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 a mirror effect ? Atlas.

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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Jeu 31 Jan - 17:26


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Tu pourrais t’apitoyer encore sur ce que tu viens de découvrir, mais tu ne le fais pas, surtout pas quand tu entends les mots de Atlas. Qui ne se considère pas avec de grand mot à son égard. Tu n’aimes pas ça. Toi tu l’as vu cette période où tu ne voulais plus qu’une chose, que la souffrance t’emporte vers un autre univers, loin de ce monde si gris, qui te paraissait bien trop sombre sans les soleils manquant à ta vie. « C’est pas des excuses ! N’importe quel humain aurait agi de la sorte … se défendre contre un fantôme ! » Tu lui lances, alors que tu l’observes. « Vous n’êtes pas un monstre … » Dis-tu dans un souffle tendre, alors que tu essayes de trouver les mots, mais c’est complexe. Tu t’imagines pas à sa place, ça ferait trop mal déjà que voir quelques petites choses de ta sœur, de ton père chez d’autre te donne la nausée, te mettant à mal, alors un sosie presque parfait face à toi, tu n’es pas sûre de tenir le choc. Tu t’en veux à toi de lui ressembler, tellement. « On est d’accord … » Rester, être de ceux qui sont encore là, sentir l’absence des autres, de l’autre, c’est une torture. Bien plus douloureuse qu’une simple rupture, tu l’entends encore cette connerie. C’est comme une rupture, mais ça passera. Ça ne passe pas, jamais. Tu n’as vu un temps où tu allais mieux. Non. La souffrance encore ancrée à ton âme, à ton cœur. Une rupture est plus douce, plus délicate, une petite peine qui pique, mais qui ne te laisse pas dans l’envie d’en finir, car l’autre personne est soi parti heureuse ou malheureuse, mais elle est là, te laissant le soin de la haïr, alors que la mort, ça t’enlève tout, laissant parfois le son de la voix s’envoler dans les cieux, ne laissant aucun répit à ton cœur, même quand tu penses que tout ira bien. « Pourquoi vous seriez puni ? » Que tu demandes d’une petite voix, de peur de l’amener à se blesser lui-même avec des mots qui pourraient franchir ses lèvres. Tu l’observes, tu essayes de ne pas t’imaginer à sa place, de ne pas t’imaginer face à ta petite sœur, évitant de vivre à ton tour cette torture. « Je n’ai pas besoin que vous pensiez à moi, mais à vous, je suis vraiment là pour vous aider malgré que … » Que tu lui ressembles, mais tu tais tes mots. « Et je suis plus forte que vous imaginez ! » Puis t’imagines tellement pas pablo avoir fait ça, comment il aurait pu le faire ? Tu ne peux pas à te résoudre à ça. « Non ce n’est pas possible … » Tu arques les sourcils, merde pablo fût comme un père quand t’eus besoin de lui, comment aurait-il pu faire ça ? « Il n’a pas vu les photos ou votre vie sur internet … après tout je n’ai pas fait de recherche, sinon je l’aurais vu de suite pour ma … » Tu pinces tes lèvres en glissant tes opales sur tes pieds quittant le regard de l’homme, plus capable de le soulever. Tu souris à ses mots après avoir expliqué que tu ne te souviens plus des mots de passe, et que tes mains sont souvent abimé par la danse quand tu dois prendre soin de ton corps, ce dernier laisse voir les blessures, les maux que tu lui infliges sans rechigner. Tu danse ta vie, tu laisses toutes les émotions virevolter dans les airs quand tu es sur scène. « C’est vrai … mais je pourrais tomber sur n’importe qui en prenant le métro aussi.. on est protégé de rien, même quand on se croit à l’abris, alors une photo, un message c’est juste une trace de moi, un bout de moi, pas le plus important … » Tu te fiches de tes photos, tu le sais tes photos sont comme pour lui sur la toile, se laissant voir aux yeux de n’importe qui, et un code ne protégera rien contre quelqu’un voulant vraiment accéder à ton téléphone. L’idée de partir est là, l’idée d’aller te poser, de le laisser se remettre de ces mots que vous venez d’échanger puis les maux invisible qui le mettent à terre en quelque seconde quand ces yeux caresse ton visage. Tu t’essayes de l’oublier ce mot, un mot que tu chéris fortement malgré tout. Tu es toujours désolée, tout le temps, pour tout, car tu es ainsi. Tu regrettes d’être sur terre comme lui, tu y songes toujours à finir le travail, t’aurais voulu rester endormi pour toujours, car tu es sûre que ça serait plus doux qu’être ici. Tu es retenue, toi qui n’avait d’yeux que pour la porte de sorti, tu déposes tes opales sur l’homme, le cœur qui se mets à battre, tu vois cette lueur dans ses prunelles ce qui te laisse inquiète pour lui, comme l’envie de le soulever , de le porter vers la lumière, partager un bout de chemin pour l’aider et rencontrer l’homme qu’il peut être quand il affrontera les fantômes. Tes lèvres qui tremblent à ses mots, puis la dernière supplication te tue. Le cœur hésitant vers le oui, vers le non. tu peines à sourire alors que tes opales se glissent dans les siennes, laissant le monde autour de vous en suspens, comme si ce dernier n’était plus là, juste vous et ce mal qui vous ronge, toi devant être celle qui donnera sa main à cet homme. « D’accord. » Pas de blabla sur le fait d’accepter, tu ne veux pas tergiverser dessus, bien trop peur de finir par le regretter. « Je reste que pour les lasagnes, hein ! » Que tu glisses espérant lui décrocher un nouveau sourire. « Que faut-il faire , je suis à vos ordre ! » Tu voulais aider l’homme pour manger et passer une bonne soirée … « Et si je vous emmenais manger ailleurs ? » Une petite idée en tête. Loin de ce monde qui est le sien, un monde qui va l’attiser, le pourrir alors qu’il jonglera de ton visage à son visage. Tu veux le sauver, comme on t’a sauvé, oubliant l’homme qui est la cause des nouveaux maux d’Atlas : Pablo. Tu n’y comprends rien.
@Atlas Mclaren  a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 1967697819
 
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Mer 6 Fév - 21:01


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{ a mirror effect?   }
crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

Il avait fallu ça pour que tu t’ouvres ou en partie. Un stupide échanges de téléphone et tu ne savais même pas si du bon ou du mauvais en ressortirais. Toi, tu voyais déjà en souffrir une fois qu’elle aurait passé la porte. Tu te voyais déjà en redemander de sa présence. « Il y a des façons de faire… vous ne m’avez rien fait si ce n’est… enfin vous n’y pouvez rien !! Alors oui, je ne mérite ni votre attention, ni vos excuses !! » Que tu lances le regard perdue dans le siens. Tu ne lui souhaitais que de s’éloigner de toi. Pour son bien. Pour elle. Tu ne voulais détruire personne d’autre. Tu ne méritais rien de plus que le mal qui t’entourer. Que la souffrance qui t’habitais. C’était ainsi. Tu l’acceptais. « Vous ne me connaissez pas, croyez-moi, je n’ai rien de bon… plus rien ! »  Le regard droit dans le siens mais, qu’es ce que tu cherchais ?! Lui faire peur mais, à quoi bon quand tu n’arrivais même à te tenir proprement éloignée d’elle. Tu aimais te faire du mal t’étais qu’un putain de masochiste. Tu l’as repoussé autant que tu voulais la garder prêt de toi. Autant que tu voulais avoir mal pour te sentir en vie. Tu préférais bien plus quand elle te parler mal, quand elle te donnait la monnaie de ta pièce. Sa douceur te faisait autant de mal que de bien. Elle te comprenait et c’était peut-être bien là le pire de tout. Vous vous compreniez et putain que tu en souffrais. En silence. Toujours en silence car, c’était ta putain de douleur. Elle t’appartenait. Tu ne voulais pas la blesser. Pas la détruire comme tu avais pu détruire Ornella. Tu n’en démoderais pas tout était de ta faute. Tout le serait toujours. Pourtant, il y avait cette chose inexplicable chez Tazmin qui venait te cueillir là où tu tentais de te cacher. De t’enfuir. Reclus dans ton gouffre, dans le noir, elle venait t’éclairer. Te chercher avec force et détermination. Pourquoi ?! Tu ne méritais pas d’être sauvé à tes yeux. Tu ne méritais pas tant. Tu ne méritais rien. Elle était trop bien pour toi. « On récolte ce que l’on sème, non ?!... Je vous l’ai dit, je ne suis pas quelqu’un de bien… Respirer encore est ma punition !! » Le regard dans le siens à t’y accrocher comme à une ligne de vie que tu ne mérites même pas « Je ne mérite pas d’être sauvé !! Je suis qu’une fichue cause perdue !! » Elle te le délie malgré toi ce cœur à demi mort. Elle te le fait battre se palpitant dont tu n’as plus les clés. Tu l’ignore cette sensation de chaleur qu’elle te fait ressentir. Celle d’avoir trouvé quelqu’un qui te feras voir la lumière du jour à nouveau. Celle qui te fera regagner la surface. Tu l’ignore car tu n’es pas prêt à quitter la noirceur. Le confort de la solitude et de la douleur. « Vous seriez bien mieux loin de moi Tazmin, je ne ferais que vous apportez ennuie et vous détruire ! Je ne suis bon qu’à cela maintenant !! Regardez-moi !! » La tête qui se secoue et le sourire aussi fané que ton être tout entier. Cette envie de la retenir autant que de la foutre à la porte se débat en toi.  « Une épave, une épave dont les pièces qu’il faut réparer ne sont plus en stock !! » un sourire et l’un de ces légers rires qui s’échappent de tes lèvres. Pour toi, pour elle. «  Je n’ai jamais insinué que vous n’étiez pas forte… c’est bien tout le contraire… » Sourire sincère et se regards. Ces opales qui te prennent au plus profond de ton âme. Elle vie tellement en elle c’est si bouleversant. Troublant. Puis le sujet qui fâche. Ce foutu groupe de soutient. Celui que tu te forces à y mettre les pieds pour eux. Celui dont tu n’as pas le choix foutu prescription des médecins. Du foutu psy. Pablo que tu lui en mettrais une bonne si tu le revoyais un jour. « Pas besoin d’aller sur Internet Tazmin, il l’a vue comme vous… Ici… et il a lu mon putain de dossier !! » Les poings qui se serre et cette rage que tu étouffes. Non, tu n’exploseras pas devant elle. Elle en assez à porter sur elle. Tu ne lui infligeras pas un fardeau de pus. Tu en avais assez fait comme ça. Tu ne voulais plus en parler, non. Pas de ça. Juste d’elle. Elle est ce besoin viscérale de la préservé. De la protéger. Du monde, de toi… « Le danger et partout c’est vraie mais… une photo, un message… c’est parfois tout ce qu’il nous reste… c’est aussi important que le reste. C’est tout…. Pour moi… » Toujours à te livrer. Un peu plus à chaque instant tu t’ouvres inexplicablement sans être certains que cela te fait vraiment du bien. Puis cette lueur qui te traverse. La folie de l’instant ou l’égoïsme qui reprend le dessus. Tu veux l’éternisé se moment qui n’est qu’éphémère. Tu veux la garder juste un instant de plus avant de la laisser de partir. C’était ce qu’il faudrait faire. Pour elle. La peur qu’elle refuse puis le soulagement qui soulèvent ton cœur. Le souffle qui se libères et le regard qui s’éclaireraient presque. « Merci… » Murmure souffler entre un sourire si vulnérable et le reste suis. Cela te fait du bien, un bien sans nom. Tu l’as regardes un instant peut-être un peu trop mais tu ne t’en lasse pas même à t’en faire du mal. Puis, tu t’active. Puis tu te pause à sa proposition. « Je… je ne sais pas si je suis prêt, je ne suis jamais tranquille dehors !!! Toujours un putain de rats qui attend au coin de la rue… » Il y avait ça et l’épreuve de la voiture. Ta passion dont tu étais incapable de vivre à nouveau. « …Mais, je comprends que l’ambiance vous gênes… je ne vous forces pas à rester mais, on peut aller sur la terrasse du toit ?!... »  Tirailler entre la laisser partir et la garder prêt de toi. T’es qu’une fichue contradiction ambulante. « J’aime me perdre dans le ciel… c’est réconfortant en quelque sorte !! » le regard qui l’as fuit de peur de sa réponses tu allumes le four pour y réchauffer le plat de lasagne pour t’occuper autant l’esprit que les mains. Tu ne sais même plus quoi faire de ton propre corps. L’effet qu’elle a sur toi est puissant a littéralement t’en déstabiliser.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Lun 11 Fév - 12:54


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?


Une culpabilité qui te chamboule, t’aurais voulu tout comprendre. Ne pas l’accabler, ne pas le rendre coupable d’être si odieux et froid à tes côtés. Tu n’y peux certes rien, mais ses mots n’apaiseront pas la peine et le sentiment coupable à son égard. Avec le temps peut être. Mais t’es pas trop sûr de pouvoir faire ça, lui faire subir ta présence. « Peut-être pas mes excuses, mais mon intention je suis sûre que vous la méritez ! » Les opales perdues dans les siennes, tu pinces tes lèvres. Dans une optique de vouloir l’aider en étant là pour lui et dans une autre qui serait loin de lui, le laisser panser ses peines seules, mais tu le sais c’est si dure. Même nos proches ne peuvent comprendre totalement, tu le sais si bien. Ton frère, ta mère, n’ont jamais réussi à comprendre, à panser tes propres blessures qui sont encore ancré à toi, comme souvenir de cette perte que tu n’as vu vivre pleinement. Rien de bon qui te dit et tu souris secouant la tête, tenant tête à son regard impénétrable durant ses paroles. « Mensonge. » Que tu laisses filtrer d’entre tes fines lèvres. « Quelqu’un qui n’a rien de bon n’aurait pas essayé de me protéger quand le monde s’écrouler. » Premier rapprochement, ou tentative de sa part qui fût avorte rapidement par tes propres mots. Une valse à trois temps, une fois toi, une fois lui, puis l’élastique qui vous éloigne à nouveau, l’élastique étant vos propres maux. Mais toi, t’es là pour l’aider plus que lui n’est là pour le faire. Tu as combattu déjà plus de fois que lui, relevant ta tête alors que tu n’étais qu’une gamine rêvant d’être protégé par les bras fort de son père. Les mots qu’il lance sont le reflet de la souffrance que tu subis encore, s’il savait, s’il pouvait voir que tu te sentais comme lui, mais que tu combattais. Tu te battais pour vivre pour eux, pour ne pas qu’ils ne soient plus là pour rien. Douce créature, douce petite sœur avec qui tu aurais tout partagé, les rêves, les joies, les peines et puis d’un coup le noir complet, car tes yeux s’étaient fermé, t’aurais dû partir avec elle, tenir sa douce main pour ne pas la laisser seul, tu aurais eu la paume chaude de la main de ton père. Partir. Mais y a ton cœur qui te rappelle sans cesse à l’ordre, laisser ton frère, ta mère ? Tu ne sais pas. Ta mère a beau être douce, violente à la fois tu l’aimeras jusqu’à ce que ton dernier souffle se fasse, ton frère est blotti dans un silence, alors tu souris. T’efforcer d’être bien pour les vivants et d’être morte pour les morts. Tu dois te jouer de la vie, tu dois ressentir encore et encore de la souffrance physique pour combler les maux de la souffrance morale. Les pensées qui te submergent après ses mots, laissent quelques larmes caresser avec douceur ton visage. « Personne ne mérite ça, personne. » Que tu lui dis, pourtant tu n’es plus sure de savoir vivre sans la douleur, elle est venue combler le vide qu’ont laissé ton père, ta petite sœur. Et toi ce n’est plus si récent, mais comme on dit chaque personne est différente et se relèvera de manière différente. « On ne peut changer des cœurs briser, ni les réparer, faut juste apprendre à vivre avec les nouvelles épreuves, les nouveaux maux. » Tu souris timidement, essayant de le convaincre qui mérite comme n’importe qui d’être bien, pas d’oublier, car personne ne le fait et que ceux qui chantent le contraire ne sont que mensonge pour toi. Juste un sourire à offrir au jeune homme, tu n’as pas de mot à ajouter sur le sujet d’être forte, car tu ne sais pas comment il l’a vu, comment il a pu percevoir cela, mais tu sais que tu es de taille pour supporter les choses. T’as besoin de t’assurer qu’il ira bien, de respecter la promesse que tu as faite de soutenir d’autre personne comme on l’a fait pour toi. Pablo. Y a ton cœur qui se déchire, sans doute, car tu peux caresser l’image erroné que tu avais de ce dernier, dépeint d’une autre façon par Atlas, qui brise ton cœur à cet instant, mais qui n’en sera rien, tu restes forte et droite, tes opales toujours à entretenir cette petite flemme dans celle de du jeune homme. « Je suis désolée … » Tu ne devais plus prononcer ces mots, mais comment ne pas le faire, même si tu n’es pas la putain de fautive, tu te sens toujours coupable, une certaine angoisse à imaginer Pablo pouvoir faire cela. Glissant ta main dans tes cheveux, tu pinces tes lèvres, écoutant ses paroles, tout en laissant un sourire s’emparer de tes douces lèvres après que tes dents les aient abandonnés. « Pour moi le plus important c’est ça ! » Ta main qui tremble alors qu’elle s’avance vers le torse d’Atlas, se posant sur l’organe qui maitrise les peines, les joies et tout ce qui s’ensuit. « Il n’y a que lui qui voit le plus important ! » Tu l’effleures de la paume de ta main, avant de vite l’enlever, comme si le torse du jeune homme aurait pu te brûler si tu restais trop prés. Le regard qui se perd toujours autant dans ses opales, tu t’y perds, t’y noierais presque. Rester avec lui, profiter de la soirée pour l’aider, pour te glisser dans ses peines et tenter de le sauver tes faibles bras et toi. Voilà ce que tu pensais faire, l’aider. Mais y avait plus, t’avait comme était accroché par son âme, l’envie d’être prêt de lui, savoir qu’il n’était pas totalement dans le noir, qui ne se laissait pas juste mourir, comme tu l’avais fait à ton éveille. Le cœur qui bat, qui se donne à une douce mélodie que tu ne connais que très peu, mais tu profites de l’instant, tu profites de la douceur, malgré que la situation ne soit pas très bonne, sans doute. Alors, en voulant aider, tu voudrais l’emmener ailleurs et il n’est pas prêt à ses dires. Mais tu souris, laissant tes dents se dévoiler, un vrai rire qui t’échappe. « J’allais vous proposer d’aller sur le toit où je suis allée la dernière fois … » Alors son toit était parfait. « La hauteur me fait du bien … alors votre toit sera parfait ! » Que tu murmures d’une douce voix. T’as toujours aimé la hauteur, aimé sentir le ciel prêt à t’accueillir, prêt à t’envelopper de son manteau pour être bien. Les étoiles te guidant dans tes songes, toujours. Et sa phrase à lui venant à se heurter à tes songes. Les mêmes pensées, mais tu ne lui offres qu’un sourire, ne relevant pas qu’il est comme toi, un homme du ciel, laissant ce dernier être d’un réconfort inouïe sans qu’il n’est besoin de beau pour faire chavirer ton cœur. Le silence s’est installé, quand le four sonne pour t’éveiller alors que tu offres un sourire à Atlas. « Que dois-je faire pour vous aider à tout monter ? » Que tu disais, alors que tes opales rentraient à nouveau en contact avec les siennes, ce qui était tout autant réconfortant que le toit du monde : le ciel.

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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Mer 13 Fév - 21:41


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crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

Que tu as envie d’y croire à la lueur qu’elle apporte dans ta vie sans prévenir. Sans crier garde. Que tu as envie de t’y accrocher à cette illusion de douceur qu’elle t’apporte mais, tu ne serais qu’un putain de connard si tu profité. Un fou qui ne redemande qu’à souffrir à l’arrivée car, elle finirait par s’en aller. Elle n’avait rien à faire avec toi la belle. Elle serait bien mieux loin de toi. Tu ne te permettrais pas de la détruire elle aussi. Pas elle. « Je ne mérite pas grand-chose Tazmin… encore moins de vous faire perdre mon temps ! » tu l’as regardés comme si elle était la chose la plus précieuse qu’il soit et à tes yeux, en cette instant, elle s’en rapprocher. Sa ressemblance avec Ornella à t’en faire crier le cœur te troubler à tous les niveaux. Non, tu ne pouvais pas t’en détacher de son regard qui semblait vouloir sonder le tiens jusqu’au tréfonds de ton âme. « Vous avez encore de belle chose à vivre et vous n’avez pas besoin de moi pour vous ralentir !! Je ne ferais que vous pourrir… » Tu voulais la protéger de la noirceur qui t’entourer. Tu voulais la protéger de l’être que tu étais devenue. Tu voulais l’éloigner autant que tu voulais l’attirer à toi pour qu’elle te libère de cette douleur qui peser sur ton cœur. Sur ton corps. « Ce n’étais pas de la bonté, ce n’étais qu’un putain d’égoïsme… celui de pensée que vous protégez vous rachèterais un peu de mes erreurs !! » tu n’étais qu’un putain d’égoïste à faire ces choix qui ne servait que ton propre intérêt. Ta propre douleur qui avait désespérément besoin d’un pansement. T’étais qu’un lâche incapable d’affronter la dureté de la vérité ou bien de la libérer elle. La libérer de toi. « … mais, même là, j’ai échoué. Pas de répit pour ceux qui ne le méritent pas, je vous l’ai dit !! » Quel abruti tu faisais de te laisser à l’idée que tu avais besoin d’elle. Qu’elle pourrait rester auprès de toi juste un instant pour éternisé un passée qui était mort. Tu voulais vivre au travers d’elle quelque chose qui n’était plus. Tu te faisais du mal et tu en redemander. Tu te faisais du mal pour ton plaisir sans te soucier de la détruire elle au passage. Tu clamer avoir se besoin vital de la protéger et pourtant tu savais que cela serait impossible. Impossible tant que tu restais dans sa vie. Tant qu’elle restait dans la tienne. Comment un quelconque lien pouvait fonctionner entre vous. Pourtant, te voilà à la retenir. Lui demander de rester pour pallier le manque que son départ laisserait. Pour combler ce vide dans le creux de ta poitrine. Qu’es ce qu’elle y pouvait, elle ?! Rien. Tu lui imposais ton mal et ta vérité et au nom de quoi ?! « J’ai bien peur que le miens soit mort, il n’y a plus qu’une coquille vide qui bas là-dedans Tazmin… » Tes opales qui s’accroche au siennes et ton cœur qui s’emballe à sa main qui effleure furtivement ton torse. C’était comme l’espace d’un bref instant respirer de nouveau à plein poumon. « … mais vous, vous avez bon cœur. Protéger le, ne laissez personnes ne vous le prendre. Jamais. » Les mots qui viennes de ton palpitant. De ton âme endolorie comme si tu parlais à ta propre femme. Elle avait cette même beauté en elle. Cette lueur qui brillait dans le fond de ces yeux. Elle te touchait bien plus que tu ne voulais l’admettre. Bien plus qu’une simple ressemblance. Tu avais cette sensation qu’elle te voyait pour ce que tu étais. Toi, tu ne voyais qu’elle en l’instant. C’était mal mais, tu t’en foutais. Tu te perds un instant, peut-être un peu trop. Ta main qui se pose sur sa joue à vouloir arrêter le temps. Trouble dans l’âme. Sensation de vie dans le cœur. Puis, tu reviens à l’instant. La tête qui se secoue et ces paroles qui te reconnectent au présent. Un pas en arrière pour t’occuper de tout préparer. Un pas en arrière comme pour te dissuader de littéralement plonger. « La hauteur me permet d’y voir plus claire… sa m’apaise d’une certaine manière !! » que tu lances en résonance de sa réponse à elle. Vous sembliez avoir tellement plus en commun que ta défunte femme à qui elle ressemblait à la quasi perfection. « Rien, vous êtes assez gentille de rester, je ne vais pas non plus vous exploiter !! » un sourire sur tes lèvres alors que tu attrapes des assiettes et tout le restes que tu mets sur un plateau. Les lasagnes que tu mets au four avant de te perdre à nouveau dans l’instant. Ton regard dans le siens et le temps semble de nouveau s’arrêter.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Dim 17 Fév - 11:34


Atlas & Tazmin.
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T’as le regard perdu dans le sien, se faufilant sur sa personne qui pour toi mérité d’être soutenu. Tu lui offres un petit sourire. «   Même si c’est perdre mon temps que de vous aider,  je choisis de le perdre ainsi ! »    Pour toi il est clair que tu ne perds pas ton temps, tu ne vois pas les choses ainsi, mais ça servirait à rien de vous confronter longtemps sur ce qui est vrai ou non. Lui trouve que tu perds ton temps c’est son idée d’homme blessé, d’homme ne voulant pas avoir d’importance pour quelqu’un. Et peut-être bien que la personne à qui tu ressembles n’aide clairement pas. Tu es encore un peu mal à l’aise par rapport à cela, mais tu ne vas pas déprimer où autre, tu vas t’accrocher, car c’est ta mission. L’aider est une source de réconfort pour toi, comme si ça te permettait de dire que tu t’en sortais aussi de ton deuil, pourtant tu le sais il est là, si profondément ancré. Enraciné, tes opales le sont dans celle de l’homme, elles ont du mal à flirter ailleurs que dans son regard. Tu ne veux pas abandonner, pourtant il fait tout pour, ses mots sont là juste pour tenter de te faire fuir, mais toi t’as pas envie d’abandonner, pas envie, car il mérite de l’aide, mérite d’avoir un sourire quand rien ne va. Tu le vois bien qu’il n’est que son propre détracteur, le sourire pinçant tes lèvres, tu ne cesses de le regarder avec douceur. «   Arrêtez … vous n’allez pas me pourrir la vie. »   Que tu rétorques avec un peu plus d’ardeur que tes paroles pleines de douceur jusqu’à présent. «   Quelles erreurs ? »   Que tu demandes, curiosité un peu mal placé, sans nul doute, mais t’as besoin de le faire parler, tu y arrives enfin, alors même si c’est plaisant et parfois horrible à la fois, tu ne veux pas du tout perdre cette connexion que tu ressens, la sensation de pouvoir la toucher, de pouvoir le toucher lui, sans avoir à le faire souffrir. Tenter de t’emparer de son mal, pour l’aider, mais ça ne sera pas facile. «   Je suis désolée … j’avais besoin d’être seule … halloween c’est l’une des fêtes préférés de ma sœur et j’ai encore du mal à  … »   être loin d’elle. T’es censée l’aider, mais en vrai toi-même tu n’es pas encore au top, mais tu as su avancer, du moins c’est sans doute ce que tu prétends devant le monde, mais penser à eux, à ce manque c’est presque constant. La main déposé sur son torse, les regards qui dansaient ensemble, tu ne pouvais presque plus respirer, un peu troubler, mais surtout tu gardais en tête que tu avais besoin de l’aider. Besoin de savoir que tu en étais capable, capable d’être forte pour toi et une autre personne : lui en l’occurrence. «   Pourtant je le sens battre … »   Pinçant tes lèvres, tu ne fuis pas son regard, mais tu coupes se contact entre ta main et ce cœur prétendue mort par les mots de l’homme, alors que tu le sens pourtant battre, il est là. «   Vous pensez que j’ai bon cœur … mais c’est pas ça. »   Toi tu fais tout ça pour t’aider toi dans le fond, alors toi aussi tu peux être égoïste, tu te tues à la tâche pour ne pas avoir à penser, déverse tes putains de sentiment, d’émotion sur scène, pour ne plus avoir à les supporter seule, sans rien dire. «   Apaisant c’est le mot ! »   Que tu laisses en suspens dans son propre discourt. Sourire aux lèvres. «   Si vous devriez m’exploiter … »   Puis là tu ne sais pas pourquoi, mais cette phrase te paraissait trop étrange, laissant le rouge te monter au joue, tu tentais presque automatiquement de cacher cela. Ta main sur ta bouche. «   Je peux préparer les assiettes par exemple, une salade ? »   tu trouves des choses à faire, pour combler le silence que tu avais toi-même laissé s’installer. Puis ton regard qui se dépose dans le sien, encore, comme un boomerang tes opales ne cessent de s’y perde, comme si son âme se laissait presque dompter, tu pouvais caresser cette dernière du bout des doigts.
Le temps avait passé, le silence avait été gagnant, alors que le four vous avez appelé à l’ordre. Laissant le toit à vous. Alors que tu aidais finalement Atlas, tu essayais de rester dans l’optique de l’aider, pourtant tu ne sais pas pourquoi, mais ton cœur s’attachait à lui, à cette détresse qu’il te faisait ressentir, à cette façon de se maltraiter lui-même. Cette envie en toi de panser ses blessures, l’aider à retrouver un sourire, une vie tout en oubliant rien. Le besoin de l’aider lui et personne d’autre. T’as jamais eu autant envie d’aider quelqu’un, comme ci ton pauvre cœur avait décidé que lui le  méritait plus que nul autre. Puis cette vue qui finit par s’offrir à toi, le toit dévoilant la ville sublime dans son manteau pailleté, les étoiles brillant sur le manteau noir, tu souris, restant juste bloqué, alors que tu ressens tant d’émotion en cet instant. «   Cette vue est juste magnifique ! »   Le souffle coupé, les mots qui sortent avec douceur, alors que tu es juste là, les opales flirtant avec l’horizon.


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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Dim 17 Fév - 20:07


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{ a mirror effect?   }
crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

Le regard qui reste accrocher au siens comme impossible de t’en détacher. De te détacher d’elle et de ce qu’elle représente ou peut-être que tu parviens à voir autre chose que le reflet d’Ornella dans le regard de Tazmin. « Vous ne devriez pas… » Souffle qui se perd dans l’air. Elle ne devrait pas mais, ces mots te réchauffent le cœur. Ce cœur meurtri qui semblait finalement vouloir battre encore ou se réveiller plutôt. Pourquoi elle… « Vous ne le savez pas ça… » Que tu lances presque en désespoir car, ça te fait du mal de te dire que tu vas la détruire. Ça te fait du mal de vouloir la garder proche de toi sans pouvoir te résoudre à l’éloigner. Vraiment. Tu t’essayais mais, elle revenait et surement que tu étais épuisé de lutter. Surement que tu en avais besoin de ça. De ce moment. De t’ouvrir un peu et de laisser sortir ce qui te peser sur le cœur. Ce qui te pourrissais l’âme ou qui te consumer à petit feu. Tu la balayes sa question peut-être pas tellement près à parler de ce que tu considères comme les plus belles erreurs de ta vie. Pas prête à mettre sur la table la culpabilité qui te ronge. Qui te détruit. Littéralement. T’aurais voulu vouloir te livrer à elle. T’aurais aimé libérer les maux de ton cœur. Lui partager ta douleur sans avoir peur de la détruire un peu plus. Elle avait la sienne de souffrance aussi et ton envie de la protéger t’empêcher presque de la hanter de tes propres démons. « Je ne vous encombrerais pas de ça, pas du poids que cela représentes. » que tu lances avec prévenance. Peut-être que t’es là, encore qu’un égoïste ?! Un lâche aussi. Toujours. La vérité, c’est que tu continues de te protéger. De quoi, tu ne savais même pas. Tu n’étais pas certain d’avoir à te protéger de quoi que ce soit si ce n’est de toi même. Pourtant, tu sais qu’elle pourrait te comprendre. Vraiment te comprendre et t’aider de ce poids qui pèse sur ton âme. Tu le sais à son regard qui sonde le tiens. Tu le sens à ces mots qui font écho à tes pensées. « Ne vous excusez pas… pas pour ça, pas pour moi… » La voix adoucie c’est comme si toute cette rancœur que tu avais contenue contre elle pendant des semaines c’était envolé. Oh, tu le savais qu’elle pointerait de nouveau le bout de son nez quand elle passerait le seuil de la porte. Quand elle te laisserait seul à tes pensées. Ce n’était pas de sa faute pourtant mais, c’était tellement plus simple d’avoir quelqu’un à blâmer. De trouver un coupable ou quelque chose auquel se raccrocher. Elle n’y pouvait rien et toi tu n’étais qu’un connard. Ce temps qu’elle t’accordait tu ne le méritait tellement pas. Pourtant tu le prenais. Tu te laissais aller à ce bref instant de douceur. A cette chaleur qui prend ton être de sa main furtivement déposé contre ton cœur. « Il est là mais, il me fait défaut ce putain de cœur… il me fait mal…. » Un mal de chien et oui, c’était ça de s’attacher. D’aimer. C’était prendre le risque de tout perdre et aujourd’hui, tu n’étais plus certain que cela ait valut le coup. La douleur assourdissante avait effacé tout le bonheur que tu avais un jour connu. Le bonheur que tu ne connaîtrais très certainement plus jamais. Ça, c’était ce que tu te disais. La vérité c’est que tu n’en savais rein mais, que tu avais trop peur de te l’admettre. « Je ne pense pas ! Je le sais… puis, sa se voie Tazmin ! N’en douté pas. Jamais ! » Tu la regardes avec appuie. Avec autant de fermeté que de douceur voulant lui ôter de ces pensées toute la négativité qu’elle pouvait ressentir contre elle-même. Un sourire pour un autre et les mots sont dit. En l’instant où cette connexion que tu ressentais entre vous suffisais à te faire oublier toute cette noirceur que tu laissais prendre possession de toi depuis des mois maintenant. Elle était ton instant de lumière. Doux sourire pour un léger rire face à ces paroles. Face à ces mimiques de gênes et ce rappel d’elle. D’elle et cette ressemblance si troublante. « Si vous insistez… » Humeur presque légère alors que le souvenir d’Ornella et toi faisant à manger te reviens en mémoire. Un doux souvenir qui pour une fois ne te fait pas de mal. Pour la première fois depuis des mois tu te dis qu’elle serait même peut-être ravie de te voir sourire. Retrouver un semblant de lueur de vie. Tu te laisses porter par l’instant comme il venait. Tout préparer et vous voilà quelque instant plus sur le toit de ta demeure. Tu déposes le tout sur la table et ton regard qui se perd sur elle et son émerveillement qui te tire un nouveau sourire. Elle est belle. Tellement belle. Tu t’en veux de penser cela mais, tu ne peux te mentir sur le sujet pas quand tu voies tellement de ta femme en elle. «  Quand on a fait construire la villa, Ornella m’as tanné pendant des semaines pour faire aménager le toit. Je trouvais ça  inutile…mais,  aujourd’hui je l’as remercierais d’avoir était si tenace sur le sujet !! Elle était douée pour obtenir ce qu’elle voulait… » Pincement au cœur mais, étrangement ça te fait du bien d’en parler. De parler d’elle…
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Ven 1 Mar - 18:34


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Tu souris en l’écoutant. Il est borné, certes, mais t’as vraiment l’envie de l’aide, le secourir, t’as pas pour autant le complexe de l’héroïne. « Pourquoi continuer d’en parler, alors que vous savez que je vais continuer de le faire ? » Que tu dis en souriant. C’est parler dans le vent, c’est user de votre salive pour peu de chose. Car tu es bien décidé à l’aider, à lui tendre la main que chaque être humain devrait recevoir dès que quelque chose ne va pas. Toi-même tu le sais c’est plus simple avec une personne qu’on ne connait pas. On n’a pas de mal à s’exprimer, à laisser le tout s’écouler, faut juste savoir ouvrir le robinet. « Non je ne le sais pas, mais je ne doute pas de vous Atlas ! » T’as les opales dans les siennes, ton cœur qui chante une mélodie différente, encore les coups de la peur de toute t’à l’heure ou tout autre chose tu ne sais pas trop. Tu ne sais que trop bien, malheureusement, ce qu’il pouvait endurer et ce n’était pas une chose que tu voulais faire endurer à quelqu’un, il en était hors de question. Ce n’est pas possible pour toi, tu voulais l’aider, pas lui prendre sa peine, ses maux, juste l’aider à savoir les affronter. « Si un jour vous en avez besoin, je serais là, comptez sur moi ! » Une voix douce qui vient essayer de réchauffer le froid qui règne dans son cœur depuis que sa perte. Tu es passé par toutes les phases toi et parfois tu es coincée dedans, comme quand à Halloween tu avais aucune envie de supporter quiconque, même pas lui. Personne. Le besoin de toucher les étoiles, toucher leur monde, ce monde qui les accueille. T’es pas sûre qu’il y ait une vie après la mort, tu ne sais pas ce que tu préfères. Qu’ils te voient avec la crainte de les décevoir ou alors juste un monde que les vivants se sont inventés pour faire paraître la mort moins définitive ? Tu ne sais pas tu jongles avec ces explications, tu ne le seras qu’au moment venu. Le regard toujours doux sur lui, tu l’écoutes, alors qu’il te demande de ne pas t’excuser, de ne pas le faire. Mais ce mot est comme gravé sur tes lèvres, comme si ta douce voix n’était capable que de faire ça à son contact. S’excuser. Le besoin de savoir que tu ne le froisses pas, ne le blesse pas plus. Tout est encore bien sombre dans ton esprit et ce n’est pas facile de tout gérer. T’es des épaules frêles, un corps usé par la danse, complétement meurtrie par cet amour que tu portes à cet art. Tu as du mal à respirer, ces mots qui font écho à ce mal de cœur qui te contamine depuis des années. pire qu’une peine de cœur, c’est plus compliqué, plus irrémédiable et indéfinissable à la fois. Tu pinces tes lèvres, tu t’approches, avec prudence, atlas n’est qu’un animal blessé ne savant pas quoi faire pour se protéger de lui, des autres, il ne sait juste plus d’où donner de la tête. « J’aimerais dire que sa disparaîtra cette douleur, j’aimerais tellement … » t’es les larmes qui se faufilent dans tes yeux. « Mais ça se dissipe, avec le temps … ou alors je n’ai pas su faire réellement de deuil … après tout le peut-on vraiment ? » Que tu demandes, délaissant ce battement de cœur qui frôlait la paume de ta main, tandis que ton propre organe commençait à prendre la cadence du sien, ce qui en devenait presque effrayant. Bon cœur ? Tu souris penchant un peu la tête, pas sûr de ses mots, pas qu’il mente, pas qu’il tente de vendre du rêve, mais c’est bien plus compliqué. « Non je le fais pour vous, pour les autres, mais une infime partie de mon cœur le sais, je le fais aussi pour moi … alors bon cœur je ne pense pas … juste humaine. » Car tu veux t’en sortir et si les autres peuvent aider tout comme toi tu les aideras c’est un bon compromis. Excellent. T’es jamais assez bien et c’est ainsi, dans tes yeux tu ne pourrais jamais voir la perfection que d’autre voit en toi, t’es loin de ça. Avec insistance, t’avais fini par l’aider. Heureuse de prêter main forte, laissant presque la gêne que tu pouvais ressentir à ne pas savoir quoi faire de ton corps, de tes yeux qui ne cessaient de se déposer avec douceur sur lui. Le même être abimé que toi. Te voilà obsédé par la beauté du paysage qui se dessine sous tes yeux, le petit sourire venant palper tes lèvres. T’es si bien. Si près d’eux, et lui t’offre cela, comme si il calmait la tempête qui régnait encore en toi parfois. Une enfant qui découvre son héros, te voilà à penser à ton père, ce héros et les battements qui s’envolent, comme toi tu aimerais t’envoler. Croiser à nouveau ses opales, leurs opales. Tu t’envoles en te laissant submerger par la beauté du panorama. Tu tournes ton visage sur lui, ses mots qui te font plaisir, tu l’entends parler, se confier, se livrer à toi et c’est bon, ça te fait du bien de savoir que tu pourras l’aider. « Le toit est magnifique tout comme le vis-à-vis que vous avez … » tu souris. « Elle avait bon goût votre femme …et c’est toujours bien de savoir obtenir les choses que l’on veut. » tu t’aventures à parler d’elle, une larme glissant sur ton visage, pas pour elle, pas pour Atlas, mais pour toi. Pour ce plaisir d’être plus proche d’eux, plus proche encore, un toit haut qui offre une telle vue ça te fait du bien. Mais tu veux faire face, ne pas laisser de tristesse de montrer. « On mange ? » Que tu demandes, contournant Atlas pour déposer tes yeux sur la table, alors que ton corps le touche, te foudroyant sans que tu ne puisses comprendre ce qui se passe. Tout ça est étrange et pourtant tu redemanderais de ce ‘je ne sais pas’.
@Atlas Mclaren  a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 1967697819
 
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Dim 3 Mar - 12:06


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crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

« ….parce que c’est plus fort que moi ! » sourire en réponses aux siens. Mots pour les siens et finalement t’en rigolerais presque de cette balle que vous vous renvoyez. Doux souvenir ou instant nostalgie de ces moments de désaccord que tu avais pu avoir avec Ornella. Tu retrouvais tellement d’elle en Tazmin à t’en troubler autan qu’à t’en déchirer le cœur. Elle avait peut-être raison tu en avais encore un de cœur la mécanique était enrailler. Ces mots e faisais du bien mais, t’étais pas certain d’être prêt à t’en faire du bien. Pas encore certain de la mérité sa bonté ou juste son envie de t’aider. Il y avait à tes yeux des gens qui mérité tellement plus d’être sauvé. Tu ‘en dis rien non, tes yeux en dises bien assez. Tes opales que tu accroches au siennes c’est comme voir autre choses sur toi. Elle avait espoir pour deux et peut-être bien que tu devais t’y accrocher. Toi tu voulais juste la protéger de toi. De tes démons. Tu avais envie de l’éloigné mais la volonté de l’accrocher à toi. Il y avait cette ténacité chez elle qui te toucher profondément. Cette envie presque de ne pas la décevoir et pourtant tu continuais de te dire que tu ne l’as mérité pas.  « Vous ne baissez jamais les bras, hein ?! » que tu demandes le sourire qui ne quitte pas ton visage. Celui un peu amusé. Celui un peu intrigué aussi. Oui, elle t’intrigue la belle, elle vient te chercher et cette envie d’essayer d’être meilleure. Peut-être bien que c’est pour les mauvaises raisons ?! Peut-être bien que tu cours après un fantôme mais, il te fait du bien dans ton mal se fantôme. Tu t’en fou du lendemain ou du après, tu souffrais dans tous les cas. Ces mots viennent te chercher au que aimerais t’y accrocher ou même y croire une demi seconde à cette notion de temps qui guérie tous les mots. Tu n’y arrives pas. Pas encore. Peut-être bien que tout est encore trop récent. Trop frais dans ton esprit, dans ton cœur, dans ton corps aussi. « …et j’aimerais tellement y croire ! » la douceur dans le regard ou dans l’écho de ta voix qui répond à la sienne et la voilà qu’elle s’étiole l’espace d’un instant cette putain de carapace qui abrite ton être telle une armure de protection depuis des mois maintenant « Y croire au temps qui guérie tous les mots… » Étrange cette façon qu’elle a de venir te chercher et tu la détesterais presque pour ça. Tu lui en voudrais presque de réussir à venir te sortir du confort de ta douleur. De ta solitude. Pourtant, tu en redemande. Tu la retiens là, à toi. Tu le veux cette instant de plus. Sentir sa présence et ces étranges sensations qu’elle éveille en toi. Rien de nouveau juste le souvenir de ce que tu fus un temps. Le temps d’avant ou l’homme que tu étais avant que ta vie parte en vrille. Que ton monde s’effondre sous tes pieds. « J’aimerais bien avoir la réponse à cette question mais, je crois que non… » Toi, jamais tu ne pourras faire le deuil d’eux. De ta femme ou de cette enfant que tu n’auras jamais eu la chance de connaitre. Ils étaient ta vie et tu étais comme mort avec eux. Tu te sentais incapable d’avancer sans eux. Illégitime de continuer à vivre alors que eux n’étaient plus. Peut-être bien que vous vous retrouvez dans ça tous les deux. Mais, toi tu l’as voyais tellement meilleure que toi. Au-delà de sa beauté c’est ce qu’elle dégagé de son cœur jusqu’au tiens. Alors ces mots, tu les rejeter. Oui, persuadé que son cœur mérité d’être préservé. « …Et l’humanité viens essentiellement du cœur » et c’est tout ce que tu ajoutes le regard franc perdu dans le siens et c’est comme la vibration de vos êtres que tu ressens au plus profond de toi. Peut-être bien que c’est au nom de cette connexion que tu l’invite à rester ou alors par pur égoïsme de la garder un peu plus pour toi. De prolongé cette instant où tu en oublie la souffrance de ton quotidien. Elle a réussi à ouvrir une brèche en toi et les mots que tu livres une fois sur le toit de ta villa ne sont pas contrôler. Tu ne chercher pas à te refermer ou à l’envoyé valser non plus. Non, tu restes connecté car, en l’instant tu as l’impression de respirer de nouveau. « … elle disait qu’être proche du ciel c’était être proche de chaque âme qui a un jour arpenté le sol de la Terre ! » ces mots prenaient tout leur sens aujourd’hui et il était vrai que depuis quelques mois tu passer du temps sur ce toit juste allongé à regarder le ciel. Tu en avais pleuré pendant des heure-là, à regarder les étoiles à te demander s’ils veillaient sur toi. Un instant ailleurs puis tu te reconnecte à la réalité. A elle. « Oui… » Que tu souffles tout simplement te laissant submerger par son contact un si bref instant. Sensation si étrange que celle de connaître l’inconnu. C’était ça avec Tazmin et ça t’en couper le souffle. Tu t’installes à table et vous sers de lasagne comme pour t’occuper l’esprit. T’occuper d’autre chose que la jeune femme qui viens le hanter.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Dim 3 Mar - 18:13


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Tu ris en souriant un peu plus. « Je peux continuer longtemps comme ça ! »  Une promesse. Car tu n’abandonnes pas facilement poupée. T’as besoin de lui, besoin des autres pour finir de guérir, savoir vivre avec tes pertes, avec la peur qu’un jour encore on viendra te prendre quelqu’un, sans même te laisser le droit de dire adieu, de dire que tu aimais comme jamais. Tu aurais voulu pouvoir le dire à Lowanie, à ton père, ce héros. Quand tu y penses tu as les larmes qui chagrine, le cœur qui pleur aussi. Tu ne sais pas comment tu feras pour vivre, tu deviendras peut être une copie de ta mère qui avait déjà perdu sa sœur aussi, d’une autre façon, le droit de dire adieu, de s’y préparer, mais toi tu n’as pas eu droit à ça. Sa question te fait un peu plus sourire, ta tête qui rétorque en bougeant un non. «  Impossible ! »  Les opales qui tombent dans les siennes, toi qui t’attache de plus en plus à l’envie de l’aider, mais y a plus, bien plus. Tu n’en as juste pas conscience ou tu refuses de le voir ? Peut-être un peu des deux. Tu crois en lui, sans même réellement savoir qui il est, quelques minutes avant tu pensais que c’était un fou, mais tu avais jugé bêtement. Tu t’en voulais encore, ça tué ton cœur d’avoir songé qu’il pouvait être aussi mauvais. Toutes les fois où il te repoussait, tu te doutais que c’était le deuil, le mal incurable qui le rongeait qui lui faisait faire cela. Si seulement tu avais su qu’elle était comme toi, ou que tu étais comme elle. Peu importe la formule lancée, c’est la même chose. Tu te retiens, retiens ce mal qui te hante encore, qui te hantera peut être toujours, mais tu parviens à vivre et non plus à survivre, même si parfois tu te plonges à nouveau dans la survie, dans ces dates particulières qui t’interpelles, qui te ramène amèrement à ton passé. «  Dans le fond ce n’est peut-être pas le temps … »  Tu retiens tes larmes, tu retiens  tes pensées pour Lowan, ton père, ta famille, car c’est la mort d’une famille qui s’est produit. Toi-même tu es morte, toi-même tu n’es plus la même, comme si tu avais naquit à nouveau, avec cette douleur qui écrasait ton cœur, meurtrissant ton âme petit à petit. «  C’est peut-être les autres qui nous aident … »  Tu laisses un sourire qui se joint à ton regard pétillant. «  Je n’ai pas les réponses Atlas … mais je serais là pour vous aider … c’est tout ce qui compte, que vous ne soyez pas seule. »   Pinçant tes lèvres, comme une promesse lancée, tu ne le lâcheras pas, tu ne douteras plus de lui, ne prendra pas la fuite quand il aura besoin. Tu seras là, et tu le sais ça ne sera pas facile. Tu as sans doute fait vivre un enfer à Pablo, comme lui l’a fait avec Atlas en te foutant sur son chemin, mais maintenant que c’était fait, tu n’allais pas reculer, pas lui laisser avoir à affronter un nouveau parrain. Le sourire au cœur, tu le regardes secouant la tête plutôt amusée par sa remarque. «  J’oubliais que vous étiez têtu … »  Tu t’étais frottée à son côté obstiné, celui qui n’avait cessé de te repousser. «  Je vais vous donner raison ! »  Tu souris laissant cette victoire pour Atlas. Il peut bien avoir raison, peut être que tu as bon cœur, tu n’es pas totalement égoïste, même si tu le fais un peu pour toi tout  ça, continuer d’avancer, de ton mieux, craquant, pleurant dès qu’il le faut. Rester avec lui pour manger, tu n’avais pas prévu tout ça, tu n’avais même pas songé à parler beaucoup avec lui sauf pour l’écran de son téléphone, et en réalité cet échange de téléphone inopiné fût une bonne chose, mais le reste allait peut être changer la donne. Tu laisses ton regard spéculer de la beauté de l’endroit, du lieu. Lowan, ton père, tu penses à eux, caressant de prés leur âme, le toit à l’air le plus haut de la ville, le plus près des anges qui nous ont quittés. Le cœur qui se balance de plus en plus vite, donnant un tout autre rythme à la musicalité de ton battement. Un mélange de sensation, de ressenti, d’émotion. T’as le cœur en larme, le cœur qui pleurs, qui pleurs pour ta propre perte, pour celle de Atlas. «  Elle avait tellement raison … »  T’as les larmes que tu retiens qui se faufile, mais tu les caches, tu te camoufles sous ton col roulé, le besoin de ne pas être vu, mais ta voix tremble. «  J’ai toujours parcourut les toits, cherchant encore et encore un signe quand j’en avais besoin, et ils étaient là, là pour moi … »  Le cœur qui se déchire, tu te livres, tu ne devrais pas le faire. Mais tu le fais. Il  n’a rien à demander pour que tu ouvres ton cœur, pour que ton récit qu’est le tien se fasse, tu te contes sans le moindre souci, ce qui te déplait à la fois. T’es là pour lui, mais lui n’est pas là pour toi.  Il ne devrait pas avoir à t’écouter parler d’eux, parler de toi, mais de lui, de cette peine qui le ronge. Égoïsme. C’est donc chez toi que cette mauvaise qualité c’est terré. «  Je suis désolée … vous devriez parler de vous  et moi pas de moi … »  Tes lèvres qui se scelle suis à tes mots, les opales qui se plongent dans les siens. Et vous voilà l’un face à l’autre à la suite de nouvelles paroles de ta part, pour ne plus parler de toi, alors mangé. «  Ça sent extrêmement bon … c’est mon plat préféré avec les pates au saumon … »  Que tu ajoutes. «  Bon appétit Atlas … »  Le regard qui se perd dans le sien, ta poitrine qui se soulève, alors que tu ne parviens pas à quitter ses prunelles, tu ne parviens pas à dire adieu à ce regard se glissant dans le tien, c’est bon, si apaisant. Et si dérangeant dans le fond. «  Que faites-vous dans la vie ? »  Le vouvoiement est presque inouïe chez toi pourtant t’aimerais franchir cette barrière. Mais cela te va, apprendre à le connaitre parler de tout et de rien, pour se plonger dans les moments plus dur en parlant d’elle, sa douce femme décédée.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 2 Empty Dim 10 Mar - 14:36


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crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

Tu lui laissais les derniers mots ou du moins pour ce soir. Pour l’instant ou l’envie juste de partager un peu plus avec elle. Ou alors c’était cette infime partie de toi qui voulais se raccrocher à l’espoir que tu pouvais t’en sortir mais, pouvait-elle te l’offrir ça ?! Une porte de sortie ?!... Tu ne croyais plus en grand-chose mais, peut-être que c’est parce qu’elle était prête à croire pour deux que tu baisser les armes. Que tu laisser une brèche dans la carapace menant à ton cœur brisé. « Votre détermination est impressionnante, vous le savez ça… » Tu te résous à ces mots. A cette envie qu’elle a de t’aider et que tu as tenté de chasser. Tu as tenté en vain de la dissuader pour finir par rendre les armes. A quoi bon te battre alors qu’elle ne changerait pas d’avis. Elle était surement aussi têtue que toi. Finalement c’était surement ce dont tu avais besoin quelqu’un qui ne lâche pas les bras. Quelqu’un qui n’as pas peur d’affronter tes maux, ta douleur. Il n’y a pas de recette miracle de guérison chacun prend le deuil différemment. Chacun se soigne comme il le peut. Alors, tu ne savais pas vraiment si celle qui ressemblait trait pour trait à Ornella avait les clés mais, tu avais envie d’ croire. Tu avais besoin d’y croire comme ta dernière chance. « Moi, têtu ?! Mais pas du tout… » Tu te moques de toi-même mais, elle t’a bien cernée Tazmin. Il n’avait pas fallu beaucoup. C’était comme si il y avait un regard nouveau entre vous. En l’instant. Une connexion nouvelle créée au détour d’un regard pour un autre. Elle avait les bons mots, les bons gestes. C’était comme si elle venait délicatement attraper ton cœur de ces mains pour le bercé paisiblement. Tu te sentais comme entourer du aura réconfortante qui te clamer que tu étais sur la bonne route. Le bon chemin. Alors, tu te libérais. Sans réfléchir et peut-être que la douleur te rattraperais ensuite mais, pour l’heure tu avais ce besoin de ne plus réfléchir. Juste dire. « Elle serait là, avec nous qu’elle dirait qu’elle avait tout le temps raison et que cela aller de pair avec le fait d’être une femme !! » cela te fait du bien de parler d’elle. De te souvenirs aussi. Tu as passé ces derniers mois à tenter de fuir les même choses dont tu ne pouvais te détacher alors, peut-être que de t’y laisser aller était ce qu’il fallait. Ce qu’il te fallait pour voir un peu plus vers l’avenir plutôt que de continuer de te plonger dans le passé. Un passé qui ne changeras plus. « J’ai toujours trouvé ça ridicule avant mais, je crois que certaines choses arrives et vous font changer totalement votre regard sur les choses… » Que tu dis et, tu ne pouvais pas être plus sincères que cela. Tu avais changé d’avis sur beaucoup de chose notamment sur celle qui t’énervais chez ta femme quand elle était encore en vie. Maintenant tous ces petits truc te manquer et prendre de la hauteur te rapprocher d’elle. Tu ne pouvais pas contre dire Tazmin sur ça. « C’est une manie chez vous ?! » tu l’as regard te tes iris luisante. Plein de taquinerie et de prévenance dans tes yeux « De vous excuser à tout vas pour rien… » Le sourire qui rester ancrer sur ton visage elle est attachante la belle. Elle te touche la jeune femme. «  Ne vous excusez pas de parler de vous… vous être bien plus intéressante que l’homme aigrie que je suis !! » petit clin d’œil et tu te sens empreint d’une certaine légèreté. Une légèreté que tu n’avais pas retrouvée depuis des mois. Depuis le drame qui à bouleversé tout l’équilibre de ta vie. De ton monde. « Je dirais ça à mon amie qui m’as ramené le plat alors… elle me ramène à manger pour 10, elle a peur que je me laisse mourir de faim et elle n’as pas tort mon frigo est vide… » Sourire plaisantin sur les lèvres et tu ne peux pas t’empêcher de pensé à Is’ et cette manie de te nourrir. Tu l’as remercié secrètement de le faire à chaque fois alors que tu ne prends plus la peine d’aller faire les courses. Le personnel qui s’occupe de la maison le fait pour toi. Tu ne prends plus aucun plaisir à toutes ces petites taches du quotidien. Ces tâches qui te rappel plus Ornella qu’autre chose. Tu les évites. « Bon appétit à vous Tazmin… » Le regard perdu un instant dans le siens et l’instant te fait du bien. Il te réchauffe là où le froid c’était installer confortablement. Tu ne devrais pas te laisser prendre comme ça. Happer par la jeune femme d’une étrange manière  et tu ne l’oublie pas dans un coin de ta tête, de ton âme le fantôme de la femme de ta vie. Pourtant, la belle qui te regarde de ces prunelles chaleureuse éclipse tout. Le temps d’un instant il n’y a plus qu’elle, toi et cette vue imprenable sur la ville qui s’endors. Sa question qui te fais sourire et qui te fais du bien. Le bien de son insouciance. Le bien de voir qu’elle n’a pas fouillé sur ta vie comme beaucoup se permette de le faire et juger par la suite. Juger sans savoir ou la chose qui finit de te tuer à petit feu. Un peu plus chaque jour. Alors tu profites. Tu profites de l’instant éphémère qu’elle t’offre. « Vous êtes la première personne qui me pose la question depuis… toujours je crois !! » le rire léger qui s’égare un peu dans l’air et la fourchette qui se perd dans les lasagnes que tu picores. « Je suis l’un des héritier de l’empire Mclaren mais, je m’occupe essentiellement de gérer l’écurie automobile et les courses… si jamais vous fouiller un peu sur le net ou la presse à torchon jsuis celui qu’on appelle le pilote de F1 déchu, maudit… enfin tout ce qui vas dans le même genre !! » Ils te font bien rire avec sarcasme tous ces gros titres. Tu prends du recul dessus et pourtant ils ne t’aident pas à aller de l’avant. Ils te rappel constamment ce que ta vie est devenue. Ce que tu as perdu.
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