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 (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Mar 13 Aoû - 1:12




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Joe, il n'est pas fait pour avoir une vie bien rangée avec une adorable nana à la maison qui attend qu'il rentre du boulot. Joe, n'est donc certainement pas fait pour les étreintes douces et romantiques. Joe, il est hors de contrôle, chaque jour un peu plus. Une bombe à retardement qui finira mal. Très mal. Il ne saura pas s'arrêter avant d'aller trop loin. Avant d'avoir ôté une vie ou deux "sans le faire exprès". Pour un regard de travers ou un mot mal placé. Il ne s'arrêtera pas avant d'avoir peut-être même dérapé avec une gonzesse. Lui qui ne sait pas vraiment s'arrêter. Lui qui peine à rester sage et à reprendre ses distances quand une nana se refuse à lui. Il n'a jamais été habitué à ce genre de frustration. Il supporte difficilement. Il joue trop fort avec le feu et il finira bien par s'y brûler. Lui qui est habitué à n'avoir qu'à jouer de ses charmes pour qu'une fille se plie à son bon vouloir. Il ne comprend pas quand ça ne fonctionne pas. Gamin capricieux par moment. Mais les filles, elles ne sont pas toutes faciles. Y'en a qui craignent les sales gosses comme lui. Qui ne veulent pas risquer de se mettre dans de sales histoires. Qui ont peur qu'il ne leur fasse vraiment mal. Forcément, lui, il aime bien celles qui s'excitent devant les voyous. Celles qui mouillent leurs culottes devant un type qui affiche un coquard mais surtout un petit sourire de connard satisfait. Parce que ça l'arrange, bien sûr. Et surtout, Joe il commence tout juste à découvrir les psychopathes à son image. Cette Houna en est une vraie. Par certains aspects, elle parvient même à le battre. Ce qui n'est pas si désagréable que ça. Même pour lui. Et c'est d'autant plus amusant de la faire se plier à ses désirs à lui. A lui imposer ses propres envies du moment. Le vicieux qui appuie sur un bleu pour lui faire mal. Dans la foulée, la blonde laisse échapper une plainte de plaisir teintée de douleur. Ca lui plait bien au tatoué, cette chaîne humaine diablement sexy et érotique. Et ça ne lui donne que plus encore l'envie de poursuivre à ce rythme fou.

Aucune lassitude à la vue de ses corps qui n'ont de cesse de se trouver, pour mieux s'éloigner et revenir dans la foulée. Celui de la rouquine vient percuter le corps du mâle lorsqu'il l'attire à lui. A sa réponse, il grogne à son oreille avant de laisser sa langue trouver la carotide. Bien vite remplacée par ses dents provocatrices qui mordillent/taquinent. De nouveau les deux corps féminins sont pressés l'un contre l'autre. Permettant au mâle d'aller et venir de l'un à l'autre. De se perdre dans l'antre chaud de l'une, avant de se planter dans l'autre. Arrachant des plaintes de plaisir sur deux niveaux de tonalité différents. Il prend tout ce qu'il a à prendre l'animal. Gardant néanmoins le contrôle de son plaisir pour ne pas en perdre le fil. Pour ne pas jouir tout de suite. Les reins dansent encore. Les corps claquent toujours. Et de nouveau des changements. Autre fente dans laquelle il se plante. Fort. La patience s'est fait la malle. Et tout le monde est bien trop excité par toute la scène et ces nombreux attouchements, pour qu'un corps n'oppose la moindre résistance. De nouveau il baise fort. Chien fou dépourvu de laisse. Il la sent qui se contracte en spasmes irréguliers autour de lui. Il l'entend qui laisse échapper des cris de plus en plus francs et incontrôlés. Et il la voit bien qui se cambre davantage encore. Qui lève plus haut sa croupe pour que le traitement ne cesse pas. Et le tatoué ne calme sa cavalcade effrénée que lorsque la brune est à bout de souffle, d'énergie et de force. Terrassée par l'orgasme.

Il n'a pas le temps de se réjouir de la chose, que la rouquine lui saute -littéralement- dessus. Il gronde lorsque les doigts se referment autour de ses cheveux pour le maintenir en place et inverser les rôles. Elle se fait dominatrice féline en le faisant basculer à son tour sur le canapé pour venir le chevaucher. Bien malgré lui, il laisse entendre un bref ricanement rauque. Excité au possible par ce jeu sans fin entre eux. Elles sont très rares les femmes qui n'hésitent pas à inverser les rôles pour le dominer. Il n'a pourtant rien contre. Du moment qu'elles savent réellement ce qu'elles font. Et c'est bien le cas de Houna qui n'hésite pas à faire mal dans la foulée. Une fois l'érection bien au chaud entre ses cuisses, elle se penche pour taquiner à son tour un bleu qui recouvre la peau. Le juron s'échappe entre les dents serrées. Mais ce n'est qu'une preuve de plus de son plaisir au tatoué. Lui qui ne peut que planter de nouveau ses doigts dans la chair de ses fesses. Marquer encore sa peau sans ralentir ses mouvements. Parce qu'elle danse sur lui Houna. La plus sensuelle et érotique des danses. Elle invoque le plaisir. Ses reins se creusent, ses hanches roulent. Elle monte et descend vite et fort. Le reçoit tout entier en elle sans aucun mal. Provoque l'extase. Attire l'orgasme. Elle tire sur les cheveux, le maintient en place de force. Et arrache ainsi quelques autres jurons grognés. Mais tout ça n'est que plaisir pur lui, encore. Du sexe à l'état brut. Animal. Bestial. Jouissif, bientôt.

CODAGE PAR AMATIS



@Houna Tchernychev   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 2067007726
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Mar 13 Aoû - 16:57



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Les hommes t'en ont toujours fait bavé. Que ce soit pendant tes longues années d'appartenances à l'armée, que dans ta vie privée. Chacun de tes frères si ce n'est siém te vouent une haine sans nom. Tu as cherché à les écraser, venant toujours plus prouver ton impitoyable puissance entraînements après entraînements. Dernier membre du sexe féminin à représenter les faux, tu te devais en l'honneur de tes sœurs que de venir porter fièrement votre étendard de féminité bien haut. Chacun des hommes de l'armée russe rêverait de pouvoir avoir ne serait-ce que l'occasion de t'éliminer pour envoyer ta tête rouler aux pieds de Putin après l'avoir laissée rouler au sol. Tu rigoles, très fort intérieurement, pendant que tu mènes ta petite vie de luxure ici. N'appartenant plus ni à la GRU, cette organisation secrète militaire se voulant être comme l'une de tes figures d'autorité ou encore moins à la russie. Tu n'appartiens plus à personne, véritable ouragan livré à lui même, ne demandant qu'à dévaster les terres sous son passage.

Comme ce soir, véritable furie enchaînant les coups faisant craquer les os tour à tours. Parce que c'est comme ça que tu t'exprimes le mieux, comme on t'as toujours dressé à le faire. Briser l'enfant, lui faire courber l'échine. L'blinder de médocs et autres drogues s'il le faut. Les rendre dangereux, puissants. Toujours maintenir la muselière en place, camisole mentale instaurée par ces années d'entraînements. T'y as passé combien de temps, dans le froid mordant de la sibérie à répéter inlassablement le même programme chaque jour? La perfection, l'arme la plus redoutable qu'il soit. Chiens de l'armée, assassins spécialisés. Si t'es restée Tri, c'est parce que tu l'voulais après tout. Tu voulais, apprendre, tout savoir, te parfaire. C'est bien pour ça que tu t'es bougée, que t'as parcouru l'monde plusieurs fois. Que t'as découvert les autres, ceux desquels t'avais été coupée pendant si longtemps te contentant d'autres militaires comme compagnie. T'as filé l'plus loin que tu pouvais, traquant habilement tes proies. Pis y'a eu ce truc, cette rencontre avec la bikeuse à qui t'as sauvé les miches de justesse avant de t'effondrer au sol. Parce que t'es bête Houna, quand tu t'jettes dans la fosse aux lions, et que là tu t'es faite touchée.

Y'a toujours cette cicatrice d'impact, sur ton abdomen que tu portes fièrement. La balle est entrée, et ressortie fièrement vers l'arrière de ton dos. Ca t'as appris à porter un pare-balle, au moins. T'étais jeune et bien trop féroce il y a dix ans. Si t'avais rencontré Joe, y'a dix ans, tu l'aurais très certainement buté pour ramener sa carcasse à Perséphone. Tes opales se posent sur le baraqué que t'as bien amoché. Tes yeux courent sur sa peau afin de te délecter de ses ecchymoses naissantes venant bleuir son corps. Tes canines retroussées par l'excitation de ce mélange de claquement de peau et de rugissements. La coke te met une balle, vient faire vrombir ton crâne de cette sensation recherchée. Tout est plus léger, précis. La brune se cambre délicieusement, gémissant de tout son être. Elle accueille les coups de butoirs, la croupe bien tendue que le baraqué vient saisir de ses paluches tatouées. La blonde, elle reste à côté, mise hors circuit le temps de se remettre de son orgasme. La bouteille de vodka te fait de l'oeil, tu viens la porter entre tes lippes et laisse le liquide venir bruler ta gorge. T'observe, voyeuse baignée par ces rayons devenus solaires. La proie de Joe commence à tressaillir, prête à s'abandonner totalement dans un tonnerre de cris ardents. Ça fait trembler la pièce, électrise ta peau.

Tu restes pas spectatrice bien longtemps, rompant l'espace entre vous. Ta main tuméfiée vient trouver les cheveux de l'animal, tes doigts venant s'enrouler autour de ses mèches sauvages. Il bascule sur le dos, quittant la partenaire émettant un nouveau gémissement lorsque le membre toujours gorgé de plaisir vient quitter son entre-cuisse trempée. T'as envie de danser un peu plus, de lui faire payer cette soumission qu'il t'a imposée. Tu t'soumets pas toi Houna, tu t'soumettras plus à personne maintenant. T'attends pas, reprend ta place fièrement sur son bassin dressée fièrement comme une amazone. Il vient glisser en toi, gémissement que tu retiens en t'bouffant la lèvre inférieure et lui d'un juron. Tu fonds sur lui, tes courbes entamant un rythme effréné attisant le plaisir. Tes dents trouvent un bleu, viennent le saisir sans ménagement. Ses mains saisissent tes fesses couvertes à présent de traces rougeâtres de part et d'autres. Le violet te sied mieux, que tu ne manques pas de glisser tout contre le lobe attentif de l'encré. T'amènes la violence comme le plaisir, toi qui as toujours été incapable de dissocier les deux réellement. Tu roules des reins, ta main saisissant la gorge de Joe pendant qu'il va et vient fièrement.

Tu te redresses un instant, pour venir lui offrir une vue sur ton dos et tes fesses caressant son bassin. Blondie semble bien déterminée à venir se finir une dernière fois entre tes mains, qu'il en soit ainsi. Tu dis rarement non, après tout. Tes doigts s'insinuent une nouvelle fois entre ses cuisses, tandis que tes dents retrouvent cette paire de tétons percés ayant égayé ta soirée, t'occupant juste assez pour attendre le réveil du baraqué bien membré. Ta main libre vient enfoncer ses griffes dans la cuisse encrée, saisissant fortement. "J'entends moins ta grande gueule... Bizarrement..." Tu feules, brûlante, ta déesse intérieure en folie. Tes courbes claquent, imposent toujours leurs rythme soutenu. Tu le laisseras pas venir, pas finir sans que toi, tu te sois réellement laissée allée. Parce que c'est c'qu'il voulait non? Lorsqu'il a lancé les hostilités contre toi en venant te retourner une première fois ôtant le dernier bout de tissu sur ton cul.

(c) DΛNDELION


@joe beckford (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 2465598603 (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 2465598603 (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 2465598603
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Mer 14 Aoû - 0:39




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Il ne connait pas l'histoire de la rouquine, le Joe, et ça importe peu. Ce qui compte ce soir, c'est qu'ils aient partagés la violence sous toutes ses formes. Pleine de hargne et de haine en se foutant littéralement sur la gueule dans une rue glaciale de la ville. Pleine de passion démesurée en s'imbriquant l'un dans l'autre, chez elle, sur son foutu canapé de cuir qui colle aux peaux moites de sueur. Dans les deux situations, chacun y a trouvé son compte, son plaisir, son petit bonheur. Deux caractères exécrables faits pour s'entendre à ce niveau là et en même temps trop semblables pour se supporter autrement. Plus ils se lâchent chacun de leur côté dans ce corps à corps sans fin, plus l'autre semble être satisfait au possible. Et excité comme jamais. Ils s'entraînent encore et encore. Cercle vicieux mais ô combien délicieux pour les deux âmes dépravées qu'ils sont. Ils ont trouvé la bonne façon de fonctionner pour rendre ces quelques heures aussi intéressantes que possible. Le tatoué ignore bien s'ils auront de nouveau l'occasion de partager ce genre d'étreinte ou si ce n'est l'affaire que d'une fois. Si leurs routes se croiseront de nouveau, ou plus une seule fois. Mais Joe il vit dans l'instant. Et l'instant est jonché de mélodies érotiques qui sonnent à merveille à l'oreille. Du soupir de soulagement au cri de jouissance en passant par le claquement des chairs qui n'ont de cesse de se percuter et de rougir l'une contre l'autre. Violence de l'étreinte à l'image de celles qu'ils ont mis à se cogner dessus un peu plus tôt. Quand c'est l'un dans l'autre qu'ils sont fichés. Quand ils ne sont pas, chacun de leur côté, sans cesse à aller retrouver d'autres courbes, d'autres creux, d'autres antres humides à posséder. De quoi offrir, par la même occasion, de magnifiques tableaux aux regards qui s'égarent. Joe prend presque autant de plaisir à dévorer ces oeuvres mouvantes et érotiques, qu'à en apprécier la saveur. C'est un tout absolument divin. Il ne regrette pas de s'être invité dans la danse. Nuit fauve comme il en a rarement connu.

Il se laisse faire même lorsqu'il prend l'envie à la rouquine de reprendre pleinement le dessus sur sa personne. Dominatrice féline qui joue à merveille de ses hanches pour le posséder comme il se doit et lui couper toute envie de l'en empêcher. Il subit le tout non sans exprimer son plaisir. Presque malgré lui. Tenté de lui faire payer ce retour de bâton en lui refusant l'expression de l'extase qui le saisit. Mais c'est plus fort que lui. Il est bien là. Il se répand en lui par vagues. Marée montante qui finira par le submerger tout entier. Pour ça, encore faudrait-il que Houna le lui permette. Rien n'est gagné. Elle est aux commandes et apparemment bien décidée à le torturer un peu plus longtemps. A lui faire payer des choses dont il ne se rappelle même pas. Si ce n'est son besoin de la dominer rien qu'une poignée de minutes. Quelle susceptibilité ! Mais si sa vengeance se tient à ces mains trop brutes sur lui et à ces mouvements puissants du bassin, il veut bien se laisser faire le tatoué. Toujours plus excité par l'ensemble. Par elle qui impose. Il gronde à la main qui s'enroule autour de sa gorge. Avant d'avoir droit à son dos. Et à la vision de ses fesses maintenant aussi abîmées que le reste de son corps. Il affiche un sourire de connard satisfait Joe. Qui vient de nouveau attraper la chair entre ses doigts. La malaxer sans douceur. La malmener avec insistance. Offrir un rouge plus soutenu encore à sa peau qui n'a plus grand chose de pâle désormais. Il prend un malin plaisir à provoquer de la sorte. Ne se prive absolument pas.

Elle s'en donne à coeur joie la rouquine. Et ne retient pas une énième provocation qu'elle crache avec ce qu'il interprète comme de l'ironie. Il jure à travers ses dents serrées. Et sans prendre la peine de prévenir, lui offre un coup de hanche qui la fait basculer. Les corps atterrissent lourdement sur le sol. Joe de nouveau dans le dos de l'hystérique, à enchaîner les violents coups de butoir. A secouer sans douceur ce corps coloré par la soirée mouvementée. J'préfère quand tu fermes la tienne. Qu'il grogne, durement. Quelques nouveaux coups désordonnés, avant qu'il ne se redresse et ne la malmène de nouveau pour lui imposer la position. Une qu'il plaque sur le sol, l'autre qu'il ramène contre son épaule. Ouverture des cuisses pour la posséder de nouveau. La prendre vite et fort. Se déchaîner en elle, contre elle, sur elle. La marquer au fer rouge de son passage répété et violent. L'une de ses mains marque de nouveau sa peau. Les doigts plantés dans sa cuisse. L'autre se perd sur sa poitrine. Attrape de la même façon. Serre bien trop fort. Se crispe et refuse de lâcher. Ses seins aussi ne sont pas assez marqués à son goût. Il faut changer ça. Il lui faut accentuer les traces de son passage sur ses courbes. Qu'elle ait plusieurs bonnes raisons de le détester, tant qu'à faire. Même s'il ne fait aucun doute qu'elle n'en manque déjà pas. C'est toujours bon de s'assurer que le compte y est. Qu'elle ait envie de le retrouver pour lui refaire le portrait une fois de plus. Il prend son pied comme ça le Joe.

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@Houna Tchernychev   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 1252774950
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Jeu 15 Aoû - 0:56



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Tout ses sens sont en éveils. Camée au plus haut point, la coke faisant partie intégrale de ton organisme après ces années de consommation. Depuis combien d'années, t'as cette poudre blanchâtre qui vient te les chatouiller,  tes narines pour te plonger dans cet état de transe? Te rendant encore plus enragée, animal carnassier, un charognard aux canines aiguisés. Vingt et un ans, à quelques mois près. T'ignores combien de kilos t'as pu sniffer, tu comptes plus les grammes remplissant tes pochons que tu vides à longueur de journée, du réveil à ton couché. Jusqu'à ce que tu t'étales ivre morte dans tes draps, pour venir sombrer dans l'néant. T'as jamais croisé Morphée, sûrement trop effrayé par la Morana. Deux entités de religions différentes ne voulant pas se frotter l'une à l'autre, venant te priver de repos. Les instants où tes yeux se ferment ne sont qu'un noir profond. Un noir glacial, comme les déserts sibériques dans lesquels t'as été forcée de t'entraîner nuits et jours. Ca t'as déglingué, ça t'as formaté. Tri, tri pour trois. Combien de fois, tu t'es répété ça, comme un mantra pour essayer de retrouver une once de lucidité dans toute cette hargne qu'on alimentait en toi tel un feu ardent.

Tu l'domines de tout ton être, tu lui imposes cette soumission, celle que tu hais tant. T'as été soumise, forcée de courber l'échine pendant des années. T'es plus tout ça, t'es Houna, houna et encore houna. Tri n'est qu'un lointain souvenir, une chienne de l'armée que t'as laisser caner à moscou lorsque ton supérieur s'est écrasé au sol, rapidement couronné de tes larges bottes pour venir lui exploser la boîte crânienne dans un énième excès de rage. Tu rugis, ta main vient gagner la jugulaire entaché d'un léger point violet. Babines retroussées à l'idée de ton aiguille s'enfonçant avec affection. Tes vas et viens sont rageurs, impitoyables, effrénés. Vos feulements se mélangent ensemble, symphonie animale agrémentée de claquements de peaux. Tes ongles s'enfoncent dans l'épiderme encré, saisissent fermement Tu t'laisses aller, prend finalement ton pieds. T'aimes ça, le voir s'agiter comme un diable pendant que t'es aux commandes. Il peut s'estimé heureux, t'aurais très bien pu le ligoter fermement pour abuser de lui encore et encore. Lui imposer des traitements bien plus terribles. Un rire te gagnes à cette idée, vient percuter son grondement de la même violence que vos ébats. Ses mains gagnent tes fesses, qu'elles empoignent fermement n'hésitant pas à malmener certaines ecchymoses ornant ta peau laiteuse ici ou là.

T'as l'affront de trop, celui qui le pousse à reprendre le dessus. Lui aussi, il apprécie lorsque tu fermes ta gueule. Pourtant, t'as plutôt une jolie voix, tu comprends pas toi. Vous trouvez le sol, il te montre clairement que les rôles ont besoin d'être échangés. Tout comme plus tôt, lorsque vous laissiez vos poings parler plutôt que de vos envies charnelles animant maintenant vos êtres. Il ne t'abandonne pas, t'assène quelques coups de reins légèrement plus maladroits que les précédents pour retrouver place dans ton dos, dressé fièrement. La blonde à chuté également, se retrouve le dos contre sol pendant que ta peau à toi revient trouvé le baraqué contre son épaule. Te forçant à ouvrir les cuisses un peu plus, son membre raide ne tardes pas avant de retrouver l'humidité régnant entre tes cuisses. Ses mains viennent te saisir de parts et d'autres pour venir apposer d'autres vilaines traces, preuves de son passage et de cette demie défaite. Empoignée par ces doigts tatoués, Joe continue de venir t'imposer sa cadence effrénée, brutale remuant dans le creux de ton bas ventre.

Tu te sens petit à petit partir, l'orgasme te tendant les bras d'autant plus que la blonde complice s'en vient de ses doigts pour agiter ton bouton de plaisir. Salope, tu manqueras pas de la faire dérouiller pour cet affront. Tu peux pas, t'laisser aller. Tu l'rejettes du mieux que tu peux, ton entre jambe palpitante ne demandant qu'à exploser dans de nombreux soubresauts de plaisirs ne manquant pas d'inonder cette verge toujours présente en toi. Tu te bouffes la lèvre, jures à ton tour en russe. Dans un élan de lucidité, tu tentes de te défaire de son emprise avec succès, son étreinte vient lâcher. Ton coude valdingue, tout droit contre son visage venant vraisemblablement atteindre son nez dans un craquement sonore. Tu ne le laisseras pas avoir cette satisfaction, que de te faire jouir sur ce tapis hors de prix. Encore moins lorsque tu es prise en traître par l'une de tes pétasses gémissante. "J'vais vraiment finir par te buter" que tu grognes tandis qu'il ne se démonte pas, le sang venant sûrement perler de nouveau sur son visage déjà bien abîmé par votre précédent ballet.

(c) DΛNDELION


@joe beckford (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 1712875017 (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 1712875017
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Ven 16 Aoû - 16:13




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Joe, il n'aime laisser une femme aux commandes que lorsqu'elle sait s'y prendre. Sur le plan sexuel, bien entendu. Il n'est pas question d'autre chose. C'est bien le cas de Houna qui se donne à fond. Avec toute la rage qui semble faire partie intégrante de sa petite personne, comme Joe lui même. Beaucoup de similitudes entre les deux. Ils ne pourront s'entendre autrement qu'en baisant et en se foutant sur la gueule. Forcément, le corps à corps ne pouvait que prendre une telle tournure. Sexe et coups. Coups et sexe. La violence dans l'étreinte. Faire l'amour et la guerre en même temps. Les marques qui s'accentuent toujours plus et qui recouvrent de plus en plus de surface de peau surtout. Plus grand chose de pâle sur elle. Et parmi les tatouages de Joe, les fameuses marques de coups trouvent encore le moyen de ressortir parmi les dessins encrés. Le tatoué ressortira de toutes les couleurs. Le rouge des coups récents. Le bleu et le vert pour les ecchymoses qui se sont installés pour de bon. Un peu de violet pour ceux qui sont plus profonds et plus prononcés. Mais ça lui plait au barbu. Toujours fier des marques qui restent après une bonne bagarre. Ce qui lui plait un peu moins en revanche, ce sont les blessures plus profondes qui risquent de le laisser sur le carreau plusieurs jours durant. Lui qui n'a que rarement la patience de tout arrêter pour prendre soin de lui. Même quand c'est une question de santé. Il finira par crever parce qu'il ne sait pas faire autrement que de continuer de rentrer dans le lard de ses ennemis d'un soir ou d'une vie entière. Ça finira mal mais au moins, il y est mentalement préparé. Même à l'éventualité de crever en baisant. En voilà une belle mort aussi. Avec Houna pour partenaire, ça ne semble pas impossible. Les mains n'ont de cesse de se refermer sur la gorge de l'autre pour couper temporairement le souffle, quand elles ne sont pas trop occupées à empoigner et malmener quelques jolies courbes qui s'offrent. Ses doigts à lui dans sa chair à elle. Ses ongles à elle dans sa peau à lui.

Mais Joe qui s'emballe une nouvelle fois quand la provocation s'échappe des lèvres de la rouquine. Encore une. Impatient autant qu'agacé, il la fait lourdement basculer sur le sol. Les corps ne sont plus à ça près niveau marques et douleur. Et il la prend tel quel. Coup de reins sur coup de reins impatients. Avant de la retourner pour reprendre le dessus, pour se planter une nouvelle fois en elle. En profondeur, surtout. Avec la rage qui ne le quitte plus désormais. Lui qui empoigne toujours plus durement son corps fin qu'il ne prend que trop de plaisir à torturer du sien. A dominer de toutes ses forces. Il peut presque entendre le mélange de pensées qui tournoie probablement dans sa tête en cet instant, à la rouquine. Partagée qu'elle doit être entre le plaisir qu'elle prend et la frustration à le prendre en étant celle qui se fait dominer et malmener. Il comprend ce mélange d'émotions et de sentiments pour être le même genre de sale bête dominatrice. Mais pas de quoi lui couper l'envie de poursuivre à ce rythme infernal. Loin de là. Il n'a pas peur le Joe. De réveiller la bête, de se prendre des coups, de la rendre ivre de rage. Dans le fond, ça a même surtout le don de l'exciter. Elle peut bien se déchaîner sur lui en retour. C'est presque le but même. Mais Houna elle est en train de se tendre contre son corps. Elle palpite fort autour de lui. Attaquée par un orgasme qui arrive, il en est certain. La blonde en rajoute une couche en jouant sur son bouton de plaisir pour la faire se cambrer plus fort encore, se plier face au plaisir ... Elle semble enfin perdre le contrôle.

Mais Houna elle a trop mauvais caractère pour se laisser faire et accepter qu'on la fasse jouir de cette façon. Houna, elle remue assez fort pour se libérer. Et ne manque pas d'offrir un coup de coude bien senti au tatoué. Mais putain ! Qu'il grogne en se passant l'avant bras sur le visage pour en essuyer le sang. La douleur passe au second plan, très vite. La rage prend le pas sur tout le reste, comme toujours. Va t'faire espèce de tarée. Qu'il gronde avant de lui rendre son cou, sans grande surprise. Le poing qui heurte la mâchoire sans douceur. S'il était coupé dans son excitation, il se contenterait de se tirer et de la laisser avec ses deux minettes. Au lieu de ça, la douleur, la rage et le désir se font mélange détonnant, explosif, ravageur. Rendent l'animal encore plus fou. Il pose une main sur sa bouche pour la faire taire, l'autre sur une épaule pour la maintenir en place. Plaquée contre le tapis. Il n'a finalement plus rien contre l'idée de jouir et de la laisser en plan. Elle se démerdera avec ses deux filles du soir pour la terminer. De nouveau ses reins se déchaînent entre ses cuisses ouvertes de force par son corps qui va et vient, qui claque, qui heurte avec férocité. Violence physique pour la punir. Et pour prendre lui même son pied en parallèle. Toujours trop excité par le tout. "Un peu" maso sur les bords aussi.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Ven 16 Aoû - 21:53



so far, so good
Joe - Tri

«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
Tu l'as senti, peut-être même dès que t'as fini de tabasser cet enculé de ton poing américain et que tes yeux se sont posés sur Joe. Tu l'as senti, cette même aura ressemblant tant à la tienne. Ce besoin de violence, de semer le chaos sous ses poings virulent. C'était obligé, que vous en veniez aux mains. Que vous laissiez vos instincts se déchaîner l'un contre l'autre. Lui trop blasé et toi en manque d'amusement. T'as joué le rôle du chat où il s'est voulu devenir souris malgré lui. Acceptant finalement tes avances pour venir couvrir ton corps de coups plus ou moins bien adressés ou douloureux. Vous porterez tout deux les traces sur vos corps de cette soirée un peu spéciale, celle de la rencontre de deux animaux aux brides lâchées se percutant pour mieux s'apprivoiser si cela était possible d'arriver. Vous vous êtes cognés comme ça jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce que tu décides de lui accorder un peu de repos du bon de ton aiguille plantée dans sa carotide.

L'orgasme monte en flèche, et combien même tu essaie de le repousser de toute tes forces, la main de la blonde n'a de cesse que de venir ébranler tout tes efforts de concentration. Prise en traître, tes canines s'enfoncent profondément dans ta lèvre intérieure ne manquant pas de faire saigner tes lippes abîmées au moins tout autant que le reste de ton corps. Les jours suivants seront compliqués, cependant tu comptes sur une certaine tsarine pour endosser le rôle d'infirmière. Tu l'sais, qu'elle rechignera pas à venir panser tes vilains bleus de sa douceur dont elle seule à le secret. Tu grognes, adresses un débit d'injures important à qui veut bien se les approprier. Ta carcasse commence à se tendre de plus en plus, ton palpitant à s'emballer. Tu peux pas rester comme ça sans rien faire, tu peux pas t'abandonner à lui, pas comme ça, encore moins soumise à ses coups de butoirs impitoyables venant percuter tes fesses fermement maintenues. T'as une fenêtre d'action, sans réfléchir ton coude s'envole contre l'arrête nasale du mâle s'affairant sans vergogne à te secouer de ton son être.

La réaction est immédiate, jurant dans un grognement plus sourd encore que les précédents. Ton regard planté dans l'sien, il te rend rapidement la pareille en pleine mâchoire dans un craquement. Sa main t'ayant cogné vient se placer contre ta bouche que tu accueilles volontiers de tes dents acérées. Si il pense pouvoir ne serait-ce que s'en tirer, c'est pas uniquement le doigt qui s'fout dans l'oeil. Il t'insulte copieusement, ça a le don malsain de t'exciter au plus haut point comme ta gueule éminemment douloureuse. Il ne se retient plus, et ses vas et viens de taulard viennent cogner dans le creux de ton ventre. Tu mords les phalanges couvrant tes lippes sans mesurer ta force, pendant que son autre main te maintient fermement au niveau de l'une de tes épaules. Les deux gazelles que vous semblez avoir mises de côtés le temps d'atteindre le summum de votre violence perverse semblent totalement médusées de la scène se déroulant sous leurs yeux. C'est qu'elles auraient presque envie de filer à l'anglaise pour vous laisser vous entre-tuer. Peut-être qu'elles le feront sans même que vous ne vous en rendiez compte, bien trop occupés à rendre chaque coups donnés.

Bien trop occuper à se venger pour retenir tes mains d'une quelconque façon, tu viens les placer contre le sol pour tenter de relever ta carcasse endolorie. Tu forces l'un de tes genoux supportant ton poids jusque là à flancher comme pour casser l'appui du tatoué. A ton tour de le faire basculer, lui qui prend un malin plaisir à t'retourner dans tout les sens. Déstabilisé, vous voilà tout les deux sur le flanc, l'un de tes bras venant bloquer son cou dans un étau ferme. La position te permettant à ton tour de participer au rythme des vas-et-viens, tu comptes bien le laisser s'asphyxier délicieusement avant ne serait-ce que de penser à relâcher ton étreinte. Depuis combien d'années, tu t'étais pas lâchée à un tel point, hein houna?

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Sam 17 Aoû - 11:29




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



Il faut croire que ce soir, ils étaient destinés à se rencontrer tous les deux. Pour laisser leurs corps se percuter avec cette violence sans nom et répétée. Se foutre sur la tronche pour mieux baiser ensemble ensuite. Le sexe entre les deux ne semble être qu'un moyen de plus de se faire physiquement du mal. Pour s'offrir quelques coups et tenter d'asseoir sa domination sur l'autre. Jamais trop longtemps pourtant. Arrive toujours le moment où il faut à tout prix reprendre le dessus. C'est presque une question de vie ou de mort avec les personnalités qui sont les leurs. Le jeu n'est drôle que lorsque ça tourne niveau moment de domination ultime. Et encore. La rouquine semble avoir toutes les peines du monde à supporter d'être prise en levrette par l'enfoiré qui l'est. Raison de plus de lui imposer la chose. Il s'amuse bien trop de tout ça, sans surprise. Plus elle feule pour se plaindre, plus il a envie de mener la danse. Jusqu'à ce qu'elle n'inverse les rôles. Provocation et c'est reparti pour un tour. Lui, il grogne. Chien fou qui exprime autant son plaisir que sa frustration. Qui se laisse faire et qui impose tour à tour. Surtout la frustration quand cette emmerdeuse de Houna se dégage pour fuir l'orgasme qu'elle était sur le point d'accueillir. Elle ne se prive évidemment pas pour le faire dans la violence, en lui offrant un coup de coude bien senti. Le sang qui gicle de nouveau. La rage qui fait serrer les mâchoires au tatoué qui offre un regard sombre et qui rend le coup sans tarder. Presque un réflexe pour lui qui rend toujours les coups. Il a maintenant davantage envie de lui faire mal que de lui faire du bien. Il faut dire qu'elle sait comment le rendre fou. Comment provoquer l'orage dans son esprit en lui faisant oublier toute autre forme de pensée et de réflexion.

La main tatouée qui se pose en travers de la bouche féminine, ne tarde pas à être la cible de ses dents. Sans surprise. Il gronde quand le félin plante ses crocs dans la chair. Sa façon à elle de se libérer de cette pression qui la maintient au silence. En guise de réponse, il offre un coup de reins plus sec et plus vif. Si tant est que cela soit encore possible. La rage est déjà au creux de ses reins. Elle se mêle à la tension sexuelle, à la boule de plaisir et à l'orgasme qui menace mais qui est sans cesse repoussé. Houna l'empêchant de juste se laisser aller. Il en oublie totalement les deux charmantes jeunes femmes qui sont là depuis un moment maintenant. Qui viennent de passer du rôle de poupée tout juste bonne à être baisées, à celui de spectatrice. Elles assistent à la scène, impuissante. Gazelle qui observent deux prédateurs trop occupés à s'écharper pour penser à s'occuper d'elles. Ils finiront par s’entre-tuer s'ils continuent. A moins qu'ils ne soient trop habitués à toute cette violence pour y succomber. Ils semblent ne vivre que pour ça, l'un comme l'autre. Alors ils continuent de s'en offrir à tours de bras. Haine, rage, violence animale. Mouvements secs et brutaux pour tenter de libérer un peu de tout ça. De toute cette tension qui ne peut être retenue, étouffée ou ravalée. Qui ne peut être gardée plus longtemps. Étouffée pour éviter qu'elle ne prenne davantage d’ampleur. Une rage qui rend quelques gestes maladroits. Le tatoué qui bascule sur le côté parce qu'il n'aura su maintenir la jeune femme dans cette position, dos plaqué contre le sol. Il grogne quand elle lui coupe le souffle. Lui rend la pareille sans se faire prier. Une main tatouée enroulée autour de sa gorge étroite.

Ils se tueront avant le levé du jour, à ce rythme là. Les bassins continuent de se percuter malgré la position. Chacun trouvant son rythme pour qu'ils s'emmêlent l'un dans l'autre à la perfection. Qu'ils se percutent avec plus de force encore. Qu'ils se possèdent avec hargne. L'air qui commence manquer n'apporte que plus d'excitation encore, dans le corps tatoué. Sensation relativement insupportable et pourtant délicieuse pour lui qui prend plaisir à la souffrance. En cet instant, le manque d'apport d'oxygène a le don de décupler les sensations. C'est qu'il en perdrait presque la raison le tatoué qui lutte pourtant contre l'orgasme désormais. Il ne sait plus tellement ce dont il a envie ou pas S'il souhaite se laisser aller à la jouissance ou s'il préfère poursuivre cette guerre sexuelle pour lui imposer / infliger toujours plus. Mais les coups de reins sont de plus en plus désordonnés. Et il ne peut résister à la tentation de lui offrir un nouveau coup bien senti pour se libérer de son bras qui étouffe/étrangle/maintient fermement en place. Il se mord la langue pour se maintenir au silence mais ne peut s'empêcher de jurer malgré tout. Et encore une fois quand l'orgasme le heurte de plein fouet et s'avère impossible à retenir. Qu'il se libère de l'étreinte de ses entrailles fermement enroulées autour de lui, pour salir son bas ventre sans une once de pitié. Satisfaction et ironie sur les traits presque détendus de son visage désormais. Sourire qui lève un coin de sa bouche et ironie qui fait briller ses yeux clairs qu'il pose sur le visage féminin. Il se fout bien de savoir si elle a atteint les portes du plaisir à temps désormais.

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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Dim 18 Aoû - 16:08



so far, so good
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«Ce matin-là, le jour s'est levé. Je veux dire : il s'est vraiment levé car auparavant il été assis. Et je vous assure que ça fait une drôle d'impression, un jour qui tient debout.» Beigbeder
T'es pas souvent impressionnée, par les hommes. T'as bien trop vécu avec eux pendant ta vie pour les savoirs idiots et brutes. Des tas de muscles gonflés à la testostérone irréfléchis juste bon à foncer dans le tas. Cependant, tu sais reconnaître la force quand tu la vois, et c'est cette détermination à rendre les coups que tu lui as donné qui vient tinter ta peau de différentes couleurs maintenant. Ecchymoses que tu porteras fièrement sans broncher, fière de cette danse que tu as pu livrer. Tu t'poses des questions, ça t'intrigues. T'as envie de plus, de le voir se déchaîner à son summum. Voir le plaisir qu'il prend quand comme toi, il perd les pédales et vient abattre sa colère jusqu'à plus soif pour laisser une âme au bord du gouffre entre la vie et la mort. Tu te demandes quel chien fou il fait, lorsqu'il n'a aucune limite imposée ni crainte au ventre de se faire pincer. Tu cours toujours après toutes ces années pas vrai? Même en te livrant à ce collé serré endiablé avec cet agent du fbi que tu n'as de cesse que de tourmenter.

Vous êtes deux fauves s'éprenant de l'un et de l'autre n'hésitant pas à continuer d'asséner les coups pour mieux dominer. Poussant l'excitation à l'extrême que de continuer cette lutte du plus fort encore et toujours venant vous pousser à bout dans un duel de grognements tous plus bestiaux les uns que les autres. La violence, encore et toujours ce besoin d'évacuer la colère par tout les moyens qu'ils soient. Vous roulez de façon brouillonne sur le côté, incapable de vous contenir plus longtemps car le jeu n'a que trop duré. Il s'agite en toi comme un diable, ses coups de butoirs n'ayant aucune pitié pour tes entrailles. Ton bras vient s'enrouler autour de son cou, pour lui imposer une asphyxie bien bloquer dans son étau. Ses phalanges viennes quant à elles saisir sans délicatesse ta jugulaire pour te rendre la pareille et venir te couper le souffle totalement impuissante car bien décidée à ne pas relâcher ton étreinte de si tôt. Feulements étouffés, mains libres qui viennent griffer, saisir marquer encore et encore tant qu'elles le peuvent pour mieux laisser une trace de leurs passage. Car il aura beau dire ce qu'il voudra, que tu as triché, joué de tes aiguilles là où il ne s'y attendait pas, que tu n'es qu'une femme... Tu auras bel et bien eu le dessus sur Joe et tu ne comptes pas laisser cette emprise se terminer. T'es bien trop curieuse de voir l'étendue de ses réelles capacitées.

Tu perds de nouveau pieds, qualité que tu es bien obligée de devoir lui reconnaître. Ta tête se met à vrombir et tes sens s'excitent. Tu peux ressentir chaque millimètre de ta peau délicieusement douloureuse, tout comme savourer pleinement la rage transmise par ce membre n'ayant de cesse que de te pilonner, haineux. Tes muscles se raidissent un par un, tandis que ta carcasse se cambre un peu plus pour épouser un maximum la colère que vous partagez. L'enfoiré de tatoué te met un nouveau coup, bien mérité sûrement, pour venir se libérer de ton étreinte. Tu jures, le sang de nouveau sur ton visage tandis qu'il te regarde de nouveau de haut avec ses grands airs. Il est désordonné, perds son allure vive et sa cadence stricte pendant que tu reconnais ces soubresauts venant agiter sa virilité. Dans un dernier élan de lucidité, il quitte finalement ton entre-cuisses ardentes pour venir déverser le nectar de son plaisir sur la peau de ton bas ventre tuméfié par ses soins. Une mine satisfaite révélant de cet orgasme venant s'échouer sur ton épiderme, il se contente de venir planter ses prunelles sombres dans les tiennes pendant que vous tentez tout deux de récupérer vos souffles s'étant fait la malle de puis bien longtemps.

Les yeux pleins de défi, tu viens te relever sans même un mot. Ton sourire mauvais toujours sur le visage, ne le quittant jamais. Tu t'contentes de saisir la bouteille de vodka sur la table basse et de t'en servir une grande rasade. L'alcool réchauffe ton oesophage, avant de venir reclaquer contre le bois de façon sonore. "J'espère que tu t'es amusé." que tu viens lui susurrer près de son lobe pendant que tu fais passer une dernière fois tes phalanges assassines sur les courbes de ses muscles tatoués. Tu jettes un coup d'oeil à tes poulettes, leurs pointant le couloir d'un coup de tête. Tu crèves d'envie de t'foutres sous l'eau d'une douche bien chaude histoire de déraidir tout ça. Tes babines venant recouvrir tes canines après s'être montrées trop longtemps, tu dépasses finalement Joe sans ne serait-ce qu'un mot de plus empoignant les deux gazelles ayant eu largement le temps de se reposer pendant que vous vous agitiez comme deux démons. Rapidement et sans regard en arrière, tu gagnes la salle de bain toujours en très bonne compagnie. Libre au baraqué de profiter de la chambre d'ami ou bien de filer. C'est sûrement pas toi qui le retiendra. Cependant, t'espères bien pouvoir recroiser son chemin juste pour venir lui abîmer un peu plus sa gueule de barbu. Venir danser un peu plus longtemps et de façon plus brutale encore.

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@joe beckford (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 2465598603
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Message Sujet: Re: (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna}   (hot. +18) jusqu'ici tout va bien. {ft Houna} - Page 3 Empty Lun 19 Aoû - 11:09




Crash.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de cinquante étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien, jusqu’ici tout va bien.
Mais l'important n’est pas la chute, c’est l’atterrissage.



La perte de contrôle est de plus en plus grande dans cette étreinte de rage passionnée qu'ils partagent. Les mouvements sont désordonnés. Mais ce qui importe vraiment, c'est le plaisir qu'ils prennent dans tout ça. A se baiser et à se faire la guerre comme ils le font si bien. Parce que le reste a peu d'importance en réalité. L'état dans lequel se trouveront les corps après coup et savoir s'ils sauront se relever et marcher droit pour s'éloigner l'un de l'autre, ça ne compte pas. Ce qui a de l'importance, c'est l'instant présent. Les mouvements saccadés qui assemblent les corps avec une certaine frénésie.  La violence des coups qui accentuent le plaisir, de la façon la plus masochiste qui soit. Les marques qui continuent de s'installer sur les peaux heurtées et malmenées, ajoutent du piment à l'étreinte qui n'en demande pas tant en supplément. Ils ne pensent qu'à se dominer et à se posséder. A se faire mal en se faisant du bien.  Mais l'égoïsme qui prend le pas sur tout le reste. La sensation grisante d'être en train de la ravager de l'intérieur, tout autant qu'ils se ravagent de l'extérieur.

Joe, bien conscient du caractère temporaire de cette sensation ô combien excitante et bien décidé à en profiter autant que possible. Malgré le corps en vrac qui se rappellera forcément à lui par la suite. Qui ne manquera pas de le faire regretter au moins une partie de cette soirée. Mais pour l'heure il se fiche bien de tout ça. Et elle aussi certainement. Comme il se fiche de savoir si elle va le suivre ou non dans l'orgasme. Pas forcément égoïste quand il s'agit de sexe. Mais il estime qu'elle ne mérite pas mieux de sa part. Après n'avoir fait que fuir le plaisir et fait en sorte qu'il en aille de même pour lui. Il prend enfin ce qui lui revient de droit. A grands renforts de coups de butoir francs et sonores.  Et désireux de la salir une ultime fois, il se répand sur son bas ventre. La peau aussi abîmée que sur le reste de son corps. Il a un sourire très fier sur la tronche quand il plante son regard dans le sien. Satisfait au plus haut point, il l'est. Et il l'assume surtout. Il n'y a pas de raison pour que ça ne soit pas le cas après tout.

Elle même en affiche un de sourire. Bien plus moqueur et mauvais que le sien pour le coup. Elle s'extirpe du fantôme d'étreinte entre eux pour attraper la bouteille de vodka à portée de main. Joe quant à lui, se laisse basculer pour s'allonger sur le dos. Juste le temps de reprendre son souffle et de retrouver ses esprits. Le pied ! Qu'il répond tout naturellement, quand elle vient susurrer à son oreille en faisant glisser ses doigts esquintés sur les muscles apparents sous l'encre et les marques de coups. Il a un nouveau petit sourire quand il comprend la suite de son programme. Elle va bientôt échouer dans sa salle de bain, en compagnie de ses deux jolies gazelles. Quand elle s'éloigne, Joe se redresse pour attraper et renfiler ses fringues. Obligé de faire un tour par la salle d'eau lui aussi. Pour y récupérer son tee shirt. Passage éclair qui ne l'empêche pas de zieuter brièvement en direction des corps féminins, nus et pressés les uns contre les autres. C'est forcément sexy comme vision. Mais Joe ne se fait pas prier pour quitter l'appartement. Aucune envie de s'attarder chez cette folle.

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