/ LES PERLES DES RPS.

C'est si beau ce duo, et vos deux plumes ensemble alors.
Arrêtez de douter de vos écrits les filles, c'est magnifique.

Plumette de ma vie a écrit:

Gamin perdu qui osait encore rêver à une dimension parallèle où il n'aurait pas eut ce besoin de foutre le feu au monde et où il aurait juste pu enlever la petite fille, devenue femme, dont il avait toujours été, plus ou moins secrètement, amoureux, aller l'aimée et la mariée quelque part, lui faire quelques mômes à aimer aussi. Une vie normale et trop petite pour des gens comme vous.

Plumette de ma vie a écrit:

Parce que tu trembles, la gorge nouée, l'envier de vomir, mais surtout de chialer, de t'enfuir encore, parce que c'est trop, beaucoup trop pour toi. Ton coeur s'arrête une deuxième fois lorsque sa main claque sur ta joue, que tu ne réagis qu'à peine, trop habitué à t'en prendre, des claques. C'est comme ça que papa te disais, qu'il t'aimait, non ? Tes lèvres tremblent et y a un petit peu de pluie dans tes yeux, parce que tu te dis, qu'elle t'aime aussi, si elle te frappe. Et tu sais pas, si t'as mal ou si tu crèves.

Plumette de ma vie a écrit:

Parce qu'elle, elle a pas tenue sa promesse, hein ? Celle de t'aimer toujours. De ta garder toujours au fond de la cage de son coeur. Elle l'avait pas tenue, quand elle était tombée amoureuse de crochet, quand toi, t'avais faillis en finir avec ta vie. Parce que t'étais revenu, que tu l'avais vue, avec lui, que t'avais voulu mourir sans fois, que t'étais partis avec Neo, en lui disant que, cette fois, t'allais jamais revenir. Non, t'étais pas doué aves les promesses décidément.

@Tadhg Mac An Tsaoir , le retour en bombe de l'enfant prodige de la moula gang
tes mots bby, toujours aussi honorée que j'arrive pas à arrêter d'chialer comme une gosse
jtm jtm jtm.

awwwww mon amour toi.
j'ai tout autant chialééééé

je viens partager avec vous les magnifiques choses que j'ai pu lire   vous êtes des merveilles    

zephyr bastet a écrit:

cette beauté fascinante qu’elle pouvait voir en la jeune femme, digne fille de son père, plus belle encore, qui semblait si lumineuse que le regard avait du mal à la fois à se maintenir, et à se détourner. la lumière attirait, mais l’éblouissement était assuré.

cassey warren a écrit:

Tu t’amuses, tu te déchaînes. Tu ris aux éclats et tournoies dans les airs. Tu vis, de tout ton cœur, de toute ton âme. Jusqu’à oublier tous les lendemains.

sloan benson a écrit:

elle ne crie pas, non, son ton est simplement d'une sècheresse à faire disparaitre les océans et quelque part, c'est peut-être pire. elle parait plus dangereuse ainsi - capable de tout. elle ne lui ferait jamais aucun mal pourtant, la rudesse, elle ne connaît simplement que ça. depuis qu'elle est môme, elle régit ses échanges ; jamais personne ne l'a traité autrement qu'avec une dureté infinie.

quinn ziegler a écrit:

louve derrière la biche ? elle n’était pas louve, ou alors une blessée. elle n’avait que ses crocs et ses cris, quand d’autres avaient l’ascendant sur elle. elle n’était pas dangereuse… pas pour les autres, pas pour autrui. elle ne l’était que pour elle.
et elle le sentait.
elle le sentait toujours.

delta ziegler a écrit:

parce qu'elle se tient là, aussi belle que dans tes souvenirs. si ce n'est plus. et à travers ses traits, tu distingues la petite fille d'autrefois. la soeur que tu as connu, sans jamais vraiment la percer à jour. la soeur qu'on t'a arraché de force. que ce soit tes parents, son mari ou la vie tout court.

freyja swanson a écrit:

Elle se concentre sur le fil ténu qui la maintient en vie. Elle tire, tire. Poursuit la linéarité d’une existence tissée de soie, aimerait pouvoir se contenter de cela. Mais la roue tourne. La roue s’envole. Celle du hasard qui coupe le fil tout tracé pour le rendre plus incertain et torve.

vince barlow a écrit:

elle peut bien hurler, crier, te frapper, t’accuser même, elle peut bien passer ses nerfs sur toi, tant qu’elle crache tout ce qu’elle a craché. tu plantes ton regard océan dans le sien, tes yeux qui cherchent une réponse, cherche à voir où elle a mal, perçoit la douleur, là sous sa poitrine.

@zephyr bastet @cassey warren @sloan benson @quinn ziegler @delta ziegler @freyja swanson @vince barlow

@Asmée Chamberlain t’es adorable
Et je suis tout à fait d’accord avec toi, les passages sont superbes !
J’avoue avoir une petite préférence pour celui de Cassey, et je suis toujours fan de celui de Delta (mais c’est normal, c’est une Ziegler)
Tu aurais pu te citer aussi hein. dans tous nos rps, tu aurais pu citer tous tes posts, ma chouette

Asmée Chamberlain a écrit:

je viens partager avec vous les magnifiques choses que j'ai pu lire   vous êtes des merveilles    

vince barlow a écrit:

elle peut bien hurler, crier, te frapper, t’accuser même, elle peut bien passer ses nerfs sur toi, tant qu’elle crache tout ce qu’elle a craché. tu plantes ton regard océan dans le sien, tes yeux qui cherchent une réponse, cherche à voir où elle a mal, perçoit la douleur, là sous sa poitrine.

t'es chou
ravis qu'elle t'ai plu cette réponse

Moh t'es trop mignonne mon petit cœur. Et ça me fait plaisir que ces petits mots soient ajoutés à toutes ces magnifiques plumes.

Merci aussi à toi @Quinn Ziegler t'es un amour. Tu sais pas comme j'aime ta plume aussi.

De rien @Cassey Warren je le pense sincèrement ~ et je te remercie aussi ~ bientôt on aura deux rps ensembles en plus de quoi me fasciner encore un peu plus par ta plume ~

@Cassey Warren

Citation :

Elle n’est pas une rose délicate à protéger, elle est l’éclat qui a besoin de s’illuminer au contact des autres.

C'est tellement beau