i don't wanna have to lie (harlow)

(roller-derby/jammer) Tu es une fan de ce sport, tu peux cogner autant que tu veux tout en cognant, tu apprécies réellement cela, même si ton corps est souvent couvert de blessure en tout genre, ce qui n'est pas forcément simple à expliquer à ton père protecteur à souhait. (nature dream) la petite en toi, elle adore la nature, sentir l’air pure sur son visage, camper ou encore faire des randonnées est une chose que tu aimes particulièrement. Te couper du monde, de la fatalité et brutalité de ce dernier. Tu es capable de vivre sans ton téléphone, sans maquillage, t’aime la nature et être naturelle, puis tu ne te maquille pas comme une poupée russe, tu es plutôt naturelle comme fille. (money, money and goodness.) l’argent coule à flot dans ta famille, tu te fais pas mal d’argent non plus dans ton métier, mais tu restes une personne raisonnable qui ne dépense pas de l’argent inutile, tu as vu la misère du monde, tu as subi la misère du monde en voyant dans le fond des personnes complétement enragé par la vie qu’ils te voyaient mener, alors qu’eux peinait à se chauffer, tu regrettes ces inégalités dans le monde, mais tu évites d’y penser, car tu n’as pas choisi la politique, comme dans la famille on aurait voulu  t’y voir mener une telle carrière, mais ta politique aurait été plus sociale qu’autre chose. Alors, tu as fait autrement, choisissant le camp de ta mère, la sainte.  

(sweet child) Petite tu admirais la femme que ta mère été, toute ces choses qu’elles faisaient pour les populations de différent pays, elle n’hésitait pas à donner de son temps avec toi pour aider. Quelques fois cela te faisait mal au cœur, mais elle t’avait expliqué les raisons et tu comprenais. Des mots clairs et simples pour l’enfant que tu étais. Malgré cela la voir partir parfois te faisait mal, mais tu as de temps à autre suivit le mouvement allant avec elle, vivant des aventures avec les enfants de différent pays. C’est ainsi que tu apprenais quelques mots de turque, toi qui ne parlait que le russe et l’anglais.  Ton père lui était souvent en déplacement, souvent tu étais accompagnée d’une fille-au-pair, cette dernière venait de la même ville que ta mère Astana, en  Kazakhstan. Une jeune femme avec qui tu t’entendais bien, elle t’apprenait des mots de persan, tout en essayant de comprendre la langue anglaise. Elle connaissait parfaitement le russe sinon, mais le parlait pas juste pour que tu puisses apprendre une langue avec elle. Ce n’était pas un souci pour toi, tu aimais apprendre de nouvelle chose, mais le fait de ne pas aller à l’école t’a toujours déçue, tu avais envie d’être comme les autres, mais tes parents étant sans cesse en déplacement, tu n’avais pas vraiment d’endroit à toi, un endroit où aller. Les hôtels étaient une maison pour toi, mais les villes encore plus. Tu as voyagé, énormément, parfois que quelques semaines, passant de pays peu riche a d’autre complétement différent du tien : la Russie. C’était le port d’attache de ta famille, beaucoup plus que les autres endroits où tes parents faisaient en sorte de t’emmener. Indonésie, France, Espagne, Tchad, Dafour. Tu as eu le temps dans ta jeunesse de visiter, bien des continents, des pays et ville pour savoir des petites que tu étais plutôt chanceuse d’être une petite russe. Tu le savais aussi que dans ce pays-là les inégalités était grande, tu en as vu du monde protester contre les riches, contre le pouvoir, tu ne comprenais pas tout, mais tu allais le faire.(bad luck) Il faisait froid. Les pieds glacés, les doigts douloureux, les larmes glissant sur tes joues, tu entendais en boucle les cris de ta mère quand toi tu étais cachée sous le lit de tes parents, là où vous étiez caché. Le cœur qui éclaté dans tes oreilles, tu l’entendais battre et tu les entendais parler devant toi, préparant cet appel à ton père. Toi tu te demandais encore où était ta mère. Tu l’as vu s’effondrer après un bruit horriblement lourd, tu as pourtant crié, hurlé pour qu’elle se bouge quand l’un des hommes t’a fait glisser sur la moquette, tu tentais de te rattraper, ta main touchant celle de ta mère, douce et chaude, mais elle ne te rattrapa te laissant t’envoler avec eux. Tu ne savais pas comment les heures ou les jours s’effrité dans cette cabane défilée, tu étais calfeutrée de manière à ne pas voir le jour, les rayons de soleil te manquaient pourtant tu tentais d’être forte, chantant cette chanson dans ta tête, la chanson qu’ils te chantent quand tu devais aller te coucher. Qu’importe le lieu où tes parents étaient, avec ou sans toi, ils appelaient pour chanter cette dernière avec toi. Au bout de deux semaines ton visage était partout dans les journaux, ton nom à la bouche de beaucoup de monde attentionné ou non. Parfois se réjouissant de l’acte de ses personnes disant que le pays volait l’argent du peuple. Mais toi, tu n’en savais rien de tout ça, tu ne savais même pas pourquoi tu étais là. Un soir, tu étais complétement gelée, tu tremblais, peinant à réchauffer tes extrémités. C’est un petit garçon plus vieux que toi, sans doute âgé de douze ans qui t’avait amené le repas ce soir-là, tu le voyais pour la première fois, normalement ils portaient tous des cagoules, alors une voix te fit sursauter à ce moment précis, car il se fit hurler dessus, car tu avais vu son visage. Des mots restèrent graver en toi : «  on va devoir la tuer à cause de toi ! » Puis ils sont partis, sans rien te donner. Tu tentas de te caler au mieux dans ce duvet, essayant de sentir la chaleur du petit poêle prés de toi, mais c’était comme perdu. Tu ne sais plus grand-chose à ce moment précis. Tu sais juste que tu vis à nouveau la lumière du jour quand des cris et des échanges de coup de feu se sont fait entendre. Sauvé, mais tu ne savais pas que l’horreur allait encore frapper à ta porte, poupée.  (eternal tears.) Quand tu fus sauvé, tu atterrissais à l’hôpital  aussitôt, en hypothermie et choquée. Tu n’as demandé qu’une personne à ce moment-là. Ta mère. Tu demandais comment elle allait, mais personne ne te répondit, personne. Tu fus rejointe par ton père, complétement changé. L’air triste et le visage fatigué. Tu le serras juste contre toi à ce moment, loin d’avoir envie de te poser des questions, juste sentir sa chaleur et cet amour qu’il t’avait toujours porté. Les seuls mots qui sortirent de ta bouche furent : désolé, je suis désolé. Ces mots avaient troués ton cœur et tu ne savais pas ce que ça voulait dire tu n’avais que huit ans, neuf en fait, tu n’avais juste pas fêté ton anniversaire pendant ta captivité. Tu finissais par demander où était ta mère. Cette dernière, était dans une chambre à côté, Ana, ta mère avait pris une balle après s’être débattu avec ces hommes étant venu te chercher, elle était tombée, pour ne pas se relever. Elle était dans le coma, mais surtout en mort cérébral, ton père fût incapable de prendre une décision de la débrancher. Tu ne savais pas comment prendre la nouvelle. La seule question qui pouvait écorcher tes lèvres fût : c’est quand qu’elle se réveille ? Tu n’avais juste pas comprit que c’était finit pour elle, mais que c’était à ton père de prendre cette décision. Une décision qu’il prit six mois après, décidant de la débrancher et d’accorder ses organes à d’autre personne dans le besoin. Tu ne comprenais pas, tu ne comprenais pas pourquoi elle ne reviendrait jamais, toi tu étais bien là pourtant. Mais pas elle. Ta chère mère était morte, puis enterrée sous tes yeux.  Des adieux douloureux, alors que les nuits cauchemardesque étaient encore présente dans ta pauvre petite vie. (Princess of his heart.)  Adieu la Russie. Bonjour New-York. Ton père a cessé tous les voyages d’avant depuis quelques années maintenant. Toujours là, pour toi, mis à part quelques déplacements dans lequel tu es complétement prise comme une valise. Pas de droit de dire non, tu viens et c’est tout. Tu ne cesses encore de voir ta mère chuter au sol, les cauchemars sont tiens depuis que tu es rentrée de cette captivité non demandé. Les cours à la maison, dans les beaux quartiers de New-York, les dîners mondains, un monde de richesse qui dans le fond te met à mal. Mais ton père, il est droit, tu as confiance en lui, tu le sais depuis la mort de sa femme, il est comme obnubilé par ta sécurité. Des hommes collés à tes basques, encore et encore. Ta protection au dépend de ta liberté, c’est à seize ans que tu commencés à filer en douce, faisant tourner en bourrique les hommes de mains de ton père, le besoin de liberté, le besoin de respirer, d’être normal. Mais tu le sais que tu ne l’es pas, que des groupes veulent te kidnapper, pour te tuer ou autre, histoire de faire payer la Russie. Tu n’es pas la seule à avoir à subir cela, les jeunes riches de  ce pays sont sans nul doute des proies pour beaucoup, mais tu n’es pas dupe, tu le sais bien que ailleurs, riche ou pauvre, beaucoup court différent danger. Mais tu tentais de l’oublier, oublier que ta mère avait toujours été là pour les autres, alors que toi, tu n’étais qu’une princesse à son père coincé entre quelque mur pour finir par ne jamais voir la réelle couleur du monde. Un monde qui t’est interdit si tu n’as pas la main jointe à une garde du corps. Une simple poupée de chiffon ne désirant que d’un peu de liberté. Une liberté que tu prenais, prenant un malin plaisir à rendre chèvre les hommes en garde devant ta porte de chambre et tout autour de ton habitation. Tu as visité quelques villes comme ça, mais bien plus le queens, un arrondissement de new-york  que tu as de suite apprécié, sans doute par la diversité des genres, des portemonnaies.  (a better world.) Pour tes études supérieures tu es partie étudier à Londres, loin de la folie de surprotectrice de ton père. Pour toi, ce fût simple, de savoir ce que tu voulais faire, tu aurais pu voyager, faire le tour du monde pour aider les pays en voie de développements, les populations qui souffrent, mais c’était trop demander. Ton père, t’aurait clairement mis dans un cachot, pour mieux te protéger. Études en commerce doublé d’un cursus en langue. Te permettant de parler bien des langues, du français au chinois ou des langues peu pratiqués. Le besoin de devenir comme ta mère, aider les associations en  trouvant des fonds pour les aider à faire ce qu’ils doivent faire pour rendre le monde meilleur.  Tu aurais voulu être sur le terrain, mais même quand tu as voulu faire deux mois d’humanitaire au Népal après le séisme ayant causé presque dix milles morts, tu aurais voulu y aller, sentir la même fierté d’aider les autres, comme elle le faisait. Ta vie est faite de trace de ta défunte mère, lui rendre hommage en continuant son travail, mais tu es bridée par ton père, trop de peur de te perdre, de voir quelque chose t’arriver. Les disputes sont nombreuses quand tu ne réponds pas dans la foulée à ton téléphone, une sensation d’être prisonnière d’un monde qui n’est pas forcément le tien. On pourrait te prendre pour une petite princesse, tu aimes être bien dans tes vêtements, mais jamais tu ne feras de chichi pour être en tenu de sport ou autre. Car, tu restes une poupée naturelle.  Alors, tu sais qu’il te sera difficile d’aller aider, pour de vrai les associations pour les enfants dans d’autre pays que celui dans lequel tu te tien. Il est impossible que tu parviennes à faire changer ton père, d’avis, alors tu vas aider dans les orphelinats, donner de l’aide dans les soupes populaires ou encore la cause animale qui est pour toi tout aussi importante. Tu aurais pu faire comme beaucoup, lâcher les études et vivre de tes rentes que tu reçois chaque mois. De l’argent que tu ne touches pas, sauf en cas de nécessité absolue, tu as été en Angleterre en tant que fille normal, tu as donc menti à certaine personne, y compris en bossant dans un bar insalubre. Mais tu es fière, d’avoir fait en sorte d’être une fille normale autre que riche par la famille de tes parents. Comme le besoin d’exister par toi-même, sans  ta famille. (thirst for normality.) Tu veux être normal, totalement. Tu es à présent fundraiser, tu trouves des fonds grâce au média, aux soirées mondaines pour des sociétés et des associations qui ont besoin. Tu as récemment crée une association qui va parrainée plusieurs choses dans le queens tel qu’un dispensaire, une maison pour jeune. Tu veux faire évoluer le monde, mais tu ne veux pas oublier ce pays dans lequel tu te tiens. Tu n’as plus de garde du corps sur le dos, car tu les épuises, tu te joues d’eux et de ton père, mais tu le sais bien que ton père l’a compris. Que parfois tu attises le feu de ses hommes avant de les lâcher. Tu n’as jamais vraiment franchit un cap avec un homme censé garder ton corps, ta vie. Tu n’es juste pas au courant que l’homme avec qui tu as couché dans les toilettes après avoir joué toute la soirée avec lui, est le nouvel homme censé te garder en sécurité, autant dire que lui aussi va finir par partir, et cette fois tous les coups seront permis !