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| ce soir comme tous les soirs je sais où tu es | |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Mar 11 Fév - 22:00 |
| l’flic a plus les idées claires. tout s’bouscule. l’alcool l’rend plus froid qu’il ne l’est déjà. devient désagréable. s’transforme en quelqu’un qu’il est pas. différencie plus les choses. sait plus c’qu’il fait. y devrait sûrement s’tirer d’là. s’éloigner l’plus loin possible d’elle et pas remettre les pieds ici. sauf qu’il y arrive pas. depuis qu’il est entré y s’voit pas repartir tout d’suite. a beau vouloir la repousser, il peut pas s’empêcher de s’approcher d’elle. ses gestes ont une longueur d’avance sur ses pensées. pendant qu’il bataille pour savoir si c’qu’il fait là est bien ou non, sa carcasse s’rapproche d’elle. opale c’est un aimant, une fille à qui il est lié sans trop comprendre pourquoi. une attraction étrange pour elle. y la voit pas comme toutes les autres. la regarde pas non plus comme tel. encore moins c’soir. encore moins dans cette tenue. y sait bien qu’il devrait pas. qu’ça s’fait pas d’poser ses yeux sur une fille bien trop jeune pour lui. ça s’fait pas non plus d’vouloir rester chez elle pour combler l’vide que laisse la solitude. c’est contre ses principes que d’être là. principes qu’il s’impose mais qu’il a envoyé balader en passant l’pas d’sa porte. l’max a plus l’choix. peut bien continuer d’jouer les connards ça changera pas l’fait qu’il va devoir se décider. fuir une bonne fois pour toute ou accepter qu’la belle vaut peut-être l’coup d’oublier ses principes. « t’as pas toucher l’bon endroit. » qu’il lui balance pour pas montrer qu’il a tord et pour tenter d’avoir l’dernier mot. y cherche encore à sauver l’peut qui reste à sauver. comme si l’max perdait pas l’contrôle sur la situation. comme si tout était prévu. alors qu’ça l’est pas. l’max perd la face. voit pas que ce qu’il s’obstine à éviter arrive vite. trop vite, même. dans la gueule du loup qu’il s’est jeter. et le loup, c’est elle. les crocs qu’elle montre. les griffes qu’elle sort. l’visage d’ange qui s’transforme. l’max l’a provoqué et voilà sa réponse. « c’est ça qu’tu crois? qu’tu m’fais pas d’effet? » qu’il lui lâche en la fixant toujours d’ses yeux troublés par l’alcool. y’a un rire sec qui s’échappe d’entre ses lèvres. nerveux l’flic. sent bien qu’la situation est perdue. qu’il est déjà perdu. « tout s’rait plus simple si c’était l’cas. » ouais, tout serait bien plus facile comme ça. mais de l’effet, elle lui en fait. sur ça, l’flic peut plus mentir, ni s’en cacher. espère toujours qu’tout c’qui s’trame dans son cerveau gangrené n’est qu’un effet secondaire des verres enfilés. l’déni d’la vérité. esquiver cette attirance qu’il commence à ressentir pour ce qu’il s’est interdit. l’max attrape l’verre d’alcool, boit une, deux gorgées, puis l’repose. un besoin d’calmer ses nerfs qui s’échauffent pour un rien. s’rappelle qu’il cause à opale, à une fille qu’a rien demandé. qui veut pas recevoir sa frustration. « d’quoi t’as envie, hein? j’aimerai bien l’savoir. » il a baissé l’ton. hurle moins, signe qu’il baisse les bras. signe aussi qu’il veut qu’ce soit clair des deux côtés. l’écorché n’sait pas c’qui s’passe derrière la porcelaine d’son visage d’poupée. discerne pas ses intentions dans sa noirceur. @Opale Millstone |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Sam 15 Fév - 18:14 |
| fire away something calls, on the edge of it all, face the fire, let it come, on the edge of it all. -- @max craven Piquée. Elle est piquée, excédée, par son attitude, par ses paroles. Elle est piquée et l’imaginer avec une autre femme retourne complètement son esprit. Le cerveau qui déraille, elle ne sait plus s’il s’agit d’un tour joué par la maladie ou bien de cette putain d’attirance qu’elle ressent pour lui. Plus l’envie de lutter et plus la possibilité de faire semblant. Prétendre qu’elle s’en fiche. Prétendre qu’elle ne fait que jouer. Au fond, elle ne sait pas ce qu’elle fait. Elle ne sait pas, du tout. Si ce n’est que son visage reste bloqué dans en elle, depuis ce soir où il a repoussé la mort pour elle. Plus encore, depuis leur rencontre ici même et ce trouble partagé. Parce qu’il ressent quelque chose, lui aussi, lorsque t’es là, Opale. Tu le sens. Tu le vois. Il n’est pas indifférent face à toi. Et tu laisses ses yeux se balader sur ton corps, parce que c’est lui, parce que t’aimes ça, qu’il te regarde. Et il le confirme, finalement, dans un rire ironique. Confirme qu’elle lui fait de l’effet. Confirme ce qu’elle pensait déjà, que son esprit à lui aussi se brouille, lorsqu’ils se retrouvent tous les deux. Et jusqu’ici, la colère lui était réservée. Il en avait le monopole, mais elle aussi, elle commence à exploser. Il va te voir, toi, la louve aux allures de biches. - Ah ouais ? Et bien à croire que tu ne sais pas le montrer ! Qu’elle ironise, à son tour. Les masques tombent, au rythme de leurs pas. Les masques tombent, chaque fois qu’ils s’approchent un peu plus l’un de l’autre. Ce qu’il tente peut-être de noyer avec l’alcool, le flic désabusé. Et soudainement, c’est bien moins fort que sa voix porte. Soudainement, il semble bien plus accessible. Mais elle, elle est toujours furieuse. Elle ne crie pas. Plus. Mais elle est furieuse. - Moi c’était de toi dont j’avais envie. Qu’tu sois là. Mais ce n’est plus le cas, fais ce que tu veux. Perséphone l’entraîne dans son enfer, attaque, alors qu’elle n’a qu’une seule envie : frôler ses lèvres. T’as envie de l’embrasser, Opale. T’as envie de laisser exploser ce désire qui brûle en toi. Désire pour cette bête, cet homme qui n’a rien de fréquentable, peut-être même rien de bon, mais qui agite tes entrailles, fait vibrer ton corps dans son entièreté. Et son foutu regard reste plongé dans le sien. Colère explosive alors qu’il n’est pas dans son état normal, Max. Alors que sa carcasse reste proche d’elle, développant bien plus encore la passion ardente qui se régale de son âme. (c) calaveras. |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Dim 16 Fév - 15:36 |
| l’visage d’la brune s'assombrit. la porcelaine s’fissure. et c’est la louve qui pointe son museau, la gueule grande ouverte, les crocs bien taillés, prête à lui déchirer la jugulaire. elle pourrait l'dévorer et l’max s'en rend bien compte. et sait pas si ça lui plait ou si ça l’rend encore plus enragé. l’mélange des deux. la furieuse envie d’lui sauter au cou lui traverse l’esprit. celle de lui arracher ses vêtements aussi. sa chaire dont il veut s'nourrir. l’alcool qui mélange tout, brouille sa raison, lui donne envie d'passer à l'acte. et la belle qui grogne toujours. qui lui fait oublier tout c’qu’il s’imaginait d’elle. elle s'montre, elle et tout ce qui grouille en elle. elle est loin la brune qu’il pensait innocente. elle est loin celle qu’il imaginait sans défense. l’flic peut bien tenter d’calmer l’animal qu’il a réveillé mais trop tard. c’est pas en baissant l’ton qu’la brune cessera d’geindre. dans ses retranchements qu’il l’a poussée. il le voit à la fureur qui consume son regard devenu noir. comme toujours, il est aller trop loin. a fait exprès d’provoquer l’démon qui l’habite. à croire qu’y’a qu’ça qui l’excite. s’frotter à sa noirceur. succomber à la succube qui s’meut dans sa chaire. sûrement qu’c’est plus facile pour lui d’se laisser envoûter par un démon qu’par une poupée d’porcelaine. pourra dire plus tard qu’c’est elle qui l’a rendu fou, qui l’a fait faiblir. qu’il est pas responsable d’ce désir qu’y ressent. pourtant l’max y s’avance toujours un peu plus près. et plus y s’approche, plus c’est dur d’tenir. et c’est bien pire quand les mots d’la louve viennent le heurter et brusquer la carcasse qu’il tentait d’calmer. l'ours est pas rester cacher longtemps, d'sa grotte qu'il resurgit. « c’plus l’cas, mhhh? » son animosité qui revient. son envie d’la violenter qui brûle ses veines. alors il la bouscule dans un geste peu délicat. l’animal qui parle. celui qu'il cherche toujours à cacher. la force à reculer jusqu’au pied du mur, là où elle pourra pas s’enfuir. là où il va la piéger. et la dévorer. « t’vas m’faire croire qu’t’en as plus envie? » la belle est dos au mur et l’max s’approche d’elle, s’colle à elle. distance qu’il écrase, finalement. pense à plus rien d’autres qu’à c’qu’il s’est interdit d’faire. la foutue tentation d’cette chaire fraîche qui n’appelle que lui. dans la gueule d’la louve qu’il s’jette quitte à y perdre des poils. quitte à en sortir blessé. « qu’tu veux plus m’sentir entre tes cuisses? » l’bleu a les dents qui grincent et l’regard brûlant. l’impatience que l’on distingue dans sa voix et dans ses gestes. sur ses hanches la belle peut la sentir cette impatience, cette main qui s’aventure comme un serpent qui voudrait goûter sa peau. l’animal craque, s’permet l’interdit pour la faire réagir. provoque la succube qui s’est manifestée, s’joue d’elle pour découvrir les punitions d’un tel affront. @Opale Millstone |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Jeu 20 Fév - 20:03 |
| fire away something calls, on the edge of it all, face the fire, let it come, on the edge of it all. -- @max craven Le tout qui dérape, la situation qui lui échappe, à lui, à elle. Ce qui semblait pourtant être prédit, écrit par les Dieux, arrive finalement. Ils sont dos au mur, l’un face à l’autre, confrontés à ce désir mutuel qu’ils éprouvent chaque fois qu’ils se trouvent au même endroit. Dans la même pièce. Ce désir qui grandit en elle, toujours un peu plus. Désir qu’elle sent aussi en lui, consumer chacun de ses membres, dévorer l’ensemble de ses sens. Et lorsqu’elle le repousse, il s’approche davantage encore. Peut-être que t’aurais dû faire ça depuis le début, Opale, le repousser. Peut-être qu’il fait partie de ses hommes prévisibles qui ne fonctionnent qu’à ça. T’es pas de ce genre, toi. T’es pas de celles qui enfoncent les portes fermées, t’es plutôt de celles qui saisissent la chaire aussi rapidement que possible. Et il ne suffit d’une seconde, pour qu’elle se retrouve contre plaquée contre la dureté du béton, pressée par la carcasse imposante du flic. Enivrée par cette chaleur qu’il dégage, excitée en sentant cette main se baladant sur ses hanches. Elle secoue la tête, impertinente louve, l’envie cruelle de le consumer, le dévorer, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Plus rien de lui, plus rien d’elle, plus rien de leur relation. - Je pense que c’est toi qui a envie de moi… Qu’elle répond, bien assurée, parce qu’après tout, c’est lui qui s’est présentée à elle. Lui, qui a décidé de la rejoindre. Et pour le provoquer encore un peu plus, elle approche son visage du sien, dépose un baiser au creux de son cou, puis un autre, et encore un. Et t’as beau faire la maligne, t’apprécies ce contact, Opale. T’apprécies de le toucher, de le sentir sa peau contre tes lèvres. Il te plait, c’est indéniable. Il te plait un peu trop. - C’est ce que tu voulais ? Les mains de la brune passent dans son cou après les baisers, glissent avec cette poigne mélangée à la douceur dont elle est capable de faire preuve. Elle veut le faire réagir. Qu’il admette ressentir la même chose qu’elle. Cette envie irrépressible de mêler sa vie à la sienne. De ne plus jamais se détacher de lui. Et peu importe dans quelles circonstances, parce qu’elle ne s’attend pas à une grande histoire d’amour, Opale. Elle ne s’attend pas à vivre la magie des contes de fées auxquels elle ne croit pas. Elle le veut, lui, juste lui. (c) calaveras. |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Lun 2 Mar - 16:40 |
| une étincelle et tout s’embrase. l’contrôle qu’il perd. sa morale qu’il piétine. n’écoute plus ses règles. dépasse les frontières qu’il s’était imposées. contre elle qu’il s’retrouve. sa carcasse qui s’colle à la chaire d’cette fille qu’y devrait pas toucher. mais l’max écoute plus rien d’sa conscience. s’laisse tenter par l’désir de l’interdit. s’avoue toutes les saloperies qui lui traversait l’esprit. d’elle qu’il a envie. c’est bien pire maintenant qu’il est collé à elle. ça empire quand sa main s’montre impatiente en venant palper la chaire. cette même chaire qu’il voudrait effleurer pour mieux la maltraiter ensuite. mais il n’en fait rien. calme ses pulsions, calme l’animosité qui l’fait faiblir. les deux continuent d’se provoquer. joue des limites de l’autre pour mieux en connaître les failles. et la belle s’amuse d’la bête. parce qu’elle sait. sur lui, elle a son emprise. l’pouvoir d’être la désirée. c’est pas elle qui mendie, c’est pas elle qui craque, c’est lui. chacun d’ses gestes transpire l’arrogance qui enrage l’ours. et quand elle vient embrasser sa peau, ça l’brûle. l’dévore de l’intérieur. il en veut plus. lui aussi voudrait goûter sa peau. mais c’est elle qui l’touche, qui agrippe sa chaire et qui l’piège entre ses griffes. d’cette poigne elle cherche à l’faire plier. « p’t’être bien qu’ouais. » vérité à demi avouée. s’mouille sans trop l’faire. trop fier pour lui donner la satisfaction d’avoir totalement raison. accepte pas d’avoir faiblit si facilement. sa faiblesse qu'il veut pas totalement montrer. mais comme toujours c’est ses gestes qui l’trahissent. ses mains fermement agrippées à ses hanches s’faufilent contre ses reins et viennent coller l’corps frêle d’la poupée contre l’sien. l’visage du flic s’déforme dans un sourire carnassier. sa chaleur qu’il sent à travers l’tissus. elle peut bien jouer les provocatrices, son être tout entier brûle pour lui. alors c’est à son tour d’aller ronger son cou. marquer sa peau pour laisser une trace de son passage. vampiriser la belle dans l’espoir d’avoir c’qu’il veut. « t’vas continuer longtemps d’jouer celle qui m’résiste? » qu’il lui chuchote au creux d’l’oreille. lui aussi provoque, comme s’il n’était pas celui qui lui avait résisté jusqu’ici. il en oublie qu’c’est lui qui la repoussait. « ou t’préfères qu’on s’amuse enfin tous les deux? » l’visage qui vient s’replacer devant l’sien. l’émeraude d’ses yeux qui fixe l’marron des siens. l’max a retrouvé sa mine sérieuse. plus vraiment envie d’jouer, simplement envie d’elle. il s’recule d’un pas, s’écarte d’elle un instant pour lui laisser l’privilège de l’emmener où elle veut. la table d’la cuisine, l’canapé, l’mur derrière elle, son lit, qu’importe tant qu’ils cèdent à la tentation. tant qu’ils se dévorent l’un l’autre. @Opale Millstone |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Dim 8 Mar - 19:51 |
| fire away something calls, on the edge of it all, face the fire, let it come, on the edge of it all. -- @max craven La bête qui se dévoile, lui offre le plus beau des spectacles, en affirmant enfin qu’il a envie d’elle. Qu’il la veut, la désire, plus qu’il ne veut bien le montrer. Parce qu’il n’avait pas envie de craquer, et d’un battement de cils, elle a eu raison de lui. Prête à le dévorer. Prête à le consumer. Mais lui aussi, il a cette emprise sur elle, cette attirance incontrôlée qui pourrait très vite la faire vriller. T’es dangereuse, Opale. Tes émotions sont dangereuses. Et il ignore dans quoi il met les pieds, le flic. Il ignore qu’il pourrait bien tomber encore plus bas dans ce piège qu’elle lui tend. Dans ce piège qu’il désirait tant. Et elle réalise qu’elle s’exalte, elle aussi, à sa simple présence. Que sa beau pourrait presque vibrer au rythme de ses pressions contre ses hanches. Il ne faut qu’un instant, pour qu’il ne vienne à son tour passer ses lèvres au creux de son cou. Pour qu’il ne vienne littéralement prendre possession d’elle. Elle ne tient plus, la folle. Elle ne tient plus, et dans un élan, elle l’embrasse, plaque ses lèvres contre les siennes, avec passion, avec envie. Elle l’embrasse, jouant avec le feu, lorsque tout est déjà perdu d’avance. Tout est perdu d’avance, elle craquera pour lui. Tout est perdu d’avance, il craquera pour elle. - C’est toi que je préfère… Qu’elle murmure sensuellement, juste avant de l’embrasser à nouveau. Juste avant de se laisser un peu plus emportée. Sa main qu’elle saisit dans la sienne, glissant contre son corps. - Viens. Elle l’entraîne, avec elle, jusqu’à sa chambre, jusqu’à son lit. Elle l’entraîne, parce qu’il est hors de question qu’une autre femme profite de lui ce soir. Il n’y a qu’elle, ayant le droit de poser ses griffes sur lui. Et tu sens bien qu’il te plait plus que de raison, Opale. Qu’il te plait certainement bien plus que tous ceux que tu as pu connaître, pour une raison des plus obscures. Parce qu’objectivement, il n’a rien d’attirant, le bougre, mais à ses yeux à elle, il n’est que la boîte de pandore qu’elle ne veut que ouvrir, quitte à laisser le démon prendre son âme.(c) calaveras. |
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| Sujet: Re: ce soir comme tous les soirs je sais où tu es Ven 20 Mar - 20:58 |
| plus l’moment pour lui d’reculer. plus l’temps pour réfléchir non plus. dans ses bras qu’il s’laisse aller. y’a plus d’retenue. contre sa peau qu’il plante les crocs. assoiffé d’sang, d’chair. d’la sienne en l'occurrence. l’max est affamé, comme enragé au contact d’sa peau. y lui avoue, plus ou moins. s’brûle les lèvres en lâchant cette vérité qu’il gardait pour lui. plante ses griffes dans la peau tendre d’la belle. pense l’avoir emprisonnée entre ses pattes. mais c’est elle qui l’emprisonne. cage invisible qu’il ne perçoit pas. n’sent pas encore les chaînes qu’elle lui mettra bien assez vite. tout c’qu’il goûte pour l’instant, c’est l’doux poison d’ses lèvres, l’parfum qui l’enivre et la passion dévorante. l’max est dépassé par la fougue. pourrait la mettre à nue sur le champs, lui arraché l’peu d’vêtement qu’elle a. mais la brune en décide autrement. c’est elle qui mène la danse. d’ses mots elle l’ensorcelle. l’attire vers elle. lui prend la main et l’guide jusqu’à la chambre. démon aux airs d’ange. et l’flic, docile, la suit. quand il s’agit d’s’envoyer en l’air, l’sauvage s’montre plus tendre. tous les deux arrivent dans la chambre. dans l’intimité d’sa vie. et les voilà à nouveau collés l’un à l’autre. à s’embrasser avec la même passion. à laisser l’désir les consumer. feu ardent qui les dévore tous les deux. elle a la peau brûlante, opale. quand il la touche enfin, y s’crâme les doigts. brûlure qui s’veut pus agréable qu’il ne l’pensait. impatients leurs deux corps échouent finalement dans le lit, l’un contre l’autre. et la danse commence. celle qui froissent les draps. celle qui fait hurler d’plaisir. celle où les chairs s’entrechoquent. l’flic s’abandonne entre ses bras. perd l’contrôle entre ses cuisses. n’pense plus à tout c’qu’il s’était interdit. profite d’la sirène qui s’meut sous lui après l’avoir tant repoussée. cherche à la dompter en maltraitant sa chair. en la griffant. en la mordant aussi. mais la succube sait s’défendre. et elle aussi plantent ses griffes dans la carne du flic. l’possède comme s’il lui appartenait déjà. les deux laissent l’animosité parler. une rage qui s’exprime dans la violence mais aussi dans l’plaisir charnel. l’écorché n’sait plus si c’est elle qui l’rend fou ou si c’est c’qu’ils partagent tous les deux qui l’fait perdre l’sens d’la réalité. ce dont il est sûr, c’est qu’il voudrait passer la nuit aux creux d’ses reins. qu’il est prêt à porter l’poids des chaînes si ça lui offre des nuits comme celle-ci. ouais, ça, c’est si on lui demandait maintenant. quand l’matin viendra, sa réponse sera tout autre. @Opale Millstone |
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