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 un point c'est toi (kéziah)

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Message Sujet: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Lun 22 Avr - 23:04

un mirage. une chimère. un doux rêve éveillé. c'était ce qui lui restait de kéziah aujourd'hui. peut-être qu'elle n'aurait jamais dû recroiser sa route. peut-être qu'il aurait simplement dû rester un joli souvenir impérissable. peut-être qu'il aurait dû continuer de représenter des tas de premières fois à lui tout seul, mais n'en demeurer pour autant qu'une parenthèse enchantée n'appartenant plus qu'au passé. peut-être qu'il aurait dû lui réserver le sort qu'elle méritait, celui de la laisser sur le banc de touche lors de leurs retrouvailles improvisées plusieurs semaines auparavant. et à bien y réfléchir, il avait peut-être fini par en venir à cette conclusion lui-même. ça expliquerait le silence, ce silence dont elle était responsable dans la même mesure que lui. parce qu'elle n'avait pas cherché à le briser, quand pourtant elle n'avait cessé d'y penser. maintes fois, elle avait failli lui envoyer quelques mots. combien elle avait été heureuse de le revoir, combien elle se languissait d'une prochaine fois, combien elle se maudissait chaque jour de ce qu'elle leur avait infligé, combien une seule soirée à ses côtés avait suffit à tout chambouler. mais comme la dernière fois dans sa chambre d'hôpital, elle n'avait jamais eu le cran d'appuyer sur le bouton d'envoi. une simple pression qui aurait sûrement pu abréger leur éloignement forcé. leur fin de partie avait été orchestré bien trop tôt, par un mauvais concours de circonstances et une annonce qui avait tout remis en question, et elle y avait laissé son coeur india. déjà une première fois. ce pauvre organe qui jouait continuellement au yoyo, qu'elle malmenait par crainte de le faire fuir si elle lui avouait toute la vérité. parce qu'elle était moche sa vérité, et elle avait encore du mal à vivre avec. même si elle brûlait d'être totalement transparente devant lui, de se confier enfin à quelqu'un d'autre que sa maman, elle ne se sentait pas encore prête. alors inconsciemment, elle avait repoussé l'instant. sachant pertinemment qu'elle ne pourrait pas l'éviter indéfiniment.
et c'était finalement la presse et ses gros titres qui avaient achevé de la décider à s'asseoir sur ses si maigres craintes, quand lui avait sûrement besoin d'une amie. de quelqu'un qui pourrait le comprendre parce qu'elle savait, elle avait toujours su. non elle n'était pas le genre de filles à lire les torchons qui sortaient chaque jour dans les rayonnages des bureaux de tabac. mais cette fois, il ne s'agissait pas d'histoires inventées dans le seul but de faire vendre. c'était la dure réalité de ce qu'avait dû affronter kéziah, et ce qui le poursuivait encore. des années, tu avais été absente de son sillage. alors que tu aurais tant voulu être là pour lui. comme toujours, comme avant. mais ton propre combat à mener avait pris la décision à ta place. impossible pour elle de faire la morte plus longtemps dans de telles circonstances. et tant pis si ça devait la mettre dans une situation inconfortable, l'important était de s'assurer qu'il vivait bien tout cet étalement de sa vie privée. elle ne savait que trop bien combien ces pseudo-journalistes pouvaient se délecter de si grands drames qui étaient encore mieux que du pain béni pour leurs affaires. c'est son courage qu'elle prend à deux mains pour se rendre au centre d'entraînement. elle sait qu'il n'y a que là-bas qu'elle est certaine de le trouver. la dernière fois, il ne lui avait donné aucune adresse. la seule carte qu'elle possédait étant qu'il avait rejoint les rangs de l'équipe de foot de new york. c'est sans mal qu'elle arrive sur place, les joueurs étaient déjà sur la pelouse, en plein match. alors elle se contente d'observer india, elle attend. jusqu'à ce que l'entraineur vienne à elle, jusqu'à ce qu'elle laisse échapper la raison de sa présence. elle voit les sportifs marquer un temps d'arrêt à la demande du coach et son cerveau s'affole déjà dans tous les sens. parce qu'elle n'a préparé aucun discours, aucune entrée en matière. tout sortira brut de sa bouche et elle n'est pas persuadée du résultat final. maynard, quelqu'un pour toi. il n'y a qu'un vague murmure qui lui revient aux oreilles, poussé par le vent. c'est dans sa direction que son regard navigue, dans l'attente de son arrivée. si tu savais kéziah, combien j'aurais aimé être là une fois, dix fois, mille fois. combien je n'aurais rien voulu manquer des étapes que tu as franchi avec toujours ce même talent et cette même simplicité. combien j'aurais voulu te répéter encore et encore combien j'étais fière de toi. parce que quoi qu'il ait pu se passer, t'as toujours été là. quelque part au creux de mon palpitant, bien caché comme un secret que l'on ne voudrait pas partager, par peur de le voir s'envoler.
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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Ven 31 Mai - 19:28

À terre. Un jour t’auras la force de te redresser. Mais ne t’en es pas sûre. T’es un idiot. Un con. Les mots sont toujours durs à ton égard, pour toi-même. T’as pas besoin de quiconque pour te mettre à terre, au sol, t’étais performant dans ce petit jeu. T’avais rarement était debout, quand c’était le cas, cela devenait étonnant, parfois sublime.  L’adolescence était génial sans ton vieux, sans cet homme te mettant à terre, c’était India qui ramassait les lambeaux de ton cœur, de ton âme quand l’été frappé à vos portes. Elle a toujours fait partie de ton été, qui se finissait trop tôt. T’avais toujours espéré qu’un jour tu la garderais dans tes bras, que tu ne la laisserais pas s’échapper, mais dans le fond, tu t’étais aussi dit que tu ne pouvais pas la capturer, la mettre en prison, juste pour toi. Alors, quand elle a disparu, le coup fût douloureux, il t’enterra vivant, espérant que ce n’était qu’une erreur, la tentation d’envoyer un message, de l’appeler avait été forte, mais tu ne le pouvais pas. C’était les règles et toi tu respectes ces merdes. Comme toujours tu es là, tu restes en vie, même si t’es malmené par les autres, par toi. Le pire c’est sans doute tes propres coups qui te blesse, te saigne, la nourriture qui ronge ton être par son manque.
T’es la proie de cette fichue maladie de gonzesse, merci à ton père pour ces choses qui restes en toi. T’as rien demandé, la pression, la peur de ne pas être à la hauteur, sans doute, même sûr que finalement tout cela découle de lui. Comment cela pourrait être autrement ? Il a toujours été ton tyran, celui qui tyrannisé tes nuits, tes songes. Car c’était lui, lui qui espérait tellement, beaucoup pour toi ? Non pour lui. Un rêve brisé où il aurait voulu te voir réussir. T’as réussi, mais sans lui, tout en étant détruit. Tu regrettes sa mort, tu regrettes son absence, c’est con, mais t’aurais voulu savoir qu’il était fier de toi. Alors qu’il n’est qu’une merde, tu le vois toujours comme un bon père, comme un homme juste incapable d’exprimer les choses correctement, toi tu es une merde. Le monde à l’envers dans ta tête, t’as pas fini de coucher avec le sol, d’embrasser le bitume, encore moins avec ce que tu avais eu l’audace de faire. Dire les choses, lancer ce qui devait être dit, ta vérité, le pourquoi du comment tu étais à NYC, loin de ton équipe, loin de ta famille. Sans doute pour découvrir la vérité sur ton père décédé, mais aussi pour tenter de te remettre, mais la pression est bien trop douloureuse à supporter. Peut-être que tu devrais raccrocher les crampons ? Peut-être. Mais t’as pas envie, cette pensée arrache ton organe central. T’as pas envie de ça, clairement.
Quelqu’un pour toi ? T’as accouru, surpris, encore un journaliste curieux ? Mais il a raison, c’était quelqu’un pour toi. Au sens propre comme figuré. India. T’as sans doute le regard qui pétille à cet instant. Des mois que tu ne l’as pas vu, pas depuis cette rencontre non prévu avec elle, quand son argent t’a acheté, lui a dégoté un rendez-vous rien que pour elle. Une chose qui ne s’est pas faite. T’as pas osé appuyer sur la touche appel de son prénom, t’avais pas envie de l’obligé, toujours envie de caresser sa peau, de sentir sa chaleur se mélanger tendrement à la tienne. La douceur de ses traits, cette mélodie qui résonne dans ta tête quand ton cœur s’emballe pour elle, plus douce que la plus tendre des chansons. Sa mélodie à elle, cette mélodie tu n’as plus l’habitude de l’entendre, de sentir ce cœur lâcher sous la force de cet engouement que tu lui portes. Tu me manques India, tu me manqueras toujours. J’y ai cru, j’ai cru qu’on allait renouer, j’ai cru comme un gosse croit ses parents et à toutes ces conneries de licorne. Et ça m’a tué. Tu m’as tué. et si elle était ton talon d’Achille tout comme ton bonheur ? Complexe. Comme vous, comme elle, comme cet amour qui entoure l’opale de tes yeux, cet amour qui ressort, car c’est elle. Toujours tendre, toujours doux que tu es, un jour sans elle, pour dix minutes avec elle, tu serais prêt à signer. Car t’as toujours eu le cœur gravé sous son prénom. Idiot. Mais ça t’importe peu. Mirage répondant au prénom d’India, le tien. «   Tu vas disparaître ?  »  Ton cœur, ne pourra pas le supporter, pas sans que tu finisses cette fois sous le bitume, pourtant, même si elle disparaît, même si elle s’envole vers d’autre songe, tu apprécieras la seconde offerte. T’es accroc, depuis ton adolescence, elle et toujours elle.  En fait, tu le sais pas India, mais mon cœur, il est accroché au tien, il est soudé et peut être que je finirais seul, mais t’avoir connu aura été la meilleure chose de ma vie. Qu’importe la foule qui acclame, qu’importe les victoires, car tu es bien mieux que tout le reste. crédule idiot, mais amoureux, toujours. Alors tu peux disparaître, mais laisse moi me plonger dans ton effluve , india.
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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Sam 1 Juin - 2:35

elle ne savait pas si elle avait opté pour la meilleure des choses à faire india, quand elle s'était décidée à faire un pas vers kéziah. la seule vérité qu'elle possédait étant le souvenir de ces nuits sans sommeil qu'elle avait enchaîné. bien trop tiraillée par leur passé, à se poser mille-et-une questions sur ce qu'il pouvait ressentir de là où il était. toutes ses années d'adolescence, elle l'avait vu être touché profondément par des mots et des reproches qu'un père n'aurait jamais dû prononcer. elle l'avait vu se débattre pour tenter de faire mieux, pour guérir, pour le rendre fier. ce père qui lui prenait tout, ce père qui n'avait rien de l'appellation qu'on voulait bien lui donner. tant de fois, elle avait voulu opérer un changement, apporter sa pierre à l'édifice, quand elle ne pouvait rien. malgré toute sa bonne volonté. contrainte de ne pouvoir offrir qu'un mince soutien à travers son humble présence, elle n'avait jamais plié. convaincue qu'en restant debout, elle l'aiderait à s'accrocher à la surface, à maintenir la tête hors de l'eau. parce que c'était tout ce qu'elle avait. et le dur retour à ce qui avait été leur quotidien pendant les jours d'une autre époque s'était opéré en une des magazines. d'une manière tellement frontale, agressive, intrusive. dans l'irrespect total que s'octroyait la presse depuis la nuit des temps. c'était la forme qui avait fait bondir son coeur, quand le footballeur avait simplement voulu s'ouvrir et panser des plaies encore à vif en les partageant avec le monde. comme pour s'en débarrasser enfin, comme un exutoire. la démarche était louable, quand la réutilisation ne l'était plus. et si elle avait été si heurtée, elle osait à peine imaginer ce que pouvait ressentir le sportif. sur ses propres états d'âme, elle s'était assise, parce qu'il n'avait jamais été question que de kéziah. dans tous les espaces temps, c'était lui avant elle. et ce, peu importe les circonstances. chaque jour encore, elle s'en voulait de son absence. alors elle lui devait bien un signe pour rattraper toutes ces années où elle avait abandonné. par lâcheté, par peur, par égoïsme, les raisons pouvaient être multiples mais le fond restait le même.
c'est à la seule adresse qu'elle connaît qu'elle espère tomber sur celui qu'elle cherche. celui qu'elle n'avait pas revu depuis la dernière fois, depuis la promesse d'un diner qu'elle s'était offert pour la bonne cause. le destin avait admirablement placé ses cartes ce soir-là. et il avait même joué en sa faveur quand aucune rancoeur n'était venue ponctuer l'échange. les yeux s'étaient contentés de briller, et les coeurs de battre à l'unisson. à l'image d'une mélodie bien huilée qu'elle avait cru ne plus jamais pouvoir conjuguer autrement qu'au passé. avec patience, elle attend qu'il vienne à elle. tentant d'aligner des paroles cohérentes qu'elle lui servirait dès qu'il serait face à elle. si longtemps, elle l'avait connu. pourtant aujourd'hui, elle avait le sentiment d'avoir perdu tous les codes qui n'avaient plus aucun secret pour elle autrefois. il s'approche et avec lui, les battements de son myocarde s'intensifie. à mesure que la distance se réduit, elle semble perdre tous ses moyens. comme si les mots restaient accroché à sa gorge, incapable s'en sortir. en son for intérieur, elle pense que rien de ce qu'elle pourra dire ou faire ne sera à la hauteur de ce dont il aurait besoin. un sourire sincère s'invite sur ses lèvres dès que son regard entre en collision avec son homonyme. celui qui n'est dédié qu'à lui et qui ne s'illumine jamais autant que quand il est là. ça faisait des années qu'il n'était plus apparu aussi éclatant. la faute de cette séparation, de cet éloignement forcé. tu vas disparaître ? elle secoue la tête négativement. si elle était venue jusque-là, ce n'était pas pour faire demi-tour dès l'instant où elle l'aurait aperçu. quelques doigts qu'elle laisse glisser le long de sa joue, un contact si évident dont elle avait presque perdu l'habitude au fil des ans. j'en ai marre d'être un courant d'air dans ta vie. fais-moi une place kéziah. même la plus petite qui soit, je saurais m'en contenter. parce que je suis pas compliquée, je prendrais tout ce que tu voudras bien me donner. les pupilles rendues si douces par la personne miroir d'elle-même, elle observe et tente d'analyser la moindre parcelle de ses traits. cherchant à y décrypter le moindre signe de ce qui pourrait l'animer. jusqu'à l'ombre d'une larme qui aurait meurtri sa joue un peu plus fort que les autres. j'voulais savoir comment t'allais. vu... ça m'semblait important, au vue des évènements. la raison de sa présence est posée là, à ses pieds. tu ne savais pas si il avait retrouvé quelqu'un. une personne à ses côtés qui aurait pu panser les plaies que tu t'étais si bien appliquée à tenter de faire disparaître quand tu avais encore ce pouvoir sur lui. une âme bienveillante capable de prendre sur elle tous les maux qui l'écrasaient, pourvu qu'il se sente plus léger. tu l'aurais fait mille fois sans te poser de question, encore hier. et tu le referais encore aujourd'hui, si seulement il t'en donnait l'opportunité.
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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Jeu 17 Oct - 18:03

Elle est le cœur qui guéri le tien. La reine d’un monde qui ne changera jamais sans elle. Incapable d’être sans elle. Tu fais bonne mine sans elle, tu survies quand sa peau ne taquine pas la tienne. Main dans la main. tu n’as qu’un seul espoir dans ta vie. si elle savait qu’elle était l’être qui me tenait en vie, celui qui ne cessait de hanter mes songes et mes pensées. Un jour douloureuse, un jour heureuse pensée. Ange qui a déposé sa plume dans ton existence, plume ancré dans ta peau, dans ton être, tu t’attaches à ce seul élément, à vos étés rassurant qui ne sont que merveille à tes yeux. Opales qui brillent, elle qui est là, devant toi, l’âme en paix, un moment, une seconde, le temps de son offrande. Elle est la joie India, beaucoup trop. Tu t’attaches sans nul doute tel un idiot à une image parfaite de jeune fille, vos âmes chantant sur la mélodie de vos cœurs se jouant en tempo. Ange digne d’une étoile filante qui file et ne passe que quelques fois dans une vie, la chance qu’elle ait déposé du bonheur dans la tienne. Tu ne peux le renier, même si dés fois tu aimerais t’en convaincre, te dire qu’il faudrait oublier, quitte à te mettre avec une femme vénale qui serait là pour l’argent et un peu pour toi. le besoin d’une stabilité qui n’est pas le synonyme de la belle brune, petite princesse que tu voudras infiniment comme reine dans le royaume qui se consume. Elle est l’adn de tes cellules, elle fait partie de toi. T’as toujours eu mal de son absence et pourtant tu retiens ta peine, noyant tes songes d’elles dans des nuits douces. Elle est comme l’amour, qui vient et s’en va. j’aimerais que tu me reviennes, je cache ma peine, oubliant que tu ne fus mienne que quelques semaines, mois dans ma vie. Tu n’as jamais été la mienne et pourtant j’en rêverais, jusqu’à donner ma vie, pour une journée de toi et moi. une question qui brûle tes lèvres, la réponse qui pourrait se révéler mortelle, tu pourrais t’écrouler à tout jamais pour retrouver l’homme qui t’avait pourtant prévenu qu’elle ne devait être qu’une distraction. Incapable morveux. Tombant sous le charme de la première venue. Doux comme un chaton, tu n’as jamais été de ceux capable de jouer autre que sur le terrain. Incapable de dribler entres les femmes, le cœur s’attachant que très peu et quand il le faisait c’était pour rimer avec éternité. tu es mon éternité, tu es celle de l’éternité, qu’une journée me suffirait pour en finir de cette vie de décadence, de cette maladie pourrissant ma vie. réponse qui se fait attendre, toi qui ne cesses de t’efforcer de ne pas la prendre dans tes bras, de sentir sa peau chaude contre toi, son effluve venant bercer ton âme pour un instant. Et si tu pouvais n’avoir que quelques minutes chaque année tu mentirais si tu disais que tu n’en voulais pas, car ça te suffirait, te ferait tenir l’éternité. Une promesse d’un plus tard te suffirait. Incapable de dire stop quand i lle faudrait, tu ne peux pas être le responsable de ça. Idiot, trop émotif, il avait peut-être raison le paternel, raison que tu n’étais qu’une mauviette, incapable d’avoir une maladie d’homme, se plongeant dans les abysses de la maladie pour les femmes. Tu te morfonds dans ses mots, entendant cette voix torture ton âme, tu le laisse prendre le dessus, avoir raison. Tu le sais que cette chose qui te ronge n’est pas la maladie des filles, mais de tous. La maladie corrosive qui bouffe jusqu’à la destruction. Deux maladies qui hantent ton être la boulimie et India, cet amour est si virulent que tu n’y survivras pas, mais peu importe si tes opales peuvent se noyer dans les siennes. Reniant ton père, encore et encore. Incorrect humain. Le cœur qui s’enflamme par les mots qu’elle chante, pourtant inerte. Tu as peur qu’elle ne soit qu’un mirage posé face à toi, pour te jouer un tour, pour te pousser un peu plus à la folie. « Tu … » Et les mots manquent, les émotions emportant le combat, te laissant t’emporter. me laisse pas, je ne veux pas que tu t’en ailles, si je m’écoutais je t’attacherais à moi. Ton âme est perdue, heureux ou malheureux. Tu ne sais pas comment prendre ce qu’elle te dit, tu dois t’emballer ou prendre ton temps. Tu as peur de ne plus avoir de temps, si seulement elle savait que ton cœur ne chante cette mélodieuse mélodie que quand elle est là. La seule et unique et pour toujours. Incrédule amoureux, qui n’oublie pas, qui ne passe pas à autre chose quand le vent effleure son être le poussant vers un autre. Tu t’y refuses aux autres, car elles ne sont pas elle. « Je ne veux pas que tu disparaisses … » Les mots sont douloureux à sortir, la peur qui plane comme une épée Damoclès que cela ne la fasse fuir. Les promesses d’antan, ne sont plus que celle d’adolescent contraint à de petite retrouvaille, à s’oublier et à s’aimer à toujours. Tu as toujours plus pris en conséquence l’aimer à toujours que l’oublier. Incapable d’oublier. Incapable d’être un homme que dirait l’homme à l’adn connecté à la tienne. « Tu es là … » alors je vais bien, je vais très bien quand mes opales peuvent te voir. le cœur en lambeau, les mots qui manquent, les bras venant à elle, cœur contre cœur, ton menton déposé sur le haut de son crâne. Tu la tien comme une poupée de porcelaine que tu pourrais briser rien qu’en respiration. Adolescent amoureux pour toujours, rien ne changera, tant qu’elle était là, même après des années. « Je ne veux plus te lâcher, plus te perdre. » Son cœur qui joue contre le tien, donnant le courage qu’elle avait eu pour venir te voir, les mots sortaient comme une déclaration d’amour. car je t’aime et je t’aimerais jusqu’à ce dernier soupire dont tout le monde parle, celui qui laisse dans le noir et le froid.


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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Ven 1 Nov - 10:40

hier, cet éloignement douloureux n'aurait jamais existé. pas quand même deux mètres ne les séparaient pas. à aucun moment. constamment réfugiés dans l'ombre l'un de l'autre, ils avaient tout traversé main dans la main. les bonheurs comme les malheurs. les éclats de rire comme les pleurs. c'est sans doute à cela que l'on reconnaît une âme soeur. que l'on devine quelqu'un qui compte. quelqu'un qui a gravité toute sa vie sur la même route. quelqu'un à qui l'on a confié nos joies et nos doutes. quelqu'un qui les a partagé. pour les minimiser ou bien les décupler. il avait tout connu de toi kéziah. la petite fille comme l'adolescente devenant adulte. et tu l'avais vu grandir à côté de toi, s'obstinant à devenir ce sportif à haut-niveau que son père se bornait à espérer de lui. sa maladie vous avait rapproché, la tienne vous avait séparé. deux faces d'une même pièce finalement fissurée. réduite à n'être plus qu'un objet obéissant aux lois de l'univers et de ses coups bas. il avait eu la force de s'épancher, déjà à l'époque. avait couché ses maux pour se soulager. l'expérience lui avait sans doute réussi, pour qu'il choisisse de la réitérer. autrefois, il n'y avait eu qu'elle. son regard brillant et ses oreilles attentives. aujourd'hui, il y avait le regard d'un monde sur lui. et les réflexions parfois acerbes pour ponctuer la confidence. les commentaires qu'elle avait lu ou entendu lui avait glacé le sang. interdite qu'elle avait été devant tant de méchanceté gratuite. devant des attaques aussi stupides. il y avait ces fois où elle ne comprenait pas les vivants. ou elle s'offusquait d'une compassion inexistante. quand elle savait combien kéziah aurait eu besoin qu'on l'entende, qu'on le soutienne. pas qu'on le rabaisse ou minimise ce qu'il avait pu traverser. et dans un espoir sûrement déraisonné de lui faire oublier ces absurdités, elle ose dire tout haut ce qu'elle pense tout bas. ce qu'elle se répète inlassablement à longueur de journée. ce dont elle se fustige depuis des années. depuis leur séparation, depuis sa fuite orchestrée. tu n'veux plus te contenter de mettre un pied dans sa vie. ça n'te suffit plus. tu veux t'y plonger corps et âme. et ce, peu importe la place qu'il voudra bien t'accorder. t'es prête à toutes les folies et tous les défis, pour peu qu'ils te certifient que tu n'auras plus à vivre sans lui. l'aveu est court mais il veut dire tellement. autant que ce contact qu'elle recherche perpétuellement. en quête continuelle de la certitude qu'il est bel et bien là. ici et avec toi. pas là-bas, au milieu de n'importe quoi. la vérité, c'est qu'elle est incapable de respirer sans lui. elle se contente de survivre. de courir après un oxygène qui lui manque constamment. comme s'il était le seul à savoir en déverser. et à l'heure d'aujourd'hui, tout est à refaire. d'eux et de leur histoire, il ne reste pas grand chose. uniquement des relents d'hier qu'ils ne se sont pas décidé à laisser filer. pensant naïvement qu'ils pourraient les ré-apprivoiser. du moins, ils s'y emploieraient. les sourires sont marqués, bien trop éclatants. le bonheur n'est pas feint, il pétille. éclaboussant presque le monde autour, les âmes qui oseraient s'aventurer trop près d'eux. tu… tu quoi ? tu vas rester là, si c'est ce qu'il veut entendre. c'est ce que toi, tu voulais aussi. si seulement c'était ce qu'il espérait. elle ne force pas les paroles, sait qu'elles viendront en temps voulu. que les sentiments vont et viennent, se traduisent différemment. hors de contrôle. je ne veux pas que tu disparaisses… j'vais nulle part kéziah. pas tant que tu voudras de moi. ça fait trop longtemps que tu cours, t'es à bout de souffle, t'as trop donné. t'y a laissé ta santé ou t'as tenté de fuir ses rappels à l'ordre. et t'y a surtout piétiné ton coeur. c'est lui qui a le plus morflé dans la bataille. c'en était fini désormais, tu te l'étais promis. en mémoire de lui. et toujours trop soucieuse de son bien-être, de par ses épreuves qui avaient tenté de le faire plier, elle le questionne. s'intéresse à son état, à ce qu'il ressent en ce moment. apeurée qu'il ait pu être blessé des mots qui avaient parsemé la presse écrite, aussi bien que la presse orale. les humains ne mesurent jamais vraiment la portée de leurs paroles et c'est ce qui la révolte le plus. tu es là… les lippes qui s'étirent doucement. heureuse d'entendre qu'elle suffisait à effacer les douleurs, mais pourtant pas encore rassurée totalement. il y avait des plaies qu'elle ne pouvait pas panser, même avec la meilleure volonté du monde. j'bouge pas kéziah. un besoin criard d'insister, pour donner plus de poids à tout ça. j'ferais pas deux fois la même erreur. et par là, elle entendait son départ précipité, les au revoir n'ayant jamais existé, et les adieux en pointillés. tout deux s'étaient laissé porté par la vague, sans tenter de prendre la main sur ce qui devait être leur destin. leurs silences n'avaient jamais rien eu de pesant, ni de gênant. ils étaient souvent même plus explicites que ce qui passait la barrière de leurs lèvres. et là, tout contre lui, elle aurait pu se laisser aller. fermer les yeux et croire enfin en un avenir meilleur. peut-être même que c'est ce qu'elle a fait une fraction de seconde. l'espoir tout autour, comme si un simple geste suffirait à le capturer. je ne veux plus te lâcher, plus te perdre. le coeur pourrait suffoquer. noyé sous une rafale d'amour qu'elle n'attendait plus. dont elle ne se croyait même plus méritante. tant elle s'en voulait de ce qu'elle avait fait, autant que de ce qu'elle n'avait pas fait. j'ai besoin de savoir que tu vas bien. le reste, on s'en fiche, elle commence. les autres, on s'en fout, ça compte pas. c'est toi qui comptes kéziah. que toi. les couteaux plantés, les réflexions désobligeantes, les critiques... c'est du vent. c'est pas réel. ça vaut pas le coup d'y porter la moindre attention. on lui avait souvent répété à india, combien l'indifférence était le meilleur des mépris. t'as survécu à ton père, tu peux bien survivre à quelques idiots. une interrogation qui n'en était plus vraiment une, persuadée avant l'heure de ce qu'elle avançait. son regard retrouve le sien et ses lippes s'étirent en un fin sourire. la malice à peine dissimulée. tant que vous serez tous les deux, rien ne pourra vous arriver. cette promesse-là, elle était gravée dans le roc. avait traversé les années et les époques. intouchable, immuable. comme ce lien indescriptible qui les unissait.
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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Mer 27 Nov - 17:28

La souffrance gravée dans le cœur. Tu pouvais tout arrêter, oublié en écumant les abimes de d’autre femmes, mais ton myocarde était entiché à tout jamais à cette brune qui n’avait été présente dans ta vie que quelques mois, rien de plus. Quelques secondes dans un mois que ça te suffirait. L’amoureux que tu es n’a pas besoin de plus, tant que tu sais qu’elle est heureuse. je pourrais crever sur le sol pour toi, ne plus jamais me relever si cela te laissait heureuse. vider ton énergie pour elle, laisser les ténèbres t’emporter dans ta propre mort pour elle. Tu as toujours été prêt à tout pour elle, dés la première seconde où tes opales ont eu des éclairs dans les yeux, pour l’aimer à tout jamais. Un amour qui retient, sans aucun échange, qui est gravé dans les souvenirs du présent au futur. Futur qui a toujours eu peine à se conjugueur sous vos pieds. Des attentes , des envies. Des maux. Les maux qui ont parcourut ton être à chaque seconde de son absence, tu trouvais le moyen de glisser un sourire sur ton visage, te remémorer ses éclats de rire quand l’eau vous faisait chavirer, les moments réchauffant l’être et le myocarde. Tu ne voulais qu’elle, parvenant pas à t’ouvrir comme tu l’avais fait quand tu étais encore un gosse pénétrant dans les tumultes de l’adolescence. Elle. Toi. une évidence qu’elle était la sirène qui t’avait piégé sur ce rocher de l’amour dont tu ne parvenais pas à t’échapper, tu n’avais même pas essayé plus d’une seconde, malgré des années d’absence. Déesse sous tes yeux, tes opales qui s’ amourache encore de son être, de son aura qui transperce son être de bonté et beauté qui se combinent avec poésie. T’aimerais redire que tu pourrais supporter son absence, mais pas quand elle est si proche de toi, que son effluve te fait saliver, l’envie de la garder au creux de tes bras pour l’éternité, qui ne te paraîtrait que trop courte, à vrai dire. Tu ne veux plus t’imaginer loin d’elle, prêt à tout pour ne plus jamais la voir te quitter. Donner tout ce que tu peux pour l’emprisonner à jamais la gazelle dans ta vie. je ne pourrais pas survivre encore à ton absence, à ton silence, donne-moi un dixième de toi, et je te laisserais t’envoler à nouveau , sans dépérir. La force te manque, l’amour toujours bien trop présent, bien trop précieux à ton être pour l’abandonner à la première venue. Elle et tu n’imaginais personne d’autre qu’india. les mots qui donnent une chaleur à ton être, ses mots qui te font espérer, mais tu doutes, tu trembles à l’idée qu’elle ne soit qu’un mirage la belle brune, un délit de ta maladie qui te perturbe, pour te faire plonger. Encore.  La pulpe de tes doigts qui glissent sur sa joue, les opales dans les siennes, tu ne veux plus jamais bouger, t’éloigner d’elle n’est pas une chose que tu désires, ô grand jamais. Être son ancre, être sien, jusqu’à ne plus pouvoir trouver d’air pour survivre à cet amour puissant et passionné.   «  j’ai toujours voulu de toi, India. » Tu n’as jamais songé à une vie sans elle, son absence tu l’as comblé de vos souvenirs, de tes moments de gloire sans jamais l’oublier ou l’éclipser, car même la coupe du monde n’aura jamais été aussi réjouissante qu’elle. je te suivrais jusqu’au bout du monde, abandonnant ma vie pour la tienne, sache-le. tes mains qui se joignent aux siennes, les opales qui se dévorent, tu ne parviens plus à reprendre une bouffée d’air qui te donnerait l’esprit de ne profiter de l’instant si l’ange disparaissait à nouveau. Ne plus jamais oublier une seule de ses mimiques qui te fait plier, le cœur en vrac à l’avoir si proche de toi. en boucle, ne croyant toujours pas à se mirage, sous tes prunelles. Ta peur, elle envahit ton être se mélangeant avec caprice à l’amour que tu lui portes.  Le sourire qui éblouit ton visage, tes opales qui lancent des éclairs d’amour, comme pour l’empêcher d’oublier ce que tu ressens, même si rien n’est dit, tout est ressenti, la chaleur de vos mains, vos moiteurs s’unissant à merveille, comme si vous n’aviez fait qu’un depuis toujours et à tout jamais. Collé l’un à l’autre, tu déposes l’une de tes mains dans sa nuque, les regards qui ne demandent aucun mot pour s’exprimer. Jamais le silence entre vous n’avez été une gêne, depuis toujours le silence signifiait bien plus que les longs discourent dans lesquels tu serais capable de t’essayer pour la retenir. Tu ne l’as jamais fait, jamais voulu la retenir, la bloquer, la faire oublier sa vie pour la tienne, pour la vôtre. Dans l’attente de son retour, ce n’était que cela que tu voulais. «  mais … » >T’aimerais te taire, t’aimerais ne pas penser à elle, mais tu en es incapable, car tu l’aimais comme ça. «  Tu ne vas plus jamais voyager , plus jamais partir ? Je ne veux pas que tu t’abandonnes pour moi. » Ton cœur qui se déchire sous tes mots, tu sais que tu pourrais te piquer toi-même avec la réponse qu’elle pourrait te donner. Mais l’amour est d’abord pensé à l’autre plutôt qu’à soi, se sacrifier, courber l’échine pour porter au plus l’autre. Jamais tu ne m’as perdu India. les opales qui lui répondent sans un seul son sortant du seuil de tes lèvres.  L’amour qui te noie, refaisant surface et broyant les parois que tu montais chaque année d’absence, pour ne pas succomber sous l’amour qu’elle avait laissé dans tes entrailles. Graver l’écorce de ton cœur, sans pouvoir effacer cet amour. Lèvres tremblantes, elle ne sait pas ce qu’elle vient de déclencher en toi, un tsunami d’émois qui s’est retenu depuis tant de temps, un temps qui fût long, mais le soulagement est là. La paix vient à toi, Kéziah. A vous. «  J’irais toujours bien si tu vas bien … » tout dans le sacrifice, tout pour elle. Une rengaine puissante mais qui a toujours su te relever, son souvenir si puissant, alors sa présence, ne pourra que faire imploser les maux qui te rongent avec amertume.   «  Tu m’as tant manqué … » la douceur des mots offre une mélodie exquise à ton organe central, qui résonne dans ta tête, qui perd elle-même la tête pour la sirène si émouvante devant toi. t’as le cœur qui ne va pas s’en remettre de temps de bonheur en une seule fois, la passion qui navigue dans tes veines. si tu savais je survivais grâce à toi, ton absence était une force pour moi, un moyen de tout surmonter, car le pire serait de me dire que tu ne reviendrais jamais. Que ce moment à cet instant n’aurait jamais lieu, mon cœur ne s’en serait jamais remis, si j’avais cessé de croire. De croire en toi, en nous. Ta main qui migre sur sa joue, les opales qui demandent qu’une chose, ne plus jamais quitter cette lueur dans ces prunelles, la rendant encore plus exquise. Les maux qui pèsent et qui s’envolent quand tes lippes rejoignent les siennes dans un baiser doux et guérisseur. Le reste du monde n’hésite plus, le feu d’artifice qui s’enjaille dans ton être, tes opales retrouvant la pénombre de tes paupières. Sa bouche parfaite qui guérit tes mots en un simple baiser que auquel tu ne voudrais jamais mettre un point final. Une vie ensemble éternelle, un amour immortel, une union parfaite.  A tout jamais.


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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Jeu 12 Mar - 21:52

quand ils se retrouvent l'un à côté de l'autre, c'est comme si les astres s'alignaient de nouveau. comme si chaque essence retrouvait sa place dans l'univers. l'image d'un coup de pied savamment maîtrisé qui bouscule les déséquilibres et égalise la balance. ça s'apparente aux retrouvailles de roméo et juliette, de rose et jack ou même de allie et noah. c'est l'évidence même qui entre en collision avec les obstacles, et qui s'impose haut-la-main. parce qu'il n'y a plus rien autour quand tu poses les yeux sur lui. plus un seul autre chant qui ne t'hypnotise quand les battements de son coeur t'offre la mélodie du bonheur. trop longtemps elle avait ignoré les signes, ceux qui pourtant brillaient d'une intensité décuplée. préférant faire taire la magie, préférant éclipser le plus beau pour tenter de survivre au plus noir. elle a fauté, lâché prise. elle s'est écrasé, incapable d'affronter ses propres peurs sans risquer de l'abîmer. et elle jure tous les dieux que c'était pour son bien. que le savoir heureux était son unique récompense, ce qui l'aiderait à se battre. même si elle savait pertinemment qu'il était déjà trop tard pour eux deux. que leur histoire avait pris l'eau.
et sans doute que les divinités furent touchées par son engagement. au point de lui offrir la rédemption. la seconde chance, le second souffle auquel elle ne croyait plus. et il était ta plus belle victoire dans cette bataille de tous les instants. alors tu te plaisais à imaginer que c'était pour lui que t'avais survécu. pour avoir le droit de lui expliquer un jour combien tu n'avais rien fait contre lui, mais plutôt tout pour lui.
encaisser ses coups, elle l'avait déjà fait. aujourd'hui, elle était prête à prendre les siens. à lui servir d'armure de composition. à limiter les impacts de balle qui pourraient tâcher son corps de la bêtise humaine. parce que c'était pas ça votre monde à tous les deux. à l'époque, la vie était jolie, légère, à l'abri des colères et des revendications. loin des jugements et des accusations. sauf que l'adolescence n'était plus, que le monde adulte vous avait chopé bien plus violemment que le reste. et t'étais pas prête à lâcher sa main dans ce bain infesté de requins.
à cet instant, elle sent et elle ressent. combien il attend de savoir ce qu'elle lui réserve encore. combien il s'inquiète de ne pas savoir si elle ne va pas à nouveau prendre la poudre d'escampette. il a besoin de certitudes kéziah. et c'est peut-être la seule chose qu'elle peut lui accorder, lui donner. parce qu'elle lui doit bien ça. pour éponger les erreurs du passé, les mauvais choix qui les avaient éloigné. et elle en a envie autant que lui de croire aux promesses qu'elle souffle. de croire en un futur qui ne les amochera plus. les mots lui manquent quand son coeur crie pourtant trop fort. et elle se sent bête d'avoir été si longue à comprendre, de leur avoir fait perdre autant de temps. alors elle avoue à demi-mots. distribue les cartes qu'elle a. les lui offre sur un plateau d'argent, il en fera ce qu'il voudra. parce que c'est lui désormais qui tient leur destin entre ses mains, parce que c'est lui qui aura l'ascendant sur ce qu'il imagine encore pour eux. elle n'est plus maîtresse de rien la brune, ayant déjà brûlé la cartouche qu'elle possédait. elle est pendue à ses lèvres india, le coeur battant. comme on attend une sentence. j'ai toujours voulu de toi, india. la pression retombe, le palpitant se gonfle et les lippes s'étirent. le soulagement l'étreint. et à ce moment précis, elle mesure la chance qu'elle a de l'avoir à ses côtés. elle sait l'homme merveilleux qu'il est et elle se sent tellement petite à côté de lui, tellement illégitime de tout l'amour qu'il peut encore lui porter quand elle n'avait fait que le blesser et l'abandonner. les mains se cherchent, s'accrochent et fusionnent. ce lien, elle ne veut plus le perdre. ça lui a fait trop mal la première fois, trop pour qu'elle envisage de s'y réessayer. la légèreté et les sourires rassurants reprennent leur place entre eux. le monde semble recommencer de tourner. mais… elle s'interroge india, ne s'attend pas aux questionnements qui ont l'air de prendre entière possession de kéziah. tu ne vas plus jamais voyager, plus jamais partir ? je ne veux pas que tu t'abandonnes pour moi. ça la touche plus qu'elle n'aurait jamais pu l'imaginer qu'il ait peur de la voir filer encore une fois. alors elle choisit sa réponse du mieux qu'elle le peut. pourquoi je devrais arrêter ? tu viendrais pas avec moi ? sa passion pour les voyages et son amour pour le footballeur étaient parfaitement conciliables. et elle serait sans doute encore bien plus heureuse de pouvoir cumuler les deux. tu te poses trop de questions, tu veux pas laisser ça pour plus tard ? au moins pour demain. elle a le sourire communicatif et tout sauf l'envie de se prendre la tête alors qu'elle vient de le retrouver. ils ont toute une vie pour s'inquiéter de quoi seront fait leurs lendemains et de ce qui les attend au bout du chemin. pour l'heure, ils n'ont qu'à profiter de leurs retrouvailles, en tentant d'oublier tout ce qui pourrait faire obstacle à leur bonheur.
avec la plus grande des sincérités, elle lui demande comment il va. pas juste pour faire joli, mais parce qu'elle a réellement envie de l'entendre. le bon ou le mauvais, elle est prête à l'accepter. dans l'espoir criard de se rattraper, elle a besoin d'être là. j’irais toujours bien si tu vas bien… alors on ira toujours bien. j'nous trouve drôlement chanceux si notre bonheur se conjugue à deux. c'est comme se retrouver en apnée, à deux mètres au-dessus du sol. c'est comme se sentir chavirer et aimer ça au point de ne pas vouloir s'arrêter. c'est un trop plein de sensations qu'elle avait oublié quelque part et qu'elle redécouvre de la plus douce des façons. tu m’as tant manqué… contre lui, elle revit. à lui, elle se raccroche. elle est cette jeune femme qui a retrouvé sa place dans l'univers. celle qui ne se permettra plus jamais de perdre sa route. toi, t'as pas eu le temps de me manquer. ou simplement physiquement. pour la simple et bonne raison qu'elle n'a jamais cessé de suivre et d'admirer son parcours. même de loin, même sans qu'il le sache.
un baiser pour sceller les évidences, les promesses. pour introduire le futur qui leur tend les bras. pour accueillir les sentiments flagrants quand les mots ne sont plus assez puissants.
à ce que vous avez été, à ce que vous ne serez plus.
à vous.
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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Dim 5 Juil - 16:46

T’aimerais être capable de dire stop à ce feu qui te consume, répondant au doux prénom d’india, mais toi-même t’es incapable de signer cet arrêt. Incapable de lui dire adieu à jamais. Même son absence te manquerait, elle et toute votre histoire te hanteront jusqu’à la fin des temps, mais ça te convenait complètement ainsi. Divinité en face de toi, tes opales te noyant dans sa beauté, tu ne pouvais pas reculer, pas l’abandonner, t’as jamais eu le cœur à être loin d’elle et à la retenir. Elle avait des ailes la belle et elle devait s’en servir pour vivre sa vie, mais ton myocarde en souffrait, ton avenir aussi. T’avais imaginé mille et une possibilité avec n’importe quelle femme belle, sublime aux yeux de tous, mais ça ne t’allait pas. Car dans toutes ces sirènes tu ne cherchais qu’elle. India. Ancré dans tes tissus cardiaque, tu ne parvenais pas à estomper cet amour que tu lui portais. La kidnapper, la faire tienne à tout jamais tu en serais capable, tu désirerais que ça, mais tu n’es pas capable de lui couper les ailes. L’aimer c’est le faire même dans ses absences, tant que son sourire illumine son doux visage, ça restait une bonne chose, même si ton cœur lui prenait les coups. Malgré ton amour, t’arrives pas à ne pas tout dire, à laisser les mots se hisser, comme la grande voile d’un voilier, t’as besoin de réponse, besoin de t’accrocher à un bout d’espoir, à cet amour divaguant dans ta carcasse, la laissant inerte pour les autres. t’étais échoué sur l’ile de la douce india, incapable de maudire ce jour d’été où tu l’avais rencontré. L’oublier, l’effacer de tes songes te tueraient bien plus que son souvenir.
C’est elle, les battements de ton cœur murmurent son prénom à chaque instant, cœur lourd de cet avenir que tu as toujours imaginé pour elle, pour vous. A jamais ça sera vous, même si tu étais seul, tu t’en fichais. Car son empreinte était gravée sur ton épiderme. Mieux sans elle ? impossible. Tout te ramènera à cette nymphe dont tu es épris. Les opales dans les siennes, tu es fatigué, tu ne veux plus penser, tu veux juste tenir ton être près du sien, pour un instant, quelques secondes, pour te remémorer ce que c’est de l’avoir là. Un peu de poudre aux yeux qui ne fait pas de mal, les mots ne sont que des paroles qui pourraient se briser, mais tu ne voudrais que croire en ses lèvres murmurant de belle chose. Tomber amoureux à chaque regard déposé sur elle. Tu ne pensais pas que c’était capable, mais peut être bien que tu as bien capté ce que c’était l’amour, le vrai. C’était elle, une évidence. Des mains qui fusionnent, des opales se noyant dans les siennes. Tes mains glissant sur ses joues, la pulpe de tes pouces caressant ses lèvres, un doux moment qui te pousse au bord du précipice. Tu voudrais sauter pour te retrouver dans une boucle intemporelle où tu serais à elle pour tout jamais et qu’elle soit tienne. « pour demain seulement … » car t’as besoin de réponse, ne plus avoir ce panel de question qui te bouffe, laissant tes songes se briser contre la pierre du doute. Besoin d’elle, tout simplement. Elle ne le sait pas, mais avec elle tu iras bien, à l’infini. Sa présence, et même son absence tant qu’elle était bien et que tu le savais c’était bon pour ton moral, oubliant tes maux, t’oubliant en elle, car elle avait été le remède à tous les supplices de ta vie, la belle brune. Tes lèvres glissant sur les siennes, un doux baiser et si simple à la fois, pourtant la myriade de papillons d’autrefois étaient présent, dévorant tout l’amour que tu lui portais.
Ton sourire s’étire alors que tu comprends qu’elle ne t’avait pas abandonné, elle était là, tapit dans l’ombre, observant ta façon d’être jour après jour sur le terrain. Tu suffoquerais si ton oxygène n’était pas là, toujours elle la réponse. Suspendu à ses lèvres, tu aimerais juste te coller à elle, pour prendre de la grandeur. Elle est sans nul doute la femme derrière l’homme, celle qui te porte, sans même être là. Quelques jours dans ta vie et elle avait su te donner suffisamment pour t’épanouir. « t’es comme un rêve india … » la douceur de ses opales, la chaleur de son épiderme, tu ne voudrais plus ressentir le froid, tu voudrais la garder contre toi à tout jamais. « on devrait partir d’ici … » t’as aucune idée de ce que tu veux actuellement, mais ça t’allait tant que ta main était greffée à la sienne.



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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Jeu 9 Juil - 0:44

la douceur de l'instant est comparable à leurs premiers moments.
ces longues heures en dehors du temps, qui leur semblent pourtant si loin à présent.
parce qu'elle a été aux abonnés absents. parce qu'ils ont navigué à contre-courant. à base d'espoirs déçus, de promesses foutues en l'air. et d'un futur en pointillés, finalement soumis aux points de suspension.
et il suffit de vous regarder pour voir à quel point vous êtes resté ces deux gosses aux sentiments plus forts qu'eux. deux gosses paumés dans l'immensité d'une plage, mais pourtant prêts à y rester. parce que tant qu'il y aura un vous, vous toucherez du doigt l'essentiel.
la définition même de l'amour au naturel. de la naïveté de deux coeurs préparés à flancher pourvu qu'on leur offre l'éternel. enfin rendues réelles, ces belles histoires auxquelles on tente de nous faire croire sur les petits écrans. là où il y aura india et kéziah.
et ils ont trop souffert du passé, préfèrent ne pas envisager les lendemains. alors c'est ici et maintenant que tout se joue.
elle les balaye ces questions qui n'auront qu'un impact nocif sur leurs retrouvailles. elle les jette india, pourrait les broyer si ça suffisait à les faire oublier. mais en réalité, elle ne fait que les repousser. parce qu'elle est trop intelligente pour ne pas savoir qu'elles reviendront bien assez vite en rafale. qu'elles s'écraseront en pleine face, à l'abordage des réponses qu'elle doit. qu'elle lui doit.
pour demain seulement…
le répit ne sera que de courte durée. elle le sait et ne peux décemment pas l'en blâmer. il a trop longtemps flotté en eaux troubles. sur un océan de non-dits, de questions capables de vous en tenir en éveil toutes les nuits.
elle les a trop laissé dans l'incompréhension, ses proches. n'a pas cherché à les rassurer, quand elle tentait déjà de ne pas couler elle-même. l'isolement pour seule échappatoire. l'isolement pour ne pas étouffer tous leurs espoirs.
parce qu'elle devait accepter son propre sort, avant d'oser le partager. et sa thérapie, elle finira par la faire. sur le web, auprès de ceux qui la suivent depuis plus au moins longtemps. même si avant, elle devra se livrer à ceux qui sont à côté d'elle depuis toujours. à ceux qu'elle aime, toujours du même amour. parce que le temps et la distance n'ont eu aucune incidence sur ces évidences.
baiser papillon. baiser empli d'émotion. de tout ce que vous n'aviez pas pu vous dire avant, de tout ce qui aujourd'hui restait encore en suspend. c'est comme l’atterrissage tant attendu d'un long voyage vers ailleurs. le pied posé sur la terre ferme après des heures de vol.
ce sont les silences qui hurlent entre vous deux. les silences qui ne sont même pas gênants, puisqu'ils baignent dans l'immensité de vos sentiments.
oui, il lui a manqué kéziah. affreusement, atrocement. dans ces moments où elle se souvenait d'eux. où elle ne faisait pas abstraction de son ancienne vie pour se concentrer sur sa guérison. sauf qu'il était là, toujours. dans un coin de son coeur, ou de sa tête. sur un écran de télévision, ou un article de journal. son nom dans les bouches des supporters, et son talent sur la pelouse si verte.
parce qu'elle n'a rien manqué de son sacre. elle s'y est refusé. parce qu'elle s'était toujours promis de faire partie de chaque instant important de sa vie. et même si la maladie avait tenté de l'en empêché, elle n'avait pas failli.
t'es comme un rêve india… un rêve plutôt accessible alors, et un haussement d'épaules plus tard, elle poursuit. pour toi, j'serais jamais un mirage. jamais intouchable, jamais inatteignable.
on devrait partir d'ici… elle hoche la tête. et attachée à sa main, l'entraîne déjà vers là où ils ne sont pas.
t'en as arrêté combien rappelle-moi. elle fait mine de réfléchir avant de continuer. une petite dizaine ou j'suis encore loin du compte ?
elle les a vu ses interventions, les a compté puis a fini par oublier. pour se concentrer sur autre chose. sur leur présent plutôt que sur leur passé.
tu sais, gamine, j'ai toujours rêvé d'être femme de footballeur. elle rit innocemment, face à cet appel du pied, comme il en voyait souvent dans son métier.
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Message Sujet: Re: un point c'est toi (kéziah)   un point c'est toi (kéziah) Empty Jeu 9 Juil - 21:47

Somptueuse nymphe égale à la douceur d’un doux rêve. T’as toujours eu d’opale que pour elle, toi succombant à chacun de ses sourires. T’étais qu’un gamin de quinze ans, attaché au foot plus qu’aux filles, jusqu’à elle. Tout ton être, ton âme et ton cœur furent marqué par sa rencontre. T’avais pas imaginé que tu n’allais plus jamais l’oublier, ne plus jamais la laisser s’effacer de tes songes. La peine de son absence était douloureuse et salvatrice à la fois à chaque retrouvaille, le cœur brisé quand elle n’était pas venue. T’avais juré, maudite promesse, de ne pas la retenir, la rechercher. T’avais pourtant eu l’envie de réduire cette promesse en cendre, le feu te consumer, cet amour pour elle était si énorme que tu n’avais jamais vu la joie de vivre des autres femmes. Elle t’avait hypnotisé d’un regard. Magicienne de l’amour, de ton cœur, elle n’en avait pas pour autant joué. Elle aurait pu la belle arriver dans ta vie dés que ton nom fût connu dans le monde du sport, alors qu’elle est là, quand t’es à terre, que t’as le plus besoin de sa douceur, d’elle dans ta vie. Tu l’as compris toi, qu’elle était l’air qu’il te fallait pour survivre et que pour son bonheur, t’étais capable de rester en apnée, pour son bonheur, pour elle. Ton bonheur n’aurait pas de bien fait si elle était malheureuse.  Cet amour n’efface pas les questions, n’efface pas la douleur qui hante ta carcasse, mais tu ne veux rien gâcher, tu ne veux pas qu’elle t’échappe. Les opales baignant dans les siennes, le sourire qui s’étire un peu plus sur ton visage. Les battements de ton cœur chantant cette mélodie si douce pour tes songes, dédié à la belle brune. Tu étais sien, sans aucun préavis, t’avais pas besoin d’échapper à cette relation un brin toxique dans ce manque.  Quand l’espoir s’envole ton amour prend possession de ton myocarde, étouffant ces doutes, t’as toujours été qu’un gamin rêveur, l’espoir a souvent manqué et pourtant, les opales ont continué de voir les bonnes choses, profiter de la vie . prêt à t’envoler dans un monde en l’attirant avec toi, un monde à vous. Ce baiser rappelant les douceurs d’antan, tu ne peux que savourer l’instant, tu le sais. Elle est libre india, elle a besoin de voler, de vivre, de pétiller dans ce monde, alors que toi t’aimerais la confiner dans tes bras, à tout jamais. t’as jamais été égoïste, encore moins avec ta brune. Les prunelles la dévorant, attachant dans tes gestes, tu ne sentais plus ce vide avec lequel tu avançais, car il était rempli ce vide, c’était elle, ce bout de toi qui manquait quand elle était loin. Triste tu l’es, mais tu es heureux de sa présence, les interrogations qui te bouffent, tu les recales pour elle. T’’es sans doute capable de tout pour elle, même du pire. Qu’elle te demande de tuer pour elle, de ton mieux tu le ferais. Arrêter de penser, que profiter de cet instant présent s’offrant à toi. Couper les ponts avec ton cerveau, laisser ton myocarde maitriser la situation, c’était la seule que tu voulais faire, pour ne pas gâcher l’instant de douceur, de bonheur qui s’offrait à toi. Tes mains encadrant toujours son doux visage, tu te laisses bercer par sa beauté, la douceur de ses opales, tu pourrais détailler la jeune femme pendant des heures sans t’ennuyer.  Qu’elle te dise ça, c’est ton cœur qui s’emballe sous son charme, sous tout ce que tu as toujours voulu d’elle. Ton cœur est comme inarrêtable, cette amour s’évaporant dans les tissus de ta carcasse, tu baignes dans cet amour de gamin, ce premier amour qui te donne l’impression d’être l’unique. T’as essayé de l’oublier, mais c’était avec tellement de peine, d’horreur. Demeurer dans le silence, profiter de son sourire était plaisant.  Tes opales chantants qu’elle était la seule et l’unique, qu’elle était la seule pour qui tu étais capable de te perdre, pour qui tu voudrais donner ta vie. Sans qu’elle ne le sache, peut-être. Aucun mot n’arrive à sortir, car tu ne veux pas briser l’instant, cette bulle de bonheur qui t’envelopper, te cajole grâce à elle. Un sourire qui s’impose sur ton visage, quand tu songes au fait qu’elle n’était qu’à quelques mètres de toi, tu n’arrives pas à songer et à te dire que tu aurais pu la voir, la serrer dans tes bras pour célébrer cela.   «   j’avais peut-être un porte-bonheur dans le public, apparemment ! » que tu lâches, les opales rivés dans les siennes, tu n’arrives pas à t’en décoller, la toucher, la sentir, c’est comme te prouver qu’elle n’est pas un mirage comme elle te le disait. Tes doigts s’entremêlant au sien, se mariant à la perfection, comme si ses mains étaient tout bonnement faites pour les tiennes.  tourné le dos au passé, oublier la peine, la rancœur de son absence parfois, juste profité. Ses mots font écho à ton amour, ce dernier déployant ses ailes dans toutes ta carcasse emprisonnant à jamais encore ton myocarde. Tout été si rapide dans ton esprit, pas le temps de songer, pas le temps de regretter, tu laisses juste ton organe central, celui qui s’attachait à elle, à chaque coups d’iris sur son être. Belle âme que tu voulais à tout jamais, jusqu’à ton dernier souffle. Ton cœur se mourant pour elle, à tout jamais.  La main dans la sienne, tu la caresses, de l’hésitation qui se trame en toi ? Loin de là, juste les mots qui se bousculent , s’époumonent dans ta tête, car tu ne maîtrises plus rien.   «   alors deviens ma femme ! » le ton sérieux, les opales se conjuguant aux siennes, les papillons s’envolant à t’en faire mal, le cœur frappant si fort que tu avais l’impression qu’il finirait dans ses douces mains. Trop besoin d’elle, cette amour démoniaque que tu avais pour elle, incapable de t’en séparer. «   Je suis sérieux. » Le genou à terre, sans même que tu ne l’ai venu venir. Peu importe les regards se jetant sur elle, sur vous. Rien de romantique dans ce lieu qu’était les vestiaires, mais ce n’était pas le but, tu voulais juste qu’elle comprenne que sans elle tu étais condamné à une vie de tristesse. Sa main dans la tienne, tu déposes cette dernière contre ton cœur, les battements chantant l’amour que tu lui portais. «   c’est grâce à toi qu’il fonctionne , encore. » l’espoir et l’amour se mélangeant dans tes prunelles.  T’avais besoin de lui faire part de tes sentiments, de sentir son cœur à tout jamais se lover contre le tien, les mots manquent encore, car il te les faut juste, tout ce qu’elle mérite, la belle brune. Éternellement ensemble, c’était tout ce que tu voulais.   «    il ne veut que toi, depuis toujours. »



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