douce ironie. >> (dakota)

≈ ≈ ≈
{ douce ironie}
crédit/ tumblr ✰ w/@dakota bussby

Mauvais pressentiment ou tu savais que tu n’aurais jamais dû demander de l’aide à Teagan. Ah que ça la connaissais les coups foireux à ton amie mais, avais tu eu d’autre choix ?! Sortir que t’aurais pu, ou être un peu moins coincer comme on semblait te le reprocher. Tu l’avais encore de travers la réflexion de ta mère comme quoi ce n’est pas comme ça que tu aller trouver un mari. Tu lui en fouetterais rien dans la poire un futur marie. Il ne faisait pas un coup comme ça à Noam à en oublier qu’il lui en avait fait un bien plus gros que cela. Tu leurs en voulais, tu lui en voulais aussi à elle mais, elle avait raison tu n’avais pas d’autre choix. Tu préférer surement te pointer au mariage de la cousine avec un sombre inconnu plutôt que de te coltiner l’autre bouffon d’Adam. Ta mère c’était mise en tête de te trouver quelqu’un, elle devait s’ennuyais du travail ou que son club de bonne femme à succès avait trouvé une cible : toi. Tu n’avais besoin de personne et personne ne semblait vouloir le comprendre. Enfin, c’était l’excuse que tu te servais à toi-même. Toi, tu n’étais juste pas prête à t’ouvrir à quelqu’un. A quelqu’un dans le monde réel. Le confort des lettres échangé à Delta te manquait tout un coup alors que tu étais assise à la table du restaurant. T’en regrettais même la robe que ta sœur t’avais forcé à foutre sur le dos. Tu te sentais nue ou alors c’était la vulnérabilité de celle de te mettre en avant à quelqu’un que tu ne connaissais même pas. Une chose était certaine les deux aller t’entendre. Teagan pourrait courir pour sa survie s’il elle te planter avec un gars chelou sortie de son chapeau. Tentative vaine de te détendre en te rappelant que rien ne pouvait être pire que cette fois-là à ce fameux club. Tu parles d’un cadeau d’anniversaire. T’en rigolais encore jaune aujourd’hui. Une main que tu laisser aller dans tes cheveux que tu as lissé pour l’occasion et le regard qui se perd avec stress vers la porte que tu ne voie même pas de là ou tu es. Tout un tas de question qui se bouscule dans ta tête et les prières secrète que tu te lances à toi-même. Tu tentes de te convaincre que tu dramatises comme toujours mais, ton instinct te fait rarement défaut. Un mal pour un bien que tu te répètes en boucle dans la tête comme dans l’idée de couper l’herbe sous le pied à tes parents par a même occasion encore faudrait-il que le gars soit bien sous tous rapport mais, ça, avec Teagan comme entremetteuse tu rester sur la réserve. Tes jambes que tu croises et que tu décroises et les mains qui te démangent d’attraper ton téléphone. Toi et ta stupide lubie d’arriver en avance ou peut-être que c’était l’idiot qu’étais en retard. Ouais, le pauvre, tu l’insulté d’avance mais, c’était les nerfs. Nerveuse de quoi t’en savais rien surement que tu n’avais pas l’habitude de ce genre de chose. Tu n’en avais clairement pas l’habitude alors que tu ne te rappelais pas la dernière fois ou tu étais allé à restaurant en tête à tête avec un homme. Jamais probablement.

≈ ≈ ≈
{ douce ironie}
crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

Un nouveau rendez-vous, un nouveau job. Tu devais être présentable et donner envie à la personne que tu allais voir envie de partager plus d’une soirée. T’en avais marre parfois d’être séduisant intellectuellement. D’être e qu’on attendait de toi. Ce job d’escorte allait te rendre dingue. Un jour t’étais un homme aimant être macho, puis d’autre t’aimais être doux et à l’écoute. T’étais surtout un putain de pantin que la monnaie faisait s’articuler. Voilà tout. Toi t’aimerais t’envoler, t’aimerais être libre, mais c’est tes opales qui se posent sur cette femme qui te ramène à tes désire de continuer. Pour elle, tu donnerais sans doute ta vie, comme pour tes deux potes, ta sœur. T’as toujours été un fidèle à la famille, à ces amis qui étaient comme des frères. Alors, tu la quittes un baiser sur son front un peu ridé, ses opales qui se perdent dans des souvenirs parfois n’étant que des délires qui ne sont jamais arrivé. Alors, que tu quittes l’appartement où tu vis avec ta mère, tu reçois un message de ton pote Arès, un rendez-vous pour se voir dès que tu seras libre de ton engagement avec la personne qui t’a payé. T’aimerais que ça dure que peu de temps, mais c’est de l’argent pour te réserver, puis par heure. Tu vaux cher, faut dire que t’es pas tombé sur la boite qui est un endroit glauque, surtout pas. Sinon t’aurais rien fait. T’aurais juste gardé les fesses des filles se trémoussant à l’abri.  C’était la chose à faire. T’arrives au restaurant où tu dois être pour une certaine heure, tu seras seulement à quelques minutes d’avance, normalement tu tentes de faire plus, mais t’avais tant de chose à faire. Pense au sexe. Ça aussi ça pourrie ta vie, t’as besoin de ça pour compenser les cauchemars que tu fais, tu as besoin de ressentir de l’amour, mais surtout de ne plus penser à toutes ces choses que tu as subis. La guerre, les morts que tu as causés, parfois pas plus vieux que toi. Tu as tout ça en tête, tout ça est ancrée, le sexe et l’un des seuls moyen de te vider l’esprit. De t’enlever ces peines, ces peurs. Car c’est tout ce que tu désires. Ne plus rien ressentir et c’est sans doute pour ça qu’écrire à la douce Onyxx devient si pesant. T’y songe parfois, durant des heures à ne plus jamais lui répondre. À rompre tout contact, surtout que tu le sais, tu es tout près d’elle, tu ne veux clairement pas la voir, clairement pas savoir qui elle est. Tu ne veux pas la briser, car tu n’es plus qu’un déchet qui finira par rendre tout ce que tu touches devient maculé, et tu ne veux pas l’exposer à ta noirceur. Quand tu arrives enfin à la table, tu déposes tes opales sur la personne attablé, une chevelure bouclé à souhait et couleur ébène. Comme ça, tu n’imagines pas tomber sur la sainte nitouche. Mais tes opales finissent par croiser son visage. Tu ris un peu sans le montrer. T’hésite à lancer à haute voix, c’est une blague. Mais ne t’en fait rien. Tu dois être respectueux et heureux d’être là. Tout le contraire en finissant face à elle.   «   Bonsoir, je suis Dakota.  »   Tu souris, demandant à t’asseoir. Tu ne lanceras pas les hostilités, mais comme tu meurs d’envie de lui dire des choses : je te manquais ? Tu avais besoin de me voir. Mais tu te retiens, car tu le dois, pour l’argent, pour ta mère. Alors tu resteras sage, mais que ce repas va être ennuyeux que tu te dis déjà.

≈ ≈ ≈
{ douce ironie}
crédit/ tumblr ✰ w/@dakota bussby

Tu regrettais d’avoir accepté et t’étais même à poser le pour et le contre d’avoir un rencard organisé par ta mère et sa meilleure amie. Surement que t’avais pas envie de les entendre toute la soirée jacté sur le prochain mariage à venir. Ouais, c’était là, la seule solution ou du moins tu tentais de t’en convaincre. Tu ne comprenais pas pourquoi t’étais obligé de te dégoté un cavalier ce n’est pas comme si c’était ton mariage. Surement que ta mère en avait marre qu’on lui demande après toi. T’envier ta sœur sur ce point-là, c’était claire. Tu gardais l’espoir que Teagan t’es trouvé quelqu’un de fun et qui remplirait le rôle comme il faut mais, avec elle, t’était plus très certaine. Peut-être bien que tu aurais mieux fait de demander à Noam de te couvrir. T’en venais presque à regretter d’avance le pacte avec le diable que tu venais de passer. En même tu n’avais qu’à t’en prendre à toi-même Kahina. C’est toi qui les faisait fuir les prétendant pas le contraire. On ne semblait pas être au 21ème siècle avec ta famille. Loin de la femme libre de ces choix et célibataire assumé. Non. Une grosse blague. T’étais aussi nerveuse qu’une puce sautant sur place. Les mains enroulant tes boucles autour de tes doigts et le regard alerte de voir le fameux rencard que ton amie t’avais trouvé.
Tu pries silencieusement kahina,
Avoue-le, je t’entends d’ici,
Dis-toi que ça ne pourras pas être pire,
Pire qu’un fichue cours de strip-tease… ou pas !
Un verre d’eau pour remède miracle de stress apparent et la mauvaise idée du siècle. E must du glamour du liquide immaculé que tu recrache dans ton verre à tes prunelles qui croisent les siennes. –putain de merde, hein kahina- La mauvaise blague du jour ou la stupide caméra caché que tu attends. Tout serait mieux que ce qui s’offre devant tes yeux. Jurons silencieux que tu lances à distance contre ta sois disant amie. Tu allais la tuer, elle allait mourir c’était certain. Tu te retenais d’éclater de rire face au comique de la situation. –bah voyons kahina, il a l’air du genre parfait, non ?!- Son sourire que tu as envie de lui faire bouffer et dieu que tu n’es pas dupe de ces courbettes. T’étais même presque prête à supporter les rendez-vous organisez par ta mère que de le ramené au mariage de l’année chez les Stylinson. Il serait capable de t’afficher t’en était certaine. Oui, en vraie tu le connaissais pas mais, votre petit tête à tête de la dernière fois avait suffi à te vacciner. « Je sais comment tu t’appelles, garde tes courbettes pour une autre fois… et assis-toi, pas comme si la situation n’était pas assez embarrassante pour que tu restes debout comme un piquet !! » Sourire de circonstance alors que c’est une vodka que tu te descendrais bien en l’instant. Une vodka alors que tu t’étais plutôt du genre jus de fruit et grenadine. –on a touché le fond Kahina…- « Tu veux boire quelque chose ?!... j’ai besoin d’un verre, pt’être même de deux !! » Question sans vraiment en être une tu appelles le serveur et commande un verre de vin blanc, tu détestes le vin mais, ce n’est pas du jus d’orange qui allait t’aider à passer la soirée. La soirée avec lui…

≈ ≈ ≈
{ douce ironie}
crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

Tu ne mérites pas mieux que de jouer l’homme idéal pour des pauvres filles, pour des femmes riches et vieilles. Tu n’es là que pour être à leur service. Tu n’as plus le temps de penser que tu mérites mieux, tu te complais dans cette merde. Te disant que tout ça c’est déjà beaucoup pour toi. Puis t’as les opales qui croisent ceux de la douce femme, douce et forte. Tu ne veux que son bien, tu ne veux qu’être là pour elle oublier tout le mal qu’on aurait pu faire à ce doux ange. Mais tu ne peux pas oublier, pas oublier qu’elle sorte de fruit que tu es. Parfois t’aimerais qu’elle ait choisi la facilité, qu’elle n’ait pas décidé de se battre pour toi, pour ta jumelle. Qu’elle ait juste décidé de vivre pour elle, d’être bien dans la vie.  Déchet qui gêne le monde, ton monde ne tournera jamais rond avec toi. T’as l’âme en ruine depuis que tu as ôté la vie, même pas celle du paternel de ton meilleur pote, non celle des personnes que tu devais prendre pour sauver de vies jugées plus importante. Le genre de personne qui doit être dans le fond comme ton père biologique. Tu penses et pourtant une fois dans le restaurant où tu avais rendez-vous, les opales qui découvrent la sainte nitouche, la petite princesse qui est coincée avec son balai. Tu ris doucement l’envie d’être complétement désagréable, mais t’es un bon clébard. Tu fais ton job, rigolant intérieurement de la voir encore avoir besoin de toi. Indispensable ? Tu y songes, mais t’es tellement effaçable dans ce monde que tu oublies vite ce songe.  Tu te fais charmant, comme pour n’importe qui, et c’est bien ce qu’elle est cette fille, sauf que tu ne peux pas déverser tes sentiments à son égard. Tu ne penses pas beaucoup de bien d’elle.  Poupée qui t’as mis les nerfs à rude épreuve, alors que t’avais eu une mauvaise matinée. Elle est digne des casses couilles sauf qu’elle n’était même pas assez sexy pour te donner envie de lui pardonner. Belle, mais trop innocente.  Immaculée jeune femme elle est à tes yeux.  Qu’elle est ton problème, c’est toi qui as fait appel à moi. T’aimerais lui dire tout cela, mais non, tu suis les règles, bon petit soldat. Bon petit bonhomme qui obéit, tes lèvres qui s’ourlent, ton fessier qui s’installe face à elle, homme droit, le regard ténébreux. «   Tout ce que vous voulez !  »   Assis. Tu n’as qu’un mot à dire et j’obéis, ça me plaît pas comme situation, mais ai-je le choix ? «  Serveur !  »  Que tu lances en levant la main pour le prévenir que tu as besoin de lui. Homme droit, homme bien sous toute forme et séduisant. C’était ça le contrat, c’était ça le marché. Alors, tu souris. «  Que désires-tu ?  »  Que tu commences à la tutoyer vu qu’elle le faisait. Ton téléphone qui vibre dans ta poche, tu t’inquiètes pensant à ta mère, pensant à tout ce qui pourrait faire pour que ce vieux coucou ne sonne de la sorte. Le regard de braise plongé dans ses opales quand elle l’accepte. je dois jouer le jeu, mais toi pourquoi tu désires cela, mademoiselle coincée ? Je suis curieux, j’ai envie de le savoir ! cette curiosité qui brûle en toi te laisse une kyrielle de question,  à qui tu ne sauras donner de question, même si t’aimerais pouvoir lui poser les questions. éclaires moi ! Dis-moi ce qui vaut que ma présence soit importante ce soir ! «  Tu veux quoi à boire ?  »