what about us?!... ❁ (cosemy)

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{ what about us?!... }
crédit/ tumblr ✰ w/@Cosimo Saint

Tu te sens idiote dans ces yeux ou dans les tiens. Dans ta tête alors que tu te voies comme une gamine qui court après un rêve. Une illusion ou des idées que tu te serais faite. Tu te sens bête en vain surement même si de ces mots tu trouves encore le moyen de croire qu’il ne veut tout simplement pas te blesser. Tu te laisses happer par ce coup d’épaule. Par la douceur qui fait battre ton cœur quand il balaye ta peur de ces certitudes. Tu as envie d’y croire –laisse-moi y croire cosimo- Le sourire que tu ne masque plus et les yeux éclairer comme l’espoir que finalement il te voie peut-être autrement. Peut-être qu’il te voie toi. Pour un instant, tu as envie de te laisser bercer dans des idées. L’idée d’autre chose. L’idée de lui. De toi. « Je t’écrirais alors… » Un regard en coin vers le siens et la main qui s’évade dans tes cheveux et cette envie que tout s’éternise. Cette envie d’oublier le temps qui file. Et tout mettre en suspens. « Je t’appellerais aussi… peut-être, si tu veux… » Sourire timide qui fend tes lèvres et l’espoir qui habite chaque parcelle de ton être. L’espoir qu’il t’accepte toi. –laisses moi t’aider cosimo, t’aider à revenir.- C’était peut-être cela la peur qui t’habiter. La peur qu’il t’échappe même si tu n’effacer pas l’image de lui perdue dans ces cauchemar de ces contré lointaine. Il n’y en était jamais revenu. Tu voulais le faire revenir. « Il y a des moments où l’on se perd, où on s’oublie aussi… il suffit juste de se rappeler qu’il y aura toujours quelqu’un au bout de la route pour vous ramener à l’instant ! »  Ces mots de touches. Surement que tu sais qu’ils sont plus qu’un simple état d’âme. Il est perdu l’homme. Il souffre en silence à en nier l’évidence. « … Il y aura toujours quelqu’un Cosimo ! » Les mots qui pesait lourd et même si tu n’avais aucune légitimité. Même si tu venais juste d’être parachuté dans sa vie, tu voulais qu’il le sache. Tu seras là toi. –je suis là cosimo- Tu seras là tant qu’il le voudra car, t’es comme ça, toi. A t’oublier pour les autres et peut-être bien que dans le fond tu es folle. Souffrir pour laisser les autres au bonheur.  Pourtant, tu aimerais t’accrocher juste un instant. Réaliser que l’on te veut vraiment. Que tu mérites plus que de rester dans l’ombre de ton propre cœur. « Je ne te les aient jamais montré en même temps… » Un sourire pour un sourire alors que c’est vraie, tu n’as jamais osé. Tu n’oses jamais vraiment. Un comble pour quelqu’un qui expose des artistes. Toi, t’es incapable d’ouvrir ton talent au monde. C’est ton jardin secret. Ton cœur, ton âme. La peur du jugement. Toujours. Cette sensation de ne pas être à la hauteur même dans ton propre domaine. Puis peut-être c’est parce que c’est lui aussi. Un peu. Tu te sens vulnérable dans ces yeux. Tu le sens ton cœur se crisper et ta gorge se stresser comme un goût de fin d’un truc qui n’a même pas commencer. Comme si tu le sentais venir le fameux oui, mais… L’instinct peut-être quand il te rattrape. Vous stoppe comme si rentrer sonnerais la fin de quelque chose, d’un temps. C’était surement tristement vrai. De l’incompréhension qui passe dans le regard jusqu’au siens. L’esprit qui se chamboule de ces mots et le cœur qui se noie dans une émotion indescriptible. Tu ne comprends pas de quoi ces excuses viennent. D’où elles viennent. Tu cherches dans ces prunelles. Tu scrute son âme qu’il te laisse entrevoir mais, tu n’y trouve qu’un autre flot de question. « Je…de quoi ?! » souffle délicats qui fend l’air et sourire perdue. Perdue de lui, de toi. « Tu n’as pas à t’excuser Cosimo… » Le corps devant le siens et le moment comme en suspend tu ne tiens qu’à ces lèvres. Qu’à ces mots. A ce pourquoi… « Ne t’excuse pas…. » Murmure de ton cœur au siens. Il n’y a pas de regrets ni de reproche. C’est étrange entre vous mais, tu as finit par accepter que c’était comme ça… Comme si il n’y avait rien à comprendre.

Je ne te les aient jamais montré en même temps… elle sourit. et quelques instants, tu te perds dans celui, dans l’observation, dans l’envie de lui faire grandir. ou perdre. à son choix, si tu pouvais poser tes lèvres sur les siennes. si tu pouvais retrouver le touché des pulpes rosées et humides. leur sensation. leur goût. nectar de cette glace rhum raisin pour cette fois-ci. t’en rêves. tu l’idéalises. comme tu le réfutes, tu te le refuses. emeraude et toi, c’est pas ça. emeraude et toi, ça ne sera jamais ça. emeraude et toi, ce n’est même pas un duo. il ne devrait même pas y avoir de liaison entre vos deux prénoms, entre vos deux êtres. il ne devrait pas y avoir tout ce qu’il y a entre vous, tout ce que tu ne peux décrire. tout ce que tu ne peux accepter. parce que tu ne peux pas. c’est l’interdiction, emeraude. c’est femme qui n’est pas pour toi. pas tant que tu seras autant ravagé. mais tu le seras toujours, cosimo. incapable de passer à autre chose. incapable de t’en relever. incapable d’aimer assez. ou si. tu aimes, trop pour être égoïste. trop pour risquer sa vie. pour la briser. Je…de quoi ?! Tu n’as pas à t’excuser Cosimo… foutrement que si. y a toujours que ça sur tes lèvres, des excuses non dites. des regrets plein la gueule.. désolé de ne pas être normal, c’est taré qujsuis. désolé dme comporter comme un con. désolé de pas pouvoir te donner quelque chose que tu ne pourras jamais avoir. désolé de tout. Ne t’excuse pas... qu’elle souffle, presque comme un cri du coeur. presque comme une supplication de ne pas faire ça, comme si elle savait. là, corps l’un en face de l’autre. là, deux regards qui se contemplent aussi différents que similaires. y a toujours la lueur de plus dans tes yeux, cosimo. celle d’un mec cassé. celle d’un mec trop fatigué, qui traîne sa carcasse pour continuer à vivre mais qui n’a plus réellement quelque chose à quoi s’accrocher. pour beaucoup de choses. que tu souffles, la main qui s’avance, se suspend en l’air quelques secondes, hésitante. jusqu’à ce que tu te décides à glisser cette mèche derrière son oreille, ton doigt qui glisse contre le tissu de sa joue rougie par le froid. d’être aussi con. dpasser mon temps à souffler le chaud et le froid avec toi. jferai des efforts. c'est pas qu'avec elle que t'es instable. y a tout le monde dans le même panier. y a tout le monde qui souffre de tes sauts d’humeur, de ton cerveau complètement claqué. ton regard suit ton doigt qui longe sa mâchoire, remonte à la limite du bas de ses lèvres. tes yeux se relèvent sur les siens, avare de la voir la lueur dans ses yeux pour tes mots qui suivent. de t’avoir embrassé, tenté quelque chose... ça n’arrivera plus, ne t’en fais pas. tu ne les atteins ses pulpeuses, laisses retomber ta main pour la fourrer dans la poche de ta veste, lcoeur anesthésié. on rentre ? que tu lances sans réellement attendre, ton corps qui se mouve déjà, la glace même pas terminée que tu balances dans la poubelle avant de pousser la porte de votre immeuble. c’est une promesse. une mauvaise. c’est une mauvaise décision, de jouer comme ça avec son coeur, de dire une chose dont tu n’es même pas sûr de respecter. mais t’y tiens. tu veux t’y conformer. la laisser tranquille. t’as pas besoin de ça, emeraude. t’as pas besoin de moi. il y a bien que mieux que toi.

@emeraude hamilton

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crédit/ tumblr ✰ w/@Cosimo Saint

Et c’est comme si la scène se dérouler sans que tu en face partie. Une habitude malgré toi de tous ces moments qui se passes sans que tu en es le contrôle comme si tu laisser toujours les gens décider pour toi. Comme si tu étais destiné à cela regardé sur le bas-côté le court de ta vie prendre un tournant que tu n’arrives à te résoudre. Toujours celui à t’en faire déchirer le cœur et débordé les larmes. Trop fleur bleu, trop sensible. Trop stupide. Qu’avais-tu espérais en même temps ?! Surement trop comme toujours… Tu t’y étais attendu à ces mots mais, tu avais voulu les ignorer. Jouer à l’aveugle alors que pour ton cœur tu aurais dû lui claquer la porte au nez pour éviter qu’il le fasse lui. Comme il le faisait tous. Un adieu parmi tant d’autre mais, celui raisonner surement comme celui de trop. Tu te refusais à les entendre ces mots et ces regrets qu’il t’avait promis ne pas avoir. Boule au ventre dans ton être qui se paralyse à sa main qui s’aventure sur ton visage et à celle qui s’échappes aussi vite. Cœur qui se sert dans ta poitrine et cette rage qui prend le dessus sur le reste. Cette envie de le prendre et de le secouer. Cette envie de lui hurler dessus. Lui dire qu’il n’as pas le droit de te traiter comme ça. De te regarder comme ça et de s’en aller ensuite. Tu voudrais le détestais, le haïr même… amis, tu ne t’y résous pas. Tu devrais pourtant, tu devrais prendre chacune de ces paroles aux mots. –j'aurais mal dans tout les cas- tu devrais, mais ça non plus tu ne peux pas t’y résoudre. Après tout, qu’à tu as perdre ?! Tu as déjà le cœur en miette de bien trop de chose. De Mahé, de lui… Pourquoi ?! Tu passes bien trop de temps à te poser des questions sans prendre le temps de vivre. Une éternelle bataille entre ta raison et ton cœur et tu n’es jamais certaines de vraiment laisser gagner l’un des deux. Tu as envie de perdre en l’instant. En ce moment où il ne te laisse même pas le temps de les sortir les mots qui te brûles les lèvres et les sentiments qui chavire en toi. Non, il t’enlève tout droit de t’exprimer. Inertes que tu le regard passer la porte de l’immeuble à prendre la fête. A ne même pas terminer ce qu’il a commencé et mérites-tu vraiment cela ?!... Peut-être bien que oui après tout… T’en savais rien, t’avais rien envie d’en savoir. Pas maintenant, jamais. Tu en avais marre de te laisser bercé ou de te résoudre à être abandonner car, c’était mieux pour toi mais, selon qui ? Selon eux ?! Mais que savais-t-il de ce que tu voulais ?! T’en avais rien à faire de souffrir toi. Toi, tu voulais brûler. Brûler de passion, d’amour. Tu voulais qu’on te prenne comme tu étais. Tu voulais vivre. Vivre l’instant. Tu n’en voulais pas de leur putain de protection.  T’en avais marre de subir, tu voulais être celle qui se bas pour ce qu’elle voulait même si t’en savais rien de ce que tu voulais. Ou peut-être quand l’instant si… l’esprit qui ne réfléchit plus et tu le rattrapes. La porte de l’immeuble que tu passes à ton tour et les marches que tu montes deux à deux. Non, il n’aurait pas le dernier mot. Quitte à ce qu’il te jette tu lui en donnerais une bonne raison. « Cosimo… » Que tu lances essoufflés passant la porte de l’appartement la main qui le rattrapes sur son poignet. Le regard qui se plante dans le siens et putain que tu as l’impression que tu t’apprêtes à faire la connerie du siècle « T’es qu’un con tu as raison… et mon avis à moi tu me l’as demandé !! Qu’es ce que tu peux en savoir ce que je veux, ce dont j’ai besoin, ce dont je mérite !!! » Tellement de chose qui te passes par la tête en l’instant mais pour une fois tu n’as pas peur de laisser parler ton fichue cœur. Ton putain de cœur. « Putain qu’es ce que tu en sais, hein… tu viens comme ça et tu me laisses même pas… » La tête qui se secoue légèrement et ta main qui se détache de son poignet ton corps qui s’apprête à fuir comme si tu réalisé ton élan de confiance, celle que tu n’avais pas en réalité. « Puis merde, qu’es que j’ai à perdre hein ?!... » Rien, t’avais rien à perdre. Il allait partir de toute manière. Sans réfléchir les mots qui t’échappes et tes lèvres qui se plaquent contre les siennes. Tu plonges dedans la tête la première sans filet de protection… -j’vais souffrir d'une manière ou d'une autre cosimo, laisses en moi une bonne raison…-

tout, emeraude. t’as beau ne pas savoir ce qu’elle veut, ce dont elle a besoin, ce dont elle mérite, tu sais tout le reste. toute la suite, comme si c’était une fatalité. comme si la malédiction avait été prédite par la sorcière noire au-dessus de ton chevet. comme si tout était écrit pour que rien de bien ne se passe. tu l’avais vu avec ton meilleur ami. il était heureux. amoureux avec sa fiancée. bientôt père d’une petite fille. il avait tout et il n’a plus rien eu. elle avait tout et il ne lui restait plus rien. que le chagrin, que l’enfant de cet homme mort dans le ventre. tu l’as vu, la descente aux enfers. tu as assisté à tout, de l’annonce de son décès jusqu’à ce corps qui se traîne pour vivre. essayer de vivre sans l’autre.
tu ne sais pas trop ce que c’est, peut-être un cri du coeur venant de la jeune femme. peut-être un hurlement souhaitant te faire ouvrir les yeux pour te réveiller. mais y a rien qui fait. ça t’éveille sans doute, le temps de te maintenir en vie quelques instants. de te redonner un souffle, ses lèvres qui se posent contre les tiennes, celles qui se plaquent comme un appel à la raison. comme un appel à laisser une chance. y a ses lèvres que t’embrasses, que tu goûtes. y a ces mains que tu poses contre ses joues, encadrant son visage sans savoir si c’est pour la retenir contre toi ou pour commencer à l’en éloigner. c’est ton coeur égoïste, perdu entre deux êtres, deux magnifiques femmes impossible à atteindre, qui profite du moment. c’est presque un baiser d’adieu. la promesse que, comme tu l’as si bien dit précédemment, ne se reproduira plus. c’est le moment que tu retardes, le goût du rhum raisin sur ses lèvres et sa langue, la fraîcheur de ses joues qui se réchauffent sous tes paumes, ton coeur qui bat plus rapidement contre ton torse, contre sa poitrine répondant au sien.
jusqu’à ce qu’une porte claque plus loin, plus haut dans la cage d’escalier. tes yeux se referment, ton être se rendort. la conscience reprend le dessus. éloigne-toi. tu risques de mourir incessamment sous peu. le premier jour de ton arrivée, le lendemain, le surlendemain, les prochains jours ou dans les mois à venir et les années, en mission. tu décroches de ses lèvres, le front un instant contre le sien que tu viens poser. les yeux fermés, un soupir et tes derniers mots. il y a mieux que moi emeraude. il y aura toujours mieux que toi, cosimo. personne ne veut d’une âme blessée, brisée, encore incapable de reprendre ses couleurs. tu ne veux pas non de cela alors quton coeur te hurle le contraire. mais pour une fois, t’as la raison plus forte. la conscience plus stupide, peut-être, tu n’en sais rien.
mais la seule chose que tu sais, c’est que ce baiser va te hanter. c'est qu'elle va te hanter.
tu la relâches, tu recules, tes yeux dans les siens, sadomaso d’y déceler l’effet que ça lui a fait, que ça lui fait. tu te retournes.
c’est que t’es encore plus con que tu ne le pensais. à la laisser, encore une fois, derrière toi, dans ton dos. à monter ces escaliers, le coeur lourd, l’impression d’avoir un poids sur tes épaules, ses yeux que tu sens dans ton dos te perdant.
c’est le mieux que tu pouvais faire cosimo. t’es aussi prêt à ce qu’elle te déteste, comme ton ex-fiancée. pour ta survie et surtout la sienne.
jfais tout ça pour toi emeraude.
déteste moi.

@emeraude hamilton

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crédit/ tumblr ✰ w/@Cosimo Saint

Tu te sens comme une idiote comme toujours c’est la même rengaine et tu t’es laisser embarquer par ton putain de cœur qui dicte ta conduite. Tu t’es laissé prendre au piège d’un espoir vain. Tu as juste supposément réfléchie sans vraiment savoir. Tu ne savais rien en vraie. Tu n’étais pas certaine de ce que tu voulais toi. T’aurais dû savoir que tout étais couru d’avance. C’était toujours comme ça pour toi de toute manière. –T’es masochiste avoue le Emeraude, tu aimes souffrir- C’est surement cela que tu recherches. Que l’on continue de te briser perpétuellement. Peut-être bien que tu ne méritais que cela. Ta vie n’était pas un putain de conte fée. Tu n’étais pas une princesse. Tu ne pouvais pas non plus sauver tout le monde et tu devais t’y résoudre. Pourtant, tu le faisais toujours trop tard. Trop tard quand tes lèvres l’avais rattrapé. Surement que tu aurais dû laisser ces mots en suspens, tu aurais dû t’oublier comme tu le faisais toujours. –pourquoi ? Pourquoi Emeraude tu t’infliges ça à toi-même ?!- L’espace d’un instant tu oublies tout sauf ces lèvres qui répondent au tiennent. Sauf son cœur qui résonnerais presque contre le tiens. Ces mains qui encercle ton visage et t’es partie. Loin. Ailleurs. A cirais silencieusement contre toi-même. A pleurer en silence ton cœur qui se déchire alors que tu sais. Tu le sens. Ce fichu adieu qu’il te donne. – c’est surement toi le problème ma pauvre fille. Il te dise tous adieu Emeraude, tu ne vaux pas le coup !- Malgré cette raison qui se prie d’arrêter le massacre tu te laisses aller jusqu’au bout. Jusqu’à lui et son regard qui plonge une dernière fois dans le tiens. Une demi-seconde d’un échange silencieux qui voulait tout dire. Trop en dire sans un mot. C’était donc là, la fin d’un truc qi n’avait jamais vraiment commencé. La pro des histoires finit avant même qu’elle n’est eu une chance. Pas de mots non, il n’y en as plus. Il n’y a plus rien. Juste toi, paralyser dans la cage d’escalier le regard rivé sur son dos. Cosimo qui s’éloigne. Qui t’échappes et cette douloureuse idée de te dire que c’est peut-être la derrière fois. Dernière fois que ton regard se dépose sur lui. Tu n’y penses pas à la fatalité non, tu ne penses qu’à la nostalgie. Nostalgie de l’instant. De vous. Tu restes planter là à en perdre la notion du temps et tout courage. Courage de tout face à ces marches qui s’offre à toi. Pas ce soir. Pas maintenant. Non, l’air de l’appartement, l’air de le savoir proche et pourtant si loin du ne le supportais pas. Pas après ça. Trop, c’était un trop dont tu ne voulais plus. Le corps qui se détourne. Le cœur qui s’éloigne. Deux être qui voguent à l’opposé l’un de l’autre à se convaincre que c’était mieux ainsi.
Tu te mens bien à toi-même Emeraude, c’est pathétique.
Tu es pathétique.
Il t’a oublié. Il t’oublie tous, c’est si facile.
Souffre mais, souffre en silence.