Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - Bambi

save the queens ---- / BAMBI HARGROVE

25 ans ---- / ACE OF SPADES ---- / cindy kimberly

identité complète - La passion au bout de tes lèvres pulpeuses d’un prénom qui écorche le cœur à la simple prononciation, Bambi que l’on soupire dans un murmure que l’on oublie très vite parce que t’es le genre de femme qui laisse aucune trace de son passage alors rêve ou réalité, peut-être aucun des deux. Rose aux épines aiguisées comme des rasoirs de la famille Hargrove, famille soudée dans une époque bien trop avancée pour ceux aux faibles moyens. lieu de naissance et origines - Bouton de rose qui s’est ouvert dans un des quartiers de New York mais pas n’importe lequel : South Jamaica, celui qu’on surnomme « South Suicide Queens », les trois initiales gravées sur ta peau dans un tatouage au poignet, fait par un mec à l’hygiène un peu douteuse, mais mourir de cette connerie ou par assassinat, t’as choisi de prendre le risque du virus. Origines brésiliennes reflétant l’espoir de nouveau jour dans un tout autre endroit qui fait d’avantage rêver que ta maison tombant en ruine. études ou métier - Le corps que tu travailles comme atout majeur, dans ce cabaret, parce que ton corps est la promesse d’argent, tu te laisses pas souiller Bambi mais t’en fais suffisamment pour perdre l’estime que tu as de toi. T’es ce pion que l’on refile de main en main dans l’espoir de passer une bonne soirée alors qu’au fond ; t’espères juste avoir une soirée pour toi rien qu’une fois. orientation sexuelle - Tu ne saurais départager entre corps aux formes féminines dont la délicatesse est telle qu’un félin dans une démarche gracieuse ou parfum masculin enivrant te faisant perdre la tête bien trop facilement, tu coupes la poire en deux en hurlant à qui veut l’entendre que tu es bisexuelle, levant ton majeur aux insatisfaits. statut civil - Célibataire. T’as le cœur qui tombe rarement aux pieds des autres parce qu’on l’a bousillé trop de fois, t’as le cœur recousu par tes soins les nuits de pleine lune, les doigts en sang, larmes terminant leur course dans l’eau trop froide de ton bain pendant que tes pensées, elles se mêlaient à l’haleine de rhum ainsi qu’à la fumée de ta cigarette à moitié éteinte. pi, scénario ou prélien - inventé.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star

traits de caractère / Bambi t’es le genre de femme qui s’enferme dans la salle de bain avec son vieux casque de musique sur la tête écoutant du Phil Collins alors que l’eau déjà froide devient glaciale. Le genre de femme qui noie son chagrin dans la compagnie amer de rhum jusqu’à perdre le contrôle de ses pensées et de son corps le temps de quelques heures. Le genre de femme qu’aime plaire et dont la séduction est un jeu permanent dont la règle est simple : ne pas sombrer en première. Ton but est de garder les cartes en main sans jamais divulguer ton jeu pour ne pas perdre le goût de la partie. Jalouse sous tes airs de femme qui se fout de tout, manipulatrice et sans aucun doute beaucoup trop observatrice, tu le payeras un jour de ta curiosité maladie. Provocatrice au plus profond de ton être tu n’as rien à perdre, tu ne crains pas le revers de la médaille puisque tu te dis que tu ne peux pas tomber plus bas, trop joueuse pour ce monde tu joues de tes atouts pour obtenir ce que tu veux, c’est ce que l’on t’a appris depuis toute petite, tu ne fais que respecter les consignes, bête et disciplinée que tu es.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

Danse petite fille, danse jusqu’à n’en plus finir.
Danse jusqu’à ce que tu aies des ampoules à tes pieds.
Jusqu’à ce que t’es pieds se détachent du sol pour voler.
Voler vers un monde meilleur.

Un cri que l’on aurait souhaité étouffé mais la femme qui t’a mis au monde n’a pas eu le cran de le faire, tu es un nouveau problème qui tombe sur les épaules de ce couple à qui rien ne réussi, destinée à vivre une vie misérable puisque tu n’es qu’une bouche supplémentaire à nourrir. Tu te souviens de ce justaucorps que ton père t’avait ramené le jour de tes trois ans, petite fille aux rêves de devenir danseuse étoile et de rejoindre la grande école de Paris, petite fille désirant quitter son pays pour danser sous la Tour Eiffel devant des spectateurs aux bérets et à la baguette de pain sous le bras. Mais la vie en a voulu autrement, enfant aux vêtements troués la plupart du temps t’empêchant d’oublier ta classe sociale, après tout tu vis dans le mythique quartier de « South Suicide Queens », alors ce n’est pas étonnant.

Médicament sur médicament, c’est ce que prenait ta mère en guise de repas et t’avais pas à te la ramener, adolescente écervelée aux yeux de ton père. Alors t’étais là, fourchette creusant la table en signe de mécontentement silencieux, creux qui s’est fait au fur des années, grattant du bout de ta fourchette la table aussi vieille que ta grand-mère. T’as eu le malheur ce soir là de pousser ton assiette où tu avais à peine picoré, vers ta mère en lui disant sans aucun sentiment. « Pas besoin de me mentir, prends, t’en a plus besoin que.. » t’as pas eu le temps de finir ta phrase que t’as volé de ta chaise pour te retrouver au sol, marque de main sur ta joue te donnant l’impression de brûler. Les yeux de ton père te fixant, mâchoire serrée prête à exploser. Y a cette larme qui roule sur ta joue pour pénétrer entre tes lèvres, cherchant un refuge. T’as le cran de te lever Bambi, mais t’aurais pas dû, ton père prit de folie qui passe sa main sur ton cou pour ne plus te faire toucher terre, tu le sens ton palpitant battre comme il ne l’a jamais fait, tu sens ta respiration qui s’essouffle. Tu sens ton corps retomber au sol sans aucune grâce. Tu retiens un sanglot avant de te réinstaller sur cette chaise qui hante tes rêves, à te gaver comme une oie en période des fêtes pendant que tes parents te regardent avec le sourire et pendant que toi, tu pleures toutes tes larmes, vomissant, intérieurement.

Premier copain, première emmerde. Le cœur qui s’émiette trop facilement, t’étais dupe, idiote, persuadée que le monde est beau mais ce n’est que mensonge, le monde est moche, ton mode est laid Bambi. Sanglot qui explose devant le miroir, sanglot qui resteront muet parce que tu pleures seule, toujours seule, tu ne veux pas que l’on voit tes faiblesses parce qu’elles sont nombreuses. Le reflet te renvoyant l’image de ta lèvre entrouverte qui laisse s’échapper une ligne que t’efface, étalant alors ce rouge métallique sur ton menton. Poignée de la porte verrouillée qui s’agite pour montrer son impatience, jusqu’à percevoir à l’oreille des excuses à peine audible. Tu pleures de plus belle, aujourd’hui c’est la cinquième fois, la cinquième fois que le sang s’échappe de ton corps sous les coups d’un homme dont t’étais éperdument amoureuse. Alors comme d’habitude, tu rentreras chez toi en prétextant une énième chute dans les escalier alors que tout le monde se tait, connaissant tous la vérité.

T’as quitté le domicile familial comme un serpent venimeux, errant sans but, le ventre criant famine, sans un rond, parce que t’as tout laissé à tes parents, tu sais que ta mère n’en a plus pour très longtemps mais tu ne veux pas être spectatrice alors ouais, tu fuis, tu fuis car la réalité est bien trop dure pour toi, t’en as vu assez pour avoir le cerveau retourné. Puis t’es tombé sur ce mec qui ne paye pas de mine mais pourtant t’es venu devant lui, alors que tu savais que t’allais tomber dans les griffes du diable mais t’avais besoin d’argent, du haut de tes vingt-et-un an perdant tout respect pour toi, le peu qu’il te restait envolé dans un battement de cil. « J’ai pas de CV mais j’pense pas que y en a besoin, jveux juste m’amuser et toucher du fric. Alors si t’es partant, j’suis à toi. » T’es pas faîte pour te vendre mais tu sais ce que tu vaux, et t’es prêtes à tout pour te sortir de la merde, parce que t’es sur le point de te noyer Bambi, et ta bouée de sauvetage c’est lui Morgan McGrath.

uc.

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

chloé ---- / 22 ans ---- / rpgiste

ville - le mans. études ou métier - taff mais j'vais reprendre mes études. avis général sur le forum - c'te bombe. le détail qui t'a fait craquer - vous. fréquence de connexion - tous les jours crédits des icons - astra. le mot de la fin - merci pour votre accueil les bébés Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - Bambi 3227196488

Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - Bambi 3227196488

Code:: [b]cindy kimberly[/b] / [i]bambi hargrove[/i]

hello perfection
j'en veux plus, je réclame à corps et à cris bc ce début est déjà beaucoup trop canon bienvenue à la maison ma poupée

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staying in my play pretend, where the fun ain't got no end.
can't go home alone again, need someone to numb the pain.
you're gone and i've gotta stay high all the time to keep you off my mind.

@BRANDY HARTWELL
cet avatar, oh my god,
jsuis sous le charme
contente que ce début te plaise,
hâte de te montrer la suite alors

j'attends
avant de venir m'incruster dans tous les pans de ta vie

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can't go home alone again, need someone to numb the pain.
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@BRANDY HARTWELL
Moh, viens donc jolie libellule

juste.
le prénom bambi, déjà j'étais sous le charme fort fort;
l'avatar que t'as choisi de cindy j'étais enivrée par la beauté
mais en plus avec une telle plume, tu veux notre mort???
mon cœur il va pas tenir devant tout ce que t'as l'air de nous préparer...
bienvenue...

Bienvenue

@SANDY MARSHALL
god, cette bouille, natalia ma vie
ce genre de petit message qui fait
vraiment plaisir, hâte que tu découvres la suite alors
merci à toi, t'es un ange bb

@EVPRAKSIYA TSAREVA
ce prénom, gosh
merci toi

l'amour que je porte pour cindy est tel que je vais forcément venir te quémander un lien Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - Bambi 2480631781

mention spéciale à nek aussi mmmh
bienvenue Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - Bambi 2288768012

» Ton corps dans ma rétine, c’est sensoriel - FT. Narek.
» plus de larmes dans le corps (sadie)
» Christian › Le bien et le mal cohabitent dans un seul et même corps
» quand tu regardes dans un miroir on se regarde dans les yeux
» La colombe dans une main, le calibre dans l'autre. (elio)