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 (bear + irma) nuits fauves

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Message Sujet: (bear + irma) nuits fauves   (bear + irma) nuits fauves Empty Lun 25 Fév - 17:49


☽ ☽ ☽
{ nous sommes nos choix }
w/@bear rosenwald
Équilibre précaire, présent éphémère entre un passé déjà bien consommé et un futur trop fantasmé. Jolie funambule à l’ambition démesurée. Ballerine éperdue en quête d'absolu. Tu comptes tes pas pour oublier les cris de papa. Salope, un. L’humidité qui te noie les joues et tu te rends compte que ce n’est pas le ciel qui pleure mais simplement tes yeux qui débordent. Fille de pute, deux. Un regard perdu vers maman, maman qui semble éperdue. Maman qui n’entend plus. Tu oses un léger grognement et t’es remerciée d’un aller-retour, il est sanguin papa. Tu te sauves, t’esquives les conséquences de tes ambitions et tu avances, tête baissée à travers le désert humain du campement, les poings serrés. Un dérèglement des lumières, une chute anodine et tout le monde s’enfuit. Tout le monde sait ce qui suit l’échec mais personne n'en parle dans le cirque. C’est comme ça chez vous, on subit les affres des humeurs du paternel et on se tait. T’es née pour te soumettre et ça te révolte mais tu te tais, t’es comme les autres au fond. Pire sûrement parce que t’as la moitié de son sang. Bonne à rien, trois. Tu baisses les yeux, tu traces ton chemin mais ça ne sert à rien. Demain sera pire qu’aujourd’hui et tu vas te coucher, t’endormir sur les non-dits. Ton téléphone sonne dans le vide, s’affiche sur le visage de Georgia et la moindre des choses serait de décrocher. Tu sais qu’elle appelle pas pour rien mais t’es trop égoïste Irma et t’as pas le moral à la discussion. Alors tu joues l’absente, le silencieux fantôme. Appel rejeté, amitié en suspens. Mais elle a l’habitude Georgia, elle sait que t’as besoin de distance dans ces moments d'absence. Tu t’allonges, le regard rivé au plafond de ta prison. Et tu comptes à nouveau, tu comptes pour oublier. Tu comptes pour te calmer en te promettant silencieusement d’avancer mais t’es pas assez naïve pour croire encore aux lendemains glorieux.
Ton téléphone qui vibre contre ton dos alors que t’ouvres douloureusement les yeux collés par les larmes et le sommeil te sort des bras de ton sommeil réparateur.
c’est ton jour, j’ai ma soirée!
Un message mystérieux pour les non-initiés mais tu sais ce que c’est, tu sais ce que ça veut dire. C’est votre langage à vous et il a pas besoin d’en dire plus pour te faire rappliquer. Une douche rapidement bâclée et une robe enfilée, t’es déjà dehors. La nuit est tombée, un regard à gauche et un autre à droite pour t’assurer que tu te faufiles en sécurité. Aucun chien de garde à l’horizon alors tu t’éclipses habilement avec la force de l’habitude. Il te faut dix minutes pour arriver à destination, tu pousses la porte du studio rendu silencieux par la fin de journée. Tu rentres, tu fais comme chez toi parce que tu connais la maison alors un sourire à l’accueil et tu passes déjà derrière pour te servir une bière. T’es attendue mais tu veux pas l’effrayer au risque de le voir foirer un tracé alors t’attends pour faire ton entrée et pendant ce temps, t’admires son habileté à jouer avec les lignes encrées. Si bien que t’as l’impression qu’il vient à peine de commencer qu’il pose déjà son outil. Tu laisses la nana admirer l’oeuvre et l’artiste au passage avant de signaler ta présence. « Il paraît que c’est mon tour. » Depuis le temps que tu le pousses, le jour de ton dépucelage est enfin arrivé. Tu restes dans l’encadrement de la porte un moment, le laissant discuter avec la nouvellement tatouée. Et puis, tu t’avances quand elle s’éloigne en t’asseyant sur son tabouret pour le laisser désinfecter son matériel. T’as beau jouer l’intouchable, tu te sens au bord du malaise en voyant seulement la machine qui va servir à te piquer. Mais tu refuses de te défiler, tu sais que Bear ne te laissera pas faire non plus, pas cette fois. Alors tu le regardes astiquer méticuleusement sa cabine, rongeant l’ongle de ton pouce comme unique signe extérieur de ta tempête intérieure. «  Ça va ? Je te manquais alors ? » Question banale, un peu routinière aux antipodes de votre relation hors du commun. T’es le fauve quand il est l’agneau et pourtant, c’est lui qui était derrière les barreaux. Opération hasardeuse d’un paternel calculateur, similitudes d’un historique commun un peu foireux.
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Message Sujet: Re: (bear + irma) nuits fauves   (bear + irma) nuits fauves Empty Ven 1 Mar - 16:03

soleil qui décline de l’autre côté de la vitrine, autant quta vie, toujours prisonnière d’événements marquants, toujours inlassablement liée à ce que ton père t’a fait. c’est incassable. irréparable, en toi, pour toi. impardonnable pour lui, pour lui et elle. plus question de pardon car y a pas de possibilité de revenir en arrière, de changer les choses. et même si, tu donnerais rien dça. tu donnerais certaines les coups, t’es nourri à la rancune, à la vengeance.
jolies couleurs du crépuscule, jaune, orange, qui tape contre la vitrine, qui se diffuse dans la pièce principale. dans la ptite pièce à côté, c’est sur la dernière cliente, officielle, de la journée qutu bosses, que tu termines d'apposer ta signature, ton art, faible musique de fond dans la pièce, qui s’infiltre dans tes oreilles. car l’officieuse, le bonus du soir, elle arrive, pousse la porte de l’entrée. elle fait entrer le froid dans la pièce un court instant, vient couper, un instant, la danse langoureuse de la musique et du bruit de la mâchine qui te fait du bien aux oreilles par le bruit de la porte qui s’ouvre, le bruit de l’agitation extérieure d’une fin de journée, d’un début de soirée. tu t’en rends pas compte. bien trop concentré sur le dessin et le dernier trait que tu glisses sur la peau, bien trop passionné par ce que tu fais. y a au moins ça de positif dans tout ça. graver les peaux te plaît.
la nana qui s’admire dans le miroir, tes yeux posés aussi dessus, c’est la voix dans ton dos qui te surprend presque. regard en arrière sur la danseuse, le cygne du bal de la soirée, tu souris pendant que l’autre se rhabille cette fois-ci, ça l’est.  pas question qu’elle s’échappe et se défile cette fois-ci. dernières recommandations et paiement effectué, porte à clef que tu fermes derrière elle avant de revenir vers ton amie, cul que tu poses sur ton tabouret proche d'elle.
comment tu vas toi ? on s’en fout. c’est bien trop compliqué chez toi, en toi. tu pourrais dire que ça va pour sauver les meubles. tu pourrais que tout va bien comme on ment tous souvent quand la question est posée ou parce que la personne dit cela par principe.
tu sais bien qu’avec irma, c’est pas comme ça. parce qu’avec la douce irma, vous êtes dans le même bateau. ensemble ou séparément, vous vivez les mêmes choses, à différents niveaux, de différentes manières. mais tous deux, vous êtes réunis par le même genre de bourreau. deux géniteurs incapables d’humanité envers le fruit d’un amour passé, effacé ou jamais créé. deux hommes incapables d’aimer assez des gosses. elle et toi, réunis par les mêmes blessures. et toi ? j’ai l’impression que tu vas te dégonfler. lsourire en coin, amusé, taquin. lsourire de façade, façonné jour après jour, amélioré seconde après second pour la personne posant son cul sur une chaise en plastique de l’autre côté de la table, ta tenue orange sur le corps, tes poignets libres comme l’air, qut’as massé tant dfois après chaque chemin entre ta cellule et le parloir. et parfois, tu te prends encore à les bouger tes poignets, après chaque éveil. lsouvenir marquant d’une année et demi de prison, comme le symptôme du membre fantôme. t’es l’amputé de la vie, t’as été l’amputé de ta liberté et tu le ressens encore aujourd’hui. alors t’as réfléchi à cque tu voulais ? depuis le temps, t'espères bien. mains libres depuis quelques mois qui s’activent à nettoyer le matériel, à préparer celui que tu vas avoir besoin pour elle. pour irma. pour le dessin, la phrase, le symbole que tu vas graver sur son corps, une trace de toi sur elle. ta patte sur son épiderme, moyen de vous lier bien plus ensemble.
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Message Sujet: Re: (bear + irma) nuits fauves   (bear + irma) nuits fauves Empty Ven 29 Mar - 14:56


☽ ☽ ☽
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w/@bear rosenwald

Lentement familière, c’est cette habitude qui te rassure. Cette impression que les choses ne changeront jamais malgré le temps qui passe. Et dans cette routine accoutumée, maîtrisée. Tu retrouves un peu du bonheur qui t’as longtemps habité. T’as jamais été exigeante sur ta destination finale. Gamine à peine éduquée, sauvage à la liberté limitée. Depuis toujours, tu es comme ça. Une enfant forcée à grandir trop vite, forcée de panser les blessures de maman, forcée à embrasser les poings de papa. Une gosse forcée à abandonner ses espoirs d’autre chose pour répondre à la tradition familiale d’un autre siècle. T’as les yeux rivés sur les autres pour oublier que ta vie t’emmerde, le regard habillé d’une étincelle envolée depuis bien des années alors que tu traverses ton quartier plein des espoirs de toute une génération débarquée pour vivre le rêve américain à moindre coût. Ce qui te faisait rêver il y a des années te fait bien marrer aujourd’hui. Ces gamins désabusés sous-payés obligés d’habiter sur l’autre rive en se revendiquant new-yorkais, t’as envie de leur crier de se casser, de s’enfuir quand t’as même pas le courage de franchir un pont. T’as le souvenir de ta mère tabassée qui danse devant tes paupières fermées. Heureusement, le nom de ton arrêt suffit à te sortir de ta violente nostalgie alors que tu quittes le wagon surpeuplé en te faufilant entre deux aisselles odorantes. Le soleil continue sa chute, poursuivi de près par l’obscurité et ses silences à rallonge. Si bien qu’il fait presque déjà nuit quand tu arrives devant le studio de tatouage encore allumé à l’inverse des quelques boutiques rendues désertes par l’heure tardive. Tu hésites à rentrer l’espace d’un bref instant parce que tu redoutes les conséquences mais tu refuses de flancher alors tu franchis la porte avec un air victorieux, tu connais les lieux alors tu rentres directement dans l’antre de ton acolyte après un passage alcoolisé. Et tu arrives devant ton spectacle préféré. Ses doigts glissent avec dextérité sur la peau de sa future oeuvre mouvante, il ne se déconcentre pas pour ta présence et tu as pris soin de t’effacer. Tu admires son habileté à jouer avec les lignes encrées et t’as la colère qui gronde quand tu te rappelles de ce que son père lui a volé. Il aurait fait de grandes choses Bear si on lui avait pas volé la possibilité de s’accomplir. Pas tout à fait objective cependant, tu admires la qualité du talent de ton ours favori. Et la beauté du travail terminé te fait presque sursauter alors que tu portes le goulot de ta bière à tes lèvres sans te rendre compte que t’as déjà arraché la moitié de l’étiquette sous l’effet de la tension de ton impulsivité. Tu sais déjà que tu vas regretter ton geste, qu’il finira par tomber sur le dessin tatoué et que ta mère jouera les victimes collatérales mais t’es plus capable de faire demi-tour alors tu ris à sa remarque. “me dégonfler ? c’est quoi cet affront ? tu me connais pas encore assez ?” la vérité c’est que t’es morte de trouille mais tu portes ta fierté en collier alors tu te refuses de lâcher avant que le dessin soit terminé. Le caractère irrévérencieux de la perpétuité de son art te rend jalouse, le tien ne fait que passer. On vient t’admirer sur terre et dans les airs le temps de longues minutes mais le spectacle finit toujours par s’achever et tu ne restes plus qu’un souvenir quand la beauté de son talent accompagne le quotidien de tant de gens. Tu le regardes s’agiter alors que tu prends encore une gorgée de ta bière.
Ça va ? Pas assez naïve pour encore croire qu’il va te répondre sincèrement mais tu demandes toujours, dans l’espoir d’entendre un oui s’échapper de ses lèvres. Pas pour aujourd’hui en tout cas alors tu enterres le projet et tu poses ton cul devant lui en attendant que son attention se reporte sur ton idée. “je veux une reproduction de la colombe de la Paix de Picasso sur les côtes, un truc que je pourrais cacher sous mon justaucorps.” Loin de jouer la pudique, tu passes la moitié de tes nuits moins habillée devant des centaines d’inconnus venus admirer ton corps se mouvoir. Tu retires déjà le haut de ta robe pour lui montrer l’emplacement imaginé en te rendant compte que t’as les mains qui tremblent sous la tension qui t’habite. T’es moins fière que ce que tu pensais une fois face au mur et t’as déjà peur de ce qui s’apprête à t’exploser à la tronche si ton ascendance tombe un jour sur le symbole de ton insoumission. Mais la vérité c’est que t’imagines personne d’autre pour t’encrer définitivement, t’as pas envie d’être liée éternellement à un inconnu parce que ce tatouage, il a un caractère sacré dans ton esprit daté.
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Message Sujet: Re: (bear + irma) nuits fauves   (bear + irma) nuits fauves Empty Mar 23 Avr - 1:00

et toi, irma, comment tu vas ? est-ce que tu te décides aussi à te rebeller contre les règles établies ou que tu te dégonfles ? est-ce que tu me suis ? parce qu’à deux, on est plus forts. parce que sans toi, sans ton soutien sans faille, tes visites en prison, jserais pas le même.  me dégonfler ? c’est quoi cet affront ? tu me connais pas encore assez ? t’as le sourire aux lèvres. le pauvre. mais le vrai. c’est l’élévation de tes charnues qui ne montent guère bien loin. symbole de votre point commun. symbiose de vos deux histoires, différentes mais pourtant presque parallèles. j’crois que je te connais bien trop. ça pourrait sonner comme une preuve d’amour amicale, une presque fraternelle. mais, il y a toujours le mais. l’insupportable. le dérangeant. celui qui retourne le coeur. celui qui fait succomber les espoirs. rabaisser les élans d’euphories. parce que les mais détruisent. ils vous ont détruit.
ça sonne ici comme une fatalité. irma, jte connais bien. irma, jconnais que trop bien ce que tu ressens. chaque jour qui passe, ça reste au fond de vous. chaque jour qui passe, vous marque un peu plus encore. cette influence paternelle. vos pères et leur incompétence tragique de ne pas savoir donner de l’amour. tyrannique ou manipulateur, ils ont les vices qui ont permit de marquer vos chairs, vos esprits.
bear, tu ne seras jamais assez trop bien pour lui. garçon, tu ne recevras jamais la pression de la main sur l’épaule, celle qui montre la fierté du plus grand.
irma, elle ne saura jamais satisfaire cet homme qui a contribué à sa vie. gamine, elle ne dansera jamais dans son propre bal de liberté. joyeuse. belle. époustouflante, les regards admirateurs des géniteurs.
mais il n’y a rien de tout ça pour vous, irma et bear, les deux rejtons. jamais bien. jamais assez. pour eux. alors, vous êtes là, vous deux, l’un pour l’autre. ou du moins, vous essayez. vous tissez votre propre toile parallèle à vos vies dégueulasses dans l’espoir qu’un jour, le fil entre les deux se séparent. dans l’attente qu’un jour vos pères ne se relèvent pas. t’as plus de nouvelles du tien, bear. ça fait presque un an et demi. il est le spectre de ta vie, ayant foutu sa merde avant de partir. mais lsien, il est toujours là, à la belle danseuse, personne physiquement présente. bien plus tortionnaire. celui qui sera en colère quand il découvrira ce que s’apprête à faire la jolie danseuse sur son corps, sur celle qu’il a voulu modeler à sa manière. poupée prisonnière ou marionnette, elle s’enfuit. égratigne sa peau en verre, effiloche les fils qui la relient.  ça va ? qu’elle répète encore une fois. ne lâche rien, la ballerine. et tandis que tu prépares le matériel, changes le mauvais pour le stérile, tu relèves tes yeux vers elle. comme un homme libre depuis un an, quatre mois et quelques jours. que tu lances dans une phrase qui veut tout et rien dire. elle manque de précision à écouter ainsi. elle ouvre bien trop de champs analysée plus en profondeur. tu profites, tu regrettes, t’enrages un peu plus chaque jour pour l’injustice, le temps perdu, la vie volée.
je veux une reproduction de la colombe de la Paix de Picasso sur les côtes, un truc que je pourrais cacher sous mon justaucorps. elle se déshabille, retire le haut de sa robe, révèle un haut de corps que t’as déjà vu ainsi. pour l’avoir vu danser. pour avoir pu avoir ce plaisir. d’observer la grâce, le corps féminin divin en action. elle est belle, irma, les yeux posés sur elle, sur l’emplacement qu’elle souhaite. t’es tendue. ta main contre son épiderme, rassurante, dans un effleurement. la conclusion après l’analyse de ses mains qui chiffonnent le tissu. elle tremblent. de peur. de toute émotion. du cape qu’elle s’apprête à franchir ; dessiner sur son corps pour se sentir plus libre pour l’une, abîmer un corps vierge pour l’un.  t’es sûre de toi ? la voix posée, présente pour elle comme tu l’as toujours été pour elle, comme elle l’a toujours été pour toi. elle rassure, s’inquiète presque quand elle passe la barrière de tes lèvres alors que tu prends ton portable pour rechercher cette colombe souhaitée. elle représente quoi pour toi ? question presque rhétorique. t’as pas besoin normalement qu’elle te rappelle son histoire, la pression qui pèse sur ses frêles épaules dénudées. tu sais déjà tout cela. c’est juste pour elle que tu fais cela. que ses explications sortent pour qu’elle se rassure, qu’elle soit sûre que c’est bien ce qu’elle veut. se l’avouer à l’oral est bénéfique.
@irma reinhardt
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