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| speak from your heart for once ❁ (mahe) | |
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| Sujet: speak from your heart for once ❁ (mahe) Sam 22 Déc - 18:38 |
| La magie de noël et la beauté des rues pavés d’un délicat manteau enneigé ne suffisait pas à t’enlever se sentiment étrange qui te hantais. Contradiction drastique entre cœur et raison. Il n’y avait pas à chercher à penser à autre chose. Oh que oui, tu avais essayé en vain depuis cette dernière entrevue qui c’était soldé d’un échec cuisant. Rejeté une nouvelle fois mais, à quoi aurait pu t’attendre d’autre. Tu ne méritais que ça après tout. Tu avais bien cherché aussi. Incapable de suivre la même partition. Souffle de chaud et de froid et voilà que tu ne sais jamais sur quel pieds danser avec eux. Les hommes. Avec lui surtout. Mahé. Dieu qu’il te rendait folle à te retenir un moment pour te dire de ne plus revenir la seconde d’après. T’étais perdu en eaux trouble. Continuellement attiré par ceux qui ne voulaient pas de toi. Toujours ce sentiment que n’être qu’une gamine qui ne sais pas ce qu’elle veut à leurs yeux. Mahé, Cosimo… et tu ne savais plus ou tu en étais. Surement encore un jeu de ton cœur qui te fais voir des signes là où il n’y en as pas un seul. Probablement qu’il n’y a rien. Rien ou la définition de ce que tu n’attends plus. Tu t’es résolu à ne plus espéré ce qui ne viendrais pas à croire ce que Mahé disais de toi. Que tu n’étais bonne qu’à te servir de lui, que dans l’histoire tu n’avais rien de la victime. Tu t’en sentais comme telle. Prise pour une conne alors que tu te repassé en boucle le film d’il y a quelques jours. Toi, qui comme une idiote reviens vers lui ou chez lui. Prendre ces paroles aux mots et lui donner l’argent qu’il t’a réclamé, lui donner raison de la princesse pourrie gâté qu’il pense que tu ais. Cette envie d’en finir sans en être convaincue alors que tu avais encore cette espoir qui soulever ton cœur. Tu étais tombé de haut. De ton putain de perchoir enchanté. Tu étais redescendue ici-bas, à la réalité. La vie n’était pas un conte de fée. Elle avait fait mal la vérité ou ce que tu pensais l’être des conclusions que tu ne savais pas actives que tu avais fini par tiré. La porte c’était ouverte sur cette fille. Le cœur qui se brise à la vue de la perfection que tu n’étais pas. A la vue de cette femme qui semblait vraiment partagé la vie de celui qui éveiller en toi bien trop de sentiment. Celui qui t’avais arraché le cœur. Celui qui t’avais pris pour une idiote. Des nuits passés à flirté alors qu’une copine l’attendait à la maison. Connard que tu aurais pu lui cracher au visage mais, encore trop con que ton cœur était, il ne pouvait pas s’arrêter de battre lui. Pas si vite. Pas pour lui. Toujours revenue au même point de t’en vouloir de t’accrocher à sens unique. Peut-être que finalement il t’avait fallu ça pour te dire que tu ne méritais définitivement pas de trouver l’amour. Mais, te voilà toujours au même point. Au même état. Stupide princesse qui croit encore au prince charmant. Il n’existe pas se putain de prince charmant et il ne viendra pas te sauver sur son cheval blanc. Les contes de fée c’était finalement bon pour les livres d’enfant. Elle était belle ta magie de noël et tu t’en voulais d’autant plus de te cacher cette période que tu affectionner tant pour un homme. Ou deux. Effort que tu faisais presque à déambuler dans les allées du marché de noël à tenter de te le sortir de la tête. Te laisser enivrer par des chants de noël et un bon verre de vin chaud. Là, au milieu de l’effervescence et du bonheur des gens. Là, au milieu de la beauté. Là et… lui. Lui en face de toi et tes pieds un instant ancré dans le sol priant pour qu’il ne t’a pas vue et te laisses prendre la poudre d’escampette. Il ne veut plus te voir après tout et toi tu es prête à lui offrir ce qu’il souhaite sans broncher voulant t’épargner une souffrance supplémentaire. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Sam 29 Déc - 16:48 |
| La fatigue faisait rage en toi, mais pas le temps de dormir, le besoin d’aider Violet à s’en sortir avec son fils, ton filleule, t’es sans doute pour la première fois amoureux depuis bien longtemps. Ton cœur il se ferme, dès qu’il pense pouvoir le faire à nouveau, car tu manques de confiance en toi, en ta possibilité d’être droit et de ne pas flancher à l’envie d’aller voir ailleurs comme tu as pu le faire avant. La fille qui faisait peut être chaviré ton cœur, a trop joué, tu l’as compris bien trop tard, qu’elle ne faisait que jouer avec le petit parasite que tu étais. Le petit pauvre, la petite riche, un cliché, surtout quand tu sais que toi aussi tu es riche, riche d’une âme et riche d’une famille et d’argent, mais la dernière partie c’est complétement complexe, ton père te donnera jamais de l’argent si c’est pour que tu continues sur la voie que tu as choisi. L’art. Pourtant c’est doux et paisible que détaler les émotions, l’âme sur une toile, la laisser s’exprimer en photo ou autrement. Voilà, c’est ainsi pour toi, que les riches se servent des gens plus pauvre que prévu, tu ne l’avais jamais apprivoisé ainsi la Émeraude, tu la pensée aussi douce que le nom qui était sien, mais elle était différente, pourtant tu avais du mal à y croire, à croire au fait qu’elle pouvait être si vénal. T’approcher, car elle avait besoin de ton talent, d’aide pour la gourde que la petite fille riche avait fait. Tu ne cessais de te dire que tu devrais passer outre, oublier, mais ça revenait à chaque fois à la charge, sans que tu ne puisses dire quoi que ce soit. Rien qu’une objection, non. Tu devais supporter, tu le faisais, après tout, c’est ainsi, tu es le prince du silence, le grand gagnant même. Tu l’avais appris que ta sœur avait croisé une jeune femme te demandant après, elle avait été un peu glacial, entre la fatigue, et le fait de te voir à mal, sans avoir d’explication, car, t’es ainsi, tu aimes bien protéger tes sœurs, mais qu’elles ne doivent pas le faire avec toi. Pas leur rôle. Un peu macho sur les bords ? Sans doute, mais surtout que tu ne veux pas qu’elle se ronge les sangs pour toi. Émeraude correspondait parfaitement à la description faite de Violet, mais autant dire que tu ne voulais pas te dire qu’elle avait été capable de te chercher jusqu’à chez toi, juste pour de l’aide. Cette fille était incompréhensible. Une fois du chaud, du très chaud, puis du glaciale. Comment tu devais savoir sur quel pied danser ? C’était comme demander un effort surhumain. Déambulant dans les rues du Queens, tu laissais tes yeux se divertir de la beauté des vitrines, les éclairages fait avec goût pour certaines, d’autres étaient bien trop chargé, mais ça restait sympathique. Les odeurs avaient fini par te guider en direction du marché de noël où les odeurs de hou, de chocolat, de cannelle, d’épice ou encore de sapin se mélangeaient, rendant encore plus cette période magique. Tu l’aimais bien cette période, te remémorant ton père jouant le père noël, en disparaissant de table, prouvant aussi que le père noël était là, existant. Cet homme était ton héros, mais il restait bien trop sage dans les projets, l’argent comptant plus qu’autre chose, du moins après la famille. De l’argent pour rendre heureux les siens, mais ils n’avaient jamais compris que toi, ce qui t’avait rendu toutes ces années c’était la sagesse de l’homme, sa bienveillance, plus que le portemonnaie qui créait pour votre famille. Les opales qui parcourent ce mélange de couleur, rouge et vert, tu souriais en la voyant, cherchant presque aussitôt à le faire déguerpir, à le laisser filer ailleurs pour ne pas succomber à ce sourire, ne pas succomber à ta propre bêtise. Tu l’as vois fuir, tes opales n’ont d’yeux que pour elle, alors tu te retiens de savoir à quoi elle joue. Tu tournes la tête ailleurs, mais tu ne sais pas, t’as besoin de mettre les choses au clair, de tout poser sans doute ? L’erreur ? Oui, tu devais fuir, et ne pas retenir cette fille. Puis te voilà à quelques pas derrière elle. « Mademoiselle Hamilton ! » Ouai, tu veux vraiment tout arrêter, arrêter son cinéma, façon elle n’avait joué qu’avec toi, voilà tout. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Jeu 3 Jan - 20:31 |
| Tu avais le cœur en peine à croire que ton fichu myocarde ne pouvait pas prendre de repos. Il n’y avait jamais eu de place pour la raison chez toi. Toujours guider par c même et stupide organe qui prenait le pas sur tout. Sur ta vie, sur tes pensées et sur tout le reste. T’étais juste l’une de ces idiotes parmi tant d’autre qui continuais perpétuellement de se faire laisser sur le bas-côté de la route mais, qui continuer à y croire. Croire au prince charmant qui ne viendrait jamais. Il n’y avait pas de place pour un sauveur ou de cavalier blanc dans ta vie. Pas quand tu craquais encore et toujours pour le même type d’homme. L’âme en peine et le regard ou on peut lire les ténèbres d’une âme blessé. C’était ça ton putain de truc les hommes torturé qui se refusais à aimer. T’étais qu’une foutue masochiste. Non, toi, tu ne pouvais pas craquer pour le gars normal, gentil qui rêve de femme, maison et enfant. T’étais qu’une foutue idiote et pas certaine de savoir ce que tu voulais vraiment. Qui tu voulais non plus d’ailleurs. Tu clamais avoir besoin de simplicité alors que tu n’arrêtais pas de courir après les complications. Tu te sentais piégé dans l’une de ces ritournelles sans fin. Dans l’une de ces danses passionnées qui vous baladent d’un côté puis d’un autre. T’avais mal, le cœur qui saignait et pourtant, jamais tu ne semblais en avoir assez. On te donner une gifle et voilà que tu tendais l’autre. Tu courrais après un pansement pour cette peur de ne jamais être assez bien. Tu voulais panser cette plaie ou cette image presque déplorable que tu avais de toi. Tu ne voulais plus être une gamine dans leurs yeux et pourtant tout ce que tu faisais semblait te ramener aux mêmes points. C’était comme parler une langue étrangère sans aucune possibilité de traduction. C’était ça et ça te tuer. Tu t’essouffler en vain. Te battre contre l’imbattable. C’était là, la sensation que tu avais dans le fond du palais avec Mahé. Une douceur amère. Un moment tu pensais l’avoir, le comprendre et l’instant d’après c’était comme faire face à une foutue langue étrangère. Entendre mais, ne pas comprendre. Un cercle sans fin avec lui. Un cercle que tu voulais désespérément boucler sans jamais vraiment trouver le courage de le faire. Le déchirement du palpitant qui s’essouffler dans ta poitrine. Celui qui n’avait pas su ou se mettre alors que tu pensais être venue avec le drapeau blanc quelques jours plus tôt chez lui. Tu étais tombé à côté de la plaque. Au fond du gouffre. T’avais la vive impression d’être prise dans une valse dansée sur de la musique électro. Rien qui n’ailles ensemble mais, t’avais toujours cette petit voix en toi qui te disais que si. Qu’il y avait toujours de l’espoir alors, que toi, tu n’en voyais plus ! Comment aurais-tu pu en voir alors qu’il avait cette magnifique femme qu’il l’attendait à la malsain. Dieu que tu avais été conne. T’avais l’impression d’être en syndrome post rupture sans pour autant jamais n’être sortie avec lui. Un baisé voilà ce qu’il y avait eu, un baisé qu’il avait rejeté sans réfléchir. S’il te fallait une autre preuve pour comprendre qu’il ne voulait pas de toi t’étais encore plus idiote que tu le pensais. Tu voulais d’immuniser de lui, l’oublier presque si cela était possible de le ôter pleinement de tes pensées. De tes rêves. C’était impossible… Impossible qu’il semblait être partout. Même là, en déambulant dans les rues de cette belle ville. Illusion ou peut-être pas, tu l’avais vu. Ces prunelles croisant un instant les tiennes pour te tordre un peu plus le cœur alors que tu continuais de tenté de te convaincre qu’il n’était définitivement pas pour toi. Tu le devais… Tu n’étais pas une briseuse de ménage et de toute manière, il t’avait bien fait comprendre qu’il ne voulait plus te voir lors de votre dernière entrevue. Alors, tu fuis. Lui et tout le reste. En vain alors que sa voix te happe au passage. Sa voix qui enveloppe jusqu’à ton âme. Ta course freiné loin de lui qui se stoppe mais, tu ne veux pas te retournais mais, malgré toi, tu le fais. Tes iris qui s’agrippent au sienne et se crie silencieux de douleur qui t’agite de toute part. « Mahe… » Que tu souffles d’entre la pulpe de tes lèvre. Comme s’il te l’arraché de toi son prénom. Il t’arrachait tout et ne comprenais rien. Ne rendais rien. « Je m’en allais… » Que tu dis comme pour te justifier, comme si tu avais besoin. Après-tout il ne voulait plus te voir mais, ce n’est pas comme si la rue était à lui. Pas comme si c’était lui qui t’avais appelle. Toi, toi tu avais fuis pour respecter à contre cœur son choix ou peut-être que tu le faisais pour cette femme qui attendais chez lui. Par respect pour elle, pour lui. Pour toi. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Lun 7 Jan - 0:26 |
| La période était bonne, elle est même merveilleuse, mais t’aurais voulu flirter avec les paysages de ton pays, près des tiens, mais tu ne le pouvais pas, sauf si tu voulais être coincé à jamais là-bas ou alors créer des histoires avec ton père. Alors, tu allais rester là, bien tranquillement, le fêter sans le fêter. Pas besoin de faire la fête, rien que les odeurs du marché étaient assez convaincante pour te remonter le moral, l’ambiance était bonne. Monsieur observateur était heureux, il pouvait se donner un réel plaisir à contempler toutes ces personnes le sourire aux lèvres, le tien aussi il était là. Présent pour l’occasion. Tu n’avais pourtant pas prévu d’atterrir ici, mais tes sens et ton âme t’avaient poussé à venir ici, tu étais heureux d’y être. Les opales qui transperçaient les âmes présentent pour se servir de leur émotion pour les percevoir, tu étais plutôt heureux de pouvoir voir ça. Tu avais de quoi exposer de nouveaux sourires sur les murs de la ville, sur tes toiles, enfin peu importe. Pinçant tes lèvres, tu te laisses porter par l’endroit, appréciant tellement que tes opales finissent par flirter avec un bijou. Jolie poupée, poupée de feu et de glace, celle qui détient un morceau de ton putain d’organe, mais qui s’en joue, jouant de ta personne. Voulant de toi ton art, ta capacité folle à copier des œuvres, un crime en soit. Un criminel que tu es à ses yeux, tu te sens comme un moins que rien, un connard fini, qui s’est laissé prendre, qui s’est laissé aller sur un toit, à parler, à échanger, à donner ton âme, finissant par voir la glace laissant la chaleur du feu s’éteindre avec le temps. L’envie de la laisser partir, car elle fuit aussitôt vos pupilles croisés. Elle est complexe, trop beaucoup trop. Tu devrais la laisser partir, la laisser s’échapper pour prier de ne plus la revoir. Tu as assez de démon dans ta pauvre vie pour en rajouter. Bien des choses à faire, à prouver à ton père. Et toi minable que tu es, tu finis par glisser jusqu’à elle, comme si tu ne le voulais pas, mais tu le sais que ça serait que mensonge de dire le contraire. Alors, que lui veux-tu ? La vérité, la laisser jouer un peu plus avec le mec déchu que tu es ? Tu n’en sais trop rien, mais t’aimerais qu’elle soit honnête putain. Qu’elle ne soit pas dans l’optique de se servir et te massacrer comme elle le fait. Elle ne s’en rend pas compte, c’est peut être toi le problème c’est ça ? Non. Impossible. Même si tu le sais t’es clairement pas parfait. Tes opales plongées dans les siennes, tu te laisses glisser, tu te laisses happer, oubliant tout. Les bonnes résolutions ne seront pas pour tout de suite. Mais elle n’a pas envie, n’a pas envie. T’as envie de hurler, mais tu te reprends, alors que ces mots sonnent encore dans ta tête, comme pour t’assommer un peu plus. Tu le mérites façon une fille comme elle, tu la briserais, tu l’as mettrait en miette de bien des manières. « Et si je ne veux pas que tu t’en ailles ? » Pourquoi tu dis ça, pourquoi tu fais ça ? Tu ne pourrais pas te la fermer pour une fois, laisser cette fille loin de toi. « Après tout, tu as besoin de moi non ? » Du chantage ? L’envie de creuser la vérité ? Tu te perds toi-même dans tout ce merdier, c’est elle à attiser le feu en toi, en venant te cherchant soufflant le chaud, le froid et parfois même comme aujourd’hui la glace. « Du vin chaud, un chocolat ? » Que tu proposes, comme pour réchauffer l’ambiance insufflé par la fuite de la jeune femme. C’est elle qui fait tout ça, c’est elle le problème, tu ne sais plus quoi penser, pourquoi tu fais ça, pourquoi tu l’as retenu, alors qu’elle n’avait pas envie aujourd’hui de jouer avec toi, le pantin qu’elle voudrait maitriser juste pour un tableau, ne pas risquer sa réputation, son savoir-faire …. Tu ne sais plus quoi penser. «Tu sais quoi oublie … » Après tout, elle n’en a rien à faire, et toi t’es un crétin, laisse là partir. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Lun 7 Jan - 23:59 |
| C’était comme l’une de ces histoire qui se répété continuellement. Inlassablement piégé dans un cercle sans fin. Sans issu. Tu essayer pourtant. Là, à te débattre continuellement contre tes sentiments mais, ils finissaient toujours par te revenir en pleine face. Comme lui. Tu avais beau le fuir c’était comme si dans une once d’ironie le destin le mettais encore et toujours sur ton chemin. Il te narguait avec l’inaccessible à t’en arracher le cœur. C’était bien là toute la complexité de cette putain d’histoire qui se répète depuis le lycée. Tu t’étais toujours mis de côté pour laisser le bonheur aux autres comme si observer te suffisait. C’était qu’un foutue mensonge que tu te servais à toi-même pour ne pas te laisser emporter par la douleur qui malgré toi, te saccages le cœur aujourd’hui. C’était ton lot quotidien le rejet et tu avais fini par t’y faire mais, stupide que tu étais tu revenais toujours pour tendre l’autre joue. Comme si, tu n’en avais pas eu assez. C’était pareil avec Mahe. La vie avaient beau continuer de vous séparer tu te retrouvais toujours sur son chemin même si vous ne sembliez pas fait pour être ensemble. Impossible de vous comprendre à croire que vous ne parliez pas la même langue. Deux étranger l’un pour l’autre finalement. C’était là, la réflexion que tu t’étais faite quand la réalité t’avait explosé en plein visage. Il avait une copine et toi, idiote, tu t’étais imaginé des choses. Incorrigible gamine que tu étais. Le palpitant qui finissait toujours par t’avoir. Tu voulais jouer au jeu de l’amour sans rien y connaitre c’était là, tout le problème. Alors, tu avais fini par le prendre aux mots. Il ne voulait plus te voir qu’il avait dit et bien qu’il en soit ainsi si c’est ce qu’il voulait. Si c’était là, la clé de son bonheur à lui. Tu lui offrirais avec plaisir la serrure. Pourtant, il semblait toujours y avoir une embuche sur ce chemin de la libération. A vous fuir vous finissiez toujours par vous retrouver. Comme là, rencontre presque improbable dans les rues du Queens Traditionnel à t’en laisser encore une sensation d’incompréhension. Tu t’accrocher pourtant mais, il finissait toujours par te perdre en chemin. A te rejeter en continuant te de rattraper comme s’il ne voulait pas couper la corde qui rattacher vos deux âmes. Voulais-tu la couper toi aussi ?! Tu n’en étais pas certaine mais, si c’était ce que lui voulais, tu étais prête à le faire. Tu voulais partir, lui laisser de l’air, ne plus te laisser prendre au cœur par ces prunelles qui scrutes chaque parcelles de ton être. Tu voulais mettre de la distance entre la source de ta souffrance et tes organes qui priaient pour s’en sortir un jour. Tu voulais guérir de lui, de vous et de ces sentiments qui semblait impossible. C’était comme si vous vous efforciez à vous accorder sans jamais y parvenir. Tu voulais t’échapper pas parce que tu en avais envie mais, parce qu’il le voulait lui et pourtant il en disait une nouvelle fois tout le contraire. Ces mots qui résonnaient dans ton être encore et toujours. Le cœur qui se réchauffe pour finir écraser la seconde d’après. C’était comme si on t’y avait enfoncé des morceaux de verre. Il te donne un aperçu de ce qu’il pourrait t’offrir pour finir par le reprendre aussitôt. Il t’embarque dans une danse dont tu ne connaîtrais ni le rythme, ni la musique. Il avait autant les mots pour te faire plaisir que ce pour te détruire. Tu en sortais toujours blesser dans un sentiment mitigé de vouloir recommencer. Retenter le diable. Masochiste que tu étais. Alors, tu ne dis rien, tu prends sur toi de ces paroles qu’il te glisse comme si lui-même n’était pas certain de ce qu’il attendait de toi. De ce qu’il voulait. Toujours à en revenir au même stade où il ne comprenait pas. Besoin de lui, oui que tu avais besoin de lui mais, pas de la manière dont il l’entendait. Il voyait le mal là où tu tentais de lui faire voir la beauté. Tu n’en avais plus la force. Plus l’énergie de te débattre dans le vide et voilà qu’il se décidé encore à te laisser sur le bas-côté. Tu n’avais rien dit. Jamais. Gardant pour toi les maux de ton cœur e t’évertuant de pensé avec ta tête mais, le chemin semblait par s’effondrer sous tes pieds et tu n’avais plus rien pour t’y rattraper. Tu voulais juste tomber avec tout le reste. « Putain Mahe… » Que tu lances le regard rivé dans le siens de paroles qui ne te ressemble pas et pourtant tu en es arrivé à bout de consentir à garder ton ressentie pour contenter les autres. C’était toujours la même chose t’oublier toi pour faire plaisir. Tu en étais littéralement essouffler. La force tu ne l’avais plus. « Je suis épuisée de tenter de te faire comprendre des choses que ton cœur ne veux tout simplement pas entendre !! » que lâches laissant au passage de côté ce poids qui te pèse sur les épaules depuis ce qui te semble être une éternité. « On n’est peut-être tout simplement pas fait pour se comprendre tous les deux !! J’essaie pourtant, j’essaie vraiment mais, on en revient toujours au même stade !!! » Ce n’est peut-être pas l’endroit pour vider ton sac. Ton cœur sur la place public mais, il n’y a jamais de bon endroit pour ce genre de chose. Tu n’as finalement plus rien à perdre. Tu te sens déjà au fond alors, tu ne pourras pas tomber plus bas. « Je reviens vers toi et tu ne dis que tu ne veux plus jamais me voir… et là, tu me retiens !! Je ne sais plus comment me positionner Mahe. J’essaie de me faire oublier et tu reviens… tu dis que je ne sais pas ce que je veux mais, toi tu veux quoi ?!! Tu ne sembles rien en savoir non plus !! » Tes iris toujours dans les siennes à tenter de trouver un sens à tout cela en vain. Peut-être qu’il n’y a finalement rien à comprendre ?!! Tu réfléchissais trop et ton cœur était bien trop faible pour toutes ces conneries d’amour. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Mar 8 Jan - 14:41 |
| Putain te voilà à te retrouver devant celle qui te donnerait presque des ailes avant de te les briser. Une fille que tu n’arrives pas à comprendre. Elle a lancé le froid, puis le chaud, puis ainsi de suite. Alors, tu ne sais pas, tu aurais pu la laisser s’enfuir, après tout, elle n’avait pas envie de te voir, te parler au vu de cette façon de bouder vos pupilles concentré les unes sur les autres. Mais y a fallu tu t’agrippes, t’avais décidé qu’elle n’allait pas décider cette fois. Sans doute que t’en as marre d’elle. Tu l’as repousse, de ton mieux, tu t’efforces de le faire, mais c’est elle. C’est Emy qui t’as poursuivi pendant des mois à t’épier, pensant sans doute qu’elle était discrète, toi tu lui as juste dis ce qu’elle avait cette folle à te poursuivre. T’es cash, mais tu ne pensais pas perdre tout ça en parlant. Échangeant avec elle. Allant jusqu’à la dessiner, dessin qu’elle n’avait sans doute plus, car dans ta tête, depuis le tout début ce n’était que pour une chose qu’elle était collée à toi, te demander de l’aide, elle avait juste mis du temps à le dire, sans doute pour ne pas essuyer un refus aussitôt. Tu ne sais pas, mais tu vois les choses ainsi, tu repasses tout dans ta tête, clairement tu essayes de faire le clair dans cette dernière, mais c’est comme demandé au brouillard d’échapper à ton esprit, impossible. C’est elle le brouillard, elle qui brouille tout. Beaucoup trop. Puis tu t’es accrochés comme un con, voilà tout. Un regard, une conversation sur un toit sous les étoiles, un début d’histoire qui aurait pu être le salut, elle aurait pu l’être si elle n’avait pas quelques jours après soufflé le froid en évitant de te parler, en t’évitant. Alors, t’es parti, tu le voulais jusqu’à ce qu’elle t’agrippe, t’embrassant t’avait eu envie d’y répondre, tu l’as fait, quel crétin. Putain, que tu es con. T’aurais dû la jeter directement, le faire et puis merde c’était si bon, ses douces lèvres sur les tiennes mais ce fût plus fort que toi, elle avait jeté le froid, elle avait jeté le chaud, te fallait jeter le froid à ton tour. C’est ainsi. Tu ne veux pas souffrir, tu as trop de chose qui brise ton cœur, que tu tais, alors une de plus, tu ne les supporterais pas, tu finirais par te consumer plus rapidement, finissant par abandonner tout le monde, pour rejoindre les étoiles. Peut-être que c’est ainsi que tu dois être, te consumer pour être le parfait artiste déchiré et amputé d’un cœur, un cœur tacheté de coup en tout genre. Ton père, ta famille, Scar, et elle. Beaucoup trop d’elle, elle enroule d’un bol de nuage ton âme, puis l’aspire, te laissant comme mort à la suite. Elle t’aura, mais elle aura surtout ta mort. Tu proposes puis tu regrettes, tu dois la laisser filer, la laisser sortir de ta frêle vie qui en un coup de vent pourrait se détruire, sans prévenir les tiens. Tu dois te protéger, protéger ta famille, t’aimerais arranger les choses, mais tu n’es pas ce style de mec, pas vrai ? Non, toi tu es taciturne, tu te tais et pourtant cette brune parviens à laisser découdre les mots, laissant découlé des paroles parfois froide, parfois chaude, c’est un peu ce qu’elle fait, comme si tu avais fini par te calquer sur elle, tout bonnement. Les opales plongées dans les siennes, tu veux juste la voir disparaître. Un coup oui un coup non et ainsi suite. Elle déverse les mots à son tour, des mots qui pourraient ne pas toucher, mais ces derniers entoure ton cœur laissant des coups s’effondre sur l’organe sans protection, la garde est abaissé, elle te tuera sans doute ce soir. Tu rages, puis tu te calmes, tu rages à nouveau. Elle est un démon dans un corps de poupée, paraissant fragile, mais étant le diable en personne. La fuir, car le diable n’aura pas que ton âme cette fois, il aura ta vie, tout simplement. « tu te fous de ma gueule ? » tu as hurlé, plus que tu n’aurais voulu le faire, beaucoup plus. Mais c’était toute la rancœur que tu avais enfermé depuis des mois qui faisaient ça. « Arrête de me faire passer pour le connard … c’est qui la meuf qui passe des mois à me suivre, à ne pas cesser de me regarder dessiner, alors que je lui adressais pas un mot. Qui c’est qui a fait ça, moi ou toi ? » Elle n’aura pas le temps de répondre, tu ne veux pas de répondre, pas de suite, tu veux y vider ton sac, laisser tout découler, les mots auront sans doute raison de vous et façon ce vous n’aura jamais existé dans le fond. « Toi, c’est toi. Je t’ai pas demandé de me suivre, me laissant croire que tu t’intéressais à mon art, à moi plus que ça, alors qu’au final ton petit cul de riche avait juste besoin de moi pour peintre ta toile que tu n’as pas su protéger … » Que tu lui rétorques, alors qu’elle ne parle pas, les pupilles toujours enfoncés dans les siennes, ces dernières deviennent glaciale au fur et à mesure de tes mots. « Puis tu passes une soirée à parle, à me faire parler de l’art, de ce que mon père ne veut pas dans ma vie puis … un autre jour tu me fuis, tu ne rends l’air entre nous que très froid, beaucoup trop puis d’un coup chaud, presque torride avec ce baiser … » Que tu râles. « Putain ce baiser. » T’épanche pas dessus, ne le fais pas, ne perd pas le contrôle Mahe, tu ne le peux pas. « Puis je suis parti, car oui tu as voulu jouer et s’était impossible pour moi, t’as commencé, puis après j’ai pas arrêté de te fuir, car t’es pas clair, tu l’as jamais été, mais t’as raison accuse moi … je le mérite, je suis un connard, un putain de connard. » Ta la rage, mais pas contre elle, contre toi, contre toi, peut-être qu’il a raison le vieux, raison que tu ne devrais pas être ici, mais avec lui, à construire une vie, une vraie … tu es brisé, plus l’âme, plus l’envie de peindre. Tout arrêter pour de bon. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Mar 8 Jan - 16:03 |
| Tu avais cherché le mal et tu l’avais trouvé. Tu aurais dû y réfléchir les choses comme elles étaient et garder les maux qui ternissaient ton cœur pour toi. Il avait fallu une tu te laisses replonger comme la sombre idiote que tu étais. Il n’avait fallu qu’une parole de sa part pour que tu te laisses rattraper. Puis, à croire que tu avais trop accumulé, toi qui avais plus tendance à te taire qu’à parler. Tu avais fini par exploser. Voilà ce qui arrives quand on ne contrôle pas ces mots. Quand tu laisses parler ton fichu organe il t’explose en plein visage. Le revers de la médaille. Ils te prennent de court ces mots car, ces foutu paroles lèves le brouillard sur tout ce que tu t’imaginais. Cette lueur dans son regard qui te donne tout ce que tu espérais. La réalité qu’il tenait plus à toi que tu le pensais. Il tenait à toi et tu l’avais brisé. T’étais qu’une putain d’égoïste certes mais, il se trompait encore sur ton compte. Tu n’avais rien compris mais, lui non plus n’y comprenais rien à rien. « Tu penses vraiment ça de moi Mahe… tu me connais si peu que ça ?! Tu penses que j’aurais perdu mon temps à faire semblant de m’intéresser à toi pour quoi ?!... une toile ?! » Et ça ta souffler en plein visage sa réalité à lui. Cette image qu’il a de toi à venir à en croire que c’est la réalité. Tu n’es qu’une putain de riche qui crois que tout lui es dû. Tu n’es rien. Tu es mauvaise. Peut-être qu’il avait fallu ça pour que tu comprennes, toi. Peut-être que jusqu’à maintenant c’est toi qui n’avait rien compris ?! Tu vivais par ton cœur mais, tu ne l’écoutais jamais vraiment. Tu te laissais régir par cette putain de peur que tes sentiments finissent par te perdre. Eh bien, tu y étais, ils t’avaient perdu. Ce n’était pas lui, c’était bien toi l’instigatrice de ta perte et il te le faisait comprendre. Voilà la culpabilité d’avoir brisé quelqu’un à qui tu tiens. Quelqu’un à qui te livré te semble impossible, car, dans ces yeux tu avais l’impression de redevenir la gamine du lycée amoureuse d’un mec qui en aimais une autre. C’était toujours le cas aujourd’hui ou du moins c’est ce que tu pensais. Encore une fois tu te laissais bercer par des illusions. Tu assembler la réalité comme cela t’arranger. Tu n’étais qu’une foutue lâche dans le fond. Tu n’étais pas la princesse dans l’histoire, t’étais le putain de démon. « Tu voulais que je te dise quoi Mahe ?! Tu veux que je te dise quoi ?!... Que ce baisé c’était tout pour moi, j’y ai laissé mon corps, mon cœur. Mon âme. Que je suis une putain d’idiote qui n’arrive pas à se sortir le gars qu’elle aime depuis le lycée !! Que j’ai besoin de toi plus que pour une toile ?!! C’est ça que tu veux entendre… » C’était continuel ce mouvement qui vous pousser à vous renvoyez la balle. A vous briser mutuellement. Ces iris plongés dans les tiennes c’était comme une brulure à vif dans ton cœur qui se débâter pour survivre une seconde de plus. Il voulait tout, tu lui donnais tout quitte à ne rien laisser. Quitte à finir sur le bas-côté. Seule. Tu en avais pris la putain d’habitude. La vérité ne te soulagé même pas, elle te laissait pétrifié sur place. Tu te sentais comme jeter en pâture au milieu des gens qui s’arrêter pour observer la scène. Oh, oui, tu avais envie de disparaître. Tu n’avais plus rien de toute façon. Tu lui avais tout laissé là, à ces pieds… Ton cœur en miette avec le siens. « Tout allait tellement plus loin que cette fichu toile mais, tu vois juste le mal !! Tu sais quoi… tu as raison !! Je suis qu’une putain de glacière ! » Que dire de plus, que faire de plus ?!... T’aurais tellement voulu être armé d’un putain de courage pour assumer tout ce que tu avais sur le cœur. Tout ce que Mahe te fait ressentir. « Je ne veux pas que les choses se résumes à ça moi !! C’était ma connerie et je me débrouillerais pour la réparer… je t’ai déjà trop demandé Mahé… » Tu t’es radoucie mais la douleur te tenaille les entrailles. Pourquoi tout devais être si compliqué ?! Pourquoi tu n’arrivais tout simplement pas le détester ?!... |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Jeu 24 Jan - 20:16 |
| Tu l’écoutes, bêtement et sagement quand ton cœur demande une chose de faire bouger tes ambes et partir. Tu devrais l’avoir compris qu’elle n’avait pas bon cœur comme tu le pensais et ça depuis longtemps. Mais tu estes maladivement accroché, con que tu es. Voilà tout. T’as beau écouté, tu ne sais pas trop sur quel pied danser, droit ou gauche, et ainsi de suite. « J’ai pas envie de penser ça de toi Emy … si seulement tu pouvais le comprendre ! » Que tu lui dis. Pinçant tes lèvres, car putain, elle a l’air de rien comprendre. Toi tu sais juste que petit à petit tu finis brisé, que tu es tout bonnement perdu à présent. Tu ne le sais pas, tu ne te rends pas compte, mais tu pourras le faire bientôt, quand la toile sera blanche, quand ton âme ne voudra plus se livrer. Ça te consume, tu es perdu sans aucun moyen de revenir comme avant. « J’aurais voulu ne pas penser ça … mais tout ce que tu laisses paraître entre ce putain de chaud, puis ce froid glacial … » Tu n’as fait que te défendre, alors qu’au final sur ce toit tu avais fini par t’ouvrir, le faire comme tu le faisais ici, et encore là, c’était la peine, la rage qui découlé. Où tout avait coincé ? Tu ne veux même pas voir où, car tu as peur, peur d’être fautif. T’as temps l’habitude d’être le con, tu l’as fait une fois, tromper. Puis tu l’as regretté, punissant ton cœur, ton propre karma, cherchant les merdes une à une attendant le moment fatidique où elle te pardonnera. Pas d’amour, juste un pardon, tu en as besoin, peut être que ça aidera à ne plus dépérir bêtement et salement sur un coin du trottoir, ton âme elle est pourrie, elle est morte avant même d’avoir la chance que tu montres au monde que tu mérites. Tu mérites, mais t’es coincé dans ta propre cage, une cage lugubre qui te pousse à agir, à être froid, puis y avait eu la lueur, la Emy. Mais tout est reparti en cacahuète, à nouveau. Jolie poupée fragile, mais si puissante, puissante pour provoquer le massacre de ta personne. Elle n’a qu’à souffler pour te faire finir dans une tombe, tu es en train de glisser sur cette pente, la pente est si glissante que tu perds pied, beaucoup trop. Pinçant les lèvres, tu essayes de ton mieux, de ne pas succomber, de ne pas tout lâcher. L’esprit qui te dit non, le cœur qui se déverse, se vomis au pied de Émeraude, elle a le choix de tout à présent, et toi tu n’as qu’à attendre de pouvoir respirer à nouveau. T’es silencieux, les mots finissant par se heurter à toi, agressant ton âme et tuant un peu plus ton corps. Elle te prouve comme ton père, que tu n’es qu’un misérable, une merde qui devrait suivre un autre chemin. La rage qui monte, contre toi, l’envie de tout plaquer, là maintenant. Mais t’es comme tétanisé, les mots te collent à l’asphalte. Le visage qui devient blanc comme un linge, toi qui peine à respirer. T’écoute, encore et encore. Pourquoi tu as tout dit, pourquoi tu n’es pas juste restée silencieux oubliant le bien que cette fille avait fait avant de tout briser, encore. Comme le karma qui venait te punir pour le mal fait à la première fille que tu t’étais autorisé à aimer après cette fille que tu appréciais avant que ton meilleur pote la prenne pour lui, en finissant par tout brisé. Tu as temps de non-dit, que tu n’as fait que pourrir, un beau potpourri, qui ne fait que s’éclater à la face du monde à présent. Quel dommage. Tu n’as plus goût à rien maintenant et sans doute à jamais. Pensant à tout et à rien. Tout passe dans ta tête. Un départ ? Pourquoi pas. Peut-être que c’est ça qu’il te faut, t’éloigner d’elle, la laisser, cesser de te braquer, te bloquer tel un hérisson sortant les piques à la moindre peur. La peur d’être l’autre. L’esseulé. T’es déjà seul, plus de famille, car t’as fui, puis maintenant tu continues à creuser un espace avec tous, sans vraiment le vouloir. « Comment je suis censé savoir tout ça … dis-moi ? » Que tu râles, comment tu es censé savoir ce qu’elle ressent. « Je suis qu’’un putain de connard qui brise les gens … regarde c’est tout ce que je capte à présent … que tu as ressenti pareil que moi .. .Depuis plusieurs années … alors que moi, je suis tombé sur ce toit … tombé dans ton monde, dans un monde que je ne pensais pas avoir ma place … » Pinçant tes lèvres, t’as le cœur qui se serre. « Je pensais juste que je n’avais plus aucune place dans aucun monde … mais tu vois c’est encore moi qui est tout gâché, c’est ça ? » Tu ne le vois pas, tu ne le sens pas, mais merde, ta main qui rentre en contact avec sa main, tu ne sais plus, tu ne vis plus. La respiration est saccadée, tu as comme l’impression de devoir courir, sans pouvoir reprendre ton souffle, de devoir te recentrer pour tout comprendre. Mais tu es paumé, paumé sur cette place, devant le monde, devant tous ces gens qui vous observent, en vrai t’en sais rien, tes opales ne sont concentré que sur elle. « Pourquoi ce froid, pourquoi ? » T’es lasse de demander, lasse de savoir cette raison. « Si tu savais comme je n’avais qu’une envie de te voir après … mais tu as été froide puis … » puis toi tu t’es protégé. « Au pire oublie, je ne suis qu’un con … tu me verras plus si tu le veux, je serais plus ici ! » Pinçant tes lèvres, tu t’imagines vivre en Espagne, ailleurs et pour toujours. Tu retrouveras ta famille, comme ça. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Lun 28 Jan - 13:12 |
| Vous en étiez au même point. Toujours. Un pas en avant et trois en arrière. Tu te laisser aveuglé par les idées que tu te faisais de lui sans jamais prendre la peine de lui demander par peur de ces réponses. Toujours cette fichue peur. Il a raison de te voir comme il te voit. A sa place, tu te détesterais. Peut-être qu’il te déteste déjà ?! Peut-être que tu vas recevoir le coup fatal. Celui que tu auras bien mérité. T’es qu’une foutu connasse. Une putain d’égoïste. T’en viens même à te dire que tu ne mérites pas de son temps mais, que tu lui dois bien ça. Que tu lui dois bien de rester sagement en place au beau milieu de la foule curieuse à en prendre pour ton grade. On récolte ce que l’on sème après tout. Tu te détestes. Tu as fait tout de travers et tu as l’impression de l’avoir fait subir. Voilà le prix à payer pour avoir laissé ton cœur se faire avoir par quelqu’un qui ne t’étais pas destiné. Tu avais donnée pour reprendre aux premiers obstacles. Trop tard. « Tu as raison… tu as raison sur toute la ligne… » T’avais eu mal à l’époque et tu avais encore mal aujourd’hui mais, c’était ainsi. La vie était mal fichue. T’avais tenté l’impossible et tu devais d’accepté ta défaites comme le fait que son cœur ne t’appartenait pas. Il ne t’avait jamais appartenu et surement qu’il ne t’appartiendrait jamais. T’étais qu’une putain de gamine qui c’était laisser bercé d’illusion. Si tu n’y pouvais plus rien, tu pouvais au moins lui dire ce qu’il attendait. « Tu n’étais pas… je n’ai pas pris la peine de m’ouvrir au départ car, j’avais peur… peur de ta réaction, peur d’être laissé de côté comme toujours... Le rejet, on s’y habitue jamais, c’est qu’un putain de mensonge qu’on se sert à sois même pour tenter de continuer d’avancer… un jour de plus !! » Tu t’en voulais d’être toi. D’être cette stupide nana incapable d’affronter les déboires de son propre cœur. Tu t’en voulais de cette peur irrationnel d’être toujours seule à l’arrivé. Tu l’étais déjà, alors, pourquoi tu t’entêter ?! Pourquoi tu te laisser paralyser ?! Pourquoi laisser ton putain d’organe régir ta vie ? « Je n’ai rien dis mais… à l’arrivé le résultat fut le même … tu ne me voies pas comme moi je te voie, et ça fait mal… ça a toujours fait mal ! » tu as appris à vivre avec mais, jamais tu t’en es habitué. Oh, que oui, tu t’es débattue à tenter d’oublier mais, tout semblait te ramener encore et toujours au même point. Avec lui, tu avais l’impression de faire tout de travers. Comme si, il vous étiez impossible de choisir le chemin sans embûches. Comme s’il n’en existait tout simplement pas. Pas pour vous. « Tu n’es pas un connard Mahé, tu ne l’as jamais été… pas à mes yeux ! C’est moi l’idiote… Mais… maintenant, à chaque fois que je tente de m’ouvrir, tout semble en vain Mahé… tu rejettes de mes mots à mes gestes comme s’ils ne pouvaient être vraie… Comme si tu ne pensais pas mériter ce que mon cœur te crie depuis le début… » C’est cette impression de t’époumoné en permanence avec lui. De chercher ces yeux dans jamais vraiment les trouver. Il était là, tu le toucher du bout des doigts sans jamais parvenir à l’atteindre pleinement. C’était la souffrance de l’inaccessible. Comme si, entre vous, il y avait ce voile qui brouiller tous vos sens. Ce voile qui vous empêcher de vous comprendre. Sa main qui effleure la tienne et tu l’attrapes. Tu t’y agrippes comme si cela t’empêcher de sombrer. Comme si elle pourrait t’aider à retrouver ton chemin. Tu veux l’envelopper de ta chaleur mais, tout ce qu’il ressent c’est le froid. Le froid que tu n’as que trop souvent jeter en réponse à son être qui ne semblait pas vouloir de toi. Non, tu ne le blâme pas. Jamais. Tu te blâmes toi de ne pas être capable d’être celle qu’il attend. Celle dont il a besoin car, tu le sais, son cœur ne battras jamais aussi fort que le tiens pour lui. « … et pourquoi me rattrapes-tu dont à chaque fois pour finir par me dire de partir Mahé ?! Je suis aussi froide que la chaleur que tu me renvoies… je me protège pour ne pas avoir mal d’avantage. Je me protège pour celle que je ne serais jamais à tes yeux… » Tu as le cœur épuisée de tous ces efforts t la raison qui ne comprend pas. La raison qui cherche en vain de résoudre l’inexplicable. Pourtant, il n’y a que lui et toi en l’instant mais, rien ne semble prendre sens. Le monde qui vie autour de vous et toi, lui, piégé au beau milieu. Tu voudrais lui tirailler les yeux pour qu’il les ouvre. Lui agglutiner l’âme pour qu’il comprenne. Les mots, les gestes… tout semble si dérisoire. Mais que te reste-t-il après tout ça ?! Alors que tu as l'impression que ces mots sonnes comme un adieu alors que toi tu voulais d'un après... Il est déjà partie l'homme tu le sens à t'en terrasser l'âme. À t'en laisser un vide. À réaliser que vous fuir n'avez jamais rien changé. Tout vous ramener l'un a l'autre. Toi à lui, comme une putain de farce du destin. Toi, tu n’avais plus assez de force pour tenter de le secouer. C’était comme si tes mots il ne les entendait pas vraiment. « Arrêtes tu veux ?! Je t’en prie… Tu veux que je prenne mes tords mais, tu ne fais que les ramener tous à toi ! Arrête de t’en vouloir pour des choses que j’ai été incapable de te dire avant… Arrête de me fuir pour finir par me rattraper. Ton cœur ne supporte plus, le miens non plus !! » Ton regard ancré dans le siens tu te laisses envahir par le tourbillon d’émotions qu’il fait naître en toi. Que faire de plus alors que les étouffées ne faisais que repousser les échéances de la mécanique enraillé de ton foutu cœur. Dans tous les cas tu aurais mal à l’arrivé. Dans tous les cas il aurait mal aussi car, avec vous, c’était comme ça. « Vas si tu veux mais… ne te cherches pas une excuse pour partir en disant que tu le fait pour moi !! Je reste moi, je suis là,… je l’ai toujours été !! » - je le serais toujours Mahé – Tu le regardes encore et toujours comme pour t’imprégner de chaque particule qui hante son regard. Ces iris qui se reflètent dans les tiennes. Dieu que tu donnerais tout pour revenir en arrière. Remonter le temps pour tout changer. Pour vous changer vous… |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) Dim 10 Fév - 15:43 |
| T’as le cœur qui explose. Tu aurais dû fuir, ne pas t’accrocher à l’envie de la voir, de lui parler. De demander des explications. Tu ne sais pas comment danser avec elle, alors tu finis par chuter sur un mauvais tempo. Voilà tout. Tout ce que tu entends ce sont ses mots qui se mélange à l’appel au secours de ton cœur, qui te demande de mettre fin à tout ça, de ne pas continuer, car tu t’enfonces dans des abimes dont tu ne pourrais pas sortir indemne. Ton cœur est déjà fissuré et tu te risques à la tempête, jolie poupée digne des tempêtes capables de déchirer les navires, les marins et les familles. Et pourtant tu te jettes corps et âme dans cette dernière. Erreur. Fatidique, le temps le dira. « Tu t’es rejeté seule ! » T’avais rien dit, rien fait. Tu ne savais rien. Toi tu as commencé à jongler avec elle quand elle a commencé à être froide, sans raison, raison que tu ne connais pas du moins. Et tu n’es pas encore extralucide. « Je ne te vois pas comme tu me voie ? » Tu ne sais comment prendre tous ces mots qui se mélangent dans ta tête. Tu ne sais pas. Tu ne sais plus. Alors, tu restes muet. Que tu es bien dans le silence, tellement bien. Tu pourrais t’y perdre. Tu pourrais tout stopper, mais tu ne le peux pas. T’as la kyrielle de question qui remue ton âme, secoué par la tempête Émeraude. « Émeraude, tu laisses encore penser que tout est ma faute, encore ! » Tu les prends ainsi ses putains de mot, mais elle te dira que non. Mais comment voir les choses autrement. « Je ne peux pas comprendre Emeraude, d’un baiser chaud et doux, on passe à du je te fuis, tu m’as fuis la première, c’est peut-être con ! Mais l’alarme en moi à sonner, me protéger, mais tu sais quoi au pire des cas je le mérite, je mérite toute cette merde. Pour tout le mal que j’ai dû faire ! » T’es loin d’être un mec à te prendre pour caliméro, mais la vie que tu as fait mener à Scar, autant dire que ça te brise encore. T’as encore mal de lui avoir laissé tout donner, que tu lui as tout donné avant de t’en lasser, alors pourquoi tu t’accroches encore ? Car tu le sais t’es imparfait, sans doute qu’on te conjuguera jamais au futur, peut être même pas au présent. « Pour te protéger. » Tu la vois douce et fragile, mais peut-être bien que c’est tout le contraire, que ce n’est qu’un putain de mirage que tu as fantasmé, tout simplement. « On se protège tous les deux. Ça prouve bien qu’on ne doit être qu’une épine dans la vie de l’autre, alors. » Quand tu écoutes la jeune femme, tu as l’impression que c’est toi le problème, toujours. Comme pour tout. Et ça tue, t’avais rien demandé. Tu ne savais rien, alors tu as agis, tout bonnement. Puis t’as chaviré, laissant ton cœur chanter la bohème quand sur ce toit, vos lèvres se sont rencontrées, vos âmes échangés. Mais ça elle n’a pas l’air de le comprendre. Alors, que dois-tu faire ? Tu ne sais plus. Tu n’as peut être pas envie de continuer à torturer ta pauvre âme déjà bien trop abimé par la vie. Les opales qui s’y perdent, qui tombe dans les siennes. Le silence qui laisse du répit à ton cœur avant qu’il ne se serre à nouveau, qui se torture tout seul, prouvant que tu es en vie, mais quelle vie. Tu ne sais pas trop quoi penser, tu ne sais plus rien et tout ça tu te le répètes inlassablement dans ta pauvre cervelle. Tu respires de plus en plus difficilement, l’énervement, la peur, l’angoisse de la perdre. Mais tout ça tu ne le vois pas, car tu te braques, tu ne supportes pas la souffrance, mais encore moins la sienne. T’es incapable de relever cette dernière si elle tomberait. Le regard qui se perd en elle, qui cherche des réponses qu’elle aurait tut. « Je te veux juste pas loin de moi, je pense être capable, mais j’en suis incapable, puis après je me dis je vais te briser, comme je fais toujours … » que tu termines en soufflant. « Je le fais pour nous, pas pour toi. » Partir, ou non. Tu ne sais pas, l’engrenage dans lequel te tu retrouves et complexe. Des mots lancés ainsi ou une vérité qui arrive bientôt ? Tu ne le sauras que quand tu pourras te poser, respirer et laisser ta réflexion prendre le contrôle. |
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| Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe) |
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