Everytime we touch. (Tossey)

✩ I need you by my side.

I still hear your voice, when you sleep next to me. I still feel your touch in my dreams. Forgive me my weakness, but I don't know why. Without you it's hard to survive. Cause everytime we touch, I get this feeling. And everytime we kiss I swear I could fly. Can't you feel my heart beat fast, I want this to last. I need you by my side. Cause everytime we touch, I feel the static. And everytime we kiss, I reach for the sky. Can't you hear my heart beat slow. I can't let you go. I want you in my life…

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Un sourire amusé sur les lèvres, elle écoute les déboires du jeune prêtre sans en manquer une miette. Elle ne sait pas exactement en quoi consiste une telle profession, hormis le fait de faire la messe le dimanche. Mais elle n’imaginait pas du tout qu’il pourrait s’adonner à ce genre d’activités. Ni même à l’alcool en général. Ses explications la font bien rire en tout cas. Fini la tension, ils sont à nouveau comme ils l’ont toujours été. C’est bon. – Tu vas devenir un expert en vin, tu pourrais même faire des dégustations, tu imagines ? le taquine-t-elle, toujours avec cette lueur malicieuse, heureuse, dans le regard. Elle le trouve beaucoup trop mignon, à s’aventurer dans ce genre d’histoires. Elle finit même par lui dire mais il lui renvoie qu’elle l’est plus que lui. – Non, non, crois-moi. Elle, elle n’a que le minois angélique. Lui, il est vraiment craquant en tous points. Il suffit de voir la manière dont il réagit lorsqu’il décèle son mal-être, sans qu’elle n’en dise rien. Il se rapproche d’elle pour déposer un doux baiser contre ses lèvres. Elle ferme les yeux à cet instant avant de se serrer quelques secondes dans ses bras et finir par retrouver ceux du jeune homme. Très attentive à ses paroles, elle tente de s’en convaincre, elle fait tout pour se persuader qu’il a raison. L’amour qui les lie avec Arya est bien trop fort, bien trop intense, pour que la vie les sépare. Elles ne pourront que se rapprocher toutes les deux. En guise de réponse, elle se penche vers lui à son tour pour lui offrir un baiser, un baiser plus enflammé, beaucoup moins innocent. Il ne sait pas le bien qu’il lui fait, Toby. – Merci. chuchote-t-elle entre ses lèvres avant de s’en détacher. Elle essaie de se tenir tranquille dorénavant. Sinon, ils n’avanceront pas. Enfin, il n’avancera pas. Elle, elle ne fait pas grand-chose si ce n’est l’admirer en plein travail. Il finit d’ailleurs, par une maladresse, par se recevoir une planche dessus. Bouche bée un instant, la belle reprend rapidement. – Toby, est-ce que ça va ?! Il l’avait prévenue de son manque d’adresse mais elle n’imaginait pas que ce serait à ce point. Il lui sourit toutefois, ce qui la rassure, avant qu’il lui demande de l’aider. Elle se rapproche aussitôt de lui, à genoux également. Un petit rire s’échappe des lèvres de la demoiselle quand il fait remarquer à quel point il est sexy. – Je suis désolée, j’aurais dû t’aider directement. Elle se rattrape comme elle peut en gardant habilement la planche entre ses mains pour qu’il puisse se charger de la visser au reste. Beaucoup plus proche de lui, elle le contemple sans le quitter des yeux. – Tu sais, t’es sexy en toutes circonstances. Elle ne cherche pas à le troubler… Non, absolument pas. Elle a juste ce petit sourire en coin, ce sourire tentateur sur les lèvres.

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Ils sont redevenus eux-mêmes... Et en cet instant, Toby se sentait pousser des ailes dans le dos, malgré sa maladresse des plus grandes au monde. Un expert en vin? "Oh non, ça ne me réussit vraiment pas, je t'assure!" s'exclama-t-il, sur un ton espiègle. "Mais toi, tu t'y connais un peu? Si c'est le cas, tu pourrais peut-être choisir pour moi?" demanda-t-il simplement. En vérité, le choix n'était pas si dur: c'était le vin le moins agressif au palais pour le boire à jeun vers 7h du matin...
Toby l'embrasse, doucement, pour lui insuffler un peu de courage et la rassurer, par ce petit câlin intime. En réponse, Cassey l'embrassa à son tour, mais dans un baiser bien plus enflammé, plus avide. "Je serai toujours là, si tu as besoin, Cassey..." répondit-il simplement à ses remerciements. Elle n'avait pas besoin de le remercier. C'était à cela que servaient les amis. A cela que servait aussi un amant tel que lui. Car ce n'était pas un homme présent juste pour les plaisirs charnels, non. C'était un homme présent pour elle. Pour l'épauler, l'écouter. Pour vivre auprès d'elle si elle le désirait un jour. Il poussa un léger soupire, avant de se remettre au travail.
Là, une planche lui tomba sur les mains. Il se mit à rire. "Ne t'en fais pas, tout va bien... J'ai l'habitude. Mon corps peut tout supporter je crois, maintenant." déclara-t-il, toujours dans cette démarche d'auto-dérision qui était la sienne. Toby n'avait jamais été le mâle par excellence, le type viril qui voulait à tout pris cacher ses faiblesses, montrer qu'il était fort dans tous les domaines. Loin de là. D'ailleurs, il ne tarda pas à appeler la demoiselle à l'aide. Elle tînt la planche de bois, pendant qu'il la vissait sereinement, jusqu'à ce qu'il sente le regard qu'elle tenait fermement ancré sur lui. Il se tourna suite à sa remarque, l'observa un instant, avant de se rapprocher pour l'embrasser de nouveau, passant encore une fois une mains sur sa joue. Il s'écarta, un sourire solaire sur son visage. "Bon, maintenant, concentrons-nous..." déclara-t-il gentiment. "Si tu continues à me parler comme ça, je vais te sauter dessus et on aura jamais fini cette étagère!" déclara-t-il en riant. Et c'était vrai, elle le titillait. Tous ses gestes le titillaient. Son regard sur lui le titillait, cette tentation qu'elle ancrait dans son esprit, jusque dans les moindres parcelles de son corps. "Il était pourtant prévu que je ne te mange qu'à l'heure du déjeuner.." ajouta-t-il, le ton taquin, malicieux comme jamais. Et voilà, il commençait à son tour. Il hocha la tête, se reprenant, prenant le manuel de montage entre les mains pour analyser les prochaines étapes. "Bon, alors... Je crois qu'il va falloir qu'on s'y mette à deux pour cette partie. D'ailleurs, y a deux bonhommes de dessiner à côté du tournevis." indiqua-t-il en montrant l'image à la jeune femme.

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Sourire complice aux lèvres, elle ne peut s’empêcher de le taquiner avec cette histoire de vin. Elle aurait bien voulu l’y voir. Il lui demande si elle pourrait choisir pour lui. Peut-être bien en réalité. Elle aime le bon vin, ou, les bonnes choses en général. – Je peux y jeter un œil, oui, bien sûr. J’aurais le droit d’y goûter aussi ? lui demande-t-elle dans une nouvelle taquinerie. Elle se sent de bonne humeur, légère avec lui. Même quand des ombres viennent noircir son joli sourire, c’est Toby qui arrive à lui rendre. C’est ce qu’il fait en cet instant en quelques mots, en un baiser. Je serais toujours là, si tu as besoin, Cassey… C’est la première fois depuis très longtemps qu’un homme lui dit une chose pareille. La première fois, surtout, depuis très longtemps qu’elle arrive un petit peu à y croire. Elle n’a pas l’air méfiante, Cassey, elle donne même sa confiance très vite quand elle rencontre quelqu’un. Mais, au fond, son cœur est bien plus fermé qu’elle ne veut bien le laisser paraître. Elle peine à avoir véritablement, pleinement, confiance en quiconque. Mais elle y arrive plus avec Toby, de plus en plus. – Moi aussi, tu sais. lui renvoie-t-elle d’une voix tendre. Cela va dans les deux sens à ses yeux. Et si le jeune homme paraît aisément digne de confiance, elle sait qu’elle ne renvoie peut-être pas la même chose si facilement. Elle a l’air frivole, insouciante, Cassey. Et elle l’est sans doute beaucoup. Mais quand elle laisse quelqu’un entrer dans son cœur, elle ne l’abandonne pas. Jamais. Malheureusement, leur petit instant empli de douceur s’interrompt vite lorsque, pris entre deux actions, Toby finit par se recevoir une planche sur les mains. Inquiète, il la rassure tout de suite en affirmant qu’il peut tout supporter à cause de l’habitude. Elle le fixe avec amusement mais s’approche malgré tout de lui pour lui donner un coup de main. Alors qu’elle tient la planche de bois avec fermeté, il peut se charger de la rattacher au reste du meuble qui prend doucement forme. Elle en profite pour le contempler, Cassey. Elle le dévore surtout des yeux, le poussant à approcher pour venir l’embrasser, la main contre sa joue. Un nouveau sourire se dessine sur les lèvres de la jolie blonde. Avant qu’il ne se transforme en rire à ses paroles. – D’accord, d’accord, je me tais. promet-elle consciencieusement. Mais, cette fois, c’est lui qui ajoute une taquinerie. Elle se met à rire une nouvelle fois. – Mais si j’ai déjà faim, moi… demande-t-elle faussement innocemment, le regard bien plus enjôleur quant à lui. Elle affiche un air malicieux lorsqu’elle le voit tenter de se concentrer sur le manuel de montage avec tant de conviction. Il est trop mignon. – Si tu veux mon avis, ils ont dû trouver un truc plus intéressant à faire avec ce tournevis. Niveau subtilité, on repassera. Mais elle ne peut pas s’empêcher de le chercher, Toby.

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Toby ne put s'empêcher de sourire malicieusement à la remarque de la demoiselle. "Tu pourras goûter à tout ce que tu veux.." déclara-t-il d'un air taquin, avant de tenter de reprendre son sérieux. Il fallait travailler, vraiment. Terminer ce meuble pour pouvoir passer un moment ensemble. Mais rien que là, assis par terre à visser ses étagères, ils étaient plus complices qu'avant. De plus en plus. Toby sourit de plus bel lorsqu'elle lui affirma qu'elle serait, elle aussi, toujours présente pour lui. C'était adorable. Elle ne faisait que lui tirer des sourires et des baisers. L'atmosphère était douce, tendre, pleine d'enfantillages, et paradoxalement, de désir. Ils se cherchaient, tous les deux, ne pouvant s'empêcher de s'envoyer des signaux forts, pour ne pas dire de se rentrer dans le tas. La promesse de se tenir tranquille de la demoiselle s'envola seulement quelques secondes plus tard. Il rit à sa remarque. "J'ai très faim aussi..." répondit-il simplement. "Mais on ne pourra pas manger tant qu'on aura pas au moins fini cette étagère. Là, on aura droit à une pause..." déclara-t-il, insistant sur les mots avec un air malicieux qui leur enlevait aussitôt tout le sens innocent qu'ils avaient. Cependant, ce fut Cassey qui fit le plus grand rentre-dedans. Toby leva les yeux du manuel et arqua les sourcils, amusé follement par le peu de pudeur dont elle faisait preuve. Il ne s'attendait pas à cela, malgré leur échange malicieux, et leur flirt flagrant. Il sourit, à son tour, rattrapant la perche si gentiment tendue. "Aller, Cassey, on finit ce meuble-là, et tu pourras jouer autant que tu veux avec mon tournevis." déclara-t-il, laissant échapper un clin d'oeil taquin. Non, vraiment, il n'y avait qu'elle pour le mettre dans un tel état. Il n'y avait qu'elle pour lui donner cette fougue, et lui enlever toute inhibition au point de dire ces mots. Il n'y avait qu'elle qu'il pouvait désirer si fort dans un moment pareil. Car avouons-le, il y avait rien d'excitant à monter une étagère.

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Les taquineries s’enchaînent, un peu, comme deux enfants qui s’amusent à s’embêter mutuellement. Mais le petit jeu devient de moins en moins innocent au fur et à mesure que les minutes passent. Il devient plus charmeur, se rapprochant du flirt pour finir par des sous-entendus qui n’en portent plus que le nom. Ils retrouvent surtout leur complicité, tous les deux, celle qu’ils ont contenue consciemment ou non, jusqu’à présent. C’est si facile de la retrouver, c’en est même troublant tant c’est naturel pour la jeune femme. Un rire s’échappe de ses lèvres quand il lui assure qu’ils auront droit à une pause une fois cette étagère terminée. Elle a pourtant promis de se tenir tranquille mais, quelques secondes à peine plus tard, la voilà déjà en train d’en rajouter. Elle attire l’attention de Toby qui paraît amusé bien plus que surpris par ses insinuations douteuses. Il lui promet même qu’elle aura le droit de jouer avec son tournevis autant qu’elle le veut ensuite. La jolie blonde laisse échapper un nouveau rire. Il arrive toujours à la surprendre. Là elle aurait pensé avoir droit à un air dépité, si ce n’est outré, il entre dans son jeu avec une facilité déconcertante. Et elle a l’impression de mieux le connaître ainsi. L’impression qu’il lui dévoile une partie de sa personnalité jusque-là méconnue… Même par lui. – Maintenant j’ai l’impression d’être une enfant que tu veux amadouer. dit-elle d’une voix malicieuse. Mais cela marche pourtant. Elle essaie de retrouver un tant soit peu sa raison, Cassey. Pour mieux aider le jeune prêtre et, surtout, pour mieux se concentrer sur leur tâche, elle se tait durant de longues minutes. Ils avancent peu à peu jusqu’à ce que l’étagère ressemble enfin à ce qu’elle est censée être. Se laissant doucement glisser sur le sol sur lequel elle est toujours assise, la jolie blonde observe le meuble avec un peu de recul. – Eh bien, je crois qu’on a réussi à s’en sortir mon petit Toby !

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Le rire de Toby se mêla à celui de la demoiselle, alors qu'il la taquinait encore davantage qu'elle n'avait pu le faire. Il avait l'impression de se libérer auprès de Cassey, de laisser parler des parties de sa personnalité qui n'étaient jamais mises en avant d'habitude. Personne d'autre que la jeune femme ne connaissait un Toby malicieux et taquin à ce point, et si désinhibé. "C'est vrai, j'ai envie de t'amadouer un petit peu... Un peu de sérieux, ma petite." rétorqua-t-il, avant de lui voler un nouveau baiser sur le nez, par surprise. Ils se remirent alors au travail, beaucoup plus sereinement, dans un silence relative. Et enfin, après quelques minutes d'effort, l'étagère était terminée, et Cassey semblait heureuse de son nouveau meuble. "Ah oui, on fait une équipe d'enfer ! Regarde, il est même parfaitement droit!" s'exclama-t-il en se hissant à quatre pattes jusqu'à elle, s'asseyant à ses côtés, pour admirer leur oeuvre commune. Il sourit, et se tourna vers Cassey pour l'embrasser de nouveau, délicatement, avec douceur. Ce genre de gestes tendres, il ne pouvait plus s'en passer en sa présence. Elle avait toujours été un aimant, elle l'était encore plus à présent. "Alors, on fait une pause? Tu me fais visiter ta chambre?" demanda-t-il doucement, l'air semi-malicieux, pour laisser un peu la blondinette décider si elle désirait continuer le bricolage, ou bricoler avec autre chose...

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Irrécupérable Cassey. Elle devrait se montrer beaucoup plus sage. Elle devrait surtout se montrer plus patiente pour laisser au jeune prêtre l’occasion de finir de monter ce meuble. Mais voilà, elle n’a jamais su attendre. Elle ne sait pas non plus ce que c’est d’être raisonnable. C’est pourtant elle qui lui a réclamé son aide. Son rôle serait plutôt de l’encourager à continuer, pas celui de l’inciter à arrêter. Mais elle décide enfin de se tenir tranquille alors que Toby tente, il l’avoue rapidement, de l’amadouer. - Bien monsieur. dit-elle avec un petit sourire malicieux sur les lèvres. Mais elle tient toutefois son engagement. Étonnamment sage, elle parvient même à l’aider durant ce petit moment de bricolage. Le résultat en vaut la peine. Quelques minutes seulement, le duo est plutôt fier du travail accompli. Un joli sourire se dessine sur les lèvres de Cassey quand elle entend son partenaire affirmer qu’ils font une équipe d’enfer. Le mot l’amuse dans sa bouche. Mais elle est surtout heureuse qu’ils aient réussi leur mission. - Et tu n’as même pas une égratignure en plus ! le taquine-t-elle, pourtant à demi-sérieuse. Pas si maladroit, Toby. Il ne l’est même pas du tout quand il vient capturer sa bouche dans un tendre baiser. La douceur de ses lèvres l’enivre tout de suite. Elle lui répond avec la même douceur avant qu’ils ne se reculent finalement, sans trop s’éloigner l’un de l’autre pour autant. Elle se mordille la lèvre inférieure lorsqu’il lui propose la visite de sa chambre. Elle se contente d’acquiescer d’un bref signe de tête avant de se redresser pour se lever. Elle lui tend la main pour l’aider à en faire de même avant de l’entraîner, ses doigts toujours liés aux siens, jusqu’à sa chambre. La décoration est plus épurée que le salon, les couleurs, des tons mauves, plus douces également. C’est beaucoup moins extravagant qu’on pourrait l’imaginer en connaissant la jeune femme, plus simple que le salon, plus naturel. Elle laisse Toby découvrir les lieux avant de se rapprocher à nouveau de lui. Sa tête se blottit instinctivement dans le creux de son cou pour le parsemer de baisers. - Tu sais... Je ne t’ai pas parlé d’un autre meuble dont il faudrait vérifier la solidité... Elle poursuit ses doux baisers, sensuels baisers contre la peau de son prêtre. - Tu veux bien ? demande-t-elle enfin en reculant doucement son visage pour planter son regard dans le sien. Ces opales bleues qui viennent charmer les siennes pour mieux s’y noyer. Pour mieux se noyer avec lui.

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Ensemble, ils parvinrent à terminer cette étagère. Finalement, quand on avait une equipière de choc, ce n'était pas si compliqué. D'ailleurs, la demoiselle ne tarda pas de signaler au prêtre son exploit: pas une égratignure. Il vérifia que c'était bien vrai en observant ses propres mains, puis ses bras. En effet, un miracle ! "Tu as raison. Il faut croire que tu es mon ange gardien." Declara-t-il délicatement. Elle l'attrapa ensuite par la main, après un baiser échangé, pour le mener dans sa chambre. Les lieux étaient sobres, dans des tons doux. "C'est vrai, c'est très beau. Je suis sous le charme." Affirma-t-il. Mais alors qu'il disait cela, ses yeux aura étaient rivés non pas sur les lieux, mais sur la demoiselle.

Il frémit sous les baisers brûlants qui vinrent bientôt inonder son cou. Il ferma les yeux, profitant des lèvres de Cassey sur sa peau. Il en voulait encore, avidement. Lorsqu'elle planta son regard dans le sien, Toby lui sourit malicieusement. "J'espère que tu parles de ton lit... On connaît tous les deux une méthode infaillible pour tester sa solidité." Dit-il doucement avant de s'emparer de nouveau des lèvres de la demoiselle dans un baiser qui en ferait rougir plus d'un. Sa bouche se dirigea ensuite vers l'oreille puis de le cou de la demoiselle tandis que ses mains s'étaient posées avec délicatesse et envie sur ses hanches. " Mais si c'en est un autre, je pense qu'on aura tous les moyens d'adapter la méthode..." ajouta-t-il, la regardant dans les yeux, avec tendresse. On ne pouvait pas être plus collé contre quelqu'un qu'il l'était maintenant. Elle devrait être ajoutée sur la liste des produits addictifs et illicites, Cassey, car, à ce moment présent, il était drogué à sa peau, à sa présence.

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I still hear your voice, when you sleep next to me. I still feel your touch in my dreams. Forgive me my weakness, but I don't know why. Without you it's hard to survive. Cause everytime we touch, I get this feeling. And everytime we kiss I swear I could fly. Can't you feel my heart beat fast, I want this to last. I need you by my side. Cause everytime we touch, I feel the static. And everytime we kiss, I reach for the sky. Can't you hear my heart beat slow. I can't let you go. I want you in my life…

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Il faut croire que tu es mon ange gardien. En temps normal, elle aurait certainement éclaté de rire. Mais c’est prononcé avec une telle douceur, un tel naturel, qu’elle ne peut que lui offrir un sourire. – Je suis pourtant loin d’être un ange. lui dit-elle, comme s’il ne s’en doutait pas déjà. Elle n’a rien d’un ange, Cassey. Elle est impétueuse, enflammée, trop insoumise pour cela. Et, paradoxalement, beaucoup trop soumise à la tentation. Surtout lorsqu’elle se retrouve là, dans sa chambre, juste sous ses yeux. Toby, lui aussi, semble davantage captivé par elle que par la découverte des lieux. C’est elle qu’il contemple en lui disant qu’il est sous le charme. Elle lui offre un sourire charmeur, mais la lueur dans son regard ne laisse pas de place au doute sur ses envies. Encore moins quand elle s’avance enfin jusqu’à lui pour l’inonder de baisers brûlants. Elle retrouve l’odeur désormais familière de sa peau, l’odeur qui l’appelle au vice. Oh, Toby. Elle savoure chacun de ces baisers sans doute autant que lui. Mais ce n’est rien en comparaison de ce qu’elle ressent quand il capture ses lèvres dans un baiser beaucoup plus enflammé, plus avide que les précédents. Elle le prolonge avec la même envie alors que ses bras enlacent naturellement le cou du jeune homme. Ce n’est qu’à bout de souffle qu’il se recule pour glisser à son tour ses lèvres contre l’oreille puis le cou de la belle. – On peut tous les vérifier… lui dit-elle avec un faible sourire alors que ses yeux viennent retrouver les siens. Elle attrape son propre haut pour le retirer, se retrouvant seulement en soutien-gorge avant d’en faire de même avec celui de Toby. Ses mains viennent retrouver son corps pendant que ses lèvres prennent à nouveau d’assaut les siennes si délicieuses, si envoûtantes. Et elle se laisse reculer jusqu’au lit en même temps pour se laisser tomber dessus, attirant son amant avec elle, au-dessus d’elle. Incapable de se détacher de lui, surtout pas maintenant qu’elle retrouve seulement sa peau, son corps, lui tout entier.

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Cassey, elle est impétueuse, tentatrice, alors qu'elle vient parsemer le cou du jeune homme de dizaines de baisers brûlants. Toby, il ne tient plus, il est envoûté, complètement. Un nouveau sourire malicieux se dessine sur ses lèvres alors qu'elle lui souffle qu'ils pourraient vérifier la solidité de tous les meubles de l'appartement. "Avec grand plaisir..." répond-il simplement, avant de l'embrasser avec avidité. Sa langue se mêle à la sienne dans une danse endiablée, son pouls s'envole, alors que, collés l'un contre l'autre, Cassey le tire en reculant vers son lit. Bientôt, ni l'un ni l'autre n'est pourvu de son haut, qui vient s'écraser négligemment sur le sol. La demoiselle se laisse tomber sur le lit, entraînant le trentenaire à sa suite, leur baiser ne prenant plus fin. Ils n'écartent leurs lèvres que pour reprendre leur respiration. Elle le rend dingue, et dans cet instant, il ne pense plus qu'à elle, plus rien n'existe, juste Cassey. Il se laisse aller dans ses bras. Ses mains descendent le long du torse de la jeune femme, alors qu'elles viennent la caresser tendrement. Agiles, elle viennent dégrafer le soutient-gorge, gênant, qui finit aussi sa course sur le sol de la chambre.

Tendrement, il lance un regard doux à son interlocutrice, la regardant dans les yeux, avant de se baisser. Sa bouche vient effleurer la poitrine brûlante et tendue de la jeune femme, y déposant de nombreux baisers... Et malicieusement, il laisse une main venir ouvrir la fermeture du pantalon de la belle, avant de s'aventurer dans sa culotte pour la caresser dans son intimité. Il n'est pas familier de ce genre de gestes, il a un peu peur de lui faire mal, mais à en juger les sons qui sortent de sa bouche, elle ne souffre pas... Avec Cassey, tout paraît naturel. Tout est naturel. Et dans ses propres sous-vêtements, Toby commence à se sentir bien serré. Oh bon sang, ce qu'elle lui avait manqué. Son corps lui avait manqué. Sa peau lui avait manqué. Son odeur. Sa peau contre la sienne, son souffle contre le sien, ses mains dans ses cheveux...

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