little pieces of you (damen/slade)

little pieces of you

damen & slade

Il a l’air d’avoir profité de ta petite danse, même si tu te doutes que le côté sexy manquant cruellement dans ton déhanché ne lui ait donné envie de quoi que ce soit. « T'essayes d'me donner envie d'te baiser une nouvelle fois ? » Tu peux pas t’empêcher de rire un peu, amusé, avant de finalement secouer négativement ton visage. « Alors j’adore ta bite, mon gars, mais j’pense que si t’y retournes avant un temps de repos, j’pourrai plus m’asseoir pendant trois semaines. » La classe Damen. La classe et la délicatesse, comme toujours. Sauf que c’est vrai, au fond. Tu sais très bien que tu pourrais demander à l’agent de sécurité de te démonter pendant des heures si yavait pas de prix à payer derrière. T’es pas masochiste non plus.

« J't'imaginais pas photographe. ça t'va bien » Et toi, t’imaginais pas qu’il s’intéresserait à ça, un jour. Tu pensais pas qu’il continuerait cette partie de votre conversation, que tu perçoives aussi un peu d’intérêt dans sa voix. Mais ça te déplaît pas, en fait. Pas de devoir parler de quelque chose que tu préférerais garder pour toi, mais Slade qui essaie pas de foutre un fossé entre vous comme si t’allais finir par t’accrocher à lui comme à une putain de bouée. Ca te va bien. T’as du mal à piger ce qu’il veut dire par là, en fait. Ça te laisse un peu perplexe. « Pourquoi ça ? » Tu demandes en fronçant légèrement les sourcils, sincèrement intéressé. Et puis tu décides de t’asseoir, toi aussi. Tu poses ton cul sur une chaise juste devant ton interlocuteur. Enfin, tu poses une de tes fesses complètement sur la chaise et l’autre en un peu plus relevée. La routine.

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alors j’adore ta bite, mon gars, mais j’pense que si t’y retournes avant un temps de repos, j’pourrai plus m’asseoir pendant trois semaines. un rire t'échappe à ses mots. un rire spontané, parce que tu ne t'y attendais pas vraiment, à cette réponse de la part du blond. tu pensais plus pouvoir être surprit comme ça. tu glisses tes doigts dans tes cheveux et l'observes quelques secondes, amusé. je plaide coupable. tu souffles doucement en haussant un peu les épaules, l'air de rien, te mordant l'intérieur de la joue. c'est tentant pourtant, d'le baiser jusqu'à ce qu'il demande grâce, qu'il ne puisse plus s'asseoir, ni même penser à le faire. tu préfères changer de sujet, ou t'auras vraiment envie d'le pencher sur la table pour le baiser une nouvelle fois. et pas tendrement. et pour tout avouer, tu sais pas de quoi parler d'autre que ces foutues photos. tu te pinces brièvement les lèvres et l'observes venir s'asseoir en face de toi. pourquoi ça ? tu hausses un peu les épaules à ses mots. tu sais pas. tu trouves juste que ça lui va bien, qu'il a la tête de l'emploi, comme on dit. tu viens observer ses traits quelques secondes. j'sais pas. l'artiste un peu torturé, tout ça. tu sais même pas de quoi tu parles, putain. c'pour ça que t'aimes pas parler, parce que ça sert à rien parfois et que ça emmener simplement à des incompréhensions. un soupir t'échappe. c'est étrange de vouloir discuter comme ça. t'as pas l'habitude. pas avec damen. avec damen, c'est de la base et du silence, avant que tu te barres ou qu'il le fasse s'il est chez toi. tu fronces un peu les sourcils. ouai, non, vous avez jamais prit le temps d'en apprendre un peu plus l'un sur l'autre, parce que ça voudrait dire que votre relation, c'est autre chose que de la baise et simplement de la baise. c'était très bien comme ça, ces cinq dernières années. t'sais pas trop pourquoi t'as décidé de poser ton cul sur la chaise, finalement.

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C’est quand même étonnant que t’arrive encore à le surprendre avec ta franchise, avec ton honnêteté. Parce que c’est pas souvent qu’il rit comme ça - surtout de cette manière là. C’est le rire que t’as associé à sa surprise, à chaque fois que tu prononces ou fais quelque chose à laquelle il ne s’attendait pas. Ça te fait sourire aussi, du coup. T’avais beau pas avoir comme but de le faire marrer avec tes paroles, t’es quand même content quand t’arrives à lui extirper une réaction. T’as quand même l’impression que tu lui as donné une idée. Faut dire que tu le connais aussi, depuis le temps. Tu crois bien qu’un jour, il va vraiment finir par défoncer plusieurs fois dans la journée et que tu vas le regretter gravement le lendemain… tout en lui demandant de jamais s’arrêter le jour même.

« J'sais pas. l'artiste un peu torturé, tout ça. » Ya tes yeux qui s’écarquillent et t’aurais largement pu t’étouffer si t’étais entrain de boire ou de manger un truc. What ? On ne te l’avais jamais faite, celle là. Un artiste torturé… Ton cul, ouais ! Déjà, tu ne te considères pas comme un artiste - genre pas du tout - et puis torturé ? Mais d’où ? T’es pas solitaire, t’es pas sans arrêt entrain de te comporter comme… un artiste torturé, quoi ! « C’est pas parce que j’ai des cernes aussi grosses que l’cul de Nicki Minaj que j’suis torturé, hein. » Décidément, t’as un truc contre la rappeuse aujourd’hui. Mais faut dire que quand on parle de gros cul, elle pop direct dans ton crâne avec son twerk en string dans Anaconda, là. Bordel, t’en a un frisson de dégoût rien que d’y penser. « Mais bon, si tu l’dis. » Tu hausses les épaules et tu pouffes légèrement. C’est marrant quand même. Toi en artiste torturé. « Tu veux qu’on s’ouvre les veines en fumant d’la weed et en se racontant tout ce qui va pas dans ce monde de merde ? » Tu souris en coin. C’est pas prêt de partir, cette connerie. Tu vas le lui rappeler sans arrêt qu’il t’a appelé un putain d’artiste putain de torturé, tiens.

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tu te pinces brièvement les lèvres, reprenant rapidement ton sérieux. ton sérieux ou ton attitude habituelle ? un des deux sans doute. t'sais pas trop, dans tous les cas, tu sais que t'es pas du genre à rire pour un rien, il s'sait aussi damen. mais c'est pas d't'a faute, si ces remarques à la con te font quand même rire. tu sais pas, apparemment, il y arrive. et c'est sans doute ta frangine qui est bien placée pour savoir que y'a pas grand monde et pas grand chose qui arrive à te tirer un rire comme celui-là. tu observes l'blond quelques secondes.

tu sais pas pourquoi, tu trouves juste que ça lui va bien, d'être photographe, un petit côté artiste au bout des doigts, ceux tenant son appareil photo. t'observes ses réactions, semblant d'outrage sur son visage t'en sais trop rien. c'est vrai qu'il a pas totalement la gueule d'un artiste torturé, mais un peu quand même. c’est pas parce que j’ai des cernes aussi grosses que l’cul de nicki minaj que j’suis torturé, hein. tu arques un sourcil à ses mots. tu sais pas exactement pourquoi il commence à parler de cette meuf d'un coup, t'arrives pas trop à la saquer, d'toute manière. puis le cul de damen est bien plus agréable à regarder que celui de l'autre. mais bon, si tu l’dis. tu veux qu'on s'ouvre les veines en fumant d'la weed et en se racontant tout ce qui va pas dans ce monde de merde ? tu l'observes de longues secondes et te contentes de hausser les épaules comme si de rien n'était. bien, bien. je sens le sarcasme. tu souffles face au blond. ça a pas vraiment l'air d'lui plaire, quoi. un léger soupir t'échappe. t'es quoi du coup ? un photographe amateur ? tu ajoutes simplement, p'être bien pour essayer de le chercher un peu. t'en sais trop rien. t'aimes bien l'chercher un peu, le blond et en général t'aimes bien faire en sorte qu'il se la ferme en l'baisant contre un mur ou un meuble, mais p'être pas cette fois, du coup. tu ferais p'être mieux de te barrer. tu termines par t'redresser. tu fais c'que tu veux, après tout. tu te contentes de souffler en enfonçant tes mains dans tes poches.

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T’es pas vexé. Nan, ce que tu ressens n’y ressemble pas. Mais tu ne t’attendais pas à la comparaison, ça c’est clair. C’est bien la première fois que l’on fait référence à toi de cette manière. C’est peut-être parce que t’es content d’être toi-même, qu’il y en est pas d’eux comme toi. L’artiste torturé, c’est un stéréotype et tu n’as tellement pas envie d’en être un. T’es Damen. Damn. T’es unique. Sauf que maintenant, t’es persuadé qu’entre tes cernes et ta solitude… Tu dois faire passer ce message. Génial, maintenant t’es paranoïaque.

« Bien, bien. Je sens le sarcasme » Tu te sens désolé, un peu. Parce qu’il essaie de parler, il essaie d’avoir une conversation - pour une fois - et tu sais qu’il est pas doué pour ça. Il a dû dire ce qu’il lui passait par la tête sans trop réfléchir, sans trop faire attention. Slade fait déjà un effort, c’est un peu mal venu de lui répondre sur le ton que t’as employé. « Nah désolé. J’vois des sous entendus partout et j’me sens attaqué h24. » Un véritable problème chez toi, au passage. « J’suis susceptible as fuck. » Au moins, tu joues les mecs matures en t’excusant un peu, c’est déjà ça.

« T'es quoi du coup ? Un photographe amateur ? » Tu sais pas s’il te cherche ou quoi et tu ne sais pas quoi lui répondre. Possible. Peut-être. Sûrement. Sans doute. Après tout, t’es un mec qui prend sa caméra de temps en temps, qui prend des photos et qui les développe et les poste sur internet sans en faire son métier. Ça tombe pas mal sous la définition, non ? « J’crois que techniquement, c’est le terme, ouais. »

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un soupir s'échappe de tes lèvres face à la réaction du blond. c'est typiquement pourquoi t'aimes pas parler de tout et de rien avec n'importe qui. parce que ça semble bien trop compliqué, de tenir une conversation sans rien dire de travers, sans vexer personne. un soupir t'échappe. tu l'observes de longues secondes. tu sais pas, tu sais pas pourquoi t'as décidé d'rester comme ça. tu te pinces les lèvres un instant et retiens un petit soupir. tu croises tes bras contre ton torse en l'observant, un nouveau soupir sur les lèvres. et tu peux sentir le sarcasme dans les mots qui suivent. nah désolé. j’vois des sous-entendus partout et j’me sens attaqué h24. j’suis susceptible as fuck. tu te mords l'intérieur de la joue et hausses les épaules, l'air de rien face à damen. c'pas la première fois que tu l'entends s'excuser, l'blond. j'voulais pas non plus t'contrarier. tu ajoutes simplement. ouai, t'es pas un enfant non plus, tu vas pas essayer d'avoir le dernier mot ou un autre truc dans le genre. tu t'en fiches bien. tu termines par lui demander comment il se considère, au moins tu seras sûr de pas l'frustrer ou de pas le vexer, d'une manière ou d'une autre. tu sais pas pourquoi t'agis comme ça. d'habitude t'en as pas grand chose à foutre de vexer quelqu'un. tant pis quand ça arrive, c'pas comme si t'aimais tellement les gens que tu voulais être pote avec n'importe qui. mais ça fait quand même cinq ans que tu connais damen. et tu l'connais assez intimement, mais y'a pas grand chose d'autre. c'est votre volonté à tous les deux après tout. j'crois que techniquement, c'est le terme, ouais. tu hoches la tête à ses mots. c'est simple, mais bon. tu te mords l'intérieur de la joue. ok. tu souffles simplement. c'est cool. tu ajoutes en l'observant. cool qu'il puisse faire un truc qu'il y ait un truc qu'il aime bien, quoi. un passe-temps, quelque chose dans ce genre.

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C’est vrai que t’as toujours l’impression qu’on te cherche, qu’on t’attaque. Sans doute parce que c’est souvent ce que tu fais, toi. T’as tellement peur de devoir parler de ta vie, que quelqu’un te voit vraiment que tu les fais tous fuir en te foutant tout le temps de leurs gueules. Pas étonnant que tu finisses par croire que c’est ce qu’ils font, eux aussi. Sauf que Slade, tu le sais quand il se fout de ta gueule. Ya des fois, les plus rares, où il sourit un peu en coin, pis ya des fois où tu peux juste le lire sur son visage. Depuis le temps, t’as appris à reconnaître ces trucs là. Du coup, t’aurais dû savoir qu’il cherchait pas la merde, qu’il était juste… maladroit, comme d’habitude. D’habitude. C’est peut-être pas le bon mot, ça. Comme si tu avais l’habitude d’avoir une véritable conversation avec lui. Au boulot, peut-être, mais en tant que conversation personnelle… c’est sans doute la première que vous avez qui succède au sexe. « J'voulais pas non plus t'contrarier » T’as du mal à t’imaginer Slade qui reconnait ses tords quand même, sauf qu’il en face de toi. Enfin, même si tu ne penses pas une seconde qu’il ait eut tord, pour le coup. Il a juste son opinion. Mais t’en reviens pas qu’il dise ça. Ça te fait plaisir, au fond. Tu te dis qu’en cinq ans, vous êtes quand même devenus… un peu potes ? Tu sais pas le qualifier mais ya genre un respect mutuel - tu peux le sentir. C’est pas déplaisant.

« C'est cool. » Tu ne peux pas t’empêcher de sourire doucement. Slade qui en chie pour avoir une conversation correcte, qui enchaîne les petites phrases et qui termine par un c’est cool, c’est lui tout craché. T’es à deux doigts de lui dire qu’il est aussi adorable qu’un petit gosse qui apprend à marcher mais t’as pas tellement envie de presser ta chance et de le faire fuir. C’est un animal sauvage, Slade, faut pas le brusquer où il risque de s’enfuir. « On est vraiment pas doués, hein. Pour les conversations, les trucs… d’humains. » Ce n’est pas une question, pas du tout. Parce que tu te doutes qu’il pense la même chose que toi. La comparaison entre toi et l’artiste torturé ne sort pas nul part après tout.

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ouai, sans doute qu'en cinq an, vous n'êtes plus vraiment des inconnus l'un envers l'autre. tu l'observes de longues secondes. au fond, c'est assez agréable de pouvoir parler. juste ... pas dans le cadre du boulot, même si tu serais pas du genre à vouloir faire ça tous les soirs, après chaque baise. un petit soupir t'échappe et tu termines tout de même par te relever, tes mains dans tes poches, observant la pièce autour de toi de longues secondes. ouai, tu trouves ça cool, au fond, de voir que le blond a une passion à laquelle se consacrer de temps à autre. penser à autre chose. t'as la tienne, aussi. la boxe, c'est depuis que t'es gosse, putain de passion qui dure depuis tant de temps. t'observes le visage du blond. on est vraiment pas doués, hein. pour les conversations, les trucs... d'humains. tu hausses un peu les épaules à ses mots. il a carrément raison, damen, quand il termine par souffler ça. t'as jamais été trop doué pour les relations humaines de toutes manière. sans doute à cause de ton beau-père. ouai, coupé en plein envol, t'es resté au sol depuis tout ce temps. ouai. tu souffles en te pinçant brièvement les lèvres. enfin, tu l'es sans doute un peu plus que moi. un petit rire t'échappe, tu hausses les épaules une nouvelle fois. damen il parle pour rien dire, il approche les gens en s'en fichant bien de ce qu'ils vont penser. enfin, c'est l'image que t'as du blond, c'est p'être pas la bonne quand t'y penses réellement. et plus tu passes de temps dans ce foutu salon, plus t'as l'impression que c'est qu'une façade, qu'il montre au grand public. image qu'il entretient depuis toutes ces années. putains d'traumatises idiots. si t'avais un peu plus de couilles et que c'était pas si étrange, t'aurais pu lui demander si c'est à cause des marques sur son corps. mais t'as assez de jugeote pour te taire. un soupir t'échappe. tu ferais mieux d'partir.

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Vous êtes une belle bande de pas doués. Tu te dis qu’au fond, vous vous êtes bien trouvés tous les deux. Parce que c’est rassurant quand même, d’avoir quelqu’un dans sa vie qui nous comprend, avec qui on a des points communs pas toujours avouables. Vous avez beau pas être grand chose de plus que des mecs qui s’envoient en l’air, mais tu sais que la constance de la chose te rassure - que t’aimes le fait qu’il soit si jamais t’as besoin de baiser pour oublier, que t’aimes aussi savoir que t’es pas le seul à autant en chier pour avoir une conversation normale avec quelqu’un.

« Enfin, tu l'es sans doute un peu plus que moi. » T’en est pas persuadé. Vous êtes juste différents sur ce point. Slade, il ne parle pas, il est parfois maladroit. Toi, tu parles trop et les mots t’échappent avant que tu ne réfléchisses. C’est à la fois parce que t’es un bon comédien, faut croire, mais aussi parce que… t’es nul à chier pour parler aux gens. Vous êtes tous les deux nuls à votre manière. « J’pense qu’on est pas doués différemment. Tu parles pas, et moi j’parle trop. » Tu hausses les épaules tandis qu’un sourire se dessine sur tes lèvres. T’as soudainement envie de plaisanter en vous imaginant dans un club : le club des nuls en humanité. « On devrait se faire des tee-shirts. » que tu ajoutes en imaginant la chose dans ton esprit, ce qui te fait pouffer de rire. Ouais, t’imagines bien Slade dans son propre tee-shirt : un Slade qui fait grave la gueule, pas du tout impressionné par le magnifique design du vêtement. Ouais, tu peux carrément visionner ça.

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un soupir s'échappe finalement de tes lèvres et tu viens glisser une main dans tes cheveux courts. tu fixes le blond, sans doute de trop longues secondes, mais tu sais pas forcément ou poser tes prunelles. tu te mords l'intérieur de la joue, ouai, vous êtes définitivement pas doués pour parler normalement et entretenir une discussion. sauf que l'blond est déjà plus à l'aise quand il faut prendre la parole, d'une manière ou d'une autre. t'aimes pas ça, toi, parler. parler pour rien dire, parler histoire de parler. un long soupir t'échappe et tu te mords l'intérieur de la joue, glissant tes doigts dans tes cheveux. j’pense qu’on est pas doués différemment. tu parles pas, et moi j’parle trop. tu arques un sourcil face à ses mots. il n'a pas totalement tord, quand tu y réfléchis. c'est vrai que vous êtes plutôt deux extrêmes. on devrait se faire des tee-shirts. tu te pinces les lèvres quelque longues secondes, essayant de ne pas te braquer de suite. un petit soupir t'échappe. ah ouai ? genre des t-shirts qui vont ensembles ? tu souffles, presque taquin. c'est une mauvaise idée et vous le savez tous les deux. tu te mords l'intérieur de la joue et l'observes un instant. c'est un peu kitsch, non ? tu ajoutes finalement, t'approchant un peu du blond, ton regard venant percuter le sien. tu te contentes de venir éloigner une mèche tombant sur son front. faut dire qu'il est jamais très bien coiffé après ton passage. tu l'observes de longues secondes. on mettrait quoi sur l'tiens, que le seul moyen de faire en sorte que t'arrêtes de parler, c'est de te baiser ? tu ajoutes, un fin sourire sur le coin des lèvres.

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» stitches (damen/slade)
» well, happy birthday to me (slade/damen)
» there still are things you don't know. does it make you mad, baby ? (damen/slade)
» pieces of us / kenza
» a million little pieces / maureen