death threats and investigations | Harlow

A peine Boys a élucidé une enquête qu’on le dirige vers une autre. C’est toujours comme ça que ça se passe de toute manière, surtout maintenant qu’il a déplié ses cartons dans la ville de New York. Les crimes ne dorment jamais, il y a toujours des enquêtes en cours ou qui s’accumulent. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a été engagé dans les environs, car on a besoin de mains et surtout de cerveau sur le terrain. Autrefois il changeait souvent de villes car ce n’était pas dans de grandes villes, les crimes étaient moins présents et il ne faisait que des remplacements. Maintenant qu’il a un poste fixe, il n’arrête pas. Si ça a un côté excitant de toujours être sur le terrain, quand on y réfléchit bien ce n’est pas bien réjouissant, qui dit crime dit victimes. Plus il a du travail et plus proportionnellement ça veut dire qu’il y a de pauvres personnes qui ont subi de mauvaises choses. C’est comme être un pompier qui a hâte qu’on le contacte, ce n’est que très rarement de bonnes choses. Enfin maintenant, on vient de l’appeler pour une affaire de menace, une menace de mort, comme certains criminels aiment bien faire, il doit y avoir de l’argent en jeux, ou alors des sociopathes qui aiment être sadiques avec leurs victimes. Boyd n’a pas plus d’informations que ça lorsqu’on lui donne l’adresse de là où on doit se rendre. Il sait qu’il s’agit d’une jeune femme, rien de plus. Ça sera donc à lui de tirer des informations mais c’est bien normal, c’est son métier de tirer le vrai du faux même si en général on lui fournit les informations les plus pertinentes pour ne pas perdre de temps. Arrivant sur le lieu que lui indique son gps, il sort de sa voiture de fonction mais qui ne montre aucunement qu’il s’agit d’une voiture de police. S’il doit faire une arrestation alors il appelle du renfort pour une voiture adéquate pour embarquer quelqu’un. C’est toujours mieux quand il enquête, de ne pas trop afficher qui il est. Vérifiant une nouvelle fois l’adresse sur son smarphone, il se dirige vers la porte de la victime de menace. Il doit vérifier de lui-même là-bas s’il y a des traces d’effraction ou encore écouter de possibles messages sur la boite vocale. « Bonjour, agent Sanders, on m’a envoyé pour me charger de votre affaire. » Dit-il pour se présenter tandis qu’il montre son insigne. Il vaut mieux être très claire pour dire ses intentions car recevoir des menaces de morts ce n’est la chose la plus aisé, on devient vite parano. Boyd sait de quoi il parle, il a dû changer totalement de vie et d’identité car il risquait un risque de vengeance. Toutefois, Boyd n’est pas là pour ça, pas du tout, il est là pour faire son travail. Il n’a pas dit toutes les informations, sait-on jamais si ce n’est pas la bonne personne face à lui. Il avait raison puisqu’on l’invita à entrer pour parler à la principale concernée. « Puis-je parler à mademoiselle Dostoïvski ? » Ce nom lui dit quelque chose mais Boyd n’est pas très fort pour retenir le nom des ambassadeurs même s’il doit se tenir informé depuis qu’il a fait ses classes de police.

@Harlow Dostoïvski