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| (( je hurle en silence)) oda. | |
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| Sujet: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:07 |
| save the queens ---- / ODALEEN STEVENSON
23 ans ---- / ace of clubs---- / alyssa lynch
identité complète - le sang qui coule dans tes veines est un souvenir, des gênes qui ont préféré la poudre blanche à t'aimer. Un père que tu n'as pas connu, un gosse de la rue, comme ta mère, qui t'a abandonné pour ton bien à ce qu'il paraît. une famille stevenson, nom gravé au feu sur ton coeur malade. Odaleen souvenir de ta naissance, aucune source sur ce dernier, une lettre qui te dit quelques petites choses dont ton prénom, ton origine et les causes de cet abandon , abandonné à la sauvageonne. lieu de naissance et origines - dans une zone du queens, tes cris faisant écho à la pauvreté de tes parents, le froid glaçant ton petit coeur et le manque jonchant tes entrailles. des origines malgaches de ta mère un père américain, abandonné à la vie, comme c'était écrit sur cette page blanche décrivant ta courte vie avec eux pendant deux mois, une vie dont le souvenir n'aura laissé qu'un coeur mort. études ou métier - t'aurais pu courir jusqu'à en perdre haleine, jusqu’à tuer ton myocarde, mais il s’était joué de toi, te rendant inapte, alors même si ta vie allait être courte, t’avais décidé de arpenter des univers diverse, donner de ta voix au reste du monde, tu animes une émission de radio , parlant de tout et de rien, laissant la parole aux auditeurs durant trois heures en plein milieu de la nuit. Tu donnes de ton temps en cajolant des bébés abandonnés comme toi, sans aucune famille, quémandant la chaleur humaine d’une famille. Famille que tu leur offre le temps de les cajoler, de leur donner de la force pour affronter la vie. Bénévole calineur. orientation sexuelle - homme et femme. T’as jamais vu de différence, profiter de la chair, sentir le myocarde crier cette envie de s’enivrer avec l’autre. statut civil - y a eu orlando, puis plus rien. Y a eu ton cœur de camé, puis ce nouveau cœur, que tu ne comprends pas, ne sachant conjugué l’amour avec ce dernier. puis le néant d'un myocarde trop bruyant. pi, scénario ou prélien - pré-lien inventé , le pl est de @Andreas Stevenson
save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE
once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star traits de caractère / Féminine, mais tu n’aimes pas attirer l’attention. Tu sais que ton côté ingénu suffit pour séduire les autres. Prudente et discrète, tu n’en fais jamais trop, pour n’en faire pas assez parfois. Sensibilité maternelle, dans ton cercle familiale ou d’ami, tu trouves ton bonheur, les abandonner fût douloureux pour toi. Les protéger. Ouverte d’esprit, qui ne juge jamais les autres. Tolérante et générosité , avec cette envie de mettre à l’aise tout le monde, depuis toujours. La bonté en main, le cœur dans l’autre. Généreuse, tu donnes tout pour les autres. T’es ordonnée, clairement maniaque, supportant pas souvent qu’on dérange ton environnement. Quand tu es contrarié, tu peux vite devenir brutale, oubliant la tolérance quand ce qui est arrivé ou dit te touche beaucoup trop, ou est injuste. L’injustice te rend mauvaise, prête à te battre pour les autres, même quand ça te concerne pas. Lunatique depuis ton opération, tu ne sais plus sur quel pied danser. Sensible et rêveuse. Tu es douée pour aider les autres, tout en étant crédule te laissant souvent avoir. Douée pour la photographie, tu as une vision si prude et belle des choses, mais tu n’oses pas exposer aux opales des autres, même aux membres de ta famille. Romantique, elle aime partager des moments intenses avec celui ou celle qu’elle aime. Optimise tu as une vision simple, mais idéale de l’amour. L’amour peut te rendre capricieuse et agaçante comme une enfant quand la relation est sérieuse, à étouffer parfois l’autre. |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:07 |
| save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share boumboum. ça vibre, ça frappe fort dans ta poitrine. t’as le mal au cœur, un cœur pourtant en excellente capacité de marche. rien à voir avec ton ancien myocarde. la mélodie est différente, plus forte, elle te donne mal à la tête. t’as toujours la nausée en te rappelant que tu vis, alors qu’un autre a dû y laisser la vie. tes opales qui survolent ton image qui se reflètent dans le miroir, ton être dénudé, laissant cette cicatrice partant du haut de ta poitrine jusqu’à quelque centimètre plus bas que ta poitrine. elle est longue d’une bonne vingtaine de centimètre, la taille de ton sternum, ce stigmate de cette sternotomie médiane sera là durant longtemps, la cicatrice s’estompera. un jour. avec le temps. les mêmes mots qui résonnaient dans ta tête quand tu disais que ta putain de vie allait enfin finir. t’avais écumé les écumes, côtoyé les charlatans, les beaux parleurs du monde de la nuit quand tu pensais que cette âme s’envolera pour toujours. incapable d’affronter le regard des autres. impossible de faire ça. t’en étais incapable. pas possible pour toi de les voir se réjouir, et de te voir heureuse de mourir. ils ne comprenaient pas. pas tous du moins. on t’a demandé de te battre, de soulever les dernières forces en toi pour y croire. mais t’étais qu’une putain de poupée ruinée par la vie, et t’avais qu’envie d’être égoïste tout en les protégeant tous. disparaître. la seule solution. un adieu sans en être un. un dernier mot, un dernier moment avec eux, y a huit mois de ça. ce beau mois d’hiver, le soleil réchauffant ton être, ton âme, alors que ce cœur suffoqué, te laissait agonisante. mais tu faisais de jolie sourire, laissant croire à tous que tu allais y songer. songer à te battre, ne pas songer à prévoir ton putain d’enterrement. car tu avais tout prévu, sauf la vie. t’avais renoncé à tout ça, les faux espoirs qui avaient ruiné tes traits d’ange, l’usure, la fatigue qui prenait plus d’importance que prévu. tout prévoir, ta mort, ton enterrement, leur demander à tous de sourire, de prendre ça bien, de vivre pour eux, de ne pas pleurer ta vie, car ils avaient rendu celle-là, bien plus belle qu’elle n’aurait pu l’être. sans les parents stevenson, sans la fratrie venue de nulle part, toi l’enfant de personne, sauf d’une camée qui avait rendu ton myocarde incapable de te mener à une vie pleine d’année. t’es arrivée sur terre avec les pleurs d’un enfant en manque, le manque de came, le manque de ne plus être nourri par cette mère qui prenait de tout, pour planer, voler au-dessus des étoiles. petite ballerine qui avait tout bonnement elle-même abandonnée l’idée de vivre, sans cette passion. telle fille, telle mère. des rêves de gloire pour l’une, des rêves de vie pour l’autre. ta mère avait brisé sa jambe en dansant, avec ton père en dansant dans la rue. ton histoire, leur histoire tu la connais. trop jeune pour avoir un enfant, trop jeune, t’étais censée terminé aux oubliettes, mais elle s’est raccrochée à toi et aux antidouleurs. lui s’est envolé pour continuer de danser, de faire rêver les autres, tout en laissant un bout de lui en elle, tout en volant un bout de son cœur en partant. détruite. elle s’était battue pour toi, de longue journée et de nuit décousue à l’idée de replonger, de planer à nouveau, mais elle ne l’a pas fait, jusqu’à vivre une vie de famille. ce gosse et elle. de mauvais choix. puis la fin de cette histoire, la fin de son combat, car la drogue avait gagné. une overdose, puis toi qui avait dû finir dans le système, un enfant de plus. une fille de plus. l’orphelinat, puis un peu de famille d’accueil. avant d’avoir celle qui ouvrira son cœur, son âme à toi. june. une famille pour toi, qui finit par devenir votre famille. l’adoption est faite, comme pour les autres enfants ,des arrivés tardives pour certains. une famille, composée d’âme émanant de différent endroit, cousue par des gênes distinctes, personne ne pourrait le voir, car l’amour est le même. une vraie vie. une vie qui t’a donné des ailes, t’as aimé voler, mais parfois l’atterrissage n’est jamais plaisant. une vie d’enfant. une vie de plaisir. toi qui n’avais jamais refusé de découvrir, tu étais tombée amoureuse de la course, la course d’obstacle ou encore les longs marathons. t’as couru un jour, un jour comme un autre. puis toi tu as fini dans le noir, les opales cachées de la lumière du jour. un malaise, tout le monde avait imaginé ça, mais à seize ans ton cœur c’était arrêté pour la première fois. le verdict était tombé. ton cœur était anormal, mal formé, les efforts fournis pour la course, finissait par avoir eu raison de toi, personne ne savait que tu étais une ancienne accro, une accro par l’intermédiaire de ta mère. toi, tu découvrais des choses de ta mère, tu te souvenais pas d’elle, tu n’avais pas le souvenir de jours heureux avec elle, ou même avec lui, le père absent, que tu crois , tu n’avais jamais su qu’avant son overdose fatale ta mère, elle avait déjà eu ces démons en elle. impossible de le savoir. une vie douloureuse, tu pensais pouvoir vivre avec les pilules avec ton traitement, tu vivais. l’air gonflant douloureusement tes poumons, les efforts qui t’épuisaient si aisément. une vie différente, à partager de l’amour avec la famille stevenson. des relations à redonner de la force à ce cœur abîmé. june toujours celle qui sera la sœur qui avait tenu ta main, tenu à te tenir en sécurité, une relation forte. andreas le double, le bienfaiteur de ton cœur, protecteur, laissant ses bras t’encerclais, te donnant l’amour que t’avais jamais imaginé pouvoir avoir jusqu’à ton adoption à tes huit ans. petite fille au cœur brisé par les familles d’accueil. par une vie atroce dans un monde pas fait pour des enfants. si seulement tu savais que ton cœur n’était pas qu’en lambeau, mais en panne. tu sortais, tu ne buvais pas, tu ne fumais pas. tu t’efforçais d’avoir un corps sain, tellement. le bonheur au bord des lèvres avec joy, prénom qui lui correspondait à merveille à tes yeux, ta bulle d’air qui t’enfermait dans un monde, votre monde, jusqu’à tomber. vivre sainement, survivre, ne plus être toi. puis malgré tout ça, tu as fini par la voir décliné ta vie, encore. toujours une putain de rengaine, qui démoralise, qui tiraille tes entrailles. princesse n’aura sans doute jamais trente ans, même pas vingt-trois ans, sans une greffe. de l’air fourni, de l’aide pour respirer, des épreuves qui n’en finissent pas de te faire tomber. succomber à ce mélodrame qu’est ta vie. puis t’as le cœur qui a décidé de tomber amoureuse, qui a décidé de succomber à l’amour, vingt et un ans et l’amour à grandit pour ton colocataire, plus âgé, tu vivais avec lui, ce n’était que temporaire, le temps de trouver mieux, mais le temps avait beau passé, tu étais restée à ses côtés. pas d’amour, pas de nom sur un vous, car d’abord ami, puis t’as toujours reculé face à la maladie, ne pas le dire à tous, ne pas tout dire de toi. pas à lui. soutenu de tes proches, puis t’as ce jour de l’an gravé dans ta tête. ce baiser échangé, lui qui était venu, alors que tu étais en couple, un mec qui ne te connaissait pas vraiment, la différence d’orlando à qui tu avais fini par tout dire. les doigts qui glissent sur ta cicatrice, alors que ce cœur bat, ton cœur, maintenant. tu repenses à orlando et tu as mal. car il n’a jamais assumé ce baiser, alors tu t’es renfermée, enfuie, à lui les adieux furent impossibles, le seul à qui tu n’as jamais dit que tu partais. lui avait détesté te voir préparer ton enterrement, un livre comme ceux des rêves de mariage, mais pour enterrement c’en était trop. un silence, puis ton départ. ta supposé mort. puis tu songes à quand ton bipper à sonner. deux fois. deux putains de fois. une fois qui t’avait réjoui, tu avais été si heureuse, mais tu avais eu tort de le faire, car très vite, toi prête à être endormie, l’envie de les revoir, avec un nouveau cœur, tu avais été stoppé. « désolé, vous avez de la fièvre. » une putain de fièvre qui avait tout ruiné. un cœur qui s’échappa de toi, alors que tu déclinais. une prochaine fois, tu verras. qu’on te disait. mais non. non. toi la graine de ne plus se battre venait de se planter. tu ne voulais plus jamais voir leur regard si déçu, si dramatique. les regards de cet amour que tu leurs portais, toi qui ne savais plus comment vivre sans être un poids pour eux. les idées qui mûrissent dans ta petite tête, princesse qui ne voit qu’une seule solution. machine sans cœur, c’était ce que tu étais. ne plus jamais voir de larme glisser sur le doux visage, leur briser leur cœur, pour toi qui n’étais plus rien, mais un faux espoir pour eux. ton monde fragile, que tu finissais d’envoyer promener, dans des adieux jamais prononcés, juste ton absence glissant dans leur vie, petit à petit. pas d’égoïsme à ton idée, une protection pour eux, pour ne jamais les briser, ne jamais les abandonner. alors, t’avais décidé de tout arrêter. t’es partie pour mourir. tu devrais sans doute l’être, mais le cœur bat. boumboum boumboum. il n’en cesse de jouer sa musique, de ruiner ta tranquillité, tu ne sais pas encore gérer tout ça, pourtant ça va faire six mois qu’il bat en toi. y a encore deux mois tu étais dans une clinique de repos, une clinique de repos qui devait t’aider, tu devais te ressourcer, te poser et réapprendre à vivre, car ta vie sera comme avant les premiers émois de ton ancien cœur. un nouveau cœur que tu ne penses pas mériter. quand tu es arrivé à l’hôpital, tu avais cru à une blague, disant que t’en voulais pas, déjà trop résigné. mais on t’a fait changer d’avis. lio. l’ange glissé sur ton épaule depuis ces mois d’absence. une coïncidence qui avait glissé ton petit frère dans ta vie d’absente. il n’est jamais reparti, pourtant qui aurait misé sur vous deux, glissant vos doigts les uns dans les autres pour vous soutenir. lio qui te sauve, qu’il te rend une liberté, liberté que tu regrettes. effrayé la poupée, tu ne le vis que trop mal ce cœur qui bat dans ta poitrine, te donnant des envies de glisser dans une tombe pour ne jamais te relever. pourtant tu es là, pour affronter, glissant des ténèbres pour la lumière, les rejoindre, sachant que rien ne sera facile dans tout cela. rien. se blottir contre eux, tu le désires, mais tu as si peur que ce cœur ne batte pas pour eux, qu’il ne jouent pas la mélodie pour june, andreas, joy, alexander ou ada, pour tes parents. lio lui ce cœur s’est habitué à lui, présent sans espace l’un pour l’autre.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
lkd/cindy ---- / 00 ans ---- / rpgiste
ville - toujours Carcassonne études ou métier - étude d'éducateur spé et surtout en plein stage avis général sur le forum - beau comme toujours et jusqu'à l'éternité le détail qui t'a fait craquer - mon personnage; la famille de bb marie; vous ; le forum puis alyssa lynch un peu trop de chose puis aussi avouons tous les liens de la famille fréquence de connexion - trop souvent et pas assez à mon goût, c'est pas logique on le sait que je le suis pas. crédits des icons - @Pando le mot de la fin - je vous aime à toute les sauces ,surtout au miel et au chèvre, car c'est la vie - Code:
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[b]alyssa lynch[/b] / [i]odaleen stevenson [/i] |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:09 |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:10 |
| Rebienvenue ! |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:16 |
| - Odaleen Stevenson a écrit:
- trop souvent et pas assez à mon goût, c'est pas logique on le sait que je le suis pas.
Tu le sais au moins. Enfin elle est là ! Alyssa est magnifique, la future famille qui se dessine aussi. Et je vois qu’on a encore un passé bien tourmenté. Rebienvenue chez toi pour la 727818296e fois. Amuse-toi bien. Et vive le chèvre-miel. |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:35 |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 22:43 |
| - Nunzia Baratteri a écrit:
- Rebienvenue bb
merci chaton - Alejandro Aguirez a écrit:
- Rebienvenue !
merciiiii - Isabella Kingston a écrit:
- Odaleen Stevenson a écrit:
- trop souvent et pas assez à mon goût, c'est pas logique on le sait que je le suis pas.
Tu le sais au moins.
Enfin elle est là ! Alyssa est magnifique, la future famille qui se dessine aussi. Et je vois qu’on a encore un passé bien tourmenté.
Rebienvenue chez toi pour la 727818296e fois. Amuse-toi bien.
Et vive le chèvre-miel. heureusement que je le sais que j'suis bizarre, imagine le malaise avec moi même sinon
un petit peu tourmenté , pas beaucoup mercii beaucouuup
ON EST D'ACCORD #TEAMCHEVREMIEL - Wael Kuhn a écrit:
- Oh here we go Notre chef de file de la légion des schizos qui vient nous ravir avec une nouvelle petite pépite
La jolie Ali' en plus ; on ne pouvait rêver et imaginer mieux pour une poupée solaire, qui respire la joie de vivre, espiègle, mutine et facétieuse. En dépit de ce rubis cardiaque qui luit d'un faible éclat et lui fait la vie plus grise Puis bon, t'sais déjà tout le bien que je pense de ce PL et de cette famille patchwork, plurielle et cosmopolite Rebienvenue et bon courage pour la fin de ta magnifique fiche ainsi que ta validation mais t'es tellement une douceur, que j'en peux plus de toi déjà. trop un amour même dans tes bienvenues, je vais pas survivre à nos rps avec tant de douceur moi merciii beaucoup pour tes compliments, j'en mérite pas tant pour le coup merciiiii vraiment beaucoup et la chef de file des mcs je sais pas hein tout plein d'amour sur toiiiiiiiiii |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Dim 24 Nov - 23:47 |
| ma sistaaaaaa je te souhaite officiellement bienvenue sale chieuse (oui oui, déjà dans la peau de ta soeur) sans rire, alyssa est sublime, et oda est un personnage en or donc, j'ai hâte de rp avec toi, que ce soit avec joy ou peyton je pense qu'on va faire de belles choses ! love love! |
| | | Lali Morales;
-- pretty lies, ugly truth -- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
maría. étangs noirs, ethereal. 4421 1236 27 le coeur coffre-fort, uniquement comblé par tout ce qui brille. femme de chambre dans un hôtel de luxe (le plaza). les sourires de façade qui habillent les traits de son visage, les bonnes manières et les courbettes apprises avec frustration. en coloc' dans le queens contemporain, et ce n'est jamais assez bien. no gold-digging for me
i take diamonds
we may be off
the gold standard someday.
☆ ☆ ☆
| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Lun 25 Nov - 0:18 |
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. Lun 25 Nov - 12:37 |
| Salut traitresse petite sœur |
| | | Contenu sponsorisé;
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| Sujet: Re: (( je hurle en silence)) oda. |
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