SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez

 

 soliah | there is nothing better than a happy ending

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




soliah | there is nothing better than a happy ending Empty
Message Sujet: soliah | there is nothing better than a happy ending   soliah | there is nothing better than a happy ending Empty Ven 26 Oct - 17:16


Soléane & Kéziah.
there is nothing better than a happy ending.


Sans personne. T’as jamais eu besoin d’avoir du monde derrière toi pour donner de ton temps aux autres. C’est inné chez toi, une chose que ta mère a toujours aimé chez son fils, alors que ton père, c’était encore une chose qu’il haïssait avec une force qui te donner l’impression de le répugner. Maintenant, tu le sais bien que c’est bien plus qu’une impression et cela depuis bien des années. Pas d’entraînement aujourd’hui, juste du temps à parler avec le psy, te demandant comment tu te portes. Puis quand t’eut fini avec celui-ci tu enchainas la diététicienne qui te demanda de résumer ta semaine au niveau de la nourriture. Rien d’exceptionnel, rien de fou, car tu contrôle tout, tu manges, tu gardes, mais tu ne parviens que trop peu à te faire plaisir, à manger par plaisir plus que par obligation. Sinon ton corps ne tient pas le coup, il ne tient pas le bout des entraînements des matchs. Dernier match en équipe du monde, tu étais sur le banc, trop faible encore pour jouer, et pourtant ça te démange de jouer, de partager le moment avec tes coéquipiers, mais c’est malheureusement ainsi. Tu supportes assez mal ces rendez-vous parfois ici, parfois en France, tu jongles de ton mieux pour ne pas pourrir ta carrière, abandonner tes rêves, vos rêves, les rêves d’un paternel et d’un fils. Un père qui s’en est allée, encore et encore, finissant par t’abandonner de toutes les façons possibles. La mort fut la dernière chose qui te légua, ta mère du tenir sa langue durant la coupe du monde, la peur de te faire perdre pied et tu la remercie, même si au début tu as eu un peu de mal à affronter la nouvelle, trois mois après. Enfin, tu tentes de vivre avec, même si au final tu deviens plus un stalker qu’autre chose dans le coin, tu tournes autour des endroits fréquentés par l’autre famille de ton père, celle qui a finalement choisi quand ta maladie contre la nourriture fût déclaré. Une tare d’être anorexique alors qu’on est un homme. Tu l’entends encore et ça tourne en boucle dans ta tête, torturant ton âme et tu ne peux rien faire, sauf supporter. Tu le supportes pourtant mal, c’est bien ça le problème.

T’es là à contempler la beauté de ces gosses qui sont en train de t’écouter, ils sont tous plus ou moins sage, concentré dans l’histoire que tu lis. Une certaine Soléane Bowens qui l’a écrite. Tu n’avais jamais vu l’un de ses livres pour enfant, mais l’une des petites souffrant d’un cancer t’avait demandé de lire celle-là plutôt qu’une autre. Alors, tu avais cédé à ses deux petites fossettes qui étaient apparu quand elle t’avait offert un sourire de supplication. Tu as été un enfant parcourant ce genre d’endroit, différente maladie, pourtant elle pouvait emmener à la même porte, la mort. Un âge bien trop jeune pour mourir, quand tu y penses, tu es tellement conscient d’avoir eu de la chance, ta maladie est invisible si on ne veut pas la voir, elle  n’est rien comparée à celle de ces petits gamins qui te regarde, des enfants de quatre à dix ans, les plus vieux étant en train de faire autre chose. T’es trop sensible kéké pour ça, ton père te l’as dit, tu n’es qu’une mauviette. Et encore ça l’étonnait encore que tu ne sois pas du style à aimer les garçons. Non, ce n’est pas le cas, mais les mots détruise, et restent. Ils restent pour torturer tout au long de la vie des enfants, devenant adulte, y a déjà une cassure et toi tu l’as caresse la cassure, celle-là et toute celle que ton cher père a été capable de te créer sans même sourciller, car peu importe ton bien être si tu lui donnais ce que tu voulais. La belle coupe du monde, pas cul pour lui il est mort, il ne t’a pas vu la soulever, toi qui aurait tant aimé lui foutre dans la tronche, lui dire autant de sottise que tu lui fus capable de t’en dire. Tu tentes de ne pas penser à tout cela, mais c’est toujours plus facile à dire qu’à faire. Comme toujours. Puis tu lis la fin de l’histoire aux enfants. «   La princesse repartie vivre d’autre aventure seule, car elle était bien plus forte ainsi … »  Tu n’y crois pas tes yeux, tes oreilles. «   Mais elle est nulle cette fin , sérieux ! »  Que tu t’exclames laissant des enfants en rire. «   Il est où le happy ending avec l mariage et tout ? »  Puis une petite qui s’approche et te dis : «   je veux bien être ta princesse ! »  ton grand cœur éclate sous ses mots.  [color:52c7=# 332679] «   Je te promets qu’un jour tu trouveras mille fois mieux que moi, princesse. »  tu souris à la demoiselle d’à peine huit ans.
 
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




soliah | there is nothing better than a happy ending Empty
Message Sujet: Re: soliah | there is nothing better than a happy ending   soliah | there is nothing better than a happy ending Empty Mar 6 Nov - 13:01


≈ ≈ ≈
{ there is nothing better than a happy ending }
crédit/ tumblr ✰ w/@Kéziah Maynard
Perdre la notion du temps et voilà, tu y étais. En plein dedans et tu détestais cette sensation de courir après le peu de minutes que tu avais l’impression d’avoir. Pourtant tu t’étais belle et bien décidé à ne plus te battre mais, les journées semblaient trop courtes. Le temps ou cette stupide variable bien plus précieuse que l’argent. Le temps ne s’achète pas, le temps n’as pas de prix. Le temps est incertain. Précieux. Il suffit d’un rien et tout s’arrêtes. Tu sens cette épée de Damoclès suspendue au-dessus de ta tête et tu n’as pas d’autre envie que de poursuivre ton chemin. Tu sais chaque jour de rapprochant de l’inévitable alors tu veux les vivres comme si demain n’existerait pas. C’était probablement le cas. Tu te raccrochais aux petits détails pour ne pas te perdre dans le fil de l’espace temporel. Du petit thé le matin avec Louisa l’infirmière à la promenade dans le couloir des urgences… C’était toi, faisant ton possible pour ne pas t’apitoyais sur ton sors, pas que tu l’as un jour fait mais, tout sonnés comme la fois de trop. Tu te nourrissais l’âme de petites joies pour tout simplement ne pas sombrer dans les chagrins menaçant ton cœur meurtri en silence. Toujours à te dire qu’il y avait pire ailleurs te refusant de souffrir ou d’être prise en pitié. T’étais égoïstement consciente que tes choix pourraient faire du mal à ceux que tu aimais mais, t’étais tout simplement convaincue que c’était pour leur bien. C’était dans ce même élan d’égoïsme que tu avais convaincue le personnel soignant de dire à tes parents qu’ils ne pouvaient pas te rendre visite tous les jours. Égoïsme ou pour ton bien tout simplement. Étouffée par l’amour parentale et cette horrible envie qu’ils ont de vouloir te sauver au détriment de ta sœur. Tu voulais juste oublier les malheurs, oublier les chagrins… tu voulais tout simplement vivre comme si chaque jour était ponctué de beauté et de douceur. Tu cherchais du réconfort ailleurs que dans les tristes lamentations familiales. Non, tu n’avais pas besoin de ça. Si tu voulais en finir se serait la tête haute, digne. A l’image de ces enfants qui se battent avec ferveurs et innocences. Au souvenir de cette petite fille que tu étais un jour et qui dans le fond tu es toujours un peu. A te convaincre qu’elle est loin derrière toi c’est un mensonge que ton cœur ne peut pas pleinement dissimuler. L’amour à revendre de ces petites bouilles qui ne mérites pas tant suffit à réchauffer ton âme. A enchanter ces longues journées passer dans les salles d’examens à parler de ton sors. Tu en regrettais presque ce temps ou tu ne comprenais pas vraiment ce qui t’arrivais. C’était plus simple enfant, ou du moins cela le paraissait alors que les décisions ne vous revenez pas. La limite était fine entre vivre et subir quand on était malade. Le tout, c’était de trouver un point d’ancrage, une bouée de sauvetage. Cette chose, cette personne qui vous fait comprendre que se battre n’est pas en vain. Chanceuse d’avoir eu les deux alors que certains n’avait rien d’autre qu’eux même pour se battre. Pour lutter. Tu parlais comme si c’était déjà la fin pourtant, tu étais encore bien là, vivante… et des histoires tu en avais encore quelques-unes à raconter. Les tiennes ou celles des autres, pour toi, il n’y avait pas vraiment de différence. Tu te disais chaque matin que tu avais réussi à accomplir quelque chose dans le peu de temps que la vie t’avait accordé et ce n’était pas donner à tout le monde. Certains se démener toute leur vie pour laisser leur empreinte sur l’humanité, toi, il ne t’avait suffi que d’un dessin et d’un peu d’aide. Un livre en entraînant un autre tu avais trouvé le moyen de faire entendre ta voix. Raconter ton histoire à celle que tu avais été autrefois pour aider ceux qui étaient à ta place aujourd’hui. Parler aux enfants au travers de mots et de dessins, leurs donner le sourire et de l’espoir… c’était ton souffle de vie à toi. Dans leurs yeux tout semblait si simple, moins compliqué. Dans leurs yeux tu te sentais comme Sol la princesse guerrière plutôt que comme Sol la malade. Surement pour cela que tu préférais passer du temps dans le service pédiatrique de l’hôpital plutôt qu’avec ta mère larmoyant sur ton lit d’hôpital. Depuis que tu avais réélue domicile dans le coin, tu ne passais pas un jour sans venir par ici. Juste le plaisir de passer un instant de pur bonheur avec ceux qui ne demandais qu’une seule chose : vivre une minute de plus. Alors, toi et tes pantoufles licornes empruntèrent le chemin que tu connaissais par cœur à pouvoir le faire les yeux fermés. Chocolats en mains pour ravir leurs papilles et alimenter leurs sourire tu allais voir les âmes innocentes de ce sanctuaire de la maladie. Cœur léger et sourire pétillant pour donner le change au teint maladif que tu te traînes depuis des semaines. Pour l’heure tu veux juste l’oublier ce foutu cancer. Toujours aussi bien accueilli par les infirmières du service qui depuis le temps te connaisses bien. Pas besoin de demander ton chemin ni même la permission alors que tu ne vas qu’offrir une petite bulle de bonheur aux enfants meurtris par la même putain de maladie que tu te traînes comme un boulet depuis bien trop longtemps maintenant. Silencieuse, discrète… tu t’adosses à la porte observant la scène qui se déroule devant tes yeux. Un jeune homme de dos surement dans tes âges et que tu ne sembles ne pas avoir déjà croiser dans le coin qui fait la lecture aux enfants émerveiller agglutiner autour de lui. Sourire qui viens fendre ton visage alors que l’image devant toi te réchauffes le cœur. Tu écoutes sagement alors que l’histoire touche à sa fin. L’une des tiennes. Puis la réaction vient t’arrachant un petit rire face aux répliques de l’homme surpris par la fin moderne de ton livre. Attachant moment d’échange entre une petite fille et l’homme te replongeant à la nostalgie de tes huit ans, jour où tu as épousé ton infirmier. Le bonheur est fait de petites choses. « Parce que les happy-ending ne sont pas forcément là où l’on pense qu’elles sont !! Puis on est au 21ème siècle qui as dit qu’une Princesse avait besoin d’un Prince !! » Lances-tu de l’autre côté de la pièce détendue et rapidement prise d’assaut par les enfants qui te connaissent bien « SOOOL !! » que les petites voix s’exclames en accourant vers toi. Un sourire qui ravie tes lèvres à l’unisson avec ton doux rire. « Alors Monsieur le Prince est pour le ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfant ?! » tu demandes en entrants dans la pièces laissant les chocolats aux enfants pour rejoindre l’inconnu conteur d’histoire.   
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




soliah | there is nothing better than a happy ending Empty
Message Sujet: Re: soliah | there is nothing better than a happy ending   soliah | there is nothing better than a happy ending Empty Dim 6 Jan - 16:41


Soléane & Kéziah.
there is nothing better than a happy ending.


Elle est dans ta tête, jamais elle ne t’abandonne, cette maudite voix qui te fait faire tout et n’importe quoi. Tu as bien du mal à combattre les démons que tu possèdes, des démons que bien seul toi tu peux les contrôler. La mort de ton père et toute cette pression que tu avais sur les épaules ont fait que tu as sauté à nouveau de la falaise, câlinant malencontreusement cette maladie. En France ou ici aux États-Unis, t’as toujours envie de passer du temps avec les enfants. Les combler de bonheur, pendant qu’eux t’apprennent la meilleure des leçons. Le courage. Peu importe le gamin, ils ont moins besoin de se plaindre que les adultes que tu croises, pas besoin de pleurer leur sort, ils ont juste besoin de profiter et d’y croire. De croire que tout est possible pour eux, qu’ils peuvent s’en sortir, qu’importe leur milieu, riche ou pauvre. T’as toujours eu envie de faire plaisir aux autres, penser à toi après c’est ton truc, tu penses pas du tout à te faire passer en premier depuis que tes gosses. Oublier tes amis qui ne jouaient pas pour le plaisir d’un paternel, ne désirant que d’un mec tenace, voulant d’un gars brillant. Un gars qu’il a vite abandonné, car tu n’étais qu’une nullité, anormal à ses yeux après qu’il ait comprit ta maladie. Une maladie de fil à ses dires. Puis tu ne l’as pas vu venir, que l’homme avait pris la fuite, abandonnant ta personne, ta mère, tu avais causé du chagrin, beaucoup trop juste pour ta bêtise. Tu t’es hais un peu plus à son départ, car les larmes, les pleurs que tu pouvais entendre la nuit te brisait le cœur. Lui puis elle. India était partie, elle aussi. Délaissant cet amour d’adolescent, un amour que tu chérissais encore malgré ta vingtaine passé. Loin d’être sans attache, tu t’amuses, mais dans un certain respect. Tu le dis, tu ne peux pas t’attacher, beaucoup essaye de te faire oublier ce divin ange qu’est India, cette même personne que tu as retrouvé, toi qui ne pensait plus jamais la revoir après tant d’année, mais ce n’est pas le cas. Elle a pénétré à nouveau ton univers, récupérant la place qui lui était dû. Tu fais valser les mots, racontant le livre que tu détenais ente les mains, mais tu ne t’attendais clairement pas à cette fin complétement invraisemblable. Quoi, l’écrivain voulait briser les rêves des gosses dès le plus jeune âge ? Alors tu te révoltes, car toi tu l’espères la bonne fin avec India, tu espères qu’elle sera ta princesse, puis ta reine te donnant le plus grand des bonheurs, peut-être des enfants. Tu imagines bien des choses, un grand rêveur, un romantique à souhait et cette fin venait de briser tellement de chose en toi. Tu ne pouvais pas croire qu’un conte pouvait se finir ainsi, tu ne comprenais pas le principe. Car t’aurais trop peur que ta belle princesse ne finisse par t’abandonner, ne finisse par te laisser, laissant ton cœur se faire manger par le chagrin, qui finirait lui par te foutre dans une tombe. La petite qui tente de te rassurer, comme quoi elle veut être ta princesse, charmante idée, bien jeune la petite, et ton cœur est gravé à un seul nom, une seule possibilité depuis trop d’année de toute façon. Tu lui dis, pour toi, elle trouvera mieux, car t’es loin d’être parfait, les mots de ton père qui te reviennent en tête, fichant en l’air le bien être que tu avais sur le moment. Une voix qui vient taquiner tes oreilles, tu te retournes, pas de sourire, rien. D’où les princesses doivent avoir besoin d’un prince ? Tu es d’accord, mais si le prince avait besoin d’elle pour savoir respirer, savoir vivre. Pour toi, il existe des âmes qui sont fait pour être à deux, n’être que bien à deux, pas seule et il n’y a pas besoin de mille et une personne, tant que l’autre est là. Toi c’est clair, la brunette ayant enchanté ton organe central est la seule et le sera toujours. Peut-être que toi, tu pourrais être un prince, mais ce n’est pas le cas de tous les gars, tu le sais, mais toi tu es ainsi. Tu ne réponds pris de court par les enfants sautant dans les bras de la blonde. Tu laisses tes pupilles observer la scène, silencieusement, murissant pendant ce temps-là, une réponse à ses dires. Mais elle en rajoute. Tu souris, laissant ce sourire si charmant posséder ton visage, sans aucune arrière-pensée, car c’est ton sourire, le seul et l’unique que tu as. Tu vis la vie à fond, tu n’as jamais du style à offrir un sourire si ce n’était pas vrai. « Non j’opte pour l’amour moi … » Le regard se fondant dans le sien, alors que les enfants vous contemplent, tu sens une main prendre la tienne, tu offres un sourire à la petite Tania. « Qui dis que la princesse a besoin d’un prince ? Personne. Mais moi je dis que le prince à besoin de sa princesse pour être heureux, pour partager avec elle d’inoubliable moment ! » T’es peut être dans un monde utopique, le tien, mais tu vois les choses ainsi depuis tant d’année. Tu ne sais pas si dans le fond l’arrivée d’India dans ta vie d’adolescent n’a pas fait que tu tournes ainsi, peut être que tu aurais été différent dans le fond, mais peu importe. « Cette personne ayant écrit le livre ne va pas faire rêver les enfants … on peut vivre ensemble sans se brimer … je suis peut-être trop fan des bonnes fins, mais celle-là est mauvaise ! » Clairement la fin tu l’aimes pas, tu n’es pas la seule, mais d’autre enfant ont l’air de se contenter de cette fin, il en faut pour tous les gouts, mais toi ton enfance n’a vu et t’as fait rêver à travers les disneys, aux bonnes fins.


 
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




soliah | there is nothing better than a happy ending Empty
Message Sujet: Re: soliah | there is nothing better than a happy ending   soliah | there is nothing better than a happy ending Empty Mar 8 Jan - 14:11


≈ ≈ ≈
{ there is nothing better than a happy ending }
crédit/ tumblr ✰ w/@Kéziah Maynard
Tu vie pour ce genre d’instant couper de tout. Une pause dans le temps qui défile à un rythme efreinner sans jamais laisser la possibilité de se poser un peu. Tu vie pour l’innocence de l’instant présent et la bulle émerveillement qui te frappe d’un amour sans fin quand tu te plonge dans le regard d’un enfant. Tu en oublierais tout le mal qui te ronge. Tu vie pour les autres avant de vivre pour toi. Oui, tu ne t’ai jamais oublier en chemin et il fut un temps ou l’égoïsme de te dire que demain serait la fin, tu en as oublier le restes. Les autres. Aujourd’hui toute les perspective semblait changer. L’avenir résonner comme la fin de l’histoire dont tu étais en train d’écrire le derniers chapitre. Tu l’avais prise seule cette décision et tu n’étais pas de ces personnes qui perdait du temps précieux à regretter, non. Mais, tu avais peur de courir après les derniers instant de ton existence. Peur de ne pas arriver aux derniers mots dans les temps. C’était un mélange d’émotion qui bataillait dans ton esprit. Dans ton cœur. Un trop plein à t’en faire tourner la tête et déborder les sens. C’était dure de s’y retrouver dans cela. Tu te perdais un peu en chemin mais, tu continuais de suivre la route comme si c’était la seule et unique chose qu’il te restais à faire. C’était le cas après tout ?! Ton derniers voyage avant ton derniers souffle. Tu l’entendais bien le passé en laissant de coté souffrance et douleurs. Alors, dans les moment sans tu ne te laissais pas abattre. Tu te refusais à plonger dans tes idées noires et tu allais à la source de positivité la plus inépuisable que le monde avait à offrir : les enfants. De ceux qui n’avaient rien demander. De ceux qui ne se plaignait pas et qui prenait la vie comme on le leurs avaient donner même si elle n’était pas aussi belle que le voisin. Elle te manquait ton âme d’enfants dans ces moments là. Alors, pour ne pas oublier qu’un jour, tu avais été à leurs place. Pour ne pas oublier non plus que tu avais eu de la chance de vivre rien qu’un instant tu allais les voir. Eux, les enfants qui se battait contre la maladie avec plus de force que n’importe quel adulte. Tu te perdais avec eux dans des mondes imaginaires qui te rappelaient à quel point la vie méritait d’être vécue malgré toute l’horreur qu’elle pouvait offrir. Il y avait toujours du beau à l’arrivé. La beauté devait l’emporter sur le reste. C’étias là, où tu puisait ton inspiration. C’était avec eux aussi que tu tirer les plus belles leçons de vies. Souvent tu te laissais surprendre pour ressortir de là avec le ceour plus léger. Alors, aujourd’hui, tu t’es laisser guider dans cette pièce avec la même envie. Celle te trouver un peu de légéreté là ou tu ne voyais que de la douleur. La différence entre toutes les autres fois c’est que la surprise venait d’ailleurs. Un homme, un inconnu aux allures de prince de conte de fée qui venait mettre à mal la fin de ton histoire avec ce quelque chose qui te disais que la légerté que tu recherchais c’était lui qui allait t’en donner un peu. « Je suis sûr que l’auteure opte pour l’amour aussi, juste un amour différent de celui que l’on conçois naturellement » ton doux sourire ne quitte pas tes lèvres intriguées par le jeune homme qui te fait face. Tu te dis que c’est tellement rare les hommes qui assumes ce genre de parole qu’il doit surement valoir la peine d’être connu. Il fallait dire que sa présence ici lui donner des point d’avance quant à l’importance que tu lui portait. Loin de toi l’idée que certaines personnes valaient plus la peine que d’autre mais, la vérité et que certaines personnes mérité qu’on leurs accorde plus de temps. Tu étais bien placé pour savoir à quel point le temps était une variable des plus précieuses. Tellement intrigué que tu ne te révélas pas de suite bien curieuse de savoir ce qu’il aurait à dire d’autre sur la fin de l’un de tes livres. Tu fut agréablement surprise. « Je doit dire que je n’avais jamais vue les choses dans ce sens, vous avez peut-être raison finalement… » tu le regarde un instant avant de noter dans ta tête pour la prochaine histoire de t'attarder un peu plus sur le rôle du prince. L’inspiration se trouvais bien souvent là, où l’attendait le moins. « Il n’y a pas que l’amour qui fait rêvais non ?!... pour le reste je suis certain que mon éditeur serait ravi d’entendre que la fin de mon livre et si mauvaise que ça ! » Tu rigoles légèrement avant d’aller t’asseoir au milieu des enfants en train de manger du chocolat. « Vous restez un peu ?! » que tu demandes en levant le regard vers celui de l’homme dont tu ne connaissais toujours pas le prénom.   
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






soliah | there is nothing better than a happy ending Empty
Message Sujet: Re: soliah | there is nothing better than a happy ending   soliah | there is nothing better than a happy ending Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
soliah | there is nothing better than a happy ending
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» the parachute ending | joyss
» HAPPY BIRTHDAY STQ (5 ANS).
» Are you happy now ? - (Ainswell)
» we wish you a happy banquet (LIBRE)
» Happy new year - Ainswell

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: versions #5 et #6 :: RPS
-
Sauter vers: