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| "You can think that you're in love when you're really just engaged" | |
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| Sujet: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 0:37 |
| save the queens ---- / Aidan Pennden
27 ans ---- / ace of clubs ---- / Alycia Debnam-Carey
identité complète - Aidan Pennden lieu de naissance et origines - Pennsylvanie (ma grand-mère a voté pour la boule orange avec son drapeau de confédérée texan), démocrate, américaine - pardon, étasunienne études ou métier - Inspectrice des impôts orientation sexuelle - bisexuelle statut civil - divorcée pi, scénario ou prélien - je ruine le scénario de Manning :3
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / On me connaît comme quelqu'un de calme et réfléchi. Quelqu'un en qui on peut avoir confiance, quelqu'un qui se bat, qui n'abandonne jamais face à l'adversité. Une personne stoïque, qui laisse peu percevoir ses émotions. Une main de fer. Un cerveau rationnel, stratégique. Ça me va bien, pour mon boulot.
En vérité, derrière les rideaux, je suis une fragile. Je fais au mieux pour me montrer indomptable, car j'ai souhaité construire une carrière dans un domaine où l'impartialité est de mise. J'ai réussi à bâtir cette image de moi, mais il y a bien des soirs où je rentre, me pose devant un drame avec un verre de vin rouge et pleure. J'adore mon travail, il me fascine, mais pour parvenir où j'en suis aujourd'hui, j'ai dû tant enfouir mon côté émotionnel, que je m'en sens vide. Je m'ennuie profondément, dans cet aspect-là. Il manque l'étincelle. Je fais ma catharsis devant des feuilletons, mais ça n'a qu'un faible effet provisoire. Ça ne suffit pas. Je suis une fragile. J'ai besoin d'amour et de haine. C'est peut-être pour ça que je me suis mariée, puis que j'ai divorcé.
Je me suis toujours concentrée sur ma carrière, sauf lorsque je suis tombée amoureuse. J'ai eu peur de faire le mauvais pari, tout perdre. Mais une part de moi conserve sa détermination. Je vais aller au plus haut. Si je dois passer une vie malheureuse pour être la plus haute gradée dans mon domaine, je le ferai. Viser plus haut, c'est tout ce qui me motive à poursuivre. Je crains ce qui arrivera lorsque j'aurai atteint le sommet.
Je n'aime pas la popularité. Je suis de ceux qui agissent dans l'ombre, qui collent un tampon sur votre retard de virement avec une taxe en plus sur vos impôts non payés, de ceux qui viennent vérifier vos comptes et vous envoient le huissier si vous n'êtes pas en règles. Incapable de redresser ma vie sentimentale, je redresse fiscalement les entreprises et ménages frauduleux à la place. |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 0:37 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
Dès que je suis née, j'ai su que je deviendrai inspectrice des impôts. Bon, ça ne s'est peut-être pas passé comme ça. Laissez-moi raconter de manière simple et concise.
J'ai grandi à Climax, en Pennsylvanie. Contrairement à ce que peut laisser penser son nom, c'est un coin ennuyeux, où gagner un concours du plus gros mangeur de donuts est un événement incroyable. J'ai gagné trois fois. J'étais donc destinée, dès le plus jeune âge, à un avenir brillant.
En 1999, à l'âge de 6 ans, j'appris par mon amoureux que le drapeau, accroché dans mon salon au-dessus de la cheminée, était celui des méchants. Ma grand-mère, débarquée de nulle part, fit un malaise en découvrant James, mon petit copain d'école. James s'enfuit et ne revint plus jamais. Je compris de cette manière, en me retrouvant toute seule au milieu de deux camps distincts, que l'un était considéré comme un ennemi par ma grand-mère parce qu'il était noir, et qu'elle était pour lui dangereuse parce qu'elle était raciste. Mais moi, je voulais juste une famille et un amoureux. J'étais dépitée, et je n'en parlai plus. Je me rendis compte, plus tard, que cet événement avait causé mon silence. Depuis, énoncer mes sentiments devint compliqué. J'avais peur de vexer, de décevoir, et de me retrouver seule à nouveau. Je ne voulais plus faire face à mes émotions.
En 2003, pour mon dixième anniversaire, Papa se disputa avec Maman. Il posa les bougies sur le gâteau, avec un soin que je ne lui reconnus pas, et tendit le briquet à ma mère. Il lui dit ces mots marqués à jamais dans mon petit coeur d'enfant fragile : Tiens, démerde-toi. Et il partit. La légende raconte que ma mère se tient encore debout dans le salon, le briquet dans les mains, et que j'attends toujours mon gâteau. Au final, je ne l'ai jamais mangé. Je n'ai d'ailleurs plus jamais mangé de gâteau d'anniversaire depuis. Traumatisée, je vous dis.
Maman continua sa vie comme si rien ne s'était passé. Figée à l'époque où mon père n'avait pas encore passé le pas de la porte, elle nourrissait au fond d'elle un espoir qu'elle ne formula jamais, mais que je devinai dans ma tête le soir, quand j'allais dormir et revoyais l'image de mon petit amoureux de primaire qui était parti comme mon père. Chaque soir, j'assumais que c'était la faute de ma grand-mère (maternelle), qui faisait fuir les hommes. Même mon grand-père n'était pas resté, bien qu'il n'ait eu pour libération qu'une mort précoce. Désolée, Papy, mais faut admettre que Mamy est vachement chiante, et qu'on n'en peut plus. Alors s'te plaît, viens la chercher avant qu'elle revote Républicain à la prochaine élection. Elle le fait depuis si longtemps que je me demande si c'est pas elle qui a signé le compromis de 1850. Je lui priai souvent de le faire, mais il ne vint jamais. Pas avant mes dix-neuf ans, quand j'eus la merveilleuse idée de ramener ma copine chez moi. Je devais faire croire que ce n'était qu'une amie, pour ne pas choquer Mamy, mais contente de me revoir, elle s'immisça trop tôt dans ma chambre. Je crois encore aujourd'hui que ç'a précipité sa chute. Désolée Mamy, mais cette fois, tu peux pas dire qu'elle n'était pas de notre "bon pays". Elle était blonde aux yeux bleus, gentille, serviable, polie... je ne pouvais pas faire mieux ! T'abuses aussi.
Mamy ne m'avait pas vue depuis un an, car j'avais quitté Climax pour aller étudier à New York. Libération ! Plus de Climax, plus ce drapeau laid de la confédération au-dessus de la cheminée, plus de plat texan parfaitement épicé de Mamy - ça j'avoue ça m'a manqué, juste moi, la grosse pomme et un avenir brillant devant moi ! Joie ! Bonheur ! Liberté ! Ivresse ! Amour ! Ou pas. J'avais grandi avec un balai coincé vous savez où, et quitter Climax ne m'avait pas aidée à le faire sortir. Il me manquait quelque chose pour me sentir bien. Complète.
Vivante.
Et ça, je le rencontrai plus tard, à l'âge de 21 ans. C'est encore un peu flou, quand j'y repense. Tout est allé si vite, ça ne me semblait pas tout à fait réel. Mon coup de chance est tombé du ciel, sous une forme féminine, comme un ange, tout droit du paradis. Et c'est son nom, Heaven. Je trouvais ça drôle à l'époque, qu'elle s'appelle ainsi, que ça lui aille si bien. J'étais vraiment conne. En deux ans, je vécus plus qu'en vingt. Je me sentais si puissante que les Avengers étaient une blague à côté. Je ne me passais plus d'elle. Je voulais la garder pour moi. Au début de notre relation, je ne voulais en parler à personne. Elle était mon petit secret. Problème ? Elle est star de télé-réalité. Elle est populaire. Les gens la pointent du doigt dans la rue. J'avais peur de la perdre, alors je me laissai embarquer, et quand, par angoisse suprême de la voir me filer le briquet de son herbe et partir comme mon père, je la demandai en mariage, j'acceptai de jouer nos fiançaille à la télévision. Je me demande d'ailleurs, est-ce vraiment moi qui l'ai demandée en mariage, ou l'inverse ? J'ai joué des millions de fois nos fiançailles dans ma tête, mais je n'ai plus le souvenir clair de l'avoir vraiment fait. On a dû se dire oui sans s'en rendre compte, car ce sont souvent les erreurs qu'on commet sur un coup de tête. Mon mariage affiché à la télévision, mon petit secret avoué aux mondes entiers - le pluriel est important, car même dans mes rêves je n'arrivais plus à conserver notre intimité, scrutée par trop d'yeux, je commençai à la ressentir vivement me filer entre les doigts. Devenue inspectrice des impôts, un métier rationnel qui correspond à mes besoins de sécurité, je vivais une idylle incroyable - plus incroyable que de remporter trois fois le concours du plus gros mangeur de donuts. Mais le temps passait, et chaque jour devenait plus difficile. Heaven n'avait pas de limite, ni frontière. Elle faisait ce qu'elle voulait, quand elle le désirait, se fichait du regard des autres, contrairement à moi qui vivais dans la réserve. Elle était ce que je n'avais pas le courage d'être. C'est certainement pour ça que je l'ai épousée, et que je dus me résoudre à la quitter. C'est pour mon propre bien. C'est ce que je me suis dit. Deux ans après notre mariage, je posai le divorce comme une évidence. J'avais compris pourquoi Papa était parti. Comme moi, il avait eu peur d'être spectateur de la vie de quelqu'un qui réussissait mieux que lui, qui était tout ce qu'il voulait être et n'était pas. Maman était géniale. Papa ne pouvait pas vivre dans son ombre, et la résilience qu'il lui accordait par amour aveugle le consumait. Comme moi, il avait atteint son climax d'amour, alors il nous avait quitté. Il avait laissé sa fille derrière lui, et moi je négociai la garde de notre chien.
Le problème de cet amour, c'est qu'il est trop fort. Et je n'ai pas l'habitude de le ressentir ainsi. J'ai tout enfoui en grandissant, j'ai appris à rationaliser, à vider mon âme pour mieux avancer. J'en ai beaucoup souffert, mais je n'aurais pas réussi à obtenir une carrière stable sans cela. Mais le problème sans cet amour, c'est que je suis vide, je suis rien, ni personne, car j'ai vécu au travers d'Heaven pendant quatre ans, et que rationaliser est plus difficile aujourd'hui qu'avant notre rencontre. Le vide est plus puissant, car il s'est transformé en absence. Et pour cette raison, Heaven, je te hais. Tu as chamboulé mes idéaux, comme mes amoureux de jeunesse ont pu détruire ceux de ma grand-mère, et je sais que si je te laisse dans ma vie, je périrai comme elle. Si j'étais restée avec toi, je serais devenue toi, mais en moins bien, parce que tu n'es pas seulement tout ce que je ne suis pas, mais aussi tout ce que je ne pourrai jamais être, et qui m'a toujours chagrinée. T'es le paradis que je voulais atteindre gamine, tu es désormais mon enfer.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
Gérard / 42 ans et demi / rpgiste
ville - IDF -ouic'estuneville- études ou métier - Super esclave de supermarché, merci le(s) confinement(s) avis général sur le forum - Il a l'air beau, intéressant, et les gens ont l'air cool, mais je préfère attendre de connaître un peu mieux avant de vous juger :D le détail qui t'a fait craquer - Je sais pas trop, pour moi l'amour, c'est un tout → fréquence de connexion - en période maniaque ou dépressive ? :D Je dirais régulière, minimum 1 fois par semaine crédits des icons - google et moi ? et le photographe, et l'actrice, et le community manager qui les a partagées en ligne :') le mot de la fin - bonne année ! - Code:
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[b]Alycia Debnam-Carey[/b] / [i]Aidan Pennden[/i] |
| | | Terrence Figueroa;
-- défaite de famille -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
nick hargrove. all souls. 4339 1299 29 le coeur volage à l'image de ta vie. tu glandes quand tu n'te la joues pas, tour à tour, serveur, ou vendeur dans une station essence. jusqu'à t'implanter dans les écrans de la télé-réalité. oksana - shaye (3) - toi ? - toi ? - toi ?
| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 1:01 |
| bienvenue à toi sur stq. |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 8:47 |
| Bienvenue ! Au risque de me répéter, je suis en admiration devant le pseudo et sous le charme du faceclaim choisi, donc tu as mon entière bénédiction (il n'y pas qu'Heaven qui en fait des tonnes, visiblement ). Je suis aussi déjà sous le charme de ton humour, je pense qu'on va carrément s'entendre, n'est-ce pas Gérard Je valide carrément cette présentation, certains sujets sont même vraiment pertinents et totalement dans l’ère du temps, j'ai vraiment hâte d'explorer les divergences en tous genre de nos deux personnages. J’apprécie aussi que tu ne « romantise » aucunement leur relation qu’on comprend tout à fait dysfonctionnelle et abusive. Aidan est par ailleurs un personnage vraiment prometteur que j’ai hâte de découvrir en jeu. - Spoiler:
J'ai beaucoup aimé le fait que tu abordes le départ de son père sous le versant de la psyché. Ayant toutes deux perdu leur père de façon brutale, je pense que cet évènement aurait pu vraiment les rapprocher même si Heaven (= je prends tout ce que je veux parce que tout peut disparaître du jour au lendemain) a pris un tout autre chemin qu'Aidan (= je me complais dans les relations abusives de type amour/haine) sur le plan des sentiments amoureux et la façon d'aborder la vie notamment. Je ne peux pas m'empêcher de te citer : - Citation :
- je crois encore aujourd'hui que ç'a précipité sa chute. désolée mamy, mais cette fois, tu peux pas dire qu'elle n'était pas de notre "bon pays". elle était blonde aux yeux bleus, gentille, serviable, polie... je ne pouvais pas faire mieux ! t'abuses aussi.
Et encore, mamy n'a pas rencontré Heaven, là elle aurait fait un infarctus je pense - Citation :
- (…) quand, par angoisse suprême de la voir me filer le briquet de son herbe et partir comme mon père
Tu la connais si bien J’ai adoré les petites subtilités de ta fiche (le double usage du mot climax, les références au briquet à différents stades de sa vie et aux différentes significations, etc.), le tout en finesse. Sinon, pour le coeur du sujet : Ce que tu as développé au sujet de la relation avec Heaven est incroyable car c’est exactement ce que j’avais imaginé. Comme tu as parfaitement saisi l’ironie de son prénom, j’ai adoré la référence « t’es le paradis que je voulais atteindre gamine, tu es désormais mon enfer ». Sous ces airs un peu gauche et décalée, les gens ont effectivement tendance à l’idéaliser mais je crois qu’Aidan est peut être la seule personne à la connaître/voir réellement (et à subir son comportement qui amuse à la télévision mais qui use au quotidien dans la vie réelle). C’est la représentation exacte de la relation que j’imaginais entre elles : abusive, pleine de paradoxes… elle va totalement dans le sens du « elles font ressortir le pire chez l’autre », puisqu’Heaven est sa « drogue », Aidan a tendance à accepter tout et n’importe quoi (plus de limites) venant de son ex (qui par extension n’a plus de limites non plus). Je suis à court de mots mais c’est vraiment parfait.
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 9:02 |
| pfiou, ce caractère, cette histoire, il y a quelque chose de terriblement subtil dans ce personnage, c'est rafraichissant Bienvenue |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 10:05 |
| hanw, toi. j'ai dévoré ta fiche, genre, c'est trop, trop agréable de te lire. +1 pour ton humour et celui caustique de aidan, je sens que je vais adorer suivre ce personnage. puis avec heaven aussi, vous allez envoyer du lourd. bienvenue chez toi ! alycia est aussi un super choix. amuse-toi bien. |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 10:27 |
| Ooooh quel joli minois et quel beau début !! Bienvenue sur STQ |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 12:46 |
| bienvenue sur stq |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 12:46 |
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| Sujet: Re: "You can think that you're in love when you're really just engaged" Jeu 12 Nov - 13:10 |
| Merci à tous pour ce bel accueil Il vaut mieux qu'on s'entende bien @Heaven Manning, pour ne pas traumatiser notre chien. Heureuse que la fiche te convienne. Je l'ai donc signalée en terminée. - Citation :
- et encore, mamy n'a pas rencontré heaven, là elle aurait fait un infarctus je pense
C'est clair Mais bon, on sait pas, peut-être qu'elle regardait l'émission et l'adorait Climax est vraiment une ville de Pennsylvanie, je pouvais pas ne pas l'utiliser. Je suis sûre que c'est eux qui ont mis vingt ans à compter les derniers votes. Ce genre de relation me fascine, car on se dit qu'on ne sera jamais assez bête pour tomber dedans, mais on ne sait jamais au premier abord que cette relation sera ainsi. C'est ainsi que je le perçois pour Aidan. Elle pensait vraiment avoir trouvé l'âme soeur, la personne parfaite pour la compléter, alors qu'elle s'est laissée emporter, non pas uniquement par amour, mais par besoin affectif. Ce que tu m'as raconté sur la personnalité d'Heaven m'inspire pas mal, et j'ai hâte de voir ce que ça va donner en RP. |
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