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 All the good girls go to hell (Freddie&Camelia)

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Message Sujet: All the good girls go to hell (Freddie&Camelia)   All the good girls go to hell (Freddie&Camelia) Empty Ven 4 Juin - 12:26

Elle ne voulait pas y aller. Cami a passé l’âge d’être trainé à droite et à gauche par son père tel un trophée ou pire, une bête de cirque. Et elle est fatiguée, fatiguée des bonjour madame, très bien monsieur. Fatiguée de rester droite comme un i, de sourire sur commande et d’expliquer pour la centième fois que non, elle ne suivra pas le chemin de son père, que la politique ne l’intéresse pas mais que oui, bien sûr, elle est fière de lui.

Faire semblant, encore et toujours. C’est épuisant. Son corps est tendu, en permanence, elle ne peut relâcher la pression. Mais quand son père la somme de l’accompagner, elle ne peut refuser. Elle n’arrive pas à lui tenir tête, pas encore, pas totalement. Elle a beau le haïr de toutes ses forces, elle ne cherche que sa reconnaissance, son aval, toujours.

Alors elle a dit oui, comme si elle avait le choix, comme si c’était elle qui choisissait de venir, et pas l’inverse. Camelia a beaucoup être terrifié par son père, par son regard accusateur, elle ne peut s’empêcher de le défier, parfois. Dernièrement, elle a trouvé une nouvelle façon de lui montrer son désaccord tout en évitant la confrontation, bien trop frontale. Les vêtements.

Parce que dans les hautes sphères, la tenue vestimentaire est au cœur de tout. En soirée mondaine, les femmes ne cessent de critiquer les robes de leurs rivales ou de leurs amies. Et ça, Cami l’a bien compris. Elle a toujours aimé la mode, les créations toutes plus rocambolesque des créateurs les plus talentueux. Et si elle se sait incapable de porter certaines pièces, elle commence à en incorporer d’autres à son style de tous les jours. Au-delà de cela, elle connait parfaitement les codes de sa caste, et comment les briser pour étouffer les petites vieilles tout en donnant honte à son père.

Elle a choisi, ce soir, de porter une petite robe noire d’Area, une marque New Yorkaise qui ne cesse de monter, ces dernières années. Les deux designers derrière ce Label lui ont tapé dans l’œil. Elle aime l’ambiance des années 80 qui se détachent de leurs pièces. Au de-là d’être très, très courte, la robe est relativement simple. Une série de diamants Swarovski dessine la ligne de sa poitrine et épouse ses courbes. La robe jongle parfaitement entre le luxe des soirées de son père et le too-much. Exactement ce qu’il lui faut. Une paire de Louboutin et des boucles d’oreilles Dior, indémodables, viennent parfaire sa tenue. Lorsqu’elle arrive chez son père, elle ne peut que jubiler en voyant sa tête. Il est bien trop poli pour faire quelques remarques que ce soit, conscient que le travail de sa fille chez Vogue lui fait faire des choix parfois…interessant. Ils sont arrivés ensemble, à la soirée, et à peine a-t-elle mis un pied dans le sublime penthouse de l’hôte, une milliardaire qui dilapide la fortune de feu son mari, elle sait qu’elle a fait forte impression.

Et à présent ? à présent, une coupe de champagne à la main, Camelia s’ennuie. Elle s’ennuie mortellement. Elle vient de couper court à une conversation des plus fastidieuses avec une habituée de ce genre de soirée, une petite vieille fore désagréable qui n’a pu s’empêcher de lui dire qu’elle ressemblait à une racoleuse. Elle s’est offusquée lorsque Camelia l’a remerciée, pour son compliment, et a fini par s’en aller. Alors elle est seule, dans son coin, son verre à la main, qu’elle porte délicatement à ses lèvres. Son regard se perd parmi les invités et elle soupire en avalant une gorgée de champagne. Camelia hésite à prétexter une vilaine migraine pour s’éclipser mais elle sait que son père ne le lui pardonnerait pas. Alors elle attend, patiemment que la soirée se termine, offrant des sourires crispés à quiconque croiserait son regard. Et soudainement, le bleu de ses yeux se perdent dans celui, tempétueux, de Freddie Flynn. Que diable fait-il ici, cet arriviste ?
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Message Sujet: Re: All the good girls go to hell (Freddie&Camelia)   All the good girls go to hell (Freddie&Camelia) Empty Ven 4 Juin - 20:29

    une cigarette posée au bord des lèvres, freddie considère l'informateur en face de lui, pèse les bribes communiqués, le pour, le contre. le poids des mots prononcés, la valeur de ceux-ci et ce qu'il pourrait en retirer. "il paraît que la haute se réunit ce soir, une soirée qui rassemblerait tous les politicards de new-york. il paraît que reiss sera là, il paraît même qu'il serait d'humeur bavarde, du genre ouvert à la discussion. à la négociation même." des mots qui l'attirent telles des sirènes, des perspectives qui s'ouvrent pour lui et son ambition. pourtant, il pèse encore, scrute le visage du pauvre bougre face à lui. le type n'en mène pas large, s'enfonce davantage dans sa gêne à chaque seconde de silence supplémentaire. faut dire qu'il est fort pour faire ralentir le temps freddie. son visage est fermé, froid, trop occupé qu'il est à activer les rouages de son cerveau. le silence se fait pesant, l'air se fait lourd, orageux. la sérénité est un otage utile, l'angoisse un soldat fiable. freddie absobe l'un, disperse l'autre et se délecte des effets. il faut dire que freddie n'aime pas perdre son temps,  il déteste les déplacements inutiles. monstre d'exigence, ses expectatives sont grandes et il trie les informations comme on trierait des fruits. bons à consommer ou pourris à jeter.
    il n'attend qu'une chose freddie : une opportunité, celle qui changera tout. il ne lui en faut qu'une. il n'est pas familier avec le concept de hit or miss, lui n'attend qu'une seule chance pour laisser sa trace, poser son empreinte sur le monde. une seule, c'est tout ce qu'il lui faudra, il en est convaincu. il ne lui reste plus qu'à la débusquer, cette opportunité. et dieu lui en est témoin, freddie est un fin limier. aux abois, le regard vif, les crocs acérés.
    alors il finit par sourire, ses lèvres s'étirent et l'air semble s'assainir, l'oxygène circulant à nouveau librement. il tape sur l'épaule du pauvre bougre qui se détend le soulagement se lisant sur le visage, et glisse la monnaie d'échange dans sa poche de veste. un papier plié en 4, quelques mots griffonnés dessus. un site web, des identifiants. de quoi récupérer des photos de lui en fâcheuses postures. pluriel. mais freddie est - moyennant le bon prix, clément. alors il récupérera les preuves de son infidélité. il les récupérera toutes, sauf une. commission exigée par la maison. car pour monnayer les secrets, il faut en comprendre la valeur, et freddie a compris depuis longtemps la protection qu'ils lui apportaient.
    c'est comme ça qu'il se retrouve à cette soirée dans les quartiers huppés. l'appât du gain et l'appel du vice. le temps se dilate alors qu'il observe ses alentours, le clinquant de la richesse à droite, la vulgarité de l'argent à gauche. le tout exposé à la vue de tous, comme un autel au prosaïsme moral. les invités en sont l'image même, leur parure d'or et de diamant cachant des affres de vacuité et de faux semblants. freddie inspire et ses pupilles semblent s'agrandir, comme un chat dans la nuit. il expire et c'est le noeud dans le creux de ses entrailles qui se dénoue. un soupire d'aise s'échappe de ses lèvres. on ne peut pas dire, rien ne vaut l'irrévérence et la corruption pour se sentir à son aise.
    alors freddie déambule, se pavane, échange des poignées de mains avec certains, offre de lascifs sourires à certaines. et puis surtout, croise des regards avisés avec anciens clients et prospects avisés. ses manières polies lui ouvrent les conversations, son éloquence l'y maintient. mais dans le tumulte, freddie sème les graines de son influence sans ne jamais s'arrêter trop longtemps. il fend la foule, jusqu'à croiser les pâles opales de l'héritière reiss. adossé contre un pilier, il sirote son martini, prend son temps pour étudier la jeune lolita. son sourire crispé qui dissimule mal son impatience, sa gestuelle boudeuse.
    le sourire revient épouser ses lèvres, prenant des allures félines alors qu'il s'approche d'un pas nonchalant. la jeune reiss est son dernier projet en date. s'approcher de la fille pour toucher le père, le coup classique, intemporel. pourtant, il trouve un certain amusement à rôder autour d'elle, à déceler le vrai du faux dans les manières de l'héritière. elle aussi porte un masque, déguise ses états d'âmes et ses vrais désirs. et rien ne distrait plus freddie que de pousser à l'implosion une douce et innocente âme. cami, cami. une familliarité qui ne lui est pas autorisé, mais qu'il s'octroie, comme tout. freddie demande rarement l'autorisation, s'excuse encore moins. est-ce que tu crois que ton papa serait content de te voir si boudeuse quand tant de gens se tournent vers toi ? freddie émet un bruit de bouche désapprobateur et boit une gorgée de son verre, parcourant volontairement la silhouette de la jeune femme. l'impertinence roule sur sa langue, habille d'un fiel mielleux les mots prononcés. je n'arrive d'ailleurs pas à croire qu'il ait laissé sortir la douce et virginale enfant prodige... dés-habillée de la sorte.  

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Message Sujet: Re: All the good girls go to hell (Freddie&Camelia)   All the good girls go to hell (Freddie&Camelia) Empty Ven 4 Juin - 21:29

Il est toujours là, à l’affut, tapis dans l’ombre, son sourire goguenard et ses yeux d’aciers pour seuls traits. Elle ne l’apprécie pas. Elle n’aime pas les arrivistes, les m’as-tu-vu. Elle ne comprend pas comment peut-il à ce point chercher la compagnie de ceux qu’elle fuit comme la peste ? Elle ne le comprend pas. Et comme tout ce qu’elle ne comprend pas, elle le craint, et donc ne l’aime pas. C’est aussi simple que cela. L’inconnu est effrayant, encore plus pour une jeune femme, qui, pendant trop longtemps, a vécu dans une cage dorée. Camelia n’est pas particulièrement ouverte d’esprit. C’est même plutôt l’inverse. Elle se complet dans son petit univers et pourtant, rêve de s’en échapper. Mais si elle y arrivait, serait-elle véritablement heureuse ? Rien n’est moins sûr.

Ses paupières papillonnent lorsqu’il s’approche, lion face à sa proie. Et Camelia ne hait rien plus que cela. Etre la proie et ne pas tenir entre ses doigts graciles, le pouvoir. Elle aime contrôler les hommes, les observés du haut de son piédestal, le regard impassible et le cœur implacable. Elle se veut reine de son monde, reine de cette ville traitresse.

Ses doigts se resserrent légèrement autour de sa coupe, et c’est là le seul signe de son agacement. Elle ne laisse rien paraitre. Ses lèvres restent pincées dans un sourire poli mais détaché, même légèrement boudeur. Oui, ne rien laissé paraitre. A personne, et encore moins à lui.

« Camelia. » répond-elle simplement, la voix brûlante de classe. Le menton droit, son regard cherche, parmi la foule, la figure sévère de son paternel. Il est introuvable. Et elle ne serait pas étonnée qu’il soit dans une chambrée privée, avec une femme autre que sa mère. Elle se retrouve donc seule face à ce manipulateur et sa voix doucereuse.

« Je pense que papa est bien trop occupé pour s’intéresser à mon air boudeur. La preuve en est que, s’il me tenait à l’œil, vous seriez déjà escorté dehors par la sécurité. » son ton est las. Elle lève ses yeux azuréens vers lui et une moue satisfaite finit par fleurir sur ses lèvres.

« Vous n’aimez pas ma robe ? C’est pourtant une pièce unique, je ne comprends pas, je l’ai choisie tout particulièrement pour cette occasion. » Elle est moqueuse, elle fait un pied de nez à cette société qu’elle abhorre depuis des années.

« Vous n’avez pas encore trouvé de pigeon à déplumer, ce soir, Freddie ? » finit-elle par lui demander en portant, de nouveau, son verre à ses lèvres.
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Message Sujet: Re: All the good girls go to hell (Freddie&Camelia)   All the good girls go to hell (Freddie&Camelia) Empty Sam 12 Juin - 19:56

les yeux rivés sur l'héritière, freddie laisse un rictus s'épanouir sur ses lèvres. son air désintéressé, les mots prononcés avec désinvolture. les accents polissés de sa voix pour cacher l'agacement qu'il ne devine trop bien dans les silences. le flair aiguisé, les sens en affut, freddie sent ces choses. les sentiments sombres, les émotions claires obscures. il les cultive, les attire. ne se sent véritablement à sa place qu'en leur présence.
les verres tintent derrière eux, les rires fusent. le fond sonore est doux, vise à étouffer suffisamment les conversations pour octroyer un minimum d'intimité aux convives, habitués depuis bien longtemps à un entre-soi élitiste. dans ce monde, il est peut-être difficile de se faire une place mais il l'est encore plus de quitter son siège. la jeune reiss en est l'exemple. l'ennui entrave ses traits virginaux, le rejet habille ses manières délicates. est-ce freddie ou le monde qui l'entoure qu'elle rejette avec tant d'hardeur ? sans doute les deux. il n'est donc pas le seul être bicéphale de la soirée.
et moi qui avait mis mon plus beau costume. le voilà qui soupire, une expiration à fendre l'âme. homme qui rit, homme qui pleure, le tout à tour de rôle. acteur, thespian, freddie joue tous les rôles. et en voyant la satisfaction éclore sur le visage juvénile, freddie reprend le personnage de vilain, prêt à l'éteindre du revers de sa verbe. le feu follet se penche vers l'héritière, plisse les yeux d'un air complice alors que sa voix se teinte d'un accent glacial. je n'en serai pas si sûr à ta place. quel est le plus précieux joyaux de l'homme dans ce bas monde, sa progéniture ou le pouvoir qu'il exerce ? combien d'illustres personnages ont sacrifié leur premier né pour la réalisation de brillantes chimères ? après tout, il suffit de voir son sens des priorités. freddie sait de source sûre que reiss senior n'est pas exempt de cette faiblesse. freddie le sait, et camelia aussi. freddie se redresse, prétend s'intéresser à son verre. lorsque ses yeux trouvent le chemin de la prétendue ingénue et s'attardent sur sa robe, sa voix a repris toute sa chaleur. oh, elle a tout pour me plaire. c'est sans doute ça, le coeur du problème. l'impertinent arque un sourcil sans équivoque. si elle le veut voyou, il arborera cette façade sans souci. rien ne heurte freddie, rien n'ébrèche son esprit. il a appris longtemps que refléter l'image que se faisaient les gens de lui le servait bien plus que de tenter de les convaincre du contraire. après tout, freddie n'est que le reflet du monde qui les entoure. un monde avide, déterminé et sans pitié. qu'il plaint les pauvres âmes qui dédient leur vie à changer, à travestir leur désir pour le simple but de se perdre dans la masse. freddie ne sait pas faire ça. il sait se glisser parmi les ombres, attendre. il sait observer, calculer. placer ses pions et faire danser ses pantins. il sait entrer dans la lumière, remporter la manche et empocher les gains. il maîtrise les sourires de façade, mais ne sait pas taire ses désirs pour que les autres laissent naître les leurs.
il laisse échapper un rire à l'évocation ô combien péjorative de sa présence, et surtout, de ses activités. pigeons. le terme est sans doute adapté. mais est-ce bien sa faute ? il n'est après tout qu'un ingénieux agent de change dans ce monde cupide et vicieux, qu'un humble serviteur du chaos. malheureusement, ton cher père était déjà occupé. il provoque, l'air défiant, l'oeil brillant. pose un doigt sur sa bouche, fait mine de s'interroger. était-ce une blonde ou une rousse déjà ? elle ressemblait en tout cas à sa chère assistante. freddie connaît déjà les failles du politicien, et les plaisirs de la chaire sont les plus reconnaissables. les plus exploitables aussi. mais freddie voit plus gros, et c'est pour ça que son attention est dédié à la jeune héritière, jouant avec elle comme un canari en cage. appuyant son épaule contre le mur, il se penche vers camelia, la coupant visuellement du reste de la salle. à présent seuls dans leur coin sombre, freddie laisse glisser son masque, s'adonne à une vérité. ne vaut-il pas mieux être celui qui déplume plutôt que le trophée qu'on marchande. il sait qu'elle en a conscience camelia, qu'elle est le trophée. il sait que c'est ce terrible destin qui l'accule, cette cruelle réalisation qui l'emprisonne. garde tes bonnes manières pour tes nobles pairs, cami. l'avantage de traîner avec la plèbe, c'est bien qu'on peut se laisser aller. sa voix finit en un souffle, qui effleure la joue de la jeune reiss, à moins de vingt centimètres de lui. il joue freddie, attise les fantasmes de liberté de l'héritière emprisonnée tel un charmeur de serpent.

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