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| if you’re my gift - quarya | |
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| Sujet: if you’re my gift - quarya Jeu 16 Jan - 12:53 |
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C’était comme un rêve. Un rêve des plus merveilleux avec une femme des plus merveilleuses. Elle ne savait pas vraiment ce qu’il se passait dans son coeur, mais elle savait qu’elle en devenait toujours un peu plus dingue, de sa belle étudiante, de sa petite fée qui trouvait toujours le moyen de la faire sourire même quand rien ne s’y prêtait. Et sa gentillesse... le simple fait qu’elle l’ait invitée voulait dire beaucoup, pour la quadragénaire, qui n’en revenait pas d’avoir une véritable fête de noël. ce n’était pas la plus parfaite, pour quelqu’un d’extérieur à ton histoire. Il y avait des tensions, des secrets, des drames cachés et des haines non dites. Une mère trop protectrice envers son enfant que tu ne savais qu’aimer, encore et encore, une amie qui savait les deux secrets que tu cachais, à propos de ton mari, à propos de ton bourreau. Il y avait trop de facteurs pour nuire à la fête, mais tu n’avais jamais pu fêter noël, tu n’avais jamais été aimée, auparavant. Alors pour toi, Quinn, c’était la plus belle fête de ta vie. D’autant plus que jamais ta belle petite muse ne te lâchait. et grâce au sourire d’Arya, elle était pleinement satisfaite. Entendre son merveilleux rire, sentir sa main dans la sienne... c’était parfait. Alors lorsque le soir fut venu, et qu’elles purent se retrouver seules, dans la chambre, il y eut l’euphorie, il y eut le bonheur. Un « bonne nuit » qui avait été lancé quelques temps plus tôt, l’impression de gêner les autres, et pourtant... pourtant, elle était là, avec Arya. Quinn n’en revenait pas. Elle était là, elle était avec sa belle, devant le lit, son regard finissant par se noyer dans celui d’Arya. je suis contente que ce soit fini... commença-t-elle, ses mains ne pouvant pas s’empêcher de venir remettre en place une mèche de sa belle, avant de la caresser le plus tendrement possible, ses joues toujours aussi douces, rougies par l’alcool, ou par le sourire qu’elle lui donnait. Comment pouvait-on être aussi belle ? Arya était une déesse. Sa déesse. Et si l’obsession avait débuté cette relation, et si les mensonges existaient pour le bien être de cette relation, c’était désormais des yeux plein d’amours qui dévoraient Arya. parce que je peux enfin... elle ne termina pas sa phrase. Comment aurait-elle pu, ses lèvres se retrouvèrent plaquées contre celles d’Arya, un baiser qui attendait depuis si longtemps, un baiser qui lui montrait à quel point elle n’en pouvait plus... elle avait besoin de son contact, elle avait besoin de ses lèvres, de son amour. Et ses lippes trouvant leurs jumelles, elle ne sut se détacher qu’au bout de longues secondes, pour fondre à nouveau en la voyant, incapable de ne pas recoller sa bouche à la sienne. noël n’avait jamais été une belle fête, pour toi. Noël avait toujours été une horreur de plus, des coups en plus, ton corps utilisé par un monstre, pour assouvir des besoins. Noël, c’était l’occasion de te rappeler que personne ne t’aimait, que personne ne te voulait. Et pourtant, là, c’était tout le contraire. Arya te voulait, elle te le montrait. Elle t’avait invitée. Elle t’avait demandée. Désirée. Pour la première fois de ta vie, noël était un beau moment. et elle avait tellement peur de le gâcher, tellement peur de le salir. Elle ne savait même pas si le cadeau qu’elle avait pris pour sa muse lui plairait. Elle n’avait pas pu résister. et tu ne savais pas non plus quand lui offrir. Le soir ? Ou le matin ? il s’agissait d’un collier. Ce n’était pas grand chose, une lune découpée en un croissant et une ronde. Deux chaînes. Elle pouvait choisir de porter le croissant, la presque pleine, ou la pleine. Il s’agissait d’une façon de lui montrer qu’elle l’aimait, d’une façon de lui montrer qu’elle était la plus belle chose au monde. Parce qu’arya était sa lune. et alors que tu goûtais à ses lèvres tout en la gardant contre toi, tu pus te rendre compte que ses yeux étaient en train de te dévorer du regard. j’ai quelque chose sur le visage ? demanda-t-elle, curieuse, un sourire posé sur ses lèvres. je veux dire... à part tes jolies lèvres... elle tentait de plaisanter, même si elle n’était pas très douée. était-ce bien grave ? Le principal était qu’elle s’ouvrait, qu’elle s’amusait, qu’elle profitait de ce merveilleux cadeau que lui avait fait Arya en l’invitant. Jamais elle ne pourrait l’oublier.
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Ven 17 Jan - 15:50 |
| i never thought that you would be the one to hold my heart, but you put your arms around me and i'm home. -- @quinn ziegler Quinn. Quinn, dans cette chambre, avec elle. Quinn, dans ce chalet, avec sa famille. Sa mère, son oncle, et même son père. Une invitation qui s’est faite sans grande réflexion, guidée par une pulsion, par une envie de choyer cette femme qui entre de plus en plus dans son cœur. Guidée par la peur qu’elle se retrouve seule, le soir de Noël. La peur qu’elle se retrouve triste, le soir de Noël. T’as sauté le pas, Arya, en lui demandant de te rejoindre. T’as donné, sans même le vouloir, une preuve de l’attachement que tu commences à lui porter. Parce que tu n’aurais certainement pas pris cette peine, pour une personne sans importance à tes yeux. Parce que tu n’aurais certainement jamais osé la présenter à ta famille, fermée comme tu l’es si elle ne comptait pas un minimum pour toi. Elle a surpassé sa gêne. Surpassé les potentielles questions des personnes qu’elle aime. Pour Quinn. Pour Quinn et uniquement pour elle. Et son sourire, ce soir, t’a confirmé que t’avais fait le bon choix, Arya. Confirmé que t’avais eu raison de la garder à tes côtés. Et l’espace d’une soirée, elle s’est permise d’oublier toutes les questions qui se secouent dans son esprit. Elle s’est laissée aller, perdre le contrôle, pour une fois, une seule. Profiter sans penser. Profiter sans se refreiner. Profiter d’une belle soirée, magnifique soirée, qui n’a lieu qu’une fois par an pour venir illuminer les cœurs. Et lorsqu’elle touche à sa fin, c’est naturellement qu’elle regagne sa chambre. Cette chambre qu’elle n’occupera pas seule, ce soir. Parce qu’une fois de plus, tu la gardes à tes côtés, Arya. Peu importe les interrogations que cela pourrait soulever. Tu la gardes à t’es côtés, t’assurant qu’elle se sente bien. Et, fermant la porte derrière elles, elle ne peut qu’échapper un rire, en entendant les paroles de sa brune. - Ah oui… C’est ce que tu attendais… ? Les bras de l’étudiante se glissent alors autour des épaules de Quinn, autour de sa nuque, se laissant embrasser avec passion. Un baiser qu’elle prolonge, lèvres contre les siennes, puis encore un autre, ne souhaitant pas se détacher. T’as présenté Quinn comme une amie, ce soir, Arya. Une simple amie aux yeux de ta famille. Une amie que tu n’aurais jamais pu embrasser devant eux. Et elle ressent pourtant de plus en plus, ce besoin, qu’a Quinn d’être avec elle. De la toucher. Se la sentir. Elle le ressent de plus en plus, peut-être parce que leur relation prend de l’ampleur, monte en intensité. Signe qui s’est imposé à elle, lorsqu’elle s’est retrouvée confrontée à une Quinn complètement déboussolée, ayant peur de la perdre, des jours plus tôt à l’hôpital. Plongeant de nouveau son regard dans le sien, elle répond le plus naturellement du monde à sa question. - Oui. Tu as ce sourire magnifique. Belle. Elle est toujours belle, Quinn. Qu’elle soit soumise aux joies ou aux peines, elle est toujours aussi belle. - Tu as passé une bonne soirée ? Tu avais l’air assez à l’aise avec ma famille… Caressant doucement son bras, elle attrape sa main presque machinalement. Désireuse de savoir ce qu’elle ressent, après cette soirée. Ce qu’elle ressent au plus profond d’elle. Car le fait est qu’il s’agit bien de la première fois qu’elles ne sont pas uniquement toutes les deux. Qu’elles se retrouvent à passer une soirée ensemble, accompagnées d’autres personnes. Et également la première fois que tu la fais véritablement entrer dans ta vie, Arya.(c) calaveras. |
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Sam 18 Jan - 7:36 |
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Oui, c’était ce qu’elle attendait. C’était ce qu’elle avait attendu durant toute la soirée, l’occasion d’enfin pouvoir goûter les lèvres de celle qui faisait battre son coeur, de celle qui la rendait vivante, de celle qui l’avait sauvée, un nombre incalculable de fois. Arya, la fée qui veillait sur elle, son ange gardien qui était maîtresse de ses pensées, qui était reine de son âme. La femme qui apparaissait dans son coeur lorsque son mari était violent, la volonté de lui résister pour cette étincelle au doux visage, au doux sourire, à la peau si chaude, lorsqu’elle la serrait contre elle. et contre elle, contre ses lèvres, tu te sentais enfin pleinement toi-même. C’était comme si elle avait ce pouvoir, Arya. Celui de t’apaiser, avec un rien. Celui de te calmer, avec un sourire. dans ses bras, elle se sentait chez elle. était-ce étrange ? Elle n’en savait plus rien, se sentait juste confortablement installée lorsque son ange la serrait. C’était comme si sa présence pouvait la réconforter en chaque instant. Comme si il n’y avait qu’un seul endroit dans lequel elle se sentait en sécurité, dans ses bras. Et avec un sourire, elle lui avoua oui... oui c’est ce que j’attendais... je... elle ne savait même plus comment terminer sa phrase, laissant ses lippes parler pour elle, laissant les baisers prendre le contrôle de cette soirée, alors que l’une de ses mains restait contre la joue de sa belle, que l’autre descendait le long de son flanc. Sa belle princesse, qui ravivait la flamme de son coeur. avec elle, c’était un rêve. A chaque fois que tu étais avec elle, c’était un rêve. Un rêve qui combattait le cauchemar du quotidien. Un rêve qui t’emmenait dans un monde parallèle, une parenthèse juste pour vous deux. et la peur de l’avoir perdue quelques jours auparavant était toujours présente. Chaque baiser semblait plus fort, plus passionné, comme pour lui montrer à quel point elle avait besoin d’elle, à quel point elle avait eu peur. Les flammes avaient failli emporter son ange, et désormais, celle de son coeur était moins prudente. Et elle se retenait moins, de poser ses mains sur son corps, de poser ses lèvres sur les siennes, de lui montrer combien elle était importante. Et elle avait un peu peur, oui... parce qu’elle se dévoilait plus, et que le mot « amie » revenait toujours dans sa tête. Mais elle ne pouvait pas se laisser prendre par la spirale infernale de ses pensées, elle devait faire fi de ses paniques, pour montrer à Arya combien elle était importante. Et belle. Et douce. Et fabuleuse. il est sûrement moins beau que le tien... répliqua-t-elle face au compliment de sa fée. Parce que d’elles deux, la magie opérait pour son étudiante, lui accordant la splendeur des dieux. Elle aurait pu être le modèle pour les plus grands écrivains, qu’ils n’auraient pas été capables de rendre justice à sa beauté. Parce qu’arya était une véritable déesse, une divinité qui semblait s’être introduite dans son âme, dans son coeur... ce même coeur qui battait la chamade, alors qu’elle gardait la belle dans ses bras, répondait à sa question. je dois bien jouer la comédie alors. elle rit doucement, avant de caresser les lippes d’Arya de son pouce. j’ai passé une bonne soirée, oui... mais je n’étais pas vraiment à l’aise... il faut dire que... j’avais des regards assez... angoissants. Mais j’espère avoir fait bonne impression. elle sourit de plus belle. et puis... que tu sois à mes côtés ça... ça m’a vraiment fait du bien. Je pourrais tout affronter, avec toi. elle rit à nouveau, avant de l’embrasser une nouvelle fois. c’était une vérité, et un mensonge. Jamais tu ne pourrais vraiment affronté le mari qui martelait ton corps de coups, pourtant il n’y avait qu’avec Arya que tu te sentais forte. Sans elle, il n’y avait plus cette force, il n’y avait plus aucune confiance, il n’y avait plus qu’une femme détruite. et elle voulait la remercier, en ce jour. La remercier de lui avoir sauvé la vie, la remercier de lui donner de son attention, de son amour... d’ailleurs... elle se recula jusqu’à aller chercher son manteau laissé à l’entrée de la chambre, et dans la poche, elle vint chercher un petit paquet. je ne sais pas quand je devais te l’offrir... elle revint aux côtés de sa nymphe, un petit boîtier dans la main pour le lui remettre, en profitant pour caresser ses belles mains. mais je crois que... je veux me réveiller demain en te voyant le porter... elle avait du rouge aux joues, Quinn. Elle voulait vraiment que le cadeau lui plaise, mais... et si ce n’était pas le cas ? tu ne croyais tout de même pas que je viendrais les mains vides, si ? elle déposa un petit baiser contre les lèvres de sa belle avant de chuchoter tu m’as offert le plus beau cadeau du monde en m’invitant... celui là est loin d’être aussi beau, mais... il me fait penser à toi. la lune. Si belle. Sa lune. à elle.
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Mar 21 Jan - 20:06 |
| i never thought that you would be the one to hold my heart, but you put your arms around me and i'm home. -- @quinn ziegler Elle se laisse toucher, toujours un peu plus. Elle se laisse pénétrer, chaque fois que Quinn semble si heureuse d’être avec elle. Chaque fois qu’elle ne parvient pas à rester à distance, sans pouvoir poser sa main sur elle. Chaque fois qu’elle la sent un peu plus vulnérable, au gré de ses paroles. Elle se laisse pénétrer, Arya. Plus qu’elle ne le voulait. Elle se laisse pénétrer, se contentant d’avancer dans cette relation, parce qu’il est désormais beaucoup trop tard pour reculer. Peut-être bien que tu aurais dû le faire bien plus tôt, Arya. Peut-être bien que tu aurais dû tout arrêter après cette première nuit d’hôtel. Après ce premier restaurant. Après ce premier baiser. Peut-être bien que tu aurais dû tout arrêter avant que la situation ne dérape, avant que le contrôle ne t’échappe. Parce qu’aujourd’hui, elle ne sait pas ce que représente Quinn à ses yeux, dans sa vie, mais elle ne serait pas non plus capable de tirer un trait définitif sur elle. Sur les moments qu’elle passe avec elle. Fatalement, elle n’aurait jamais pu l’inviter ce soir, dans sa propre famille, si ce n’était pas le cas. Elle s’investit, toujours un peu plus, pour elle, avec elle. D’abord lorsqu’elle s’est précipitée à l’hôtel après sa chute, passant l’intégralité de sa soirée à prendre soin de son corps, à sécher ses larmes. Puis aujourd’hui, un vingt-quatre décembre, alors que son esprit divaguait, se faufilant jusqu’à l’éditrice, avec une seule question en tête, n’était-elle pas trop triste ? Et tu ne regrettes pas, Arya. Peu importe ce que cela t’a coûté, tu ne regrettes pas. Parce que la savoir seule chez elle, un soir de Noël était bien trop douloureux. Alors cachée dans cette chambre à ses côtés, elle profite de ses nombreux baisers, se sentant toujours un peu mieux à ses côtés. Quinn, elle parvient à lui faire oublier. Oublier ses peurs. Oublier ses douleurs. Ce manque de confiance qui s’étiole sous les douces paroles de sa brune. Ce manque de confiance qui s’étiole, éprouvé par toutes les preuves que lui offrent Quinn, toutes les preuves qu’elle tient à elle. Laissant échapper un doux rire, elle passe l’une de ses mains contre sa joue avec tendresse. - Très bonne comédienne, en effet. Je te trouverais un rôle dans la prochaine pièce de théâtre dans laquelle je jouerais. Caressant toujours sa joue, doigts jouant avec son épiderme, elle reprend rapidement. - Non, plus sérieusement, tu as vraiment été parfaite Quinn. Ne t’en fais pas, vraiment pas. Et elle sait combien cela devait être difficile, Arya. Elle sait qu’entre les questions de son oncle, la froideur de sa mère et la rencontre avec Owen, la quadragénaire ne devait pas être la plus à l’aise qui soit. Elle est pourtant restée naturelle, discutant avec chacun d’entre eux. Grâce à elle, visiblement. - Oh… Et bien tant mieux, parce que c’est vrai qu’on forme une bonne équipe… Et souriant, elle s’approche un peu plus, prolongeant le baiser qu’elle lui offre, sincèrement touchée par ses paroles. Parce que Quinn, elle semble placer tellement de confiance en elle. Tellement d’espoir à ses côtés. Peut-être qu’elle devrait plutôt avoir peur, l’étudiante, mais à la place elle sent son cœur se réchauffer, toujours un peu plus. Cœur qui se rempli un peu plus encore de bonheur, lorsque Quinn revient avec une petite boîte dans les mains. Un cadeau pour elle. T’aurais dû t’en douter, Arya. Elle est toujours tellement douce. Toujours à te traiter comme une véritable merveille. Elle ne peut que lui sourire, en se sentant aussi chouchouter, le regard pétillant qui se plonge dans le sien. - Quinn… Tu n’étais pas obligée, vraiment pas… Tu sais, j’étais contente de t’inviter, ce n’était pas nécessaire… Et soudainement, ce cadeau rend votre relation bien plus officielle. Bien plus profonde. Et pourtant, tu ouvres cette jolie petite boîte, sans te poser aucune question, Arya. Tombant sur un collier. Deux colliers, précisément. Des lunes. Des lunes, magnifiques, représentant parfaitement ce qu’elles sont l’une pour l’autre. - Wah, c’est… Il est magnifique… Je l’adore… Tu es un amour… Choix parfait. Véritablement parfait. Et, glissant sa main libre dans celle de la quadragénaire, entrelaçant ses doigts aux siens, elle s’approche un peu plus pour l’embrasser de nouveau. Beaucoup plus tendrement, beaucoup plus doucement, cette fois. - Merci… Merci… Qu’elle murmure, entre deux baisers, admirant toujours un peu plus de quelle manière idyllique est-ce qu’elle la traite. Parce qu’au fond, tu doutes de toi, Arya. Bien trop. Et, elle parvient à te faire du bien comme jamais tu n’aurais pu l’imaginer.(c) calaveras. |
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Jeu 23 Jan - 6:52 |
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Dans ses bras, c’était le paradis. Dans son coeur, c’était le rêve. Et elle se laissait faire, Quinn, se laissait prendre à ce jeu de charmes et de chaleur, elle se rapprochait de sa belle, ne pouvait de toutes façons plus rester bien loin d’elle, après toute une soirée à ses côtés sans pouvoir la toucher comme elle le désirait, sans pouvoir la caresser comme son coeur le demandait. Elle ne pouvait plus rester loin d’elle, et chacun de ses souffles se retrouvait pris contre la belle peau de sa fée, tandis qu’elle lui parlait, qu’elle l’embrassait, qu’elle lui montrait son amour, sa vision de sa reine, de sa belle princesse. et tu ne t’en rendais pas vraiment compte, Quinn. Parce que tu ne t’étais jamais rendue compte de ton obsession, parce que tu ne t’étais jamais aperçue de ton décalage par rapport aux autres, par rapports aux histoires d’amour que tu pouvais lire. Mais ton obsession vacillait pour un amour. Un amour surpuissant, un amour probablement teinté de ta folie. Un amour malsain, mais un amour. Des sentiments plus forts que tout, des sentiments qui gagnaient ton coeur, qui te permettaient d’oublier l’horreur de ta vie, de rester dans la chaleur d’un aussi doux moment. et suivant son rire, elle eut l’impression d’entendre les anges chanter. Ce rire, elle voulait l’entendre pour toujours. Ce rire, il était divin, il était son plus beau cadeau, la mélodie de ses rêves. Et les caresses de Arya contre sa joue ne faisaient qu’augmenter cette impression de paradis, ce bonheur qu’elle voulait éternel. j’accepterais avec joie... mais j’espère que je n’aurais pas un petit rôle, dans ce cas. elle lui fit un clin d’œil, entrant dans son jeu, entrant dans son plaisir, tandis qu’elle sentait ce doigt qui se propageait sur sa joue. Une vraie naïade, sa belle. Capable de l’enjôler avec un toucher, capable de l’hypnotiser avec un regard. tant mieux... je ne voulais vraiment pas faire mauvaise impression. loin de là, même. Elle aurait tant aimé réussir à changer les impressions et les pensées les plus violentes à son égard, celles qu’elle n’entendait pas mais qu’elle avait devinées dans les yeux de Cassey. t’aurais voulu qu’elle t’accepte. T’aurais voulu lui prouver que tu ne ferais jamais de mal à Arya. T’aurais voulu lui mentir... parce que tu savais, au fond de toi. Tu savais qu’un jour, la bague que tu retirais à chaque fois réapparaîtrait. Que le coeur d’Arya ne comprendrait pas. et son regard perdu retrouva sa vivacité en entendant sa petite fée. absolument. Avec toi à mes côtés, je suis invincible, tu sais... elle rit doucement. Si seulement c’était vrai. Elle se sentait invincible, capable de tout affronter. Mais si l’amour était si puissant, il n’y aurait pas tant de drames, dans les romans qu’elle lisait. Mais elle y croyait, pourtant. Elle y croyait, se sentait réellement surpuissante lorsque sa belle était avec elle. Lorsqu’elle était alimentée par le toucher, par le regard, par la jolie voix d’arya... lorsqu’elle sentait cet amour qui naissait. tu avais l’impression qu’arya aussi le sentait, cet amour. Tu avais l’impression de la toucher, au plus profond. Et tu avais envie de continuer; d’aller plus loin. Tu avais envie de le toucher, ce coeur. Tu avais envie de lui offrir le tien. Tu avais envie de la rendre heureuse. Plus qu’heureuse. et sa reine méritait un cadeau. Celui qu’elle lui apporta, tout en répondant au plaidoyer de l’étudiante allons... Arya... rien n’est trop beau pour ma princesse... elle sourit, tout en espérant de tout coeur que le cadeau lui plaise. Les lunes, pour symboliser cette relation, pour symboliser la beauté céleste, tant d’arya que de son coeur, que de son âme, que de son être. Alors lorsqu’Arya s’extasie, il y eut comme un sursaut dans son palpitant. elle aimait ton cadeau. Elle. Aimait. Ton. Cadeau. Ce symbole pourtant si fort, si grand de ce qu’il se passait entre vous. La voir aussi émerveillée te rendait toute amoureuse, dingue de ce regard qu’elle te lançait, tandis que ses mains venaient dans les tiennes, et que ce baiser vint appuyé sa gratitude. le baiser était d’une douceur, d’une intensité rare. Il y avait comme une déclaration, dans ces lèvres scellées, et Quinn ne put s’empêcher de serrer la jeune femme contre elle, de la garder tout contre son coeur. je suis tellement contente... j’espérais vraiment que tu l’aimes... alors... s’il te plaît... c’est... c’est parfait... tu le mérites... tu mérites de telles choses. De telles jolies choses... c’était l’occasion parfaite. De lui dire qu’elle l’aimait, de lui dire ce qu’elle avait sur le coeur. Mais elle avait peur, Quinn. t’avais peur de tout gâcher. Qu’elle recule, qu’elle ne ressente rien d’identique. Alors tu te taisais, profitent de ce moment dans ses bras, de ce baiser, de ces baisers, et de ses remerciements. ne me remercie pas... elle sourit, avant de l’embrasser une dernière fois, et lui demanda veux tu... que je te le mette ? après une réponse positive, Quinn se déplaça, derrière Arya, et lui mit les deux colliers, tout en sentant le doux parfum des cheveux de sa belle. Il ne fallut pas bien longtemps pour que le bijou soit à son cou, et encore moins longtemps pour que les bras de Quinn passent contre son corps pour l’enlacer, toujours derrière elle, sa tête trouvant refuge près de son épaule, ses lèvres collées à l’oreille de sa belle. tu sais que tu es parfaite ? dit-elle doucement, tandis qu’elle descendait ses lèvres, obligeant par ses baisers à lui faire pencher la tête sur le côté, puisque le cou d’Arya était désormais sien. tu avais envie de la dévorer. Et tu n’avais pas trouver mieux que son cou de cygne, que tu dégustais tant en baisers qu’en sensations. Dieux qu’elle était belle. elle en était accro, Quinn... c’était devenu une addiction, alors qu’elle se délectait de sa peau, de sa chaleur... encore un peu, et elle ne pourrait plus tenir. Encore un peu, et elle ne pourrait pas réfréner un « je t’aime ». Car même si ses lèvres étaient occupées à embrasser, désormais, le début de l’épaule de sa belle, tout son être semblait lui crier combien elle l’aimait, la désirait, la voulait. Elle n’était plus qu’un livre ouvert, Quinn. Un livre ouvert, sur ses sentiments. Un livre ouvert, pour Arya. La femme qui faisait battre son coeur.
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Dim 26 Jan - 17:56 |
| i never thought that you would be the one to hold my heart, but you put your arms around me and i'm home. -- @quinn ziegler La première fois que ses yeux se sont posés sur Quinn, elle s’est sentie comme transportée, Arya. Transportée vers quelque chose de particulier, quelque chose différent. Quelque chose qui n’aurait pu la laisser indemne. Parce qu’elle est différente, Quinn. Elle est différente. Il y a en elle cette lueur, brisée, abîmée, qui s’est glissée jusqu’à elle dès le premier soir. Saisie. Tu t’es retrouvée saisie, de tout ton être, par cette lueur, Arya. Elle s’est emparée de toi, presque immédiatement. Et aujourd’hui, t’as la sensation de pouvoir la réparer, un peu, la quadragénaire. La sensation que lorsqu’elle est avec toi, elle va mieux. Elle reste pourtant un mystère, sur tellement de points, Quinn. Elle sait qu’elle est seule, Arya. Qu’elle n’a plus de contact avec sa famille, qu’elle ne s’est jamais sentie aimée par ces derniers. Mais il y a quelque chose de plus. Elle sent qu’il y a quelque chose de plus. Parce que parfois, elle semble bien plus perturbée qu’elle ne voudrait le montrer, Quinn. Parce que parfois, l’étudiante perçoit qu’elle n’est pas tout à fait comme les autres. Qu’elle n’a pas les mêmes réactions que les autres. Elle reste, pourtant. Elle reste près d’elle. Continue cette relation, lui donnant de plus en plus de place dans son existence. Tu la laisses se dévoiler à son rythme, Arya. Parce que Quinn, elle, elle te laisse venir au tiens. Elle ne t’a jamais demandé plus que ce que tu ne pouvais lui donner. Tout du moins, tu en as l’impression. Et c’est de cette façon qu’elle parvient à gagner ta confiance, de plus en plus. Ta confiance et peu à peu, ton cœur. Un nouveau rire s’évapore de ses lippes à ses premières paroles, et puis elle la regarde, beaucoup plus attendrie en entendant les suivantes. - J’aime te rendre invincible. Elle en oublie, parfois, que sa brune a vingt-quatre années de plus qu’elle. Elle en oublie, parfois, que ce lien entre elle n’a absolument rien de normal, rien de naturel. Rien de naturel et pourtant, elle aime toujours autant sentir le regard de Quinn briller face à elle. Princesse. T’es une princesse, à ses yeux, Arya. Et tu sens qu’elle ne ment pas. Tu sens la sincérité dans chacun de ses mots. Tu sens que t’es une merveille pour elle, qu’elle pourrait se mettre à genoux pour toi. Et elle te touche. Elle te touche beaucoup trop fort. Parce qu’elle sait réchauffer ton cœur, parce qu’elle est d’une sensibilité inégalable. Et son sourire ne disparaît plus. Son sourire parle pour elle, elle est heureuse. Tant pour ce cadeau que pour les mots de Quinn. Ses mots, plus beaux que tout. Tu te sens chanceuse, Arya, rien qu’un peu, d’avoir quelqu’un qui t’estime autant, lorsque tu n’es pas capable de le faire toi-même. - Si, si, je te remercie. Parce que l’attention est adorable et parce qu’en plus de cela je l’aime énormément. Ses lèvres rejoignent les siennes, une fois, puis deux. - Tu n’aurais pas pu faire un meilleur choix. Il sera toujours autour de mon cou. Que tu lâches, sans prendre note de ce que cela signifie, Arya. Que tu lâches, spontanément, sans comprendre qu’avec ce collier, ces colliers, il y aura toujours un peu d’elle sur toi. En toi. Acquiesçant d’un signe de tête, Arya laisse Quinn lui attacher le collier, souriant en sentant sa tête contre son cou, ses bras autour de son ventre. Et elle profite. Profite de ses baisers lui extirpant un nouveau rire, caressant les bras de la quadragénaire avec douceur. - Je crois que c’est plutôt toi qui est parfaite sur ce coup là. Et elle remonte doucement l’une de ses mains jusqu’à sa bouche, déposant un baiser, puis deux, et sans la lâcher, elle entraîne Quinn un peu plus jusqu’au lit. - C’est bien la première fois que je termine un réveillon de cette façon… Sa voix est malicieuse, mais c’est pourtant vrai. Première fois qu’elle invite quelqu’un à passer Noël avec elle, dans sa famille. Quelqu’un qu’elle fréquente. Même David, n’y a pas eu droit. Et t’as encore du mal à réaliser que tu l’as fait, pour elle. Pour elle, Arya.(c) calaveras. |
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Dim 16 Fév - 9:39 |
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une véritable déesse. une muse. une fée. une créature divine, dans chacun des cas, bien loin de la simple humaine qu'elle avait pourtant devant les yeux. comment une telle beauté pouvait-elle exister ? elle n'en savait rien, quinn. elle n'en savait rien, elle n'était qu'émerveillée. émerveillée devant ce trésor qui ne cessait de la rendre heureuse, de lui faire plaisir, par sa simple présence, par sa douceur. elle ne rêvait que de se lover dans ses bras, de ne plus jamais la quitter, de ne plus jamais la sentir loin d'elle. elle ne rêvait que de la toucher, de l'embrasser, de la garder, dans cet amour qu'elle ressentait. qu'elle ressentait pour elle. qu'elle ressentait depuis bien quelques temps, désormais. et elle sourit. elle sourit, alors que la proximité la rendait toute chose, que la proximité la rendait toute chaude. elle sourit, en l'entendant parler. invincible ? oui, c'était le cas. avec arya à ses côtés, elle se sentait comme la reine du monde. malgré la noirceur de celui-ci. avec arya, elle ne savait plus voir la pourriture de cette société, elle ne savait plus que voir l'immense beauté de cette terre. parce qu'elle hypnotisait son regard, parce qu'elle éblouissait tout endroit. si tu aimes ça... tu devrais peut-être... elle soufflait contre ses lèvres, elle soufflait contre son corps, elle prononçait doucement les mots, juste pour observer et ressentir la réaction de sa fée. continuer... et un autre baiser. elle voulait se noyer dans de tels cadeaux, chaque fois qu'elle lui tendait ses lippes. parce qu'elle se sentait prise dans un enchantement, parce qu'elle ne savait plus où donner de la tête, face à elle. elle avait chaud, face à elle. elle sentait son coeur battre, face à elle. c'était pour cette raison que tu savais. au fond de toi. que c'était de l'amour. parce que tu ne l'avais peut-être jamais ressenti, mais tu savais le reconnaître. tu sentais bien quel effet ses mains sur toi avaient. tu sentais bien à quel point son parfum te faisait rêver. à quel point sa douceur de transportait. elle était ta lune, la plus parfaite au monde. elle était ta lune. et le cadeau lui fit plaisir. pour quinn, ce n'était rien, elle méritait tellement plus. ce n'était rien, mais tout à la fois. elle avait vu en ce bijou l'image parfaite de sa belle arya, mais elle aurait tant voulu lui offrir la vraie lune, si seulement c'était possible. parce que c'était peut-être bête, mais romantique. c'est toi qui es adorable, arya... mais tu sais, j'aurais voulu t'offrir la vraie. elle souriait, fière d'elle. parce que c'était connu, offrir la lune. parce que c'était une image, que chacun pouvait visualiser. parce que c'était une façon de lui dire combien elle voulait lui faire plaisir, encore. c'est vrai ? ajouta-t-elle, alors que sa belle lui disait que c'était le meilleur choix possible, qu'elle le garderait toujours à son cou tu... ne l'enlèveras jamais ? je le verrais toujours autour de ton magnifique cou ? elle se sentait d'un coup honorée, quinn. parce que c'était intime, d'une certaine façon. parce que c'était comme déclarer qu'elle avait assez d'importance pour ne jamais quitter ce corps, pour ne jamais quitter arya. comme la promesse d'être toujours avec elle. tu n'imagines pas combien ça me rend heureuse, ma petite fée... soupira-t-elle, tout en venant lui attacher le collier, caressant doucement sa nuque, avant d'attaquer le cou de ses baisers, avant de caresser le ventre de sa muse, tendrement, avant de lui dire qu'elle était parfaite, tout en la dévorant encore et encore. elle était sa sucrerie, en cet instant, et elle ne s'en lassait pas. ah oui ? souffla-t-elle contre l'oreille de sa nymphe, alors qu'elle sentait ses mains remonter, pour être embrassées. alors qu'elle se sentait arriver près du lit. c'est la première fois que je suis aussi heureuse... réveillon ou pas. elle sourit, tout en laissant une de ses mains redescendre pour caresser sa belle, avant de la retourner doucement, pour avoir son doux visage, ses lippes rosées, droit devant les siennes. et il ne fallut qu'un baiser pour l'allonger. un baiser, pour la laisser s'étaler tendrement sous son corps, pour venir au dessus d'elle, et laisser l'amour faire surface. un baiser. et elle craqua. arya... dit-elle doucement, lâcha-t-elle, tendrement, ne se souciant plus du monde, juste d'elle. il faut que je te dise... murmura-t-elle, tandis que ses lippes partaient à nouveau à l'assaut de son cou. je crois que... je t'aime... et elle s'arrêta. doucement. tout doucement. une main déjà prête à se poser sur les lèvres de la jeune femme, ne la laissant pas parler. chhht... non non n'aie pas peur... c'était plutôt toi qui avais peur, quinn. parce que tu ne pouvais pas taire tes sentiments, mais si tu la faisais fuir, tu ne pourrais jamais t'en remettre. n'aie pas peur... laisse moi parler... elle soufflait toujours chacun de ses mots. elle glissait toujours contre le corps de sa belle. elle était tendre, elle chuchotait, elle ne voulait surtout pas lui faire peur, et voulait préserver ce moment. je ne te demande rien, arya. je ne te demanderais jamais rien... continua-t-elle, tandis qu'elle était juste au dessus de son visage. je ne te demande pas de me répondre. je ne te demande pas de m'aimer. je ne veux pas que tu changes quoique ce soit, que tu te sentes obligée de quoique ce soit... elle était si attentionnée. elle voulait à tout prix que sa naïade ne se préoccupe pas de ce qui pouvait potentiellement marteler son esprit. je ne te demande rien en retour, et je ne vais pas agir différemment, arya... je voulais juste te le dire... parce que je ne veux... je ne veux pas me réveiller demain sans que tu le saches... elle sourit, et vint tout doucement l'embrasser. je te promets que tu n'as rien à me devoir, à me répondre... j'avais besoin de te le dire, c'est tout... ne réponds pas... souffla-t-elle embrasse moi, plutôt... sourit-elle, avant de retrouver à nouveau les douces lippes de son amour. de sa belle arya.
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Dim 16 Fév - 22:41 |
| i never thought that you would be the one to hold my heart, but you put your arms around me and i'm home. -- @quinn ziegler Les baisers de Quinn la transportent dans un autre monde, ce contact entre elles, cette tendresse affolée, cette douce passion. Elle est transportée, Arya, parce qu’elle se sent différente. Différente de ce qu’elle est d’habitude. Peut-être parce qu’elle éprouve de plus en plus de sentiments à l’égard de Quinn. Peut-être parce que l’idée même de lui ouvrir une porte dans sa vie change tout. Peut-être parce que Noël donne à leur histoire une toute autre saveur. Elle n’est plus que cette femme un peu brisée que tu as rencontré dans un bar, Arya. Elle n’est plus que cette quadragénaire perturbée te demandant de passer une nuit avec toi, à tes yeux. Elle n’est plus cette inconnue. Elle est cette femme qui partage tes nuits et désormais un bout de ta vie, cette femme pour qui tu ressens énormément de tendresse et qui te le rend bien. Quinn fait tout pour elle. Tout. Ce cadeau n’en est qu’une preuve supplémentaire ce soir, parce qu’elle ne rate pas une seule occasion pour la chouchouter. Pour lui offrir ce qu’il y a de plus beau. Elle ne peut désormais plus que sourire, face à elle. Plus que sourire, lorsqu’elle passe ce collier à son cou. Et c’est naturellement, qu’elle lui promet de ne jamais plus le retirer. De le porter, chaque fois qu’elle le pourra autour de son cou. Promesse qui semble ravir le cœur de sa brune, étoiles dans les yeux qui ne cessent de briller. - Tu pourras le voir, oui, toujours sur moi… Les mains de Quinn glisse contre son ventre et elle ressent comme des petites étincelles entre sa peau et la sienne. Des petites étincelles venant éveiller bien plus encore ce qu’elle ressent au fond d’elle. T’as beau faire tout ce que tu peux pour tenter de garder ton cœur sous protection, lorsqu’elle t’affirme qu’elle n’a jamais été aussi heureuse que ce soir, tu fonds complètement. - Je suis encore plus contente que tu sois venue alors. Heureuse d’avoir osé l’inviter. Heureuse de ne pas avoir laisser la peur et la gêne parler pour elle. Heureuse d’avoir céder à son inquiétude et à cette peine de la savoir toute seule. Ses lèvres se retrouvent de nouveau contre les siennes, et en une seconde seulement, elles sont allongées, toutes les deux, Quinn au-dessus d’elle. Le sourire de la blonde ne s’efface pas alors qu’elle la regarde en bas, dans sa bulle. Dans sa bulle. Jusqu’à ce que Quinn ne reprenne la parole. Deux mots. Deux mots qui se font entendre comme un bruit sourd. Deux mots qui explosent son cœur et son esprit. Je t’aime. Un aveu. Elle l’aime. Elle l’aime. De quelle manière ? Est-ce qu’elle l’aime parce qu’elles se sont attachées, indéniablement ? Ou bien parce qu’elle est en train de tomber amoureuse d’elle ? Parce qu’elle est peut-être déjà amoureuse d’elle ? Et t’es soudainement tétanisée, Arya. Peu importe les mots qui suivent. Peu importe le fait qu’elle n’attende pas de réponse, pas de retour, elle t’aime. Elle t’aime et le fait qu’elle ne te brusque pas en te demandant une réciprocité le montre encore plus. Elle t’aime et elle préfère t’aimer sans retour plutôt que de te perdre entièrement. Elle t’aime. L’amour, c’est quelque chose qu’elle se refuse. Parce qu’elle a trop donné. Parce qu’elle a trop souffert. Et elle n’était pas prête à cela. Elle n’était pas prête à rencontrer quelqu’un, à prendre le risque d’être de nouveau abandonnée, de nouveau rabaissée, mais Quinn est arrivée. Quinn qui lui offre son amour sur un plateau, promettant de ne jamais rien lui demander, se contentant de l’embrasser, encore et encore. Mais t’es incapable de faire comme si elle n’avait rien dit, Arya. Ton regard est perdu. Ton esprit est ailleurs. T’es incapable d’oublier cette déclaration qu’elle vient de te faire. Et tu ne sais pas quoi dire. Tu ne sais pas quoi lui dire. Tu la laisses t’embrasser, sans la repousser. Tes mains restent sur elle, parce que jamais tu ne voudrais la blesser. - Quinn… Je… Elle détourne les yeux, quelques instants, parce qu’elle sent bien au fond d’elle que ce qu’elle ressent n’est pas anodin. Elle n’est pas rien, à ses yeux. Elle tient à elle, indéniablement. Elle qui s’était promis de ne jamais s’attacher. Pourtant, elle ne trouve pas les mots. Elle ne trouve pas les mots justes. Elle ne veut pas se résoudre à imaginer quelque chose de plus sérieux entre elles. - Tu es une femme... merveilleuse… Arya ne peut pas cacher sa peur, mais elle caresse doucement sa joue, appuyant ses paroles qui deviennent comme un remerciement. Remerciement pour tout cet amour qu’elle lui porte. Remerciement parce qu’elle ne lui demande pas d’en faire autant. Au fond, tu sais que c’est horrible, ce que tu lui fais, Arya. Tu sais que c’est horrible, de la laisser t’aimer de cette façon sans lui en donner autant en retour. C’est horrible, et tu le sais parce que ton ex petit-ami t’a fait vivre la même chose. T’as été maltraitée, malmenée, parce que tu l’aimais. Et durant quelques secondes, elle pense à partir. Elle pense à tout arrêter. Pour le bien de Quinn, pour le sien. Pour ne pas se montrer égoïste en lui faisant du mal. Mais elle sent que ce serait bien pire encore si elle disparaissait. Que Quinn ne pourrait pas accepter qu’elle s’en aille. - Viens… Elle se glisse sous la couette, ouvre ses bras pour que Quinn puisse venir s’y blottir. A défaut de pouvoir lui dire je t’aime, t’as envie d’être tendre avec elle, Arya. Envie de prendre soin d’elle. Envie qu’elle puisse se sentir rassurée, peut-être pas par tes mots, mais par tes gestes. Parce qu’elle doit voir que t’as peur, que tu serais certainement partie en courant si elle s’était contentée d’un simple je t’aime, que t’es incapable de t’engager avec elle. Et t’as pas envie de lui faire mal, surtout pas ce soir, alors tu prends sur toi, même si à l’intérieur, ton coeur se retrouve comme asphyxié.(c) calaveras. |
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Lun 17 Fév - 3:48 |
| - if you’re my gift -
le regard encore perdu sur ce cou de cygne, portant le collier, son collier, et la promesse de ne jamais l'enlever, elle s'était laissée entrainer, quinn. entrainer par ses sentiments, entrainer par la passion. au dessus de sa belle lune, elle ne savait pas comment ne pas prononcer ces mots, ces quelques mots, une signification bien particulière. tu l'aimais réellement. elle était devenue, en si peu de temps, ta vie toute entière. tu ne savais pas comment tu pouvais ne pas le lui dire, tu voulais qu'elle sache, qu'elle comprenne à quel point elle était parfaite, ton trésor, ton amour, ta princesse. mais elle savait. elle se doutait, que ce fut par les baisers suivants ou par le visage d'arya qui s'était refermé. elle savait que sa belle petite fée n'était pas prête. peut-être ne le serait-elle jamais. peut-être n'aimerait-elle jamais la quadragénaire comme cette dernière l'aimait. pourtant, il lui était impossible de s'en sentir mal, et doucement, tout doucement, les mains de quinn vinrent caresser les joues d'arya. tu n'as pas à te sentir mal... je te l'ai dit, je n'attends pas de réponse... je veux juste... je voulais que tu saches. elle parlait doucement, chuchotait tout en la dévorant du regard. tout en la regardant avec cette envie, cet amour, ce besoin de ne jamais oublier combien elle était belle, parfaite, un ange. un ange tombé du ciel, pour elle. et tu te sentais un peu égoïste aussi. parce que tu lui avait lâché une belle bombe, mais une bombe quand même. tu ne voulais pas qu'elle se sente piégée, tu avais juste envie de te réveiller, au lendemain, dans les bras de la femme que tu aimais. tu avais juste envie qu'elle le sache. que votre relation ne change pas. que vous restiez toujours aussi proches. toi aussi ma fée... répondit-elle tout en sentant la main de sa belle contre sa joue. elle était reconnaissante, envers arya. tant pour lui avoir donné l'occasion d'aimer, mais aussi pour toutes les attentions qu'elle mettait dans leur relation si particulière, ce toucher sur sa joue en étant la preuve. elle voyait bien, quinn. qu'arya ne voulait pas la perdre, voulait la rassurer. et tendrement, son front se colla à celui de l'étudiante, tout en lui disant tu es merveilleuse... qu'aurais-je fait, si je ne t'avais pas rencontrée ? elle sourit, doucement, tendrement, tout en se glissant dans les bras de la demoiselle lorsque cette dernière lui demanda de venir s'y blottir, laissant la couette les garder au chaud. et c'était le paradis. cet endroit. dans les bras de ta belle arya.il n'y avait aucun autre endroit où tu désirais être, il n'y avait qu'à ses côtés que tu te sentais ainsi revivre. il n'y avait que pour elle, que tu voulais continuer à vivre, d'ailleurs. parce qu'elle était le plus beau trésor, le seul trésor de ta vie. et, dans ses bras, éblouie par sa beauté, réchauffée par sa chaleur, envahie par son doux parfum, tu ne pouvais pas t'empêcher d'aller chercher à nouveau son cou. d'aller l'embrasser. d'aller le humer. d'aller le croquer. je veux que cette nuit dure éternellement... sourit-elle, voeu malheureusement difficilement réalisable. mais, dans ses bras, elle était si bien. c'était comme si sa vie misérable l'avait conduite à un seul et unique moment, celui ci. alors... tu ne regrettes vraiment pas de m'avoir invitée ? elle sourit, encore, et vint lui croquer le nez. elle voulait absolument l'aider à ne plus penser à ce qu'elle avait dit. parce qu'elle avait bien compris qu'arya ne lui dirait pas, en tout cas, pas ce soir, le retour des quelques petits mots, de cet amour dévoilé. elle ne voulait pas la mettre mal à l'aise, elle voulait revoir la malice dans les yeux de son étudiante, elle voulait la sentir sourire, rire. elle voulait entendre le son divin de sa voix encore et encore. elle était comme dans un nuage de bonheur, tout doux. et encore une fois, tu vins croquer cette délicieuse sucrerie, ses lippes, dans un baiser passionné. un baiser qui, elle l'espérait, lui serait rendu tout aussi fortement qu'elle le lui donnait. parce que la dernière chose qu'elle désirait était qu'arya reste bloquée. bloquée sur des mots. bloquée sur des sentiments... tu voulais la voir s'épanouir, ta fleur. et non se refermer. et ses mains glissèrent contre les flancs de sa belle déesse, tandis que ses dents venaient croquer les lèvres carmins qui lui faisaient tant envie. elle voulait ressentir chaque parcelle de son corps, elle voulait glisser ses doigts le long de son corps, de ses flancs, de ses cuisses. elle voulait la sentir, elle voulait fusionner avec elle, presque. que tu es belle... chuchota-t-elle alors, tendrement. elle était hypnotisée. encore. toujours. comment une femme comme arya pouvait-elle exister ? elle n'en savait rien, ne savait qu'une chose. elle donnerait son âme, elle donnerait son coeur, elle donnerait sa vie, juste pour un moment de plus avec elle. je ne pouvais rêver meilleur cadeau de noël, tu sais... contre toi, en cette belle nuit, ton regard sur moi, ton joli sourire... merci arya... sa voix était plus douce encore, depuis ses quelques mots. sa voix était si douce, elle se sentait comme emplie de joie. elle était heureuse. et la seule responsable était dans ses bras, sous ses caresses, sous ses assauts. un peu plus, et elle pourrait retrouver sa peau, pour augmenter plus encore la température. mais t'avais peur, quinn. tu ne savais pas. tu ne savais pas si elle en avait envie, tu ne savaispas comment deux femmes pouvaient le faire, tu ne savais pas si tu pouvais dévoiler ton corps tant abîmé à la muse de ta vie, surtout à noël. tu ne savais pas, pourtant, c'étaitcette envie qui te brûlait. celle d'enfin caresser sa chair... celle d'enfin l'avoir. la chérir. l'aimer.
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| Sujet: Re: if you’re my gift - quarya Sam 22 Fév - 20:07 |
| i never thought that you would be the one to hold my heart, but you put your arms around me and i'm home. -- @quinn ziegler Ses mots restent dans son esprit. Ses mots ne s’effacent pas, comme s’ils étaient désormais gravés dans le marbre. Gravés dans son cœur, au moins. Elle pourrait pourtant mesurer sa chance, celle que Quinn ne lui demande rien en retour. Celle que Quinn ne lui demande pas de l’aimer en retour, mais simplement de rester près d’elle. Elle pourrait mesurer sa chance, Arya, mais cela reviendrait à profiter égoïstement de cette relation, sans pouvoir lui offrir ce qu’elle attend peut-être. Et évidemment, tu repenses aussi aux mots de ta mère, à l’hôpital. Cassey, qui avait essayé de te prévenir que rien ne serait simple dans cette relation, avec une femme de son âge. T’as pas été prudente, Arya. T’as pas voulu voir que vos sentiments l’une pour l’autre commençaient à évoluer. T’as rien voulu voir, et maintenant tu n’as plus que son amour en tête. Perdue. Elle se retrouve perdue, bouleversée. Elle refuse de penser à ce qu’elle pourrait bien ressentir elle-même. Refuse d’ouvrir son cœur, de l’exposer plus qu’il ne l’est déjà. Mais elle refuse également de blesser Quinn, d’amocher son petit cœur plus qu’il ne semble déjà l’être, de secouer son esprit pour la ramener dans la douleur et dans la peine, comme elle a pu le voir parfois. Cette soirée est belle, bien trop belle pour être gâchée. Alors elle va à l’encontre de ce que son esprit lui dicte, elle refuse d’écouter la peur et se concentre sur les mains de Quinn contre ses joues, sur ses paroles douces et compréhensive. Peut-être qu’elle n’aura jamais ce qu’elle veut, Quinn, mais si tout ce qu’elle voulait en réalité, c’était toi ? - D’accord… Qu’elle souffle, finalement, déconcertée, en posant son front contre le sien également. Elle ferme les yeux, une seconde, sentant le corps de la quadragénaire entièrement posé contre le sien, sur le sien. Elle ferme les yeux, essayant de chasser de son cœur toute interrogation, toute peur, tout sentiment. Elle chasse tout et se concentre sur elle, sur ses paroles bien plus jolies encore qui provoquent un sourire sur son visage. Doux sourire, presque apaisée par sa chaleur. Parce que tu sais qu’elle le pense véritablement, et c’est quelque chose qui te touche particulièrement, Arya. L’impression d’être un véritable miracle dans sa vie, lorsque tu ne vois rien de bien en toi. - Tu te souviens de notre rencontre… Quand tu m’as offert un verre dans ce bar… Son sourire persiste, alors qu’elle la tient dans ses bras, qu’elle la tient contre elle pour lui prouver qu’elle ne partira pas, bien qu’elle soit encore perturbée par ses révélations. Elle n’aurait jamais pu imaginer qu’elles en seraient là, toutes les deux, lors de leur rencontre. Jamais elle n’aurait pu parier sur le fait que Quinn passerait Noël avec elle, dans sa famille, jamais. Jamais elle n’aurait même envisagé avoir une telle relation avec une femme, qui plus est de son âge. Pourtant, elle est bien là, dans ce lit avec elle, laissant échapper un rire lorsque la brune lui croque le nez. - Non. Je ne regrette pas. Je ne voulais pas que tu sois seule, Quinn, et je suis heureuse que tu sois là. Malgré tout. Malgré ce qui vient de se passer. Elle ne regrette pas, parce qu’elle tient à cette femme. Parce qu’elle ressent cette immense tendresse envers elle à son égard. Et même si ce n’était pas ce qu’elle voulait, en entamant cette liaison, elle ne peut s’empêcher d’être prévenante à son égard. Et un baiser, un de plus qu’elle lui offre, de façon passionnée, puissante. Un baiser qu’Arya prolonge, déposant ses lèvres contre les siennes, une fois, puis une autre, alors que les mains de la quadragénaire glissent contre son corps. Ses mains glissent contre sa peau et elle ressent ce désir, ce regard enflammé, le besoin de la toucher. Quinn la désire, elle le sent et son cœur bat de plus en plus fort parce qu’elle aime avoir ce pouvoir sur elle. Cette attraction. Et il en est de même pour toi aussi, Arya. Ce qui ne te semblait pas possible quelques mois plus tôt est véritablement en train de se produire. T’es capable d’embrasser une femme, avec autant de passion que de douceur. Tu ressens de l’attirance envers une femme. Cette femme, tellement différente des autres à tes yeux. - Tu es belle aussi… Et ne me remercie pas, nous aurons d’autres nuits comme celle-ci… Sa main caresse le dos de Quinn qu’elle tient dans ses bras, glissée sous le haut de cette dernière alors que son odeur l’enivre littéralement. Elle n’a pas envie de tirer un trait sur elle. Pas envie de l’oublier. De dire adieu aux moments qu’elles partagent ensemble. Elle n’a pas envie, même si cela signifie jouer avec le feu. Avec la déclaration de ses sentiments. (c) calaveras. |
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