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 leave a light on ❁ ft. isabella

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Message Sujet: Re: leave a light on ❁ ft. isabella   leave a light on ❁ ft. isabella - Page 2 Empty Dim 2 Déc - 16:04


≈ ≈ ≈
{ leave a light On  }
crédit/ tumblr ✰ w/@isabella kingston

Tu en es réduite à ça maintenant, à cette souffrance qui guide tes bas plutôt qu’à ton cœur qui ne bas qu’à moitié. Le souffle de vie s’étire d’un souffle de désespoir alors que tu t’es déjà assez tué à la tâche en cherchant depuis bien trop longtemps cette espoir qui ne semblait n’être qu’une légende. Il n’y en avait pas, pas de lueur au bout d’un couloir sans fin. Il n’y avait que ténèbres. Cette noirceur qui vous abîme le cœur jusqu’à l’âme. Une sombre épée qui vous retourne à vous en faire plonger dans un gouffre sans fin. Elle est longue la chute, elle est violente comme pour vous rappeler que oublier n’est pas une issu. Il n’y a pas d’oubli possible, pas de retour en arrière quand on vous à arracher à vous-même de force. Quand on vous a marqué jusqu’à l’os, quand vous a salie jusqu’à ce que vos nuit soit hanté. Il n’y a plus rien à faire… Ah oui, pendant un temps on se dit que l’on peut s’en sortir puis avec le temps qui passe et on se rend compte que personne ne comprend. Que la peine à fait son nid là où personne ne peux la voir. Vicieux poison qui attaque sans aucune merci, qui ronge jusqu’à ne laisser plus rien. Aucun répit jusqu’à lâcher complètement prise. Craquer et rendre les armes. S’avouer vaincue car il ne restait plus que cela à faire. Quatre ans d’un combat sans fin contre toi-même, contre ton putain de passé et contre ta propre famille qui ne comprenait pas. Tu avais finis seule, laisser sur le bas-côté a regarder les gens avancé pendant que toi, piégé sur place à t’essouffler sans jamais noté de progression. Ce soir, tu avais fini par te résoudre qu’il y en aurait jamais. Tu accepté la souffrance et ce foutu mode survie dans lequel tu avais été contraint de te réfugié depuis tes 16 ans. Tu n’avais pas eu le choix. Cet homme t’avais arraché ton libre arbitre ce soir-là. Il t’avait tout prit de ta joie de vivre à ton avenir pour quelques minutes de plaisir non partagé. Le pire c’est que tu étais encore aujourd’hui plus en colère contre toi que contre cette ordure. Bouffer par la culpabilité et l’idée que tu aurais pu changer les choses. La vérité c’est que tu n’y pouvais rien hier et encore moins maintenant et dans les jours et les années qui viendrais. Seulement, c’était comme être aveugle, tu étais incapable de voir ce qui se matérialisé devant toi. Assembler les pièces du puzzle pour aller mieux car, seule la tâche semblait insurmontable. Alors, tu t’étais laissé dérivé jusqu’à ce banc aussi froid que ton cœur meurtrie. Tu t’étais coupé du monde qui t’entoure terrassé par ce sanglot incontrôlable qui te prive de ta respiration. Tu n’attendais plus rien de personne et c’est peut-être pour cela que tout changea de perspective à l’apparition d’une inconnue dans ta vie. C’est surement là l’explication, la solution, la vraie… Perdre tout espoir pour que la lueur au bout du chemin se manifeste. Elle est infime cette douce et scintillante lumière mais, tu t’y accroches comme attirer. Réconfortée. Un regard qui en dis suffisamment et un sourire empli de chaleur qui te remonte un peu. Une vérité suivie par une autre et les yeux qui semblent s’ouvrir au rythme d’un cœur qui décide de s’intéresser. C’est une main tendue, celle que tu n’attendais plus… celle qui comprend. Pourtant, il y a toujours la raison pour prendre peur et se dire qu’il y a piège. Qu’il n’y aura jamais de possibilité de guérisons et pourtant cette envie d’y croire qui agite tes prunelles d’un nouvel éclat. Tu écoutes avec sagesse comme si c’était là les paroles divine amener à toi par la femme d’une grande beauté assise à tes côté. Ton discours empreint de cette négativité à laquelle tu t’étais habitué et les réponses de la sincérité. Une vérité qui n’était pas forcément parfaite mais tout semblait tellement plus beau que ton refuge de cauchemar dans lequel tu étais enfermé depuis bien trop longtemps. Tu voulais en sortir et on semblait t’avoir entendue. Hochement de tête léger, imperceptible alors que c’est la seule force qu’il te reste pour ce soir. Tu veux la croire cette femme qui te sers dans ces bras et qui te laisse à penser que même pour toi, demain pourras être meilleur. Tu écoutes et tu te nourries de ces paroles qui fort comme écho à ton âme, à ton cœur. C’est comme entendre le crie que tu retiens en toi depuis tout ce temps. C’est comme si elle lisait en toi comme dans un livre ouvert. Elle comprenait car elle était malheureusement aussi brisée que toi. C’était donc là, la connexion immédiate que tu avais ressentie quand son regard était venue trouver le tiens. « J’ai jamais vraiment voulue être seule… j’ai juste finit par trouver sa plus simple que d’être contrainte à parler… les gens ne comprennent pas que les mots font parfois plus de mal qu’autre chose… je n’étais pas prête ils on finit par se dire que mon silence signifiait que je n’allais pas si mal… c’est ça qui à finit par me brisé ! » Ton regards qui s’accroche au siens et ta main qui viens trouver la siennes un peu plus alors que ce contact te rassure un peu plus que les simple paroles de vérité que vous échangiez. Jamais tu n’avais parlé comme ça, à cœur ouvert. Jamais tu ne t’étais livré de la sorte. Nouvel hochement de tête, nouveau échange de regard comme pour signifier que tu serais là aussi car toi, tu avais besoin de quelqu’un. Tu voulais avoir quelqu’un et elle était là. Une inconnue qui n’en semblait pas vraiment une. « Nevaeh… » Que tu lances dans un demi sourie comme si échanger ton prénom rendrais le tout plus réel. Comme pour te dire que tu n’étais pas perdu dans l’un de ces cauchemar où l’on te présenter le bout du tunnel pour t’y faire retomber tout au fond des ton réveil.
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Message Sujet: Re: leave a light on ❁ ft. isabella   leave a light on ❁ ft. isabella - Page 2 Empty Dim 16 Déc - 19:00

♛ Leave a light on.
All alone she was living In a world without an end or beginning Baby girl was living life for the feeling But I don't mind, I don't mind And all the wrongs she committed She was numb and she was so co-dependent She was young and all she had was the city But I don't mind, I don't mind…

▼▲▼

La souffrance, elle fait mal. Elle est là, constamment, en train de raviver une blessure qui ne cicatrise jamais. Elle brûle comme une plaie encore ouverte que l’on recouvrirait de sel. Elle est douloureuse, intense. Mais elle ne détruit pas. Non, ce n’est pas elle qui cause le plus de dégâts. C’est la solitude qu’elle engendre. Plus on souffre, plus on a besoin des autres. C’est l’être humain qui est comme ça. Mais, paradoxalement, bien trop souvent, c’est l’inverse qui se produit. Plus on souffre, plus on s’isole des autres. On se coupe du monde, on se renferme sur soi-même, on se replie encore et encore pour devenir de plus en plus minuscule. Et la douleur, elle devient alors si grande, si grande qu’elle nous englobe totalement. On a l’impression de n’être plus rien, sans elle, presque, comme si c’était la seule chose qui nous tient encore debout. C’est le sentiment qu’elle a eu pendant si longtemps, Isabella. C’est même quelque chose dont elle arrive encore à se persuader quand elle est au plus bas. Elle a cette sensation qu’elle devrait se raccrocher à cette douleur, la garder au plus profond d’elle, ne jamais l’extérioriser. Car que se passerait-il, si elle le faisait ? Survivrait-elle seulement ? Elle ne sait pas et, au fond, elle n’a pas envie de savoir. Elle a trop peur que la douleur devienne plus insurmontable encore, elle a trop peur que le coup soit si violent qu’elle tombe sans plus jamais se relever. Mais peut-être que ce n’est pas la solution. Peut-être qu’elle ne devrait pas avoir peur de sortir cette souffrance, peut-être qu’elle devrait apprendre à la partager. Elle n’y parvient pas avec les personnes qui lui sont le plus proches. Comme si un mur invisible les séparait d’elle, comme si elle n’était pas dans le même monde. Son corps est avec eux mais son âme, elle, se trouve bien plus bas. Bien trop bas. Au milieu des ténèbres. Mais, avec cette fille, c’est différent. Elle se sent déjà si proche d’elle. Elles ont ce même rapport à la souffrance. C’est sans doute ce qui lui donne la sensation d’être si connectée à elle… Alors qu’elle ne l’avait jamais vue avant cette nuit. C’est, assurément, ce qui lui procure ce besoin d’être là pour elle, alors même qu’elles ne se connaissent pas. La main qu’elle lui tend, c’est aussi celle dont elle a besoin elle-même pour se relever. Retrouver la lumière. Et, peut-être, sortir main dans la main de ce tunnel bien trop sombre pour deux âmes si blessées par la vie. Se retrouver à deux, cela a quelque chose de rassurant. Comme si, chacune son tour, elles pouvaient apprendre à se reposer sur l’autre. Comme si, ensemble, la peur devenait moins forte. Et c’est le cas pour Isabella. Elle se retrouve confrontée à cette jeune fille, si chamboulée, si brisée par la vie. Si tourmentée qu’elle a besoin, elle, de lui donner cet espoir qu’elle n’avait plus elle-même. Elle a besoin d’oser y croire, pour la première fois de sa vie, pour la pousser elle aussi, à croire avec elle. Elle qui en a tant besoin, sûrement même, encore plus qu’elle. L’inconnue n’est encore qu’un petit bout de femme, encore si délicate, si vulnérable. Irrémédiablement attachante. Elle lui donne la sensation que c’est à elle de trouver ce courage la première, celui de se relever. Pour elle… Pour elles. Elle ne le sait sans doute pas mais c’est elle, en réalité, qui lui donne cet élan, cet espoir qu’elle n’avait plus. Ses mots lui font du bien autant qu’ils en font à la jeune fille. Partager cette douleur, c’est peut-être le meilleur moyen pour toutes les deux de s’en défaire un jour. Et, quand elle écoute les réponses si poignantes de son interlocutrice, elle se rend compte à quel point c’est vrai. Elle comprend qu’elle n’a pas eu le temps, pas eu le temps de guérir. Ses proches ne lui ont pas laissé le temps de revenir vers eux et, aujourd’hui, c’est loin d’eux qu’elle extériorise toute sa souffrance. Sans un mot, la Latina acquiesce d’un signe de tête. Elle l’écoute, elle l’entend et, surtout, elle la comprend. Elle sent sa main venir serrer la sienne, créant peu à peu cette affection toute particulière pour celle qui n’était encore qu’une inconnue, mais qui ne le sera jamais plus. Nevaeh. Elle entend enfin son prénom. Un doux prénom qui semble parfaitement lui correspondre. Un prénom qu’elle n’oubliera pas de sitôt. – Je suis Isabella. Mais tu peux m’appeler Isa. précise-t-elle d’une voix tendre, osant un faible sourire pour ponctuer ses propos. Leurs mains toujours entrelacées, leurs regards accrochés l’un à l’autre, elles retrouvent toutes deux le silence durant quelques instants. Le temps de retrouver ses pensées pour Isabella et, peut-être, pouvoir retranscrire leur force avec des mots. – Tu n’es pas obligée de me raconter quoi que ce soit tout de suite. Et je ne suis pas obligée de le faire non plus dès ce soir. Mais si, un jour, l’une de nous arrive à parler, elle ne devra pas hésiter à contacter l’autre. Est-ce que tu es d’accord ? lui propose-t-elle, espérant de tout cœur obtenir une approbation. Elle ne veut pas la brusquer, surtout pas la forcer à parler. Mais elle refuse plus encore que Nevaeh se sente contrainte au silence avec une personne de plus. Non, pas avec elle. Plus tard, elle lui donnera son numéro de téléphone. Elle fera en sorte que cette rencontre ne demeure pas unique. Car, plus jamais, elle ne veut perdre de vue cette fille avec laquelle elle se sent si reliée. Mais, là tout de suite, elles ont certainement eu beaucoup trop d’émotions. Elle ignore si Nevaeh peut encore en supporter davantage. Alors elle approche sa main libre de sa joue pour la caresser brièvement, puis reprend la parole d’une voix plus sereine. – Tu as l’air frigorifiée… Viens, je t’offre un chocolat chaud. Cela leur fera du bien. A tous les deux. Mais ce qui vient de se produire, cette rencontre, elle n’est pas anodine. Elle le sait, Isa. Cette jeune fille n’est pas entrée dans sa vie par hasard. Elle avait besoin de quelqu’un, elles en avaient toutes deux besoin. Et, en fin de compte, elles ont réussi à se trouver.
CODAGE PAR AMATIS

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Message Sujet: Re: leave a light on ❁ ft. isabella   leave a light on ❁ ft. isabella - Page 2 Empty Jeu 27 Déc - 21:03


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{ leave a light On  }
crédit/ tumblr ✰ w/@isabella kingston

A t’enfermer dans ce silence pendant tout ce temps tu avais fini par y voir une certaine normalité. Une routine presque rassurante sans y voir le côté malsain du passé qui continue inlassablement de te poursuivre. Tu t’étais tristement habitué à la solitude de ton cœur en tentant de te convaincre que tu t’en sortirais ainsi mais, la vérité finit toujours par vous rattraper. C’est une belle claque que tu as pris. Un coup de poing en plein estomac qui a fini par te brisé ou peut-être que tu as seulement ouvert les yeux. Enfin après tout ce temps. Tu t’es engrené dans un mal sans fin à te dire que la solitude résoudrait tous tes problèmes. La réalité c’est qu’il n’y avait aucune solution tant que tu ne t’avouerais pas à toi-même que tu étais au fond du gouffre. Peut-être que c’était ça qui t’avais fallu un déclic ou une énième engueulade avec ta famille pour ouvrir les yeux. Il n’y avait que toi, toi et ta putain de douleur qui te rongés tes entrailles. Alors, c’était peut-être le destin qui t’avais mené juste qu’à ce foutue banc. Ce banc aussi froid que ton cœur brisé et ton âme sans vie. C’était peut-être même cette envie silencieuse de t’en sortir aussi. L’espoir de trouver sur ton chemin quelqu’un qui te comprendrait, quelqu’un qui te sauverais de tes maux si cela était possible. Tu ne cherchais que ça après tout, un dernier espoir !! Tu n’avais juste plus la forcer d’espérer pour toi-même. T’avais ce besoin quasi vital que quelqu’un le fasse pour toi. Alors, c’était surement ça que tu étais venue chercher sur ce banc en dehors d’un endroit ou prolonger cet instant de solitude qui te coller à la peau. Un endroit en dehors de ton chez toi pour y laisser les armes, ton cœur. T’avais l’espoir secret, l’espoir sans espérer presque ou tu moins tu n’étais pas attendue à grand-chose. Tu ne savais pas non plus si tu avais récolté grand-chose si ce n’est une main tendue d’une inconnue. Ange gardien ou non c’était ce dont tu avais eu le plus besoin au moment venu. Peut-être ce qui t’avais sauvé de l’envie de te battre que tu n’avais plus. La lueur que tu n’attendais plus peut-être aussi fané que toi en vérité mais, une lueur comme même. Au final vous aviez besoin l’une de l’autre et comme vos prénoms échangés scellé le pacte de deux inconnues comme destiné à se rencontrer. A s’aider. Isabella c’était donc le prénom de celle qui avait su trouver les mots qui parler à ton cœur meurtri. Celle qui avait réussi là ou tes proches n’y était pas parvenue : te comprendre. Une compréhension mutuelle qui te faisais peur mais, dont tu avais besoin plus que jamais. Vous n’aviez finalement pas besoin de grand discours et c’était ce que la femme venait dire de ces mots qui brisé le demi silence installé. Tes sanglots qui se calmer pour laisser place à la certitude que tu étais prête à attraper cette main que l’on te tendait. Que tu ne pouvais pas tomber plus bas. La tête qui acquiesce et un sourire timide qui fend tes lèvres « oui… je suis d’accord. » que tu dis simplement la force des mots t’ayant quitté un regard plongé dans ces iris suffirait à tout dire comme le premiers instant où vos yeux c’était croisé. Un délicat contact de sa main sur ta joue pour glisser du réconfort à ton être. Puis, tu te rends compte que oui, tu es frigorifié de ta petite robe qui couvre à peine ta peau. Comme cette envie de prolongé ce sentiment que tout irais mieux, tu te levas pour la suivre et accepter son invitation à un chocolat chaud. Vos deux âmes semblait s’être trouvé.

...FIN...
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