Lust of pleasure (harkan)

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Douce ensorceleuse, tu es douée. Ton corps, tes mots, le son de ta voix qui berce et attrape la proie. Lui est sans doute ton Ulysse, plus solide que les autres, plus joueur même. Il t’a déjà possédé comme tu l’as déjà possédé, c’est une nouvelle envie que vous voulez tous les deux, la victoire. Une victoire cruciale pour vous deux sans nul doute, mais tu ne sais pas si perdre pourrait être aussi bon. Tout ça faut l’oublier, faut oublier que la défaite dans ses bras pourrait te plaire. Tu dois en faire abstraction. Le sourire volage, les opales glissant dans les siennes avec sensualité. « Les mots ça créés des guerres … » le regard qui ne cesse d’attiser le sien. « Comme les femmes. » Ta lèvre que tu suces avec douceur, alors que tu es toujours collée à lui avec joie et frénésie. Ça t’amuse ses réponses, ça te donne un peu plus le gout de jouer, le gout de te perdre dans les coups que vous allez vous donner, vous soumettre l’un après l’autre. Mais ses mots sont vrais, c’est ce que tu pensais aussi, l’équilibre est parfois mince, tout comme le fairplay dans ce genre de guerre n’est pas permisse, tous les coups sont permis et monsieur avait une légère avance, une avance que tu lui ferais avaler au moment venu, tu ne doutais pas du tout de ce point-là. « Personne, donc tout est permis, faudra pas le regretter après ! » Pinçant tes lèvres, tu apprécies le roi qui se tient face à toi, tu le mettras en échec et mat, il est hors de question qu’il en soit autrement. Tu le sais que tu pourras tenter de conjuguer plaisir et liberté, mais ce ne sera pas sans que cela ne te coute. Tu sais que les jeux sont une chose dangereuse, encore plus quand l’adversaire est aussi doué que toi. Et ton adversaire pour une fois princesse est à la hauteur. Il ne cédera pas face à des courbettes, face à toutes les choses que tu pouvais utiliser avant. Tu as livré des mots, des choses à ce gars, comme il l’a fait. Alors, les règles du jeu tout comme la manière de jouer sera bel et bien différente. « Admire donc, tu ne seras pas le seule à le faire … moi aussi, eux aussi. » Le ‘eux’ c’est tous les autres hommes qui sont à ses ordres. T’es prête à tout, tu ne peux pas renier cette envie de liberté, cette envie indépendance à vivre, à ne pas être dans une jolie cage dorée. La guerre est lancée, une guerre ardue et amusante dans le fond. La voiture t’amènes bien vite à ton lieu de rendez-vous, il te dépose avec Hakan au gala. Tu es prête comme toujours à tout faire pour l’association, à donner de ton âme s’il le faut, tout comme tu le fais dans le jeu. Ce jeu qui ne cesse de te happer de plus en plus surtout quand tu vois le bellâtre à qui tu dois mener la vie dure. Les lèvres qui se pincent, le contact de tes mains avec les invités, bien plus qu’avant, bien plus que d’habitude. Tu te laisses aller à le rendre un peu fou, du moins tu l’espères. Les hommes célibataires qui te courtisent, tes rires sauvages qui éclipses parfois les autres femmes quand tu déposes rapidement tes yeux sur lui, discret et comme invisible pour l’assemblé et pourtant tu ne vois que lui. Tu ne devrais pas, tu devrais juste donner tes mots, donner ton discourt, y mettre ton cœur comme toujours. Ce que tu fais, mais tu t’éclipses pas, tu veux pousser le jeu, tu veux laisser ton propre désir te piéger. Tu lui donnes des perches pour te prendre, pour te divertir et surtout tu risques de lui donner des avantages, mais tu ne fais que le laisser croire. Redoutable reine que tu es. La guerre c’est comme l’amour, tout est permis, même le pire. Et tu t’éclipses, laissant l’homme dans son coin, tu le sais qu’il va te suivre, t’es douée pour t’éclipser d’endroit complétement étrange comme les toilettes d’un tel bâtiment, un bel hôtel qui est si doux pour les yeux des personnes n’ayant pas ta chance, alors que toi ça te brûlerait la rétine. T’es dans les toilettes, tu parles et échanges avec une femme, jeune femme un peu plus vielle que toi, même toi, puis tu lui proposes de jouer. Des jeunes femmes en manque d’aventure ce n’est pas complexe à trouver dans ton monde poupée. Alors, tu enfiles sa robe verte, laissant tes affaires à la belle, tu la laisses copier ta coiffure, puis tu l’as laisse se faufiler. Alors, hakan vas-tu voir le piège, pendant que moi je t’attends presque sagement dans le fauteuil de ces toilettes, tandis que la fête elle continue d’avoir lieu sans moi, sans toi, sans nous.


 

Hakan & Harlow.

Lust of pleasure.
Oh quelle est belle la Russe que tu observes se mouvoir dans ce monde de paillette. Cette cage en dorure qui l’as retiens qu’à moitié à celle qui voudrait s’échappé. Tu l’as sens sa ferveur d’ici. Son envie de vibrer à la liberté. Tu aimerais la faire prisonnière de tes mains juste un instant de plus Dans ton esprit les souvenirs de ta bouche parcourant la porcelaine de sa peau. De son souffle mélodieux enivrant tout ton être. Tu la veux tienne l’insaisissable. Oh oui, qu’elle est belle la Russe qui te nargue de son regard. Celle qui te tient malgré toi. Elle gagne du terrain la belle de tes pensées. Obsession divine d’une jalousie maladive. Tu la voudrais tienne mais, tu n’es pas fou. Tu l’oublies la folie. Tu l’ignore. Tu n’es pas de ces faibles qui se laissent prendre aux premiers charmes d’une sirène. Elle l’es ta sirène. Tu l’es son Ulysse. Putain d’abruti que tu es pour une première fois ou tu te laisses aller à laisser une nana contrôler un pan de ta vie. De ton esprit. Tellement tentant le jeu pourtant. Tu t’y laisses aller car, tu sais que la victoire en seras aussi douce que la perte. Les conséquences dont tu ne te soucis pas. Il n’y a qu’elle. Harlow dans ton champ de vision qui passe de main en mains. De sourire en sourire. Tu le voies se masque qu’elle a délicatement chaussé sur son visage et elle est forte l’envie de le lui retirer. La kidnapper de ce monde si c’est pour la voir sourire de liberté. Tu t’y perds dans tes pensées ou a passé le temps à autre choses que de rester en retrait. Chasser les femmes qui tentent de t’aborder. Le travail que tu te dis mais, cette vérité plus profonde que tu ne voudras surement jamais t’avouer. Elle. Le corps qui se fraie un chemin dans la foule comme pour aimanté de loin le siens qui se faufile. Qui virevolte gracieusement pas après pas. Ton esprit qui divague encore à cette chambre ou l’instant d’avant de tes prunelles dévorant son corps dénudés. T’en étais presque à vouloir la laisser gagner mais, surement que toute la merde de ta vie d’avant qui te rappel ce que tu t’étais juré. Jamais redescendre. Jamais se résigné à la défaite. Tu n’étais rien d’autre qu’un vainqueur et il n’y avait que toi-même pour dicter ta propre conduite. Ton propre rythme. La danse c’était toi qui la mènerais. Oh que tu les prenais avec amusement ces menaces à demi ton, ces mises en garde à répétition. Loin de la sous-estimé la belle que tu laisserais même prendre la main le temps d’un instant. Le temps d’un espoir qui résonnera comme une douce symphonie à son âme. Instant éphémère ou tu finirais toujours par reprendre le dessus. Tu le reprenais à en chasser de ton esprits les sorts enivrant que la créature semblait t’avoir jeté. Sourire en coin que tu la laisses s’échapper de l’autre côté. Prunelles joueuse jouant à cache-cache  l’une de l’autre. À  qui attraperas l’autre le premier. Tu l’as voie venir la belle. -Pas ce soir Harlow, ce soir tu ne m’échapperas pas.- Tu les comptes les minutes qui s’écoulent de ce temps que ces courbes se sont échappées de ton attention. Tu les souries ces instants ou tu l’as laisserais presque avoir le pouvoir. -Ce soir tu es à moi. Demain je serais à toi.- Le corps patient d’un moment. LE stoïque, celui qui ne bouge pas jusqu’au moment opportun. Il n’y a que le calme qui traverse tes veines de celle dont tu en connais que trop bien les combines pour en avoir eu tout un récit. Elle n’est qu’à demi-beauté d’elle l’autre qui sort comme un petit pique pour te leurrer  mais, la mèche ne prend pas. Elle ne brûle pas. –tu devrais mieux savoir Harlow, je ne brûle que pour toi.- Un charmant sourire, une promesse en l’air pour une information. L’élancer de ton corps qui avance comme déterminé jusqu’à son trésor. Une chasse que tu gagneras coup après coup elle n’aura qu’à te regarder la prendre la victoire. Pas de manière. Oublier le gentleman qui se laisserait presque prendre par l’enivrante colère qui sommeil. L’existante envie de la posséder. La porte que tu ouvres pour accrocher son regard qui te défit. La porte qui se referme de ton corps qui s’écrase contre celle-ci pour en bloquer l’issu. – et quoi maintenant, harlow ?- « Une envie pressante Miss Dostoïvski ?!... » une question qui n’attend pas de réponse dans ton sourire en coin et ton regard qui détail de son visage à chaque centimètre de son corps dans ce nouvelle apparat dont tu voudrais la dépossédé sur le champ.