Chapitre I: les belles retrouvailles PV: Luis&Vic

-Disons simplement que tu ne paie rien pour attendre … des menaces ? De sa part ? Cela m'offensait au plus haut point. Et dire qu'auparavant, nous étions amis ? Enfin, l'avions-nous été? Peut-être. Ou pas. À vrai dire, j'étais incapable d'y répondre à cette question. En toute franchise, je l'ai toujours vu ou dirais-je plutôt, je l'avais toujours considéré comme un pigeon facile à le déplumer.

Cependant, j'étais curieuse, voir même, j'en avais presque hâte de le voir à l’œuvre. Serait-il capable d'être un méchant loup ? Il savait éperdument à qui il avait affaire, et qu'il était difficile de m'atteindre.

« Mon chou, tu vas te calmer oui !!!? »

Mieux vaut faire l'amour que la guerre diront-on. Quoique, je ne crois pas que mon charme aura encore de l'effet sur lui, et surtout, qu'il ait encore envie de moi après tout ce que j'ai pu lui faire. Dommage!!! Moi qui adorais son petit monstre, j'allais devoir m'en passer et faire mon deuil.

D'ailleurs, j'avais essayé de l'embrasser, de poser mes douces lèvres sur les siennes, mais rapidement, aussi fou que cela puisse paraitre, Luis prenait le contrôle de la situation. Il m'avait saisi par la gorge - sans me faire mal - bien évidemment. Ce n'était aucunement son but!

Je le laissais faire pour son plus grand plaisir. Il voulait dominer, alors pourquoi le priverais-je?

« je suis sincèrement profondément désolée d'avoir été une très vilaine petite fille-fille »

Dis-je avec une bouille d'enfant attristée. Cela n'avait rien de très sincère, mais il tenait à l'entendre dire, donc, disons-le.

Il me poussait gentiment, et visiblement avec méfiance, il n'osait pas prendre mon verre. Que croyait-il? Que j'avais mis un poison? Pourquoi le ferais-je? Si, j'avais eu envie de le tuer, je l'aurais fait depuis bien longtemps.

Puisque j'avais foiré mon coup de séduction, je m'asseyais sur le rebord de son bureau, les jambes croisées et oui, c'était bien plus fort que moi, je le dévorais des yeux;

« regagner ta confiance? Comment veux-tu que je m'y prenne? L'agent, visiblement, tu refuses, mon corps, de même alors tu veux quoi au juste? »

Il était temps d'être sérieuse, et je l'étais cette fois-ci. Je finissais mon verre et de nouveau, je m'avançais vers lui, en gardant une distance. Il était de temps de parler affaires.

« Si tu acceptes de brosser pour moi, ce sera à tes propres règles. Dis-moi ce que tu veux, et j'exécuterais tes ordres.. Tout ce que je demande, c'est que tu mets à profit ta créativité et tu contribues à créer des astuces pour que je puisse continuer ma petite affaire »

Je parlais bien évidemment de son entreprise d'import/export. Il était bien plus malin qu'on pourrait le croire et je suis certaine qu'avec lui, je pouvais faire de grande chose.

« Ici, je ne parle pas d'arnaquer les gens. C'était marrant, je me suis bien amusée, mais je préfère jouer dans la cour des grands. »

Mes cargaisons de drogue n'attendaient que lui, désormais!!!

« Crois-moi, mon chéri, tu ne le regretteras pas ! Ce qu'il y a dans la valise, ce n'est qu'un petit aperçu ... Un amuse-gueule. »

Chapitre I

Victorya Cruz

Luis, il n'a pas facilement peur des gens, il sait que quoi qu'il fasse, il finira toujours par s'en sortir. Il n'a jamais craint qui que ce soit parce qu'il a toujours réussi à manipuler les bonnes personnes pour s'en sortir. Seulement, cette femme ... c'est tout autre chose. Il la connait, il connait également ses méthodes et elle est sans doute la seule personne au monde qui puisse lui faire peur. Elle est dangereuse aussi manipulatrice que lui mais elle use de méthode violente pour arriver à ses fins. Victorya c'est quelqu'un de réellement malsain mais pourtant il avait éprouvé énormément de plaisir à travailler auprès d'elle. Il avait aimé sa compagnie, aimé partager son lit mais beaucoup moins le gout de la trahison. Il savait pourtant ... entre eux ce n'était pas réel juste utile le temps d'une arnaque. Il la menace mais doit elle seulement ce méfier de lui ? Peut être ! Elle est tellement persuadé que rien ne peut l'atteindre, elle trône avec sa couronne mais la chute peut fatal pour elle si jamais elle trouve un adversaire à sa taille. - Tu te crois trop intouchable Victorya, ça finira par te faire défaut. Et il serait certainement le premier à ce réjouir de sa chute. Nullement touché par sa petite tentative de charme, il la force à reculer en venant saisir sa gorge sans serrer juste pour la faire reculer et lui faire comprendre qu'il n'est plus du tout sensible à son charme ... ou presque. Il prend rapidement de la distance avec elle, refusant son verre ainsi que son argent.- Oh arrête t'en pense pas un mot ! Elle n'est pas désolé, elle agit ainsi continuellement, dans son propre intérêt tout comme lui.

Comme toujours, ce n'était pas une visite de courtoisie. Vic avait une idée bien précise en tête et elle avait besoin de lui, besoin de ses talents et de son entreprise pour ses petites affaires. Il comprenait mieux le sens de sa présence ici. Mais quoi qu'il en soit, Luis n'était pas vraiment prêt à lui pardonner ou peut être qu'il pouvait faire un compromis mais il voulait la faire ramer avant. - Muh ... c'est toi la plus maligne de nous deux alors tu devrais trouver. Creuse toi les méninges. Suggère t'il le sourire sur le coin des lèvres. - C'est une proposition intéressante ... ma fois. Souffle t'il l'air pensif comme si il était réellement en train d'écouter sa proposition, en train de la prendre au sérieux. L'argent ... avec elle il était certain d'en gagner une belle somme mais ça voulait également dire qu'il prenait le risque de tous perdre en retour. - Qu'est ce qui me dit que tu ne vas pas me bazarder comme tu l'as déjà fait ? Il ne lui fait pas confiance mais la proposition l'intéresse malgré lui. Après s'être servis un autre verre, il en boit une bonne gorgée, écoutant toujours d'une oreille attentive. Il avale ce liquide ambré tout en restant silencieux mais la voix de la sirène commence légèrement à l'envouter. - Cinquante cinquante, je suis au courant de tous et tu ne fais pas cavalière seule ! Si je coule tu coule avec moi. Ce sont les conditions. Lâche t'il finalement

(c) DΛNDELION

Tu te crois trop intouchable Victorya, ça finira par te faire défaut. ... Peut-être ou peut être pas. Pour le moment, je m'en sortais plutôt pas mal contrairement à lui. Dois-je lui rappeler qu'il a failli moisir en prison pendant que moi, je prenais du beau temps, en savourant un bon cocktail sur une plage paradisiaque? J'avais une guerre d'avance sur lui, et j'avais même un arsenal qui couvrait mes arrières alors honnêtement, non, je ne craignais rien. Tôt ou tard, je sais que mon règne prendra fin, mais, pour son plus grand malheur, ce n'était pas près d'arriver.

Je lui adressais un large sourire jusqu'aux oreilles, sans pour autant répliquer. Il savait ce que je pensais, et rien qu'à mon sourire, il avait la réponse à tout ... Tout comme, mes plâtres excuses.

Néanmoins, je ne pouvais nier le fait que sur ce coup, il avait raison... Totalement raison. Mes excuses, je n'y pensais pas un seul moment, et puis, pourquoi devrais m'excuser ? Il s'en est sorti, alors pourquoi dramatiser tout ça !?

Si maintenant, cela lui avait valu des années de prison, là, je devais l'admettre que des excuses n'auraient pas été suffisantes. Puis, en toute franchise, ce coup bas était calculé d avance. C'était uniquement une mise à l'épreuve et il avait réussi haut la main. Désormais, je savais que je pouvais lui faire confiance d'où ma venue et ce dont je comptais faire de lui. Un fidèle associé.

Toujours en le fixant, je lui montrais de ma main gauche

« Il n'y a que deux choses que tu aimes dans la vie, » je soulevais mon pouce pour faire le nombre un. «premièrement, l'argent.... » Ensuite, de mon index pour faire le nombre deux « et le sexe alors non honnêtement, j'ai beau me creuser les méninges comme tu le dis si bien, je n'ai pas tellement de bonne proposition intéressante à te fournir... »

Alors que je m'approchais de lui davantage, et ce, en gardant toujours ce sourire diabolique.

Qu'il le veuille ou non, je le connaissais bien trop et je savais que ces deux choses-là, c'était ses petites faiblesses...

«Et bien, je ne sais pas »

Vais-je le bazarder une fois cette affaire terminée ? C'était une bonne question, une question piège parce que .. merde ... je ne savais pas quoi y répondre.

« Cela dépendra de tout ! Si tu me conviens, je te garde, si pas, eh bien, je serais dans l'obligation de te tuer. Comment ? Ça !!! »

Alors que je ne cessais de m''approcher de lui, vicieusement, je passais les bouts de mes doigts sur son chemisier, carrassent ainsi son ventre.

« Avant que je ne plante mon couteau pour t'éventrer comme un porc, je couperais d'abord un bon petit souvenir que j'aime tant! »

Sans lui faire mal, je plaquais doucement ma main sur son entre-jambes. Son pénis pourrait rejoindre ma belle petite collection privée.

« Le coup de pute que je t'ai fait, ce ne sera rien comparer à ce que je peux te réserver si jamais, tu oses me doubler, me trahir, me dénoncer, ou que sais-je encore ? Compris ? »

Ma main abandonnait son entre-jambes pour venir se coller contre sa joue

« Donc, ce n'est pas moi que tu devrais plus crainte, mais toi ! »

Au moins, il savait à quoi s'attendre. Le moindre faux pas, je le tue ... Plus honnête que ça, je ne pouvais pas être... Mais comme dit, tout dépendra de lui. S' il fait ce que je lui demande, tout se passera bien.

«Cinquante Cinquante ? Non, jamais !!! Je payerais en conséquence, et à ton travail fourni. »

Pour le reste, je coule, il coule ... Je doute, mais faisons comme si, je n'ai rien entendu.

«Fin de semaine, il va avoir une très grande quantité de cocaïne qui doivent partir pour l’Europe, tu me gères ça, tu fais en sorte que cela arrive à bonne destination, et après, seulement, nous pourrions discuter du salaire qui va très certainement chiffrer haut, ok ? »

Il est très rare que je paie avant que je sois certaine que le travail a bien été fait... Alors qu'il tenait toujours son verre dans sa main, je la lui enlevais pour ensuite, venir déboutonner un par un par son chemisier.

«Et en prime, tu peux m'avoir quand tu veux ... Dès que tu le souhaites, je serais à toi !!! Affaire conclue? »

Chapitre I

Victorya Cruz

Elle ce sentait trop intouchable. Alors oui, elle avait les moyens de ce défendre. Rien ni personne ne peut l'atteindre oui, parce qu'elle est en sécurité dans sa tour d'ivoire. Ça a toujours été ainsi pour elle. Femme fatale, femme d'affaire que rien ne peut atteindre. Jusque' à ce qu'il trouve une faille dans son système, une seule faiblesse et ce serait la chute pour la reine ainsi que son empire. Pour l'instant, Luis n'avait pas encore trouvé le point faible de Victorya. Peut être qu'elle n'en n'avait pas et il l'admirait pour ça ! Elle n'avait personne dans sa vie, donc aucun handicap, elle n'aimait personne à par elle même et son argent. Tous ce qu'elle possède ce ne sont que des objects qu'elle peut remplacer dès que l'envie lui chante. Son empire sans doute ... ça reste son seul point faible. Si tous venait à ce briser ... peut être qu'elle tomberait avec ? Serait il en train d'envisager de la trahir ? Il est du genre rancunier Luis, surtout après avoir perdu aussi gros. Il est suffisamment malin pour savoir qu'il ne faut pas affronter la diablesse de front, il ne faisait pas le poids et ça il en avait pleinement conscience. Il devait contourner, aborder la chose d'un autre côté et peut être gagner sa confiance avant de la briser sans qu'elle ne puisse le voir venir.

Amusé, il la contemple avec un certain intérêt soudainement. Elle voulait faire une nouvelle alliance. Elle avait besoin de lui pour agrandir son empire. Muh ... il y avait toujours le risque qu'elle ce retourne contre lui, comme à Vegas. Il n'est pas tranquille et il sait ce qu'il risque si jamais il accepte ce partenariat avec elle. - Deux plaisirs simples ... Le sexe et l'argent. Il n'avait pas besoin de plus. - Tu me déçois ! Aurait tu perdu la main ? Souffle t'il alors qu'elle ce rapproche de lui. - Et tu crois sincèrement que je vais accepter de te suive si tu menace de me tuer maintenant ? Tu es douée pour beaucoup de chose Victorya mais pas pour la négociation. Lui balance t'il alors qu'elle ne cesse d'approcher de lui, cette sensation désagréable que cette fois c'est lui, la proie. Arquant les sourcils, un sourire en coin ce dessine sur les lèvres du séducteur, nullement effrayé par ses menaces. - Séparé de son propriétaire, ça ne vaut plus grand chose. Répond t'il en souriant un peu plus, ce penchant légèrement vers elle. - Loin de moi l'idée de vouloir te trahir, d'ailleurs nous n'avons toujours pas conclu quoi que ce soit alors va y doucement avec les menaces.

La main de la diablesse vient ce poser contre sa joue, un contact loin d'être agréable. Il avait juste la sensation qu'elle cherchait juste à apposer sa marque sur lui. Luis, il n'appartient à personne et surtout pas à elle. Il la laisse faire pourtant, appâtant la brune d'un sourire charmeur.- Une partie de son business dépend de moi alors je serais toi, j'irais doucement avec les menaces de mort. Je ne t'ai pas encore dit oui. Une première proposition qu'elle refuse. Elle ne voulait pas faire cinquante cinquante avec lui. Reculant d'un pas, il hausse légèrement les épaules. - Non je crois que tu n'as pas compris ... je ne suis pas ton larbin ! On traite d'égale à égale. Sinon il refuse, il n'est pas son pantin qu'elle manipule selon son bon vouloir. L'air réfléchis, il l'écoute sans pour autant prendre très au sérieux ce qu'elle lui dit, jusqu'à ce qu'elle parle du salaire. Un montant plutôt impressionnant même si venant d'elle ... il sent le piège. Un soupir s'échappe d'entre ses lèvres alors qu'elle s'approche pour déboutonner sa chemise. - Je vais y réfléchir ... Dit il simplement sans lui donner de réponse précise. Mais une fois encore, il ce détourne d'elle, amusé de mener le jeu cette fois. - Je te contacterais quand j'aurais pris une décision.

(c) DΛNDELION

« Et tu crois sincèrement que je vais accepter de te suive si tu menace de me tuer maintenant ? Tu es douée pour beaucoup de chose Victorya mais pas pour la négociation. » Humm ! Vous savez, nous pouvons obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver, qu'avec un mot gentil tout seul. Bon, il va de soi que je ne comptais pas sortir une arme et le menacer, mais, si je devais le faire, le ferais-je ? Oui. Bien sûr. Bien sûr que oui. Qu'est-ce qu'il m'en empêcherait ? Notre ''passé'' ? Là aussi, c'était mon point fort.

La règle numéro un pour tenir un tel empire : Ne jamais s'attacher... C'est bien pour cela que je me suis jamais autorisée à tomber amoureuse, parce que non seulement l'amour est une faiblesse, mais elle peut te détruire à tout moment. Quant à l'envie de fonder une famille, avoir des enfants, des mini moi, cela ne m'a jamais traverser l'esprit ... Puis, je ne ferais pas une bonne mère. Et avoir un enfant dans le monde dans laquelle, je vis, c'est comme servir mon coeur sur un plateau. Ce serait totalement fou !!

«Tu sais mon chou, parfois, je me sens comme Déesse... Quand je commande de tuer quelqu'un, il meuuuurt le jour même. » Disais-je avec un regard perçant. « Ceci dit, je ne te menace pas vraiment ... Je te fais juste un petit aperçu de ce que je pourrais te faire – si jamais – dans ta bonne petite conscience, tu venais à jouer le héros qui anéantit la méchante... » Pour moi, on avait déjà conclu, et c'était déjà trop tard pour lui ! Il ne pouvait pas refuser mon offre et je sais éperdument qu'il ne le fera pas sinon pourquoi serais-je venue si je doutais ? Il voulait que je m'agenouille devant lui pour le supplier ? Il était mal barré .. Les seuls moments où je pourrais dire que je m'agenouille devant un homme, c'est ... censuré. Sorry « On va dire plutôt que c'est prévention.. OK ?»

Est-il rassuré ? Ce je doute fortement aussi. Mais bon, il va falloir du temps pour qu'on retrouve cette alchimie entre nous, et cette confiance qu'on avait.

Je tenais à notre collaboration, et j'étais persuadé que nous allons faire de grande chose ensemble, et c'est donc pour cela que je ne lâchais pas l'affaire. Je le voulais ... et je l'aurais.

Néanmoins, ma tactique de séduction ne fonctionnait plus aussi bien qu’auparavant. Je crois que pour ce soir, j'allais devoir me trouver un autre larbin pour subvenir à mes besoins sexuels.

D'un sourire toujours aussi provocateur, et ce regard qui en disait long, je ne pouvais m'empêcher de lancer des pics.. C'était dans ma nature.

«Wôw, et bien, tu as retrouvé tes petits boules véritablement » autrement dit, ces couilles. il osait me tenir tête, et me faire face – ce que beaucoup d'hommes n'ont jamais osé. Sur ce coup, il bravait le courage « Réfléchis-y bien !!! Parce que tu n'auras pas une deuxième opportunité comme celui-ci. » Je m'avançais non pas vers lui, mais vers son bureau une fois de plus, et je prenais un bout de feuille et un bic. «Je te laisse mon nouveau numéro » une fois le numéro inscrit sur ce bout de papier, je me retournais vers lui «Je te laisse 48h pour te décider ... Passez ce délai, ce contrat sera considéré comme nul et non avenu » alors que je passais à côté de lui, je ne pouvais m'empêcher de lui donner une bise sur sa joue, avant de me diriger vers la porte de sortie. « Cela fut un réel plaisir de te revoir, mon chou »

Je ne voulais pas négocier plus. Je prenais un gros risque d'agir de la sorte, et de tenir tête, mais il n'avait pas à crainte. J'allais faire de lui un homme extrêmement riche malgré tout !, et même si, je ne le disais pas, il n'était pas un larbin, loin de là.

Puis, je voulais avant tout, voir ce qu'il avait dans les tripes. Je ne pouvais pas me permettre de lui octroyer la moitié en ne sachant pas ce qu'il valait. Entre nos jeux d'arnaque, et transiter de la drogue, ce sont deux mondes totalement différents. Pourtant, au fond de moi, je savais bien qu'il allait gérer ça d'une main de fer, mais, de mon expérience, il ne faut jamais considérer comme acquise une chose avant de l'avoir en sa possession. Il devait faire ses preuves, et après, éventuellement, j'accepterais d'autres négociations.

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