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 speak from your heart for once ❁ (mahe)

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Message Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe)   speak from your heart for once ❁ (mahe) - Page 2 Empty Mer 13 Fév - 21:34


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{ speak from your heart for once  }
crédit/ tumblr ✰ w/@Mahe Velázquez

Il ne voyait pas au-delà de tes mots et cela te tuer à petit feu. Tu t’épuisé à tenter de lui faire comprendre des choses qu’il ne semblait pas prêt à vouloir assimiler. Il rester les yeux fermer alors que tu débattais pour les lui faire ouvrir. En vain. Vous étiez plongé dans un échange sans fin à vous en faire souffrir l’un l’autre. Malgré vous. Aucun des deux ne voulait avoir mal amis, cela semblait comme ça entre vous. Incapable de communiquer les maux de vos cœurs sans tout vous arracher au passage. Dieu que tu voulais qu’il te voie pour ce que tu étais pourtant. Dieu que tu aurais aimé que tout sis aussi simple que ces nuit à contempler la nuit sur les toits sur Queens. « Ouais… tu as raisons, je suis la seule fautive dans l’histoire !! » tu te résous. Tu déposes les armes noyé en eau trouble ou aux pieds du mur. Tu n’as plus envie de te mettre à nue si c’est pour qu’il ne se sentes jamais digne de recevoir tes déclarations. Tu te battais pour lui. Pour vous mais, tu te disais qu’il ne le voulait peut-être pas dans le fond. « Idiote de croire à un truc qui n’arriverais surement jamais !! » c’était là tout le problème de ta vie. Tomber pour des hommes qui ne partager pas tes sentiments. Toujours la même histoire qui se répètes et pourtant tu l’avais eu ce putain d’espoir qu’avec lui tout aurait pu être différent. Peut-être qu’il avait raison ?! Peut-être que tu avais été celle qui avait tout gâché ?! Tout gâché avant même que quelque chose ai lieu… « … et je ne laisse rien penser du tout !! C’est toi qui en tire des conclusions à entendre ce que je dis sans vraiment écouter !! » C’était la même histoire et tu ne comprenais pas plus que lui ce qu’il attendait de toi. Que voulais-t-il que tu fasses de plus ?! Que tu dises de plus ?! Tu l’avais bien compris que tout étais partie de toi et tu venais de lui dire mais, cela ne semblait pas suffire. Tu devais accepter sa souffrance mais, toi, tu n’avais pas le droit d’avoir mal… Pas à ces yeux. Non, toi tu ne méritais rien et tu le comprenais bien et pourtant cela te bouffer. Ronger de l’intérieur de ton cœur à ton âme. La douce souffrance qui se transforme en violente colère. Rage en sommeil ou cette envie que lui s’éveille enfin. « Je te rappel que c’est toi qui m’as repoussé après que je t’ai embrassé… tu voulais que je fasse quoi ?! J’ai essayée Mahé… j’ai essayé de prendre sur moi !! De me dire que j’avais dû rêvais cette connexion… » Tu t’en souvenais comme si c’était hier. La scène qui se repasse en boucle. T’en avais dit des mots qui avaient dépassé ta pensé alors qu’il avait fait comme si de rien été après t’avoir dessiné sur ce toit. Comme si tu n’existais pas quand il était dans les bras de cette fille. Comme si toutes tes craintes étaient infondées. Non, qu’il ne l’avait pas entendue la déclaration de ton cœur au siens ce jour-là. Il l’avait reçus une demi seconde ton baisé pour finir par le rejeté comme si c’était la connerie de sa vie. C’était peut-être bien la tienne de connerie ?! « Mon putain de cœur qui tombe au premiers signe, je ne suis qu’une idiote et tu ne mérites rien du tout… tu mérites tellement mieux que ce que tu penses Mahé !! » tes opales qui ne le lâches pas qui à t’en déchirer le cœur, tu le ferais jusqu’au bout. Tu y laisserais tout. Tu ne garderais rien. « … Mais Mahé, je n’en voulais pas de ta protection si cela signifiais que tu te tiennes éloigner de moi mais, tu l’as pas compris !!! » Vous n’étiez tout simple pas prêt. Pas prêt pour affronter la résonance de vos émotions. De vos sentiments. Souffle coupé. L’âme étouffée. « … On ne se protège pas on se cache derrière notre putain de lâcheté Mahé, voilà ce qu’on fait !! On est incapable de se parler !! » Une fichue peur qui vous paralyser tous les deux. Une putain de peur inexplicable qui vous empêcher d’avancer. Il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre. Pourtant, vous sembliez tellement avoir à vous donner. Elle t’en faisait mal l’idée que vous étiez peut-être mieux l’un sans l’autre. Tu ne voulais pas y croire que lui partit tout s’arrangerais. Ce n’était qu’une connerie. Vous n’étiez pas parfait et vous vous faisiez du mal mais, tu l’as voulais bien cette douleur. Tu ne voulais pas du rein. Qu’il le garde son putain de rien. Il pouvait les garder ces excuses. Elle était là, la colère. Violente, piquante. Oui, tu lui en voulais de vouloir de faire dire tout ça pour finir par partir. Etait-il si cruel que cela ?!! Tu ne pouvais pas le croire… « Pour nous ?! A-t-il était question un jour d’un nous Mahé ?!... vraiment ?!... » Un pas en arrière et la souffrance qui parles « tu pars pour toi oui !! Pas pour moi, pas pour nous… tu ne peux pas me demander de dire ce que j’ai sur le cœur et vouloir partir après… je ne veux pas que tu partes moi !! Tu pars pour toi… et on fichu égoïsme… c’est égoïste !!! » Tu les retiens les larmes mais, pas la détresse de ton cœur. Tu ne voulais pas le perdre, pas lui aussi…S’en était trop. Trop pour toi. « … je… je t’ai vue avec cette fille tu sais, je l’ai vue chez toi aussi… s’il n’y avait que ça, tu aurais dû me le dire dès le début j’aurais compris !! J’ai toujours compris !! Je sais me mettre de côté… » C’est dit ce qui te pesais depuis des semaines. Depuis le début de toute cette putain de situation impossible entre vous. « … mais ne me dis pas que tu pars pour me protéger…pour nous !! Il n’y a pas de nous !! » La tête qui se secoues et le regard qui continues de s’accrocher avec douleurs. Il le fera jusqu’au bout. Jusqu’aux derniers mots. Au dernier instant. « On n’est pas prêt Mahé, c’est tout !! Qu’un putain de mauvais timing encore… » La réalisation te fais mal mais, tu en es soulagée et pour une fois tu as vraiment l’impression que tout as été dit. Tu as tout dis-toi…
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Message Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe)   speak from your heart for once ❁ (mahe) - Page 2 Empty Dim 3 Mar - 16:42


Elle te rend dingue, tellement dingue que ton putain de myocarde se joue d’une mélodie douce, puis rapide comme ci c’était un mélange de romance et d’horreur qui se jouait dans tes organes. « Émeraude ! » Que tu dis mi agacé et mi énervé, tout en prenant un ton qui n’avait rien à voir avec ce que tu ressentais. Limite c’était trop mielleux, bien trop. T’as juste le cœur au bord des lèvres à cet instant et un tas de chose qui se mélange, tout bonnement. « Personne et encore moi ai dit : tu es la seule fautive ! On est sans doute tous les deux ! » Mais elle est bornée, t’as les prunelles plongés dans les siennes, alors que tu ne sais plus comment jongler avec les tempêtes qui font rage en toi, un cyclone par-là, une tornade, comment t’es censé survivre quand ces dernières se nomment toute Emy, Emeraude, beauté tueuse. « Ce que j’essaye de faire c’est voir là où rien n’est allé, car comme toi je dis rien et on s’enferme, bêtement … mais t’as raison, t’es pas fautive. Je dois encore être le sale connard dans l’histoire ! » Un clin œil, tout ça pour lui faire comprendre, lui faire ancrer que tu es d’accord avec elle, mais elle n’entend rien. Et toi entends-tu ? T’en sais trop rien, tu es sans doute enfermé, protégé par un mur qu’elle avait déjà bien abimé avec les heures, les jours à passer ensemble. « Je fais comme toi je tire des conclusions sans entendre … tu vas aussi me le reprocher ? T’as qu’à faire comme moi, voir que j’ai merdé, que tu as merdé, qu’on a merdé ! » Voilà tout. Putain si seulement elle pouvait ouvrir les yeux, entendre ce que tu disais, ce que ton putain de myocarde avait l’air de vouloir chanter. Mais t’es sûr, persuadé que tout ça ne finira jamais sur une bonne note, impossible. Deux tempêtes qui se rencontre s’unissent c’est vrai, mais ces dernières finissent par se battre pour n’en formé qu’une laissant l’autre gagner. Alors l’une deux disparaît, doit rendre les armes et disparaître. Peut-être bien qu’elle fût plus forte, plus enivrante que toi. Tu ne sais plus quoi penser et comment tu pourrais faire ça ? Comment tu pourrais parvenir à faire le vide, à comprendre ces mots qui se mélangent en toi, des mots lancés comme des explications, que tu prends comme des missiles utilisant la douce voix de la belle pour t’enfoncer. Peut-être bien que tu t’enfonces seule, peut-être bien que tu es borné, c’est même carrément le cas. « Attend tu m’as embrassé une première fois, une première fois magique, puis t’es devenue distante, froide, pourtant t’étais encore là ! » Tu souffles. « Puis t’as essayé de m’embrasser après, mais tu ne peux pas jouer comme ça, normal que je te repousse, je ne savais pas ce que tu attendais de moi, cesse de me dire que je t’ai repoussé … dis-moi, ose me dire qu’un gars froid avec toi qui t’embrasse tu ne le repousses pas ! » Tu ne parviens pas à comprendre, comme si elle oubliait certains aspect de cette relation, ne gardant que ton seul tort et encore ! Celui de la repousser, ne pas répondre, car putain tu ne comprenais pas à quoi elle jouait, mais apparemment tu es aussi un connard, quand tu tentes de faire les choses bien. Tu ne sais plus sur quel pied danser, comment te sortir de cette situation. Tu es juste coincé et autant dire que t’as jamais aimé ça, fallait que tu tombes pour une fille qui avait autant de difficulté que toi ? Pourquoi. Abruti. « Non tu l’as pas rêvé … clairement pas, mais moi j’ai du mal l’interprété ! » À deux à vouloir se placer en victime, tu le sais ça n’aidera pas. Tu voudrais la retenir, mais c’est si complexe, si impossible. Comme si une porte s’ouvrait à toi, pour que tu l’as laissé, car vous allez tout deux finir à terre à cause de se vous, de vous qui dans le fond n’a jamais vraiment existé. « Je ne mérite rien de bien … ça tu me le feras pas croire … en quoi un mec comme moi mérite une chose bien, une personne comme toi … » Tu as le regard fixé sur ses opales, le cœur qui ne cesse de jouer, de te cogner, laissant les coups encore et encore t’atteindre. « Regarde … sans t’avoir, sans réellement te caresser de mes mains je te détruis, regarde toi … » Regard putain ce qui te fait, regarde ce que tu lui fais. Deux cœurs qui battent pour l’autre, deux âmes qui ne cessent de se renvoyer la balle, c’est impossible. « Au début j’étais éloigné, car je voulais savoir ce que tu attendais clairement de moi Emeraude, puis après j’ai eu mal, alors j’ai voulu te protéger de la bombe que j’étais … t’as pas besoin de protection, mais j’avais besoin de le faire. » Touché. Coulé. T’es sans doute Jack sur cette planche avec tant de place, mais en train de couler, tout bonnement. « Alors apprend moi à parler ou alors laissons couler tout cela ! » Que tu lui dis, il le faut, il faut des solutions, il faut arrête cette débâcle de sentiments. Vous fuyez, bêtement. T’en aller, t’éloigner, te faisait le même mal que tu avais quand tu lui demandais de s’en aller, de sortir de sa vie. Ce qui est vrai, c’est que tu voudrais l’avoir à tes côtés, peut être indéfiniment, sans même vouloir réellement te l’avouer, voilà tout. Des maux qui ne se répareront que quand vous serez capable de tout dire, de laisser vos cœurs chanter pour l’autre, autant dire que ce n’était pas une bonne chose, car vous alliez tous deux finir à terre, sans aucun moyen de vous relever. Une claque, puis une autre, c’était l’équivalence des mots, des paroles lancés à ce moment précis par la jeune femme. Ça te tort les entrailles, emmêles tes pensées. Alors que tu es juste silencieux, incapable de savoir qui tu es et qui tu serais dans l’avenir. Comme si tous tes espoir c’était clairement envolé. « Arrête ! » Que tu hurles, la coupant. « Je ne pars pas pour moi … je serais égoïste, je te collerais sans doute... Mais tu le comprends pas, tu comprends rien … » Non, elle ne comprend pas, car toi tu n’utilises pas les mots clairement, tu tournes autour du pot, faisant des milliers de tour même. Une fille chez toi ? Tu arques les sourcils. « Une fille ? Quelle fille ? » Tu souffles, cherchant à trouver dans ta tête. « Les seules filles qui peuvent avoir chez moi ça serait mes sœurs et au pire des cas ma meilleure amie que je n’ai pas vu depuis quelques semaines, donc dis-moi, parle-moi … » Puis t’as envie de tenter ta chance, t’es con, complétement con. « Alors, c’est pour ça que tu étais distante d’un coup ? » tu ris. « tu vois tu me prends vraiment pour une merde si c’est ça, t’as raison y a pas de nous au vu de l’estime que tu as pour ma gueule Emeraude … » T’es dur, t’es violent, sans doute que la vague qui t’emporte à cet instant fait de même pour elle. « C’est qu’une excuse ton timing … une putain d’excuse ! » Tu la regarde, et t’as plus qu’une envie tourné les talons, mais tes yeux s’imprègnent une dernière fois de son image, tes yeux qui la dévore, ta main qui caresse à nouveau la douceur de sa joue. Ton visage qui s’approche, alors que tu t’approches, t’as besoin, une dernière fois. Un adieu. Tes lèvres caressant les tiennes une seconde, deux peut être plus tu ne parviens plus à voir le temps s’écouler. « Adieu. » Car peut être que c’est ainsi que ça devait être.
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Message Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe)   speak from your heart for once ❁ (mahe) - Page 2 Empty Sam 9 Mar - 15:47


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crédit/ tumblr ✰ w/@Mahe Velázquez


Vous vous agaciez mutuellement et peut-être bien que vous n’étiez pas prêt pour cette discussion à cœur ouvert mais, y aurait-il un moment où vous le seriez vraiment après tout ?!... Surement pas de toute manière vous vous étiez fichu aux pieds du mur et plus question de reculer mais, c’était à s’en renvoyer la pierre continuellement et cela te rendait folle. « On est fautifs tous les deux Mahé…. Mais, je t’entends et j’ai l’impression que je dois l’être tout entière mais que te blâme pour deux… à n’y rien comprendre. Je n’y comprends rien. » Vous en étiez au même points et tu n’en voyais pas le bout « Je suis juste perdue… » Et vous l’étiez tous les deux. Aucun ne semblez avoir les clés pour vous sortir de ce fichu gouffre dans lequel vous vous étiez enfermé. Dans lequel vous aviez sombré. « Je ne te reproches rien que je ne me reproche pas aussi Mahé… Je l’ai voie très bien mes tord contrairement à ce que tu as l’air de penser… » T’es fatigués de cette putain de danse qui semble tourner sur le même rythme. En boucle. Toujours la même chanson. Lui qui n’entend pas, toi qui ne voie pas ou le contraire. Du pareil au même.   « Je ne suis pas toute blanche, je ne suis pas une victime non plus… alors arrête de dire que je rejette toute ces fautes sur toi…. » Tu as la colère au bord des lèvres mais, la discrètes. Celle qui fulmine silencieusement pour toutes ces choses qu’il te renvoi au visage comme si tu ne voyais rie alors qu’au contraire, tu n’avais jamais été aussi éveillé.  « Je sais que j’ai merdé… on en serait pas là sinon !!! » Non, vous ne seriez pas là à vous disputer en pleine rue. A vous déchirez encore et encore pour des choses que vous ne vouliez pas vous dire. Pas vraiment. « Tu voulais que j’interprètes comment les choses si tu ne me disais rien. Tu as disparue de ce toit sans rien dire… comment tu voulais que je saches ? Comment j’aurais pu deviner ?!... » Il avait raison tu avais été froide, tu n’avais pas était cool mais, lui non plus ne l’avais pas était. « On était deux dans l‘histoire, deux pour tenter de comprendre… je me suis juste sentie seule…. » Que tu dis comme pour lui faire comprendre que tu comprends autant tes tords qu’il comprend les siens. Tu veux juste lui dire ce que tu ressens ou ce que tu as ressentie mais, même là, tu as cette peur qu’il se braque encore. « Pourquoi tu me l’as pas dit tout ça… je me sentais juste seule dans tout ça, comment tu ne voulais pas que je m’imagine ce qui n’étais pas ?! »  Cette connexion n’étais pas bercé d’illusion et pourtant t’étais resté là à croire qu’il n’y avait que toi qui vibrer pour lui. Si dur sa carapace dans laquelle il enserre son être. Son cœur. Son âme. Tu te sens trop faible pour al brisé. Tu ne te sens pas à la hauteur de ce qu’il y cache sous tous ces murs. « Dis pas ça Mahé… tu mérites tellement, c’est moi qui devrais dire ça… regarde ou on en est pas ma faute… » La voix qui se brise et le cœur qui se fend. Tu voudrais le secouer de tes mains pour le réveiller. Tu voudrais lui répéter tes prunelles pour qu’il se voie comme tu le vois.  « Tu ne me fais rien de mal, je me le fait toute seule ce mal… » Ta main qui s’aventure un instant sur sa poitrine. Sur son cœur qui bas. Ta paume qui veux le réchauffer mais qui ne s’éterniser par cette même peur de le voir disparaitre qui continue de t’assaille.  « Tu mérites tellement plus, ouvres les yeux sur toi Mahé… » Un pas en avant et puis un en arrière tu ne sais plus quoi faire de ton être qui se tiens devant lui. Tu perds al face. Tu perds tout. Le courage, la force. Tu y laisses toute dans cette dispute à toit ouvert. Tout se libéré et pourtant tu voudrais t’enfoncer six pieds sous terre. Tu voudrais que toutes ces complications se taisent. Tu voudrais n’en garder que le bon et en effacer à jamais le mauvais. « J’attendais juste que tu sois là, juste de la simplicité ou celle qu’on avait toutes ces nuits passer sur les toits de la ville… » La vérité qui parles ou tes rêves qui reprennes le dessus. T’en avais pas attendu grand-chose juste lui, toi et rien d‘autre mais, surement que même là ça en avait été trop. Trop pour vous.  « Je n’attendais pas des mots ou l’inatteignable, je t’attendais juste toi Mahé… rien de plus. » tu t’accroches à cette envie qu’il te parle. Qu’il se dévoile ou bien que simplement il ‘écoute vraiment. Tu en dis trop. Trop maladroitement et lui pas assez peut-être ?! Toute la situation qui vous emporte sans que vous ailliez le contrôle dessus. Il te coupe le souffle, la voix et les mots qui s’évadent de la violence de ces paroles à ton regard. L’effet d’un coup de poing en plein estomac et tout qui semble s’aligner. Peut-être bien que c’est ce qu’il te fallait pour te les remettre en place ces idées qui s’évadent. Tu en a trop dans la tête. L’esprit embrumé par des sentiments que tu n’es même pas certaine de comprendre. « Je ne comprends rien en effet mais, je voudrais tellement… » Que tu murmures les yeux timidement dans les siens. Que tu effleure le sujet et tu n’es pas mieux que lui alors que tu pourrais être celle qui le pousse à parler mais t’es qu’une putain de biche paralyser devant les feu d’une voiture. Une idiote qui en dit trop ou pas assez. Celle qui se ridiculise d’avoir imaginé des choses qui n’ont pas lieu d’être. « Je ne te prend pas pour une merde Mahé… si tu savais !!! SI tu ouvrais les yeux sur combien je tiens à toi… à ce nous qui n’est jamais arrivé… » C’est mots de font mal. Il te plonge dans ce flot de culpabilité. Les yeux tu les as ouverts depuis le début. Le regard ouvert sur toi et ce que tu pourrais penser. Ce que tu penses ne pas mériter. L’amour qui ne veut pas de toi. Tu l’as compris mais, bien trop tard. Tu es déjà à terre. « J’ai juste crue que je m’imposais dans une vie que tu avais déjà construit, j’ai cru que…. » Le regard qui fuit et le cœur qui se craquèles dans une poitrine déjà bien abîmé par tous ces non-dit. Par tous ces maux d’un cœur meurtri. « … laisses tomber, cela n’as pas d‘importance ce que j’ai crue, je suis ridicule !!! » tu souffles épuisée. Cette fatigue de devoir toujours te justifier. De la répétée cette douleur dans l’espoir qu’il l’as comprenne. T’es lasses de toi et de comment tu es avec lui. Tu ne te sens pas à la hauteur de ces sentiments qui s’agitent entre vous. « …tout n’est qu’une putain d’excuse pas vraie ?!... » Que tu ajoutes presque avec ironie. Ironie de toi, de vous. Pas un pour rattraper l’autre dans cette histoire. Tout sonnes comme un foutu adieu et tu détestes ça. La sensation que son visage s’ancre dans tes prunelles pour la dernière fois. Que sa main effleure ta peau comme pour s’imprégner de la sensation Tu l’as perd cette larmes qui roule sur ta joue et la seule chose que tu as envie de crier c’est pourquoi ?!... tu as le cœur l’âme déchiré et le cœur en miette de ces lèvres qu’ils déposent sur les tiennes. Le souffles qui se coupe dans un derniers instant et la gorge qui ce sers à ce mots qui t’achèves. Toi, tu ne les a plus les mots. Tu n’as plus rien ce baisé ta tout prix et les larmes on raison de toi. C’est donc ainsi ce qu’il veut. Un adieu et tu le prends par dépits car, ton cœur, lui, cries tout autre chose. Tu t’oublieras pour lui. Tu le regarderas s’éloigner si c’est ce qu’il veut lui…
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Message Sujet: Re: speak from your heart for once ❁ (mahe)   speak from your heart for once ❁ (mahe) - Page 2 Empty Jeu 11 Avr - 15:33


C’est un tango qui se joue entre elle et toi. T’es pas prêt pour ce pas de deux avec elle, pas prêt à cette petite guerre qui aurait dû ouvrir vos cœur, ouvrir vos myocardes. C’est le cas, t’as le cœur ouvert, mais les mots qui se déverse à l’inverse de ce dernier. À contrecourant. L’envie de combattre, l’envie de fuir, car t’es un idiot, elle est une idiote elle aussi, une belle. Mais c’est le tango qui est née entre vous qui ne vous laissez pas danser ensemble, toujours dans le combat, dans la surenchère. C’est un déversement de mot, des discours qui sont les mêmes mais qui n’ont pas l’air de s’incruster chez l’autre. T’es borné, bloqué dans le fait d’être le seul coupable, le seul gars complétement fautif. C’est plus simple, c’est moins compliqué que ce soit toi et pas qu’elle. Pourtant tu le sais, tu le sais vous l’êtes tous les deux. Deux abrutis qui se donnent la réplique en publique, une scène désastreuse qui laisse la merde s’accumuler entre vous. Tu ne veux plus laisser de mot, tu ne veux plus ouvrir la bouche si ton propre discourt n’est plus cohérent, c’est la vague d’émotions, la vague d’amour et de peine qui se mélange sans aucun doute. Les vagues d’émotions en toi te prennent à la gorge, t’as la maladroite habitude de tout vivre mille fois plus fort, c’est tuant. Ça te tue, clairement. Tu ne finiras pas succomber, tu finiras par tomber les genoux à terre et quelqu’un sera là pour te sauver, peut-être elle ? Peut-être que tu espères que ce soit elle, qu’elle trouve avec ton aide le chemin dans ce labyrinthe d’erreur ton endroit, celui où tu t’es enfermé seul. Toi quand tu as fauté, quand tu as parcouru le cœur d’une autre femme, quand tu as délaissé le premier amour pour tout le reste. Bêtement. Comme un enfant que tu es. Tu n’étais qu’un gamin, beau gamin que tu es encore. Le courant de ses mots, de sa voix se jette sur toi, tu prends tout mal, meurtri, blessé. Abruti. Beaucoup. Alors, tu prends conscience, mais les mots manquent et tu ne veux plus rien donner, fermé, bêtement. Marre de tourner en rond, de rouler à terre enroulé dans ses bras. Car vous allez finir blessé, détruit même. Puis les mots ont envie de sortir, envie de déverser tout, mais toi t’es maladroit avec les mots. T’es plus adroit dans l’observation, dans l’art, laisser l’art parler, c’est ce que tu fais le mieux. Tes toiles, tes peintures, peu importe le support en vrai, tu y laisses des plumes toujours. Tu laisses ton sang pigmenté les couleurs de ton art tout comme ton esprit donne la beauté à cet art. Ce putain d’art c’est toi et ça se casse petit à petit quand tu essayes de livrer tes mots, de tout donner avec des mots. Tu ne le sais pas. T’es moins poètes qu’artiste. T’es incroyablement nul avec les mots Mahe. Tellement. Alors tu veux livrer des mots encore, mais à quoi bon ? Ces mots doivent être fermés, ils ne doivent plus laisser une réponse en suspens, ça doit se finir ici cette danse, à jamais, peut être bien. La laisse voler ailleurs, car finalement a-t-elle déjà été à toi ou bien tu avais juste imaginé, laissé ton esprit te promettre un songe que tu avais vu en elle ? Peut-être que la réponse est là. Et tu prends conscience. Elle est douloureuse cette réalité que tu te dessines, elle est mordante à souhait. Toi mériter plus qu’elle te dit, que sa belle voix te chante. Mais tu n’y crois pas, pourquoi bon ? Tu restes silencieux, elle continue de déverser ses mots, t’ouvrir l’âme, meurtrir un peu plus ton cœur, car tu laisses ta vérité, peut être fausse, te torturer, te tuer à petit feu. Lame après lame. Ta sœur, tes sœurs. Laquelle qui a ouvert ? Tu ne sais pas. Et tu ne veux pas savoir, tu la laisses croire, tu la laisses penser. Toi toujours taciturne, moins complexe qu’ouvrir à nouveau ta bouche, pour dire des choses qui ne sont pas ce qu’il faut, car tu ne jongles pas à merveille avec les mots amour, tu ne les manies pas avec vigueur, tout au contraire, tu te complets dans le silence, à faire passer tes messages par diverse manière sauf celle qui est celle de tous les humains : les mots. Tu dois briser tout cela, tout arrêté, tout cesser. Car putain vous allez finir mort avant de toucher et de faire l’amour au bonheur. c’est la fin, une fin amer qui tue ton cœur, tu te tues toi-même, mais sans doute que c’est la meilleure solution, pas vrai ? Tu t’interroges, mais t’as pas la réponse, tu n’as que ta propre version, voilà tout. Rien à dire, rien à faire. Pourtant tu l’ouvriras ta bouche. « C’est ma sœur … » Que tu lâches, meurtri, complètement retourné par cette conversation brûlante et tuante à la fois. T’es mort dans le jeu avant même qu’il ne commence entre vous. Pas le bon, tu t’s accrochés à ce courant d’air chaud et froid que pouvait être la princesse emy, une fin pour une fois qui sera glaçante. Sa liberté retrouvé, car elle t’a jamais appartenu, t’avais juste un espoir, espoir brisé, espoir fini. C’est ainsi. Tes lèvres qui glissent sur les siennes, ta peau qui ne demande que son contact, c’est ainsi. C’est ainsi que ça devra finir, t’y crois, tu t’accroches à ce songe que toi tu ne la feras plus souffrir, l’espoir qui naît que personne ne puisse la faire souffrir, maintenant que le monstre que tu es n’est plus dans sa vie. Un doux adieu princesse, l’adieu qu’il n’avait jamais recherché dans cette rencontre. Il voulait juste t’avoir, mais ce tango a brûlé ces ailes ainsi que les tiennes. Vole, loin de lui, prend une liberté mérité que tu n’aies jamais accordé à ce beau prince.
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