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Message Sujet: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Sam 3 Aoû - 11:24




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Ce soir comme tous les soirs, ou presque, Joe est de sortie. L'animal rôde dans les rues sombres de la ville. En manque d'adrénaline. En manque de moyen d'évacuer sa rage. En manque de danger. En manque de bien trop de choses pour pouvoir rester sagement dans l'appartement qu'il squatte depuis quelques temps. Cette fille est adorable au possible. Trop pour un type comme lui, c'est évident. Et ça ne lui donne que plus encore envie de sortir. C'est ça où il devient véritablement imbuvable. Et dans la foulée, il prend le risque de se faire mettre à la porte. Lui qui ne comprend déjà pas comment elle peut bien se laisser berner de la sorte. Tout accepter ou presque. Elle qui doit forcément se douter de ses infidélités à répétition. Il n'a pas la tronche du type qui reste sagement fidèle à une nana. Pas encore en tout cas. Peut-être que ça changera. Peut-être qu'un jour il lui prendra la terrible envie de se ranger. Éventuellement, quand il aura quarante et se dira que ça pourrait être cool de ne pas finir ses jours complètement seul et paumé comme un abruti dont personne n'aura jamais vraiment voulu. Mais il est encore loin de ce genre de préoccupation. Dans sa tête, les quarante ans c'est dans une éternité.

Et en attendant d'y arriver, il profite à sa façon. Avec alcool à gogo et des filles pas emmerdantes autour de lui. Deux blondes ce soir. Qui ne sont pas sans lui rappeler une autre paire de blondes au lien de parenté proche. Brève pensée qui a surtout le don de l'amuser. Lui qui a bien l'intention de finir chez l'une ou chez l'autre. Avec les deux tant qu'à faire. Lui qui disparaîtra avant le lever du jour pour rentrer chez la petite Campbell. Il puera la clope, l'alcool et le sexe. Alors il échouera probablement sur le canapé, histoire d'éviter une potentielle dispute. Lui qui préfère les éviter pour ne pas s'emballer et ne commettre aucun acte irréparable. Son but dans la vie n'a jamais été de la passer à l'ombre, derrière les barreaux froids d'une prison à la con.  Même s'il donne l'impression du contraire avec le sale comportement qui est le sien depuis toujours. Il est justement bien trop accroc à sa liberté. Quand il est libre de boire jusqu'à frôler le coma éthylique. Libre de baiser chaque fille qui lui plaît un tant soit peu. Libre de prendre sa moto pour aller où bon lui semble à travers les Etats-Unis ou en dehors ... Surtout, libre de cogner qui bon lui semble. Même si ça, c'est une autre histoire et ça lui a justement valut une peine de prison.

Ce soir comme tous les soirs, avec la quantité d'alcool qui se joint à son sang dans ses veines, il va certainement perdre le contrôle. Comme toujours, ou presque. Il a déjà les yeux qui se détournent de plus en plus régulièrement des deux blondes qui l'accompagnent. Pour aller se perdre plus loin. Ici et là. Les prunelles claires semblent maintenant être à la recherche d'un autre genre de proie. D'un type costaud si possible. Pas trop, parce qu'il tient à sa vie. Mais assez pour recevoir presque autant de coups qu'il en donnera lui même. Ca fait partie du jeu. Ca fait partie de son jeu. C'est beaucoup moins bon quand l'autre se contente de se laisser faire et qu'il termine à moitié mort sur le béton sans avoir occasionné aucun dommage à son agresseur. L'équilibre est relativement compliqué quand il se lève et pourtant, il le fait. Il s'apprête à "simplement" traverser le bar pour aller se rafraîchir un peu le visage, quand un type le bouscule.

Il n'en faut pas davantage pour le faire réagir. Il ne faut jamais grand chose pour ça. Il prend quand même la peine de l'interpeller pour qu'il se retourne. Pas le genre à cogner sur un type de dos. De toute façon, il préfère le son d'un nez qui craque sous son poing. Son jouissif au possible. Comme le coup qu'il ne parvient à éviter tout à fait dans la foulée. Encore trop assommé par la quantité d'alcool consommée. Ce qui ne l'empêche pas de réagir au quart de tour. Un pote de l'agressé vient l'aider. D'autres en profitent pour se mêler au bordel. Bagarre générale. Décor apocalyptique. Chaises qui volent. Bouteilles qui éclatent. Joe qui encaisse quelques coups sans rechigner. Qui en donne davantage encore. A s'en blesser les phalanges.  L'animal grogne et fonce plus encore dans le tas. Ce n'est que lorsque le propriétaire des lieux menace d'appeler les flics, que le tatoué décide qu'il a besoin de sortir prendre l'air. Il faut connaître ses limites. Les siennes sont là. C'est  à bout de souffle, la gueule en sang et les mains esquintées, mais le sourire sur les lèvres, que Joe retrouve l'air relativement frais de la nuit.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Sam 3 Aoû - 14:36



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Si on t'avais prévenu que ta vie allait se casser entièrement la gueule en moins de six mois, tu te serais contentée de rire à gorge déployée. Tu serais venue éteindre la vie de l'arrogant, n'offrant aucune secondes pensées à ses dires. Pourtant, il s'en est passé tellement des choses que t'as été capable de sauver les meubles. Et encore, parce que toi t'es plus du genre de celles qui défoncent le mobilier. T'es revenue à New-York pour elle, la princesse des enfers, celles qui déchaînaient ses démons maléfiques sans ciller Tu trouvais en elle ton égal, pour la première fois de ta vie. Quelqu'un d'aussi violent, de perturbant. Tu lui aurais ramené la tête de n'importe quel abruti sur une simple demande de sa part, te contentant de plier le genou à terre le visage fraîchement découpé roulant à ses pieds. Pour elle t'aurais pu assassiner des nations entières, si elle lâchait les brides fermement tenues dans ses mains hâlées. Soleil où tu es lune, chaleur se mêlant à la glace.   

T'ignores ce qu'il adviendra de l'empire des Barger, tu te contentes de regarder de loin. Tu comptes sur Lina pour te prévenir au moindre changement, et au pire t'iras poser tes miches dans le bar du vieux Solomos prendre des nouvelles autour d'une bouteille de vodka. Tu feras peut-être même l'effort de l'amener, celle-là. Mais pour le moment, t'as d'autres affaires en cours de ton côté, d'autres chats à fouetter. Comme ce chère agent cohle, avec qui tu t'amuses grandement. Cette rencontre au restaurant, cet accord que tu lui as suggéré. Car maintenant, il le sait qu'il faudrait te tuer pour un jour te voir arrêter. Car maintenant, il a comprit l'ampleur des expériences humaines russes et des armes massives qu'ils ont crée dans le plus grand des secrets bien cachés dans les déserts givrés. Éduquée, formatée, programmée pour tuer. T'as répondu à certaines de ses questions, l'attirant toujours plus dans tes filets. L’imperceptible sourire sur ses lippes lorsque tu t'es finalement présentée. Tri pour trois, Tri comme la nuit.

Comme tout les soirs depuis plusieurs semaines, tes pas te mènent vers l'un des nombreux clubs que les anciens hells ont l'habitude de fréquenter surtout pour y foutre le bordel. Toujours comme à la maison, tu viens gagner le fond de la salle et t'installes une jolie donzelle à chacun de tes bras. L'éternel blouson de cuir sur tes épaules, ton casque de moto posé à tes pieds tu balaye la salle du regard en posant tes pieds lourdement sur le rond de table devant toi. T'attends, patiemment le moment où tu pourras te laisser aller. Ta baston du soir, toi qui vient finir de casser les mâchoires pour faire régner le calme. Tu supportes pas ces connards aux ego démesurés, tu te contentes de leurs faire bouffer le pavé en te remerciant. Le visage des gazelles fondent vers ton cou, parfois tes lèvres que tu viens mordre sauvagement comme pour les remettre à leurs place. Elles t'appartiennent, pas inversement. Tu te prépares un rail de coke, accompagné de ta fidèle vodka. Elle au moins, elle ne s'enfuit pas face à l'adversité. La montée est rapide une fois la poudre portée à ton nez, cette sensation de transe que tu apprécies depuis tant d'années.

Point nommé, lorsqu'une première bouteille se brise. Tu te relèves, tes pieds quittant la table et les deux poulettes désabusées. Tes yeux retrouvent de cette lueur meurtrière, et tes lippes se retroussent laissant apparaître tes canines aiguisées. La cohue commence à se mêler, et tu fonds comme à ton habitude tête baissée. Ce moment, tu l'as attendu toute ta journée patiemment. Le moment où la morana reprend du service, pour venir choquer les foules. Ton poing cogne, des bruits d'os brisés viennent s'ajouter aux grognements animaux de ces corps enragés. Tu finis finalement deux de tes proies, venant abattre respectivement bras et jambe dans leurs sternum coupant leurs respiration. Le commun des mortel se met à paniquer devant ce spectacle de chaises volantes et de bris de verres. Le propriétaire commence à paniquer et à menacer d'appeler les flics. Subitement, tout le monde s'écarte. Ca t'empêche pas de te prendre une droite au passage, première de la nuitée. Ta pommette craque et que tu n'en vois que plus noir. L'heure de la punition ayant sonné, tu viens saisir l'enfoiré qui a osé. Un coup d’œil vers les femelles t'accompagnant pour les intimer de te suivre à l'extérieur pendant que tu apprends la politesse au bâtard que tu tiens par le cou.

C'est donc à quatre que vous sortez du club, le mec paniqué de ne pas réussir à se défaire de ton étreinte autour de sa nuque. C'est ton pied qui envoie voler la porte violemment, s'en suivit du corps roulant sur le trottoir de ce connard ayant ouvert ta pommette. Ta main gauche venant chercher ton poing américain pour s'en habiller, la colère pulsant dans tes tempes tu te jettes sur ta proie lui assénant plusieurs coups au visage. C'est un sourire mauvais, qui étire tes lèvres tandis que tes opales sont désormais remplies de ta pupille dilatée par la drogue et l'excitation du sang éclaboussant le pavé et ton débardeur blanc. Tes meufs restent là, sans broncher se contenant de tenir ton casque de moto tandis que le mec agonise. Elles le savent, que si elles pleurent tu les endurciras en t'en prenant à elles. Le mec se plaint, alors tu lui en offre une dernière qui brise l'arrête de son nez de façon propre et net son os venant te dire bonjour. Tu t'relèves, lui craches à la gueule et viens essuyer ton visage perlant de cette sueur chimique.

Petit à petit, tu prends compte des alentours et de ce mec qui a observé toute la scène sûrement sorti du bar précédemment lui aussi. T'as les poings en sang, ton poing américain en étant à présent maculé également. "Ca va, ça t'excites de mater?" que tu viens siffler à son attention. Tu range l'objet en métal à sa place initiale tout contre ta fesse, ta main vient essuyer ta pommette ensanglantée, l'envie d'un nouveau rail t'assaillant. "Vue ta sale gueule, toi aussi t'étais là dedans. T'en veux aussi?" parce que bon, quitte à te mettre à danser autant le faire sérieusement.

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@joe beckford (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} 3132515876
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Sam 3 Aoû - 17:12




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Ce genre de mêlée violente au possible, c'est au moins aussi bon qu'une partie de jambes en l'air endiablée pour Joe. Lui qui prend déjà beaucoup de plaisir rien qu'à contempler le chaos qui règne subitement sur l'endroit. Il aime voir ces gueules en sang, ces chaises brisées et ces bouteilles brisées. Il aime l'expression de la douleur sur les tronches. Et celle de la panique sur le visage des innocents. De ceux qui se mettent sur le côté et qui assistent à tout ça sans oser bouger. Sans même être capables de prendre le risque de se diriger vers la sortie. De peur de se prendre un mauvais coup ou un objet volant non identifié. Joe est toujours aux premières loges. Voir carrément sur le devant de la scène. Ce soir il n'a été que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase déjà remplit à ras bord de tensions diverses et variées. L'alcool y est pour beaucoup. Il le sait, lui qui boit constamment comme un trou. Il connait les ravages de l'alcool sur l'organisme et sur le cerveau. Perte de contrôle. Perte de réflexion suffisamment poussée. Et atténuation de la sensation de douleur par la même occasion. Juste de quoi faire de Joe une vraie machine de guerre lorsqu'il a la quantité d'alcool suffisante dans le sang. Et la rage assez développée également. Dès lors, c'est perte de contrôle assurée et incapacité à s'arrêter tant que le calme n'est pas revenu pour de bon dans son esprit. Parfois, c'est le mot "flic" qui provoque l'arrivée de ce calme.

C'est le cas ce soir. Parce qu'il ne peut pas se permettre de se faire attraper dans une bagarre de ce genre et de se faire coffrer. Il se prendrait de plein fouet les deux années de prison qu'il n'a pas faites. Arrivé dehors, il prend quand même le temps de souffler un bon coup. D'apprécier la légère fraîcheur de la nuit qui est tombée depuis plusieurs heures maintenant. C'est maintenant que les quelques douleurs commencent à se réveiller. Et c'est loin d'être désagréable. Même si les traits de son visage se parent temporairement d'une grimace. Du plat de ses mains il tâte d'ailleurs un court instant, son thorax et ses côtes. A la recherche d'une potentielle blessure qu'il n'aurait pas tout de suite remarqué. A part quelques bleus qui risquent de bientôt faire leur apparition, rien de trop grave. Pas de plaie ouverte à déclarer. Il s'apprête finalement à filer pour rentrer chez Diamond, à pied, quand il entend la porte s'ouvrir avec fracas derrière lui. Par réflexe, pour éviter de se prendre un coup dans le dos, il pivote. Le spectacle qui s'offre alors à lui vaut le coup d'oeil. Une rouquine enragée traîne un pauvre type qui tombe sans pouvoir lutter, face contre le bitume. La rouquine qui ne lui laisse aucunement le temps de respirer. Elle lui tombe déjà dessus, poing armé en avant pour aller lui exploser, littéralement, le visage.

Joe ne bouge pas de là où il se trouve. Captivé par le son des os qui craquent et des plaintes de douleur qui suivent. Captivé aussi, et surtout, par la vue du sang qui se répand en milliers de petites gouttelettes sur le béton froid du trottoir. Il devrait vraiment se tirer avant de prendre le risque de voir débarquer la police. Mais c'est plus fort que lui. Il est littéralement hypnotisé par tout ça. Presque en transe quand la gonzesse se redresse et l'apostrophe. De toute évidence, elle en veut encore. De quoi amuser le tatoué qui n'a rien demandé pour une fois. Et qui n'a toujours pas envie de prendre le risque de se faire attraper par les mecs en uniforme. C'est à moi qu'tu parles ? Qu'il s'exclame, presque hilare, en se désignant de son index décoré d'une bague épaisse. Il est plus amoché qu'elle, c'est un fait. Mais ça ne signifie pas qu'il est réellement dans un pire état. Elle s'est peut-être davantage dépensé. Trop ? Dans tous les cas, il n'a pas l'intention de remettre ça tout de suite. A moins que quelqu'un ne parvienne à faire revenir la colère au galop. Il suffirait d'un rien. D'une toute petite étincelle suffisante pour relancer le brasier, rallumer l'incendie. Fais pas chier minette. Tu t'es pas assez amusée comme ça ? Qu'il reprend, toujours sur le même ton. Les prunelles brillant d'ironie.

La rage en lui s'est temporairement apaisée. L'animal ronronne au creux de son ventre. Heureux au possible. Soulagé pour un temps. Il n'a donc véritablement aucune raison de remettre ça tout de suite. Mais ça reviendra. Ca lui revient toujours. Sans moi, tout ça serait même pas arrivé. Tu devrais plutôt me r'mercier ! T'as quand même l'air d'avoir pris ton pied toi aussi. Conclusion dans un haussement d'épaules. Qui a tout de même le don de rappeler à ses souvenirs quelques petites douleurs ici et là. Des muscles qui lancent, principalement. Il prendra beaucoup de plaisir à se faire soigner par Diamond. Ca fait partie du processus / du jeu. Sans ça, le tout ne serait pas tout à fait complet dans son esprit. Le regard de Joe se détourne temporairement de la rousse, pour apercevoir les deux autres minettes qui semblent l'accompagner. Petit sourire au coin des lèvres. Il n'est apparemment pas le seul à profiter à ce point là de ces soirées qui finissent mal. Mal selon certains points de vue. Pour lui, c'est juste l'apothéose. Le but recherché quand il entre dans ce genre de bar et qu'il s'enfile autant de conso fortement alcoolisées.

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@Houna Tchernychev (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} 1813423790
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Sam 3 Aoû - 19:28



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
La cocaïne dans ton organisme, tu es la bestialité à son summum. Tu peux bien continuer de frapper jusqu'à défoncer le visage jusqu'à sa boîte crânienne si le cœur t'en dis. Attacher son corps à ta moto pour le laisser se traîner sur la distance que tu auras décidée suffisante pour le punir. Lui ôter la vie du bout de tes aiguilles et le laisser comme un vulgaire chien l'écume à la bouche. Tu savoures ses plaintes de douleur, les craquements de ses os sous le poing américain aller et venant avec fureur pour lui refaire le visage à la russe. Puis quand ton oeuvre d'art te satisfais, et que plus aucun son n'émane de lui tu te relèves satisfaite, le gratifies d'un crachat en plein visage pour le dégrader un peu plus. Enfoncer le clou de l'humiliation plus profondément, pour qu'il s'en souvienne. Encore faut-il pour ça qu'il soit encore vivant ou son cerveau en état de fonctionner. Son sang recouvre ta peau, ton cuir et ton débardeur blanc à présent tacheté de tâches rougeâtre comme une voie lactée.

Tu sens ton sang pulser dans tes veines, faire battre tes tempes au même rythme que tes battements de cœur énervés par la substance mêlé à l'adrénaline. Tu relèves les yeux, balaye les alentours en guise d'autres âmes à calmer. Tes poings ont beaux avoir subit, la drogue dans ton système efface la douleur et aiguise tes sens. Tu menaces, morana. Montres les dents en restant sur tes appuis prête à partir au quart de tour, au moindre prétexte. Comme l'hilarité totale du tatoué à la gueule en sang, ne manquant pas de faire grincer tes canines entre tes lippes serrées. Tu le laisses rire, s'amuser de la situation de ces quelques mètres vous séparant l'un de l'autre. Trois secondes, le temps que tu te donnes pour pouvoir l'atteindre si tu t'élances au bon moment. Trois secondes pour venir écraser ton poing dans sa mâchoire, ou bien son sternum pour enchaîner sur sa sale gueule déjà abîmée de ton autre bras. Autant de possibilités qui fusent dans ta tête, tout en calculant soigneusement la manière la plus violente de l'atteindre.

Tes gazelles ont un hoquet de surprise lorsque l'encré vient te provoquer. T'es pas un chaton, une jolie boule de poils ronronnante de plaisir sous les caresses. T'es le puma qui se tapit dans l'ombre sans bruit, le félin qui traque sa proie dans le plus grand des silences jusqu'au sprint et au coup de croc final. Car tu sors toujours triomphante, le sang de ta victime maculant ton corps tandis qu'il se vide du sien. Il te demande si tu ne t'es pas assez amusée, la réponse étant dans ses propres mots tandis qu'il revient à l'assaut. Le reste se passe rapidement, la suite de ses provocations lorsqu'il t'annonce tout fier de lui être à l'origine de cette baston générale avant d'ajouter que t'as l'air d'avoir pris ton pied. Pas assez, un goût de trop peu lorsque ta langue raidie passe sur le bord de tes lèvres afin de te les humidifier un instant tes opales plantées dans celles de la grande gueule qui ne manque pas de maintenir ce feu faisant bouillir ton sang. "J'pourrais peut-être bien atteindre le nirvana en t'finissant la machoîre." ça pourrait te faire bander, si t'étais un mec de casser des bouches à tours de poing. T'as le ton traînant, hautain, froid. Des armoires à glaces, il serait pas le premier à qui tu te frottes.

Viens alors l'acte de trop, celui qui vient te mettre le coup de fouet sur l'échine te poussant à passer à l'acte. Tu ne supportes pas son sourire de coin lorsque ses yeux se reposent sur tes deux trophées de la soirée, créatures à qui tu comptes bien offrir une des nuits les plus sauvages de leurs existence. "On t'as jamais dis que c'était pas beau, de regarder dans l'assiette du voisin?" Elles t'appartiennent, et même s'il peut t'arriver de partager dans certaines occasions tu viens finalement briser ces trois secondes de distance pour abattre tes poings contre son torse le déstabilisant d'un pas en arrière. Te voilà à quelques centimètres de lui, vos opales se percutant de toute votre puissance. Il t'offriras plus de résistance que celui gisant au sol, promettant un intéressant ballet."Ou alors ce qui t'excite, c'est de te faire démonter? T'as qu'à demander tu sais, ça nous ferais du bien à tout les deux." Il n'y a pas de limites, t'en as jamais eu et n'en auras jamais. Tu n'as pas peur du danger, tu es le danger. Le monstre qui effraie les enfants aux pays, eux qui pensent te retrouver sous leurs lit, bien cachée. Le cauchemar des politiciens et des haut-gradés de l'armée.
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@joe beckford (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} 2625458459
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Sam 3 Aoû - 22:04




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Il ne connait pas du tout cette femme qui sort du bar derrière lui, en charmante -et moins charmante- compagnie. Mais en cet instant, elle a tout l'air d'être une version féminine de sa personne. Avec la violence qu'elle met dans ses gestes et la rage que son regard dévoile. Elle a tout du prédateur qui s'apprête à donner le coup de croc final pour achever sa proie.  C'est beau à voir pour quelqu'un comme lui. Il contemple avec une certaine fascination. Et presque l'envie de se joindre à elle pour ajouter une dose de violence à cet acte qu'elle est en train de commettre. Il n'en fait rien pourtant. Se contente de contempler de loin. D'assister à tout ça sans ciller. Sans avoir l'air dégoûté outre mesure. Contrairement à ces deux minettes qui accompagnent la rousse.  Même si pour l'heure, Joe s'occupe davantage à contempler le show de la rouquine, plutôt qu'à mater ses deux accompagnatrices. Qui doivent certainement se demander si elles font bien de rester pendant que l'autre crache toujours sa rage. Celles qui étaient avec lui ont disparu pour le coup. C'est dommage. Ils s'apprêtaient à partager une nuit pour le moins agréable tous les trois. Mais si elles ne résistent pas à la vue d'un peu de violence, elles n'auraient certainement pas supporter une nuit entière en compagnie du tatoué. Il espère presque pour la rousse enragée que ce sera différent pour elle. Histoire qu'elle profite pour deux.  Lui qui se reconnait tellement en elle. Quand bien même il ne la connaisse pas franchement. Pour ne pas dire pas du tout.

Bien vite pourtant, il ne se soucie plus tellement de ces détails là. De son bien être et de tout ce bordel. Alors qu'elle semble avoir besoin d'une dose supplémentaire de violence. Et qu'elle a tout l'air de vouloir la trouver auprès de lui. Ou de vouloir la passer sur sa tronche à lui, plus précisément. Parce que c'est plus fort que lui devant tout ça, Joe réagit avec une ironie qui achèvera sans doute de la convaincre qu'il fait le punching ball parfait. Il titille le tatoué. Parce qu'il ne sait pas faire autrement. Provocation après provocation, il peut la voir se tendre de nouveau. Se tendre dans sa direction. Se tendre sur ses muscles. Elle est prête à bondir sur sa nouvelle proie. Consciente, certainement, qu'il ne sera pas aussi aisé de le mettre à terre que celui qui continue de se vider de son sang sur le trottoir. Tu s'rais bien la première à y arriver ... Qu'il rétorque en se passant les doigts sur la mâchoire. Le regard toujours rivé sur elle. Maintenant qu'il est conscient du danger qu'elle pourrait bel et bien représenter pour lui il n'a plus l'intention de baisser sa garde. Il ne la sous estime pas sous prétexte qu'elle est une femme et qu'elle ne paie pas de mine comme ça. Il serait idiot de sa part de finir sa course par terre, pour cause d'excès de confiance.  Il ne pense même pas, à cet instant, que le bref regard qu'il accorde aux deux minettes à moitié nues, pourrait être l'ultime déclencheur. Parce que c'est un regard bref et désintéressé. Parce qu'il s'amuse simplement des points communs qu'ils ont. Alors à sa phrase, c'est un quoi ? presque hilare qui lui échappe. De toute évidence, elle cherche simplement un prétexte pour lui tomber dessus.

Et il a le rire qui s'éteint quand elle bondit, féline, avant qu'il n'ait eut le temps de voir venir le coup. Il recule d'un pas, vacille mais maintient l'équilibre. Elle a de la force. Il doit bien lui reconnaître ça. Mais il en a connu de plus costauds. On va vraiment jouer à ça ? Qu'il gronde, l'oeil de nouveau mauvais, les prunelles plus sombres. Les pupilles dilatées. Parce que c'est un fait, tout ça a le don de l'exciter. L'amateur de violence. D'un mouvement brusque, il la repousse du plat de ses mains flanquées un bon coup sur son thorax. Juste de quoi la faire franchement reculer à son tour. Arrête ça. Tu pourrais t'faire mal. Qu'il gronde, narquois. Mais clairement sérieux. Qu'elle n'aille pas s'imaginer qu'elle pourra avoir le dessus sur lui, comme elle vient de l'avoir avec cet autre type. Et ça l'arrangerait qu'elle ne le provoque pas de trop. Il ne respecte pas beaucoup les femmes, Joe. Mais il ne tient pas à leur cogner dessus non plus. S'il peut l'éviter, il le fait. Lorsque l'une d'entre elles parvient à vraiment le foutre en rogne, son poing traverse un mur dans la foulée ou brise le nez du premier mec venu.  Juste de quoi satisfaire l'animal qui aura été réveillé en lui. J'cogne pas les nanas, c'est beaucoup trop facile. Qu'il ne peut s'empêcher de poursuivre.  Comme s'il attendait le vrai coup de sa part. Celui qui le fera craquer une bonne fois pour toutes, parce qu'il ne sait pas faire autrement.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Sam 3 Aoû - 23:37



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Si l'un des hells avait été là, il aurait été capable de te faire rentrer dans les rangs. De te faire ranger les crocs, puis te faire lâcher l'affaire. Seule, t'es un animal enragé sans muselière avec pour unique envie de mordre tout ce qui passe devant son museau. Et c'est pas les deux gamines ayant passé la soirée à tes côtés qui tenterait de te retenir.Tu vois rouge, puis noir. Moment où tu décroches, où les ordres ne comptent plus. Combien de fois tu as désobéi sur le coup de la colère? La première fois étant le jour où le plus froidement du monde t'abattu tchetirié. T'avais quoi, onze ans Houna? Lorsque tu t'es jetée sur ton frère d'arme, lui arrachant les yeux de ses orbites pour le laisser s'éteindre dans la douleur en agonisant. T'as été punie, sévèrement. Vous n'avez pas le droit de vous toucher en dehors des entraînements, tu as laissé ta faiblesse voler un futur talent à la russie après tout. T'es restée enfermée pendant combien de semaines dans cette cabine étriquée à devoir rester debout malgré la fatigue? Combien de fois tu t'es faites réveillée par l'eau glacée mordant ton visage te laissant grelotter dans le froid sibérien.

Ton entraînement se reflète dans tes mouvements adroits et rapide. Dans cette façon que tu as de t'approcher du barbu énervant ton système nerveux. Son rire moqueur s'éteint, pour laisser place un quart de seconde à la surprise sur son visage lorsque tu fonds sur lui. Tes mains venant heurter son sternum pour le faire reculer. Tu réponds à ses provocations, incapable de te contenir en pleine montée de coke. Bordel de merde ce qu'un rail de blanche te fait envie. Tu te consoles avec les pupilles du barbu se noircissant face à toi, humectant tes lèvres de satisfaction lorsque sa voix gronde. Rapidement, il te repousse à son tour te laissant reculer de quelques pas. T'aimes ça, quand on te donne du fil à retordre. Que tes proies se débattent dans tes griffes avec une ultime envie de vivre. T'aimes ça, les voir paniquer lorsque ton poison vient foutre le bordel dans leurs organisme. Les cellules osseuses s'effritant peu à peu pour se mêler au sang. Les reins cessent de fonctionner dans l'instant, tandis que la neurotoxine ajoutée de façon savante à la grande ciguë joue son rôle de paralysant cinquante fois plus rapidement. Les organes cessent de fonctionner uns à uns, et c'est les yeux injectés de sang captant une dernière image d'horreur se révulsent avec ton sourire comme image à emporter dans la tombe.

Tu le laisses à peine finir sa phrase que ton poing nu vient cogner sa mâchoire de plein fouet."Moi par contre j'cogne les connards trop machos sans problèmes aucuns." Incandescentes, tes opales teintées normalement d'un vert émeraude sont entièrement noires laissant un sombre ballet de flammes danser à l'intérieur. Ton cœur bat la chamade, excité par la drogue dans organisme. Tu pourrais, lui laisser le temps de s'expliquer, de parlementer, de faire passer les femmes pour des animaux faibles et sans défenses. Tu pourrais. Mais t'es pas patiente, t'es pas diplomate. T'es pas du genre bavarde, tu laisses ta violence s'exprimer pour toi laissant toujours plus de cadavres sur ton chemin. Ton second poing vient frapper les côtes, de toute ta force de frappe. Combien d'années, t'as passée à te faire dérouiller par tes frères et leurs force brute? Combien de fois tes côtes à toi ont été cassées? Un grognement s'échappe de tes lèvres lors de l'impact résonnant dans l'entièreté de ton bras. Le jeu se promet d'être intéressant, amusant.

"J'vais devoir te frapper jusqu'à ce que tu répondes où tu comptes enfin t'bouger la bidoche?" Cognes moi, montres moi ce dont t'es capable avec ta gueule cassée. Tu passes rapidement ton poignet sous ton nez, réflexe de camée qui démontre ton envie nette d'un peu de poudre dans ton nez Tu te places sur ta garde, prête à esquivée ta rapidité étant l'un de tes points fort, seule arme que tu as réussie à trouver afin de préserver une cage thoracique à peu près vivable sans manquer de te perforer un poumon avec un bout d'os baladeur. Tu balances ton poing américain sorti de la poche sur ta fesse à tes beautés attendant patiemment tes promesses susurrées à leurs oreilles portant leurs fruits. Promesse d'un peu d'cash, un peu de drogue aussi. Une nuit de folie où danseront les démons savourant les plaisirs charnels. Tu te battras sans, tes seringues comme dernier atout pour venir clore le débat si tes poings ne suffisent pas. "Allez, essaie au moins de démonter la pommette que ce fils de pute a tenté de commencer" que tu claques lui présentant ta joue. Toi aussi tu peux provoquer, rendre fou.

Frappes moi, si tu l'peux.
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Dim 4 Aoû - 14:09




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Il ne sait rien de cette fille là, Joe. Il se doute qu'elle est capable de beaucoup. De trop, même. Il a un petit aperçu de la rage qui l'habite et qui n'est pas sans lui rappeler celle qui le possède lui même. Il lit les mêmes choses sur ses traits, que ce qu'il peut lire sur les siens quand il est dans cet état là. Il la comprend. Et n'est donc qu'à moitié surpris quand elle s'en prend à lui. Verbalement, dans un premier temps. Elle n'est pas encore calmée. N'a pas encore eut droit à sa dose entière de violence. Il comprend ça aussi. Il est plutôt bien placé pour tout comprendre, dans l'ensemble. Toute cette rage qu'il a et qu'il faut évacuer à tout prix. Mais quand elle vient à lui, prête à en découdre, il a presque envie de se défiler le Joe. Rien à voir avec une peur quelconque. Pas son genre d'avoir peur de quoi que ce soit et de qui que ce soit. Simple hésitation devant le fait qu'elle soit une femme. Il n'a que très rarement cogner une nana. Quand il le fait, c'est qu'elle l'a réellement voulu. Elle a tout fait pour le pousser à bout au préalable. Ce que semble être prête à faire la rouquine qui continue de le provoquer et de lui tenir tête. Il gronde tout bas le tatoué, regard toujours rivé sur elle. Et se tend quand elle lui flanque un coup de poing. De nouveau, ses doigts tatoués passent à cet endroit là alors que, lentement, sa tête se tourne pour que son regard revienne à elle. Sur son visage déformé par la haine. Rien d'autre ne saura la calmer qu'une réponse digne de ce nom, de la part de Joe. Il en est bien conscient.

Il constate tout de suite, de près, qu'elle a les pupilles dilatées la rouquine. Et ce n'est certainement pas juste à cause de la rage qui l'habite. Se droguer, c'est déjà triché dans un combat. Il gronde encore quand elle lui offre un nouveau coup de poing. Dans les côtes cette fois. Ses prunelles bleues s'assombrissent davantage encore. Il serre les dents. Pour sûr, ça fait un mal de chien. Elle a de la force la folle. Elle cogne plus fort que certains hommes, il doit bien lui reconnaître au moins cela. Il aura au moins quelques marques supplémentaires sur la peau. Une jolie palette de couleurs faite de bleu, de vert, de jaune. Bien placés, ils se verront entre deux tatouages. Sur les flancs nus. Là où elle vient de cogner comme une forcenée, plus précisément. Elle est autant accro à la douleur que lui même l'est, apparemment. Il suffit de voir et d'entendre avec quelle excitation elle demande à être cognée en retour. Elle est tellement lui au féminin. Ce qui ne rend pas la chose forcément plus supportable pour le tatoué qui peste en silence. Putain d'camée ... Qu'il gronde tout bas. Elle rêve certainement de sa poudre blanche à cet instant. Joe n'est pas idiot. Il ne foncera pas tête baissée. Pas cette fois. Les drogués sont trop imprévisibles. Et elle est bien trop sur ses gardes celle là. Prête à éviter un coup pour lui en donner un autre tout de suite derrière. Ce n'est pourtant pas faute de vouloir tâcher de rouge ce visage crispé et encore trop peu abîmé. Y'a pas à dire, l'autre type a véritablement raté son coup.

Il choisit plutôt de flanquer un coup de pied dans ses jambes. Sans mesurer sa force, pour être bien certain de lui faire perdre l'équilibre. Et parce qu'il ne voit plus aucune raison de se mesurer. De se retenir d'user de toutes ses forces face à cette provocatrice. Amatrice de violence. Peut-être autant accro à la douleur qu'il l'est lui, également. Parce qu'il sait qu'il faut enchaîner avec une nénette enragée comme ça, il vient poser son pied à plat sur son thorax. Pour la maintenir à terre. L'empêcher de se relever trop vite. Mais bien conscient également qu'il ne se protège pas tout à fait ainsi. Qu'elle pourrait trouver un moyen de retourner la situation. Il le sait et se contente de s'y préparer mentalement. Il n'appuie un peu plus fort que pour accentuer la domination qu'il a sur elle. Pour lui faire comprendre, au passage, qu'il peut vraiment lui faire mal s'il le souhaite. Il est encore suffisamment stupide pour prendre sur lui. Pas sûr que ça dure bien longtemps. Elle sait y faire pour réveiller la rage en lui. Alors qu'elle vient tout juste d'être rassasiée. Il n'est jamais contre l'idée de la réveiller de nouveau. Pourtant, cette fois, il aurait préféré éviter de prendre le risque de voir débarquer la police. Ce sont deux années de prison qui menacent de lui tomber dessus au tatoué. Et si on disait que celui qui finit debout, repart avec les deux minettes ? Soit. Il gardera ses provocations pour lui ... Plus tard.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Dim 4 Aoû - 17:58



so far, so good
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«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Il grogne, encaisse tes coups rapidement placés. Tes poings s'enfoncent sur son visage puis son flanc successivement. Le souffle court, excitée par la rage pulsant dans tes veines. Si encore l'autre abruti avait été suffisamment courageux pour se défendre, t'aurais peut être été moins en rogne. T'aimes pas, quand c'est trop facile. T'aimes jouer avec tes proies, leurs faire croire qu'elles ont le dessus avant de refermer ta poigne sur leurs petits corps prit au piège. Sa main passe sur son visage pendant que tu reprends ta garde, un large sourire mauvais étirant tes lèvres. T'aimes ça quand les corps se percutent, que les coups se rendent. Tu te sens vivante, uniquement lorsque tu mets tes talent à l'oeuvre. Une dernière provocation lancée à son égard, toi qui lui tends ta pommette éraflée comme cadeau. Il a le mot de trop de nouveau, celui qui te fais vriller. Putain d'camée, à peine assumé du bout de ses lippes ensanglantées. "Tu peux répéter du con?"

La coke, l'héro, le speed. Ces substances avec lesquelles on te gavait de courage quand t'étais encore qu'une enfant. La substance qui ôte les pensées superflues, qui énergise vos membres, vous rendant encore plus monstrueux que vous ne l'étiez déjà. Habitude qu'ils ont gardés, pour gardant dociles et prêts à obéir. Programmés pour ne pas réfléchir, uniquement suivre les ordres, toujours. Pas de conscience, pas d'ego vous êtes les propriétés de la russie. Elle qui depuis votre plus jeune age à abusé de vous, vous détournant de nombreux orphelinats pour mener le projet des Faux à bien. Combien de champs de bataille vous avez ravagés, combien d'ennemis avez vous tués? Le pied du tatoué te rappelles à l'ordre venant heurter tes jambes. Tu chûtes, ton crâne claquant contre le sol du trottoir. Son panard vient trouver place sur ton thorax, qu'il compresse fortement. Vos opales se trouvent, furieusement animées de flammes ardentes. Appuyant sa domination sur toi, la savourant il se permet d'ajouter que le gagnant du combat pourra repartir avec tes deux femelles attendant sagement. Ton rire déchire la nuit, bien trop calme à ton goût. Pontant légèrement tes abdos libres de toute emprise, tu viens faire basculer l'une de tes jambes contre le corps massif s'opposant à toi. Jamais, tu ne laisseras personne avoir le dessus sur toi. Ni Adin, Chiést ou Siém. Ni la russie ou n'importe quelle autre pays. Tu auras toujours le dernier mot Morana, jusqu'à ton dernier souffle.

Ton corps entame un grappling, tes jambes s'enroulant autour des siennes et de son corps pour venir le faire basculer en contre poids tout en t'aidant de tes bras. Vos carcasses roulent dans un tonnerre de grognements et de souffles rauques. "Pose même pas tes yeux sur mes jouets, sinon je m'en ferais un collier." Le barbu se retrouve sur le dos, étalé de tout son long ta tête coincée fermement entre ses cuisses pour le priver d'air. Une petite suffocation pourra sûrement lui apprendre les bonne manières. Venant te redresser légèrement pour te replacer sur ses épaules, cette fois-ci c'est toi qui viens asseoir ta domination bloquant le temps d'un instant les bras de l'homme par l'étau de tes jambes. Son visage offert, tu viens le couvrir affectueusement de tes poings. La rage à son summum, le plaisir aussi qui monte en toi en flèche. T'es dérangée houna. Tu ne vis que pour les os brisés, le sang versé, les âmes que tu mets sous silence. Tu ne vis que pour la drogue, le sexe et la décadence. Tu trouves ta place dans l'apocalypse, comme l'un de ses quatre cavaliers.  

Tu profites, en sachant qu'il ne se laissera pas faire bien longtemps. Tu l'as assez tenté, lui as donné assez de raisons de répondre à tes provocations. Qu'il goûte à ton krav-maga, à ton aïkido ou même ton Penchak Silat. Qu'il se délecte de cette pluie de poings tombant comme une pluie d'étoiles filantes. Qu'il vienne essayer ton jeu de jambes pour se noyer entre tes cuisses suffocant du manque d'air. Plus de mots, juste ces râles d'excitation couvrant l'effort. T'as dû en trouver, de nombreux moyens pour tenir tête aux plus forts.
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Dim 4 Aoû - 20:51




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Elle y va trop franchement la rouquine, pour que le tatoué puisse laisser passer plus longtemps. Il ne va pas demeurer son punching ball plus longtemps. Et elle doit bien s'en douter. Elle fait tout ce qu'elle peut pour réveiller la rage qui n'est qu'en veille en lui. Elle a pigé le genre de personne qu'il est. Elle a compris qu'ils partagent ce sentiment de haine qui anime constamment. Elle se doute aussi qu'il ne lui faudra pas grand chose pour démarrer de nouveau. Pour lui exploser à la gueule. Quoi ? J'dois l'dire plus fort ? Que t'es une foutue camée qui m'les brise sévère ? Il grogne l'animal. Les deux prédateurs cessent peu à peu de se tourner autour pour se jeter au cou de l'autre, tous crocs dehors. Prêts à se faire mal. Très mal. T'aurais pas la moitié d'ton courage si t'avais pas l'nez plein. Qu'il enchaîne, exprimant la rage qui l'anime de nouveau. Qui lui colle l'envie de l'étaler sur le béton froid une bonne fois pour toutes. Une envie qu'il sait partagée. C'est lui qui enchaîne. En la faisant chuter durement, une première fois. Et qui assoit sa domination sur elle, de son pied posé sur sa cage thoracique. Il appuie juste assez fort pour lui faire saisir qu'il ne plaisante pas. Des fois qu'elle ait le moindre doute à ce sujet. Il sait qu'elle va faire en sorte de vite reprendre le dessus. Il s'y attend et pourtant, ne cherche pas à l'en empêcher. Comme si une part de lui avait besoin d'un peu plus de violence de sa part avant de s'emballer pour de bon en retour.

Joe, il n'aime pas quand c'est trop simple. Cogner c'est bon. Recevoir des coups dans la bataille, c'est jouissif. Alors il provoque encore. Elle répond en réagissant au quart de tour. Il hésite presque à rire tant c'était prévisible. Au lieu de ça il grogne. Les corps valdinguent. S'écroulent. S'emmêlent. Les membres s'accrochent. Tentent d'emprisonner l'autre dans une prise quelconque. N'importe laquelle. Celle qui vient le plus naturellement. Grognement encore, quand elle lui coupe le souffle. Pourtant, un rire étouffé quand elle enchaîne avec plusieurs coups de poings. La douleur est là. Vive. Violente. N'importe qui aurait dit "insoutenable". Pas lui. Lui, il prend son pied à tout ça. Les mouvements sont secs et brutaux. Tentative après tentative pour se libérer. Presque le son des crocs dans la nuit. Ca claque, ça cogne, ça heurte. Le bras se libère, le poing part. Il use de tous les muscles de son corps pour la faire basculer. Elle vacille. Nouveau coup de poing qui décolle. Parfois il se demande pourquoi il ne se laisse pas juste tuer une bonne fois pour toutes. Mais à tous les coups il suffit d'un conflit de ce genre pour qu'il se rappelle que c'est la lutte qui est bonne. Qui fait le tout. Et qu'il est doté d'un instinct de survie, comme tout être vivant qui se respecte. Cri/grognement rageur quand son poing part encore une fois. Il heurte le corps féminin de toutes ses forces, à plusieurs reprises. Cesse de vouloir l'épargner sous prétexte qu'elle est une gonzesse.

Il grogne comme un animal. Il cogne comme un forcené. Il jure entre deux. L'insulte copieusement. Si elle ne faisait pas tant de résistance, il lui éclaterait déjà le crâne contre le trottoir. Mais elle n'est pas facile la minette à la chevelure de feu. Elle sait se battre. Elle se défendre et donner des coups. Elle connait bien des choses. Des trucs que ne connait pas forcément le tatoué lui même. Lui, il a appris dans la rue. D'abord, quand il a fallut apprendre à se défendre. Ensuite, quand il a réalisé le plaisir qu'il prenait à s'en prendre aux autres. Aujourd'hui, s'il maîtrise quelques trucs, il ignore de quelle discipline ils viennent. Il sait juste qu'ils font leur petit effet. Des prises conjuguées à une force qu'il travaille jour après jour en faisant du sport, ça a forcément son petit effet. Et ça lui permet de maîtriser bien des types moins entraînés, moins habitués, moins coordonnés dans leurs gestes. Et rares sont les gars qui arrivent à lui résister autant qu'elle, elle est en train de le faire. Il ne s'attendait pas tout à fait à cela. Mais c'est étonnant bon. Et quand, contre toute attente, il parvient à reprendre le dessus, il ne s'en prive pas. A son tour d'être plaquée sur le sol. Un genoux en appuie sur le sternum. Une main ferme enroulée autour de sa gorge qui appuie assez fort pour couper toute arrivée d'air. Il sait qu'il n'est pas tout à fait à l'abris de ses bras et de ses jambes de furie. Il compte juste sur son épuisement. Pour qu'elle ait bien moins la force de lui répondre et de se dégager.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} Empty Lun 5 Aoû - 17:44



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«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Putain d'camée. Chienne de l'armée. Tri pour trois, Houna aussi glaciale que la toundra. Maîtresse des poisons, divinité de l'hiver et de la mort. Morana impitoyable, ta grande ciguë comme signature dans leurs organismes flingués. Bien des pseudonymes pour une et même personne. Tu fais danser les aiguilles entre tes doigts, vient l'enfoncer dans la carotide au moment le plus opportun laissant la magie opérer. Court spectacle n'ayant de cesse que de te couper le souffle toujours aussi subjuguée par la beauté résultant dans ces yeux qui se révulsent pleins d'horreur. L'animal flamboyant, le monstre assoiffé de sang. Celui qui hante les esprits de ces pupilles luisantes, qui gronde puissamment pour venir déchirer la nuit en deux. Celle qu'on tient muselée pour éviter les coups de dents. "J'vais t'éclater si fort que même tes putes te reconnaîtront pas." tu craches, rageuse ses piques venant se loger dans tes chaires son pied écrasant ton thorax.

Tu le fais chuter au sol, après avoir réussi à glisser tes jambes pour venir former un mouvement de balancier. Vous roulez, les coups s'enchaînent tout comme les jurons fleurissants entre deux grognements. Tu arrives à coincer sa tête fermement entre ses cuisses afin de réduire son débit d'air, ses voies respiratoires étant hors d'usage le temps que tu viennes te hisser sur lui. Tu reprends finalement le dessus, venant bloquer ses épaules par le poids de ton corps. Tu ne contrôles plus rien, ni ta rage dévorante ni tes poings ravageant le visage du tatoué. Tu t'en mords la lèvre tellement c'est bon, que de voir le sang rougir un peu plus sa barbe, ou son arcade sourcilière. Que c'est bon, de pouvoir te laisser aller sans te retenir. Juste ce rapport brut, gratuit, violent à souhait. Deux bêtes furieuses se mesurant pour asseoir sa dominance, prendre la tête de la chaîne alimentaire. L'un de ses poings atteint ton flanc, tu vacilles par la force de son poids se remettant en action gratifiée d'un second coup.

Il n'y a que ton rire hystérique, qui vient prendre le dessus sur vos souffles rythmés. Le diable est finalement là, pile à l'heure pour le sabbat. Il se lâche, assume pleinement ses coups qu'il ne retient pas. Tu peux déjà imaginer ces ecchymoses qui ne tarderont pas à fleurir sur ta peau, les mêmes qui finiront couverts des lèvres de tes gazelles t'attendant patiemment en attendant que la crise ne se termine. Un sourire fou vient étirer tes lippes ensanglantées, le goût de rouille venant chatouiller tes papilles gustatives. Il t'insulte, ton rire reprend de plus belle pendant que ses poings s'abattent aléatoirement démontrant la transe dans laquelle il t'a bel et bien rejoint. Se lasse rapidement, vient poser son genou contre ton sternum joint d'une main serrant ton cou. Peu à peu, c'est à ton tour de suffoquer délicieusement te régalant de ce regard de fauve posé sur toi. Tu prends ton pied comme jamais, tu ne manqueras pas de le remercier copieusement.

Tu n'entends plus que ton cœur battant d'une façon lente et à présent régulière. Tes abdos se contractent, et ton corps vient former un pont pour le déstabiliser. C'est ton genoux valide qui entre en action et vient cogner l'homme au visage, pendant que l'une de tes mains vient enfoncer tes griffes sur la jugulaire offerte à ton bon vouloir. Il est encore trop tôt, pour que ton aiguille ne vienne s'enfoncer dans son cou. La poigne sur ta peau lâche, tu peux enfin de nouveau respirer correctement. La quinte de toux attendra, car c'est de par la force de tes pieds venant choquer de plein fouet le baraqué que tu lâches à ton tour sa gorge pour te relever. Tu craches au sol, le sang inondant ta bouche sur le moment. Ca faisait des années que tu ne t'étais pas autant amusée. "C'est bien y'a de l'amélioration, tu vois quand tu veux." Ton appétit n'est pas encore rassasié, les fauves ne sont pas encore calmés. T'attends qu'il se relève, qu'enfin vous vous battiez comme des grands plutôt que d'enchaîner les galipettes à l'horizontale.

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