unes que les autres. Elle n'a jamais prétendu le contraire alors tu ne vois pas de raison de penser autrement que de la sorte. Tu n'as pas de raison de croire qu'elle aimerait te retrouver dans ses draps au réveil. Tu préfères fuir plutôt que d'affronter son regard plein de rancoeur après ces instants de pure magie que vous aurez partagés tous les deux. T'es pas prêt à constater tout ça. A voir qu'elle te déteste malgré la passion qui vous lie à tous les coups. Pas prêt à te rendre compte que t'es celui qui tient le plus fort à l'autre. Alors peut-être que tu te trompes lourdement sur toute la ligne. Mais peut-être que non. Dans tous les cas, t'as pas la force de vérifier.

Mais vous n'avez pas du tout le temps d'y penser de toute façon. Alors que vos lèvres ne semblent plus vouloir ni pouvoir se décoller les unes des autres et que vos corps sont à ce point occupés l'un par l'autre. T'as juste envie de te perdre totalement cette nuit. Contre elle et en elle. T'as juste envie de la serrer fort contre toi et lui rappeler qu'elle t'appartient. Oui, elle est à toi Joanne. Au fond de toi, enfouit bien profondément, y'a une petite voix qui te souffle cette certitude quand tu te perds de cette façon contre elle. Que t'es plus capable de penser à quoi que ce soit d'autre surtout. Et dans le fond tu n'essaies même pas. T'as juste envie de profiter sans te poser de question et t'as bien l'impression qu'elle en fait de même Joanne. Tu utilises le surnom "bébé" avec naturel. Comme si jamais tu n'avais cessé de l'appeler ainsi. Alors même que tu ne te permets plus ces petits mots tendres depuis que vous n'êtes plus un couple tous les deux. Autant dire depuis une éternité. Tout au plus tu veux bien l'appeler "Jo". Comme tout le monde ou presque. Comme les autres membres de votre groupe surtout. Tu ne réalises même pas que ce petit surnom vient de lui retourner le coeur et le cerveau. T'es trop perturbé par toutes les belles choses que tu ressens. Et trop concentré sur la tournure que sont encore en train de prendre vos baisers plein de fougue et d'ardeur.

Vous finissez par arriver dans sa chambre. Non sans quelques difficultés rencontrées en cours de route. Et très vite vos corps échouent sur son matelas. Tu ne penses à rien d'autre qu'à ton envie d'elle. Féroce et bestiale. T'es pourtant pas d'une nature très violente et virulente. T'es même presque trop doux avec tout le monde. Sur le plan sexuel, t'es dans la retenue de toi même pour ne pas précipiter les choses et pour rester aussi attentif que possible à ta partenaire. Mais avec Joanne tu perds trop souvent le contrôle de toi même. T'es juste plus du tout capable de réfléchir quand vos corps se percutent de la façon la plus fougueuse et ardente qui soit. Vous vous enflammez dans les bras l'un de l'autre et faites en sorte de vous appartenir aussi fort que possible. Raison pour laquelle tu ne prends pas même la peine de réfléchir à la position. Tout naturellement tu la fais basculer en avant, le ventre sur le bord du matelas et ton bassin qui vient reposer sur ses fesses joliment rondes. T'es désordonné dans tes coups de bassin tant ton envie parle pour toi. Elle qui se mêle à l'ivresse pour te rendre plus fougueux que jamais. Et presque hargneux dans les mouvements de ton corps sur/contre/dans le sien. Vous n'êtes déjà plus que halètements de plaisir alors que, tant bien que mal, elle tente de te rendre coup sur coup.

Mais t'as envie de retrouver ses lèvres des tiennes Gabriel. Alors tu permets à son corps de se retrouver pour que ton torse vienne écraser sa poitrine. Tu ne te soucies pas même de savoir si la position est confortable et si t'es pas en train trop l'écraser à son goût. T'es de nouveau planté en elle et c'est là tout ce qui semble importer pour toi qui vas et vient de nouveau. Encore. Non stop. Tu sais plus t'arrêter. Tu ne veux pas t'arrêter. Tu veux dévorer les lèvres de ta belle et avaler tous les gémissements qui s'en échappent. Tu veux embrasser cette bouche qui sait si bien te souffler des horreurs et te rassasier de ces mots qui se font plus provocateurs et plus doux que ceux qu'elle a pour habitude de t'offrir. Tu préfères ceux là à ceux chargés de haine et de rancoeur, sans surprise. Tes lèvres frôlent sensuellement les siennes au même rythme que tes vas et vient vifs et fermes en elle. J'suis à toi. J'suis qu'à toi. Que tu lui souffles en retour, sans y penser, sans y réfléchir. C'est pourtant vrai. T'as d'autres aventures parce que t'es intimement convaincu qu'il en va de même pour elle. T'as Susan parce qu'elle te paye pour ta compagnie. Mais y'a qu'elle qui compte vraiment pour toi. Y'a que d'elle que t'as un jour été amoureux. Et que t'aimes sans doute encore, à ta façon un peu maladroite, un peu tordue.

Tu geins de plaisir et de bonheur quand elle enroule fort ses jambes autour de toi. Et quand elle exprime le pied qu'elle est en train de prendre, aussi et surtout. T'aimes bien trop la force avec laquelle elle s'exprime. Elle ne fait pas semblant avec toi Joanne. Tu le sais parce qu'elle n'hésite jamais à te le dire et à bien te le faire sentir quand elle n'est pas contente après toi. Et Dieu sait qu'elle n'est pas souvent contente après toi d'ailleurs ! Cette fois elle se fait suppliante pour t'encourager à ne pas t'arrêter. A continuer sur cette si belle lancée. Que tu continues de rappeler à son corps qu'il est la propriété du sien. Que tu continues de la posséder comme tu sais si bien le faire. Comme vous savez si bien le faire ensemble tous les deux. Rien que tous les deux. Tu halètes. Tu gémis. Tu grondes un peu. Et tu répètes son prénom. Les syllabes tombent en cascade de ta bouche qui retrouve sans cesse la sienne pour lui voler des baisers plein de fougue. Amant amoureux. Même si ces mots là ne s'échappent pas. Restent bien emprisonnés dans une jolie cage dorée de laquelle t'as perdu la clé y'a bien longtemps. De peur de tout foutre en l'air une fois de trop avec elle. Une ultime fois. Tu préfères ne partager "que" des nuits fougueuses et animées de la sorte avec elle, plutôt que de trop en vouloir et de la perdre à cause de ça. Te contenter de ces corps à corps débridés qui vous poussent à penser que vous vous appartenez véritablement tous les deux. Vous rappelant que vous n'êtes qu'ensemble dans ce bateau qui navigue au grès du vent. Sur la mer agitée qu'est la vie. Votre vie. Toi qui souffles des 'encore' pour encourager son bassin à danser toujours plus furieusement contre le tien qui se déchaîne. Avec la même fougue que mettent tes mains à s'accrocher à ses cheveux éparpillés sur le matelas.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Mar 1 Oct - 3:55



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Gabriel - Joanne

«Le plaisir présente un avantage : contrairement au bonheur, il a le mérite d'exister.» frédéric beigbeder
Il y a cette cliente, avec laquelle tu t'entends bien et qui est sur le point de se marier. Elle t'as d'ailleurs invitée, à partager un verre pour célébrer son union. T'as été touchée, alors t'as accepté forcément. Tu sais pas vraiment dans quoi tu t'es embarquée d'autant plus lorsqu'elle t'as obligée à ramener "ce fameux tatoué" avec lequel elle a eu le plaisir de te voir chicaner lors d'un de ses derniers passages sous tes aiguilles. Donc t'avais cette frustration en plus, qui s'ajoutait à la peine des clichés qu'il te balance à tout va sur les réseaux comme si tu ne le voyais pas. Comme si ça ne te touchais pas, et que tu t'en foutais de le voir s'exhiber au bras de cette femme plutôt qu'au tiens. Et pourtant t'es haineuse, venimeuse. Tu ne contrôles pas ta rage, ni le poids de tes mots lorsqu'ils viennent filer entre tes lippes. Tu le regrettes bien trop souvent, et après t'en viens à te détester. Tu t'enfermes dans le noir à repenser à tout ça et tu laisses couler ton énervement sur le papier pour le purger, l'enlever loin de toi si tu veux pouvoir réussir à respirer.

T'aimerais qu'entre toi et Gabriel les choses soient plus simples. Que vous n'ayez pas à vous balancer ces mots durs ou à agir continuellement comme deux gamins trop fiers pour faire quoi que ce soit qui puisse faire pencher quoi que ce soit du bon côté de la balance. Du votre. T'es pas capable de faire quoi que ce soit de bien pour lui, si ce n'est venir couvrir son épiderme parfaitement de ton art. De ton encre. Parce qu'il est ton modèle préféré, la peau que tu apprécies le plus de venir assombrir. T'es incapable de te passer de lui bordel Jo, et t'utilises toujours ce prétexte débile pour vous rapprocher. Il y a toujours ce sms de ta part venant le questionner sur sa cicatrisation, savoir s'il a pu voir à quel point le record de likes se met à exploser lorsque tu publies une photo de lui. T'aimerais qu'il puisse se rendre compte de ça, de l'importante que tu lui accordes bien au delà de votre pseudo amitié qui est en vérité bien plus que ça.  Qu'il est celui que t'aimerais emmener aux quatre coins du monde, celui avec qui tu voudrais passer chacune de tes nuits sans aucune exceptions pour ne jamais avoir à le partager. Parce que ça te tue, tu détestes ça de le savoir si libre. Si beau et si lui. Si toi t'as pas réussis à lui résister, alors n'importe laquelle peut tomber éperdument folle de lui pour mieux venir te le rafler.

Et pourtant, ce soir c'est contre toi qu'il se love. A toi qu'il s'adonne. Vous avez encore une fois perdu tout contrôle, vous vous êtes à nouveau laissés emportés par ces nuits fauves qui ne vous connaissent que trop bien. Car elle est là, votre unique manière de vous prouver votre affection. La plus puissante de toutes, plus forte encore que ces trois petits mots qui n'ont jamais traversés vos lippes. C'est toi, qui lui avais défendu alors que vous étiez bien plus jeunes de te les dire. T'avais une sacrée grande gueule à l'époque, et déjà de ce temps là t'arrivais pas à assumer pleinement ce que tu pouvais ressentir pour Gab. Comme si c'était trop fort, que ça te dépassais totalement. Alors jamais, vous ne vous êtes avoués que vous vous aimiez. Combien même parfois ça crève les autres comme à cet instant où vous vous éprenez l'un de l'autre furieusement après vous être tournés longuement autour. Prétendant que rien n'était arrivé et que rien n'arriverait jamais.

Et pourtant, vous êtes là. Et bien là. T'as envie d'foncer la tête en premier dans le mur quitte à en fracasser ta matière grise contre ses parois de briques. T'as envie de vivre à deux cent à l'heure sans réfléchir, juste en pensant à ton plaisir. Bordel Joanne, t'es trop jeune pour t'prendre la tête autant. Ça fait bien trop longtemps que t'agis comme ça, comme une désespérée comme une incapable de comprendre la symphonie d'son corps cabossé. Et pourtant là toute suite tu laisses aller. Parce que rien ne compte plus que Gabriel pas vrai? Parce de tous les êtres humains sur cette putain d'planète bleue il n'y a que lui qui compte. Aucun n'pouvant lui arriver à la cheville ou à son petit doigt de pied légèrement recourbé. Tu le connais par cœur, depuis des années et tu ne t'en lasseras jamais. Tu voudrais qu'il t'appartiennes, et alors qu'il vient te posséder encore eet encore tu ne peux t'empêcher de lui intimer. T'as été bien trop transie de bonheur par un simple "bébé" de sa part. Mot doux n'ayant pas franchit ses lèvres depuis que vous vous êtes séparés il y a de ça une dizaine d'années. Vous êtes les deux plus gros abrutis que la terre ai pu porter et malgré ça vous vous trouvez encore capable d'en douter. Tu sais pas vraiment s'il faudra un accident tragique, ou bien une simple révélation pour que vos êtres se mettent à piger, à capter que vous n'êtes rien l'un sans l'autre.

Tu râles de plaisir, n'a de cesses que de toujours en demander plus alors que tes jambes se nouent autour de sa taille pour toujours plus l'accueillir en toi. Vous êtes deux entités vengeresses venant s'éprendre l'une de l'autre toujours plus brutalement. T'arrives pas, à lui montrer cette part de douceur qui fait pourtant bien partie de toi. Ce côté fleur bleue qui aimerait le voir te kidnapper pour t'emmener très loin vers d'autres contrées. Loin de tout ce qui peut vous retenir ici. Mais à cet instant bien précis, tout ça ne compte plus. Parce que c'est pour toi, qu'il vient râler de plaisir tout en capturant tes lèvres. Vos langues se mélangent avec fougue, t'en peux plus Jo. Et tu sais pertinemment qu'il ne t'appartiens pas combien même il vient te souffler le contraire tout contre tes lippes en reprenant sa respiration. T'es blessée un peu plus, t'as envie que tes larmes se mettent à dévaler le long de tes joues et pourtant. Tu te retiens, bien trop fière pour te laisser aller à tes sentiments. Tu dois garder la face, montrer que tu rythmes le jeu. Sinon tu viendras à le perdre, il ira s'éprendre d'une autre plus intéressante ou plus addictive que toi pas vrai?

Il est bien trop beau, bien trop puissant alors qu'il se déchaîne en toi de cette façon qui ne manque pas de t'arracher bien des paroles et bien des plaintes. Ton dos contre le matelas, tu n'as de cesses que de gémir toujours plus alors que Gabriel va et vient nerveusement en toi comme un diable. Vous vous êtes bien trop retenus, vous avez bien trop fait preuve de calme et de sagesse pour ne pas enfin vous laisser exploser dans ce méli-mélo de sensations toutes plus exquises les unes que les autres. Il gémit, ses paroles teintées de "Encore!" Et de ton prénom alors que tu viens épouser parfaitement les coups puissants qu'il t'offres. Tes doigts s'enserrent contre ses cheveux, tu ne mesures plus l'intensité et t'ignores bien si cela peut lui faire mal. Tout ce qui compte et cette boule dans ton bas ventre ne cessant de croître toujours plus menaçant d'exploser. Car ça fait bien trop longtemps, que vous ne vous êtes pas retrouvés dans une telle situation. Que cette bouteille de bourbon ingérée ne t'aides décidément pas à avoir les idées claires et que ton tatoué est bien trop magnifique pour que tu puisses éprouver la moindre résistance quant à son corps conquérant.

Tes cheveux reposent autour de ton crâne tel une couronne flamboyante alors que les derniers rayons lunaires viennent taper contre vos couennes encrées. D'un geste fourbe, tu viens à désarçonner Gabriel pour échanger les rôles et finalement le chevaucher sans rompre votre étreinte. A ton tour, de te montrer dominante et pleine d'envie. A demie vêtue contre lui alors que ton corps arbore encore ta jupe écossaise et ton soutien gorge de dentelle noire. Tu vas et viens furieusement, rageusement, d'une façon incandescente comme si l'aube menaçait de te faire brûler vivante. Et pourtant, demain tout aura disparu. Gabriel, cette nuit fauve, ses mots doux pour faire gauler la lune. Plus rien de tout cela ne sera. Tes doigts viennent cependant laisser des traces, tout comme tes lèvres venant s'éprendre de son torse pour laisser de nombreuses traces violacées sous leurs passages tandis que tes reins dansent fiévreusement. Lui comme son corps s'en souviendront, de cette nuitée passionnée. "J't'interdis... T'as pas l'droit d'me laisser lorsque le jour se lèvera." Que tu souffles alors que tes ongles viennent s'enserrer tout contre sa jugulaire de façon tendre sans jamais le blesser. Tes yeux brillent. D'envie, de tristesse, d'amour. Autant de sentiments qui t'assaillent lorsque tu te retrouves dans de telles situations en sa compagnie. Tu viens finalement perdre tes lippes contre les siennes histoire de t'éviter toute autre parole gênante. Pour ne pas montrer à quel point tu peux être touchée de cette situation alors que vos corps se tendent peu à peu vers la jouissance qu'eux seuls en savent s'accorder.

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Message Sujet: Re: (hot) where the lines overlap ± Gabriel   (hot) where the lines overlap ± Gabriel Empty Mar 1 Oct - 20:59




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T'as de sacrés œillères devant les yeux Gabriel, t'en es bien conscient. Mais en être conscient ne suffit pas pour t'aider à changer et à évoluer dans le bon sens. Parce que tu ne comprends. Tu pourrais faire tous les efforts du monde pour tenter de voir un peu mieux toutes les petites choses qui concernent directement Joanne, ça ne changera rien tant que tu ne comprendras pas. T'y peux rien, vraiment. T'as envie d'essayer pourtant. Parfois tu te concentres carrément fort. Pour revivre ces dernières années dans ta mémoire. Et rejouer jusqu'à votre rencontre, pour tenter de piger ce qui cloche à ce point chez toi. T'es pourtant pas du genre à rester complètement focalisé sur ta propre petite vie et ta propre petite personne. T'es pas tout à fait aveugle puisque tu vois les changements de comportements et d'expressions chez ton amie de toujours et accessoirement ex petite amie. Mais il y a bien un monde entre le fait de voir tout ça et le fait de savoir interpréter le tout. Sans te tromper, si possible. Malheureusement, t'es trop maladroit pour être capable de tout ça, c'est un autre fait qui te concerne. Et elle devrait être habituée depuis le temps, Joanne. Elle devrait. Pourtant tu n'as pas la sensation que le temps qui passe change grand chose. Elle ne te supporte pas et ne te supportera jamais. Tu te demandes parfois si vous pouvez vraiment appeler ça une amitié. Pour ça, encore faudrait-il qu'elle t'apprécie au moins autant que toi tu "l'apprécies".

T'aimerais que les choses bougent et évoluent un tant soit peu entre vous. Mais tu le sais et le vois bien que ce n'est pas si simple. Parce que tu ne fais pas ce qu'il faut pour ça. Parce que t'as aucune idée de comment tu dois t'y prendre. T'aimerais que Joanne réalise que t'as sans doute juste besoin de quelques directives de sa part. Qu'elle mette de côté les indices au profit de mots plus directs. Parce qu'elle doit bien le voir depuis le temps, que tu ne comprends pas les messages qu'elle t'envoie si maladroitement. Grande mystérieuse qui ne veut pas te tirer par la main pour te guider correctement. Qui attend beaucoup plus de toi que ce que tu es capable de lui offrir, concrètement. T'as justement su lui dire à Joanne, combien elle pouvait compter pour toi. Pas même quand vous étiez ensemble. Mais bêtement et maladroitement, t'as toujours eus l'espoir qu'elle en soit consciente de tout ça. Consciente de ton amour un peu gauche, un peu maladroit, un peu compliqué, que tu ressens pour elle depuis le début. T'iras pas jusqu'à dire que ça a été un coup de foudre quand bien même elle t'a tout de suite tapé dans l'oeil avec ses cheveux déjà colorés à l'époque et son teint pâle derrière ses longues mèches. T'es tombé amoureux fou de sa petite personne, avec le temps. A force de joutes verbales parfois pourtant blessantes dans le genre. T'es tombé par et pour elle et tu ne t'es jamais véritablement relevé.

T'es maladroit jusque dans ta façon de la prendre. Et en même temps très précis dans le plaisir que tu lui offres et que tu prends dans la foulée. T'as juste beaucoup trop envie d'elle pour être en mesure de réfléchir. Tu ne le fais jamais quand tu te perds dans les nuits fauves en sa compagnie. T'es bien trop perturbé par tout ce que tu ressens, ainsi contre elle et en elle. Elle qui referme ses jambes délicates autour de tes hanches pour te serrer toujours plus étroitement contre elle et pour t'inciter à poursuivre. Comme ses plaintes, ses supplications et sa façon désordonnée et passionnée de t'embrasser. Tu sais que c'est sa façon à elle de te faire sentir à quel point elle te veut dans ces moments là. Vos corps dansent au même rythme infernal alors que vous continuez de vous donner l'un à l'autre, sans retenue aucune. Tu grondes en retour, quand elle referme ses doigts autour de tes cheveux noirs sur lesquels elle tire presque trop fort. Assez pour te faire autant de bien que de mal. T'aimes quand elle perd à ce point le contrôle Joanne. T'as un hoquet de surprise quand elle te flanque un coup de bassin bien senti qui te fait perdre l'équilibre. Mais t'aimes vraiment ça aussi quand elle prend le dessus sur toi. Sur vos étreintes enflammées et passionnées. Alors tu te laisses faire, sans surprise. Désireux d'en profiter pour observer ce corps divin qui sait si bien danser sur le tien quand elle se donne pleinement à toi / à vous.

Elle danse vivement sur toi ta belle Joanne. Elle monte et descend, fait tanguer son bassin d'avant en arrière, roule des hanches. Elle te fait le tout et bien plus encore. Tu te laisses faire, n'offrant que quelques mouvements de bassin de temps à autre pour offrir des pénétrations plus vives encore, plus intenses. T'es gémissements, vibrations et suppliques. Tu ne supporterais vraiment pas qu'elle s'arrête. Ni maintenant ni jamais. Alors quand elle t'ordonne presque de rester dormir dans ses draps et de ne surtout pas disparaître au petit matin, t'as aucune envie de lui refuser ça. Parce que dans le fond t'en meurs d'envie toi. Et que la seule raison pour laquelle tu fuis aussitôt que le soleil commence à éclairer l'intérieur de son appartement, c'est ta peur qu'elle même ait des regrets et soit prise de l'envie de te flanquer à la porte, tout simplement. D'accord ... C'est le seul mot que tu parviens à souffler du bout des lèvres. Entre deux gémissements de plaisir. Ton visage aux traits tendus par l'extase. Crispés par la concentration dont tu dois à tout prix faire preuve pour éviter de perdre les pédales et de rejoindre le septième ciel trop vite et trop fort. Prendre sur toi. Rester un tant soit peu sous contrôle même quand ça te demande tant d'efforts. A tout prix. Si elle a vraiment envie de te retrouver dans son lit à son réveil, t'y seras, bien sûr. Tu ferais tout pour elle.

Y'a ta main que tu viens poser sur son poignet proche de ta gorge. Elle qui griffe la peau tatouée et de ta gorge, hauteur jugulaire, pour accentuer la prise physique qu'elle a sur toi. Le contrôle total qu'elle a sur toi à vrai dire. Tu te laisses faire parce que ça t'excite et te plait au possible. Parce qu'elle a tous les droits sur toi, même si elle l'ignore. Tu gémis encore ton plaisir quand elle se penche pour retrouver ta bouche de la sienne. T'ignores si elle sait à quel point t'aimes quand elle t'embrasse. Tout ce qu'elle te fait ressentir de ses lèvres sur les tiennes et le plaisir que t'y prends. Tu sais pas si elle réalise à quel point t'es incapable de te passer de tout ça. Même si ça semble évident, depuis le temps que vous fricotez ensemble malgré votre séparation qui remonte à un paquet d'années maintenant. Tes doigts montent se perdre dans ses cheveux. S'y crisper sans que tu ne sois capable de te retenir de tirer quelque peu dessus. T'es maintenant à haleter contre ses lèvres entre deux vives plaintes de plaisir. T'es incapable de souffler le moindre mot alors que le plaisir continue de grimper. Que tes prunelles froncées n'offrent plus rien d'autre que la dose folle de passion que t'as en stock par et pour elle. Et le plaisir qui vient tout naturellement avec. Tu prends ton pied et t'es bien incapable de ne pas le montrer. Surtout lorsqu'il atteint de hauts sommets et ne viennent finalement te faucher en plein élan. Tes mâchoires se crispent, un grognement roule au fond de ta gorge, ta main raffermit sa prise sur ses cheveux et l'autre appuie sur une hanche pour l'inciter à te garder en elle alors que tu t'y perds une ultime fois. Le temps que la foudre t'achève une bonne fois pour toute. Te foudroie sur place.

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